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Publié : mar. avr. 19, 2005 9:07 am
par Thewinneris
NetRoll a écrit
Peut-être qu'il te fait peur parce que son visage a un petit quelque chose quinosu fait penser à Alphonso Gagliano
Lol! Oui c'est vrai!
En plus, t'as vu ses yeux? Bouuh! Il me rappelle ce genre de regard qu'on voit souvent chez des dirigeants de la droite. Brrrh!
TK, j'ai hâtes de voir comment il sera, j'espère que c'est juste un mauvaise impression. Je me trompes souvent. Par contre, je ne suis pas la seule à voir son arrivé d'un mauvais oeil (c'est le cas de le dire. Lol!). Juste à voir la réaction de certains intervenants de l'église qui se prononcent sur leur déception de ce choix à la télévision. --Message edité par Thewinneris le 2005-04-19 15:12:16--
Publié : mar. avr. 19, 2005 9:09 am
par Fleur de Jasmin
NightFall a écritBenoit XVI
Ca fait bizarre, le nouveau Pape porte le prénom de mon frère décédé un 16.
Publié : mar. avr. 19, 2005 9:47 am
par Muskary
IL PREND LE NOM DE BENOÎT XVI
Joseph Ratzinger est le nouveau pape
L'identité du 265e pape vient d'être confirmée: c'est l'Allemand Joseph Ratzinger, âgé de 78 ans, qui s'est présenté devant une foule enthousiaste à la place Saint-Pierre. Il a choisi le nom de Benoît XVI.
Apparu souriant sur le balcon de la basilique Saint-Pierre à 18h47 (12h47 à Montréal), le théologien gardien de la doctrine a été applaudi et acclamé sans fin par une foule de quelque 100 000 fidèles en liesse, qu'il a remerciée en la saluant avec les mains jointes levées au dessus de la tête, avant de donner la bénédiction Urbi et Orbi (à la ville et au monde).
La forte personnalité du doyen des cardinaux a dominé la période préparatoire ayant précédé le conclave, marquée par 12 congrégations générales. Champion du camp conservateur, préfet sortant de la congrégation pour la doctrine de la foi, l'un des rares à avoir l'expérience des deux précédents conclaves en 1978, le cardinal Ratzinger était d'emblée présenté comme le mieux placé pour succéder à Jean-Paul II, dont il était proche.
Son intransigeance doctrinale rassurait l'aile conservatrice pour laquelle Jean-Paul II était allé trop loin dans la repentance de l'Église pour son histoire passée et dans le dialogue avec les autres religions. Mais elle rebutait ceux qui souhaitaient une Église sachant concilier affirmation des dogmes et dialogue avec la société.
Le nouveau chef de 1,1 milliard de catholiques a été élu mardi au soir du deuxième jour du conclave, par les 115 cardinaux enfermés dans la chapelle Sixtine au Vatican depuis lundi soir. Pour succéder au Polonais Karol Wojtyla, il a dû recueillir au moins les deux-tiers des voix des 115 cardinaux électeurs venus de 52 pays.
Il aura la lourde tâche de succéder à Jean-Paul II, le premier pape de la mondialisation, dont les obsèques, le 8 avril, ont fait accourir au Vatican la plupart des dirigeants de la planète (à l'exception notable des dirigeants russe et chinois), des représentants de toutes les grandes religions, ainsi que des centaines de milliers de fidèles.
L'extraordinaire charisme de Jean-Paul II a masqué la fragilité de l'Église catholique dans un monde en mutation. Son successeur sera confronté à des enjeux redoutables liés à la chute des vocations, à la concurrence des autres religions et à l'évolution des moeurs.
Malgré les apparences, l'Église catholique est aujourd'hui plus faible qu'au début du pontificat de Jean-Paul II il y a 26 ans : 17% de la population mondiale se réclame du catholicisme (17,75% en 1978) et le nombre de baptisés croît désormais moins vite que les naissances. En revanche l'islam, les courants évangéliques inspirés du protestantisme et l'indifférence religieuse sont en pleine progression.
Aujourd'hui, les trois quarts des catholiques se trouvent hors d'Europe, le continent de son expansion initiale, où son influence est en perte de vitesse.
La vitalité du catholicisme en Asie et en Afrique ne permet plus de compenser la chute des vocations dans le Vieux continent autrefois missionnaire : on comptait 416 329 prêtres en 1978, ils n'étaient plus que 405 450 en 2003.
Dans le domaine du dialogue avec les autres confessions chrétiennes (oecuménisme), le nouveau pape hérite aussi d'un dossier embourbé : depuis le retour à la liberté religieuse dans l'ancien empire soviétique, les catholiques ont souvent été accusés de prosélytisme par les Églises orthodoxes d'Europe centrale.
Avec les protestants, l'opposition demeure sur la question de la primauté du pape.
Par ailleurs, l'Église n'échappe pas aux durcissements identitaires que connaissent toutes les religions. Une bonne partie du clergé et de nombreux fidèles, notamment dans les continents confrontés à la concurrence religieuse, restent attachés à ce qui fait sa spécificité : rigueur sur le plan des moeurs, prêtrise réservée aux hommes célibataires, importance donnée aux rituels.
Le nouveau pape pourrait décider d'engager rapidement la procédure de béatification de son prédécesseur, répondant à une demande qui s'est manifestée dès le jour des obsèques parmi certains courants de l'Église.
Jean-Paul II, le pape polonais qui a fait entrer l'Église catholique dans le 3e millénaire, est mort au soir du 2 avril à 84 ans à l'issue d'un calvaire qu'il avait décidé de vivre sous le regard du monde. Sa dernière apparition à la fenêtre de son bureau du Vatican a eu lieu trois jours avant son décès.
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Quant à moi........le look de ce nouveau Pape me fait penser à un personnage qui pourrait sortir du film l'Exorcist.
Publié : mar. avr. 19, 2005 9:52 am
par Muskary
Joseph Ratzinger, gardien intransigeant du dogme
Christian Spillmann
Agence France-Presse
Cité du Vatican
Le cardinal allemand Joseph Ratzinger, 78 ans, élu mardi 265e pape de l'Église catholique et évêque de Rome, est le gardien intransigeant du dogme contre les dérives d'une Église devenue, selon lui, une «barque qui prend l'eau».
Donné favori, il a été élu au quatrième tour de scrutin par les 115 cardinaux électeurs âgés de moins de 80 ans entrés en conclave lundi après-midi. Il a décidé de régner sous le nom de Benoît XVI et son apparition a été saluée par des acclamations. Visiblement ému, il s'est décrit comme un «humble et modeste travailleur dans les vignes du Seigneur» dans sa première intervention avant de donner sa bénédiction «Urbi et Orbi».
Brillant et fin théologien, il dirigeait avant la mort de Jean-Paul II la puissante congrégation pour la doctrine de la foi, l'héritière de la sainte inquisition tristement célèbre pour ses bûchers et ses autodafés de la fin du Moyen-Âge. Ses partisans l'ont d'ailleurs fièrement surnommé «le grand inquisiteur» et saluent son action pour «réduire au silence les théologiens dissidents» et «écraser les hérésies».
Doyen du collège des cardinaux, il a fustigé lundi «la dictature du relativisme», fait le procès de ceux qui, dans l'Église, se sont laissés séduire par des «courants de mode» et a défendu le dogme, même si «avoir une foi claire est souvent étiqueté comme fondamentalisme» dans son homélie lors de la messe célébrée avant l'entrée en conclave.
Chargé cette année par Jean-Paul II de rédiger les textes de méditation du chemin de croix pour la semaine sainte, il avait livré un véritable réquisitoire dans lequel il avait fustigé «les souillures», «l'orgueil» et «l'autosuffisance» au sein de l'Église.
«Souvent, Seigneur, ton Église nous semble une barque prête à couler, une barque qui prend l'eau de toutes parts», avait-il déploré.
Le ton n'avait pas surpris de la part de ce prince de l'Église intransigeant, mais à la santé fragile. Il a eu une attaque cérébrale et a fait une chute dans les années 1980 lors d'une visite à Pordenone, au nord de l'Italie.
Né le 16 avril 1927 à Marktl-am-Inn, dans le diocèse de Passau, en Bavière, Joseph Ratzinger a été ordonné prêtre le 29 juin 1951, fait archevêque de Munich en mars 1977 et cardinal quatre mois plus tard, le 27 juin 1977, par le pape Paul VI. Il était l'un des trois cardinaux électeurs à ne pas devoir sa pourpre à Jean-Paul II.
Le cardinal Ratzinger est détesté de nombreux catholiques progressistes. De 1981 à aujourd'hui, ses interdits ne se comptent plus : non à l'ordination des femmes, non au mariage des prêtres, non à l'homosexualité, non au communisme, non à la Turquie dans l'Europe.
Ses prises de position sont tranchantes, comme son regard bleu métal et son sourire pincé. Elles ont souvent menacé de provoquer des crises politiques. En 2004, il s'est ainsi opposé à l'intégration de la Turquie musulmane dans l'Union européenne, la qualifiant «d'énorme erreur» et de «décision contre l'histoire».
Face à une Église en crise, il préconise le repli et le rapprochement avec les mouvements catholiques les plus radicaux, voire «fondamentalistes». «Plus une religion s'assimile au monde et plus elle devient superflue», a-t-il affirmé en octobre 2004 dans un entretien à l'hebdomadaire italien Panorama.
«En revanche, les nouveaux mouvements chrétiens, comme les évangélistes, les charismatiques ou les églises libres en Allemagne sont en plein essor parce qu'ils défendent bec et ongles les grandes valeurs morales contre l'évolution des mentalités», a-t-il souligné.
«Ces groupes étaient considérés il y a peu par l'Église comme fondamentalistes et étaient récemment encore des adversaires acharnés de l'Église catholique, mais ils commencent à se rapprocher, car ils ont réalisé que seule l'Église défend les valeurs morales et nous acceptons avec joie ce rapprochement», a-t-il conclu.
Publié : mar. avr. 19, 2005 9:52 am
par NetRoll
J'aime les sites qui se tournent sur un 10¢
http://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEt_XVI --Message edité par NetRoll le 2005-04-19 15:53:03--
Publié : mar. avr. 19, 2005 9:59 am
par Muskary
Les précédentes déclarations du cardinal Ratzinger
Associated Press
Cité du Vatican
Rappel de commentaires, ces dernières années, du cardinal Joseph Ratzinger, élu mardi nouveau pape, sur certaines des questions qui se posent à l'Église catholique :
Sécularisation :
«Nous sommes à un moment très grave (de l'Histoire); la sécularisation radicale pourrait détruire l'humanisme».
(Discours devant l'ordre salésien, 2 décembre 2004)
Clonage :
«Une menace plus dangereuse que les armes de destruction massive».
(Débat à Rome, le 27 octobre 2004)
Interdiction de la prêtrise des femmes :
«Nécessaire afin de protéger la vraie doctrine, sauvegarder la communion et l'unité de l'Église et guider la conscience des fidèles».
(Décret de janvier 2003 confirmant l'excommunication de femmes ayant participé à un simulacre de cérémonie d'ordination)
Publié : mar. avr. 19, 2005 10:00 am
par Muskary
NetRoll a écritJ'aime les sites qui se tournent sur un 10¢
http://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEt_XVI
Absolument vrai........et ce nouveau site français 'd'encyclopédie' est une pure merveille.
Publié : mar. avr. 19, 2005 10:05 am
par RedShadow2
Mauvais choix de pape
Moi j'aurais voté lolilou pour pape.
Publié : mar. avr. 19, 2005 10:11 am
par bobépine
RedShadow2 a écritMauvais choix de pape
Je pense la même chose...heureusement il l'a 78 ans...et il n'est là enfin de compte que pour faire l'entre 2 avec le prochain pape
Publié : mar. avr. 19, 2005 10:13 am
par lolilou
RedShadow2 a écritMauvais choix de pape
Moi j'aurais voté lolilou pour pape.
pas possible chus une femme
Mais je partage ton avis, cé un mauvais choix... Et je sais pas pourquoi, mais je pense qu'il va vivre plus longtemps (trop longtemps) qu'on pense.
Publié : mar. avr. 19, 2005 10:14 am
par tuberale
bien je ne sais pas trop pour cette idée de transition.....le monde peuvent vivre vieux de nos jours....il a le temps de faire des ravages quand même.....
Publié : mar. avr. 19, 2005 10:34 am
par Char Aznable
Quand je regarde les idées du nouveau pape,il n`y a rien qui m`étonne.Que voulez vous,se sont tous des idées catholiques,ça va avec.Le Pape qui joue de la guitare électrique et qui boie de la bière,il est malheureusement pas près d`arriver. --Message edité par rupert le 2005-04-19 16:34:33--
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:14 am
par RedShadow2
lolilou a écrit
pas possible chus une femme
Une femme papesse n'aurait pas fait de tord à l'Église. Ça aurait amené un vent d'air frais.
Voter lolilou !!!
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:26 am
par .anthurium.
Je suis tellement soulagée. Je me sens en confiance Il a parlé de la vièrge Marie (Il aime la vièrge comme Jean Paul II) Il était un ami intime de Jean Paul II.
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:31 am
par Chanelle
je n ai rien contre les personnes agés mais me semble qu un pape de 78 ans c est pas fort
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:32 am
par Chanelle
rupert a écritQuand je regarde les idées du nouveau pape,il n`y a rien qui m`étonne.Que voulez vous,se sont tous des idées catholiques,ça va avec.Le Pape qui joue de la guitare électrique et qui boie de la bière,il est malheureusement pas près d`arriver.
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:34 am
par Mikka
Chanelle a écritje n ai rien contre les personnes agés mais me semble qu un pape de 78 ans c est pas fort
Moi c'est pas tant son âge qui m'incommode autant que ses idées et le fait qu'il soit ultra-conservateur. Non décidémment pas un choix des plus judicieux. Il transpire pas la bonté cet homme-là, on sent la poigne de fer.
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:42 am
par Chanelle
Mikka a écrit
Moi c'est pas tant son âge qui m'incommode autant que ses idées et le fait qu'il soit ultra-conservateur. Non décidémment pas un choix des plus judicieux. Il transpire pas la bonté cet homme-là, on sent la poigne de fer.
Ouais mais il est pas la pour 30 ans sans vouloir faire preuve de méchanceté
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:48 am
par Voyeur23
je trouve que le nouveau pape resseemble physyquement, a alfonso lol
Publié : mar. avr. 19, 2005 11:55 am
par NetRoll
.anthurium. a écritJe suis tellement soulagée. Je me sens en confiance Il a parlé de la vièrge Marie (Il aime la vièrge comme Jean Paul II) Il était un ami intime de Jean Paul II.
C'est sur qu'un pape qui n'aime pas la vierge Marie... on en verra pas souvent.
J'espère que tu faisaie de l'ironie.