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Publié : sam. mars 13, 2004 10:02 am
par tuberale
 

Publié : ven. mars 19, 2004 11:43 am
par Slick27

Photo Reuters

Selon John Kerry
«Bush a trompé les Américains sur l'Irak»
Agence France-Presse
Washington

Le candidat démocrate à l'élection présidentielle américaine du 2 novembre, John Kerry, a accusé vendredi le président George W. Bush d'avoir trompé les Américains sur l'Irak.

M. Bush «a trompé les Américains dans son discours sur l'état de l'Union à propos du programme d'armes nucléaires de Saddam (Hussein) et des armes de destruction massive et a refusé et continue de refuser de parler franchement avec les Américains sur le coût de la guerre», a affirmé M. Kerry dans un communiqué à l'occasion du premier anniversaire du déclenchement de la guerre en Irak.

«Pour le dire simplement, ce président n'a pas dit la vérité sur la guerre et notre pays en paye le prix», a ajouté M. Kerry.

Sénateur du Massachusetts (nord-est), John Kerry avait voté en octobre 2002 un texte autorisant M. Bush à déclencher la guerre.

Il a expliqué qu'il avait voté ce texte car il pensait que le président «construirait une coalition authentique pour réduire le fardeau militaire et financier des États-Unis, que la guerre serait décidée en dernier ressort et qu'il y aurait un plan pour gagner la paix».

Publié : ven. mars 19, 2004 11:51 am
par tuberale
me demande bien comment Bush va se sortir de ça pour l'élection.!......il a de quoi dans sa manche certain........mais à part tricher encore...je vois pas comment il pourrait gagner cette fois.......

Publié : ven. mars 19, 2004 12:36 pm
par Slick27
tuberale  a écritme demande bien comment Bush va se sortir de ça pour l'élection.!......il a de quoi dans sa manche certain........mais à part tricher encore...je vois pas comment il pourrait gagner cette fois.......

...soit sans crainte...ce qui se cache dans la manche de Bush, s'appelle Oussama Ben Laden...si tu regardes comme il faut lorsqu'il s'adresse à sa Nation...ion peut voir Ti-Ben dépasser de en-dessous de la balustrade...

Il attend le bon moment...tout comme il a fait dans la capture de Saddam...

Publié : ven. mars 19, 2004 12:43 pm
par tuberale
ça se pourrait très bien en effet.......mais il se rendra pas jusqu'en Novembre.......regarde cette semaine en Irak......va falloir qu'il le sorte peut-être plus tôt que prévu........ça commence à japper au poulailler de l'ONU...........

Publié : ven. mars 19, 2004 2:09 pm
par tuberale
vendredi 5 mars 8h43 HNE  


John Kerry deviendra-t-il président grâce à son sang bleu ?


par Jason Hopps


LONDRES (Reuters) - L'élection présidentielle américaine se jouera sur la question irakienne et l'économie, mais pour certains généalogistes anglais, un facteur pourrait influencer le résultat: John Kerry pourrait détrôner George Bush grâce à un plus grand nombre de quartiers de noblesse.


Selon une théorie qui s'est révélée exacte pour la plupart des scrutins présidentiels américains, c'est le candidat ayant le plus de sang bleu qui l'emporte à chaque fois.


"Notre recherche n'est pas encore complète, mais mon opinion est que Kerry possède plus de liens royaux et qu'il est plus noble que le président Bush", a déclaré Harold Brooks-Baker, directeur éditorial du Burke's Peerage, un guide de l'aristocratie britannique.


"Mais les deux candidats possèdent un nombre remarquable de liens royaux et tous deux sont liés à la reine Elisabeth" d'Angleterre, a-t-il ajouté.


Kerry, diplômé de la prestigieuse université de Yale, héros de la guerre du Vietnam et originaire du très chic Massachusetts, dans le nord-est des Etats-Unis, a tout fait pour faire oublier qu'il était issu d'une caste élitiste, nordiste et libérale.


Sa généalogie a montré des liens avec le premier gouverneur du Massachusetts, John Winthrop, et avec toutes les grandes familles de Boston, ainsi qu'avec plusieurs membres de familles royales européennes.


"Kerry peut de façon presque certaine être relié au roi Jacques Ier et à la lignée royale par les familles de Windsor et de Hanovre", a estimé Brooks-Baker.


Jacques Ier d'Angleterre, fils de la reine Marie d'Ecosse, a régné de 1603 à 1625 et reste surtout connu pour avoir demandé une nouvelle traduction de la Bible, dite "version autorisée du roi Jacques".


Si l'arbre généalogique de Kerry semble comporter plus de branches royales que celui de Bush, le président actuel n'a lui-même rien d'un roturier.


Bush possédait plus d'ancêtres aristocrates que son adversaire d'il y a quatre ans, Al Gore, et peut aussi se targuer d'un lien direct avec le roi d'Angleterre Henri III et avec la soeur du roi Henri VIII, Marie Tudor, épouse du roi de France Louis XI. Il descend également du roi Charles II d'Angleterre.


Brooks-Baker affirme qu'il a toujours existé un "facteur royal" chez les présidents des Etats-Unis d'Amérique et cite les exemples de George Washington, Thomas Jefferson, Theodore et Franklin Roosevelt, et Ronald Reagan parmi ceux qui possédaient le plus de sang bleu. /FL



et si c'était vrai ?............ --Message edité par tuberale le 2004-03-19 19:20:37--

Publié : mar. mars 23, 2004 3:02 am
par mariami
Pour le moment, Bush a une légère avance sur Kerry.  Je pense que s'il fait un bon coup d'ici les élections, il pourrait gagner mais ptete serré.  Mais, le gouvernement a toujours su où était Ben Ladden et d'après la belle-soeur de ce dernier, il a des intérêts directement avec la famille Bush.  L'opposition devrait développer un plus ça, je pense.

Mais bien des choses peuvent survenir d'ici les élections.  Peut-être d'autres attentats....qui sait???

Publié : sam. avr. 24, 2004 8:05 am
par Slick27
Un message désobligeant en français à l'égard de George W. Bush découvert sur des étiquettes de sacs à dos
PC

La politique aussi fait vendre. Les ventes de la marque de vêtements Tom Bihn ont doublé depuis qu'un message insultant le président américain George W. Bush est mystérieusement apparu sur l'étiquette de conseils de lavage de centaines de ses sacs à dos.

Sur ces étiquettes écrites en anglais et en français, on peut lire: "Nous sommes désolés que notre président soit un idiot. Nous n'avons pas voté pour lui".

Une phrase faisant référence aux récentes dissensions entre Paris et Washington au sujet de la guerre en Irak qui a attiré l'attention des media américains et des internautes depuis qu'un client de Seattle l'a repéré et l'a photographiée, avant de diffuser le cliché sur l'Internet.

Tom Binh, qui a donné son nom à sa gamme de vêtements et d'accessoires, tente de minimiser la portée de l'insulte, en expliquant que le nom du "président" n'est pas précisé.

"Je pense que c'est une blague sur moi, le président de la société", a-t-il déclaré jeudi, mais "il est clair que lorsqu'un utilise les morts 'idiot' et 'président' dans la même phrase, les gens tirent tout de suite d'autres conclusions", a-t-il précisé. ( I wonder why ? )

Tom Bihn, 43 ans, affirme qu'il n'avait pas eu connaissance du message avant d'avoir reçu des messages de tous les Etats-Unis demandant "le sac avec le message".

Selon lui, 2.000 étiquettes ont été imprimées et plusieurs centaines ont été cousues sur les sacs au cours des cinq ou six derniers mois. Il reste 500 étiquettes et Tom Bihn continue de les utiliser.

La marque a également sorti une collection de t-shirts frappés de l'inscrption en français. Tom Bihn affirme avoir reçu quelques plaintes mais que, dans la plupart des cas, les gens sont amusés.

VOILA UN AMÉRICAIN QUI A LE MARKETING DANS LE SANG...!    

Publié : sam. avr. 24, 2004 11:02 am
par Paule
J,espèr que Bush ne sera pas réélu, Jerry à de grandes chances de rentrer à moins que Bush trouve Ben Laden ce qu,il aimerait beaucoup, reste caché Ben pour ne pas que Bush te trouve. Trève de plaisanterie, j,ai suivi les dernières élections à la journée longue et j,ai tellement ragé de voir la tricherie avec les votes et en particulier ceux de son frère gouverneur en Floride.J'aurais tellement aimé que ce soit Gore, il avait beaucoup plus de classe que Bush, un ex play-boy je le trouve tellement fendant, sur de lui, snob,voulant faire mieux que son paternel qui avait essayé en irak et avait perdu. J,ai hâte en novembre, le seul problème est que je  serai collé à ma télé à la journée longue.

Publié : sam. avr. 24, 2004 11:03 am
par Paule
si je me serais relue, j,aurais marqué Kerry et non Jerry. excusez. Paule x

Publié : sam. avr. 24, 2004 11:08 am
par bobépine
J'espère qu'il ne sera pas réelu, car sinon les sentiments anti-américain risque d'atteindre des sommets...

J'aimerais mieux voir un Mickey Mouse à la Maison Blanche que le Goofy qui est là présentement

Publié : ven. mai 21, 2004 5:17 pm
par Slick27
Présidentielles américaines
Kerry pourrait retarder son investiture
Agence France-Presse
Boston

Le sénateur John Kerry, déjà assuré d'emporter l'investiture du parti démocrate pour la présidentielle de novembre, pourrait décider de retarder sa nomination officielle pour des raisons d'argent, selon son entourage.

«Nous cherchons un moyen de jouer à armes égales» avec le camp républicain, a expliqué sa porte-parole Stephanie Cutter

Il s'agirait pour John Kerry de prolonger d'un mois la période pendant laquelle il peut lever des fonds de campagne, et les dépenser, sans être soumis à un plafond.

Normalement, assuré depuis le mois de mars, à la suite d'une série d'élections primaires, d'emporter l'investiture, John Kerry doit être officiellement désigné candidat lors de la convention du parti démocrate, prévue du 26 au 29 juillet à Boston (Massachusetts, nord-est).

À partir de son investiture, il ne pourra plus ni solliciter ni dépenser de fonds privés, ce qui le désavantage par rapport au président sortant George W. Bush, qui ne doit être officiellement investi que lors de la convention du parti républicain, prévue à New York du 30 août au 2 septembre.

«Le date des conventions donne aux républicains un avantage de cinq semaines», a expliqué Mme Cutter, expliquant qu'un report de la nomination était envisagé parce que «nous ne voulons pas nous battre avec une main liée derrière le dos».

Après leur investiture officielle respective, Kerry et Bush auront chacun droit à une subvention fédérale de 75 millions de dollars pour faire campagne.

Publié : ven. mai 21, 2004 5:26 pm
par Slick27
21 mai 2004 (23:27)...en passant...avez-vous Ben Laden dernièrement..!?

Publié : sam. mai 22, 2004 11:26 am
par Char Aznable
Pourquoi pas Rupert pour Président.

Publié : sam. mai 22, 2004 12:01 pm
par tuberale
rupert  a écritPourquoi pas Rupert pour Président.







Publié : sam. mai 22, 2004 4:58 pm
par mariami
La CIA est payée assez cher justement pour tout savoir.  Les USA ont toujours su où était Ben Ladden.

D'après mes correspondants américains,  Kerry est trop faible...mais on verra bien.  

Publié : mar. mai 25, 2004 10:21 am
par tuberale
Médias: La guerre vendue en shampooing



Paul Cauchon
Édition du mardi 25 mai 2004


La guerre contre l'Irak a représenté une formidable bataille idéologique, dans laquelle la Maison-Blanche a utilisé des techniques de marketing sophistiquées, souvent avec l'aide de prestigieuses entreprises de relations publiques.


On s'en doutait, bien sûr. Mais rarement la chose a été aussi bien documentée que dans cet ouvrage qui vient de paraître en français, Une arme de persuasion massive/De la propagande dans la guerre de Bush en Irak, publié l'automne dernier aux États-Unis, et en français récemment chez Le Pré au Clercs. Les deux auteurs, Sheldon Rampton et John Stauber, travaillent pour le Center for Media and Democracy, un organisme créé en 1993 pour enquêter sur les propagandes gouvernementales et le discours médiatique. Ce centre se spécialise particulièrement dans l'analyse des stratégies des grandes entreprises de relations publiques.

On a beaucoup écrit sur l'expérience des journalistes intégrés dans les unités militaires lors de la guerre en Irak, ou encore sur l'hyper-patriotisme de certains médias américains. Rampton et Stauber en parlent, sans que leurs propos ne soient nécessairement très marquants. L'intérêt de leur livre est ailleurs, dans le décryptage des stratégies gouvernementales pour conditionner l'opinion publique avant le déclenchement de la guerre.

Ainsi, dès 1997 (trois ans avant l'élection de Bush), un groupe de néo-conservateurs dirigé par William Bennet, rédacteur en chef du Weekly Standard (propriété de Rupert Murdoch), avait créé le Project for the New American Century, qui avait pour but de «durcir» la politique américaine envers l'Irak, et qui a fait pression sur le Congrès pour octroyer 100 millions de dollars aux opposants irakiens. Le groupe comprenait des gens comme Dick Cheney, l'éditeur Steve Forbes, Donald Rumsfeld, l'auteur Francis Fukuyama.


Il faut rappeler que, quelques mois après la guerre du Golfe de 1991, Bush le père avait demandé à la CIA de chasser Saddam Hussein du pouvoir, et l'organisme avait engagé John Rendon, un conseiller en relations publiques, pour travailler à ce dossier. Le même Rendon obtenait à l'automne 2001 un contrat de 400 000 $ pour orchestrer la propagande afin de préparer l'intervention en Afghanistan.




Le cas le plus connu du marketing de guerre est celui de Charlotte Beers, grande prêtresse du marketing aux États-Unis, qui avait dirigé deux grandes agences et qui comptait, parmi ses titres de gloire, le lancement du riz Uncle Ben's et des shampooings Head & Shoulders ! Nommée à un poste de sous-secrétaire d'État par l'administration Bush, elle a créé des campagnes de publicité, des sites internet, des shows télévisés, a organisé des rencontres avec des leaders arabes, pour tenter d'influencer l'opinion et de vendre les États-Unis au Moyen-Orient comme une «marque» représentant la liberté. Colin Powell avait lui-même déclaré lors de son embauche qu'il fallait «faire de notre politique étrangère une véritable marque».



Remarquez que ce n'est pas seulement la Maison- Blanche qui pensait en termes de marketing. Trois jours après le 11 septembre 2001, c'est le royaume d'Arabie saoudite qui signait un contrat avec le géant de la communication Burson-Marsteller pour recevoir des conseils en gestion de crise (la presque totalité des terroristes du 11 septembre étaient saoudiens, ce qui présentait mal...). Et une autre agence, Quorvis Communications, recevait 20 millions du même royaume pour faire interviewer des représentants saoudiens par des journalistes-vedettes des médias américains.

Et ça continue comme ça pendant des pages. Pour préparer l'intervention contre l'Irak plusieurs organismes soutenus par le pouvoir politique faisaient affaire avec Benador Associates, une puissante société de relations publiques qui se spécialisait dans le placement d'experts du Moyen Orient et du terrorisme dans tous les médias, des experts évidemment en faveur de la guerre. Les auteurs font remarquer qu'on les voyait partout alors que les médias semblaient ignorer les 1400 spécialistes indépendants du Moyen-Orient dans les universités américaines, qu'on imagine plus nuancés. Des organisations pacifistes découragées ont même tenté d'acheter de la publicité commerciale dans les grands réseaux de télévision pour se faire entendre, ce qui leur fut refusé par les réseaux.

Cet ouvrage porte aussi une leçon forte. Si le conditionnement à la guerre a semblé fonctionner aux États-Unis, toutes les campagnes de relations publiques pour améliorer l'image des États-Unis au Moyen-Orient ont échoué. Pourquoi ? Le message véhiculé par cette armée de consultants n'était pas forcément faux, écrivent les auteurs. Mais il n'abordait jamais le coeur du ressentiment musulman envers les États-Unis, soit le conflit israélo-palestinien et le passé des interventions américaines dans la région. Comme le dit un professionnel de la publicité cité dans l'ouvrage, et qui semble plus lucide que les autres, «l'opinion islamique est davantage influencée par ce que les États-Unis font que par tout ce qu'ils peuvent dire».



Publié : mar. juin 01, 2004 1:17 pm
par tuberale

Les Rolling Thunder rendent visite à Bush










Mise à jour le dimanche 30 mai 2004 à 23 h 29
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Des milliers de membres du groupe de motocyclistes les Rolling Thunder ont défilé, dimanche, dans les rues de Washington pour renouveler leur appui au président des États-Unis en vue des élections de novembre prochain.


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Le président des Rolling Thunder, Artie Muller, et la chanteuse Nancy Sinatra faisaient partie de la délégation reçue par George Bush.
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Le président Bush a reçu leurs dirigeants pendant une demi-heure dans le bureau ovale, avant de s'adresser, dans une communication téléphonique retransmise par hauts parleurs, à la foule des motards rassemblés dans un stade de la capitale fédérale.

« Je suis vraiment fier de vous avoir à mes côtés, mais, ce qui est plus important, j'apprécie l'immense service que les membres des Rolling Thunder rendent au nom de nos anciens combattants et des forces armées en service », a dit le président Bush.

Le groupe, constitué en grande majorité de vétérans, milite pour les droits des anciens combattants. Chaque année, ses membres se retrouvent à Washington pour le jour du Souvenir, afin de commémorer les soldats américains disparus. Ils étaient encore plus nombreux cette année, pour l'inauguration en grande pompe du mémorial de la Deuxième Guerre mondiale.


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Les Rolling Thunder avaient déjà soutenu la candidature de George W. Bush en 2000. Jeudi dernier, l'équipe de campagne de M. Bush a annoncé ce soutien renouvelé, en citant une lettre de leur président, Artie Muller, qui promettait « toute notre énergie et nos ressources pour assurer quatre ans de plus à notre commandant en chef ».

 

Publié : ven. juin 25, 2004 11:19 am
par tuberale
L'Irak était une erreur pensent 54% des Américains






Mise à jour le vendredi 25 juin 2004 à 7 h 53


Pour la première fois depuis l'invasion de l'Irak par les États-Unis et la Grande-Bretagne, une majorité nette d'Américains admet que le président George Bush a commis une erreur en attaquant ce pays.

C'est du moins ce que révèle un récent sondage réalisé pour le compte du USA Today et de la chaîne CNN. Selon l'enquête, 54 % des Américains pensent que c'était une erreur d'envoyer des troupes en Irak. Au début juin, ils étaient 41 % à partager cette opinion.

Pas plus en sécurité aux États-Unis qu'avant





Par ailleurs, 55 % des personnes sondées estiment également que leur pays n'est pas plus à l'abri du terrorisme qu'avant l'invasion de l'Irak. Plus de la moitié des répondants croient également que cette guerre a au contraire accru les risques d'actes terroristes contre les États-Unis.

John Kerry ne profite pas vraiment des déboires de Bush




Ce revirement de l'opinion publique américaine sur la question irakienne ne profite toutefois pas beaucoup au candidat démocrate à la présidence, John Kerry. En effet, questionnés sur le fait de savoir qui gérerait le mieux le dossier irakien, John Kerry n'a obtenu le soutien que de 46 % des sondés contre 47 % en faveur du président républicain George W. Bush.

Le sondage a été réalisé pour le compte du quotidien USA Today et de la chaîne d'information CNN auprès de 1005 personnes, entre les 21 et 23 juin. La marge d'erreur du sondage est de plus ou moins 3 %, 19 fois sur 20.


     

Publié : ven. juin 25, 2004 11:46 am
par mariami
Dû au fait que Kerry est très faible, Bush va être réélu.

Dû au fait que, vrai ou pas vrai, on vient de dire aux USA, que Ben Laden avait des liens solides avec les fils de Hussein...sa cote vient de monter.

Il aurait juste fallu que quelqu'un de plus fort que Kerry se présente....mais même mes correspondants démocrates, sont sûrs que Bush va être réélu malheureusement.

Il n'y avait personne de plus solide que Kerry dans tous les USA, désireux de se présenter????

Kerry a déjà dit qu'il n'aurait jamais voulu aller à la guerre et il avait même jeter ses médailles.  Et il y avait été de déclarations fracassantes.  Evidememnt, les républicains s'en sont servis contre lui.