LE DOMAINE BLEU

tuberale a écrit : [...]



Cela ne facilite pas la compréhension non plus si tu leur fais des


Je ne comprends pas nécessairement l'affirmation d'être limité au Qc, on peut aimer quelque chose ou quelqu'un sans être limité pour autant. Moi aussi j'aime bien les US surtout avec Obama avec qui on ne ressent pas le " be with us or your are against us ! " de Bush. Je sais qu'il y en a qui s'emmurent dans le nationalisme mais il y en a aussi qui s'emmurent dans le fédéralisme, tsé chacun a ses extrémistes mais ils ne sont pas pour autant la représentation d'une majorité même si j'admets qu'ils peuvent nuire à l'image que l'on se fait de chacune de ces positions.

J'écoute rarement la télé québécoise à part les nouvelles et suivre une série de temps en temps, je suis bilingue, je voyage ailleurs aussi et me sens nord-américaine dans ma définition, il y a juste que quand on se définie avec l'émotion et le ressenti, j'ai le Québec dans la peau, tout comme la ville du même nom et que je ne ressens rien envers le reste du Canada.

Il n'y a pas à mon sens de meilleure ou de pire position mais simplement un choix de vie que chacun fait, personne n'est victime de l'autre et personne n'a à se sentir persécuté ou sur la défensive de penser différemment, assume ta diversité comme j'assume la mienne sans plus.

Acrux a écrit : Moi je ne me sens assis sur aucune chaise, puisque je ne vote pas pour des idées mais pour des partis...

Mais le meilleur des mondes pour moi serait un fédéralisme à l'échelle mondiale avec un droit de veto, qui ne s'appliquerait qu'au territoire en question, à chaque "nation" sur un sujet précis sur lequel un référendum aurait été fait...

Red K a écrit : [...]


Et dans ce fédéralisme mondial, le Québec serait-il une nation au même titre que le Canada?

On s'en sort pas.

Red K a écrit : @ Bloopie

J'ai beaucoup lu sur l'histoire du Québec. Je peux me tromper mais, l'ouverture d'esprit faite par l'Angleterre vis à vis la francophonie canadienne (parce qu'avant, ont était des canadiens-français et les autres étaient des canadians) vient du fait que les USA trouvaient preneurs chez beaucoup de CF et l'angleterre a dû corrigé le tir pour ne pas perdre ce coin du continent au profit des américains.

Les gains, ou plutôt l'évitement de la perte de notre langue est dû à un rapport de force dont les américains ont pu nous faire profiter même si notre dernier ''choix'' fut de rester dans le giron britanique.

Bloopie a écrit : [...]

Très bien dit


Je répète que je ne me sens PAS persécutée.
( et je ne suis pas extrémiste, j'évite de parler de politique)( et je me repend amèrement d'être venue en parler ici)

(Je ne leur fais pas de , je le faisais à moi-même, voulant dire :any way)(je me suis mal exprimée...)