LE DOMAINE BLEU

Anya a écrit :

Tout lire >>Loi no 178 
[1] Il y a un article de la Loi 178 qui est passée complètement inaperçue.
[2] C’est l’article 31 qui se lit comme suit :

CiaoBella a écrit : Quand même. C'est bien beau vouloir le défendre et voir le mal partout, mais il s'est présenté à la Régie du Logement. Il a dit avoir mis l'argent dans la boîte aux lettres. Personne ne l'a inventé et dit à sa place.
Tout ce qu'il a comme "preuve" de paiement c'est ses retraits à la banque. Voyons ! C'est quand même un gars intelligent. Il doit bien savoir que ça ne prouve rien des retraits à la banque.

Quand tu vas à la Régie du Logement pour une cause de "non paiement" c'est au locataire de prouver qu'il a bien payé son loyer. Il n'a aucune preuve. En partant, sa cause est perdue. Même s'il avait eu un reçu (ce qu'il n'a pas eu) et qu'il l'avait perdu, il perdait sa cause.
S'il avait payé par chèque, son chèque (encaissé) aurait été sa preuve de paiement. Ça aurait été tellement plus simple.
Son histoire, c'est vraiment n'importe quoi. On parle de sommes importantes, pas d'un $10 glissé dans une boîte aux lettres.

Ça me dépasse.

CiaoBella a écrit : Et puis, comme ça fait le tour des nouvelles, sur tous les réseaux. Je ne vois pas pourquoi nous n'aurions pas le droit d'en parler ici. Ce n'est peut-être pas en rapport direct avec le conflit, mais ça touche un "représentant" très directement, alors ouvrir un autre topic pour ça serait superflu.

Fanfoi a écrit : [...]


Je sais que ce n'est pas de ta faute, mais ce n'est pas le bon numéro de loi...

Anya a écrit :

Tout lire >>Conflit étudiant: désarroi au gouvernement 
(Québec) Les membres du gouvernement de Jean Charest sont las, troublés, débordés. Ils constatent, comme tous les Québécois, que les derniers jours ont démontré que la loi 78 n'a rien réglé. Certains d'entre eux en seraient à se demander si le premier ministre ne devrait pas s'impliquer personnellement.
Pour apaiser les tensions, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, affirme qu'elle demeure disposée à rencontrer les fédérations étudiantes, y compris la Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE), qui a invité à la désobéissance civile.

Anya a écrit :

Tout lire >>Conflit étudiant: désarroi au gouvernement 
(Québec) Les membres du gouvernement de Jean Charest sont las, troublés, débordés. Ils constatent, comme tous les Québécois, que les derniers jours ont démontré que la loi 78 n'a rien réglé. Certains d'entre eux en seraient à se demander si le premier ministre ne devrait pas s'impliquer personnellement.
Pour apaiser les tensions, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, affirme qu'elle demeure disposée à rencontrer les fédérations étudiantes, y compris la Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE), qui a invité à la désobéissance civile.

La loi a été votée par un Parlement démocratiquement élu, a cru nécessaire de dire Jean Charest.

En France, le préavis à donner aux autorités n'est pas de huit heures, mais de 20 jours, [Le ministre de la sécurité publice, Robert Dutil] tenu à faire savoir. Il est de six jours à Londres et de 40 jours à Los Angeles

«La désobéissance civile, c'est un beau mot pour dire vandalisme», a dénoncé le ministre Jean-Marc Fournier.

Anya a écrit : [...]

Excuse-moi Krysantheme, je ne faisais que rectifier la nouvelle qui avait déjà été mise.

CiaoBella a écrit : Quand même. C'est bien beau vouloir le défendre et voir le mal partout, mais il s'est présenté à la Régie du Logement. Il a dit avoir mis l'argent dans la boîte aux lettres. Personne ne l'a inventé et dit à sa place.
Tout ce qu'il a comme "preuve" de paiement c'est ses retraits à la banque. Voyons ! C'est quand même un gars intelligent. Il doit bien savoir que ça ne prouve rien des retraits à la banque.

Quand tu vas à la Régie du Logement pour une cause de "non paiement" c'est au locataire de prouver qu'il a bien payé son loyer. Il n'a aucune preuve. En partant, sa cause est perdue. Même s'il avait eu un reçu (ce qu'il n'a pas eu) et qu'il l'avait perdu, il perdait sa cause.
S'il avait payé par chèque, son chèque (encaissé) aurait été sa preuve de paiement. Ça aurait été tellement plus simple.
Son histoire, c'est vraiment n'importe quoi. On parle de sommes importantes, pas d'un $10 glissé dans une boîte aux lettres.

Ça me dépasse.

Je ne pensais jamais avoir à écrire cette chronique sur les finances publiques dans un contexte aussi tendu.

Si l'objectif en pensant à la conception de cette chronique était au départ de mettre un peu de rationalité dans un débat qui est devenu beaucoup trop émotif, avouons que le climat s'y prête mal au moment où la loi spéciale risque fort de faire monter l'émotivité d'un cran encore, éloignant d'autant l'élément rationnel, pourtant nécessaire, à la résolution du conflit.

Tentons néanmoins de reprendre le tout depuis le début, la hausse des droits de scolarité découle d'un constat partagé sur le sous-financement universitaire, évalué à 400 millions $ par année.

Pour corriger la situation, le gouvernement a proposé une hausse des droits de scolarité. D'abord, 325 $ par an pendant cinq ans dans le budget de mars 2011. Puis devant la persistance du conflit, le gouvernement l'a remodelé, le 27 avril dernier, à 254 $ annuellement sur sept années. Il s'agit d'une hausse annuelle moyenne de 8,9 %. Même si étudier à l'université est un investissement fort rentable, une telle hausse peut être vue comme étant potentiellement dommageable pour l'accès aux études universitaires. Dans la réalité québécoise, augmenter les droits de scolarité n'a de sens qu'en bonifiant l'aide financière aux études (AFE). Or, elle a justement été bonifiée de diverses façons.

-k9- a écrit : [...]


pour faire une histoire courte, le gars sera pas expulsé, il a payé son loyé avant que le jugement de la régie ne sorte..... donc le journaliste était mal informé ou a omis tout simplement de dire ce qu'il en était réellement.