LE DOMAINE BLEU

MA25 a écrit : En passant pour ceux qui auraient manqué les émissions à TQS, j'ai remarqué hier soir à 19H30 (Vendredi) que les émissions Wipeout passent en reprise à TQS, j'ai vu encore un peu l'émission et j'ai encore ri aux éclats en voyant les gens tomber des 'grosses boules'...

moiii a écrit : Les auditions à Montréal on été fait.

Emjibay a écrit : [...]

Messemble ça doit pas etre siii dur de faire des installations comme ça au Québec... ça couterait pas moins cher que de payer le voyage en Argentine aux 200 candidats.

Tournage paralysé à Wipeout

Le tournage de la version québécoise du jeu extrême Wipeout est paralysé en raison d'un vol d'équipement, à Buenos Aires en Argentine. Victimes d'une mésaventure rocambolesque, les producteurs d'Endemol ont eu la mauvaise surprise de constater que leurs 36 caméras avaient disparu du plateau de tournage mercredi.

Armés, les cambrioleurs ont réussi leur méfait en maîtrisant les gardiens de sécurité. L'équipe québécoise doit donc prolonger d'une semaine son séjour là-bas, tout comme les Britanniques, qui tournent leur version parallèlement.

Présentée dès l'automne à TQS, Wipeout sera animée par Valérie Simard, et 200 concurrents québécois y prennent part. La réorganisation des séjours de ceux-ci a constitué un véritable casse-tête et des dépenses supplémentaires pour les producteurs.

Pepsi a écrit : J'ai écouté l'emission et j'pense que j'suis pas assez excentrique et gros pour y aller...C'est sur que au QC ca va surment être différent maisd quand même!

Va falloir j'me kevins-kylise

Wipeout: un très gros plateau
Ça a toujours l’air plus petit en vrai qu’à la télé.

Pas pour Wipeout. En arrivant sur le plateau d’Endemol hier soir à environ une heure du centre-ville de Buenos Aires, j’avais un peu l’impression d’entrer dans un parc d’attractions. Impressionnant.

La fameuse glissoire géante de la «Zone Wipeout» fait sept étages. Et d’en haut, on a une vue imprenable sur le plateau illuminé.

Outre six personnes qui composent l’équipe québécoise, tous les autres parlent espagnol, et un peu anglais. Mais tout ce beau monde semble se débrouiller sans problème.

Les concurrents étaient déchaînés, et rien ne semblait vouloir les arrêter. Paraît que les concurrents québécois sont particulièrement braves, selon l’équipe argentine. Les Grecs, par exemple, abandonnent souvent avant la fin.

Il faisait chaud comme en été hier à Buenos Aires, où on est pourtant en automne. Une situation exceptionnelle, puisque l’équipe a dû tourner dans le froid et le vent glacial ces dernières semaines.

Wipeout: des photos… et des bleus

«Je ne rirai plus jamais des concurrents de Wipeout», nous a dit Stéphane, 28 ans, à sa sortie du parcours.

Ils étaient complètement vidés après leur expérience, mais jubilaient d’avoir franchi la Zone Wipeout, à Buenos Aires en Argentine.

Après tout, ils ont été sélectionnés parmi 18 000 candidats.

Même s’il y a 5000$ à la clé dans la version québécoise — contrairement à 50 000$ aux États-Unis —, ils ne venaient pas pour l’argent, mais pour le trip. Et ils ont été servis.

Et ce, même en sachant qu’ils risquaient de se disloquer une épaule ou sortir couvert de bleus.

«Quand tu le fais, chaque centimètre de ton corps te fait mal», a confié Véronique, 21 ans, de Saint-Eustache.

Le réalisateur, Luc Sirois, était fier de nous dire hier qu’un Québécois a réussi à franchir le parcours des qualifications, qui comprend les grosses boules, en 49 secondes. Un record mondial!

Wipeout: la «balayeuse», pas pour moi
Dernier jour à Buenos Aires, où c’est l’automne, mais où il fait chaud comme en été.

Hier, nous avons assisté au tournage de l’étape la plus éprouvante de Wipeout, la «balayeuse», où les concurrents doivent sauter par-dessus un bras mécanique, debout sur des plates-formes disposées en forme de cercle. Et pour rien au monde je n’aurais pris leur place: cinq concurrents se sont plantés dès le premier tour et une autre s’est enroulée autour du bras mécanique avant de plonger à l’eau. Plus les secondes passent, plus le bras s’active et monte, monte. Il faut être fou pour avoir pensé à ça.

Non, je n’ai pas eu le courage de faire le premier parcours de Wipeout, contrairement à mon intrépide collègue de RueFrontenac.com, Caroline Roy, qui a plongé dans la boue et affronté les grosses boules pour sauver l’honneur des journalistes. Elle l’a plus que sauvé, elle se serait même qualifiée pour les étapes suivantes si elle avait joué pour vrai. Bravo Caroline!

L’équipe québécoise a dû faire face à de nombreux impondérables au cours du mois de tournage, qui prend fin aujourd’hui. Tout est arrivé, notamment le vol de l’équipement technique et le saccage du plateau, mais aussi la génératrice qui a pris feu.

L’émission sera présentée dès septembre à TQS, avec Valérie Simard sur place, de même que deux animateurs qui seront bientôt désignés pour commenter les performances des candidats, à partir d’un studio de Montréal.

Si ça marche, l’équipe reviendra l’an prochain pour tourner Wipeout 2, un parcours encore plus éprouvant.

Cette couverture de presse a été réalisée à l’invitation de TQS.

Pepsi a écrit : 5000$ mon dieu... C'est cheapette rare Mais, j'y serais allé pour l'expérience