Ti-radis a écrit non ce n'est pas ce qu'elle voulait et curieusement cela a eu un plus gros impact sur mes enfants que sur les siens... Mais les enfants font ce qu'on fait et non ce qu'on dit... Comment dit le proverbe déjà ? tes gestes parlent plus fort que tes parôles.
Je crois sincèrement que chacun de nous à commencer à fumer parce que quelqu'un nous a convaincu en geste ou en parole que c'est cool, plaisant ou valorisant. Il faut en quelques sorte "déprogrammer" notre société afin de ne pas perpétuer ce mensonge: fumer n'a rien de cool, c'est une triste dépendance (que j'ai connu).
J'aime ta phrase ,mais moi je voit la situation autrement .
Mais les enfants font ce qu'on fait et non ce qu'on dit ... je m explique :
moi j ai fumée pas parce que ma mere le faisait mais bien parce qu'elle me l'interdisait comme tout ce qu elle m interdisait d ailleurs .Elle aurait pas fumée , elle me l aurait interdit je l aurais fait quand meme ... Mais ca c est moi , je présume que beaucoup d enfants réagissent ainsi sans etre la totalité bien sur .
1er Débat: Le 31 mai approchant à grand pas...que feront les fumeurs?
LeeLou a écrit J'aime ta phrase ,mais moi je voit la situation autrement .
Mais les enfants font ce qu'on fait et non ce qu'on dit ... je m explique :
moi j ai fumée pas parce que ma mere le faisait mais bien parce qu'elle me l'interdisait comme tout ce qu elle m interdisait d ailleurs .Elle aurait pas fumée , elle me l aurait interdit je l aurais fait quand meme ... Mais ca c est moi , je présume que beaucoup d enfants réagissent ainsi sans etre la totalité bien sur . Je suis d'accord avec toi Leelou on ne suit pas seulement l'exemple de nos parents, au contraire, on suit parfois tout le contraire par réaction, mais quelque part un jour quelqu'un t'as fait croire que fumer t'apporterai du bonheur, de l'attention, etc. Moi je me souviens encore des pofs que mon papi me donnait sur ses "rouleuses" dans les chemins de campagne de son érablière quand il me laissait conduire sa voiture. Un beau papi silencieux mais si originale et si doux. Mais le bonheur ne venait pas de la pof de cigarette mais d'avoir mon papi avec moi... sauf que mon cerveau à mis les deux ensemble... et plus tard la nerdz que j'étais a voulu fumer pour montrer à un petit fendant qu'elle avait du gots et qu'elle fumerait elle aussi.
Finalement, on est tous responsable de l'influence qu'on peut avoir sur les esprits impressionnables des enfants. C'est ça que j'appèle vivre en société --Message edité par Ti-Radis le 2006-05-19 22:54:20--
Mais les enfants font ce qu'on fait et non ce qu'on dit ... je m explique :
moi j ai fumée pas parce que ma mere le faisait mais bien parce qu'elle me l'interdisait comme tout ce qu elle m interdisait d ailleurs .Elle aurait pas fumée , elle me l aurait interdit je l aurais fait quand meme ... Mais ca c est moi , je présume que beaucoup d enfants réagissent ainsi sans etre la totalité bien sur . Je suis d'accord avec toi Leelou on ne suit pas seulement l'exemple de nos parents, au contraire, on suit parfois tout le contraire par réaction, mais quelque part un jour quelqu'un t'as fait croire que fumer t'apporterai du bonheur, de l'attention, etc. Moi je me souviens encore des pofs que mon papi me donnait sur ses "rouleuses" dans les chemins de campagne de son érablière quand il me laissait conduire sa voiture. Un beau papi silencieux mais si originale et si doux. Mais le bonheur ne venait pas de la pof de cigarette mais d'avoir mon papi avec moi... sauf que mon cerveau à mis les deux ensemble... et plus tard la nerdz que j'étais a voulu fumer pour montrer à un petit fendant qu'elle avait du gots et qu'elle fumerait elle aussi.
Finalement, on est tous responsable de l'influence qu'on peut avoir sur les esprits impressionnables des enfants. C'est ça que j'appèle vivre en société --Message edité par Ti-Radis le 2006-05-19 22:54:20--
Rothmans augmente sa part du marché en déclin de la cigarette
Presse Canadienne
Le cigarettier Rothmans Inc. a augmenté sa part d'un marché en déclin, mais affirme que les taxes élevées et la hausse des ventes de cigarettes de contrebande représentent un "problème croissant".
En dépit des problèmes qu'il éprouve au sein d'une industrie du tabac "difficile", le deuxième plus important producteur de cigarettes au pays a vu ses profits augmenter de sept pour cent au cours de l'exercice financier terminé le 31 mars.
L'année a été "bonne, avec des ventes et des bénéfices en hausse et des dividendes plus élevés pour nos actionnaires", a affirmé vendredi le président et chef de la direction de Rothmans, John Barnett, lors d'une conférence téléphonique à laquelle avaient été conviés des analystes.
Les ventes de la société en exploitation Rothmans, Benson & Hedges Inc., après perception des droits d'accise et des taxes, ont augmenté de 2,4 pour cent et se sont élevées à 652,3 millions $, comparativement à 636,8 millions $ un an auparavant, "principalement en raison de l'augmentation des prix dans toutes les catégories de produits et de volumes en hausse dans la catégorie des cigarettes bon marché", a affirmé M. Barnett.
Le volume des ventes des cigarettes bon marché _ Number 7, Canadian Classics et Mark Ten _ a augmenté de 16,8 pour cent au cours de l'exercice, "bien que le taux de croissance ralentisse, alors que la catégorie atteint le stade de maturité", a indiqué le dirigeant.
Quant à elles, les marques de meilleure qualité à rendement plus élevé _ Benson & Hedges, Craven A, Rothmans, Belvedere, Belmont Milds et Viscount _ ont enregistré un recul de 14,8 pour cent en volume de vente.
Dans l'ensemble, Rothmans, Benson & Hedges _ dont une part de 60 pour cent est contrôlée par Rothmans, les 40 pour cent qui restent appartenant à la société américaine Altria Group _ a vu sa part du marché canadien du tabac "rapporté" passer à 31,3 pour cent, contre 29,5 pour cent.
Rothmans a toutefois observé que le marché des ventes au comptoir avait chuté de huit pour cent, et "nous croyons que les ventes non rapportées de produits de contrebande contribuent à la hausse de ce déclin".
Presse Canadienne
Le cigarettier Rothmans Inc. a augmenté sa part d'un marché en déclin, mais affirme que les taxes élevées et la hausse des ventes de cigarettes de contrebande représentent un "problème croissant".
En dépit des problèmes qu'il éprouve au sein d'une industrie du tabac "difficile", le deuxième plus important producteur de cigarettes au pays a vu ses profits augmenter de sept pour cent au cours de l'exercice financier terminé le 31 mars.
L'année a été "bonne, avec des ventes et des bénéfices en hausse et des dividendes plus élevés pour nos actionnaires", a affirmé vendredi le président et chef de la direction de Rothmans, John Barnett, lors d'une conférence téléphonique à laquelle avaient été conviés des analystes.
Les ventes de la société en exploitation Rothmans, Benson & Hedges Inc., après perception des droits d'accise et des taxes, ont augmenté de 2,4 pour cent et se sont élevées à 652,3 millions $, comparativement à 636,8 millions $ un an auparavant, "principalement en raison de l'augmentation des prix dans toutes les catégories de produits et de volumes en hausse dans la catégorie des cigarettes bon marché", a affirmé M. Barnett.
Le volume des ventes des cigarettes bon marché _ Number 7, Canadian Classics et Mark Ten _ a augmenté de 16,8 pour cent au cours de l'exercice, "bien que le taux de croissance ralentisse, alors que la catégorie atteint le stade de maturité", a indiqué le dirigeant.
Quant à elles, les marques de meilleure qualité à rendement plus élevé _ Benson & Hedges, Craven A, Rothmans, Belvedere, Belmont Milds et Viscount _ ont enregistré un recul de 14,8 pour cent en volume de vente.
Dans l'ensemble, Rothmans, Benson & Hedges _ dont une part de 60 pour cent est contrôlée par Rothmans, les 40 pour cent qui restent appartenant à la société américaine Altria Group _ a vu sa part du marché canadien du tabac "rapporté" passer à 31,3 pour cent, contre 29,5 pour cent.
Rothmans a toutefois observé que le marché des ventes au comptoir avait chuté de huit pour cent, et "nous croyons que les ventes non rapportées de produits de contrebande contribuent à la hausse de ce déclin".
LOI ANTITABAC
À Toronto, les bars et les pubs écopent
Mario Girard
La Presse
Toronto
À compter du 31 mai, le Québec met en application une loi sévère qui interdira complètement l'usage du tabac dans les lieux publics, dont les bars et les tous les restaurants. Inquiétudes et appréhensions hantent les fumeurs et les propriétaires d'établissements. Ces craintes sont-elles justifiées? Et ces lois, convainquent-elles réellement les fumeurs d'écraser pour de bon? La Presse a visité Toronto et New York, deux villes qui se sont déjà dotées de telles protections pour les non-fumeurs, afin de voir de quoi il en retourne.
Les propriétaires de bars et de restaurants du Québec ont de la fumée dans les yeux. Avec l'entrée en vigueur de la loi antitabac prévue le 31 mai, ils craignent de voir chuter leur chiffre d'affaires. Ont-ils raison de s'inquiéter? Cap sur Toronto, l'une des premières villes canadiennes à se doter de règlements antitabac, pour voir comment le coup a été encaissé.
D'abord une visite au coeur de l'Entertaintment District. En attendant de rencontrer David White, le gérant du bar Montana, on est surpris par l'odeur: un mélange de bière... et de M. Net. «Depuis l'entrée en vigueur de cette loi, mon chiffre d'affaires a diminué de 30%», dit le jeune homme en nous faisant visiter l'immense endroit.
Quelques mètres plus loin se trouve le très branché restaurant Urban. Son propriétaire, Brian Pool, évalue les pertes à 15%. «J'ai perdu des clients réguliers et je n'ai jamais retrouvé mon chiffre d'affaires d'avant.»
Selon une étude commandée par la Pub and Bar Coalition of Canada (PUBCO) qui s'appuie sur des données transmises par le ministère des Finances de l'Ontario, la loi antitabac appliquée par certaines villes ontariennes depuis quelques années a grandement affecté les revenus des propriétaires de bars: 23,5% à Ottawa, 24,3% à Kingston, 20,4% à Kitchener et 18,7% à London. «Il est clair que ces règlements touchent davantage les bars et les pubs que les restaurants», dit Edgar Mitchell, président de l'organisme.
Michael Ferrabee, président de l'Association canadienne des restaurateurs et des services alimentaires, est aussi de cet avis. «Selon nos membres, la clientèle des boîtes de nuit et des bars sportifs serait constituée d'environ 75% de fumeurs.»Mais selon le ministère de la Promotion de la santé, responsable de la mise en application de la loi, il ne fait aucun doute que «les politiques antitabac n'ont pas d'incidence défavorable sur les ventes globales et les emplois dans l'industrie du tourisme réceptif. Dans certains cas, les politiques ont un impact positif», affirme-t-il dans un document.
«Le problème c'est que ces données mélangent tous les types de commerces, dit Michael Ferrabee. Si 40% à 50% des données proviennent de la restauration rapide, un secteur beaucoup moins touché, ça noie les résultats pour les bars et les pubs.»
Au fil des rencontres avec les propriétaires d'établissements, on se rend compte que ces derniers sont très au courant de leurs droits et des limites qu'on leur impose. Régulièrement, des inspecteurs municipaux viennent les rencontrer pour leur offrir de l'information. Ces mesures dissuadent les plus récalcitrants.
«Nous n'essayons plus de contourner la loi car ça pourrait nous causer des problèmes, dit David White. On risque des amendes pouvant aller jusqu'à 5000$. Je sais que certains gros bars qui font leur argent uniquement le week-end prennent certains risques, mais pas nous.»
Jusqu'ici, les bars de Toronto pouvaient disposer d'un fumoir fermé et ventilé. Mais avec l'entrée en vigueur d'une loi provinciale là aussi le 31 mai prochain, ces zones désignées disparaîtront. «Nos demandes reposent là-dessus, dit Michael Ferrabee. C'est maintenant notre objectif.»
À Toronto, les bars et les pubs écopent
Mario Girard
La Presse
Toronto
À compter du 31 mai, le Québec met en application une loi sévère qui interdira complètement l'usage du tabac dans les lieux publics, dont les bars et les tous les restaurants. Inquiétudes et appréhensions hantent les fumeurs et les propriétaires d'établissements. Ces craintes sont-elles justifiées? Et ces lois, convainquent-elles réellement les fumeurs d'écraser pour de bon? La Presse a visité Toronto et New York, deux villes qui se sont déjà dotées de telles protections pour les non-fumeurs, afin de voir de quoi il en retourne.
Les propriétaires de bars et de restaurants du Québec ont de la fumée dans les yeux. Avec l'entrée en vigueur de la loi antitabac prévue le 31 mai, ils craignent de voir chuter leur chiffre d'affaires. Ont-ils raison de s'inquiéter? Cap sur Toronto, l'une des premières villes canadiennes à se doter de règlements antitabac, pour voir comment le coup a été encaissé.
D'abord une visite au coeur de l'Entertaintment District. En attendant de rencontrer David White, le gérant du bar Montana, on est surpris par l'odeur: un mélange de bière... et de M. Net. «Depuis l'entrée en vigueur de cette loi, mon chiffre d'affaires a diminué de 30%», dit le jeune homme en nous faisant visiter l'immense endroit.
Quelques mètres plus loin se trouve le très branché restaurant Urban. Son propriétaire, Brian Pool, évalue les pertes à 15%. «J'ai perdu des clients réguliers et je n'ai jamais retrouvé mon chiffre d'affaires d'avant.»
Selon une étude commandée par la Pub and Bar Coalition of Canada (PUBCO) qui s'appuie sur des données transmises par le ministère des Finances de l'Ontario, la loi antitabac appliquée par certaines villes ontariennes depuis quelques années a grandement affecté les revenus des propriétaires de bars: 23,5% à Ottawa, 24,3% à Kingston, 20,4% à Kitchener et 18,7% à London. «Il est clair que ces règlements touchent davantage les bars et les pubs que les restaurants», dit Edgar Mitchell, président de l'organisme.
Michael Ferrabee, président de l'Association canadienne des restaurateurs et des services alimentaires, est aussi de cet avis. «Selon nos membres, la clientèle des boîtes de nuit et des bars sportifs serait constituée d'environ 75% de fumeurs.»Mais selon le ministère de la Promotion de la santé, responsable de la mise en application de la loi, il ne fait aucun doute que «les politiques antitabac n'ont pas d'incidence défavorable sur les ventes globales et les emplois dans l'industrie du tourisme réceptif. Dans certains cas, les politiques ont un impact positif», affirme-t-il dans un document.
«Le problème c'est que ces données mélangent tous les types de commerces, dit Michael Ferrabee. Si 40% à 50% des données proviennent de la restauration rapide, un secteur beaucoup moins touché, ça noie les résultats pour les bars et les pubs.»
Au fil des rencontres avec les propriétaires d'établissements, on se rend compte que ces derniers sont très au courant de leurs droits et des limites qu'on leur impose. Régulièrement, des inspecteurs municipaux viennent les rencontrer pour leur offrir de l'information. Ces mesures dissuadent les plus récalcitrants.
«Nous n'essayons plus de contourner la loi car ça pourrait nous causer des problèmes, dit David White. On risque des amendes pouvant aller jusqu'à 5000$. Je sais que certains gros bars qui font leur argent uniquement le week-end prennent certains risques, mais pas nous.»
Jusqu'ici, les bars de Toronto pouvaient disposer d'un fumoir fermé et ventilé. Mais avec l'entrée en vigueur d'une loi provinciale là aussi le 31 mai prochain, ces zones désignées disparaîtront. «Nos demandes reposent là-dessus, dit Michael Ferrabee. C'est maintenant notre objectif.»
Citation : «Selon nos membres, la clientèle des boîtes de nuit et des bars sportifs serait constituée d'environ 75% de fumeurs.
Ça me fait toujours drôle de voir ce genre de statistique. Les boites de nuit ça va ,mais les bars sportifs.
A moins que ce soit que lorsque tu n'es pas en forme tu préfères regarder les autres suer en tirant une bonne pof.
Ça me fait toujours drôle de voir ce genre de statistique. Les boites de nuit ça va ,mais les bars sportifs.
A moins que ce soit que lorsque tu n'es pas en forme tu préfères regarder les autres suer en tirant une bonne pof.
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Fleur de Jasmin
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Ti-radis a écrit non ce n'est pas ce qu'elle voulait et curieusement cela a eu un plus gros impact sur mes enfants que sur les siens... Mais les enfants font ce qu'on fait et non ce qu'on dit... Comment dit le proverbe déjà ? tes gestes parlent plus fort que tes parôles.
Je crois sincèrement que chacun de nous à commencer à fumer parce que quelqu'un nous a convaincu en geste ou en parole que c'est cool, plaisant ou valorisant. Il faut en quelques sorte "déprogrammer" notre société afin de ne pas perpétuer ce mensonge: fumer n'a rien de cool, c'est une triste dépendance (que j'ai connu).
Personnellement, une seule chose m'a convaincu de fumer. C'est le fait d'avoir aimé, lorsque j'ai essayée la 1ere fois. Alors, il va de soit que je crois que peut importe la substance, cigarette, drogue, alcool ou autres, ou bien tu aime excessivement le goût ou la sensation que ca te procure, ou bien tu n'aime pas. Et si tu n'aime pas, les chances sont extrêmement ninimes de devenir accro. Tu feras donc ton expérience et abandonnera par la suite. J'imagine qu'il faudrait être un peu fou pour fumer des années durant tout en détestant cela.
Je ne sais pas si c'est la même choses pour tous les ex-fumeurs, mais tous ceux que je connais, se souviennent combien ils aimaient fumer. Certains disent même qu'ils aiment encore l'odeur.
Tu sais déjà que je suis extrêment désolée pour ta belle-soeur. Mais encore, je crois que son exemple apporte bcp aux jeunes. Ce qui est le cas pour tes enfants et pour bien d'autres, j'en suis sure. Sans exemple des ravages que peut causer le tabac, l'idée d'un monde idéal sans fumée ne serait pas possible. À mon avis, on leur doit un gros merci à ces gens qui souffrent, dans un sens aussi, pour montrer l'exemple à d'autres. Ses 2 fils fument, mais il y a fort à parier que leurs enfants ne fumeront pas. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2006-05-21 00:57:20--
Je crois sincèrement que chacun de nous à commencer à fumer parce que quelqu'un nous a convaincu en geste ou en parole que c'est cool, plaisant ou valorisant. Il faut en quelques sorte "déprogrammer" notre société afin de ne pas perpétuer ce mensonge: fumer n'a rien de cool, c'est une triste dépendance (que j'ai connu).
Personnellement, une seule chose m'a convaincu de fumer. C'est le fait d'avoir aimé, lorsque j'ai essayée la 1ere fois. Alors, il va de soit que je crois que peut importe la substance, cigarette, drogue, alcool ou autres, ou bien tu aime excessivement le goût ou la sensation que ca te procure, ou bien tu n'aime pas. Et si tu n'aime pas, les chances sont extrêmement ninimes de devenir accro. Tu feras donc ton expérience et abandonnera par la suite. J'imagine qu'il faudrait être un peu fou pour fumer des années durant tout en détestant cela.
Je ne sais pas si c'est la même choses pour tous les ex-fumeurs, mais tous ceux que je connais, se souviennent combien ils aimaient fumer. Certains disent même qu'ils aiment encore l'odeur.
Tu sais déjà que je suis extrêment désolée pour ta belle-soeur. Mais encore, je crois que son exemple apporte bcp aux jeunes. Ce qui est le cas pour tes enfants et pour bien d'autres, j'en suis sure. Sans exemple des ravages que peut causer le tabac, l'idée d'un monde idéal sans fumée ne serait pas possible. À mon avis, on leur doit un gros merci à ces gens qui souffrent, dans un sens aussi, pour montrer l'exemple à d'autres. Ses 2 fils fument, mais il y a fort à parier que leurs enfants ne fumeront pas. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2006-05-21 00:57:20--
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) 
La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Fabine a écritCitation : «Selon nos membres, la clientèle des boîtes de nuit et des bars sportifs serait constituée d'environ 75% de fumeurs.
Ça me fait toujours drôle de voir ce genre de statistique. Les boites de nuit ça va ,mais les bars sportifs.
A moins que ce soit que lorsque tu n'es pas en forme tu préfères regarder les autres suer en tirant une bonne pof.
Je crois que par "Bars sportifs" ils parlent de places du style Cage aux Sports, et non de bars dans des centres de conditionnement physique.
Ça me fait toujours drôle de voir ce genre de statistique. Les boites de nuit ça va ,mais les bars sportifs.
A moins que ce soit que lorsque tu n'es pas en forme tu préfères regarder les autres suer en tirant une bonne pof.
Je crois que par "Bars sportifs" ils parlent de places du style Cage aux Sports, et non de bars dans des centres de conditionnement physique.
Si quelqu'un te reproche de faire un travail d'amateur, rappelle-lui que l'Arche de Noé a été construite par des amateurs et le Titanic, par des professionnels ! - (auteur inconnu)
Fleur de Jasmin a écrit
Personnellement, une seule chose m'a convaincu de fumer. C'est le fait d'avoir aimé, lorsque j'ai essayée la 1ere fois. byzarrement, la plupart des gens que je connais moi ont eu mal au coeur lors des premières cigaretttes... comme pour le café ou l'alcool que personne n'apprécie dans les premières années (tu connais un enfant qui aime le vin ou le jack daniel toi ? :lol alors que tous les enfants aiment le sucré dèes le ventre de leur mère.
Personnellement, une seule chose m'a convaincu de fumer. C'est le fait d'avoir aimé, lorsque j'ai essayée la 1ere fois. byzarrement, la plupart des gens que je connais moi ont eu mal au coeur lors des premières cigaretttes... comme pour le café ou l'alcool que personne n'apprécie dans les premières années (tu connais un enfant qui aime le vin ou le jack daniel toi ? :lol alors que tous les enfants aiment le sucré dèes le ventre de leur mère.
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Ti-radis a écrit byzarrement, la plupart des gens que je connais moi ont eu mal au coeur lors des premières cigaretttes... comme pour le café ou l'alcool que personne n'apprécie dans les premières années (tu connais un enfant qui aime le vin ou le jack daniel toi ? :lol alors que tous les enfants aiment le sucré dèes le ventre de leur mère.
C'est pourquoi plusieurs enfants aiment la bière. Ce qui pourrait éventuellement, les amenés à aimer le vin et le J&D.
C'est pourquoi plusieurs enfants aiment la bière. Ce qui pourrait éventuellement, les amenés à aimer le vin et le J&D.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Suis bizarre vous allez dire, je suis fumeuse. Cela dit, on s`entends sur fumeuse, suis pas une cheminée, ni une boucanneuse aux doigts jaunes ni une pompeuse de cigarette une après l`autre. Je fume chez-nous, point final. Parce que c`est un "genre" de plaisir pour moi fumer...égoïstement, ce plaisir je ne le partage pas avec personne, car il est dans ma tête. Dans les magasins et restos et bars et tout autre endroit public, bien avant les règlements anti-tabac, je ne fumais pas et ds les restos, je vais tjrs dans la section non-fumeur. Surtout magasins et restos, me semble que c`était vraiment pas la place pour fumer, autant au travers du linge qu`au travers des aliments. Même dans un véhicule, jamais......ca pue juste trop .
L`odeur........je n`arrive pas à comprendre comment se fait-il que les fumeurs qui défendent leur droit de fumer là où bon leur semble, aient tous le "senteux" défectueux. Juste l`odeur, c`est bien assez pour ne pas fumer en public et fumer en gang. C`est pas juste dangereux, ca pue vraiment.
Maintenant que le 31 approche, ca ne me fout pas une claque, même que c`est tant mieux.
Si fumer est devenu une loi, un privilège, un féfaut, une revendication au droit de fumer, rendue une atteinte à la liberté........je pense que tout ceux-là ont perdu leur vraie raison de fumer, soit le plaisir....et plaisir qui se devrait de demeurer individuel.....ou classé plaisir solitaire.
Peut-être que les guéguerres entre fumeurs, ex fumeurs, non fumeurs n`auraient pas leur raison d`être si à la base, on débattait sur une seule chose : le plaisir.
Le plaisir pour les uns de fumer, le plaisir pour les autres de savourer leur réussite en ayant arrêter de fumer et le plaisir pour les non fumeurs de ne pas connaître cette dépendance insidueuse/pernicieuse.
......me suis relu, ca l`air moralisateur mon affaire, même pas trop clair non plus.....j`vais aller d`sous ma fane de poêle en griller une je pense... --Message edité par laurry le 2006-05-21 22:11:33--
L`odeur........je n`arrive pas à comprendre comment se fait-il que les fumeurs qui défendent leur droit de fumer là où bon leur semble, aient tous le "senteux" défectueux. Juste l`odeur, c`est bien assez pour ne pas fumer en public et fumer en gang. C`est pas juste dangereux, ca pue vraiment.
Maintenant que le 31 approche, ca ne me fout pas une claque, même que c`est tant mieux.
Si fumer est devenu une loi, un privilège, un féfaut, une revendication au droit de fumer, rendue une atteinte à la liberté........je pense que tout ceux-là ont perdu leur vraie raison de fumer, soit le plaisir....et plaisir qui se devrait de demeurer individuel.....ou classé plaisir solitaire.
Peut-être que les guéguerres entre fumeurs, ex fumeurs, non fumeurs n`auraient pas leur raison d`être si à la base, on débattait sur une seule chose : le plaisir.
Le plaisir pour les uns de fumer, le plaisir pour les autres de savourer leur réussite en ayant arrêter de fumer et le plaisir pour les non fumeurs de ne pas connaître cette dépendance insidueuse/pernicieuse.
......me suis relu, ca l`air moralisateur mon affaire, même pas trop clair non plus.....j`vais aller d`sous ma fane de poêle en griller une je pense... --Message edité par laurry le 2006-05-21 22:11:33--
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
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Fleur de Jasmin
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Ti-radis a écrit wow je détestait la bière moi étant jeune, j'ai commencé avec les drinks au jus sucré et les digestifs (je n'aime toujours pas la bière )
Je parlais des bébés que malencontreusement, on retrouvent avec une bière à la bouche. Lors de rencontrent familiales par exemple. Par la suite, faut les surveiller, car ce n'est pas rare qu'ils se mettent guetter les fonds de bouteilles.
Je parlais des bébés que malencontreusement, on retrouvent avec une bière à la bouche. Lors de rencontrent familiales par exemple. Par la suite, faut les surveiller, car ce n'est pas rare qu'ils se mettent guetter les fonds de bouteilles.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
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Fleur de Jasmin
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Je me demande si jamais, la mari devait être légalisée...Si les non-fumeurs fumeur de cette substance, voudront avoir le droit de fumer en public ? Sous prétexte par exemple, que la fumée secondaire ne serait pas nocive.
J'aimerais être là pour voir ca !
J'aimerais être là pour voir ca !
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Fleur de Jasmin a écrit
Je parlais des bébés que malencontreusement, on retrouvent avec une bière à la bouche. Lors de rencontrent familiales par exemple. Par la suite, faut les surveiller, car ce n'est pas rare qu'ils se mettent guetter les fonds de bouteilles.
..je peux aussi ajouter la crême de menthe
Je parlais des bébés que malencontreusement, on retrouvent avec une bière à la bouche. Lors de rencontrent familiales par exemple. Par la suite, faut les surveiller, car ce n'est pas rare qu'ils se mettent guetter les fonds de bouteilles.
..je peux aussi ajouter la crême de menthe
C'est bobépine ou bépine SVP
Fleur de Jasmin a écritJe me demande si jamais, la mari devait être légalisée...Si les non-fumeurs fumeur de cette substance, voudront avoir le droit de fumer en public ? Sous prétexte par exemple, que la fumée secondaire ne serait pas nocive.
J'aimerais être là pour voir ca !
Ben ils vont la légaliser et mettre plein d'interdit d'en fumer tout partout...
J'aimerais être là pour voir ca !
Ben ils vont la légaliser et mettre plein d'interdit d'en fumer tout partout...
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Fleur de Jasmin
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bobépine a écrit
..je peux aussi ajouter la crême de menthe
Souvent, les bébés ou très jeunes enfants, aiment le goût de la bouésson. Faut toujours les surveiller les petits v'limeux.
..je peux aussi ajouter la crême de menthe
Souvent, les bébés ou très jeunes enfants, aiment le goût de la bouésson. Faut toujours les surveiller les petits v'limeux.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
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Dove* a écrit Ben ils vont la légaliser et mettre plein d'interdit d'en fumer tout partout...
J'ai hâte de voir si, ca ferait du chiâlage.
J'ai hâte de voir si, ca ferait du chiâlage.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)