LE DOMAINE BLEU

J'ai écouté l'entrevue et j'ai ressenti un profond malaise. Cette fille-là avait appris son discours par coeur. Elle savait exactement quoi répondre, quoi dire pour influencer les gens. Tout dans son attitude envoyait un message. Pourquoi ces cheveux de femmes battue, ces yeux morts, cette attitude détachée? Où donc était la Karla pleine de vitalité qu'on a vu sur les photos à la prison? Non, je n'achète pas. Et effectivement, je crois qu'elle s'est beaucoup montrée et que maintenant elle va changer son apparence au complet. Elle est loin d'être bête cette fille, oh que non.

Ce qui m'agaçait le plus, c'est quand elle baissait les yeux à tout bout de champ quand elle répondait. Personne ne ferme les yeux ainsi en parlant à moins de vouloir cacher quelque chose. Il est évident pour moi que c'est une comédie. N'oublions pas qu'elle a décroché un bac en psycho, elle en sait pas mal plus que la majorité des gens sur le fonctionnement du cerveau...enfin, c'est mon opinion. Je lui souhaite bonne chance, mais...
Des reporters de Radio-Canada demandaient aux gens ce matin ce qu'ils feraient si Karla était leur voisine; je vous pose la même question.

si elle serait ma voisine???

Je ne ferais rien....qu'est-ce que tu voudrais que je fasse...en étant au courant...des faits... c est pas plus pire...que d avoir un autre voisin..dont on ne connait absolument rien et pourtant a qui on peut faire confiance....

gingerstar  a écrit

Il me semble justement que c'est sa maladie qui la rend dangereuse...





Peut-être ,
mais personne ne peux prédire ce qu'elle deviendra ...
je ne cherche pas a la défendre , seulement a comprendre

La question de vouloir condamnée jugée ou pardonnée ...ce n'est pas a moi de le faire .
tout ce que je sais ,c'est que je ne l'envie pas une miette !

Aimons-nous quand même
Aimons-nous jour après jour
Aimons-nous quand même
Aimons-nous malgré l'amour

Aimons-nous de rage
Aimons-nous mais sans pitié
Aimons-nous en cage
Aimons-nous sans amitié

Deux mille ans de haine
N'ont rien changé à l'amour
Pour briser nos chaînes
Sonnent canons et tambours

C'est l'amour qui gronde
L'amour avance à grands pas
Détruira le monde
Par l'amour, tu combats

Je t'aime, tu m'aimes, il m'aime
Nous vous aimons, vous nous aimez
Il m'aime, il t'aime, ils aiment

Aimons-nous quand même
La mort unit sans retour
Aimons-nous, je t'aime
Je te tuerai mon amour

L'amour nous préserve
Des remords de nos tueries
On tue sans réserve
Par amour de sa patrie

On vit sans histoire
Lorsque l'on vit sans aimer
L'amour c'est la gloire
La puissance et l'amitié

Aimons sans contrainte
Aimons-nous comme il se doit
Resserrons l'étreinte
Qui nous étouffera de joie

Je m'aime, tu t'aimes, il s'aime
Nous nous aimons, vous vous aimez
Ils s'aiment, s'aimeront

si ce serait ma voisine  bof je sais pas trop des fois c mieux de savoir a qui t,a affaire

Je crois que c'est envers le système de justice À REVOIR qu'il faudrait s'acharner maintenant!

Sortir dans les rues, exiger des sentences plus lourdes, exiger une loi pour pourvoir revenir en arrière lors d'une entente hors cours dès qu'il y a de nouveaux éléments. Comme ça il y aura moins de criminel dangereux comme Karla qui bénéficiront de la protèction du système.

Exigeont un système de justice qui protège d'avantage les citoyens que les criminels. Tout est à revoir!

Exigeont également l'ajout de plusieurs pénitenciers, comme ça été suggéré plus haut!

Edit: Exigeont aussi le retour des malades mentaux dangereux en mileu hospitalié.

Maintenant qu'on l'a vu la Karla, on peut ou moins être vigilant si on la rencontre en espérant qu'elle ne modifie pas trop son apparance. Ça devrait lui être interdis, d'ailleurs. Je ne serais pas très rassurée de la savoir dans la nature avec l'impossibilité de l'idenfier comme les nombreux autres criminels qui restent malheureusement inconnus(es) et qui récidivent sans que personne ait eu la chance d'être vigilant.

L'idée lancée par quelqu'un plus haut, de faire un genre de 7 jours pour identifier tous criminels dangereux qui ont bénéficiés du système précaire que nous avons présentement et qui sont désormais libres ou le seront bientôt, serait bien aussi.

En esprérant qu'un jours le système de justice soit assez sévert pour que nous n'ayons plus à se poser ces questions d'identification et de vigilance face à ces dangés potenciels qu'ont libert à la pelle actuellement!

Des gens comme Karla ou Mario Bastien, ne doivent plus être libérés sur un coup de dé lancé ici et là, comme ça pour le fun. Ça n'a pas de sens! Un retour au gros bon sens s'impose plus que jamais! --Message edité par Thewinneris le 2005-07-05 15:51:11--

Karla a un peu trop parlé au Je. Elle ne se souciait que d'elle. Elle aurait pu au moins s'excuser auprès de la famille des victimes, chose qu'elle n'a pas fait. Donc ses remors je ne les crois pas. Facile d'avoir des remords un coup tu as été poigné et que tu dois sortir et que tu veux la paix.

Masabi01  a écritKarla a un peu trop parlé au Je. Elle ne se souciait que d'elle. Elle aurait pu au moins s'excuser auprès de la famille des victimes, chose qu'elle n'a pas fait. Donc ses remors je ne les crois pas. Facile d'avoir des remords un coup tu as été poigné et que tu dois sortir et que tu veux la paix.


un jugement de la semaine passé. lui interdit de s'adressé au famille des victimes

et de un...les excuses elle n'a pas a le faire devant nous....ca concerne la famille des victimes...et nous ne sommes pas au courants de tout....ce qui est tout a fait normal...

Je ne sais pas si cette article avait déja été posté...et en rouge....ce qui explique son grand plaisir a particper...(concernant vidéo)

Le Devoir

Karla Homolka: une femme traquée
Chronique du passage d'une femme dangereuse à une femme en danger?

Sylvie Frigon
Professeure titulaire et directrice du département de criminologie, Université d'Ottawa

Édition du mardi 21 juin 2005

Après l'état de siège à Joliette, les projecteurs, les antennes paraboliques, les caméras ont disparu; les journalistes, techniciens de divers réseaux de télévision, monsieur et madame Tout-le-monde sont rentrés chez eux. Le cirque est démantelé. Le chapiteau démonté.




Avant de se pencher sur le jugement du juge Beaulieu, il me semble important de remettre en contexte l'affaire Bernardo-Homolka. On sait qu'elle a fait connaissance de Paul Bernardo à 17 ans, son prince charmant. Elle se marie avec ce prince et il lui dit pendant leur lune de miel qu'il est le violeur de Scarborough. Comme cadeau de mariage, il la viole et la bat.

À la lumière de la transcrïption de témoignages lors des différents procès, on apprend qu'elle est victime de Paul Bernardo : il la terrorise, la menace, menace sa famille, il la blesse sérieusement à plusieurs reprises, il lui fait même manger ses excréments. Elle participe aux vidéos non sans résistance, mais sa résistance sera matée brutalement et les bandes vidéo reprises afin qu'elle affiche un large sourire, qu'elle montre qu'elle aime cela. La preuve amenée pendant le procès montre que Karla Homolka affiche certains traits caractéristiques reliés au syndrome de la femme battue.

En échange de son témoignage, nécessaire à la condamnation de Paul Bernardo comme criminel dangereux à cette époque, on conclu un marché. Cette pratique existe au Canada depuis 150 ans et sert d'assise fondamentale au système de justice pénal actuel. Il est évident que ce marché n'aurait pas été nécessaire et réalisé si ces cassettes avaient été rendues publiques. Mais c'est ce qui s'est passé et qui provoque un tel raz-de-marée de colère et de désir de vengeance.



Elle a purgé sa peine de 12 ans entièrement -- fait plutôt exceptionnel. Malgré les recommandations majoritaires d'experts psychiatres en faveur d'une libération ponctuelle et graduelle afin de préparer sa sortie en 2001 et 2002, elle ne pourra bénéficier d'une libération conditionnelle. Le risque toujours possible était non assumable politiquement et non scientifiquement.




Pourtant, force est de constater que la majorité des psychiatres recommandaient sa libération progressive. Leur expertise, leur diagnostic et leur pronostic seront rendus inaudibles et presque indicibles. La Commission des libérations conditionnelles a, semble-t-il, fondé sa décision, en partie du moins, sur des facteurs autres que les expertises soumises quant aux risques de récidive.



Étant donné que ce type de délinquance au féminin est un phénomène extrêmement rare, que les outils d'évaluation ont été conceptualisés et mis à l'épreuve par, pour et avec des hommes, les gestes de ces femmes restent énigmatiques. Les femmes violentes restent un tabou. Le Service correctionnel du Canada a même dû inventer des programmes de traitement pour délinquantes sexuelles pour Karla Homolka.

Pourquoi une telle fascination pour cette femme ? Cette figure cristallise les peurs qu'on a de cette prétendue nouvelle catégorie de femmes violentes, qui fait écho au cinéma hollywoodien à la Fatal Attraction et au genre fort exploité mettant en scène des super-bitch killer beauties. L'iconographie de Karla Homolka oscille entre une femme dangereuse et en danger.

Nous faisons maintenant face à sa (ré)insertion. Mais comme femme traquée comment pourra-t-elle réussir celle-ci ? Comment pourra-t-elle trouver un logement, rencontrer un employeur potentiel, rentrer en relation de couple, aller faire son marché, aller au parc ? Les médias ont un rôle important et potentiellement destructeur. Ils nourrissent, entretiennent une intolérance en faisant l'économie d'une vraie discussion sur le sensationnalisme, la médiatisation de telles affaires, le travail des policiers, la réinsertion sociale des personnes judiciarisées, pour ne nommer que ceux-ci.

C'est dans ce contexte que les audiences ont pris l'affiche au Palais de justice de Joliette les 2 et 3 juin et auront scellé le destin de Karla Homolka. Le Dr Louis Morissette tenait le premier rôle et était le dernier des experts à rencontrer Mme Homolka en mai 2005 et il affirmera que, d'après les indices cliniques et historiques, elle ne représente pas un risque plus élevé que les autres détenues en établissement fédéral.

Ayant une faible estime d'elle-même, Karla Homolka avait fait la rencontre de Paul Bernardo, un narcissique, ce qui a produit un cocktail explosif. Elle aurait fait un mauvais choix. Mais est-ce qu'elle s'apprête à en faire un autre ? La correspondance révélée avec un détenu condamné pour l'homicide de sa conjointe représente une zone d'ombre. Si Bernardo l'avait envoûtée, contrôlée, terrorisée et poussée à participer à de tels crimes, que penser de cette relation épistolaire érotique ?

Vie souterraine

Comme prévu, une longue liste de conditions restrictives a été imposée pour une période de 12 mois et potentiellement renouvelables. Madame Homolka devra afficher sa liste de conditions telle une liste d'épicerie sur son frigo. La liste comprend, notamment : de se présenter au poste de police dès sa sortie de prison puis le premier vendredi de chaque mois; ne pas fréquenter quiconque possédant un casier judiciaire pour crime avec violence; ne pas entrer en communication avec Paul Bernardo et sa famille ou la famille des victimes; fournir un échantillon d'ADN avant sa sortie de prison (ce qu'elle avait déjà accepté de faire); poursuivre sa thérapie et ne pas occuper de poste d'autorité auprès de jeunes de moins de 16 ans.

Une chose est claire : le facteur-clé qui a sonné l'alarme est la correspondance avec le détenu reconnu coupable de l'homicide de sa conjointe. Par ailleurs, les conditions ont été émises étant donné les particularités du cas, car il faut bien rappeler que le fait de côtoyer un détenu ou un ex-détenu ne devrait pas être interprété comme constituant nécessairement un facteur de risque de récidive.

Cette femme marquée et traquée de toutes parts est confinée, condamnée et emprisonnée (encore une fois) dans une logique de siège, de traque et de délation à sa sortie. «On la suivra à la trace», promet Dalton McGuinty, premier ministre de l'Ontario, à ses électeurs. Ne la condamnons-nous pas à se faire une vie souterraine, NDG ou pas ?

Et pourquoi pas NDG ? On préférerait peut-être Saint-Henri, Pointe-Saint-Charles, la Main ou Sanguinet ? Le syndrome «pas dans ma cour» dans toute sa splendeur. L'histoire pourrait être racontée à la manière de Minette Walters comme dans Acid Row (2001) qui donne froid dans le dos dans cet univers de vengeance, de sièges, de pièges, d'ignorances, de certitudes troubles et de justiciers de tout acabit. --Message edité par °Cybelle° le 2005-07-05 16:20:41--

J`ai écouté son entrevue hier soir à SRC ; elle est loin d`être jolie, relativement maganée avec ses yeux à moitié-mort-ouvert.

--Si je la crois? disons que oui en lui donnant le bénifice du doute. Je me dis que cette fille était sous l`emprise de Bernardo et que si elle ne l`avait jamais rencontré de sa vie, probable qu`elle n`aurait pas eu un destin de meurtrière. Après tout, Bernardo avait un bout de vécu lui en tant que meurtrier et c`est lui qui l a influencer fortement, sous menaces et coups. Et elle était jeune, innocente.....malheureusement pour elle, sa rencontre avec Bernardo l`a chaviré.

--Par contre, c`est assez spécial les gestes qu`elle a commis, une femme en plus, tuer sa soeur. Ca court pas les rues aller jusqu`au meurtre, mais faut pas se cacher non plus que la violence chez les femmes est bel et bien existante et de plus en plus physique.

--Si j`aurais peur qu`elle soit ma voisine? : pas du tout, je l`aurais à l`oeil plus facilement que si elle vit loin.

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Mais dans toute cette histoire, j`en veux particulièrement aux policiers ou enquêteurs lors de son procès. J`ai hâte qu`ils arrêtent de "troquer" de la délation contre une peine de prison plus courte. Je trouve qu`ils vont contre le juge.....elle a eu en effet comme sentence la prison à vie.....mais en "stoolant" Bernardo, elle a eu 12 ans et au cours de ces 12 années, le droit de sortir lui a été refusé à 3 reprises. Alors, c`est possible que sa sortie de prison soit trop tôt et je me demande qui sort de prison, réhabilité? Peut-être elle?

Je ne suis pas certaine à 100%, mais ca m`étonnerait que cette fille tue à nouveau....à moins qu`elle tombe à nouveau sur un crack-pot, et que ca ce soit cela qu`elle recherche.

Et c`était quoi ces 2 imbéciles d`avocats hier......qui eux couraient les palais de justice pour ne pas que Karla soit vu par les journalistes, tandis que elle, elle était assise de son gré devant une journaliste en pleine TV......vraiment, c`pas fort tout ca.

Et c`était quoi ces 2 imbéciles d`avocats hier......qui eux couraient les palais de justice pour ne pas que Karla soit vu par les journalistes, tandis que elle, elle était assise de son gré devant une journaliste en pleine TV......vraiment, c`pas fort tout ca.  (Laurry)

C'était tordant; on aurait dit que la main gauche ne savait pas ce que faisait la main droite! (Karla faisait une chose et eux en faisait une autre! Ils n'étaient pas sur la même longueur d'ondes!)

Il y a une chose que je ne comprend pas dans l'article cité en rouge par Cybelle!

Lorsqu'il est dit que la famille de Karla recevait également des menace de Bernardo, pourquoi Karla hier à dit que ses parents croyaient que Bernardo était numéro un grâce à ses manipulations? On est loin des menaces! --Message edité par Thewinneris le 2005-07-05 17:59:54--

Thewinneris  a écritIl y a une chose que je ne comprend pas dans l'article cité en rouge par Cybelle!

Lorsqu'il est dit que la famille de Karla recevait également des menace de Bernardo, pourquoi Karla hier à dit que ses parents croyaient que Bernardo était numéro un grâce à ses manipulations? On est loin des menaces!  

Bonne décuction....

Glugibran  a écrit
Des reporters de Radio-Canada demandaient aux gens ce matin ce qu'ils feraient si Karla était leur voisine; je vous pose la même question.

Je n'échangerais jamais ma voisine: une gentille travailleuse sociale qui travaille au même centre hospitalier que moi contre Karla Homolka!

Ce que je ferais si Karla devenait ma voisine: beaucoup de cauchemars, je serais toujours un peu inquiète, je crois que je deviendrais un peu mémère, guettant ses allées et venues, scrutant ses visiteurs...Crime c'est peut-être moi qui deviendrais une mauvaise voisine.  

Thewinneris  a écritIl y a une chose que je ne comprend pas dans l'article cité en rouge par Cybelle!

Lorsqu'il est dit que la famille de Karla recevait également des menace de Bernardo, pourquoi Karla hier à dit que ses parents croyaient que Bernardo était numéro un grâce à ses manipulations? On est loin des menaces!  

Peut-être que Karla s'est imaginé qu'il y avait moins de détails sur son histoire qui à été véhiculé au Québec ... Et du coup à commis quelque bévue hier en entrevue ... Car effectivement il y avait quelque contracdiction

Elle mise trop sur le Québec et le Québecois, elle nous imagine naif surment et moins au courrant et hier elle y est allé dans une belle prestation orchestré avec finesse  

Mon opinion est simple, cette entrevue je l'aurrais nommé " Le calcul "  Tout fut calculé au milimètre près et visionné comme il faut avant toute autorisation de télédiffusion --Message edité par Amalgame le 2005-07-05 19:18:04--

Amalgame  a écrit

Peut-être que Karla s'est imaginé qu'il y avait moins de détails sur son histoire qui à été véhiculé au Québec ... Et du coup à commis quelque bévue hier en entrevue ... Car effectivement il y avait quelque contracdiction

Elle mise trop sur le Québec et le Québecois, elle nous imagine naif surment et moins au courrant et hier elle y est allé dans une belle prestation orchestré avec finesse  

Mon opinion est simple, cette entrevue je l'aurrais nommé " Le calcule "  Tout fut calculé au milimètre près et visionné comme il faut avant toute autorisation de publication  

Oui, je crois aussi qu'elle a choisi le Québec parce qu'elle croit que nous sommes plus naïfs et moins bien renseignés qu'en Ontario. Elle a refusé de répondre aux questions qui nous auraient permis d'en apprendre un peu plus sur elle. Deplus en mentionnant qu'elle était une personne très "privée" ça permettait d'expliquer pourquoi ses compagnes de prisons l'ont décrite comme n'ayant aucun remord.

Il est clair qu'elle a donné cette entrevue pour sauver sa peau. Je crois aussi que ses yeux à l'allure de morte-vivante étaient ainsi parce qu'elle avait pris des calmants.

oui ses yeux.........sont pas si mort que ça , lorsqu'on l'a vue sourire a quelques rares occasions.......Je trouvais qu'elle se ressemblait encore beaucoup.....

Et oui ici , les gens connaissent peu son histoire.... --Message edité par Renatane le 2005-07-05 19:24:13--

gingerstar  a écrit

Oui, je crois aussi qu'elle a choisi le Québec parce qu'elle croit que nous sommes plus naïfs et moins bien renseignés qu'en Ontario. Elle a refusé de répondre aux questions qui nous auraient permis d'en apprendre un peu plus sur elle. Deplus en mentionnant qu'elle était une personne très "privée" ça permettait d'expliquer pourquoi ses compagnes de prisons l'ont décrite comme n'ayant aucun remord.

Il est clair qu'elle a donné cette entrevue pour sauver sa peau. Je crois aussi que ses yeux à l'allure de morte-vivante étaient ainsi parce qu'elle avait pris des calmants.




Voila toute la ligne de ma pensée Gingerstar  

Les yeux, ce sont surtout eux que j'ai tenté de fixer lors des brefs et rares plans de face ... Calmant certe je le crois, et aussi plusieurs nuits blanches j'imagine. Facile de faire en sorte d'avoir l'air poché par le remord et la peur ect...

J'avais hâte aussi a un vrai sourir de Karla, il fut long à arriver, mais quand il est venu c'est étonnant comment tout ces cernes remontaient et surtout la peau du visage était moins tendu et tirré vers le bas, je me suis dit " Ha voila son vrai visage "  

j'ai bien plus peur de bernardo que de k homolka

nancy31f  a écritj'ai bien plus peur de bernardo que de k homolka

ca va prendre du temps avant que Bernardo, sorte de prison.


rassure toi,