Publié : lun. août 27, 2007 3:27 pm
Lison48 a écritVoici une mise à jour:
Le vendredi 24 août 2007
Les amants attendaient "en haut de la côte" que monsieur s'endorme
Le Droit
Début hier, de l'enquête sur remise en liberté de cette dame de 43 ans accusée d'agression sexuelle et de complot pour agression sexuelle sur son conjoint, crimes qui auraient été commis avec la complicité des deux amants de celle-ci.
On en a donc appris un peu plus hier, sur cette histoire rocambolesque dont Le Droit faisait état en début de semaine, notamment sur les habitudes sexuelles de l'accusée qui demandait à ses deux amants d'avoir des relations sexuelles avec son conjoint qu'elle avait préalablement drogué au GHB (drogue du viol).
L'enquêteur Dominique Lafrenière de la police de la MRC des Collines a expliqué que l'accusée, dans une déclaration vidéo, corrobore la version de la victime et admet qu'elle droguait son conjoint pour ensuite appeler ses deux amants et tout ce beau monde avait par la suite des relations sexuelles entre eux, mais aussi avec la victime et ce alors que celle-ci (la victime) n'en avait aucune connaissance.
Selon l'enquête policière, sur une période de 20 mois, la victime aurait ainsi été agressée à une trentaine de reprises entre juillet 2005 et le 26 mars 2007, date à laquelle l'accusée a finalement avoué à la victime ce qui se passait pendant son sommeil.
Le signal
L'enquêteur Lafrenière a indiqué qu'au début, seule l'accusée avait une relation sexuelle avec le conjoint drogué, mais que plus tard, la femme de 43 ans a d'abord invité un premier amant puis un second. Les amants attendaient "en haut de la côte" que l'accusé leur donne le signal à l'effet que la victime dormait.
Selon le policier, la victime a commencé à se questionner en constatant que lorsque l'accusée se trouvait avec lui, ses habitudes nocturnes étaient perturbées, notamment le fait qu'il n'allait pas à la salle de bain pendant la nuit.
La victime a aussi commencé à éprouver des douleurs anales qui ont finalement trouvé leurs explications dans les aveux graduels faits par la victime, aveux qui ont été complets en mars 2007.
M. Lafrenière explique que la victime avoue une dépendance affective envers l'accusée, dépendance qui a fait qu'il se sentait incapable de mettre fin définitivement à sa relation avec la dame même si l'accusée confirmait graduellement ses craintes à l'effet qu'il se passait quelque chose pendant son sommeil.
L'enquête sur remise en liberté se poursuit aujourd'hui.
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 90/CPDROIT
Elle est vraiment dérangé cette femme
Le vendredi 24 août 2007
Les amants attendaient "en haut de la côte" que monsieur s'endorme
Le Droit
Début hier, de l'enquête sur remise en liberté de cette dame de 43 ans accusée d'agression sexuelle et de complot pour agression sexuelle sur son conjoint, crimes qui auraient été commis avec la complicité des deux amants de celle-ci.
On en a donc appris un peu plus hier, sur cette histoire rocambolesque dont Le Droit faisait état en début de semaine, notamment sur les habitudes sexuelles de l'accusée qui demandait à ses deux amants d'avoir des relations sexuelles avec son conjoint qu'elle avait préalablement drogué au GHB (drogue du viol).
L'enquêteur Dominique Lafrenière de la police de la MRC des Collines a expliqué que l'accusée, dans une déclaration vidéo, corrobore la version de la victime et admet qu'elle droguait son conjoint pour ensuite appeler ses deux amants et tout ce beau monde avait par la suite des relations sexuelles entre eux, mais aussi avec la victime et ce alors que celle-ci (la victime) n'en avait aucune connaissance.
Selon l'enquête policière, sur une période de 20 mois, la victime aurait ainsi été agressée à une trentaine de reprises entre juillet 2005 et le 26 mars 2007, date à laquelle l'accusée a finalement avoué à la victime ce qui se passait pendant son sommeil.
Le signal
L'enquêteur Lafrenière a indiqué qu'au début, seule l'accusée avait une relation sexuelle avec le conjoint drogué, mais que plus tard, la femme de 43 ans a d'abord invité un premier amant puis un second. Les amants attendaient "en haut de la côte" que l'accusé leur donne le signal à l'effet que la victime dormait.
Selon le policier, la victime a commencé à se questionner en constatant que lorsque l'accusée se trouvait avec lui, ses habitudes nocturnes étaient perturbées, notamment le fait qu'il n'allait pas à la salle de bain pendant la nuit.
La victime a aussi commencé à éprouver des douleurs anales qui ont finalement trouvé leurs explications dans les aveux graduels faits par la victime, aveux qui ont été complets en mars 2007.
M. Lafrenière explique que la victime avoue une dépendance affective envers l'accusée, dépendance qui a fait qu'il se sentait incapable de mettre fin définitivement à sa relation avec la dame même si l'accusée confirmait graduellement ses craintes à l'effet qu'il se passait quelque chose pendant son sommeil.
L'enquête sur remise en liberté se poursuit aujourd'hui.
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 90/CPDROIT
Elle est vraiment dérangé cette femme