LE DOMAINE BLEU

yvchli a écrit : rené est po la

non yé en vacance avec céline et son fils

Ils aiment le fait quil soit sorti de sa zone de confort et je suis vraiment en accord avec eux

Rivard est touché du plongeon qu'il a fait, il tentait de mettre une émotion calquée, il aurait pu se concentrer que sur le texte, il a escamoté plusieurs mots

Jia a écrit : Van était là vers 7h15

MERCI avait-elle l'air déçu ou heureuse ?

FAROUCHE1 a écrit : [...]

non yé en vacance avec céline et son fils

bon pascal va pouvoir etre en danger

Johanne dit : j'avais 20 ans... il a 26 ans


ça m'énerve de voir un jeune chanter cette chanson que j'adore.

Johanne : C'est un pas géant pour Jean Philippe.

Patrick : Toujours beaucoup d'admiration qui décide d'explorer

Michel : 'amène... moi aussi je suis tres touché du geste, du plongeon, c'est sur je connais ca... le jour ou tu laches ta guitare, tu mets ta main sur le coeur parce que le "coeur" le mot dans la chanson... Y'a escamoté quelques mots des fois pour faire une émotion... mais ca je te parle un ptit défaut...

Geneviève : Portai sur les mots a quelques reprises... Moi je trouve qu'il s'en est bien tiré. Meme dans le phrasé il s'est rattrappé...

Michel parle de son interprétation de cette chanson sur le disque Hommage a Aznavour... en parlant de la phrase "Hier encore, j'avais 20 ans..."

Patrick a des moments ou on voyait que le texe que lui collait ... Il a fait un grand pas...

Huard...le grand pas de JP c'est qu'il était pas sur le pilot automatique comme quand il chantait dans les bars

yvchli a écrit : [...]

bon pascal va pouvoir etre en danger

ah ché pas

Patrick: il fait du bar, fait toujours les mêmes tounes, il est sur le pilote automatique.

Là il l'était pas. Il était là dans la toune tout le long.

staqr=étoile a écrit : [...]


MERCI avait-elle l'air déçu ou heureuse ?

la vidéo est sur le site de Salut Bonjour

Patrick dit qu'il a observé JP hier toute la soirée et il a vue que jamais il ''l'a perdu'' tout le long du show.


Johanne dit qu'il travaille, travaille....

Michel Rivard : la barre est haute