rosnd 2 a écrit : le beau-père mériterait de se faire couper la queue et l'avaler ensuite...

rosnd 2 a écrit : le beau-père mériterait de se faire couper la queue et l'avaler ensuite...
Beppo a écrit : Ce qui me donne la nausée ce n'est pas tant la position de l'Église comme le fait qu'on s'en serve pour évacuer le fait. Que l'Église soit compatissante, accueillante, ouverte, moderne, etc. , va changer quoi au fait? Est-ce qu'en se penchant sur la philosophie, sur les dictats de l'Église par rapport au fait on n'en vient pas à évacuer sa propre lecture du fait qui nous révélerait sans doute des choses sur notre façon d'être et d'agir? Comment se fait-il que des gens agissent ainsi? Ça dépend de quoi qu'il y ait ce type de comportement dans notre société moderne, ouverte et à la fine pointe de la technologie? Pourquoi on ne fait pas cette analyse? Est-ce que l'Église même si elle est le top de l'accueil, le top de la bonté, le top de la compassion humaine, est-ce que ça va changer nos comportements?
D'analyser l'attitude de l'Église ne nous sert-il pas d'exutoire? Comment se fait-il qu'un jeune de 13 ans (voir autre sujet) en soi rendu à poser de tels gestes (agression sexuelle)? Comment se fait-il que deux jeunes d'à peu près du même âge aient aussi posé des gestes similaires? Pas au Brésil là, au Québec? Comment se fait-il que nos jeunes utilisent la violence verbale, physique et psychologique pour marquer leur territoire? Comment se fait-il qu'il y ait profusion de gang de rues? À cause de la philosophie de l'Église?
Si on met de côté la position de l'Église, on répond quoi à la détresse dans notre société? Les actes sont de plus en plus nombreux et de plus en plus déroutants, de plus en plus déboussolants. On répond quoi à ça? Comment il se fait que des individus de plus en plus jeunes posent de tels gestes? À cause de l'Église? Sans doute que l'Église peut servir ici à déverser notre impuissance et notre rage face au geste relevé mais l'analyse que nous portons ignore le fait réel. À qui appartient le fait réel et pourquoi est-il?
Cela reste que c'est un abandon et toutes formes de rejet par ses semblables, peuvent provoquer une émotion bouleversante et dévastatrice.Nikki a écrit : [...]
Il y a beaucoup de bon sens dans ce que tu dis. Je suis d'accord sur le fait qu'on donne beaucoup trop d'importance à ce que peut en penser l'église...
Cependant, là où le bas blesse, c'est dans la croyance des gens que ça concerne, car pour la majorité des gens qui ont été excommuniés, cela semble revêtir une très grande importance...
Pour ce qui est de la prolifération des actes de violence par les jeunes, je continue de penser que c'est beaucoup plus parce que chaque acte de barbarie perpétré dans le monde nous parvient dans les medias... Selon moi, des petites filles qui se font violer au Brésil et qui tombent enceinte à 9-10 ans, ça ne date pas d'hier, mais nous avons de plus en plus accès à ces nouvelles qui nous scandalisent... C'est peut-être comme ça que les choses finiront par changer, mais malheureusement, j'en doute...
De toute façon s'il fait de la prison là bas, c'est ce qu'il va lui arriver. Les autres prisoniers vont e faire qu'une bouché.Pantera72 a écrit : [...]
Ben là franchement, c'est pas plus une manière de faire. Une condamnation, une peine de prison, etc, ok mais on n'est pas des barbares non plus... C'est quoi, le Moyen-Âge?
Pantera72 a écrit : [...]
Ben là franchement, c'est pas plus une manière de faire. Une condamnation, une peine de prison, etc, ok mais on n'est pas des barbares non plus... C'est quoi, le Moyen-Âge?
Pis quoi encore? Tu voles, on te coupe la main? Je suis complètement en désaccord mais tu as droit à ton opinion. À mon avis, une société ne peut pas fonctionner comme ça.rosnd 2 a écrit : [...]
et qu'est ce que ça apporte l'emprisonnement???!! queques années enfermées et ensuire mis en liberté wowowo ça va tellement changer quesque chose. S'il y avait plus de punitions corporelles, il y aurait moins de crimes
Pantera72 a écrit : [...]
Pis quoi encore? Tu voles, on te coupe la main? Je suis complètement en désaccord mais tu as droit à ton opinion. À mon avis, une société ne peut pas fonctionner comme ça.
rosnd 2 a écrit : le beau-père mériterait de se faire couper la queue et l'avaler ensuite...
Bah... tant que la mère a une machine à laverAnnouk a écrit : On peut donc en conclure que si les excomunions avaient été gardées secrètes, ça serait ben correct?
L'Église pourrait toujours aussi offrir une machine à laver à la petite !Nikki a écrit : [...]
Bah... tant que la mère a une machine à laver
missive a écrit : [...]
L'Église pourrait toujours aussi offrir une machine à laver à la petite !![]()
Mais juste la machine à laver par exemple, parce qu'avec un sèche-linge se serait la condamer à vivre dans l'oisivité !
Il me semble que j'ai plus le goût de prier pour la petite fille moi ....anthurium. a écrit : Lettre de Benoît XVI aux évêques et excommunication au Brésil
Le cardinal Ouellet prend position
16/03/2009 22h30
© Les ARCHIVES Chers diocésains et diocésaines,
Le pape Benoît XVI vient d’adresser une lettre à tous les évêques du monde pour clarifier les circonstances et la portée de la levée de l’excommunication des quatre évêques ordonnés il y a 20 ans par Mgr Marcel Lefebvre sans l’autorisation du Saint-Siège. Dans ce message ferme, empreint de souffrance et de tristesse, le Saint-Père reconnaît deux erreurs qui ont obscurci le sens de cette initiative sincère de réconciliation et de dialogue : d’une part, le manque d’information concernant le passé négationniste de l’évêque Williamson et, d’autre part, l’explication insuffisante de la portée d’un tel geste au moment de sa publication. Malgré ces limites qui ont occasionné des critiques multiples et douloureuses, dont certaines furent injustes et malveillantes, Benoît XVI maintient le bien-fondé de son initiative de réconciliation à l’égard des lefebvristes, dans le cadre des grands objectifs œcuméniques de son pontificat.
En adressant cette lettre aux fidèles de mon diocèse, je tiens à exprimer au Saint-Père mon accord plénier et reconnaissant avec sa mise au point et son initiative. J’y vois un témoignage d’humilité émouvant et un appel courageux à l’engagement de tous pour l’unité. Puissions-nous relire et méditer son appel à l’unité avec la même humilité, et bien accueillir la recommandation qu’il nous fait en citant la Lettre de saint Paul aux Galates : « Toute la loi atteint sa perfection dans un seul commandement, et le voici : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres, prenez garde : vous allez vous détruire les uns les autres! » (Ga 5, 14-15).
Excommunication au Brésil
Un deuxième motif m’incite à vous écrire, chers diocésaines et diocésains, à la suite des échos que j’ai reçus du drame de la fillette brésilienne violée par son beau-père et dont le recours à l’avortement a été publiquement dénoncé et sanctionné par l’autorité diocésaine. Je comprends les sentiments d’incompréhension, d’indignation et de révolte qu’ont éprouvés beaucoup de gens, et les femmes en particulier, à la nouvelle de la mesure d’excommunication qui frappait les personnes impliquées.
J’éprouve une grande tristesse en pensant au cas extrême de cette fillette qui aurait dû être traitée d’une façon plus humaine et plus évangélique.
Permettez-moi de traduire ici l’intervention du président de l’Académie pontificale pour la vie, Mgr Rino Fisichella, qui a été publiée intégralement sur la première page du quotidien du Vatican, l’Osservatore Romano, avant-hier 15 mars : « Carmen (nom fictif) devait être d’abord défendue, embrassée et caressée avec douceur pour lui faire sentir que nous étions tous avec elle; tous, sans aucune exception.
« Avant de penser à l’excommunication, il était nécessaire et urgent de sauvegarder sa vie innocente et de la reporter à un niveau d’humanité dont nous, hommes d’Église, devrions être des experts annonciateurs et des maîtres. Il n’en fut pas ainsi, et malheureusement, la crédibilité de notre enseignement en souffre parce qu’il apparaît aux yeux d’un grand nombre comme insensible, incompréhensible et privé de miséricorde ».
Je salue avec soulagement et gratitude cette intervention pastorale d’une autorité compétente qui invite à la compréhension des circonstances extrêmes entourant ce cas et à une attitude de respect et de miséricorde à l’égard des personnes impliquées. J’invite toutes les personnes de bonne volonté à lire attentivement la déclaration de Mgr Fisichella pour mieux comprendre l’attitude pastorale de l’Église, de même que son enseignement constant touchant le respect de la vie humaine depuis le moment de sa conception jusqu’à sa mort naturelle.
Puisse le temps du carême, propice à la prière et à la conversion, nous faire réfléchir sur les cas tragiques de violence familiale qui ont bouleversé notre société depuis quelques mois. Que l’Esprit du Seigneur nous aide à compatir de façon concrète à la souffrance des femmes qui, pour une raison ou pour une autre, ont vécu le drame de l’avortement et pour celles qui ont été victimes de viol. Qu’Il renouvelle aussi notre appréciation et notre engagement pour la valeur inestimable de la vie humaine dans un monde qui a besoin de notre témoignage d’amour et de miséricorde.
J’invite tous les fidèles à prier pour le pape et pour son ministère , qui est de confirmer ses frères et sœurs dans la foi, et je souhaite à tous et toutes de vivre cette montée vers Pâques dans l’espérance de l’unité et la consolation de la Paix qui vient du Christ ressuscité.
L'un n'empêche pas l'autre.missive a écrit : [...]
Il me semble que j'ai plus le goût de prier pour la petite fille moi ...
Oui je sais, c'est que dans la lettre, jamais ils n'en font mention ... Ils ne parlent que de eux, et de eux-même !.anthurium. a écrit : [...]
L'un n'empêche pas l'autre.
Parmi les nombreuses raisons pour lesquelles j'hais l'Église catholique (je veux dire l'institution, pas les gens personnellement qui en font partie) et que je n'ai aucun respect pour le pape actuel.missive a écrit : [...]
Oui je sais, c'est que dans la lettre, jamais ils n'en font mention ... Ils ne parlent que de eux, et de eux-même !