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Publié : mer. févr. 09, 2005 6:31 pm
par tuberale
rupert a écrit
C`est pour ça que je prend toujours la peine de mettre des je trouve,à mon avis, selon moi ,je pense ect ect dans mes phrases.Que la personne que tu protège fasse la pluie et le beau temps en défendant jusqu`au terroriste de l`Osétie du Nord,je m`en fou un peu,mais qu`on viennent dire que c`est un bon professeur et un bon informateur,je trouve ça gros.Au cas où tu t`inquiéterais,oui c`est juste mon opinion,et oui,c`est juste mon opinion quand je dis que je pense que c`est complètement loufoque qu`on vienne dire que les gens qui votent pour l`ADQ sont apolitique.Je n`ai plus rien à rajouter sur le sujet,goodbye.
De quoi tu parles pour l'amour??????.....protège personne moi, je suis pas péquiste, ni adéquiste, j'ai voté pour le parti Vert à la dernière élection.......et je ne m'inquiète pas pour toi, t,es un grand garçon, m,a juste semblé que quand qu'on affirme q ue les autres prennent leurs informations dans des livres et que c'est douteux, que les tiennes tu dois bien toi aussi les prendre en quelque part, tu n,as pas la science infuse.....et que par le fait même elles peuvent être douteuses pour les autres....quand au fond du problème gauche-droite.....je trouve ça comique car automatiquement ns sommes à la droite de certains et à la gauche de d'autres...............faut savoir relativiser les choses....... Sois heureux.......
Publié : mer. févr. 09, 2005 7:04 pm
par Fabine
Tout régime totalitaire est pour moi du facisme. Donc dans ma tête Castro est un monarque communiste autoproclamé.
Et nous sommes loin du sujet, Landry.
Je crois qu'il a attendu trop longtemps sont tour en demeurant deuxième valet pendant des années. Il s'accroche et en politique ça ne donne jamais rien de bon pour le parti.
Le PQ a vraiment besoin de sang neuf, de jeunes fougueux. Je n'en vois pas beaucoup.
Publié : jeu. févr. 10, 2005 5:46 am
par Muskary
rupert a écrit
C`est pour ça que je prend toujours la peine de mettre des je trouve,à mon avis, selon moi ,je pense ect ect dans mes phrases.Que la personne que tu protège fasse la pluie et le beau temps en défendant jusqu`au terroriste de l`Osétie du Nord,je m`en fou un peu,mais qu`on viennent dire que c`est un bon professeur et un bon informateur,je trouve ça gros.Au cas où tu t`inquiéterais,oui c`est juste mon opinion,et oui,c`est juste mon opinion quand je dis que je pense que c`est complètement loufoque qu`on vienne dire que les gens qui votent pour l`ADQ sont apolitique.Je n`ai plus rien à rajouter sur le sujet,goodbye.
mmmmmmmmmmmm Lorsque dans ton autre message tu disais 'Je crois que tu y vas un peu trop fort' ou que tu mentionnes que les mots 'professeur et informateur' sont mal utilisés.....et bien c'est dommage que tu vois l'ensemble de nos INFORMATIONS et de nos OPINIONS comme une forme d'INCITATION à prendre d'un coté ou de l'autre.
Je n'ai nullement (comme d'autres personnes d'ailleurs) besoin de toujours spécifier ou souligner que certains de mes énoncés sont des OPINIONS. Je crois qu'il est clair que c'est un fait connu.
De plus, c'est la que tu te gourdes complètement quand aux termes que j'utilise pour décrire les INTERVENTIONS de Raven...franchement........celui-ci ne peut décrire le ROUGE comme étant du VERT si vraiment la descrïption véhiculée au travers de l'histoire est que le ROUGE ressemble......à du ROUGE.
En fait.....Sun et Raven spécifie leurs sources d'INFORMATIONS et EXPLIQUE un tout.
LA DROITE ...LA GAUCHE..........ce n'est pas des positions qu'ils veulent faire avaler ou imposer aux gens....ce sont des explications.......et si tu n'as pas compris...eh bien.....c'est vraiment dommage....
L'interprétation que tu donnes à chaque phrase comme étant personnelle à toi prouve que tu as besoin d'un peu plus de culture dans la langue française afin d'y connaître ses subtilités et comprendre la différence entre OPINIONS, DES EXPLICATIONS ou IMPOSER DES IDÉAUX.
Sun et Raven ont tout simplement donner des EXPLICATIONS sur des termes qui sont souvent méconnues. En faisant une telle chose, ceux-ci n'ont en aucun moment DIT ou IMPOSER une façon de voir.
Et je continue de clamer que Raven est une très bonne source d'INFORMATIONS sur la politique et son histoire.
Suis-je d'accord avec ses IDÉAUX........rien n'est moins sûr....ceci est une autre chose dont je ne discuterai pas....MAIS j'aime ses EXPLICATIONS et je l'encourage à continuer à nous INFORMER. --Message edité par muskary le 2005-02-10 22:52:55--
Publié : jeu. févr. 10, 2005 6:47 am
par Boule à mites
Muskary a écrit
Je n'ai nullement (comme d'autres personnes d'ailleurs) besoin de toujours spécifier ou souligner que certains de mes énoncés sont des OPINIONS. Je crois qu'il est clair que c'est un fait connu.Moi non plus. Et quand ce n'est pas une opinion mais un fait prouvé, je donne mes sources, c'est tout.
Publié : jeu. févr. 10, 2005 7:11 am
par Muskary
BouleAMites_ a écrit Moi non plus. Et quand ce n'est pas une opinion mais un fait prouvé, je donne mes sources, c'est tout.
Publié : dim. févr. 13, 2005 8:48 pm
par tuberale
Parti québécois
Jean-Pierre Charbonneau souhaite le départ de Bernard Landry
(D'après PC) - Un autre député du Parti québécois a annoncé qu'il souhaitait le départ de son chef.
Le représentant de Borduas, Jean-Pierre Charbonneau, a déclaré à La Presse qu'il ne pourra appuyer Benard Landry lors du vote de confiance de juin prochain.
M. Charbonneau, qui n'assiste pas au Conseil national du PQ à Trois-Rivières, se joint donc à plusieurs autres députés qui contestent le leadership de Bernard Landry, notamment Nicole Léger et Paul Bégin.
En vidéo 1, Robert Plouffe suit les activités du Conseil national du Parti québécois. En vidéo 2, Véronyque Tremblay s'entretient avec la députée Diane Lemieux, qui ne partage pas l'opinion de M. Charbonneau.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 03730.html --Message edité par tuberale le 2005-02-14 01:49:22--
Publié : dim. févr. 13, 2005 8:51 pm
par tuberale
Parti québécois
Bernard Landry reçoit l'appui de ses partisans
(D'après PC) - Plusieurs membres du Parti québécois ont manifesté leur appui à Bernard Landry ce matin.
Trois jeunes députés, Nicolas Girard, Elsie Lefebvre (petite photo) et Stéphane Bédard, ont publiquement dénoncé les Nicole Léger et Jean-Pierre Charbonneau, qu'ils accusent de nuire aux efforts de modernisation du parti.
Ces deux députés ont profité du Conseil national du Parti québécois qui se déroule à Trois-Rivières pour réclamer le départ de leur chef.
Le député de Chicoutimi, Stéphane Bédard, affirme qu'il en a assez que quelques-uns de ses collègues prennent toute la place dans les médias et répètent la même cassette.
La leader parlementaire, Diane Lemieux, estime pour sa part que les militants travaillent comme des déchaînés pour assurer que le PQ joue son rôle d'opposition, mais elle se sent trahie par les quelques députés qui contestent Bernard Landry.
Le président du comité des jeunes péquistes, Sébastien Cloutier, en a également assez. Il qualifie les députés contestataires d'«hurluberlus» qui sabotent le travail des jeunes et de la majorité des membres de l'équipe péquiste.
La députée de Taschereau, Agnès Maltais, déplore aussi que les médias accordent autant d'importance à quelques individus.
Le député de Chicoutimi, Stéphane Bédard, s'est défendu de mener une opération commandée par son chef. Selon lui, les députés ont décidé spontanément de corriger le tir auprès des médias.
En vidéo 1, Daniel Tremblay s'entretient avec Stéphane Bédard. En vidéo 2, écoutez les explications de Robert Plouffe.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 05926.html
Publié : lun. févr. 14, 2005 2:51 am
par Voyeur23
je compremd pu rien ou on ma pas expliquer la shoot d,en fin de semaine
bernard reste avec l'appui des jeunes député, il peut que y avoir eu un deal entre ....legault....rebello et Landry
pcq en décembre, ca regardais pas comme ca
je comprend pu rien
Publié : lun. févr. 14, 2005 3:16 am
par Voyeur23
Parti québécois
Dissensions intestines
Denis Lessard
La Presse
Trois-Rivières
Une démonstration de force organisée par l'entourage de Bernard Landry s'est retournée contre lui hier. À l'issue du discours de clôture du conseil national, seulement 16 des 46 députés du caucus sont allés rejoindre leur chef sur l'estrade à la demande du whip du parti, Michel Morin.
En désespoir de cause, on a même fait monter quelques candidats défaits.
En après-midi, M. Landry a banalisé l'opération ratée en expliquant que plusieurs élus n'avaient pu rester au conseil national, qui s'est terminé deux heures plus tard que prévu. Daniel Turp, Stéphane Tremblay et Solange Charest avaient d'autres activités publiques.
Même Sylvain Simard, fidèle lieutenant du chef, a «oublié» de monter sur l'estrade. M. Landry a répété plusieurs fois ces explications pour quatre ou cinq... des 29 absences.
En fait, plusieurs élus ne se sont pas montrés, hier. D'autres, défavorables à Bernard Landry, avaient carrément claqué la porte juste avant le discours.
Pauline Marois s'est subitement volatilisée: «Je dois partir pour Sept-Îles», a-t-elle expliqué en coup de vent à La Presse. Ses supporters, Nicole Léger et Jocelyne Caron, brillaient par leur absence.
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Jean-Claude Saint-André, député de L'Assomption, avait lui aussi signalé au whip qu'il ne fallait pas compter sur lui. Quand on lui a appris que François Legault avait l'intention de se montrer solidaire de M. Landry, il n'a pu se retenir: «Quel pissou!» D'autres députés étaient invisibles hier: Rosaire Bertrand, François Gendron, Claude Cousineau, Lucie Papineau, par exemple.
À mots couverts, M. Landry a indiqué qu'il entendait sanctionner le député de Borduas, Jean-Pierre Charbonneau, aussi vice-président de la commission sur l'agriculture: «Il aura à expliquer son absence à un conseil national portant sur l'agriculture sans avoir prévenu personne.» La réplique de M. Charbonneau, hier soir, a été aussi vive: «Cela n'a rien à voir; Louise Harel est vice-présidente de la commission des transports et ne se prononce jamais là-dessus. Le critique du PQ à l'Agriculture est Maxime Arseneault, M. Landry le sait très bien.»
Image d'unité
Jusqu'au dérapage final, hier, l'entourage de Bernard Landry était parvenu à présenter une image d'unité au caucus. Les fidèles de M. Landry avaient clairement eu le feu vert pour monter le ton devant les dissensions qui s'étaient exprimées la veille. «On est tannés des chiqueux de guenille, j'en ai mon tas. Ils sont trois ou quatre, c'est à eux de se questionner. S'ils ne sont pas heureux avec le chef actuel jusqu'au congrès, il serait peut-être bon qu'ils se retirent», a lancé, littéralement enragée, Danièle Doyer, de Matapédia. Notons que, l'automne dernier, Mme Doyer s'est fait chiper la vice-présidence de la commission (et les 15000$ de prime annuelle) par Jean-Pierre Charbonneau.
Trois jeunes élus, Stéphane Bédard, Elsie Lefebvre et Nicolas Girard, sont venus au micro donner leur appui non équivoque au chef.
Pour Agnès Maltais, la présidente du caucus, les chicanes ont assez duré: «Les membres veulent qu'on arrête de se chicaner et qu'on se batte contre un gouvernement qui fait mal au Québec. On devrait être en train de jouer le vrai match.» Les sorties d'un Paul Bégin, d'une Nicole Léger «nous empêchent de faire notre vrai travail». Ces disputes masquent pour la population les efforts d'une opposition qui fait son travail, dit-elle. «Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des membres du caucus pensent qu'on n'a pas besoin d'une course au leadership. Le caucus est dans une extrêmement grande majorité uni derrière son chef», a-t-elle soutenu.
Ces remarques ont fait bondir le député de L'Assomption, Jean-Claude Saint-André, qui refuse toujours de dire s'il accordera en juin sa confiance à M. Landry. Ancien collaborateur de Jacques Parizeau, M. Saint-André a publiquement remis en question M. Landry pour «une série de déclarations contradictoires» sur la démarche référendaire après une victoire du PQ aux élections. Selon lui, M. Landry «manque de clarté» quand il martèle péremptoirement que le référendum «aura lieu le plus tôt possible dans le mandat». Hier, M. Landry s'est clairement emporté quand, avec insistance, des journalistes ont voulu lui faire préciser ses intentions. Cramoisi, il a rappelé ses 40 ans de militantisme et les sacrifices personnels qu'il a consentis pour faire avancer la souveraineté.
Rebello, candidat à la vice-présidence politique
Sans surprise, François Rebello, un des piliers de l'organisation de François Legault, a annoncé qu'il se portait candidat à la vice-présidence politique du PQ, une élection qui aura lieu au congrès de juin. Déjà, 30 présidents d'association de circonscrïption ont accepté de signer son bulletin de mise en candidature.
Cette candidature n'a pas plu à Diane Lemieux, députée de Bourget et fidèle de Bernard Landry. «Je n'appuierai pas M. Rebello, c'est sûr. Et je ne pense pas qu'il aura beaucoup d'appuis dans le caucus. On est à un moment où on a besoin de jouer franc-jeu. Quelqu'un qui n'a pas cette limpidité n'aura pas beaucoup d'appuis», a-t-elle dit. Des sources sûres ont indiqué qu'elle tentait de convaincre Me Éric Bédard, ex-collaborateur de M. Parizeau, de faire la lutte à M. Rebello.
Règles de financement
Sur le parquet, les militants ont fiévreusement débattu des règles de financement du parti. Avec à leur tête Pierre Tadros, président de l'association de Borduas, plusieurs circonscrïptions se sont rebellées, enragées de voir le «national» siphonner les fonds recueillis localement. «On assiste à une centralisation sans précédent du Parti québécois», a lancé M. Tadros après que ses propositions eurent été rejetées.
M. Landry est allé au micro pour appuyer une résolution voulant que les élus péquistes fassent pression sur Ottawa pour que le CRTC revoie sa décision permettant la vente des stations de Radiomédia à Corus Entertainment. «J'ai déjà écrit à Paul Martin et à Jean Charest, je n'ai pas confiance en l'un ou l'autre, mais avec la pression populaire on pourra changer cette décision», a lancé M. Landry.
Publié : lun. févr. 14, 2005 7:02 am
par Muskary
Le Soleil
Éditorial, lundi 14 février 2005, p. A16
Mal de vivre péquiste
Salvet, Jean-Marc
Il n'y a rien de mieux qu'une grand-messe du PQ pour permettre aux libéraux de souffler un peu. Les péquistes le savent mieux que quiconque, mais cette certitude ne les prémunit jamais contre les coups d'éclat et les coups fourrés.
Ce n'était peut-être pas l'ouragan du précédent Conseil national, où Bernard Landry avait été surpris par la vigueur des tirs de ses rivaux. Ni celui au cours duquel les radicaux étaient presque parvenus à enchaîner le PQ dans un suicidaire calendrier référendaire. Mais ce week-end n'a pas du tout ressemblé à la "mer d'huile" dont rêvait l'actuel chef péquiste.
Il est tout à fait honorable que les contestataires fassent part de leurs convictions, même s'ils savent que les libéraux et les adéquistes en feront leurs choux gras. Mais les mécontents feraient preuve d'une plus grande honnêteté encore s'ils disaient clairement ce qui les motive.
Plusieurs, comme l'ancien ministre Paul Bégin, devenu président de la circonscrïption de Louis-Hébert, continuent de croire que Bernard Landry ne parle pas suffisamment de souveraineté. Certains nostalgiques de Jacques Parizeau ne sont d'ailleurs pas loin de douter des convictions souverainistes du présent chef... Ils le trouvent trop mou. Leur credo ? Plus les Québécois entendront parler de souveraineté, plus ils seront souverainistes. Comme si le sujet n'était pas au coeur des discussions politiques depuis 40 ans !
Le problème avec le PQ, c'est que plusieurs de ceux qui poussent Landry vers la porte voudraient qu'un référendum soit déclenché coûte que coûte et quelles que soient les circonstances. Ils ne se satisferont jamais de l'ambiguïté associée à la formule "le plus tôt possible".
C'est vrai qu'ils ne sont pas si nombreux et qu'il s'agit souvent des mêmes. Mais ils sont suffisamment tenaces pour provoquer de sérieux dégâts. L'offensive des fidèles de Landry, hier, en témoigne.
Samedi et dimanche, les deux vrais prétendants au titre, François Legault et Pauline Marois, ont pris soin de ne pas se lancer directement dans la mêlée. Ils observeront la situation jusqu'au congrès d'orientation de juin. C'est là que les militants se prononceront sur le leadership de Bernard Landry.
Ce que bien des Québécois risquent toutefois de constater avec plus d'acuité à ce moment-là, c'est que le grand remue-méninges auquel les péquistes ont été conviés à l'occasion de la Saison des idées ne remettra rien en question. Il n'y a pas que les querelles autour du leadership qui en seront responsables. Il faudra prendre en compte les désastreux cafouillages des libéraux. Si les libéraux de Jean Charest ne s'étaient pas effondrés dans les intentions de vote, le PQ aurait certainement été plus loin dans la révision de son programme.
Personne ne réclamait que le Parti québécois se batte soudainement pour le maintien du Québec au sein de la fédération canadienne ! Ni qu'il se fasse le chantre d'un nouveau conservatisme social et économique... Mais entre des changements totalement contre nature comme ceux-là et le programme qui sera adopté au printemps, il y a une marge de manoeuvre qui n'a pas été exploitée.
En janvier 1999, deux mois après avoir remporté les élections avec moins de voix que les libéraux, Lucien Bouchard avait invité ses militants à ouvrir toutes "les portes et les fenêtres". À son tour, en août 2003, Bernard Landry a appelé à un "brassage d'idées sans précédent".
Mais ce qui paraissait nécessaire après ces deux élections l'a moins été au fil des mois. Le vent de la Saison des idées est tombé. À l'heure actuelle, on ne voit pas très bien ce que le nouveau comité sur le rôle de l'État produira de plus.
Dans les circonstances, le plus grand défi de Bernard Landry ne sera peut-être pas d'obtenir l'appui des délégués au congrès d'orientation de juin, mais de renouer avec une majorité de Québécois