FAITS DIVERS
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Citation :
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
Le mercredi 14 juin 2006
Deux jeunes touristes montréalaises poignardées à New York
AP
New York
Deux jeunes touristes montréalaises ont été blessées lors d'une agression au couteau, dans la nuit de mercredi à New York.
L'une avait déjà quitté l'hôpital St.Vincent mercredi; l'autre devra subir une intervention chirurgicale pour une blessure au bas du dos, mais son état n'inspire aucune crainte.
Selon la police de l'endroit, Mélanie Carrier, âgée de 22 ans, et Audrey Perrier, âgée de 25 ans, ont été attaquées à la sortie de l'hôtel W, sur Times Square, au coeur de Manhattan, vers 4 heures du matin.
La police interrogeait un suspect après que deux autres personnes, vraisemblablement choisies au hasard, aient été aussi poignardées. Au nombre des quatre blessés figure un Texan, dont l'état est jugé critique mais qui devrait s'en tirer, a indiqué la police.
Selon les autorités, les quatre victimes ont été attaquées à quelques heures d'intervalle. C'est lors de la dernière agression que les deux Montréalaises ont été poignardées.
Des responsables de la sécurité de l'hôtel ainsi qu'un chauffeur de taxi, témoins de la scène, ont suivi l'agresseur jusque dans un commerce de restauration rapide, où la police a procédé à l'arrestation d'un individu.
Les enquêteurs ne savaient pas encore mercredi après-midi si le même homme, âgé de 25 ans, était responsable de deux autres agressions au couteau commises dans le métro de New York quelques heures plus tôt.
Environ une heure avant l'agression contre les deux Montréalaises, un homme qui attendait le métro sur le quai de la station Rockefeller Center a été poignardé à deux reprises, apparemment lors d'une tentative de vol. L'homme a été hospitalisé et son état est jugé stable.
Mardi après-midi, Christopher McCarthy, âgé de 21 ans, de Houston, a été transporté à l'hôpital dans un état critique après avoir été poignardé par un homme assis devant lui dans le métro. Selon des témoins, l'agresseur était âgé d'une vingtaine d'années.
La police a indiqué que cette attaque semblait être gratuite et qu'aucun mot n'avait été échangé entre les deux hommes.
Le suspect était connu des policiers, ayant été arrêté à plusieurs reprises dans le passé à New York et à Boston.
J'en connais une des deux! --Message edité par BouleAMites_ le 2006-06-14 17:48:50--
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
Le mercredi 14 juin 2006
Deux jeunes touristes montréalaises poignardées à New York
AP
New York
Deux jeunes touristes montréalaises ont été blessées lors d'une agression au couteau, dans la nuit de mercredi à New York.
L'une avait déjà quitté l'hôpital St.Vincent mercredi; l'autre devra subir une intervention chirurgicale pour une blessure au bas du dos, mais son état n'inspire aucune crainte.
Selon la police de l'endroit, Mélanie Carrier, âgée de 22 ans, et Audrey Perrier, âgée de 25 ans, ont été attaquées à la sortie de l'hôtel W, sur Times Square, au coeur de Manhattan, vers 4 heures du matin.
La police interrogeait un suspect après que deux autres personnes, vraisemblablement choisies au hasard, aient été aussi poignardées. Au nombre des quatre blessés figure un Texan, dont l'état est jugé critique mais qui devrait s'en tirer, a indiqué la police.
Selon les autorités, les quatre victimes ont été attaquées à quelques heures d'intervalle. C'est lors de la dernière agression que les deux Montréalaises ont été poignardées.
Des responsables de la sécurité de l'hôtel ainsi qu'un chauffeur de taxi, témoins de la scène, ont suivi l'agresseur jusque dans un commerce de restauration rapide, où la police a procédé à l'arrestation d'un individu.
Les enquêteurs ne savaient pas encore mercredi après-midi si le même homme, âgé de 25 ans, était responsable de deux autres agressions au couteau commises dans le métro de New York quelques heures plus tôt.
Environ une heure avant l'agression contre les deux Montréalaises, un homme qui attendait le métro sur le quai de la station Rockefeller Center a été poignardé à deux reprises, apparemment lors d'une tentative de vol. L'homme a été hospitalisé et son état est jugé stable.
Mardi après-midi, Christopher McCarthy, âgé de 21 ans, de Houston, a été transporté à l'hôpital dans un état critique après avoir été poignardé par un homme assis devant lui dans le métro. Selon des témoins, l'agresseur était âgé d'une vingtaine d'années.
La police a indiqué que cette attaque semblait être gratuite et qu'aucun mot n'avait été échangé entre les deux hommes.
Le suspect était connu des policiers, ayant été arrêté à plusieurs reprises dans le passé à New York et à Boston.
J'en connais une des deux! --Message edité par BouleAMites_ le 2006-06-14 17:48:50--
Meurtrier américain arrêté à Montréal
L'homme pourrait faire face à la peine de mort
Les agents ont procédé à l'arrestation d'un dangereux criminel américain recherché pour meurtre aux États-Unis.
Roger Eugene Shephard, 21 ans, aurait assassiné le commis d'une boutique de prêts sur gages jeudi dernier en Caroline du Sud.
Jeudi après-midi, Roger Eugene Shephard, 21 ans, s'est présenté dans une armurerie de Easley, en Caroline du Sud, pour commettre un vol à main armée.
Il aurait fait feu à deux reprises en direction du propriétaire du commerce âgé de 65 ans, l'atteignant mortellement.
Comme le meurtre a été commis dans l'État de la Caroline du Sud, si Shephard devait être reconnu coupable, il serait alors passible de la peine de mort.
Avant de prendre la fuite à bord d'un véhicule, Shephard s'est emparé de diverses marchandises.
Dans les heures qui ont suivi le crime, un mandat d'arrestation accompagné d'une fiche signalétique a été transmis à divers corps policiers des États-Unis et du Canada.
Selon certaines indications, Shephard aurait franchi illégalement la frontière canadienne vendredi. Ce n'est qu'en fin de soirée qu'il a été localisé à Montréal.
Des membres du Groupe tactique d'intervention de la police de Montréal ont procédé à son arrestation à l'heure du midi, samedi. Il était à bord de son véhicule à l'angle de Sherbrooke et George-V, dans l'est de la métropole.
«Il n'a opposé aucune résistance. À bord de son véhicule, on a pu trouver plusieurs armes à feu. On a trouvé également un casque de combat, une veste pare-balles ainsi qu'un masque à gaz. Il semble que le suspect était membre de la Garde nationale, l'armée, aux États-Unis», explique Laurent Gingras, du SPVM.
Shephard, qui a été arrêté en vertu de la loi sur l'immigration, doit faire face à des accusations de meurtre, de tentative de meurtre, de vol à main armée et de possession illégale d'arme.
Il demeurera détenu jusqu'à ce qu'il soit confié aux autorités américaines au cours des prochains jours.
En vidéo, écoutez le reportage d’André Jobin.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 95959.html
L'homme pourrait faire face à la peine de mort
Les agents ont procédé à l'arrestation d'un dangereux criminel américain recherché pour meurtre aux États-Unis.
Roger Eugene Shephard, 21 ans, aurait assassiné le commis d'une boutique de prêts sur gages jeudi dernier en Caroline du Sud.
Jeudi après-midi, Roger Eugene Shephard, 21 ans, s'est présenté dans une armurerie de Easley, en Caroline du Sud, pour commettre un vol à main armée.
Il aurait fait feu à deux reprises en direction du propriétaire du commerce âgé de 65 ans, l'atteignant mortellement.
Comme le meurtre a été commis dans l'État de la Caroline du Sud, si Shephard devait être reconnu coupable, il serait alors passible de la peine de mort.
Avant de prendre la fuite à bord d'un véhicule, Shephard s'est emparé de diverses marchandises.
Dans les heures qui ont suivi le crime, un mandat d'arrestation accompagné d'une fiche signalétique a été transmis à divers corps policiers des États-Unis et du Canada.
Selon certaines indications, Shephard aurait franchi illégalement la frontière canadienne vendredi. Ce n'est qu'en fin de soirée qu'il a été localisé à Montréal.
Des membres du Groupe tactique d'intervention de la police de Montréal ont procédé à son arrestation à l'heure du midi, samedi. Il était à bord de son véhicule à l'angle de Sherbrooke et George-V, dans l'est de la métropole.
«Il n'a opposé aucune résistance. À bord de son véhicule, on a pu trouver plusieurs armes à feu. On a trouvé également un casque de combat, une veste pare-balles ainsi qu'un masque à gaz. Il semble que le suspect était membre de la Garde nationale, l'armée, aux États-Unis», explique Laurent Gingras, du SPVM.
Shephard, qui a été arrêté en vertu de la loi sur l'immigration, doit faire face à des accusations de meurtre, de tentative de meurtre, de vol à main armée et de possession illégale d'arme.
Il demeurera détenu jusqu'à ce qu'il soit confié aux autorités américaines au cours des prochains jours.
En vidéo, écoutez le reportage d’André Jobin.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 95959.html
Dix criminels les plus recherchés
Les policiers mettent la main au collet de Jean Pierrin
Les autorités policières obtiennent déjà des résultats concluants du site Internet des 10 criminels les plus recherchés au Québec.
L'un de ces criminels, Jean Pierrin a été arrêté lundi soir.
Ce sont les policiers de la Ville de Québec qui ont mis la main au collet de celui qui est associé, entre autres, au Wolf Pack.
Il a été arrêté vers 23h dans un appartement de Sainte-Foy.
Il doit comparaître mardi matin pour double tentative de meurtre.
La Sûreté du Québec avait lancé ce site Internet la semaine dernière.
En vidéo, écoutez les explications de Denis Therriault.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 91657.html
Les policiers mettent la main au collet de Jean Pierrin
Les autorités policières obtiennent déjà des résultats concluants du site Internet des 10 criminels les plus recherchés au Québec.
L'un de ces criminels, Jean Pierrin a été arrêté lundi soir.
Ce sont les policiers de la Ville de Québec qui ont mis la main au collet de celui qui est associé, entre autres, au Wolf Pack.
Il a été arrêté vers 23h dans un appartement de Sainte-Foy.
Il doit comparaître mardi matin pour double tentative de meurtre.
La Sûreté du Québec avait lancé ce site Internet la semaine dernière.
En vidéo, écoutez les explications de Denis Therriault.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 91657.html
Meurtre de 11 enfants
Un tueur en série pourrait être libéré
Le quotidien Globe and Mail rapporte dans son édition de mercredi qu'un des pires tueurs en série de l'histoire canadienne, Clifford Olson, se présentera le mois prochain devant la Commission nationale des libérations conditionnelles.
Olson, condamné à l'emprisonnement à perpétuité pour les meurtres de 11 enfants en Colombie-Britannique, aura complété sa période de 25 ans de détention dans deux mois. Il est âgé de 66 ans.
L'audience se déroulerait au pénitencier fédéral québécois où il est détenu. En 1982, Olson avait plaidé coupable à 11 chefs d'accusation de meurtre, après avoir conclu une entente avec la police et le procureur général de la Colombie-Britannique.
Selon l'entente très controversée, Olson avait conduit la police jusqu’aux cadavres et effets personnels de plusieurs de ses victimes, en échange de 100 000 $ versés à sa famille.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 92447.html
Un tueur en série pourrait être libéré
Le quotidien Globe and Mail rapporte dans son édition de mercredi qu'un des pires tueurs en série de l'histoire canadienne, Clifford Olson, se présentera le mois prochain devant la Commission nationale des libérations conditionnelles.
Olson, condamné à l'emprisonnement à perpétuité pour les meurtres de 11 enfants en Colombie-Britannique, aura complété sa période de 25 ans de détention dans deux mois. Il est âgé de 66 ans.
L'audience se déroulerait au pénitencier fédéral québécois où il est détenu. En 1982, Olson avait plaidé coupable à 11 chefs d'accusation de meurtre, après avoir conclu une entente avec la police et le procureur général de la Colombie-Britannique.
Selon l'entente très controversée, Olson avait conduit la police jusqu’aux cadavres et effets personnels de plusieurs de ses victimes, en échange de 100 000 $ versés à sa famille.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 92447.html
Le mardi 04 juillet 2006
Après 20 ans dans le coma, il retrouve la parole
Presse Canadienne
New York
Terry Wallis a toujours besoin d'aide pour manger et ne peut marcher, mais sa capacité de parler continue de s'améliorer et il peut compter jusqu'à 25 sans interruption, malgré 20 années passées dans un état proche de l'inconscience.
Photo AP
Après 20 ans dans le coma, il retrouve la parole
Presse Canadienne
New York
Les médecins viennent d'obtenir la preuve qu'un homme resté pendant près de 20 ans dans un état proche de l'inconscience a retrouvé la capacité de parler et de se mouvoir parce que son cerveau s'est lui-même remis en circuit en faisant pousser de nouvelles connexions nerveuses en remplacement de celles qui avaient été tranchées lors d'un accident d'automobile.
Terry Wallis, aujourd'hui âgé de 42 ans, serait la seule personne aux États-Unis à avoir récupéré de façon aussi spectaculaire, aussi longtemps après un grave traumatisme crânien. Il a toujours besoin d'aide pour manger et ne peut marcher, mais sa capacité de parler continue de s'améliorer et il peut compter jusqu'à 25 sans interruption.
Cette amélioration soudaine de l'état de M. Wallis s'est produite il y a trois ans, mais les médecins affirment qu'on ne peut espérer la même chose pour les gens qui se trouvent dans un état végétatif persistant comme l'était Terry Schiavo, cette femme de Floride morte l'an dernier à la suite d'une bataille juridique acharnée autour de l'euthanasie. Les médecins ne savent pas non plus comment amener d'autres patients dont les lésions sont moins graves, comme M. Wallis, à récupérer. Autrement dit, il n'y a pas encore de traitement pour un état comme le sien.
M. Wallis avait 19 ans quand il a subi un traumatisme qui l'a laissé brièvement dans le coma, puis dans un état de conscience minimale pendant plus de 19 ans.
Les fibres nerveuses des cellules de son cerveau étaient coupées, mais les cellules elles-mêmes demeuraient intactes, contrairement à celles de Mme Schiavo, dont les cellules du cerveau étaient mortes, a expliqué un neurologue qui a analysé les recherches menées auprès de M. Wallis.
Ce dernier souffre d'amnésie complète à propos des deux décennies qu'il a passées à peine conscient, mais se rappelle sa vie avant son accident. Jusqu'à récemment, a révélé son père, Terry Wallis était persuadé d'avoir 20 ans.
Les résultats des recherches relatives à M. Wallis ont été publiés lundi dans le Journal of Clinical Investigation.
Après 20 ans dans le coma, il retrouve la parole
Presse Canadienne
New York
Terry Wallis a toujours besoin d'aide pour manger et ne peut marcher, mais sa capacité de parler continue de s'améliorer et il peut compter jusqu'à 25 sans interruption, malgré 20 années passées dans un état proche de l'inconscience.
Photo AP
Après 20 ans dans le coma, il retrouve la parole
Presse Canadienne
New York
Les médecins viennent d'obtenir la preuve qu'un homme resté pendant près de 20 ans dans un état proche de l'inconscience a retrouvé la capacité de parler et de se mouvoir parce que son cerveau s'est lui-même remis en circuit en faisant pousser de nouvelles connexions nerveuses en remplacement de celles qui avaient été tranchées lors d'un accident d'automobile.
Terry Wallis, aujourd'hui âgé de 42 ans, serait la seule personne aux États-Unis à avoir récupéré de façon aussi spectaculaire, aussi longtemps après un grave traumatisme crânien. Il a toujours besoin d'aide pour manger et ne peut marcher, mais sa capacité de parler continue de s'améliorer et il peut compter jusqu'à 25 sans interruption.
Cette amélioration soudaine de l'état de M. Wallis s'est produite il y a trois ans, mais les médecins affirment qu'on ne peut espérer la même chose pour les gens qui se trouvent dans un état végétatif persistant comme l'était Terry Schiavo, cette femme de Floride morte l'an dernier à la suite d'une bataille juridique acharnée autour de l'euthanasie. Les médecins ne savent pas non plus comment amener d'autres patients dont les lésions sont moins graves, comme M. Wallis, à récupérer. Autrement dit, il n'y a pas encore de traitement pour un état comme le sien.
M. Wallis avait 19 ans quand il a subi un traumatisme qui l'a laissé brièvement dans le coma, puis dans un état de conscience minimale pendant plus de 19 ans.
Les fibres nerveuses des cellules de son cerveau étaient coupées, mais les cellules elles-mêmes demeuraient intactes, contrairement à celles de Mme Schiavo, dont les cellules du cerveau étaient mortes, a expliqué un neurologue qui a analysé les recherches menées auprès de M. Wallis.
Ce dernier souffre d'amnésie complète à propos des deux décennies qu'il a passées à peine conscient, mais se rappelle sa vie avant son accident. Jusqu'à récemment, a révélé son père, Terry Wallis était persuadé d'avoir 20 ans.
Les résultats des recherches relatives à M. Wallis ont été publiés lundi dans le Journal of Clinical Investigation.
Le 7 juillet 2006 - 19:03
Des exploitants de la chaîne Casa Grecque condamnés pour fausse déclaration
Presse Canadienne
D'après le ministère du Revenu du Québec, ces entreprises ont admis en Cour n'avoir remis à l'Etat qu'une partie des montants de taxe perçus auprès de leurs clients payant comptant. Les faits reprochés ont été commis entre le 1er janvier 2002 et le 31 décembre 2004.
Les exploitants ont 30 mois pour payer leur amende. Ils devront en outre modifier leur système de facturation afin de se conformer aux exigences de la loi.
Par ailleurs, comme le prévoit le budget provincial de 23 mars dernier, les restaurants devront éventuellement se doter de caisses enregistreuses munies d'un micro-ordinateur approuvé par Revenu Québec pour réduire l'évasion fiscale.
La condamnation de ces exploitants de restaurants de la chaîne Casa Grecque découle d'une série de perquisitions dans plusieurs villes en mai 2005. A l'époque, Revenu Québec s'attendait à ce que les ventes non déclarées totalisent jusqu'à 60 millions $.
Pour échapper au fisc, les restaurateurs auraient utilisé un système de double facturation, soit deux séries de factures portant les mêmes numéros. Cela leur aurait permis d'éliminer des transactions sans laisser de traces.
La totalité des 60 établissements de la chaîne étaient visés par l'enquête.
Le premier restaurant la Casa Grecque a ouvert ses portes en 1980 sur la rue Prince-Arthur à Montréal.
Des exploitants de la chaîne Casa Grecque condamnés pour fausse déclaration
Presse Canadienne
D'après le ministère du Revenu du Québec, ces entreprises ont admis en Cour n'avoir remis à l'Etat qu'une partie des montants de taxe perçus auprès de leurs clients payant comptant. Les faits reprochés ont été commis entre le 1er janvier 2002 et le 31 décembre 2004.
Les exploitants ont 30 mois pour payer leur amende. Ils devront en outre modifier leur système de facturation afin de se conformer aux exigences de la loi.
Par ailleurs, comme le prévoit le budget provincial de 23 mars dernier, les restaurants devront éventuellement se doter de caisses enregistreuses munies d'un micro-ordinateur approuvé par Revenu Québec pour réduire l'évasion fiscale.
La condamnation de ces exploitants de restaurants de la chaîne Casa Grecque découle d'une série de perquisitions dans plusieurs villes en mai 2005. A l'époque, Revenu Québec s'attendait à ce que les ventes non déclarées totalisent jusqu'à 60 millions $.
Pour échapper au fisc, les restaurateurs auraient utilisé un système de double facturation, soit deux séries de factures portant les mêmes numéros. Cela leur aurait permis d'éliminer des transactions sans laisser de traces.
La totalité des 60 établissements de la chaîne étaient visés par l'enquête.
Le premier restaurant la Casa Grecque a ouvert ses portes en 1980 sur la rue Prince-Arthur à Montréal.
Mort de J-F Bergeron : le procès du policier Potvin débute à Joliette
Presse Canadienne
C'est aujourd'hui que débute, à Joliette, le procès du policier Hugo Potvin qui est accusé de conduite dangereuse ayant causé la mort, de négligence criminelle et de conduite dangereuse ayant causé des lésions corporelles.
Les gestes qui sont reprochés à l'agent de la Sûreté du Québec sont survenus le 8 avril 2004 à Saint-Félix-de-Valois, dans Lanaudière. Hugo Potvin avait alors choisi de bloquer le chemin à deux jeunes conduisant deux véhicules tout terrain, plutôt que de leur donner de simples contraventions.
Le conducteur du premier VTT a réussi à éviter la collision avec l'autopatrouille, mais le second l'a percutée de plein fouet. Jean-François Bergeron, 20 ans, a alors perdu la vie dans l'accident. Son compagnon, Simon Tellier, a été gravement blessé.
Presse Canadienne
C'est aujourd'hui que débute, à Joliette, le procès du policier Hugo Potvin qui est accusé de conduite dangereuse ayant causé la mort, de négligence criminelle et de conduite dangereuse ayant causé des lésions corporelles.
Les gestes qui sont reprochés à l'agent de la Sûreté du Québec sont survenus le 8 avril 2004 à Saint-Félix-de-Valois, dans Lanaudière. Hugo Potvin avait alors choisi de bloquer le chemin à deux jeunes conduisant deux véhicules tout terrain, plutôt que de leur donner de simples contraventions.
Le conducteur du premier VTT a réussi à éviter la collision avec l'autopatrouille, mais le second l'a percutée de plein fouet. Jean-François Bergeron, 20 ans, a alors perdu la vie dans l'accident. Son compagnon, Simon Tellier, a été gravement blessé.
Glissades d'eau à Saint-Pie
Un enfant a les pieds sectionnés par une turbine
Un garçon de sept ans a été victime d’un épouvantable accident lundi après-midi à Saint-Pie dans le camping les glissades d'eau, près de Saint-Hyacinthe.
Le jeune a eu les deux pieds coincés dans la turbine d’un bassin d'eau où il se baignait avec d'autres jeunes.
Un sauveteur aurait réussi à le sortir de l'eau. Le jeune se trouvait alors en arrêt cardio-respiratoire et des manoeuvres de réanimation ont été pratiquées sur place. Il a ensuite été conduit à l'hôpital.
Le garçon aurait eu un ou les deux pieds sectionnés. Un sauveteur du camping en état de choc a reçu des traitements médicaux
Un enfant a les pieds sectionnés par une turbine
Un garçon de sept ans a été victime d’un épouvantable accident lundi après-midi à Saint-Pie dans le camping les glissades d'eau, près de Saint-Hyacinthe.
Le jeune a eu les deux pieds coincés dans la turbine d’un bassin d'eau où il se baignait avec d'autres jeunes.
Un sauveteur aurait réussi à le sortir de l'eau. Le jeune se trouvait alors en arrêt cardio-respiratoire et des manoeuvres de réanimation ont été pratiquées sur place. Il a ensuite été conduit à l'hôpital.
Le garçon aurait eu un ou les deux pieds sectionnés. Un sauveteur du camping en état de choc a reçu des traitements médicaux
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


nancy31f a écritGlissades d'eau à Saint-Pie
Un enfant a les pieds sectionnés par une turbine
Un garçon de sept ans a été victime d’un épouvantable accident lundi après-midi à Saint-Pie dans le camping les glissades d'eau, près de Saint-Hyacinthe.
Le jeune a eu les deux pieds coincés dans la turbine d’un bassin d'eau où il se baignait avec d'autres jeunes.
Un sauveteur aurait réussi à le sortir de l'eau. Le jeune se trouvait alors en arrêt cardio-respiratoire et des manoeuvres de réanimation ont été pratiquées sur place. Il a ensuite été conduit à l'hôpital.
Le garçon aurait eu un ou les deux pieds sectionnés. Un sauveteur du camping en état de choc a reçu des traitements médicaux
J'ai hàte d'avoir plus de renseignements là-dessus.
J'ai peine à comprendre que ce matin, il y avait quelque chose installé sécuritairement, et tout d'un coup, ca ne l'est plus, personne n'a l'air de savoir le pourquoi du comment.
Les sauveteurs ont avisé les parents de surveiller les enfants afin que personne ne puisse avoir d'accidents, comment cela a pu se produire.
Je sais pas, mais 1 enfant de 7 ans, il me semble que c'est assez vieux pour comprendre.
Bref, cet enfant sera probablement handicapé pour le reste de ses jours, pour le moment, il est encore dans un état jugé très critique.
Ils disaient aux nouvelles ce soir, que possiblement, il aurait surement un pied amputé, voire même la jambe amputée et l'autre jambe, je ne me souviens pas, mais qui dit que ses fonctions vitales du cerveau n'ont pas été attaquées aussi.
Un enfant a les pieds sectionnés par une turbine
Un garçon de sept ans a été victime d’un épouvantable accident lundi après-midi à Saint-Pie dans le camping les glissades d'eau, près de Saint-Hyacinthe.
Le jeune a eu les deux pieds coincés dans la turbine d’un bassin d'eau où il se baignait avec d'autres jeunes.
Un sauveteur aurait réussi à le sortir de l'eau. Le jeune se trouvait alors en arrêt cardio-respiratoire et des manoeuvres de réanimation ont été pratiquées sur place. Il a ensuite été conduit à l'hôpital.
Le garçon aurait eu un ou les deux pieds sectionnés. Un sauveteur du camping en état de choc a reçu des traitements médicaux
J'ai hàte d'avoir plus de renseignements là-dessus.
J'ai peine à comprendre que ce matin, il y avait quelque chose installé sécuritairement, et tout d'un coup, ca ne l'est plus, personne n'a l'air de savoir le pourquoi du comment.
Les sauveteurs ont avisé les parents de surveiller les enfants afin que personne ne puisse avoir d'accidents, comment cela a pu se produire.
Je sais pas, mais 1 enfant de 7 ans, il me semble que c'est assez vieux pour comprendre.
Bref, cet enfant sera probablement handicapé pour le reste de ses jours, pour le moment, il est encore dans un état jugé très critique.
Ils disaient aux nouvelles ce soir, que possiblement, il aurait surement un pied amputé, voire même la jambe amputée et l'autre jambe, je ne me souviens pas, mais qui dit que ses fonctions vitales du cerveau n'ont pas été attaquées aussi.
Laurentides
Nouvelle noyade dans une piscine
On déplore une noyade dans une piscine familiale, mercredi, à Saint-Faustin-Lac-Carré, dans les Laurentides.
Maxime Filion, cinq ans, aurait profité du fait que la barrière donnant accès à la piscine n'était pas verrouillée pour retourner à l'eau.
Constatant l'absence du bambin, son entourage est parti à sa recherche.
Le garçon a été retrouvé flottant sur l'eau de la piscine. Le père a pratiqué des manœuvres de réanimation. Le petit a été transporté à l'hôpital où son décès a été constaté.
Nouvelle noyade dans une piscine
On déplore une noyade dans une piscine familiale, mercredi, à Saint-Faustin-Lac-Carré, dans les Laurentides.
Maxime Filion, cinq ans, aurait profité du fait que la barrière donnant accès à la piscine n'était pas verrouillée pour retourner à l'eau.
Constatant l'absence du bambin, son entourage est parti à sa recherche.
Le garçon a été retrouvé flottant sur l'eau de la piscine. Le père a pratiqué des manœuvres de réanimation. Le petit a été transporté à l'hôpital où son décès a été constaté.
Saint-Denis-de-Brompton
Micheline Doyon, 57 ans, est portée disparue
En Estrie, des recherches sont en cours pour retrouver une dame de 57 ans de Saint-Denis-de-Brompton, portée disparue depuis mercredi.
Une vingtaine de policiers de Sherbrooke et des bénévoles tentent de retrouver Micheline Doyon, qui n'a pas été revue depuis mardi après-midi.
Les recherches sont concentrées près du pont de Brompton et sur le bord de la rivière. Les fouilles avec les maîtres chiens n'ont rien donné.
Sa voiture a été retrouvée mercredi soir à proximité d'un boisé et les portes du véhicule étaient verrouillées. Il n'y avait donc aucune trace d'infraction.
Des recherches ont donc été entreprises tard mercredi soir.
Les autorités ne croient pas qu'il s'agisse d'un enlèvement ou d'un crime.
En vidéo, écoutez le reportage de Jean-François Desbiens.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 60702.html
Micheline Doyon, 57 ans, est portée disparue
En Estrie, des recherches sont en cours pour retrouver une dame de 57 ans de Saint-Denis-de-Brompton, portée disparue depuis mercredi.
Une vingtaine de policiers de Sherbrooke et des bénévoles tentent de retrouver Micheline Doyon, qui n'a pas été revue depuis mardi après-midi.
Les recherches sont concentrées près du pont de Brompton et sur le bord de la rivière. Les fouilles avec les maîtres chiens n'ont rien donné.
Sa voiture a été retrouvée mercredi soir à proximité d'un boisé et les portes du véhicule étaient verrouillées. Il n'y avait donc aucune trace d'infraction.
Des recherches ont donc été entreprises tard mercredi soir.
Les autorités ne croient pas qu'il s'agisse d'un enlèvement ou d'un crime.
En vidéo, écoutez le reportage de Jean-François Desbiens.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 60702.html
Le vendredi 14 juillet 2006
« LA TERREUR EST INIMAGINABLE »
Deux Québécois et leur fillette dans le feu du Liban
Agnès Gruda
La Presse
Nadia Michel et Samer Fakhri devaient célébrer hier leur anniversaire de mariage. Ils ont plutôt eu droit à un cocktail d'explosions et de bombes.
« Ça fait un bruit qui ressemble un peu à un coup de tonnerre », explique Nadia, une Québécoise de 29 ans qui n'a jamais vu la guerre d'aussi près.
Élevée à Montréal, Nadia Michel a épousé Samer, un Québécois d'origine libanaise avec qui elle s'est installée au Texas. Il est oto-rhino-laryngologiste à Houston. Elle travaille comme lectrice de nouvelles à la radio.
Il y a deux semaines, ils sont arrivés en visite chez les parents de Samer, à Zarieh, dans le sud du Liban- un petit paradis à 15 minutes de la Méditerranée. L'été, les montagnes, la mer. Puis, le cauchemar.
Mercredi, Nadia a d'abord entendu le vrombissement des chasseurs israéliens qui pénétraient en territoire libanais pour la première fois depuis le retrait de 2000. Puis, le bruit terrifiant des bombes qui explosaient tout près.
Les bombardements, lancés après l'enlèvement de deux soldats israéliens par le groupe islamiste du Hezbollah, n'ont cessé qu'en soirée.
«Aucun de nous ne pouvait prévoir ce qui allait suivre», dit Nadia, que La Presse a jointe hier chez ses beaux-parents.
Hier, les bombardements se sont intensifiés. La plupart des avions se contentaient de survoler Zarieh pour lancer leurs bombes plus au nord, jusqu'à la banlieue de Beyrouth.
Mais des bombes continuaient à pleuvoir tout près de Zarieh. À cinq kilomètres de chez les Fakhri, une famille entière - deux parents et leurs 10 enfants - a été anéantie. La télévision n'a cessé de diffuser les images des victimes.
Ce qui a surtout frappé Nadia, ce sont les images d'adultes tenant dans leurs bras des corps d'enfants, mous «comme des poupées». Des images d'autant plus insupportables que la jeune femme et son conjoint voyagent avec leur fillette de 18 mois.
«On est habitués à voir la guerre de loin, la terreur est difficile à imaginer», confie-t-elle. Nadia et Samer ne pensent plus qu'à une chose : rentrer chez eux. Mais avec les ponts détruits et les routes bombardées, ils ont peur. «Nous venons d'apprendre qu'il y a eu des bombardements sur la route de Beyrouth. Même si nous réussissons à rentrer à Saïda, la grande ville du sud du Liban, comment continuer jusqu'à Beyrouth?», se demandent-ils.
La petite famille est donc coincée, prise au coeur d'une guerre dont la logique lui échappe. Lorsque La Presse l'a jointe, hier, il faisait nuit à Zarieh. Par la fenêtre, Nadia voyait les bombes qui traçaient des zigzags d'éclairs dans le ciel.
Comme tous les Libanais à qui elle a pu parler, Nadia trouvait la réaction israélienne complètement disproportionnée. En attaquant un convoi israélien et en enlevant deux soldats, le Hezbollah avait réalisé une action militaire, selon elle. Tandis que les chasseurs israéliens, eux, tuaient des civils, fait-elle remarquer.
«Au Liban, le Hezbollah n'est pas vu comme une organisation terroriste. Pour les Libanais, c'est l'organisation qui a réussi à chasser Israël du Liban», explique la jeune femme.
N'y a-t-il pas une seule voix, au Liban, pour reprocher au Hezbollah d'avoir allumé l'étincelle qui a amorcé cette brutale escalade?
«J'ai posé la question à quelques personnes, et certains trouvent que c'était un mauvais timing. Que ce n'était vraiment pas le temps de se montrer aussi agressif», convient Nadia. Mais en général, «les Libanais sont très fiers du Hezbollah».
Rivée devant la télévision, la jeune femme vit pour la première fois de sa vie l'impact des nouvelles terribles qu'elle relate parfois dans ses bulletins d'information. Son mari, lui, avait 5 ans quand la guerre civile a éclaté au Liban. Cette semaine, il avait un curieux sentiment de déjà vécu.
source www.cyberpresse.ca
« LA TERREUR EST INIMAGINABLE »
Deux Québécois et leur fillette dans le feu du Liban
Agnès Gruda
La Presse
Nadia Michel et Samer Fakhri devaient célébrer hier leur anniversaire de mariage. Ils ont plutôt eu droit à un cocktail d'explosions et de bombes.
« Ça fait un bruit qui ressemble un peu à un coup de tonnerre », explique Nadia, une Québécoise de 29 ans qui n'a jamais vu la guerre d'aussi près.
Élevée à Montréal, Nadia Michel a épousé Samer, un Québécois d'origine libanaise avec qui elle s'est installée au Texas. Il est oto-rhino-laryngologiste à Houston. Elle travaille comme lectrice de nouvelles à la radio.
Il y a deux semaines, ils sont arrivés en visite chez les parents de Samer, à Zarieh, dans le sud du Liban- un petit paradis à 15 minutes de la Méditerranée. L'été, les montagnes, la mer. Puis, le cauchemar.
Mercredi, Nadia a d'abord entendu le vrombissement des chasseurs israéliens qui pénétraient en territoire libanais pour la première fois depuis le retrait de 2000. Puis, le bruit terrifiant des bombes qui explosaient tout près.
Les bombardements, lancés après l'enlèvement de deux soldats israéliens par le groupe islamiste du Hezbollah, n'ont cessé qu'en soirée.
«Aucun de nous ne pouvait prévoir ce qui allait suivre», dit Nadia, que La Presse a jointe hier chez ses beaux-parents.
Hier, les bombardements se sont intensifiés. La plupart des avions se contentaient de survoler Zarieh pour lancer leurs bombes plus au nord, jusqu'à la banlieue de Beyrouth.
Mais des bombes continuaient à pleuvoir tout près de Zarieh. À cinq kilomètres de chez les Fakhri, une famille entière - deux parents et leurs 10 enfants - a été anéantie. La télévision n'a cessé de diffuser les images des victimes.
Ce qui a surtout frappé Nadia, ce sont les images d'adultes tenant dans leurs bras des corps d'enfants, mous «comme des poupées». Des images d'autant plus insupportables que la jeune femme et son conjoint voyagent avec leur fillette de 18 mois.
«On est habitués à voir la guerre de loin, la terreur est difficile à imaginer», confie-t-elle. Nadia et Samer ne pensent plus qu'à une chose : rentrer chez eux. Mais avec les ponts détruits et les routes bombardées, ils ont peur. «Nous venons d'apprendre qu'il y a eu des bombardements sur la route de Beyrouth. Même si nous réussissons à rentrer à Saïda, la grande ville du sud du Liban, comment continuer jusqu'à Beyrouth?», se demandent-ils.
La petite famille est donc coincée, prise au coeur d'une guerre dont la logique lui échappe. Lorsque La Presse l'a jointe, hier, il faisait nuit à Zarieh. Par la fenêtre, Nadia voyait les bombes qui traçaient des zigzags d'éclairs dans le ciel.
Comme tous les Libanais à qui elle a pu parler, Nadia trouvait la réaction israélienne complètement disproportionnée. En attaquant un convoi israélien et en enlevant deux soldats, le Hezbollah avait réalisé une action militaire, selon elle. Tandis que les chasseurs israéliens, eux, tuaient des civils, fait-elle remarquer.
«Au Liban, le Hezbollah n'est pas vu comme une organisation terroriste. Pour les Libanais, c'est l'organisation qui a réussi à chasser Israël du Liban», explique la jeune femme.
N'y a-t-il pas une seule voix, au Liban, pour reprocher au Hezbollah d'avoir allumé l'étincelle qui a amorcé cette brutale escalade?
«J'ai posé la question à quelques personnes, et certains trouvent que c'était un mauvais timing. Que ce n'était vraiment pas le temps de se montrer aussi agressif», convient Nadia. Mais en général, «les Libanais sont très fiers du Hezbollah».
Rivée devant la télévision, la jeune femme vit pour la première fois de sa vie l'impact des nouvelles terribles qu'elle relate parfois dans ses bulletins d'information. Son mari, lui, avait 5 ans quand la guerre civile a éclaté au Liban. Cette semaine, il avait un curieux sentiment de déjà vécu.
source www.cyberpresse.ca
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Prêt à tout pour sauver son chien
Montréalais est décidé à prendre tous les moyens pour sauver d'une rare maladie l'être qu'il aime le plus au monde. Il ne s'agit ni de son enfant, ni de sa femme. Il est question de sauver son chien.
«Je vais tout faire pour sauver Testo. Je l'aime», lance Sylvain Cloutier.
Il a même fait afficher sa requête en vue d'amasser des fonds à l'animalerie Croque en bol de l'avenue du Mont-Royal.
«Je vais me battre jusqu'au dernier souffle», affirme-t-il.
Son chien a été foudroyé par la maladie d'Addison, le 24 juin. Le maître a dû le conduire d'urgence à l'Hôpital vétérinaire DMV.
Le chien y a passé cinq jours, mais sa maladie nécessitera des traitements pour le reste de sa vie.
Sylvain Cloutier doit acquitter le reste de la facture d'hospitalisation, qui s'élève à plus de 3000 $. Il ne travaille pas et survit avec l'aide sociale.
Voisins touchés
Le maître profite du bouche-à-oreille pour faire valoir sa cause.
«Quand je suis seul sur la rue, on s'informe de mon chien. C'est simple, le chien passe avant le maître», souligne-t-il.
«Il est le chien le plus populaire que je connaisse, dit Marie, sa voisine. Tout le monde a été touché par ce qui est arrivé.»
Un petit garçon du coin, Thomas, aurait même versé les profits de sa vente de garage pour la guérison de Testo.
Sylvain Cloutier demeure seul avec Testo et son chat.
«C'est mon premier chien. Je l'ai trouvé sur Mont-Royal il y a quatre ans», se rappelle-t-il.
Il prétend que son chien lui a permis de surmonter les dures épreuves de sa vie.
«S'il n'avait pas été là, je serais mort», dit-il.
Choix
La Dr Suzanne Breton, de l'Ordre des vétérinaires du Québec, observe que beaucoup de gens investissent des sommes faramineuses pour sauver leurs animaux.
«Ça dépend aussi du portefeuille, mais c'est sûr que l'animal occupe une place très importante dans la famille», dit-elle.
«C'est une question de société», conclut-elle.
ien --Message edité par nancy31f le 2006-07-20 20:21:26--
Montréalais est décidé à prendre tous les moyens pour sauver d'une rare maladie l'être qu'il aime le plus au monde. Il ne s'agit ni de son enfant, ni de sa femme. Il est question de sauver son chien.
«Je vais tout faire pour sauver Testo. Je l'aime», lance Sylvain Cloutier.
Il a même fait afficher sa requête en vue d'amasser des fonds à l'animalerie Croque en bol de l'avenue du Mont-Royal.
«Je vais me battre jusqu'au dernier souffle», affirme-t-il.
Son chien a été foudroyé par la maladie d'Addison, le 24 juin. Le maître a dû le conduire d'urgence à l'Hôpital vétérinaire DMV.
Le chien y a passé cinq jours, mais sa maladie nécessitera des traitements pour le reste de sa vie.
Sylvain Cloutier doit acquitter le reste de la facture d'hospitalisation, qui s'élève à plus de 3000 $. Il ne travaille pas et survit avec l'aide sociale.
Voisins touchés
Le maître profite du bouche-à-oreille pour faire valoir sa cause.
«Quand je suis seul sur la rue, on s'informe de mon chien. C'est simple, le chien passe avant le maître», souligne-t-il.
«Il est le chien le plus populaire que je connaisse, dit Marie, sa voisine. Tout le monde a été touché par ce qui est arrivé.»
Un petit garçon du coin, Thomas, aurait même versé les profits de sa vente de garage pour la guérison de Testo.
Sylvain Cloutier demeure seul avec Testo et son chat.
«C'est mon premier chien. Je l'ai trouvé sur Mont-Royal il y a quatre ans», se rappelle-t-il.
Il prétend que son chien lui a permis de surmonter les dures épreuves de sa vie.
«S'il n'avait pas été là, je serais mort», dit-il.
Choix
La Dr Suzanne Breton, de l'Ordre des vétérinaires du Québec, observe que beaucoup de gens investissent des sommes faramineuses pour sauver leurs animaux.
«Ça dépend aussi du portefeuille, mais c'est sûr que l'animal occupe une place très importante dans la famille», dit-elle.
«C'est une question de société», conclut-elle.
ien --Message edité par nancy31f le 2006-07-20 20:21:26--
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


Pour la bonne cause, le Royaume Uni organise son premier "masturbathon"
La Grande-Bretagne va organiser le 5 août son premier "masturbathon", compétition de masturbation destinée à recueillir de l'argent pour des oeuvres.
L'événement, qui fera l'objet d'un programme sur la chaîne de télévision généraliste Channel Four, est inspiré du "masturbate-a-thon" qui a lieu depuis cinq ans à San Francisco, a indiqué le Centre pour le Sexe et la Culture.
"Une fois par an, des centaines de gens se réunissent dans une salle de San Francisco pour une journée et se masturbent ensemble", a expliqué la société de production indépendante Zig Zag, qui va réaliser le programme. Les participants sont parrainés : des proches, amis, voisins ou collègues de travail s'engagent à verser pour les soutenir de l'argent à des oeuvres d'intérêt général.
"C'est un événement qui recueille chaque année des milliers de dollars versés pour des groupes qui prônent les rapports sexuels protégés ou font de l'éducation sexuelle", selon Zig Zag.
Il s'agira soit de battre le record mondial enregistré aux Etats-Unis de huit heures et 30 minutes de masturbation, soit d'établir le record britannique, ont expliqué les organisateurs, le Centre pour le Sexe et la Culture.
"Après le succès de notre 'Semaine du pénis', nous trouvons que c'est tout à fait le genre de programmation provocatrice et amusante que Channel Four doit diffuser après 23 heures", a expliqué Andrew MacKenzie, responsable de cette chaîne grand public, mais volontiers iconoclaste. "La masturbation est quelque chose que beaucoup pratiquent mais dont peu parlent".
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


Sports extrêmes
Un tube gonflable retiré du marché
Peut-être avez-vous vu le nouveau sport extrême qui est à la mode ces temps-ci :c'est un tube gonflable tiré par un bateau.
On en a vendu des milliers en quelques semaines. Le problème, c'est que le tube qui promettait des sensations fortes aux amateurs de sports nautiques a causé la mort de trois personnes et la compagnie a décidé de retirer le Wego Kite.
Aux États-Unis, la commission qui assure la sécurité des produits de consommation rapporte deux décès et 39 blessés, dont un cou cassé, des poumons perforés, des blessures au dos, à la poitrine et au visage. Un troisième décès est survenu au Canada le 4 juillet à Fergus, en Ontario.
Malgré tout, Sportsstuff dit qu'on n'a pas déterminé la cause des accidents et un communiqué rappelle que le tube Wego Kite était couvert d'avertissements.
Un tube gonflable retiré du marché
Peut-être avez-vous vu le nouveau sport extrême qui est à la mode ces temps-ci :c'est un tube gonflable tiré par un bateau.
On en a vendu des milliers en quelques semaines. Le problème, c'est que le tube qui promettait des sensations fortes aux amateurs de sports nautiques a causé la mort de trois personnes et la compagnie a décidé de retirer le Wego Kite.
Aux États-Unis, la commission qui assure la sécurité des produits de consommation rapporte deux décès et 39 blessés, dont un cou cassé, des poumons perforés, des blessures au dos, à la poitrine et au visage. Un troisième décès est survenu au Canada le 4 juillet à Fergus, en Ontario.
Malgré tout, Sportsstuff dit qu'on n'a pas déterminé la cause des accidents et un communiqué rappelle que le tube Wego Kite était couvert d'avertissements.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


Des grêlons plus gros qu'une balle de golf à Hébertville Station
au Lac st-Jean:
OUBLIEZ LES BLÉS D'INDE!
"C'était sombre comme une tempête en hiver"
Roger Blackburn
Le Quotidien
Hébertville
"Les blés d'Inde, entre Saint-Bruno et Hébertville, oubliez ça. Y reste seulement les cotons, les champs sont ravagés, les jardins sont détruits. Il n'y a plus de pommes dans le pommier et il n'y a plus de poires dans le poirier", exprime Rollande Boily, de la rue Tremblay à Hébertville-Station.
"La vitre arrière de l'auto a été fracassée et les portières sont pleines de bosses. Le recouvrement de vinyle de la maison est plein de trous et les chaises de jardin sont percées bord en bord.
"Il faisait noir. C'était sombre comme une tempête en hiver, on ne voyait rien, que des grêlons plus gros que des balles de golf. Partout autour de la maison, il n'y a que des feuilles et des branches d'arbres. C'est un village de désolation", décrit Rollande Boily, en attendant des nouvelles de son conjoint, Marcel Paradis, parti prêter main-forte aux résidants du rang 3, à Saint-Bruno. Les fermes de ce rang se trouvaient sur le chemin de la tempête, sous le couloir du nuage de grêle.
cyberpresse.ca
au Lac st-Jean:
OUBLIEZ LES BLÉS D'INDE!
"C'était sombre comme une tempête en hiver"
Roger Blackburn
Le Quotidien
Hébertville
"Les blés d'Inde, entre Saint-Bruno et Hébertville, oubliez ça. Y reste seulement les cotons, les champs sont ravagés, les jardins sont détruits. Il n'y a plus de pommes dans le pommier et il n'y a plus de poires dans le poirier", exprime Rollande Boily, de la rue Tremblay à Hébertville-Station.
"La vitre arrière de l'auto a été fracassée et les portières sont pleines de bosses. Le recouvrement de vinyle de la maison est plein de trous et les chaises de jardin sont percées bord en bord.
"Il faisait noir. C'était sombre comme une tempête en hiver, on ne voyait rien, que des grêlons plus gros que des balles de golf. Partout autour de la maison, il n'y a que des feuilles et des branches d'arbres. C'est un village de désolation", décrit Rollande Boily, en attendant des nouvelles de son conjoint, Marcel Paradis, parti prêter main-forte aux résidants du rang 3, à Saint-Bruno. Les fermes de ce rang se trouvaient sur le chemin de la tempête, sous le couloir du nuage de grêle.
cyberpresse.ca
Montréal
Deux suspects d'invasion de domicile coincés
Deux hommes reliés aux gangs de rue ont été arrêtés hier après-midi alors qu'ils s'apprêtaient à commettre une invasion de domicile dans Saint-Michel.
Les policiers étudient la possibilité de les relier avec les nombreux cas semblables survenus au cours des derniers mois.
«C'est loin d'être certain que ces hommes soient reliés avec les cas d'invasion de domicile, mais on étudie la possibilité», soutient Raphaël Bergeron, du SPVM.
Info confidentielle
C'est une information confidentielle qui a permis à l'escouade sans frontière (SQ, SPVM, GRC et police de Longueuil) de savoir qu'une invasion de domicile allait se produire chez un commerçant de la rue Crémazie et de la 13e Avenue, en possession d'une grosse somme d'argent.
Le groupe tactique d'intervention s'est alors rendu dans le secteur et a procédé à l'arrestation des deux hommes de race noire âgés de 27 et 30 ans avant qu'ils ne commettent leur méfait.
Laval et Repentigny
Selon les informations obtenues par le Journal, les deux hommes pourraient être liés à d'autres cas d'invasion de domicile, notamment à Laval et à Repentigny.
L'un d'eux ressemblerait vaguement au portrait-robot diffusé largement dans les médias au cours des derniers mois.
Lors de l'arrestation, les policiers ont trouvé sur les deux suspects du ruban adhésif, des gants et une arme 9 mm.
Ils comparaîtront tous les deux au palais de justice de Montréal aujourd'hui.
Deux suspects d'invasion de domicile coincés
Deux hommes reliés aux gangs de rue ont été arrêtés hier après-midi alors qu'ils s'apprêtaient à commettre une invasion de domicile dans Saint-Michel.
Les policiers étudient la possibilité de les relier avec les nombreux cas semblables survenus au cours des derniers mois.
«C'est loin d'être certain que ces hommes soient reliés avec les cas d'invasion de domicile, mais on étudie la possibilité», soutient Raphaël Bergeron, du SPVM.
Info confidentielle
C'est une information confidentielle qui a permis à l'escouade sans frontière (SQ, SPVM, GRC et police de Longueuil) de savoir qu'une invasion de domicile allait se produire chez un commerçant de la rue Crémazie et de la 13e Avenue, en possession d'une grosse somme d'argent.
Le groupe tactique d'intervention s'est alors rendu dans le secteur et a procédé à l'arrestation des deux hommes de race noire âgés de 27 et 30 ans avant qu'ils ne commettent leur méfait.
Laval et Repentigny
Selon les informations obtenues par le Journal, les deux hommes pourraient être liés à d'autres cas d'invasion de domicile, notamment à Laval et à Repentigny.
L'un d'eux ressemblerait vaguement au portrait-robot diffusé largement dans les médias au cours des derniers mois.
Lors de l'arrestation, les policiers ont trouvé sur les deux suspects du ruban adhésif, des gants et une arme 9 mm.
Ils comparaîtront tous les deux au palais de justice de Montréal aujourd'hui.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


Garderie
Un éducateur aux mains longues
Un éducateur d'une garderie de Candiac fera face à des accusations d'attouchements sexuels et d'agressions sur au moins trois bambines.
Le présumé agresseur a été arrêté le 19 juin dernier après que l'une des victimes eut révélé les faits à ses parents. Il sera accusé au Palais de justice de Longueuil le 9 août.
Le suspect aurait commis les crimes entre les mois de novembre 2005 et juin 2006, alors qu'il travaillait à la garderie Kinderville, sur la Rive-Sud.
Trois plaintes ont été formellement enregistrées jusqu'ici.
La Sûreté du Québec croient toutefois qu'une autre fillette pourrait avoir été victime du présumé pédophile.
L'éducateur a été relevé de ses fonctions au début du mois de juin, fait savoir la direction de Kinderville, par ailleurs avare de commentaires à l'égard de toute cette histoire.
Seuls les parents des bambins du groupe dont il avait la responsabilité ont été interrogés et informés.
Tous les autres parents de la garderie ignoraient les gestes qui avaient été perpétrés alors que leurs enfants se trouvaient fréquemment en présence du présumé agresseur.
Lettre aux parents
Le matin suivant la visite du Journal, les parents ont reçu une lettre de la direction de Kinderville les informant qu'une situation déplorable avait eu lieu au pavillon Candiac I.
Il est écrit que la direction n'a pas avisé les parents à la suite des instructions de la Direction de la protection de la jeunesse et du procureur de la couronne.
Après vérification, c'est une décision qui revenait à la direction de l'établissement. En aucun cas cette façon de faire n'a été dictée, nous assure-t-on.
L'identité de l'homme n'a pas été révélée. --Message edité par nancy31f le 2006-07-28 12:34:01--
Un éducateur aux mains longues
Un éducateur d'une garderie de Candiac fera face à des accusations d'attouchements sexuels et d'agressions sur au moins trois bambines.
Le présumé agresseur a été arrêté le 19 juin dernier après que l'une des victimes eut révélé les faits à ses parents. Il sera accusé au Palais de justice de Longueuil le 9 août.
Le suspect aurait commis les crimes entre les mois de novembre 2005 et juin 2006, alors qu'il travaillait à la garderie Kinderville, sur la Rive-Sud.
Trois plaintes ont été formellement enregistrées jusqu'ici.
La Sûreté du Québec croient toutefois qu'une autre fillette pourrait avoir été victime du présumé pédophile.
L'éducateur a été relevé de ses fonctions au début du mois de juin, fait savoir la direction de Kinderville, par ailleurs avare de commentaires à l'égard de toute cette histoire.
Seuls les parents des bambins du groupe dont il avait la responsabilité ont été interrogés et informés.
Tous les autres parents de la garderie ignoraient les gestes qui avaient été perpétrés alors que leurs enfants se trouvaient fréquemment en présence du présumé agresseur.
Lettre aux parents
Le matin suivant la visite du Journal, les parents ont reçu une lettre de la direction de Kinderville les informant qu'une situation déplorable avait eu lieu au pavillon Candiac I.
Il est écrit que la direction n'a pas avisé les parents à la suite des instructions de la Direction de la protection de la jeunesse et du procureur de la couronne.
Après vérification, c'est une décision qui revenait à la direction de l'établissement. En aucun cas cette façon de faire n'a été dictée, nous assure-t-on.
L'identité de l'homme n'a pas été révélée. --Message edité par nancy31f le 2006-07-28 12:34:01--
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
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Mark Twain


Des parents tenus dans l'ignorance
Anne-Marie-A. Savoie
Le Journal de Montréal
28/07/2006 08h19
Ce n'est qu'un mois et demi après le congédiement de l'employé de la garderie Kinderville que les parents ont été informés des gestes présumément posés sur des fillettes.
La trentaine de personnes interpellées par le Journal hier ignoraient les faits reprochés à l'éducateur congédié.
«Mon fils m'a dit que cet éducateur était parti pour s'occuper de son bébé. C'est tout ce qu'on a su», a dit un père rencontré sur les lieux.
Elle fond en larmes
Une mère a fondu en larmes lorsque nous lui avons appris les présumés cas d'agressions.
«Ils auraient dû mettre les parents au courant, ils savaient bien qu'on allait l'apprendre un jour», s'indigne une maman.
La dame, qui ne veut pas être identifiée, nous a confié que les enfants couraient après le suspect tellement il était apprécié d'eux.
«Tellement fin»
«Je lui mettais mon enfant dans les bras tous les matins, c'est terrible. Il était tellement fin et les enfants l'aimaient tellement. Je suis très déçue», dit-elle encore sous le choc.
Elle ne comprend pas qu'une dizaine d'enfants seulement aient été interrogés par les enquêteurs.
«Mon fils était souvent avec lui, les groupes ne sont pas hermétiques. Comment peuvent-ils savoir qu'il n'a pas touché à d'autres enfants?», questionne la mère.
Anne-Marie-A. Savoie
Le Journal de Montréal
28/07/2006 08h19
Ce n'est qu'un mois et demi après le congédiement de l'employé de la garderie Kinderville que les parents ont été informés des gestes présumément posés sur des fillettes.
La trentaine de personnes interpellées par le Journal hier ignoraient les faits reprochés à l'éducateur congédié.
«Mon fils m'a dit que cet éducateur était parti pour s'occuper de son bébé. C'est tout ce qu'on a su», a dit un père rencontré sur les lieux.
Elle fond en larmes
Une mère a fondu en larmes lorsque nous lui avons appris les présumés cas d'agressions.
«Ils auraient dû mettre les parents au courant, ils savaient bien qu'on allait l'apprendre un jour», s'indigne une maman.
La dame, qui ne veut pas être identifiée, nous a confié que les enfants couraient après le suspect tellement il était apprécié d'eux.
«Tellement fin»
«Je lui mettais mon enfant dans les bras tous les matins, c'est terrible. Il était tellement fin et les enfants l'aimaient tellement. Je suis très déçue», dit-elle encore sous le choc.
Elle ne comprend pas qu'une dizaine d'enfants seulement aient été interrogés par les enquêteurs.
«Mon fils était souvent avec lui, les groupes ne sont pas hermétiques. Comment peuvent-ils savoir qu'il n'a pas touché à d'autres enfants?», questionne la mère.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


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