Allez Vous Acheter le coffret Passe-PARTOUT!

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Modérateur : Elise-Gisèle

Bizouxx
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Message par Bizouxx »

REGARD  a écrit


39$ a 41$$

Merci!!

Il y a des mots qui pleurent et des larmes qui parlent.


[Abraham Cowley]


ann_so16
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Message par ann_so16 »

Je pense reelement a me l'acheter...Passe-Partout pour moi c'est dans le sang...Dans mon enfance c'était mon emission je ne pouvais pas m'en passer...J'ai 20 ans, et Passe -Partout fait partie notre génération..Je me suis deja deguiser en Passe-Partout l'an dernier dans un party d'halloween avec le theme de vedette et je peux vous dire que je faites tourner des tetes...Ayoye c'est malade...Le monde on Passe-Partout dans leur sang...C'est l'émission de notre enfance...Tout le monde c'est les chansons de l'album, les chanson de l'album de noel...Passe-Partout doit faire parti de la vie de nous la premiere generation des autres generations...Je veux juste que nos enfants connaisent Passe-Partout....C'est lemission d'enfance du siecle...L'emission d'enfance qui aurra marque tout le monde, meme les PAPILLONS(haha jeu de mot)

Les Canadiens..en route vers la Coupe
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nancy31f
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Message par nancy31f »

passe-partout la verité

long mais tres interessant





Un écran blanc, le logo du ministère de l’Éducation du Québec. Nous, mioches à qui la politique ne disait pas encore grand-chose, savions que c’était le début de la demi-heure sacrée. Où sont nos amis? Ils sont ici. Ils sont ici… Une petite histoire de Passe-Partout parue dans le magazine Urbania (été 2005).

Une clope avec Laurent Lachance…
Ahuntsic. Une table de cuisine. Une bay window. Une vue imprenable sur la Rivière des Prairies. Laurent Lachance me tend une bière et s’allume une clope. Je l’imite. « Tu veux des anecdotes sur Passe-Partout, me lance-t-il? En voilà une belle… C’est l’histoire d’une famille dans laquelle il y avait trois petits gars. Les deux plus vieux allaient voir un psychiatre. Un jour, un des deux a lancé à propos du plus jeune (qui ne voyait pas de psy): “C’est pas juste, lui au moins il a Passe-Partout!” »

Laurent Lachance, ex-professeur, linguiste et auteur, est aussi l’architecte de cette émission qui a donné son nom à ma génération. Passe-Partout, c’est lui. Et il est toujours prêt à livrer les secrets de ce qui représenté le plus grand projet de sa carrière.

Cette légendaire série lancée en 1977 devait d’abord durer 125 épisodes. L’aventure s’est finalement conclue 289 demi-heures plus tard, en 1991. Passe-Partout, c’est le mariage risqué de la télé et de la pédagogie. La première émission québécoise entièrement consacrée au développement de l’enfant. Passe-Montagne nous aidait à prononcer le mot « élestricité ». Passe-Carreau nous initiait aux étirements félins. Passe-Partout nous parlait de ses joies, de ses peines, de son monde intérieur. Canelle, Pruneau et leurs parents cols-bleus représentaient un idéal rose bonbon de la famille moderne…

« Passe-Partout avait un seul grand objectif : donner aux enfants la confiance en soi », dit Laurent Lachance. Ce jour-là, ce monsieur de 74 ans à la tignasse grise raconte à l’adulte  convenablement équilibré que je suis devenu la naissance de ce beau et grand projet.

Sesame Street, P.Q.
« Dans les années 70, il circulait des idées généreuses. On voulait donner une chance à tout le monde d’être à égalité dans la réussite de la vie et de l’école, raconte Laurent Lachance. Aux États-Unis, ces idées ont donné naissance à Sesame Street. Ici, on a eu Passe-Partout… »

C’est en 1973 que Laurent Lachance, alors employé du défunt Service général des moyens d’enseignement du ministère de l’Éducation du Québec, reçoit sur son bureau un projet de 125 quarts d’heure d’une émission destinée aux jeunes de quatre ans. Avant cela, le projet avait traîné deux ans sur le bureau de son patron. Comparée aux autres émissions jeunesse de l’époque, celle-ci avait quelque chose de nouveau. « Au début de la télé, explique Laurent Lachance, il régnait une liberté de créativité et aucune préoccupation en ce qui concerne l’éducation des enfants par la télévision. C’était l’époque de Sol et Gobelet, de La Souris verte, de Marie Quat’Poches, etc., Nous apportions un modèle différent : l’émission éducative. » Qui plus est, Passe-Partout voulait toucher particulièrement les enfants des milieux défavorisés. La télé pour aplanir les différences, en somme.

Pendant quatre années, le projet se heurte toutefois aux embûches. C’est qu’au départ, Radio-Québec ne devait pas seulement diffuser, mais aussi produire les 125 épisodes, devenus entre-temps des demi-heures. « Notre bureau et Radio-Québec ont toujours été sœurs ennemies, explique Laurent Lachance. Radio-Québec trouvait qu’on empiétait sur leur mandat (qui est de produire des émissions éducatives ET culturelles). Aussi, on trouvait que mon poste empiétait sur celui du réalisateur. » De tergiversations en tirages de couvertures (et c’est sans mentionner les deux grèves de techniciens qui ralentissent les choses), Laurent Lachance finit par lancer un ultimatum à ses patrons. « Je leur ai dit de confier le projet à quelqu’un d’autre. Parce que ce que Radio-Québec voulait faire, je ne voulais pas le faire. » Il ignore alors que ses supérieurs n’attendaient qu’un signe clair de sa part pour transférer la production à l’entreprise privée. C’est ce qui est fait le 14 février 1977, alors que le gouvernement péquiste nouvellement élu signe avec JPL Productions (une filiale de Télé-Métropole). Après 7 ans d’attente, Passe-Partout, qu’on appelle encore par son titre de travail, Saperlipopette, devient enfin réalité…

La naissance de Passe-Partout…
Au printemps 1977, c’est la période de création. On monte l’équipe : Pierre Régimbald et Nicole Lapointe créent les marionnettes. Claude Boucher, François Côté, Jean-Pierre Liccioni et Pierre Tremblay sont nommés réalisateurs. Bernard Tanguay, Michèle Poirier et Ronald Prégent deviennent scénaristes. Pierre F. Brault et Michel Robidoux font la musique. Il faut aussi dénicher ceux qui incarneront les « fantaisistes », ce trio de joyeux drilles que forment Passe-Partout, Passe-Montagne et Passe-Carreau.

En audition, Jacques L’Heureux se détache rapidement du peloton pour le rôle de Passe-Montagne. « Il nous a convaincus très rapidement qu’il était fait pour le rôle. Il était léger, spontané, et avait un visage jeune », dit Laurent Lachance.

Claire Pimparé, 24 ans, se démarque pour le rôle de Passe-Carreau. Celle qui avait fait le Conservatoire d’art dramatique roule sa bosse depuis six ans en incarnant des rôles par-ci, par-là au théâtre et dans des téléromans. « Ça nous prenait quelqu’un de physique, avec une certaine sensualité, dans le sens épicurien du terme! », dit Carmen Bourassa, conceptrice et responsable pédagogique de la série, rejointe au téléphone.

L’équipe n’arrive cependant pas à trouver la personne idéale pour incarner celle sur qui reposerait la série. « On n’arrivait pas à trouver une comédienne qui avait à la fois une intériorité, une certaine naïveté, une fraîcheur, mais surtout la capacité d’entrer en relation avec les enfants, se souvient Carmen Bourassa. À un certain moment donné, quelqu’un de l’équipe nous a dit qu’il y avait cette fille qui enseignait l’art dramatique à l’UQÀM et faisait du théâtre pour enfants. On l’a invité à passer l’audition. » Cette audition n’est pas enregistrée : seuls quelques membres de l’équipe de production assistent donc à l’apparition de la Passe-Partout tant attendue... « J’avais joué une histoire que j’avais inventée avec un bâton et un baluchon… », se souvient Marie Eykel (Passe-Partout). « Quand on l’a vue, il y a eu un consensus parmi nous : “C’était elle” », raconte Carmen Bourassa.

Ce jour-là, Marie Eykel ne se doute pas que pour les prochaines décennies à venir, elle se fera accoster dans la rue par son nouveau nom : Passe-Partout.

Passe-Partout, le phénomène
Pendant l’été 1977, la production se met en branle. Même si les journées sont longues (souvent de 7h à 18h), l’enthousiasme règne sur le plateau. « On avait tous l’impression de travailler à quelque chose d’important », dit Laurent Lachance. « Sur le plateau, on avait souvent des fous rires épouvantables, raconte Marie Eykel. Je me rappelle d’une scène avec Claire et moi, on était avec le pinson Beau-Bec et il fallait que Passe-Carreau décrive l’oiseau, j’ai commencé à trouver ça tellement ridicule et niaiseux, j’ai commencé à rire. On était incapable de reprendre la scène! C’est drôle un fou rire, mais sur un plateau quand ça retarde tout le monde, ça l’est moins… »

Bref, à l’automne de cette même année, les enfants du Québec découvrent enfin cet univers original. Ils l’aiment et se l’approprient. À travers plusieurs « modules », chaque épisode de Passe-Partout nous présente les curieuses aventures des trois « fantaisistes ». Ils parfument des moustaches, visitent la ferme de Fardoche, découvrent un océan derrière leur porte… On retrouve aussi une famille de marionnettes sans bras vivant des expériences on ne peut plus normales : Canelle fait pipi au lit, Pruneau cherche dans sa tête où vont les morceaux de son casse-tête, Perline se fait teindre les cheveux, Perlin perd sa job. Moult chansons et comptines deviennent irrémédiablement des vers d’oreilles. En guise d’entractes : devinettes, courtes historiettes, sketches sur la phonétique, scènes où de vrais enfants comptent leurs orteils ou jouent au pompier et bien sûr, le célèbre jeu « Est-ce que ça se peut? » dans lequel Passe-Carreau et Passe-Montagne débattent de la pertinence de peigner une orange… À la toute fin, Passe-Partout livre ses confidences, un moment d’intériorisation bien mérité… De simple émission éducative, Passe-Partout devient vite un phénomène social.

Comment expliquer ce succès complet? « On a fait une surexploitation de la série, dit Laurent Lachance. L’émission passait cinq fois par jour à un certain moment donné. » Au départ, Passe-Partout est en effet diffusée le matin à Radio-Canada, en soirée à Radio-Québec, et plusieurs enfants la regardent à l’école, pendant la pause-berlingot.

« Un des succès de cette émission, raconte pour sa part Claire Pimparé (Passe-Carreau), c’était la chimie qui existait entre les comédiens. On s’amusait follement, on s’admirait mutuellement et on avait du plaisir à se permettre d’avoir un cœur d’enfant. »

Après la diffusion (et les multiples rediffusions) des 125 épisodes originaux, 50 autres suivent, en 1983, sur le même modèle. En 1984, le départ de Passe-Carreau marque pour plusieurs la fin des années mythiques de Passe-Partout. « Ç’a été la période noire, se souvient Marie Eykel. Les relations avec les patrons étaient assez difficiles. Quand Claire est partie, quelque chose s’est brisé. »

En tout, six séries de Passe-Partout sont produites. Périodiquement, on adapte le contenu au goût du jour, de façon plus ou moins heureuse d’ailleurs : ajout de familles reconstituées, présence multiethnique, rafraîchissement des costumes, ajout de bras aux marionnettes… Dans les dernières années, la magie s’effrite… Ou est-ce seulement la génération Passe-Partout qui passe à autre chose?

Aujourd’hui, ceux qui sont âgés de 20 à 30 ans n’ont cependant pas oublié ces demi-heures bénies passées à regarder ce qui est encore aujourd’hui la plus ambitieuse production télévisuelle pour enfants au Canada…

Mythes, souvenirs et curiosités…

Canelle et Pruneau
Drôle de hasard : Mireille Lachance, qui faisait la voix de Pruneau, faisait aussi la voix de Boom Boom dans Les Pierrafeu. Et Ève Gagnier, qui faisait la voix de Canelle, faisait la voix d’Agathe dans cette même émission. Cette dernière est décédée en 1984 et depuis 1989, une rue porte son nom à Pointe-aux-Trembles. « Elle avait vraiment une âme d’enfant! », dit Laurent Lachance, le directeur du projet Passe-Partout.

Combien pour un « Passe »?
Au début, les « fantaisistes » étaient payés 83 $ par épisode, incluant 5 ans de droits de reprise. « Ensuite, on a eu une grosse augmentation… à 124 $ l’émission! », précise Claire Pimparé (Passe-Carreau). Lorsque les comédiens ont demandé à être rémunérés de façon plus juste, Laurent Lachance leur a subtilement signifié qu’ils n’étaient pas irremplaçables. Comment? En engageant deux nouveaux « fantaisistes » pour faire pression sur eux : André et Julie.

Préposé au courrier
Pendant les « grosses » années de Passe-Partout, il y avait un employé à temps plein qui ne s’occupait que de répondre aux lettres des enfants…

Comment aborder Passe-Partout?
Depuis 1977, Marie Eykel (Passe-Partout) se fait aborder quotidiennement dans la rue par d’anciens fans. Des manifestations d’amour, elle ne les compte plus…
Ce qu’elle n’aime pas : « Me faire aggriper dans la rue par un inconnu comme si j’étais un bien public. »
Ce qu’elle aime : « Quand je suis dans un lieu public, une personne me regarde, se retourne et me regarde encore pour faire un double-check. Là, je vois un petit sourire se dessiner sur son visage, dans ses yeux un rêve, l’enfance qui passe en douceur en me voyant. C’est charmant… »

Grand-Mère
Puisque l’on sait que les « Passe » n’étaient pas frères et sœurs, à qui donc appartenait Grand-Mère? En fait, elle serait une voisine. « À cause de la comédienne qui ne sortait pas sans son coiffeur, elle n’était pas tout à fait la grand-mère qu’on aurait voulue, se souvient Laurent Lachance. On aurait aimé une grand-mère beaucoup moins vieille. »

Non, ce n’était pas Jean Leloup…
Contrairement à la rumeur largement répandue, ce personnage qui avait un oiseau sur la main n’était pas le jeune Jean Leloup…

Passe-Carreau : les raisons de son départ
« Je suis partie pour des raisons très simples, raconte Claire Pimparé. À un certain moment donné, il y a eu des pourparlers pour effectuer des changements dans l’émission. Bernard Tanguay et Ronald Prégent, les auteurs qui écrivaient nos textes depuis le début, m’ont téléphoné pour m’annoncer qu’on leur demandait de repasser des auditions. Ces gars-là avaient fait le succès de Passe-Partout! J’ai été échaudée par cette histoire qui a vraiment brisé l’âme derrière toute l’affaire. Par solidarité, j’ai décidé de partir. Mais aussi par principe. À l’époque, on voulait lancer des produits dérivés de Passe-Partout et je ne voulais pas participer à cette entreprise. Lorsque j’ai pris la décision de quitter l’émission, je me souviens d’un coup de téléphone qui m’a fait énormément de peine. L’avocat du ministère de l’Éducation m’a téléphoné pour me dire: “Alors, c’est votre dernière décision, vous ne voulez pas faire partie de la nouvelle série? Il n’y a pas de problème. De toute façon, vous n’étiez pas aimée dans Passe-Partout!” »

La saga Doualé
Dans les années 70, la rectitude politique envers les immigrants frise la discrimination positive. Carmen Bourassa, conceptrice de l’émission, se souvient des controverses entourant Doualé : « Pour être sûr que notre façon d’aborder le personnage était correcte, nous avons demandé conseil aux Droits de la personne. Ils nous ont envoyé quelqu’un pour lire les textes et celle-ci nous avait dit : “C’est complètement raciste! Vous ne pouvez pas mettre ce personnage-là à l’écran.” Parmi ses arguments, je me souviens qu’elle nous avait dit : “Pourquoi chante-t-elle (la fameuse Berceuse créole)? Comme si tous les noirs chantaient tout le temps…” Aussi, ses petites tresses et sa robe fleurie, elle trouvait cela trop stéréotypé. On a donc changé sa perruque et sa robe. Et pour être sûr qu’on n’était pas raciste, on a engagé une Française pour faire la voix de Doualé. Au départ, elle avait l’accent créole, on l’a énormément atténué. En fait, on a faussé la réalité pour que le personnage puisse exister sans être controversé

"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain




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Renton
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Message par Renton »

25 novembre 2006 8h16
Ce n'était pas Leloup
C'est le scoop du siècle (enfin, mettons de la fin de semaine).

Vous savez, le petit gars avec "un oiseau sur sa main" dans Passe-Partout, dont l'identité était demeurée inconnue depuis près de 30 ans, autour duquel avait couru la rumeur qu'il s'agissait de Jean Leloup?

La Presse dévoile enfin son identité ce matin. Son nom: Daniel Scott.

[...] il travaille comme compositeur de musique pour des émissions, des films et des publicités. [...] À l'époque du "ma main", Daniel Scott avait 12 ans (il en a 41 aujourd'hui). Bien sûr que Daniel Scott avait entendu, par plusieurs personnes, qu'on le confondait avec Jean Leloup. "Je n'ai jamais voulu le démentir. C'était bien trop le fun d'avoir une légende urbaine". --Message edité par Renton le 2006-11-25 14:09:49--




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MayClo
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Message par MayClo »

Renton  a écrit25 novembre 2006 8h16
Ce n'était pas Leloup
C'est le scoop du siècle (enfin, mettons de la fin de semaine).

Vous savez, le petit gars avec "un oiseau sur sa main" dans Passe-Partout, dont l'identité était demeurée inconnue depuis près de 30 ans, autour duquel avait couru la rumeur qu'il s'agissait de Jean Leloup?

La Presse dévoile enfin son identité ce matin. Son nom: Daniel Scott.

[...] il travaille comme compositeur de musique pour des émissions, des films et des publicités. [...] À l'époque du "ma main", Daniel Scott avait 12 ans (il en a 41 aujourd'hui). Bien sûr que Daniel Scott avait entendu, par plusieurs personnes, qu'on le confondait avec Jean Leloup. "Je n'ai jamais voulu le démentir. C'était bien trop le fun d'avoir une légende urbaine".  

et ben... merci renton !
minimel
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Message par minimel »

merci
2010: j'ai pris la plus grande décision qui a changer mon existence.
2011: J'ai réussit a faire des choses pour moi et ma famille
2012: je vais réaliser mes rêves pour moi.
éLi!!!
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Message par éLi!!! »

J'écoutais ça un peu quand j'étais jeune mais je n'aimais pas vraiment ça. Passe-Montagne me fesait peur et c'est vrai en plus! Mais j'aimais bien Cannelle et Pruneau Par contre, je ne pense pas acheter le DVD




Je t'adore mon amour Dany


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Steven
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Message par Steven »

oui c sur  que je le veux !!







149.5lbs...et c pas fini...


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marykia
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Message par marykia »

est ce que qq sait le prix du dvd chez costco
Roxy
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Message par Roxy »

Je comprend pas trop ce bout la !!    

''Grand-Mère
« À cause de la comédienne qui ne sortait pas sans son coiffeur, elle n’était pas tout à fait la grand-mère qu’on aurait voulue, se souvient Laurent Lachance. On aurait aimé une grand-mère beaucoup moins vieille. »''

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Fourmi
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Message par Fourmi »

Roxy  a écritJe comprend pas trop ce bout la !!    

''Grand-Mère
« À cause de la comédienne qui ne sortait pas sans son coiffeur, elle n’était pas tout à fait la grand-mère qu’on aurait voulue, se souvient Laurent Lachance. On aurait aimé une grand-mère beaucoup moins vieille. »''



Hi! Hi! J'ai lu le mêm article dans La Presse hier matni et j,ai justement lu et relu ce bout-là, sans jamais pouvoir me l,expliquer!
Boule à mites
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Message par Boule à mites »

Je n'y ai rien compris moi non plus!  
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