Red Ketchup a écrit
Ça démontre donc que ses successeurs sont encore plus incompétents.
Et d'après toi, faudrait-il ramener Pauline vu que ses preuves sont faites??
C'est vrai, on dit que les québecois ont la mémoire courte.
On devrait plutôt dire que beaucoup de québecois n'ont plus de mémoire du tout.
Avez-vous peur de Pauline
-
Red Ketchup
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Jumbo a écrit
Et d'après toi, faudrait-il ramener Pauline vu que ses preuves sont faites??
C'est vrai, on dit que les québecois ont la mémoire courte.
On devrait plutôt dire que beaucoup de québecois n'ont plus de mémoire du tout.
C'était sarcastique. Ça veut dire qu'aucun ministre de l'éducation n'est venu à bout des hauts fonctionnaires. Dumont se planterais royalement et Charrest aussi.
Ces deux derniers ont bien sûr l'avantage de ne jamais avoir eu de ministères où tous se pêtent la gueule mais ça ne veut absolument pas dire qu'ils sont plus compétents pour autant.
Il faut avoir du courage pour devenir chef après avoir été soit à l'éducation, soit à la santé ou les deux. Ce sont des postes où, la plupart du temps, tu perds ton nom ou au minimum, tu te fais varloper en masse.
Regarde qui est en santé dans le PLQ. Le principal rival de Charrest. Ben coudonc.
Et d'après toi, faudrait-il ramener Pauline vu que ses preuves sont faites??
C'est vrai, on dit que les québecois ont la mémoire courte.
On devrait plutôt dire que beaucoup de québecois n'ont plus de mémoire du tout.
C'était sarcastique. Ça veut dire qu'aucun ministre de l'éducation n'est venu à bout des hauts fonctionnaires. Dumont se planterais royalement et Charrest aussi.
Ces deux derniers ont bien sûr l'avantage de ne jamais avoir eu de ministères où tous se pêtent la gueule mais ça ne veut absolument pas dire qu'ils sont plus compétents pour autant.
Il faut avoir du courage pour devenir chef après avoir été soit à l'éducation, soit à la santé ou les deux. Ce sont des postes où, la plupart du temps, tu perds ton nom ou au minimum, tu te fais varloper en masse.
Regarde qui est en santé dans le PLQ. Le principal rival de Charrest. Ben coudonc.
Red Ketchup a écrit
C'était sarcastique. Ça veut dire qu'aucun ministre de l'éducation n'est venu à bout des hauts fonctionnaires. Dumont se planterais royalement et Charrest aussi.
Ces deux derniers ont bien sûr l'avantage de ne jamais avoir eu de ministères où tous se pêtent la gueule mais ça ne veut absolument pas dire qu'ils sont plus compétents pour autant.
Il faut avoir du courage pour devenir chef après avoir été soit à l'éducation, soit à la santé ou les deux. Ce sont des postes où, la plupart du temps, tu perds ton nom ou au minimum, tu te fais varloper en masse.
Regarde qui est en santé dans le PLQ. Le principal rival de Charrest. Ben coudonc.
Donc on devrait abolir le poste de ministre de l'éducation et pourquoi pas celui de ministre de la santé.
C'était sarcastique. Ça veut dire qu'aucun ministre de l'éducation n'est venu à bout des hauts fonctionnaires. Dumont se planterais royalement et Charrest aussi.
Ces deux derniers ont bien sûr l'avantage de ne jamais avoir eu de ministères où tous se pêtent la gueule mais ça ne veut absolument pas dire qu'ils sont plus compétents pour autant.
Il faut avoir du courage pour devenir chef après avoir été soit à l'éducation, soit à la santé ou les deux. Ce sont des postes où, la plupart du temps, tu perds ton nom ou au minimum, tu te fais varloper en masse.
Regarde qui est en santé dans le PLQ. Le principal rival de Charrest. Ben coudonc.
Donc on devrait abolir le poste de ministre de l'éducation et pourquoi pas celui de ministre de la santé.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Red Ketchup a écrit
Ça commence à faire pas mal radotage.
Et pour ce qui est des textes, c'est de la démagogie pure et dure. Ça doit être les mêmes qui parlent du complot du 11 septembre.
définition de radotage http://fr.wiktionary.org/wiki/radoter : Tenir des propos décousus qui prouvent un affaiblissement de l’esprit. voir le texte en vert plus haut pour un exemple.
c'est pas toi qui demandait des vrais débats sur les actions des politiciens et de leur parti?
--Message edité par Ganesha le 2008-04-02 21:14:48--
Ça commence à faire pas mal radotage.
Et pour ce qui est des textes, c'est de la démagogie pure et dure. Ça doit être les mêmes qui parlent du complot du 11 septembre.
définition de radotage http://fr.wiktionary.org/wiki/radoter : Tenir des propos décousus qui prouvent un affaiblissement de l’esprit. voir le texte en vert plus haut pour un exemple.
c'est pas toi qui demandait des vrais débats sur les actions des politiciens et de leur parti?
--Message edité par Ganesha le 2008-04-02 21:14:48--
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Red Ketchup
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Ganesha a écrit
définition de radotage http://fr.wiktionary.org/wiki/radoter : Tenir des propos décousus qui prouvent un affaiblissement de l’esprit. voir le texte en vert plus haut pour un exemple.
c'est pas toi qui demandait des vrais débats sur les actions des politiciens et de leur parti?
Dans mon dictionnaire à moi, parler ad nauséum de toilettes tiens du radotage et l'on devrait flusher ces propos.
définition de radotage http://fr.wiktionary.org/wiki/radoter : Tenir des propos décousus qui prouvent un affaiblissement de l’esprit. voir le texte en vert plus haut pour un exemple.
c'est pas toi qui demandait des vrais débats sur les actions des politiciens et de leur parti?
Dans mon dictionnaire à moi, parler ad nauséum de toilettes tiens du radotage et l'on devrait flusher ces propos.
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Red Ketchup
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Red Ketchup a écrit
Dans mon dictionnaire à moi, parler ad nauséum de toilettes tiens du radotage et l'on devrait flusher ces propos.
Ben là, je pense que les gens ont le droit d'écrire ce qu'ils pensent sans se faire donner ce genre de réplique...
Merci de bien garder le débat au niveau politique...
Dans mon dictionnaire à moi, parler ad nauséum de toilettes tiens du radotage et l'on devrait flusher ces propos.
Ben là, je pense que les gens ont le droit d'écrire ce qu'ils pensent sans se faire donner ce genre de réplique...
Merci de bien garder le débat au niveau politique...
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Red Ketchup
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Nikki. a écrit
Ben là, je pense que les gens ont le droit d'écrire ce qu'ils pensent sans se faire donner ce genre de réplique...
Merci de bien garder le débat au niveau politique...
Toilette, ad nauséum, flushé. J'pensais que le jeux de mot était bon.....entécas. --Message edité par Red Ketchup le 2008-04-04 02:32:01--
Ben là, je pense que les gens ont le droit d'écrire ce qu'ils pensent sans se faire donner ce genre de réplique...
Merci de bien garder le débat au niveau politique...
Toilette, ad nauséum, flushé. J'pensais que le jeux de mot était bon.....entécas. --Message edité par Red Ketchup le 2008-04-04 02:32:01--
Si cette discussion s'éteint ici, je tiens à remercier tous les enseignants qui ont participés et qui m'ont grandement aidé à mieux comprendre la réforme déjà en place et immuable.
Merci Lucide, Beppo et autres profs ici xxx --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-04-04 02:18:07--
Merci Lucide, Beppo et autres profs ici xxx --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-04-04 02:18:07--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Le vendredi 04 avril 2008
Trop d'intégration «sauvage» dans les classes
La Fédération des syndicats d'enseignants entend exiger une limite au nombre d'élèves handicapés ou en difficulté par classe. «Il s’agit d’établir le seuil à partir duquel la classe ordinaire ne peut plus recevoir ces élèves sans compromettre la qualité de l’enseignement, autant pour eux que pour le reste de la classe», explique la présidente Johanne Fortier.
Photo Alain Roberge, La Presse
Isabelle Hachey
La Presse
On intègre de plus en plus d'enfants handicapés ou en difficulté dans les classes régulières. Mais les ressources ne suivent pas. Et les profs sont à bout de souffle. Ils se plaignent de passer plus de temps à gérer leur classe qu'à enseigner. Pour arriver à transmettre toute la matière, plusieurs doivent escamoter le programme. Désemparés, d'autres finissent par quitter la profession. Pour les syndicats, ça ne peut plus durer.
La Fédération des syndicats de l'enseignement réclame l'adoption d'une série de balises pour mettre fin à ce qu'elle considère être l'intégration «sauvage» des enfants handicapés ou en difficulté en classe régulière. Une intégration de plus en plus massive, qui épuise les profs et met en péril les apprentissages, tant des élèves intégrés que des autres.
«Ça ne peut plus durer comme ça!», tranche la présidente de la FSE, Johanne Fortier.
Réunis en conseil fédéral cette semaine, les représentants de 60 000 enseignants du Québec se sont penchés sur les recommandations contenues dans un volumineux rapport d'enquête, produit par la FSE, sur l'impact de l'intégration dans les classes primaires et secondaires. Les détails de leurs délibérations seront rendus publics aujourd'hui.
On sait déjà que la FSE entend exiger une limite au nombre d'élèves handicapés ou en difficulté par classe. «Il s'agit d'établir le seuil à partir duquel la classe ordinaire ne peut plus recevoir ces élèves sans compromettre la qualité de l'enseignement, autant pour eux que pour le reste de la classe», expliquait dernièrement Mme Fortier en entrevue à La Presse.
«Au sein de la société, il y a 10 à 12% de personnes en difficulté. Dans la classe, on devrait avoir la même norme, estime la présidente de la FSE. Ça veut dire qu'il ne devrait pas y avoir beaucoup plus de trois enfants en difficulté par classe.» Un taux déjà largement dépassé, poursuit-elle. «Dans une classe, il y a souvent sept ou huit enfants ayant des troubles de différents ordres.»
Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, le nombre d'élèves handicapés ou en difficulté d'apprentissage ou d'adaptation (EHDAA) intégrés en classe ordinaire a augmenté de 37% en cinq ans, passant de 67 982 en 2001-2002 à 93 293 en 2006-2007.
La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, n'a pas voulu commenter hier la requête de la FSE, ni révéler si de telles balises feront partie de son plan d'action pour l'amélioration de la réussite scolaire des EHDAA. Le plan d'action sera dévoilé ce printemps.
La proposition de la FSE risque de soulever la controverse. La majorité des parents tiennent à tout prix à l'intégration de leurs enfants handicapés ou en difficulté en classe ordinaire. Il s'agit d'ailleurs d'un droit inscrit dans la Loi sur l'instruction publique, qui stipule cependant que l'intégration ne doit pas constituer «une contrainte excessive» ou porter atteinte aux droits des autres élèves.
Témoignages troublants
Au cours des dernières semaines, La Presse a recueilli les témoignages d'une quinzaine d'enseignants, de Montréal au Lac-Saint-Jean. Le portrait n'est pas réjouissant. Ils nous ont confié leurs angoisses, leurs frustrations et leur sentiment d'impuissance face à l'intégration massive d'EHDAÀ dans leur classe. Leurs récits seront publiés demain.
«Les profs se sentent coincés, dit Mme Fortier. Beaucoup nous disent qu'ils sont rendus à faire plus de discipline que d'enseignement.» Certains n'arrivent même plus à passer toute la matière. Une enseignante de quatrième année a confié avec découragement qu'à la fin de l'année scolaire, elle n'aura réussi à enseigner que la moitié du programme.
Ce n'est pas un cas isolé. Selon un sondage réalisé par la FSE auprès de ses membres, les trois quarts des enseignants se disent dépourvus et considèrent que l'intégration va désormais trop loin.
La vague de projets sélectifs qui déferle sur l'école publique, ajoutée à l'exode des élèves vers les écoles privées, ont dépouillé les classes régulières de leurs élèves les plus doués. Un véritable «écrémage», selon Égide Royer, spécialiste de l'adaptation scolaire à l'Université Laval. «Une fois que le privé, que les écoles internationales et que les programmes comme art-études et sport-études ont fait le plein, elle ressemble à quoi la classe ordinaire? Elle est moyenne, faible.»
C'est dans ces classes déjà affaiblies qu'échouent les EHDAA, accentuant d'autant la pression sur les profs. «L'intégration est allée beaucoup trop loin», dénonce Nathalie Morel, présidente de l'Alliance des professeurs de Montréal. «Les enseignants n'en peuvent plus, ils ne savent plus où donner de la tête. Plusieurs prennent des congés de maladie ou quittent la profession tellement la lourdeur de la tâche est rendue incroyable. C'est assez. On est en train d'épuiser tout le monde.»
Texte tiré de Cyberpresse ...
Pour moi, humble maman observatrice , le problème de l'éducation se situe beaucoup plus à ce niveau.
Et moi aussi, j'ai beaucoup appris sur la réforme ici. Merci !
Trop d'intégration «sauvage» dans les classes
La Fédération des syndicats d'enseignants entend exiger une limite au nombre d'élèves handicapés ou en difficulté par classe. «Il s’agit d’établir le seuil à partir duquel la classe ordinaire ne peut plus recevoir ces élèves sans compromettre la qualité de l’enseignement, autant pour eux que pour le reste de la classe», explique la présidente Johanne Fortier.
Photo Alain Roberge, La Presse
Isabelle Hachey
La Presse
On intègre de plus en plus d'enfants handicapés ou en difficulté dans les classes régulières. Mais les ressources ne suivent pas. Et les profs sont à bout de souffle. Ils se plaignent de passer plus de temps à gérer leur classe qu'à enseigner. Pour arriver à transmettre toute la matière, plusieurs doivent escamoter le programme. Désemparés, d'autres finissent par quitter la profession. Pour les syndicats, ça ne peut plus durer.
La Fédération des syndicats de l'enseignement réclame l'adoption d'une série de balises pour mettre fin à ce qu'elle considère être l'intégration «sauvage» des enfants handicapés ou en difficulté en classe régulière. Une intégration de plus en plus massive, qui épuise les profs et met en péril les apprentissages, tant des élèves intégrés que des autres.
«Ça ne peut plus durer comme ça!», tranche la présidente de la FSE, Johanne Fortier.
Réunis en conseil fédéral cette semaine, les représentants de 60 000 enseignants du Québec se sont penchés sur les recommandations contenues dans un volumineux rapport d'enquête, produit par la FSE, sur l'impact de l'intégration dans les classes primaires et secondaires. Les détails de leurs délibérations seront rendus publics aujourd'hui.
On sait déjà que la FSE entend exiger une limite au nombre d'élèves handicapés ou en difficulté par classe. «Il s'agit d'établir le seuil à partir duquel la classe ordinaire ne peut plus recevoir ces élèves sans compromettre la qualité de l'enseignement, autant pour eux que pour le reste de la classe», expliquait dernièrement Mme Fortier en entrevue à La Presse.
«Au sein de la société, il y a 10 à 12% de personnes en difficulté. Dans la classe, on devrait avoir la même norme, estime la présidente de la FSE. Ça veut dire qu'il ne devrait pas y avoir beaucoup plus de trois enfants en difficulté par classe.» Un taux déjà largement dépassé, poursuit-elle. «Dans une classe, il y a souvent sept ou huit enfants ayant des troubles de différents ordres.»
Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, le nombre d'élèves handicapés ou en difficulté d'apprentissage ou d'adaptation (EHDAA) intégrés en classe ordinaire a augmenté de 37% en cinq ans, passant de 67 982 en 2001-2002 à 93 293 en 2006-2007.
La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, n'a pas voulu commenter hier la requête de la FSE, ni révéler si de telles balises feront partie de son plan d'action pour l'amélioration de la réussite scolaire des EHDAA. Le plan d'action sera dévoilé ce printemps.
La proposition de la FSE risque de soulever la controverse. La majorité des parents tiennent à tout prix à l'intégration de leurs enfants handicapés ou en difficulté en classe ordinaire. Il s'agit d'ailleurs d'un droit inscrit dans la Loi sur l'instruction publique, qui stipule cependant que l'intégration ne doit pas constituer «une contrainte excessive» ou porter atteinte aux droits des autres élèves.
Témoignages troublants
Au cours des dernières semaines, La Presse a recueilli les témoignages d'une quinzaine d'enseignants, de Montréal au Lac-Saint-Jean. Le portrait n'est pas réjouissant. Ils nous ont confié leurs angoisses, leurs frustrations et leur sentiment d'impuissance face à l'intégration massive d'EHDAÀ dans leur classe. Leurs récits seront publiés demain.
«Les profs se sentent coincés, dit Mme Fortier. Beaucoup nous disent qu'ils sont rendus à faire plus de discipline que d'enseignement.» Certains n'arrivent même plus à passer toute la matière. Une enseignante de quatrième année a confié avec découragement qu'à la fin de l'année scolaire, elle n'aura réussi à enseigner que la moitié du programme.
Ce n'est pas un cas isolé. Selon un sondage réalisé par la FSE auprès de ses membres, les trois quarts des enseignants se disent dépourvus et considèrent que l'intégration va désormais trop loin.
La vague de projets sélectifs qui déferle sur l'école publique, ajoutée à l'exode des élèves vers les écoles privées, ont dépouillé les classes régulières de leurs élèves les plus doués. Un véritable «écrémage», selon Égide Royer, spécialiste de l'adaptation scolaire à l'Université Laval. «Une fois que le privé, que les écoles internationales et que les programmes comme art-études et sport-études ont fait le plein, elle ressemble à quoi la classe ordinaire? Elle est moyenne, faible.»
C'est dans ces classes déjà affaiblies qu'échouent les EHDAA, accentuant d'autant la pression sur les profs. «L'intégration est allée beaucoup trop loin», dénonce Nathalie Morel, présidente de l'Alliance des professeurs de Montréal. «Les enseignants n'en peuvent plus, ils ne savent plus où donner de la tête. Plusieurs prennent des congés de maladie ou quittent la profession tellement la lourdeur de la tâche est rendue incroyable. C'est assez. On est en train d'épuiser tout le monde.»
Texte tiré de Cyberpresse ...
Pour moi, humble maman observatrice , le problème de l'éducation se situe beaucoup plus à ce niveau.
Et moi aussi, j'ai beaucoup appris sur la réforme ici. Merci !
Un député se rétracte après avoir souhaité le retour de Vincent Lacroix
Rémi Nadeau
La Presse Canadienne
Québec
Un député du Parti québécois qui avait dit vendredi souhaiter le retour en affaires de Vincent Lacroix a retiré ses propos en soirée.
Le porte-parole péquiste en matière d'institutions financières, Irvin Pelletier, a causé une surprise devant la commission des finances publiques, vendredi, en soutenant que l'ex-pdg de Norbourg pourrait très bien recommencer à gérer les économies d'investisseurs après en avoir terminé avec la justice.
«Tout ça étant terminé, j'espère que M. Lacroix redeviendra un bon citoyen, parce que je pense qu'il serait plus utile à notre société dans les affaires», a commencé le député de Rimouski, qui a convenu, en riant, «qu'il va avoir une bonne côte à remonter».
«Mais il serait plus utile là qu'à croupir dans une prison aux frais de l'Etat», a-t-il ajouté.
M. Pelletier a aussi formulé un étonnant souhait à l'endroit des citoyens qui ont tout perdu en raison du comportement frauduleux de Lacroix.
«J'espère que les victimes, les gens qui ont été floués dans cette affaire-là, pourront à un moment donné (...), je ne dirais pas oublier, mais pardonner.»
La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, avait pourtant lancé un appel à la prudence au député péquiste quelques secondes avant sa déclaration.
Après qu'il a affirmé que les parlementaires pouvaient maintenant librement discuter de l'affaire Norbourg parce qu'elle était terminée, Mme Jérôme-Forget lui a signalé que la sentence du financier déchu faisait l'objet d'un appel.
Lorsqu'elle a repris la parole, elle n'a pas caché sa surprise devant le plaidoyer du député péquiste en faveur de la réhabilitation de Vincent Lacroix.
«J'ai été plutôt étonnée d'entendre vos propos, pour ne pas dire renversée», a
commencé Mme Jérôme-Forget.
«Peut-être que vous connaissez cet homme et que vous avez une opinion différente», a-t-elle laissé tomber, visiblement perplexe.
En soirée, par voie de communiqué, Irvin Pelletier est revenu sur ses propos, qu'il a dit regretter. «Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants», a soutenu le député péquiste.
M. Pelletier a prétendu avoir voulu dire «que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société».
M. Lacroix doit donc «assumer ses gestes» et la justice doit poursuivre son travail, selon le député.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin.
Irvin Pelletier regrette ses propos
Dans un communiqué envoyé vendredi soir, le député de Rimouski, Irvin Pelletier, regrette ses propos à l'égard du scandale financier Norbourg.
«Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants. Ce que j'ai voulu dire, c'est que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société en croupissant en prison pour ce qu'il a fait auprès d'honnêtes personnes qui lui ont accordé sa confiance. M. Lacroix doit donc assumer ses gestes et ses responsabilités et en ce sens, la justice fait et doit poursuivre son travail», a déclaré Irvin Pelletier.
M. Pelletier tient à rappeler que c'est le gouvernement du Parti Québécois qui a modifié la loi en 2002 en durcissant les peines pour les fraudeurs en cravate. Également, dès que le scandale financier Norbourg a éclaté en 2005, le Parti Québécois a rapidement réclamé un meilleur encadrement pour que de tel scandale ne se reproduise plus.
M. Pelletier ne fera pas d'autres commentaires.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin prochain.
Rémi Nadeau
La Presse Canadienne
Québec
Un député du Parti québécois qui avait dit vendredi souhaiter le retour en affaires de Vincent Lacroix a retiré ses propos en soirée.
Le porte-parole péquiste en matière d'institutions financières, Irvin Pelletier, a causé une surprise devant la commission des finances publiques, vendredi, en soutenant que l'ex-pdg de Norbourg pourrait très bien recommencer à gérer les économies d'investisseurs après en avoir terminé avec la justice.
«Tout ça étant terminé, j'espère que M. Lacroix redeviendra un bon citoyen, parce que je pense qu'il serait plus utile à notre société dans les affaires», a commencé le député de Rimouski, qui a convenu, en riant, «qu'il va avoir une bonne côte à remonter».
«Mais il serait plus utile là qu'à croupir dans une prison aux frais de l'Etat», a-t-il ajouté.
M. Pelletier a aussi formulé un étonnant souhait à l'endroit des citoyens qui ont tout perdu en raison du comportement frauduleux de Lacroix.
«J'espère que les victimes, les gens qui ont été floués dans cette affaire-là, pourront à un moment donné (...), je ne dirais pas oublier, mais pardonner.»
La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, avait pourtant lancé un appel à la prudence au député péquiste quelques secondes avant sa déclaration.
Après qu'il a affirmé que les parlementaires pouvaient maintenant librement discuter de l'affaire Norbourg parce qu'elle était terminée, Mme Jérôme-Forget lui a signalé que la sentence du financier déchu faisait l'objet d'un appel.
Lorsqu'elle a repris la parole, elle n'a pas caché sa surprise devant le plaidoyer du député péquiste en faveur de la réhabilitation de Vincent Lacroix.
«J'ai été plutôt étonnée d'entendre vos propos, pour ne pas dire renversée», a
commencé Mme Jérôme-Forget.
«Peut-être que vous connaissez cet homme et que vous avez une opinion différente», a-t-elle laissé tomber, visiblement perplexe.
En soirée, par voie de communiqué, Irvin Pelletier est revenu sur ses propos, qu'il a dit regretter. «Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants», a soutenu le député péquiste.
M. Pelletier a prétendu avoir voulu dire «que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société».
M. Lacroix doit donc «assumer ses gestes» et la justice doit poursuivre son travail, selon le député.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin.
Irvin Pelletier regrette ses propos
Dans un communiqué envoyé vendredi soir, le député de Rimouski, Irvin Pelletier, regrette ses propos à l'égard du scandale financier Norbourg.
«Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants. Ce que j'ai voulu dire, c'est que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société en croupissant en prison pour ce qu'il a fait auprès d'honnêtes personnes qui lui ont accordé sa confiance. M. Lacroix doit donc assumer ses gestes et ses responsabilités et en ce sens, la justice fait et doit poursuivre son travail», a déclaré Irvin Pelletier.
M. Pelletier tient à rappeler que c'est le gouvernement du Parti Québécois qui a modifié la loi en 2002 en durcissant les peines pour les fraudeurs en cravate. Également, dès que le scandale financier Norbourg a éclaté en 2005, le Parti Québécois a rapidement réclamé un meilleur encadrement pour que de tel scandale ne se reproduise plus.
M. Pelletier ne fera pas d'autres commentaires.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin prochain.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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.anthurium.
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Beppo a écrit
Dans le style de Gilles Taillon, genre?
Méchante comparaison.
Dans le style de Gilles Taillon, genre?
Méchante comparaison.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
Jumbo a écritEn d'autres mots, il voulait probablement dire que Vincent Lacroix ferait un bon Ministre des Finances pour le PQ.
Il sait comment fourrer le monde
en tout cas, le député péquiste semble en faire l'apologie, de Lacroix!
pas important les victimes qui ont vu les économies de toute leur vie volées par Lacroix..
le pq a de quoi être fier avec cette déclaration de leur porte-parole en matière d'institutions financières faite à la commission des finances publiques..
Bravo le pq... --Message edité par Ganesha le 2008-04-12 21:32:58--
Il sait comment fourrer le monde
en tout cas, le député péquiste semble en faire l'apologie, de Lacroix!
pas important les victimes qui ont vu les économies de toute leur vie volées par Lacroix..
le pq a de quoi être fier avec cette déclaration de leur porte-parole en matière d'institutions financières faite à la commission des finances publiques..
Bravo le pq... --Message edité par Ganesha le 2008-04-12 21:32:58--
Ganesha a écrit
en tout cas, le député péquiste semble en faire l'apologie, de Lacroix!
pas important les victimes qui ont vu les économies de toute leur vie volées par Lacroix..
le pq a de quoi être fier avec cette déclaration de leur porte-parole en matière d'institutions financières faite à la commission des finances publiques..
Bravo le pq...
Tu charries pas mal, je trouve. Les folies de Gilles Taillon sont celles de l'ADQ? Les niaiseries de Fortier, ami très intime de Jean Charest, sont celles du parti libéral? Tant qu'à amplifier... Amplifions! --Message edité par Beppo le 2008-04-12 21:49:46--
en tout cas, le député péquiste semble en faire l'apologie, de Lacroix!
pas important les victimes qui ont vu les économies de toute leur vie volées par Lacroix..
le pq a de quoi être fier avec cette déclaration de leur porte-parole en matière d'institutions financières faite à la commission des finances publiques..
Bravo le pq...
Tu charries pas mal, je trouve. Les folies de Gilles Taillon sont celles de l'ADQ? Les niaiseries de Fortier, ami très intime de Jean Charest, sont celles du parti libéral? Tant qu'à amplifier... Amplifions! --Message edité par Beppo le 2008-04-12 21:49:46--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Jumbo a écritUn député se rétracte après avoir souhaité le retour de Vincent Lacroix
Rémi Nadeau
La Presse Canadienne
Québec
Un député du Parti québécois qui avait dit vendredi souhaiter le retour en affaires de Vincent Lacroix a retiré ses propos en soirée.
Le porte-parole péquiste en matière d'institutions financières, Irvin Pelletier, a causé une surprise devant la commission des finances publiques, vendredi, en soutenant que l'ex-pdg de Norbourg pourrait très bien recommencer à gérer les économies d'investisseurs après en avoir terminé avec la justice.
«Tout ça étant terminé, j'espère que M. Lacroix redeviendra un bon citoyen, parce que je pense qu'il serait plus utile à notre société dans les affaires», a commencé le député de Rimouski, qui a convenu, en riant, «qu'il va avoir une bonne côte à remonter».
«Mais il serait plus utile là qu'à croupir dans une prison aux frais de l'Etat», a-t-il ajouté.
M. Pelletier a aussi formulé un étonnant souhait à l'endroit des citoyens qui ont tout perdu en raison du comportement frauduleux de Lacroix.
«J'espère que les victimes, les gens qui ont été floués dans cette affaire-là, pourront à un moment donné (...), je ne dirais pas oublier, mais pardonner.»
La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, avait pourtant lancé un appel à la prudence au député péquiste quelques secondes avant sa déclaration.
Après qu'il a affirmé que les parlementaires pouvaient maintenant librement discuter de l'affaire Norbourg parce qu'elle était terminée, Mme Jérôme-Forget lui a signalé que la sentence du financier déchu faisait l'objet d'un appel.
Lorsqu'elle a repris la parole, elle n'a pas caché sa surprise devant le plaidoyer du député péquiste en faveur de la réhabilitation de Vincent Lacroix.
«J'ai été plutôt étonnée d'entendre vos propos, pour ne pas dire renversée», a
commencé Mme Jérôme-Forget.
«Peut-être que vous connaissez cet homme et que vous avez une opinion différente», a-t-elle laissé tomber, visiblement perplexe.
En soirée, par voie de communiqué, Irvin Pelletier est revenu sur ses propos, qu'il a dit regretter. «Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants», a soutenu le député péquiste.
M. Pelletier a prétendu avoir voulu dire «que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société».
M. Lacroix doit donc «assumer ses gestes» et la justice doit poursuivre son travail, selon le député.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin.
Irvin Pelletier regrette ses propos
Dans un communiqué envoyé vendredi soir, le député de Rimouski, Irvin Pelletier, regrette ses propos à l'égard du scandale financier Norbourg.
«Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants. Ce que j'ai voulu dire, c'est que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société en croupissant en prison pour ce qu'il a fait auprès d'honnêtes personnes qui lui ont accordé sa confiance. M. Lacroix doit donc assumer ses gestes et ses responsabilités et en ce sens, la justice fait et doit poursuivre son travail», a déclaré Irvin Pelletier.
M. Pelletier tient à rappeler que c'est le gouvernement du Parti Québécois qui a modifié la loi en 2002 en durcissant les peines pour les fraudeurs en cravate. Également, dès que le scandale financier Norbourg a éclaté en 2005, le Parti Québécois a rapidement réclamé un meilleur encadrement pour que de tel scandale ne se reproduise plus.
M. Pelletier ne fera pas d'autres commentaires.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin prochain.
Je remet le texte car je pense qu'il y en a qui ne savent pas encore de quoi on parle.
Pas dur à lire pourtant.
Rémi Nadeau
La Presse Canadienne
Québec
Un député du Parti québécois qui avait dit vendredi souhaiter le retour en affaires de Vincent Lacroix a retiré ses propos en soirée.
Le porte-parole péquiste en matière d'institutions financières, Irvin Pelletier, a causé une surprise devant la commission des finances publiques, vendredi, en soutenant que l'ex-pdg de Norbourg pourrait très bien recommencer à gérer les économies d'investisseurs après en avoir terminé avec la justice.
«Tout ça étant terminé, j'espère que M. Lacroix redeviendra un bon citoyen, parce que je pense qu'il serait plus utile à notre société dans les affaires», a commencé le député de Rimouski, qui a convenu, en riant, «qu'il va avoir une bonne côte à remonter».
«Mais il serait plus utile là qu'à croupir dans une prison aux frais de l'Etat», a-t-il ajouté.
M. Pelletier a aussi formulé un étonnant souhait à l'endroit des citoyens qui ont tout perdu en raison du comportement frauduleux de Lacroix.
«J'espère que les victimes, les gens qui ont été floués dans cette affaire-là, pourront à un moment donné (...), je ne dirais pas oublier, mais pardonner.»
La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, avait pourtant lancé un appel à la prudence au député péquiste quelques secondes avant sa déclaration.
Après qu'il a affirmé que les parlementaires pouvaient maintenant librement discuter de l'affaire Norbourg parce qu'elle était terminée, Mme Jérôme-Forget lui a signalé que la sentence du financier déchu faisait l'objet d'un appel.
Lorsqu'elle a repris la parole, elle n'a pas caché sa surprise devant le plaidoyer du député péquiste en faveur de la réhabilitation de Vincent Lacroix.
«J'ai été plutôt étonnée d'entendre vos propos, pour ne pas dire renversée», a
commencé Mme Jérôme-Forget.
«Peut-être que vous connaissez cet homme et que vous avez une opinion différente», a-t-elle laissé tomber, visiblement perplexe.
En soirée, par voie de communiqué, Irvin Pelletier est revenu sur ses propos, qu'il a dit regretter. «Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants», a soutenu le député péquiste.
M. Pelletier a prétendu avoir voulu dire «que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société».
M. Lacroix doit donc «assumer ses gestes» et la justice doit poursuivre son travail, selon le député.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin.
Irvin Pelletier regrette ses propos
Dans un communiqué envoyé vendredi soir, le député de Rimouski, Irvin Pelletier, regrette ses propos à l'égard du scandale financier Norbourg.
«Il est vrai que ce que j'ai dit peut porter à confusion mais d'aucune façon il ne faut y voir un endossement de ma part aux gestes posés par Vincent Lacroix qui a floué des milliers de petits épargnants. Ce que j'ai voulu dire, c'est que M. Lacroix aurait pu faire des affaires honnêtement et mettre ses talents au profit de la population plutôt que d'être une charge à la société en croupissant en prison pour ce qu'il a fait auprès d'honnêtes personnes qui lui ont accordé sa confiance. M. Lacroix doit donc assumer ses gestes et ses responsabilités et en ce sens, la justice fait et doit poursuivre son travail», a déclaré Irvin Pelletier.
M. Pelletier tient à rappeler que c'est le gouvernement du Parti Québécois qui a modifié la loi en 2002 en durcissant les peines pour les fraudeurs en cravate. Également, dès que le scandale financier Norbourg a éclaté en 2005, le Parti Québécois a rapidement réclamé un meilleur encadrement pour que de tel scandale ne se reproduise plus.
M. Pelletier ne fera pas d'autres commentaires.
Vincent Lacroix, dont le procès a longuement défrayé les manchettes, a été condamné à une peine d'emprisonnement de 12 ans moins un jour le 28 janvier dernier, pour avoir trahi la confiance de 9200 petits épargnants.
Il a obtenu la permission d'en appeler de sa sentence le 6 juin prochain.
Je remet le texte car je pense qu'il y en a qui ne savent pas encore de quoi on parle.
Pas dur à lire pourtant.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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.anthurium.
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Ce que je n'aime pas en politique c'est ceux qui se tatou leur parti politique sur le coeur. Ils en font une religion. Ce n'est pas normal je pense. On vote pour un parti qui selon nous saura diriger notre province ou notre pays. En passant je ne vise pas une personne plutôt qu'une autre ni un parti plutôt qu'un autre car j'en vois des adéquistes comme ça dans mon coin.
Comme citoyen qu'est-ce qu'on recherche le mieux pour notre petit coins de Pays, pour le peuple que nous sommes. Ou bien on veux que notre parti politique l'emporte coûte que coûte.
Je trouve ça sale la politique et plus c'est sale plus il faut les surveiller et s'y intéresser. Il y a du bon monde la dedant qui veulent vraiment faire du bien mais ils sont étouffé par des beaux parleurs ou des journalistes qui ne veulent faire ressortir que des niaiseries (et la je ne parle pas du député qui a parlé de Vincent Lacroix)Beaucoup de journalistes sont paresseux. La semaine dernière l'ADQ a proposé un projet de loi étoffé sur la mixité du système de santé. Les médecins spécialiste, les résidents et les médecins de familles ont tous sortis des communiqués pour appuyer ce projet de loi mais ils en ont peu parlé dans l'actualité (quoique un peu a la radio de Québec) pourtant la population a le droit d'être informé sur le travail de nos politiciens. On dit que l'ADQ n'a rien fait de l'automne pourtant ils ont travaillé tout l'automne a rencontrer du monde sur le terrain pour faire ce projet de loi. Et faire tomber des tabou fasse a la mixité du système. Ben non on aime mieux parler d'un tel qui a dit tel ou tel chose. (J'imagine que des bonnes idées étouffé il y en a dans tous les partis»)
Pis les politiciens entre dans le jeu des journalistes et chercher des niaiseries a faire sortir dans les médias souvent en déformant les fait car ils savent que bien peu de gens prendrons la peine de chercher a savoir ce qui c'est réellement passé.
SVP ne donnons pas notre vote automatiquement a un parti pour toujours sans nous renseigner sur ce qu'il compte faire. Ne soyons pas de partisant aveugles Si non nous perdons notre pouvoir de citoyens et nous le donnons aux journalistes qui oriente l'information
Comme citoyen qu'est-ce qu'on recherche le mieux pour notre petit coins de Pays, pour le peuple que nous sommes. Ou bien on veux que notre parti politique l'emporte coûte que coûte.
Je trouve ça sale la politique et plus c'est sale plus il faut les surveiller et s'y intéresser. Il y a du bon monde la dedant qui veulent vraiment faire du bien mais ils sont étouffé par des beaux parleurs ou des journalistes qui ne veulent faire ressortir que des niaiseries (et la je ne parle pas du député qui a parlé de Vincent Lacroix)Beaucoup de journalistes sont paresseux. La semaine dernière l'ADQ a proposé un projet de loi étoffé sur la mixité du système de santé. Les médecins spécialiste, les résidents et les médecins de familles ont tous sortis des communiqués pour appuyer ce projet de loi mais ils en ont peu parlé dans l'actualité (quoique un peu a la radio de Québec) pourtant la population a le droit d'être informé sur le travail de nos politiciens. On dit que l'ADQ n'a rien fait de l'automne pourtant ils ont travaillé tout l'automne a rencontrer du monde sur le terrain pour faire ce projet de loi. Et faire tomber des tabou fasse a la mixité du système. Ben non on aime mieux parler d'un tel qui a dit tel ou tel chose. (J'imagine que des bonnes idées étouffé il y en a dans tous les partis»)
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Prière et chant religieux
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