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Eh merde!
Un orphelin de 8 ans...
Un viaduc s'effondre a laval
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FrançoisBoucane
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Comprendre l'inexplicable
Pierre Marc Johnson dirigera la commission d'enquête devant faire la lumière sur l'effondrement d'un viaduc qui a fait cinq morts à Laval
Marie-Andrée Chouinard
Édition du lundi 2 octobre 2006
Afin de «comprendre l'inexplicable» que demeurait hier l'effondrement meurtrier du viaduc de la Concorde à Laval, le premier ministre Jean Charest a promis la tenue d'une commission d'enquête, espérant trouver l'anomalie qui a entraîné la mort de cinq personnes, en blessant six autres au passage.
L’une des voitures dans lesquelles se trouvaient les victimes a pu être dégagée des décombres du viaduc à 3h30 du matin dimanche. À gauche, des policiers se préparent à la recouvrir d’une toile.jacques nadeau le devoir L’une des voitures dans lesquelles se trouvaient les victimes a pu être dégagée des décombres du viaduc à 3h30 du matin dimanche. À gauche, des policiers se préparent à la recouvrir d’une toile.
Jacques Nadeau
Au lendemain de l'écrasement mystérieux d'un tronçon du viaduc sur l'autoroute 19, M. Charest s'est rendu sur les lieux du drame et a promis que tout serait «mis en oeuvre pour aller au fond des choses». Une enquête publique menée par l'ancien premier ministre Pierre Marc Johnson permettra peut-être d'élucider le mystère que constituait hier pour tous l'affaissement du tablier du viaduc conçu il y a à peine 35 ans, inspecté l'année dernière et brièvement examiné quelques instants à peine avant le malheur sans qu'on décèle un problème important.
«Nous allons tenter de comprendre l'inexplicable», a indiqué hier après-midi M. Charest, flanqué pour l'occasion de la ministre responsable de la région de Laval, Michelle Courchesne, du ministre des Transports, Michel Després, et du maire de Laval, Gilles Vaillancourt. Le premier ministre, qui a reporté ses vacances pour suivre la gestion de cette crise, a bien sûr offert ses condoléances aux familles des victimes et son soutien aux blessés.
Un nouveau bilan dévoilé hier par la Sûreté du Québec porte à cinq le nombre de décès : l'on sait que Jean-Pierre Hamel, 40 ans, sa conjointe Sylvie Beaudet, 44 ans, et son frère Gilles Hamel, 44 ans, tous trois Lavallois, ont péri dans un premier véhicule. Hier encore, l'identité des deux occupants de la seconde voiture écrasée par l'effondrement de la structure n'avait pas été révélée, la famille n'ayant pas été prévenue.
Des six personnes également blessées samedi, une seule demeurait hier dans un état jugé critique, le personnel médical de l'Hôpital Sacré-Coeur ne craignant pas toutefois pour sa vie. Lors d'un point de presse en matinée hier, le directeur des services professionnels et de santé de cet hôpital, le Dr Jacques Laplante, a précisé que l'état général des blessés s'était amélioré.
Après avoir reçu son congé de l'hôpital, l'un des blessés relatait hier la chance de s'être tiré de cette rocambolesque aventure avec une seule coupure sur la tête, comme l'a indiqué hier Robert Hotte à la Presse canadienne. Il conduisait sa voiture sur le viaduc de la Concorde lorsque la route a littéralement commencé à s'effondrer sous ses roues. «Nous sommes tombés avec le pont», a-t-il confié, sa conjointe étant toujours hospitalisée, mais dans un état jugé stable. «Tout était complètement noir.»
Leur véhicule est tombé sur le côté du passager, en plein milieu des débris. Les deux occupants ont réussi à s'en extirper en utilisant une fenêtre, attendant ensuite quelques instants avant qu'une auto-patrouille n'appelle les secours pour eux. «C'était comme des montagnes russes», a dit M. Hotte.
«[Samedi], le temps s'est arrêté à Laval», a indiqué Michelle Courchesne, avant d'offrir, comme les autres membres de son gouvernement, ses condoléances aux familles des victimes et aux blessés. «L'événement tragique survenu [samedi] revêt un caractère exceptionnel», a indiqué ensuite le ministre des Transports, Michel Després, avant de détailler l'ensemble des mesures d'inspection prévues sur les structures s'apparentant au viaduc de la Concorde.
La mine épuisée, M. Després a tenté de concilier le message rassurant à la population sur l'état de ces 4900 autres structures -- dont 4300 ponts -- dont il a la charge, avec la totale incapacité d'expliquer le déroulement malheureux des événements de samedi.
Le tronçon affaissé avait subi une inspection technique en mai 2005, «sans qu'on puisse détecter d'anomalies», a expliqué le ministre. Une demi-heure avant le drame, à la suite d'une information voulant qu'un tronçon de béton se soit détaché de la structure, un patrouilleur du ministère des Transports a effectué sur place «une inspection visuelle et auditive». «L'évaluation qu'il a faite à ce moment-là ne commandait pas la fermeture du pont», a affirmé M. Després, ajoutant plus tard que cet homme était «sûrement aujourd'hui excessivement malheureux».
Le mystère maintes fois évoqué serait lié au caractère somme toute «jeune» du viaduc, construit il y a 36 ans, et normalement conçu pour une durée d'au moins 70 ans. Un viaduc en tous points semblables -- même âge, même conception, même localisation -- a été fermé dès samedi, le temps qu'on le déclare hors de danger (le viaduc De Blois), une vingtaine d'autres, «aux caractéristiques qui s'apparentent», étaient sous haute surveillance. «Au moindre indice d'anomalie, le ministère prendra les moyens et fermera les structures», a lancé le ministre des Transports.
«Qu'est-ce qui est en cause ?», s'est plus d'une fois demandé le ministre. «On ne le sait pas.» Problèmes de conception ? De construction ? D'entretien ? L'enquête publique, que le Syndicat des ingénieurs du gouvernement du Québec souhaite voir étendue à l'entretien de l'ensemble du réseau routier québécois plutôt qu'à ce seul infortuné tronçon, «va examiner si tout le travail a été bien fait», comme l'a précisé le premier ministre Charest en après-midi.
«Lorsqu'il est question de sécurité, ce n'est pas une question de budget. Quand il se présente une situation qui met en péril la sécurité des gens, on n'a jamais hésité à mettre de l'argent», a répondu le chef du gouvernement, pressé de questions sur les choix de son gouvernement en matière d'entretien et de développement du réseau routier. «Ce n'est pas une question de choisir l'un ou de l'autre», a dit Jean Charest, qui a assuré qu'il se sentait en sécurité sur les routes du Québec, et ce, malgré le caractère vieillot de certains tronçons.
De l'aveu même du ministre Michel Després, environ 2000 ponts ont besoin de travaux, les trois quarts d'entre eux ayant l'âge du viaduc tombé samedi. «Nous serons plus agressifs [sic] s'il le faut en termes budgétaires», a promis M. Després. Alors que la routine habituelle d'entretien commande une inspection générale de chaque structure tous les ans et une analyse approfondie tous les trois ans, M. Després a répété que son ministère évaluait «l'état des travaux et l'urgence. Je vais vous dire : on ne prendra pas de chance, à partir d'aujourd'hui, on va revoir l'ensemble de notre plan».
Alors que d'importants problèmes de congestion routière sont appréhendés dès ce matin, les porte-parole du gouvernement ont tous convié la population à délaisser la voiture au profit du transport en commun ou encore de tenter le covoiturage. Ceux qui n'auraient d'autre choix que de conserver leur statut d'automobiliste ont été invités à faire preuve de patience et de courtoisie.
Pierre Marc Johnson dirigera la commission d'enquête devant faire la lumière sur l'effondrement d'un viaduc qui a fait cinq morts à Laval
Marie-Andrée Chouinard
Édition du lundi 2 octobre 2006
Afin de «comprendre l'inexplicable» que demeurait hier l'effondrement meurtrier du viaduc de la Concorde à Laval, le premier ministre Jean Charest a promis la tenue d'une commission d'enquête, espérant trouver l'anomalie qui a entraîné la mort de cinq personnes, en blessant six autres au passage.
L’une des voitures dans lesquelles se trouvaient les victimes a pu être dégagée des décombres du viaduc à 3h30 du matin dimanche. À gauche, des policiers se préparent à la recouvrir d’une toile.jacques nadeau le devoir L’une des voitures dans lesquelles se trouvaient les victimes a pu être dégagée des décombres du viaduc à 3h30 du matin dimanche. À gauche, des policiers se préparent à la recouvrir d’une toile.
Jacques Nadeau
Au lendemain de l'écrasement mystérieux d'un tronçon du viaduc sur l'autoroute 19, M. Charest s'est rendu sur les lieux du drame et a promis que tout serait «mis en oeuvre pour aller au fond des choses». Une enquête publique menée par l'ancien premier ministre Pierre Marc Johnson permettra peut-être d'élucider le mystère que constituait hier pour tous l'affaissement du tablier du viaduc conçu il y a à peine 35 ans, inspecté l'année dernière et brièvement examiné quelques instants à peine avant le malheur sans qu'on décèle un problème important.
«Nous allons tenter de comprendre l'inexplicable», a indiqué hier après-midi M. Charest, flanqué pour l'occasion de la ministre responsable de la région de Laval, Michelle Courchesne, du ministre des Transports, Michel Després, et du maire de Laval, Gilles Vaillancourt. Le premier ministre, qui a reporté ses vacances pour suivre la gestion de cette crise, a bien sûr offert ses condoléances aux familles des victimes et son soutien aux blessés.
Un nouveau bilan dévoilé hier par la Sûreté du Québec porte à cinq le nombre de décès : l'on sait que Jean-Pierre Hamel, 40 ans, sa conjointe Sylvie Beaudet, 44 ans, et son frère Gilles Hamel, 44 ans, tous trois Lavallois, ont péri dans un premier véhicule. Hier encore, l'identité des deux occupants de la seconde voiture écrasée par l'effondrement de la structure n'avait pas été révélée, la famille n'ayant pas été prévenue.
Des six personnes également blessées samedi, une seule demeurait hier dans un état jugé critique, le personnel médical de l'Hôpital Sacré-Coeur ne craignant pas toutefois pour sa vie. Lors d'un point de presse en matinée hier, le directeur des services professionnels et de santé de cet hôpital, le Dr Jacques Laplante, a précisé que l'état général des blessés s'était amélioré.
Après avoir reçu son congé de l'hôpital, l'un des blessés relatait hier la chance de s'être tiré de cette rocambolesque aventure avec une seule coupure sur la tête, comme l'a indiqué hier Robert Hotte à la Presse canadienne. Il conduisait sa voiture sur le viaduc de la Concorde lorsque la route a littéralement commencé à s'effondrer sous ses roues. «Nous sommes tombés avec le pont», a-t-il confié, sa conjointe étant toujours hospitalisée, mais dans un état jugé stable. «Tout était complètement noir.»
Leur véhicule est tombé sur le côté du passager, en plein milieu des débris. Les deux occupants ont réussi à s'en extirper en utilisant une fenêtre, attendant ensuite quelques instants avant qu'une auto-patrouille n'appelle les secours pour eux. «C'était comme des montagnes russes», a dit M. Hotte.
«[Samedi], le temps s'est arrêté à Laval», a indiqué Michelle Courchesne, avant d'offrir, comme les autres membres de son gouvernement, ses condoléances aux familles des victimes et aux blessés. «L'événement tragique survenu [samedi] revêt un caractère exceptionnel», a indiqué ensuite le ministre des Transports, Michel Després, avant de détailler l'ensemble des mesures d'inspection prévues sur les structures s'apparentant au viaduc de la Concorde.
La mine épuisée, M. Després a tenté de concilier le message rassurant à la population sur l'état de ces 4900 autres structures -- dont 4300 ponts -- dont il a la charge, avec la totale incapacité d'expliquer le déroulement malheureux des événements de samedi.
Le tronçon affaissé avait subi une inspection technique en mai 2005, «sans qu'on puisse détecter d'anomalies», a expliqué le ministre. Une demi-heure avant le drame, à la suite d'une information voulant qu'un tronçon de béton se soit détaché de la structure, un patrouilleur du ministère des Transports a effectué sur place «une inspection visuelle et auditive». «L'évaluation qu'il a faite à ce moment-là ne commandait pas la fermeture du pont», a affirmé M. Després, ajoutant plus tard que cet homme était «sûrement aujourd'hui excessivement malheureux».
Le mystère maintes fois évoqué serait lié au caractère somme toute «jeune» du viaduc, construit il y a 36 ans, et normalement conçu pour une durée d'au moins 70 ans. Un viaduc en tous points semblables -- même âge, même conception, même localisation -- a été fermé dès samedi, le temps qu'on le déclare hors de danger (le viaduc De Blois), une vingtaine d'autres, «aux caractéristiques qui s'apparentent», étaient sous haute surveillance. «Au moindre indice d'anomalie, le ministère prendra les moyens et fermera les structures», a lancé le ministre des Transports.
«Qu'est-ce qui est en cause ?», s'est plus d'une fois demandé le ministre. «On ne le sait pas.» Problèmes de conception ? De construction ? D'entretien ? L'enquête publique, que le Syndicat des ingénieurs du gouvernement du Québec souhaite voir étendue à l'entretien de l'ensemble du réseau routier québécois plutôt qu'à ce seul infortuné tronçon, «va examiner si tout le travail a été bien fait», comme l'a précisé le premier ministre Charest en après-midi.
«Lorsqu'il est question de sécurité, ce n'est pas une question de budget. Quand il se présente une situation qui met en péril la sécurité des gens, on n'a jamais hésité à mettre de l'argent», a répondu le chef du gouvernement, pressé de questions sur les choix de son gouvernement en matière d'entretien et de développement du réseau routier. «Ce n'est pas une question de choisir l'un ou de l'autre», a dit Jean Charest, qui a assuré qu'il se sentait en sécurité sur les routes du Québec, et ce, malgré le caractère vieillot de certains tronçons.
De l'aveu même du ministre Michel Després, environ 2000 ponts ont besoin de travaux, les trois quarts d'entre eux ayant l'âge du viaduc tombé samedi. «Nous serons plus agressifs [sic] s'il le faut en termes budgétaires», a promis M. Després. Alors que la routine habituelle d'entretien commande une inspection générale de chaque structure tous les ans et une analyse approfondie tous les trois ans, M. Després a répété que son ministère évaluait «l'état des travaux et l'urgence. Je vais vous dire : on ne prendra pas de chance, à partir d'aujourd'hui, on va revoir l'ensemble de notre plan».
Alors que d'importants problèmes de congestion routière sont appréhendés dès ce matin, les porte-parole du gouvernement ont tous convié la population à délaisser la voiture au profit du transport en commun ou encore de tenter le covoiturage. Ceux qui n'auraient d'autre choix que de conserver leur statut d'automobiliste ont été invités à faire preuve de patience et de courtoisie.
BULLETIN DE CIRCULATION
Des mesures pour faciliter le transport
Presse Canadienne
À 9h, la circulation était revenue à la normale sur l'île de Laval. Plus tôt, l'heure de pointe a été intense, mais la situation est maintenant rétablie. Le stationnement incitatif du cinéma Guzzo a été populaire.
L'effondrement du viaduc du boulevard De La Concorde a un impact bien réel pour des dizaines de milliers d'automobilistes de Laval et des autres villes de la couronne nord de Laval: des bouchons de circulation pires encore que ce à quoi ils sont habitués.
Afin d'atténuer cet impact, des mesures ont été mises en place conjointement par le ministère des Transports, la ville de Laval, la Société de transport de Laval (STL), l'Agence métropolitaine de transport (AMT), la Sûreté du Québec ainsi que la Ville de Montréal.
Ainsi les automobilistes qui avaient l'habitude d'emprunter le pont Papineau sont invités à utiliser les ponts Pie IX (autoroute 25), Viau (route 335) ou encore Médéric-Martin (autoroute 15).
L'accès au pont Papineau n'est permis qu'en direction sud, en provenance du boulevard Lévesque. Cette artère n'a que deux voies. La circulation dans ce secteur s'annonce toutefois difficile, puisque les voies rapides de l'autoroute 19 en direction sud, entre l'autoroute 440 à Laval et le boulevard Lévesque, de même que le viaduc de la rue De Blois sont fermés à toute circulation.
De plus, les voies rapides de l'autoroute 19 en direction nord entre le boulevard Henri-Bourassa et l'autoroute 440 demeurent fermées à la circulation pour le moment.
En ce qui concerne le transport en commun, l'AMT a ajouté un départ supplémentaire pour le train de banlieue vers Montréal à partir de la gare Sainte-Rose à 8h30. Actuellement, cinq départs vers Montréal sont offerts à partir de la station de Blainville.
Il est possible de prendre le train à partir de la gare Saint-Martin, qui bénéficie aussi d'un départ supplémentaire.
La STL a modifié ses circuits d'autobus. Il en est de même pour les autobus en provenance de la région de Lanaudière.
Ainsi la voie réservée pour autobus du boulevard des Laurentides (route 335) est prolongée jusqu'à la rue Gianchetti. Un stationnement incitatif de 400 places est mis en place dans le stationnement du cinéma Guzzo et un service de navettes d'autobus de la STL est offert gratuitement à partir de cet endroit. Les navettes empruntent la voie réservée pour se rendre directement à la station de métro Henri-Bourassa à Montréal. Ce service est offert en périodes de pointe, soit de 6h00 à 10h00 et de 15h00 à 19h00.
On peut obtenir des précisions sur les mesures en appelant au 1-888-355-0511 (#0511 pour les utilisateurs de téléphones cellulaires).
Il est également possible de consulter le site de la STL (www.stl.laval.qc.ca) ou celui de l'AMT (www.amt.qc.ca).
Transports Québec invite pour sa part les usagers de la route à collaborer en s'adonnant au covoiturage ou en utilisant les services de transport en commun.
Des mesures pour faciliter le transport
Presse Canadienne
À 9h, la circulation était revenue à la normale sur l'île de Laval. Plus tôt, l'heure de pointe a été intense, mais la situation est maintenant rétablie. Le stationnement incitatif du cinéma Guzzo a été populaire.
L'effondrement du viaduc du boulevard De La Concorde a un impact bien réel pour des dizaines de milliers d'automobilistes de Laval et des autres villes de la couronne nord de Laval: des bouchons de circulation pires encore que ce à quoi ils sont habitués.
Afin d'atténuer cet impact, des mesures ont été mises en place conjointement par le ministère des Transports, la ville de Laval, la Société de transport de Laval (STL), l'Agence métropolitaine de transport (AMT), la Sûreté du Québec ainsi que la Ville de Montréal.
Ainsi les automobilistes qui avaient l'habitude d'emprunter le pont Papineau sont invités à utiliser les ponts Pie IX (autoroute 25), Viau (route 335) ou encore Médéric-Martin (autoroute 15).
L'accès au pont Papineau n'est permis qu'en direction sud, en provenance du boulevard Lévesque. Cette artère n'a que deux voies. La circulation dans ce secteur s'annonce toutefois difficile, puisque les voies rapides de l'autoroute 19 en direction sud, entre l'autoroute 440 à Laval et le boulevard Lévesque, de même que le viaduc de la rue De Blois sont fermés à toute circulation.
De plus, les voies rapides de l'autoroute 19 en direction nord entre le boulevard Henri-Bourassa et l'autoroute 440 demeurent fermées à la circulation pour le moment.
En ce qui concerne le transport en commun, l'AMT a ajouté un départ supplémentaire pour le train de banlieue vers Montréal à partir de la gare Sainte-Rose à 8h30. Actuellement, cinq départs vers Montréal sont offerts à partir de la station de Blainville.
Il est possible de prendre le train à partir de la gare Saint-Martin, qui bénéficie aussi d'un départ supplémentaire.
La STL a modifié ses circuits d'autobus. Il en est de même pour les autobus en provenance de la région de Lanaudière.
Ainsi la voie réservée pour autobus du boulevard des Laurentides (route 335) est prolongée jusqu'à la rue Gianchetti. Un stationnement incitatif de 400 places est mis en place dans le stationnement du cinéma Guzzo et un service de navettes d'autobus de la STL est offert gratuitement à partir de cet endroit. Les navettes empruntent la voie réservée pour se rendre directement à la station de métro Henri-Bourassa à Montréal. Ce service est offert en périodes de pointe, soit de 6h00 à 10h00 et de 15h00 à 19h00.
On peut obtenir des précisions sur les mesures en appelant au 1-888-355-0511 (#0511 pour les utilisateurs de téléphones cellulaires).
Il est également possible de consulter le site de la STL (www.stl.laval.qc.ca) ou celui de l'AMT (www.amt.qc.ca).
Transports Québec invite pour sa part les usagers de la route à collaborer en s'adonnant au covoiturage ou en utilisant les services de transport en commun.
meme un auditeur a telephoner a arcand ce matin un camoneur disant meme quer le viaduc qui mene a lhotel des gouverneur de laval au dessus de la 15 (si je me trompe pas) yé menacant il manque des boute
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
un article de Yves Boisvert dans la Presse.....J'ai mis simplement le bout du viaduc, mais le reste est aussi interessant.....
Car tandis qu'on compare la chaussée des autres pays à celle du Québec, on omet systématiquement un léger détail. Le coût d'utilisation. Parcourez 300 kilomètres sur les autoroutes de France, il vous en coûtera à peu près 40. Aux États-Unis, les autoroutes sont aussi loin d'être gratuites.
Au Québec? Ici, bien sûr, tout doit être gratuit. Nous avons un droit fondamental et inaliénable à habiter à 30km du bureau sans payer pour l'entretien des routes, des ponts et des viaducs. Mais non, je sais, ce n'est pas gratuit. J'entendais hier un citoyen en colère se scandaliser du fait qu'il paie une taxe sur le carburant et que, malgré cette taxe, les incompétents de fonctionnaires ne réparent pas les viaducs. En vérité, nos ingénieurs et nos inspecteurs nous en donnent à peu près pour notre argent.
C'est qu'au Québec, au principe de l'utilisateur-payeur, on préfère celui de l'utilisateur-jouisseur.
Car tandis qu'on compare la chaussée des autres pays à celle du Québec, on omet systématiquement un léger détail. Le coût d'utilisation. Parcourez 300 kilomètres sur les autoroutes de France, il vous en coûtera à peu près 40. Aux États-Unis, les autoroutes sont aussi loin d'être gratuites.
Au Québec? Ici, bien sûr, tout doit être gratuit. Nous avons un droit fondamental et inaliénable à habiter à 30km du bureau sans payer pour l'entretien des routes, des ponts et des viaducs. Mais non, je sais, ce n'est pas gratuit. J'entendais hier un citoyen en colère se scandaliser du fait qu'il paie une taxe sur le carburant et que, malgré cette taxe, les incompétents de fonctionnaires ne réparent pas les viaducs. En vérité, nos ingénieurs et nos inspecteurs nous en donnent à peu près pour notre argent.
C'est qu'au Québec, au principe de l'utilisateur-payeur, on préfère celui de l'utilisateur-jouisseur.
avis aux forumeurs pkoi pas mettre ici ici ou dans un autre topic les photos de vos ponts ou viaducs de votre vilel ouvregions si vous en avez bien sur
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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Spirullette
- Immortel du Domaine
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- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
Un truc qui m'enrage, quelques heures après ce drame on présentait un plan de transport alternatif. En quelques heures! Pas capable de faire des plans de transport alternatif à l'année. Exiger le covoiturage, améliorer le transport en commun, faire des parking incitatif. Maiiiiis non, on préfère aller au bureau à Montréal avec son char. D'ailleurs il y avait pleins de tapons tout seul dans leur char à matin. J'estime qu'on devrait régulièrement fermer des tronçons d'autoroute aux chars pour faire des réparations et inspections plus efficaces. Ainsi les gens apprendraient qu'on peut aller travailler autrement que tout seul dans son char.
En quelques heures un plan de transport, imaginons maintenant ce qu'ils pourraient faire avec une année s'il y avait une volonté politique...
En quelques heures un plan de transport, imaginons maintenant ce qu'ils pourraient faire avec une année s'il y avait une volonté politique...
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marie lilly
- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : jeu. mai 26, 2005 12:00 am
Viaduc de la Concorde
L'identité des deux autres victimes est dévoilée
On connaît maintenant l'identité des 2 dernières victimes mortes écrasées sous le viaduc de la Concorde, à Laval.
Il s'agit de Véronique Binette et de Mathieu Goyette, tous deux âgés de 28 ans, de Laval.
Dimanche, les autorités avaient déjà dévoilé l'identité des trois autres personnes qui ont perdu la vie dans l'effondrement, toutes membres d'une même famille.
Il s'agit de Jean-Pierre Hamel, 40 ans, de son épouse Sylvie Beaudet et de son frère Gilles Hamel, tous 2 âgés de 44 ans.
Tous résidaient à Laval.
source: LCN
L'identité des deux autres victimes est dévoilée
On connaît maintenant l'identité des 2 dernières victimes mortes écrasées sous le viaduc de la Concorde, à Laval.
Il s'agit de Véronique Binette et de Mathieu Goyette, tous deux âgés de 28 ans, de Laval.
Dimanche, les autorités avaient déjà dévoilé l'identité des trois autres personnes qui ont perdu la vie dans l'effondrement, toutes membres d'une même famille.
Il s'agit de Jean-Pierre Hamel, 40 ans, de son épouse Sylvie Beaudet et de son frère Gilles Hamel, tous 2 âgés de 44 ans.
Tous résidaient à Laval.
source: LCN
[url=http://lilypie.com][img]http://lilypie.com/pic/090307/N3LF.jpg[/img][img]http://b3.lilypie.com/BWcSm5/.png[/img][/url]
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DE LA CONCORDE
L’identité des deux dernières victimes du viaduc révélée
Plus de 48 heures après les événements, les corps policiers ont pu confirmer l’identité du couple qui a péri dans sa voiture, écrasé par des poutres de béton, lors de l’effondrement du viaduc de la Concorde, samedi. Il s’agit de Mathieu Goyette et de sa conjointe Véronique Binette, tous deux âgés de 28 ans.
Les deux victimes, qui résidaient à Sainte-Dorothée, avaient quitté leur domicile samedi matin pour aller faire des courses. Leurs voisins disent qu’ils formaient un couple tranquille, «fin comme de la soie», sans problème, et qui avait plein de projets. Rappelons que Sylvie Beaudet et Jean-Pierre Hamel ont aussi péri dans l'accident. Tandis qu'ils se rendaient en voiture à Montréal visiter la mère malade de M. Hamel, une partie du viaduc Concorde s'est écroulée sur eux. Un jeu du hasard tragique qui a, du même coup, emporté dans la mort Gilles Hamel, le frère aîné de Jean-Pierre Hamel, passager à l'arrière du véhicule.
http://www.cyberpresse.ca/article/20061 ... ACTUALITES
L’identité des deux dernières victimes du viaduc révélée
Plus de 48 heures après les événements, les corps policiers ont pu confirmer l’identité du couple qui a péri dans sa voiture, écrasé par des poutres de béton, lors de l’effondrement du viaduc de la Concorde, samedi. Il s’agit de Mathieu Goyette et de sa conjointe Véronique Binette, tous deux âgés de 28 ans.
Les deux victimes, qui résidaient à Sainte-Dorothée, avaient quitté leur domicile samedi matin pour aller faire des courses. Leurs voisins disent qu’ils formaient un couple tranquille, «fin comme de la soie», sans problème, et qui avait plein de projets. Rappelons que Sylvie Beaudet et Jean-Pierre Hamel ont aussi péri dans l'accident. Tandis qu'ils se rendaient en voiture à Montréal visiter la mère malade de M. Hamel, une partie du viaduc Concorde s'est écroulée sur eux. Un jeu du hasard tragique qui a, du même coup, emporté dans la mort Gilles Hamel, le frère aîné de Jean-Pierre Hamel, passager à l'arrière du véhicule.
http://www.cyberpresse.ca/article/20061 ... ACTUALITES
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RedShadow2
- Caïd de la Causette
- Messages : 509
- Inscription : lun. juil. 12, 2004 12:00 am
Bon ben j'fais mon mea culpa...
J'ai pris pour acquis que l'employé du Ministere des Transports avait pas fait sa job samedi lors de sa pseudo-inspection du viaduc, mais il semblerait que l'erreur vienne pas de lui...
Claude Poirier l'a rencontré, ou du moins lui a parlé aujourd'hui, et l'employé a précisé avoir fait son rapport en mentionnant a ses supérieurs que le viaduc nécessitait une attention immédiate, et on lui aurait répondu que les responsables s'en occuperaient lundi...
J'ai pas trouvé d'article pour confirmer ca, mais j'en ai encore entendu parler aux nouvelles tantot... --Message edité par liz le 2006-10-02 19:08:04--
J'ai pris pour acquis que l'employé du Ministere des Transports avait pas fait sa job samedi lors de sa pseudo-inspection du viaduc, mais il semblerait que l'erreur vienne pas de lui...
Claude Poirier l'a rencontré, ou du moins lui a parlé aujourd'hui, et l'employé a précisé avoir fait son rapport en mentionnant a ses supérieurs que le viaduc nécessitait une attention immédiate, et on lui aurait répondu que les responsables s'en occuperaient lundi...
J'ai pas trouvé d'article pour confirmer ca, mais j'en ai encore entendu parler aux nouvelles tantot... --Message edité par liz le 2006-10-02 19:08:04--
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
Au moin , le gars peut dormir tranquille...
En plus ce n'est pas un spécialiste....il aurait pu se tromper...
ouff , il aurait pu dire que c'est pas si pire ( n'ayant pas les connaissances )il s'en serait voulu en titi, bien que ça ne serait aucunement de sa faute...
En plus ce n'est pas un spécialiste....il aurait pu se tromper...
ouff , il aurait pu dire que c'est pas si pire ( n'ayant pas les connaissances )il s'en serait voulu en titi, bien que ça ne serait aucunement de sa faute...
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
lucide a écritun article de Yves Boisvert dans la Presse.....J'ai mis simplement le bout du viaduc, mais le reste est aussi interessant.....
Car tandis qu'on compare la chaussée des autres pays à celle du Québec, on omet systématiquement un léger détail. Le coût d'utilisation. Parcourez 300 kilomètres sur les autoroutes de France, il vous en coûtera à peu près 40. Aux États-Unis, les autoroutes sont aussi loin d'être gratuites.
Au Québec? Ici, bien sûr, tout doit être gratuit. Nous avons un droit fondamental et inaliénable à habiter à 30km du bureau sans payer pour l'entretien des routes, des ponts et des viaducs. Mais non, je sais, ce n'est pas gratuit. J'entendais hier un citoyen en colère se scandaliser du fait qu'il paie une taxe sur le carburant et que, malgré cette taxe, les incompétents de fonctionnaires ne réparent pas les viaducs. En vérité, nos ingénieurs et nos inspecteurs nous en donnent à peu près pour notre argent.
C'est qu'au Québec, au principe de l'utilisateur-payeur, on préfère celui de l'utilisateur-jouisseur.
J'ai lu son article au complet et je ne partage pas son avis. Je ne sais pas si en France ou aux USA le fardeau fiscal des contribuables est moins élevé, équivalent ou plus élevé qu'au Québec. On nous qualifie toujours des citoyens les plus taxés en Amérique du Nord alors il faut croire que quelque part nous payons notre cote part... La question que je poserais est la suivante : « Sommes-nous bien administrés? » Je crois que le problème se situe à ce niveau. Dans le budget global quel est l'ordre de grandeur affectée aux infras-structures?
Car tandis qu'on compare la chaussée des autres pays à celle du Québec, on omet systématiquement un léger détail. Le coût d'utilisation. Parcourez 300 kilomètres sur les autoroutes de France, il vous en coûtera à peu près 40. Aux États-Unis, les autoroutes sont aussi loin d'être gratuites.
Au Québec? Ici, bien sûr, tout doit être gratuit. Nous avons un droit fondamental et inaliénable à habiter à 30km du bureau sans payer pour l'entretien des routes, des ponts et des viaducs. Mais non, je sais, ce n'est pas gratuit. J'entendais hier un citoyen en colère se scandaliser du fait qu'il paie une taxe sur le carburant et que, malgré cette taxe, les incompétents de fonctionnaires ne réparent pas les viaducs. En vérité, nos ingénieurs et nos inspecteurs nous en donnent à peu près pour notre argent.
C'est qu'au Québec, au principe de l'utilisateur-payeur, on préfère celui de l'utilisateur-jouisseur.
J'ai lu son article au complet et je ne partage pas son avis. Je ne sais pas si en France ou aux USA le fardeau fiscal des contribuables est moins élevé, équivalent ou plus élevé qu'au Québec. On nous qualifie toujours des citoyens les plus taxés en Amérique du Nord alors il faut croire que quelque part nous payons notre cote part... La question que je poserais est la suivante : « Sommes-nous bien administrés? » Je crois que le problème se situe à ce niveau. Dans le budget global quel est l'ordre de grandeur affectée aux infras-structures?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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Niko Bellic
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http://www2.canoe.com/infos/quebeccanad ... 25450.html
J'avoue que aujourd'hui en me rendant au travail,j'y ai pensé a chaque viaduc.
J'avoue que aujourd'hui en me rendant au travail,j'y ai pensé a chaque viaduc.
tout un numero le maire de laval
Discret sur sa carrière, M. Dupaul a travaillé sur d'innombrables ouvrages durant toute sa carrière. Il est notamment celui qui a conçu et supervisé la construction de sept ponts majeurs de la route de la Baie James, sur 450 kilomètres en 450 jours.
Professionnel reconnu, M. Dupaul a même fait fermer le viaduc de l'île Paton, à Laval, après être passé en dessous en bateau de plaisance.
«J'avais remarqué des fissures dans le béton et des barres de tension à l'air libre. Le maire (Gilles) Vaillancourt n'était pas content (il habite tout près) mais c'était dangereux. On a refait les appuis.»
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Beppo a écrit
J'ai lu son article au complet et je ne partage pas son avis. Je ne sais pas si en France ou aux USA le fardeau fiscal des contribuables est moins élevé, équivalent ou plus élevé qu'au Québec. On nous qualifie toujours des citoyens les plus taxés en Amérique du Nord alors il faut croire que quelque part nous payons notre cote part... La question que je poserais est la suivante : « Sommes-nous bien administrés? » Je crois que le problème se situe à ce niveau. Dans le budget global quel est l'ordre de grandeur affectée aux infras-structures?
Nous sommes en effet tres taxés je suis d'accord.... mais nous recevons aussi beaucoup de services qui coutent plus que ce que nous payons... education, santé, médicaments, prime de déces, prime de naissance, garderies, csst, chomage, bien être social, prime de logement pour les démunis, maison de retraite, soins palliatifs retour de TPS, retour de TVQ etc...
Je suis aussi d'accord pour une administration plus transparente où on verrait les couts réels de tous les conditions sociales que nous nous payons et leurs redistributions.
on pourait alors faire un choix plus éclairé de nos priorités. --Message edité par lucide le 2006-10-03 07:04:15--
J'ai lu son article au complet et je ne partage pas son avis. Je ne sais pas si en France ou aux USA le fardeau fiscal des contribuables est moins élevé, équivalent ou plus élevé qu'au Québec. On nous qualifie toujours des citoyens les plus taxés en Amérique du Nord alors il faut croire que quelque part nous payons notre cote part... La question que je poserais est la suivante : « Sommes-nous bien administrés? » Je crois que le problème se situe à ce niveau. Dans le budget global quel est l'ordre de grandeur affectée aux infras-structures?
Nous sommes en effet tres taxés je suis d'accord.... mais nous recevons aussi beaucoup de services qui coutent plus que ce que nous payons... education, santé, médicaments, prime de déces, prime de naissance, garderies, csst, chomage, bien être social, prime de logement pour les démunis, maison de retraite, soins palliatifs retour de TPS, retour de TVQ etc...
Je suis aussi d'accord pour une administration plus transparente où on verrait les couts réels de tous les conditions sociales que nous nous payons et leurs redistributions.
on pourait alors faire un choix plus éclairé de nos priorités. --Message edité par lucide le 2006-10-03 07:04:15--