Publié : lun. oct. 03, 2005 12:30 pm
Le gros du problème vient aussi du fait du mal d'amour en ce moment dans cette société. On est dans un monde d'image, on véhicule l'image et passe par l'image pour nous bourrer le crâne que c'est ainsi que la société devrait être et doit être.
Ce qui fait que les parents se perdent dans leur image, la transmette de génération en génération. On a perdu le sens des valeurs, on a perdu l'imaginaire au détriment d'être comme des enfants qui agit comme des soi disant adultes. On vit une grosse crise de société, on a juste a voir depuis environ 1 an, ca pète de partout. Et c'est pas fini, ca commence, a mon humble avis.
Dans la société de travail, c'est la même chose, combien d'ami(es) que j'ai, conscient de plus en plus sont malheureux de cette crise a leur travail. C'est au plus fort la poche, celui qui écrasera l'autre pour gagner en estime vis a vis le patronat. Au détriment du mensonge, de l'hypocrisie et de la médisance. Il y a ces énoncés dans ce reportage mais il y en a beaucoup d'autres qui sont cachés.
L'autre jour, ma fille ayant congé, nous sommes allées au square Berri, j'ai parlée avec des jeunes pendant que ma fille prenait des photos et j'ai été surprise de toutes les histoires d'horreurs que j'ai entendu. Pourquoi devrons t-on se taire de ce mal qui ronge la planète en ce moment. Au contraire je pense qu'il est temps de se lever debout et de dire, assez c'est assez. Oups, excusez mon envolée. Bon je redescend un peu.
Ce qui fait que les parents se perdent dans leur image, la transmette de génération en génération. On a perdu le sens des valeurs, on a perdu l'imaginaire au détriment d'être comme des enfants qui agit comme des soi disant adultes. On vit une grosse crise de société, on a juste a voir depuis environ 1 an, ca pète de partout. Et c'est pas fini, ca commence, a mon humble avis.
Dans la société de travail, c'est la même chose, combien d'ami(es) que j'ai, conscient de plus en plus sont malheureux de cette crise a leur travail. C'est au plus fort la poche, celui qui écrasera l'autre pour gagner en estime vis a vis le patronat. Au détriment du mensonge, de l'hypocrisie et de la médisance. Il y a ces énoncés dans ce reportage mais il y en a beaucoup d'autres qui sont cachés.
L'autre jour, ma fille ayant congé, nous sommes allées au square Berri, j'ai parlée avec des jeunes pendant que ma fille prenait des photos et j'ai été surprise de toutes les histoires d'horreurs que j'ai entendu. Pourquoi devrons t-on se taire de ce mal qui ronge la planète en ce moment. Au contraire je pense qu'il est temps de se lever debout et de dire, assez c'est assez. Oups, excusez mon envolée. Bon je redescend un peu.