Le litre d'essence à… 1,34$!
Raven a écrit
Comme j'ai dit dans mon message, oui ils vont encore faire de l'argent en passant par des plus petits distributeurs, mais beaucoup moins que s'ils le vendaient par leur propre distributeur, par exemple Esso pour Exxon au Canada et en Europe En vendant le gaz lui-même, l'argent revient à Esso/Exxon, mais en passant par un autre distributeur, il n'a pas le choix de vendre moins cher, puisque cet autre distributeur doit lui aussi faire du profit De plus, en passant par leurs propres distributeurs, il y a beaucoup de produits divers que se vend (chocolat, lait, pain, chips), pour ces produits, les propriétaires doivent envoyer une partie des recettes à Exxon
Mais bon on s'obstine pour rien, on sait tous qu'encore une fois, il n'y aura pas plus de 10% de la population qui acceptera le boycott, c'est trop compliqué ne pas aller au Shell du coin de la rue. Et dans 2 semaines, si le prix redescend moindrement, on n'en parlera pu ici au Québec. On préférera parler de Star Académie
Tu n'as pas tout à fait tort. ;)
Comme j'ai dit dans mon message, oui ils vont encore faire de l'argent en passant par des plus petits distributeurs, mais beaucoup moins que s'ils le vendaient par leur propre distributeur, par exemple Esso pour Exxon au Canada et en Europe En vendant le gaz lui-même, l'argent revient à Esso/Exxon, mais en passant par un autre distributeur, il n'a pas le choix de vendre moins cher, puisque cet autre distributeur doit lui aussi faire du profit De plus, en passant par leurs propres distributeurs, il y a beaucoup de produits divers que se vend (chocolat, lait, pain, chips), pour ces produits, les propriétaires doivent envoyer une partie des recettes à Exxon
Mais bon on s'obstine pour rien, on sait tous qu'encore une fois, il n'y aura pas plus de 10% de la population qui acceptera le boycott, c'est trop compliqué ne pas aller au Shell du coin de la rue. Et dans 2 semaines, si le prix redescend moindrement, on n'en parlera pu ici au Québec. On préférera parler de Star Académie
Tu n'as pas tout à fait tort. ;)
Raven a écrit
Où j'ai tort ? ;)
J'aimerais avoir les chiffres, mais que Exxon vende un camion à Esso qui sera transporté par un camion Esso jusqu'à une station Esso, ou qu'il vende un camion à Sergaz qui sera transporté par un camion Sergar jusqu'à une station Sergaz, à mon avis Exxon le vend le même prix au départ. En effet, il ne fera pas le minuscule profit du camionneur qui le transporte jusqu'à la station (lui aussi doit payer son essence ) et SI la station Esso finit par fermer, il va perdre sa franchise... mais sinon, je ne vois pas bien où il perd de l'argent.
Ne pas acheter de chips, de liqueur ou autre, c'est le seul pécune que la station fait vraiment puisqu'elle fait quelque 2¢ par litre. Alors qui va perdre le plus? Exxon? Ou le bonhomme qui travaille à la sueur de son front pour faire fonctionner sa station service? Entre nous deux, je ne pense pas que ce sera Exxon.
Il y a des gens qui disent même que c'est mieux d'acheter l,essence par petits montants... ça donne quoi? Si la personne consomme la même chose pendant la semaine, Exxon ne verra pas la différence, mais le propriétaire du garage qui ne fait que très peu de profit lui, va devoir débourser plus pour les rouleaux de caisse, possiblement plus pour le personnel parce que si on y va 3-4 fois dans la semaine au lieu de 2, ça va faire plus d'achalandage, donc possiblement nécessiter su personnel...
Il faut rappeler que le profit (plus de 30¢ de profit actuellement) se fait sur le raffinage. Et tant qu'on consomme de l'essence, ils vont en raffiner.
Où j'ai tort ? ;)
J'aimerais avoir les chiffres, mais que Exxon vende un camion à Esso qui sera transporté par un camion Esso jusqu'à une station Esso, ou qu'il vende un camion à Sergaz qui sera transporté par un camion Sergar jusqu'à une station Sergaz, à mon avis Exxon le vend le même prix au départ. En effet, il ne fera pas le minuscule profit du camionneur qui le transporte jusqu'à la station (lui aussi doit payer son essence ) et SI la station Esso finit par fermer, il va perdre sa franchise... mais sinon, je ne vois pas bien où il perd de l'argent.
Ne pas acheter de chips, de liqueur ou autre, c'est le seul pécune que la station fait vraiment puisqu'elle fait quelque 2¢ par litre. Alors qui va perdre le plus? Exxon? Ou le bonhomme qui travaille à la sueur de son front pour faire fonctionner sa station service? Entre nous deux, je ne pense pas que ce sera Exxon.
Il y a des gens qui disent même que c'est mieux d'acheter l,essence par petits montants... ça donne quoi? Si la personne consomme la même chose pendant la semaine, Exxon ne verra pas la différence, mais le propriétaire du garage qui ne fait que très peu de profit lui, va devoir débourser plus pour les rouleaux de caisse, possiblement plus pour le personnel parce que si on y va 3-4 fois dans la semaine au lieu de 2, ça va faire plus d'achalandage, donc possiblement nécessiter su personnel...
Il faut rappeler que le profit (plus de 30¢ de profit actuellement) se fait sur le raffinage. Et tant qu'on consomme de l'essence, ils vont en raffiner.

Citation :J'aimerais avoir les chiffres, mais que Exxon vende un camion à Esso qui sera transporté par un camion Esso jusqu'à une station Esso, ou qu'il vende un camion à Sergaz qui sera transporté par un camion Sergar jusqu'à une station Sergaz, à mon avis Exxon le vend le même prix au départ.
Comme Esso est la filiale d'Exxon, où serait l'intérêt pour Exxon de "s'autofourrer" en se vendant lui même son propre gaz hyper cher ? C'est comme si Québécor vendait ses services d'imprimeries au Journal de Québec le même prix qu'au Soleil C'est le principe de la synergie-commerciale !
Mais disons que le prix serait le même, ça reviendrait au même en bout de compte, puisque le camion acheter par Esso ou une station Exxon, revient à Exxon.
Citation :Ne pas acheter de chips, de liqueur ou autre, c'est le seul pécune que la station fait vraiment puisqu'elle fait quelque 2¢ par litre. Alors qui va perdre le plus? Exxon? Ou le bonhomme qui travaille à la sueur de son front pour faire fonctionner sa station service? Entre nous deux, je ne pense pas que ce sera Exxon.
Je suis d'accord avec toi, mais Exxon perdra aussi en bout de ligne. Il y a un certain pourcentage sur les produits que vend le dépanneur qui va au siège social, comme c'est le cas pour toutes les multinationales. En passant par d'autres stations qu'Esso, Exxon perd ce pourcentage
Comme Esso est la filiale d'Exxon, où serait l'intérêt pour Exxon de "s'autofourrer" en se vendant lui même son propre gaz hyper cher ? C'est comme si Québécor vendait ses services d'imprimeries au Journal de Québec le même prix qu'au Soleil C'est le principe de la synergie-commerciale !
Mais disons que le prix serait le même, ça reviendrait au même en bout de compte, puisque le camion acheter par Esso ou une station Exxon, revient à Exxon.
Citation :Ne pas acheter de chips, de liqueur ou autre, c'est le seul pécune que la station fait vraiment puisqu'elle fait quelque 2¢ par litre. Alors qui va perdre le plus? Exxon? Ou le bonhomme qui travaille à la sueur de son front pour faire fonctionner sa station service? Entre nous deux, je ne pense pas que ce sera Exxon.
Je suis d'accord avec toi, mais Exxon perdra aussi en bout de ligne. Il y a un certain pourcentage sur les produits que vend le dépanneur qui va au siège social, comme c'est le cas pour toutes les multinationales. En passant par d'autres stations qu'Esso, Exxon perd ce pourcentage
Ok, mais je veux juste rappeler que les stations font ~2¢ le litre alors qu'au raffinage, c'est ~34¢ le litre. Ça prend beaucoup beaucoup beaucoup de 2¢ le litre chez un détaillant dont une partie va à Exxon pour faire mal à un ~34¢ le litre qu'ils font directement.
On dit que les raffineries font un bon profit quand ils font entre 4 et 6¢ le litre.
On dit que les raffineries font un bon profit quand ils font entre 4 et 6¢ le litre.

Raven a écrit
Reste que c'est toujours une bonne idée de boycotter Esso qui appartient à Exxon, et Shell. Ce sont deux grosses méga multinationales puissantes états-uniennes, qui jouent un rôle important dans la politique mondiale.
pourquoi on leur ferait pas l'même coup en tripplant le prix de l'électricité qu'on leur vend?
Reste que c'est toujours une bonne idée de boycotter Esso qui appartient à Exxon, et Shell. Ce sont deux grosses méga multinationales puissantes états-uniennes, qui jouent un rôle important dans la politique mondiale.
pourquoi on leur ferait pas l'même coup en tripplant le prix de l'électricité qu'on leur vend?
- Spirullette
- Immortel du Domaine
- Messages : 14815
- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
bikeuse a écrit pourquoi on leur ferait pas l'même coup en tripplant le prix de l'électricité qu'on leur vend?
Parce que si on vend notre électricité trop chère, ils vont se remettre à construire des centrales électriques à combustion pis c'est nous qui va recevoir leurs pluies acides sur la tête. :/
Parce que si on vend notre électricité trop chère, ils vont se remettre à construire des centrales électriques à combustion pis c'est nous qui va recevoir leurs pluies acides sur la tête. :/
Québec ne plafonnera pas le prix de l'essence
La suggestion du groupe L'Essence à juste prix n'est pas la solution, dit JeanCharest
PC
Édition du vendredi 2 septembre 2005
Québec -- Même si la loi lui permet de le faire, le gouvernement Charest rejette catégoriquement la possibilité d'imposer un prix maximum au carburant.
Frédéric Quintal croit que Québec et Ottawa disposent des pouvoirs nécessaires pour mettre un frein à la flambée du prix de l’essence.
«Il peut bien y avoir des pouvoirs théoriques, mais ce n'est pas en légiférant au Québec qu'on va faire passer le baril de pétrole de 70 $US à 20 $US», a expliqué hier le premier ministre, lors d'un bref point de presse à Québec.
Le gouvernement Charest, qui se dit impuissant à atténuer la flambée du prix de l'essence, dispose pourtant d'un outil législatif lui permettant de fixer un prix maximum à la pompe.
En effet, la Loi sur les produits et les équipements pétroliers stipule que le gouvernement peut déterminer par décret le prix maximum auquel peut être vendu ou distribué un produit pétrolier, lorsqu'il est d'avis que l'intérêt public l'exige.
Or, pour être efficace, une telle mesure devrait être imposée à très large échelle et non pas seulement au Québec, juge M. Charest.
Bien loin de soulager le fardeau des consommateurs, un prix plafond limité au Québec inciterait simplement les raffineurs d'ici à vendre leur pétrole à meilleur prix ailleurs en Amérique, fait-on valoir dans l'entourage du premier ministre.
«On est dans un contexte qui va bien au-delà de ce que nos lois peuvent faire. C'est un contexte mondial. D'une part, nous avons un baril à 70 $; d'autre part, une catastrophe inouïe aux États-Unis. Alors, il faut composer avec ça», a commenté M. Charest, faisant allusion à la flambée qui a suivi le passage de l'ouragan Katrina.
Les consommateurs d'énergie devront effectivement apprendre à «composer» avec les augmentations de coûts d'ici les prochains mois.
Hydro-Québec vient en effet de demander à nouveau à la Régie de l'énergie de lui accorder une hausse de tarifs de 3 % à compter du 1er avril 2006.
Mais comme pour l'essence, le premier ministre n'a pas l'intention d'intervenir.
«On a confié à la Régie de l'énergie la mission de juger et d'évaluer [les demandes d'Hydro], alors on va laisser la Régie faire son travail», a-t-il tranché.
Pour l'heure, le gouvernement se limite à demander aux ministères de mettre en place «des mesures agressives» (sic) d'économie d'énergie.
Les divers cabinets ont aussi été mandatés pour «évaluer les impacts» de la flambée sur la prestation des services.
«Nous avons agi promptement», a dit M. Charest.
Plus tôt, hier, le groupe L'Essence à juste prix s'adressait aux premiers ministres Paul Martin et Jean Charest pour qu'ils prennent des mesures destinées à freiner la flambée des prix de l'essence.
Le porte-parole Frédéric Quintal se référait à une loi provinciale sur les produits pétroliers qui permettrait au gouvernement québécois d'agir pour contrôler les prix.
Cette loi stipulerait que le gouvernement peut déterminer par décret le prix maximum auquel peut être vendu ou distribué un produit pétrolier quand l'intérêt public l'exige.
Sur la scène fédérale, les partis d'opposition ont exigé hier une intervention du premier ministre Martin pour contrer l'explosion des coûts.
La porte-parole du Parti conservateur au Québec, Josée Verner, a exhorté le gouvernement Martin à diminuer les taxes sur le litre d'essence à la pompe et à amoindrir la pression sur le consommateur.
En outre, Mme Verner a critiqué sévèrement la double taxation sur le prix à la pompe appliquée par le gouvernement fédéral.
«Le gouvernement de Paul Martin persiste à faire payer des taxes sur des taxes aux consommateurs d'essence en appliquant la TPS sur la taxe d'accise et celle sur le transport. Pendant ce temps, les libéraux nagent dans les surplus budgétaires», a-t-elle fait valoir, par voie de communiqué.
De son côté, le Bloc québécois a demandé au premier ministre Martin d'intervenir plutôt auprès de l'industrie du raffinage.
«Au delà des fluctuations du prix international, c'est la marge de profit au raffinage qui est trop élevée, a dénoncé le député Paul Crête. Cette marge a grimpé aujourd'hui à plus de 37 ¢, ce qui est tout à fait indécent.»
La suggestion du groupe L'Essence à juste prix n'est pas la solution, dit JeanCharest
PC
Édition du vendredi 2 septembre 2005
Québec -- Même si la loi lui permet de le faire, le gouvernement Charest rejette catégoriquement la possibilité d'imposer un prix maximum au carburant.
Frédéric Quintal croit que Québec et Ottawa disposent des pouvoirs nécessaires pour mettre un frein à la flambée du prix de l’essence.
«Il peut bien y avoir des pouvoirs théoriques, mais ce n'est pas en légiférant au Québec qu'on va faire passer le baril de pétrole de 70 $US à 20 $US», a expliqué hier le premier ministre, lors d'un bref point de presse à Québec.
Le gouvernement Charest, qui se dit impuissant à atténuer la flambée du prix de l'essence, dispose pourtant d'un outil législatif lui permettant de fixer un prix maximum à la pompe.
En effet, la Loi sur les produits et les équipements pétroliers stipule que le gouvernement peut déterminer par décret le prix maximum auquel peut être vendu ou distribué un produit pétrolier, lorsqu'il est d'avis que l'intérêt public l'exige.
Or, pour être efficace, une telle mesure devrait être imposée à très large échelle et non pas seulement au Québec, juge M. Charest.
Bien loin de soulager le fardeau des consommateurs, un prix plafond limité au Québec inciterait simplement les raffineurs d'ici à vendre leur pétrole à meilleur prix ailleurs en Amérique, fait-on valoir dans l'entourage du premier ministre.
«On est dans un contexte qui va bien au-delà de ce que nos lois peuvent faire. C'est un contexte mondial. D'une part, nous avons un baril à 70 $; d'autre part, une catastrophe inouïe aux États-Unis. Alors, il faut composer avec ça», a commenté M. Charest, faisant allusion à la flambée qui a suivi le passage de l'ouragan Katrina.
Les consommateurs d'énergie devront effectivement apprendre à «composer» avec les augmentations de coûts d'ici les prochains mois.
Hydro-Québec vient en effet de demander à nouveau à la Régie de l'énergie de lui accorder une hausse de tarifs de 3 % à compter du 1er avril 2006.
Mais comme pour l'essence, le premier ministre n'a pas l'intention d'intervenir.
«On a confié à la Régie de l'énergie la mission de juger et d'évaluer [les demandes d'Hydro], alors on va laisser la Régie faire son travail», a-t-il tranché.
Pour l'heure, le gouvernement se limite à demander aux ministères de mettre en place «des mesures agressives» (sic) d'économie d'énergie.
Les divers cabinets ont aussi été mandatés pour «évaluer les impacts» de la flambée sur la prestation des services.
«Nous avons agi promptement», a dit M. Charest.
Plus tôt, hier, le groupe L'Essence à juste prix s'adressait aux premiers ministres Paul Martin et Jean Charest pour qu'ils prennent des mesures destinées à freiner la flambée des prix de l'essence.
Le porte-parole Frédéric Quintal se référait à une loi provinciale sur les produits pétroliers qui permettrait au gouvernement québécois d'agir pour contrôler les prix.
Cette loi stipulerait que le gouvernement peut déterminer par décret le prix maximum auquel peut être vendu ou distribué un produit pétrolier quand l'intérêt public l'exige.
Sur la scène fédérale, les partis d'opposition ont exigé hier une intervention du premier ministre Martin pour contrer l'explosion des coûts.
La porte-parole du Parti conservateur au Québec, Josée Verner, a exhorté le gouvernement Martin à diminuer les taxes sur le litre d'essence à la pompe et à amoindrir la pression sur le consommateur.
En outre, Mme Verner a critiqué sévèrement la double taxation sur le prix à la pompe appliquée par le gouvernement fédéral.
«Le gouvernement de Paul Martin persiste à faire payer des taxes sur des taxes aux consommateurs d'essence en appliquant la TPS sur la taxe d'accise et celle sur le transport. Pendant ce temps, les libéraux nagent dans les surplus budgétaires», a-t-elle fait valoir, par voie de communiqué.
De son côté, le Bloc québécois a demandé au premier ministre Martin d'intervenir plutôt auprès de l'industrie du raffinage.
«Au delà des fluctuations du prix international, c'est la marge de profit au raffinage qui est trop élevée, a dénoncé le député Paul Crête. Cette marge a grimpé aujourd'hui à plus de 37 ¢, ce qui est tout à fait indécent.»
Vous pestez contre les prix élevés de l'essence? -
Apprenez à gérer votre consommation de carburant
MONTREAL, le 2 sept. /CNW Telbec/ - Suite à la flambée des prix de l'essence, l'Association québécoise pour la maîtrise de l'énergie (AQME) et les responsables du projet EcoRoute, désirent rappeler à la population et aux gestionnaires de parcs de véhicules certains trucs efficaces pour réduire la consommation de carburant des véhicules. "Il existe des méthodes simples et éprouvées pour améliorer la performance énergétique des parcs de véhicules", rappelle Denis Tanguay, directeur du projet EcoRoute Québec.
- Modérez vos transports ! Evitez les départs trop brusques et prévoyez les arrêts. Une conduite agressive réduit la durée des déplacements d'environ 5 %, mais augmente la consommation de carburant de 40 %.
- Ralentissez ! Circuler à 90 km/h plutôt qu'à 110 km/h peut réduire la consommation de carburant d'au moins 20 %.
- Luttez contre les ralentis inutiles ! Evitez de laisser votre moteur en marche lorsque votre véhicule est arrêté sur de longues périodes. Les moteurs à essence consomment de deux à quatre litres de carburant par heure de ralenti. Aux prix actuels, on gaspille jusqu'à plus de 5 $ l'heure.
- Inspectez votre véhicule ! Assurez-vous que vos pneus sont suffisamment gonflés. Une vérification mensuelle de la pression de vos pneus pourrait vous faire économiser de 3 à 5 % de carburant.
- Faites des choix éclairés ! Utilisez le bon véhicule pour le bon usage. Une traction à quatre roues motrices peut accroître la consommation de carburant de 5 à 10 % comparativement aux véhicules à deux roues motrices.
L'AQME et les responsables du programme EcoRoute Québec travaillent présentement à l'élaboration d'un guide de gestion pour les propriétaires et gestionnaires de parcs de véhicules et qui devrait être disponible au début de l'année 2006. "Des modifications mineures aux habitudes de conduites et des choix intelligents en matière d'équipements peuvent à eux seuls compenser pour toute la hausse récente des prix du carburant. Nous souhaitons que notre guide soit un outil de premier plan pour une meilleure gestion éconergétique des parcs de véhicules au Québec" a ajouté M. Tanguay.
EcoRoute Québec organise aussi pour le mois d'octobre une série de rencontres éconergétiques dans différentes régions du Québec. Y seront mises en valeur différentes solutions visant l'amélioration des performances énergétiques des parcs de véhicules. Pour en savoir plus sur ces rencontres et connaître d'autres moyens de réduire la consommation d'énergie des véhicules, on peut consulter le site Internet d'EcoRoute Québec au www.aqme.org/ecoroute
Apprenez à gérer votre consommation de carburant
MONTREAL, le 2 sept. /CNW Telbec/ - Suite à la flambée des prix de l'essence, l'Association québécoise pour la maîtrise de l'énergie (AQME) et les responsables du projet EcoRoute, désirent rappeler à la population et aux gestionnaires de parcs de véhicules certains trucs efficaces pour réduire la consommation de carburant des véhicules. "Il existe des méthodes simples et éprouvées pour améliorer la performance énergétique des parcs de véhicules", rappelle Denis Tanguay, directeur du projet EcoRoute Québec.
- Modérez vos transports ! Evitez les départs trop brusques et prévoyez les arrêts. Une conduite agressive réduit la durée des déplacements d'environ 5 %, mais augmente la consommation de carburant de 40 %.
- Ralentissez ! Circuler à 90 km/h plutôt qu'à 110 km/h peut réduire la consommation de carburant d'au moins 20 %.
- Luttez contre les ralentis inutiles ! Evitez de laisser votre moteur en marche lorsque votre véhicule est arrêté sur de longues périodes. Les moteurs à essence consomment de deux à quatre litres de carburant par heure de ralenti. Aux prix actuels, on gaspille jusqu'à plus de 5 $ l'heure.
- Inspectez votre véhicule ! Assurez-vous que vos pneus sont suffisamment gonflés. Une vérification mensuelle de la pression de vos pneus pourrait vous faire économiser de 3 à 5 % de carburant.
- Faites des choix éclairés ! Utilisez le bon véhicule pour le bon usage. Une traction à quatre roues motrices peut accroître la consommation de carburant de 5 à 10 % comparativement aux véhicules à deux roues motrices.
L'AQME et les responsables du programme EcoRoute Québec travaillent présentement à l'élaboration d'un guide de gestion pour les propriétaires et gestionnaires de parcs de véhicules et qui devrait être disponible au début de l'année 2006. "Des modifications mineures aux habitudes de conduites et des choix intelligents en matière d'équipements peuvent à eux seuls compenser pour toute la hausse récente des prix du carburant. Nous souhaitons que notre guide soit un outil de premier plan pour une meilleure gestion éconergétique des parcs de véhicules au Québec" a ajouté M. Tanguay.
EcoRoute Québec organise aussi pour le mois d'octobre une série de rencontres éconergétiques dans différentes régions du Québec. Y seront mises en valeur différentes solutions visant l'amélioration des performances énergétiques des parcs de véhicules. Pour en savoir plus sur ces rencontres et connaître d'autres moyens de réduire la consommation d'énergie des véhicules, on peut consulter le site Internet d'EcoRoute Québec au www.aqme.org/ecoroute

Surpise ? non......
je ne sais pas s'il y a des raisons comme une baisse importante du prix du baril mais au niveau des distributeurs , ils essaient juste à mon humble avis de nous faire oublier le climat qui prévalait lors des récentes augmentations monstrueuses......les gens étaient révolté, on prenait des décisions de vie pour diminuer la consommation, les gens étaient rendu au point de se solidariser tous ensembles, etc................alors on baisse les prix temporairement pour faire oublier les profits astronomiques du dernier trimestre mais surtout pour ns ramener à notre insouciance légendaire = continuer l,achat des gros véhicules, etc....
je ne sais pas s'il y a des raisons comme une baisse importante du prix du baril mais au niveau des distributeurs , ils essaient juste à mon humble avis de nous faire oublier le climat qui prévalait lors des récentes augmentations monstrueuses......les gens étaient révolté, on prenait des décisions de vie pour diminuer la consommation, les gens étaient rendu au point de se solidariser tous ensembles, etc................alors on baisse les prix temporairement pour faire oublier les profits astronomiques du dernier trimestre mais surtout pour ns ramener à notre insouciance légendaire = continuer l,achat des gros véhicules, etc....
NetRoll a écrit88.9 aujourd'hui coin Papineau/de Maisonneuve.
Surpris?
Je suis sûre qu'il y a eu complot: ils ont monté le gaz à 1,39$ pendant assez longtemps pour qu'on ferme notre gueule quand il descend à 0,90$!!
Surpris?
Je suis sûre qu'il y a eu complot: ils ont monté le gaz à 1,39$ pendant assez longtemps pour qu'on ferme notre gueule quand il descend à 0,90$!!
*INSCRIVEZ-VOUS MON FORUM SUR LA BEAUTÉ ET LES SOINS DU CORPS:
https://160234.aceboard.fr/index.php?login=160234
Essence
Les prix continuent de diminuer
Les prix de l'essence poursuivent leur tendance à la baisse amorcée il y a une dizaine de jours. Certaines stations-service de Montréal offrent l'essence ordinaire à 87,4 cents le litre.
Même phénomène aux États-Unis où le prix du gallon d'essence a baissé en moyenne de 23 cents au cours des deux dernières semaines.
Les prix affichés sont maintenant comparables à ceux offerts avant le passage de l'ouragan Katrina dans le golfe du Mexique.
La dernière fois que le prix de l'essence a baissé sous la barre des 90 cents remonte à mai 2005.
Les prix continuent de diminuer
Les prix de l'essence poursuivent leur tendance à la baisse amorcée il y a une dizaine de jours. Certaines stations-service de Montréal offrent l'essence ordinaire à 87,4 cents le litre.
Même phénomène aux États-Unis où le prix du gallon d'essence a baissé en moyenne de 23 cents au cours des deux dernières semaines.
Les prix affichés sont maintenant comparables à ceux offerts avant le passage de l'ouragan Katrina dans le golfe du Mexique.
La dernière fois que le prix de l'essence a baissé sous la barre des 90 cents remonte à mai 2005.
Le prix de l'essence grimpe à nouveau
Hélène Baril
08 novembre 2005 - 06h57
Après plusieurs semaines de baisses, le prix de l'essence a rebondi lundi à Montréal. En après-midi, des stations-service vendaient le litre d'essence ordinaire 98,4 cents, soit 8,5 cents de plus qu'au début de la journée.
D'autres, plus nombreuses, se contentaient de 95,9 cents. Ce réajustement était prévisible, puisque les détaillants vendaient l'essence à perte depuis quelques jours, a expliqué hier la porte-parole de l'Association des indépendants du pétrole, Sonia Marcotte.
Le porte-parole des pétrolières, Carol Montreuil, avait souligné en mi-journée que le prix à la pompe était plus bas que le prix d'approvisionnement des détaillants. « Comme consommateur, on peut s'en réjouir, mais on sait que ça ne durera pas », avait avancé M. Montreuil.
Et ça n'a pas duré. La hausse d'hier a mis fin à plusieurs semaines de baisses des prix à la pompe. Par exemple, le prix moyen de l'essence ordinaire à Montréal était de 1,21 $ en septembre et de 1,04 $ en octobre. Hier, en début de journée, il a baissé jusqu'à 87,4 cents, quoique le prix le plus répandu était de 89,9 cents.
Le mazout en baisse
Malgré le sursaut d'hier, le prix de l'essence devrait continuer à baisser à mesure que la capacité de raffinage se rétablira dans le golfe du Mexique, a avancé le porte-parole de l'industrie pétrolière. « Pour l'essence, la saison est terminée et la demande baisse, a dit Carol Montreuil. C'est du côté du diesel et du mazout que la pression risque de monter ».
La température clémente dont profite actuellement le nord-est des États-Unis a pour effet de faire baisser le prix du mazout sur le marché de New York. Ainsi, le mazout pour livraison en décembre a touché son prix le plus bas depuis le 8 août dernier, en baisse de 3,47 centsUS à 1,7615 $US le gallon. Plus tôt, le prix a baissé à 1,7465 $US le gallon.
Cette accalmie sera probablement éphémère et les prix se remettront à grimper dès que le temps se refroidira, prévoit Carol Montreuil.
C'est aussi l'avis du président de l'Association du chauffage au mazout, Normand Leblanc. Selon lui, la baisse du prix du mazout pour livraison en décembre n'est pas une bonne indication de l'évolution des prix pour l'hiver. « Le gros des livraisons de mazout se fait dans les mois de janvier et février », a-t-il rappelé.
Même si le mazout est redescendu du sommet atteint en septembre, la saison de chauffe 2005-2006 commence avec des prix de 20 % supérieurs à ce qu'ils étaient à la même date l'an dernier. À Montréal, le prix moyen d'un litre de mazout est 72,5 cents, comparativement à 60,28 cents l'hiver dernier.
«Tout cela est affaire de météo, confiait hier Bill O'Grady, un analyste de A.G. Edwards & Sons, à St. Louis. Le temps doux empêche les prix de grimper. Lorsque nous finirons par avoir du temps froid, les choses vont changer. »
L'accalmie d'hier a été provoquée par cette nouvelle: la demande de mazout de chauffage dans le nord-est des États-Unis, où 80 % de ce combustible américain est consommé, sera de 22 % inférieure à la normale jusqu'au 14 novembre prochain, selon Weather Derivatives, une firme de prévision de Belton, dans le Missouri. La consommation dans le centre-nord des États-Unis, où la plupart des propriétaires de maisons se chauffent au gaz naturel, sera inférieure de 36 % à la moyenne.
Le prix du pétrole brut léger pour livraison en décembre a aussi baissé de 1,11 $US à 59,47 $US le baril hier à la Bourse des marchandises de New York. Plus tôt dans la journée, le prix avait reculé à 58,60 $US, le niveau le plus bas depuis le 27 juillet dernier. Les contrats à terme ont baissé de 17 % depuis le record de 70,85 $US atteint le 30 août dernier. Toutefois, les prix sont en hausse de 19 % par rapport à l'an dernier. « La grande question est de savoir si nous avons atteint un plancher ou si les prix baisseront encore », indique Jason Schenker, un économiste de Wachovia Corp., à Charlotte. « À court terme, ce sont les stocks et la météo qui détermineront la direction des prix », ajoute-t-il.
Les stocks américains de pétrole brut et d'essence ont augmenté au cours de la semaine terminée le 28 octobre dernier, selon le Département américain de l'énergie. Les réserves de carburants distillés, qui comprennent le mazout de chauffage et le diesel, ont peu évolué.
ESSENCE
Septembre 1,21 $/Litre
Hier 84,4 ¢ à 98,4 ¢
Hélène Baril
08 novembre 2005 - 06h57
Après plusieurs semaines de baisses, le prix de l'essence a rebondi lundi à Montréal. En après-midi, des stations-service vendaient le litre d'essence ordinaire 98,4 cents, soit 8,5 cents de plus qu'au début de la journée.
D'autres, plus nombreuses, se contentaient de 95,9 cents. Ce réajustement était prévisible, puisque les détaillants vendaient l'essence à perte depuis quelques jours, a expliqué hier la porte-parole de l'Association des indépendants du pétrole, Sonia Marcotte.
Le porte-parole des pétrolières, Carol Montreuil, avait souligné en mi-journée que le prix à la pompe était plus bas que le prix d'approvisionnement des détaillants. « Comme consommateur, on peut s'en réjouir, mais on sait que ça ne durera pas », avait avancé M. Montreuil.
Et ça n'a pas duré. La hausse d'hier a mis fin à plusieurs semaines de baisses des prix à la pompe. Par exemple, le prix moyen de l'essence ordinaire à Montréal était de 1,21 $ en septembre et de 1,04 $ en octobre. Hier, en début de journée, il a baissé jusqu'à 87,4 cents, quoique le prix le plus répandu était de 89,9 cents.
Le mazout en baisse
Malgré le sursaut d'hier, le prix de l'essence devrait continuer à baisser à mesure que la capacité de raffinage se rétablira dans le golfe du Mexique, a avancé le porte-parole de l'industrie pétrolière. « Pour l'essence, la saison est terminée et la demande baisse, a dit Carol Montreuil. C'est du côté du diesel et du mazout que la pression risque de monter ».
La température clémente dont profite actuellement le nord-est des États-Unis a pour effet de faire baisser le prix du mazout sur le marché de New York. Ainsi, le mazout pour livraison en décembre a touché son prix le plus bas depuis le 8 août dernier, en baisse de 3,47 centsUS à 1,7615 $US le gallon. Plus tôt, le prix a baissé à 1,7465 $US le gallon.
Cette accalmie sera probablement éphémère et les prix se remettront à grimper dès que le temps se refroidira, prévoit Carol Montreuil.
C'est aussi l'avis du président de l'Association du chauffage au mazout, Normand Leblanc. Selon lui, la baisse du prix du mazout pour livraison en décembre n'est pas une bonne indication de l'évolution des prix pour l'hiver. « Le gros des livraisons de mazout se fait dans les mois de janvier et février », a-t-il rappelé.
Même si le mazout est redescendu du sommet atteint en septembre, la saison de chauffe 2005-2006 commence avec des prix de 20 % supérieurs à ce qu'ils étaient à la même date l'an dernier. À Montréal, le prix moyen d'un litre de mazout est 72,5 cents, comparativement à 60,28 cents l'hiver dernier.
«Tout cela est affaire de météo, confiait hier Bill O'Grady, un analyste de A.G. Edwards & Sons, à St. Louis. Le temps doux empêche les prix de grimper. Lorsque nous finirons par avoir du temps froid, les choses vont changer. »
L'accalmie d'hier a été provoquée par cette nouvelle: la demande de mazout de chauffage dans le nord-est des États-Unis, où 80 % de ce combustible américain est consommé, sera de 22 % inférieure à la normale jusqu'au 14 novembre prochain, selon Weather Derivatives, une firme de prévision de Belton, dans le Missouri. La consommation dans le centre-nord des États-Unis, où la plupart des propriétaires de maisons se chauffent au gaz naturel, sera inférieure de 36 % à la moyenne.
Le prix du pétrole brut léger pour livraison en décembre a aussi baissé de 1,11 $US à 59,47 $US le baril hier à la Bourse des marchandises de New York. Plus tôt dans la journée, le prix avait reculé à 58,60 $US, le niveau le plus bas depuis le 27 juillet dernier. Les contrats à terme ont baissé de 17 % depuis le record de 70,85 $US atteint le 30 août dernier. Toutefois, les prix sont en hausse de 19 % par rapport à l'an dernier. « La grande question est de savoir si nous avons atteint un plancher ou si les prix baisseront encore », indique Jason Schenker, un économiste de Wachovia Corp., à Charlotte. « À court terme, ce sont les stocks et la météo qui détermineront la direction des prix », ajoute-t-il.
Les stocks américains de pétrole brut et d'essence ont augmenté au cours de la semaine terminée le 28 octobre dernier, selon le Département américain de l'énergie. Les réserves de carburants distillés, qui comprennent le mazout de chauffage et le diesel, ont peu évolué.
ESSENCE
Septembre 1,21 $/Litre
Hier 84,4 ¢ à 98,4 ¢