L’affaire Couillard-Bernier
Par ailleurs M. Dion a applaudi à la révélation faite par La Presse ce matin que Julie Couillard, l’ancienne petite amie de l’ancien ministre conservateur des Affaires étrangères, Maxime Bernier, publiera son livre sur sa relation avec M. Bernier en pleine campagne électorale. La version anglaise du livre de Julie Couillard sortira en effet le 6 octobre prochain.
Le chef libéral a souligné que toute la lumière n’avait pas été faite sur l’affaire Bernier-Couillard et que le rapport d’enquête rendu public par le gouvernement cet été avait été rédigé sans que l’on demande à Mme Couillard sa version des faits.
«Je comprends qu’elle ait envie de raconter sa propre version des faits par un livre. Alors si on a l’information avant de voter, c’est mieux que de l’apprendre après le vote. M. Harper risque d’être battu au fil d’arrivée par Mme Couillard», a commenté M. Dion.
Toujours dans la sphère de la guerre de propagande que se livrent les libéraux et les conservateurs, le Parti libéral du Canada a annoncé ce matin qu’ils ont mis en ligne une encyclopédie des scandales conservateurs intitulée «Scandalpédia» (www.scandalpedia.ca). Le site, dans les deux langues officielles, répertorie en quelque sorte «les scandales conservateurs les plus connus» dont l’affaire Bernier-Couillard, celle de Mulroney-Schreiber et le stratagème électoral d’entrée et de sortie de fonds.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... PELECFED02
Par contre, ce n'était pas les termes que j'ai entendu dans le reportage que j'ai vu... mais ça s'en rapproche mdr
Élections fédérales 2008
Ah et Acrux, qu,est-ce que tu dis de celle-là Tu trouves pas que ça ressemble à vendre son vote sur facebook
Le vendredi 12 sept 2008
May prête à tout pour battre Harper
Joël-Denis Bellavance
La Presse
Ottawa
La chef du Parti vert, Elizabeth May, demandera à ses troupes dans le dernier sprint de la campagne électorale de mettre tout leur poids politique derrière les candidats libéraux de Stéphane Dion dans certaines circonscrïptions où la lutte est serrée afin de bloquer la route aux conservateurs de Stephen Harper.
Cette démarche attendue de Mme May fait partie intégrante du pacte de non-agression conclu entre la leader du Parti vert et le chef libéral Stéphane Dion en avril 2007, a appris La Presse hier.
En vertu de ce pacte, le Parti libéral ne présente pas de candidat contre Mme May dans Central Nova, en Nouvelle-Écosse, afin de maximiser ses chances de faire mordre la poussière au ministre de la Défense, le conservateur Peter MacKay.
En échange, le Parti vert n'a aucun candidat qui brigue les suffrages contre Stéphane Dion dans la circonscrïption de Saint-Laurent-Cartierville.
Mais ce pacte prévoit aussi que Mme May se prononce éventuellement en faveur de l'élection de Stéphane Dion comme premier ministre dans les derniers jours de la campagne électorale. Cette stratégie électorale n'avait jamais été dévoilée jusqu'ici.
Cette stratégie arrêtée par les libéraux et les verts l'an dernier explique sans doute en bonne partie pourquoi Stéphane Dion a défendu bec et ongles la participation d'Elizabeth May aux débats des chefs qui auront lieu les 1er et 2 octobre au Centre national des arts.
M. Dion était d'ailleurs le seul chef politique à fustiger les leaders des autres partis politiques, en particulier le conservateur Stephen Harper et le néo-démocrate Jack Layton, ainsi que le consortium des radiodiffuseurs représentant les principaux réseaux de télévision au pays pour leur refus d'inclure Elizabeth May dans le débat.
Après deux jours de controverse, Jack Layton et Stephen Harper ont finalement changé leur fusil d'épaule, conduisant ainsi le consortium des radiodiffuseurs à inviter la chef du Parti vert à deux joutes oratoires en français et en anglais.
«L'idée de l'accord, c'est comme un pacte de non-agression pour qu'à la veille du vote, on fasse en sorte que les forces environnementalistes dans les centres urbains se rallient autour de Stéphane Dion. Dans les discussions avec Mme May, il était implicitement entendu qu'elle lance un appel en faveur de M. Dion. Cela a toujours été l'esprit de l'entente», a affirmé une source libérale bien au fait des pourparlers entre les libéraux et les verts.
Dans le passé, Mme May ne s'est jamais gênée pour encenser Stéphane Dion alors qu'il était ministre de l'Environnement dans le gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin.
Le Parti vert a aussi salué le Tournant vert proposé par Stéphane Dion en affirmant qu'il s'agit de pas dans la bonne direction. M. Dion propose d'imposer une taxe sur le carbone et d'utiliser les recettes de cette taxe - environ 15 milliards de dollars - pour réduire les impôts des contribuables et des entreprises.
Mais le Parti vert propose un plan plus ambitieux, soit l'imposition d'une taxe sur le carbone de 50$ la tonne qui permettrait à l'État de recueillir 40 milliards de dollars. Les trois quarts de cette somme proviendraient des entreprises et sociétés. À son tour, le Parti vert veut utiliser cette somme pour offrir «un allègement fiscal aux Canadiennes et aux Canadiens en réduisant les impôts et les charges sociales, en instaurant le partage du revenu, en fournissant un soutien additionnel aux familles à faible revenu et aux familles vivant en milieu rural, et en aidant les étudiantes et les étudiants écrasés par le fardeau de leur dette étudiante».
Interrogé au sujet de ce pacte entre les libéraux et les verts, hier, le député néo-démocrate Thomas Mulcair a dit ne pas être surpris de la portée du pacte entre les libéraux et les verts.
«Cela ne me surprend pas. On sait déjà que Mme May envoie des courriels à des candidats qui ne sont pas des candidats verts. Il y a quelque chose qui cloche. Elle appuie Stéphane Dion comme premier ministre. C'est tout à fait plausible», a dit M. Mulcair.
Une porte-parole du Parti vert, Camille Labchuk, a nié que la portée de «l'entente de courtoisie» entre Mme May et M. Dion se traduira éventuellement par un appui de la leader du Parti vert durant la campagne électorale.
«L'entente ne va pas plus loin que cela. Nous allons avoir des candidats contre les libéraux dans 306 circonscrïptions (sur 308). C'est sans fondement. Le Parti vert veut faire élire des députés verts», a dit Mme Labchuk.
Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
Le vendredi 12 sept 2008
May prête à tout pour battre Harper
Joël-Denis Bellavance
La Presse
Ottawa
La chef du Parti vert, Elizabeth May, demandera à ses troupes dans le dernier sprint de la campagne électorale de mettre tout leur poids politique derrière les candidats libéraux de Stéphane Dion dans certaines circonscrïptions où la lutte est serrée afin de bloquer la route aux conservateurs de Stephen Harper.
Cette démarche attendue de Mme May fait partie intégrante du pacte de non-agression conclu entre la leader du Parti vert et le chef libéral Stéphane Dion en avril 2007, a appris La Presse hier.
En vertu de ce pacte, le Parti libéral ne présente pas de candidat contre Mme May dans Central Nova, en Nouvelle-Écosse, afin de maximiser ses chances de faire mordre la poussière au ministre de la Défense, le conservateur Peter MacKay.
En échange, le Parti vert n'a aucun candidat qui brigue les suffrages contre Stéphane Dion dans la circonscrïption de Saint-Laurent-Cartierville.
Mais ce pacte prévoit aussi que Mme May se prononce éventuellement en faveur de l'élection de Stéphane Dion comme premier ministre dans les derniers jours de la campagne électorale. Cette stratégie électorale n'avait jamais été dévoilée jusqu'ici.
Cette stratégie arrêtée par les libéraux et les verts l'an dernier explique sans doute en bonne partie pourquoi Stéphane Dion a défendu bec et ongles la participation d'Elizabeth May aux débats des chefs qui auront lieu les 1er et 2 octobre au Centre national des arts.
M. Dion était d'ailleurs le seul chef politique à fustiger les leaders des autres partis politiques, en particulier le conservateur Stephen Harper et le néo-démocrate Jack Layton, ainsi que le consortium des radiodiffuseurs représentant les principaux réseaux de télévision au pays pour leur refus d'inclure Elizabeth May dans le débat.
Après deux jours de controverse, Jack Layton et Stephen Harper ont finalement changé leur fusil d'épaule, conduisant ainsi le consortium des radiodiffuseurs à inviter la chef du Parti vert à deux joutes oratoires en français et en anglais.
«L'idée de l'accord, c'est comme un pacte de non-agression pour qu'à la veille du vote, on fasse en sorte que les forces environnementalistes dans les centres urbains se rallient autour de Stéphane Dion. Dans les discussions avec Mme May, il était implicitement entendu qu'elle lance un appel en faveur de M. Dion. Cela a toujours été l'esprit de l'entente», a affirmé une source libérale bien au fait des pourparlers entre les libéraux et les verts.
Dans le passé, Mme May ne s'est jamais gênée pour encenser Stéphane Dion alors qu'il était ministre de l'Environnement dans le gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin.
Le Parti vert a aussi salué le Tournant vert proposé par Stéphane Dion en affirmant qu'il s'agit de pas dans la bonne direction. M. Dion propose d'imposer une taxe sur le carbone et d'utiliser les recettes de cette taxe - environ 15 milliards de dollars - pour réduire les impôts des contribuables et des entreprises.
Mais le Parti vert propose un plan plus ambitieux, soit l'imposition d'une taxe sur le carbone de 50$ la tonne qui permettrait à l'État de recueillir 40 milliards de dollars. Les trois quarts de cette somme proviendraient des entreprises et sociétés. À son tour, le Parti vert veut utiliser cette somme pour offrir «un allègement fiscal aux Canadiennes et aux Canadiens en réduisant les impôts et les charges sociales, en instaurant le partage du revenu, en fournissant un soutien additionnel aux familles à faible revenu et aux familles vivant en milieu rural, et en aidant les étudiantes et les étudiants écrasés par le fardeau de leur dette étudiante».
Interrogé au sujet de ce pacte entre les libéraux et les verts, hier, le député néo-démocrate Thomas Mulcair a dit ne pas être surpris de la portée du pacte entre les libéraux et les verts.
«Cela ne me surprend pas. On sait déjà que Mme May envoie des courriels à des candidats qui ne sont pas des candidats verts. Il y a quelque chose qui cloche. Elle appuie Stéphane Dion comme premier ministre. C'est tout à fait plausible», a dit M. Mulcair.
Une porte-parole du Parti vert, Camille Labchuk, a nié que la portée de «l'entente de courtoisie» entre Mme May et M. Dion se traduira éventuellement par un appui de la leader du Parti vert durant la campagne électorale.
«L'entente ne va pas plus loin que cela. Nous allons avoir des candidats contre les libéraux dans 306 circonscrïptions (sur 308). C'est sans fondement. Le Parti vert veut faire élire des députés verts», a dit Mme Labchuk.
Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
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Spirullette
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La chef du Parti vert, Elizabeth May, demandera à ses troupes dans le dernier sprint de la campagne électorale de mettre tout leur poids politique derrière les candidats libéraux de Stéphane Dion dans certaines circonscrïptions où la lutte est serrée afin de bloquer la route aux conservateurs de Stephen Harper.
Cette démarche attendue de Mme May fait partie intégrante du pacte de non-agression conclu entre la leader du Parti vert et le chef libéral Stéphane Dion en avril 2007, a appris La Presse hier.
En vertu de ce pacte, le Parti libéral ne présente pas de candidat contre Mme May dans Central Nova, en Nouvelle-Écosse, afin de maximiser ses chances de faire mordre la poussière au ministre de la Défense, le conservateur Peter MacKay.
En échange, le Parti vert n'a aucun candidat qui brigue les suffrages contre Stéphane Dion dans la circonscrïption de Saint-Laurent-Cartierville.
Mais ce pacte prévoit aussi que Mme May se prononce éventuellement en faveur de l'élection de Stéphane Dion comme premier ministre dans les derniers jours de la campagne électorale. Cette stratégie électorale n'avait jamais été dévoilée jusqu'ici.
Cette stratégie arrêtée par les libéraux et les verts l'an dernier explique sans doute en bonne partie pourquoi Stéphane Dion a défendu bec et ongles la participation d'Elizabeth May aux débats des chefs qui auront lieu les 1er et 2 octobre au Centre national des arts.
M. Dion était d'ailleurs le seul chef politique à fustiger les leaders des autres partis politiques, en particulier le conservateur Stephen Harper et le néo-démocrate Jack Layton, ainsi que le consortium des radiodiffuseurs représentant les principaux réseaux de télévision au pays pour leur refus d'inclure Elizabeth May dans le débat.
Après deux jours de controverse, Jack Layton et Stephen Harper ont finalement changé leur fusil d'épaule, conduisant ainsi le consortium des radiodiffuseurs à inviter la chef du Parti vert à deux joutes oratoires en français et en anglais.
«L'idée de l'accord, c'est comme un pacte de non-agression pour qu'à la veille du vote, on fasse en sorte que les forces environnementalistes dans les centres urbains se rallient autour de Stéphane Dion. Dans les discussions avec Mme May, il était implicitement entendu qu'elle lance un appel en faveur de M. Dion. Cela a toujours été l'esprit de l'entente», a affirmé une source libérale bien au fait des pourparlers entre les libéraux et les verts.
Dans le passé, Mme May ne s'est jamais gênée pour encenser Stéphane Dion alors qu'il était ministre de l'Environnement dans le gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin.
Le Parti vert a aussi salué le Tournant vert proposé par Stéphane Dion en affirmant qu'il s'agit de pas dans la bonne direction. M. Dion propose d'imposer une taxe sur le carbone et d'utiliser les recettes de cette taxe - environ 15 milliards de dollars - pour réduire les impôts des contribuables et des entreprises.
Mais le Parti vert propose un plan plus ambitieux, soit l'imposition d'une taxe sur le carbone de 50$ la tonne qui permettrait à l'État de recueillir 40 milliards de dollars. Les trois quarts de cette somme proviendraient des entreprises et sociétés. À son tour, le Parti vert veut utiliser cette somme pour offrir «un allègement fiscal aux Canadiennes et aux Canadiens en réduisant les impôts et les charges sociales, en instaurant le partage du revenu, en fournissant un soutien additionnel aux familles à faible revenu et aux familles vivant en milieu rural, et en aidant les étudiantes et les étudiants écrasés par le fardeau de leur dette étudiante».
Interrogé au sujet de ce pacte entre les libéraux et les verts, hier, le député néo-démocrate Thomas Mulcair a dit ne pas être surpris de la portée du pacte entre les libéraux et les verts.
«Cela ne me surprend pas. On sait déjà que Mme May envoie des courriels à des candidats qui ne sont pas des candidats verts. Il y a quelque chose qui cloche. Elle appuie Stéphane Dion comme premier ministre. C'est tout à fait plausible», a dit M. Mulcair.
Une porte-parole du Parti vert, Camille Labchuk, a nié que la portée de «l'entente de courtoisie» entre Mme May et M. Dion se traduira éventuellement par un appui de la leader du Parti vert durant la campagne électorale.
«L'entente ne va pas plus loin que cela. Nous allons avoir des candidats contre les libéraux dans 306 circonscrïptions (sur 308). C'est sans fondement. Le Parti vert veut faire élire des députés verts», a dit Mme Labchuk.
Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
C'est d'ailleurs exactement cette nouvelle qui a éliminé mon hésitation pour voter Vert cette élection. Les libéraux sont à mon avis mieux que les conservateurs, mais si peu brrrrrr --Message edité par Spirullette le 2008-09-18 15:09:42--
Le vendredi 12 sept 2008
May prête à tout pour battre Harper
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La chef du Parti vert, Elizabeth May, demandera à ses troupes dans le dernier sprint de la campagne électorale de mettre tout leur poids politique derrière les candidats libéraux de Stéphane Dion dans certaines circonscrïptions où la lutte est serrée afin de bloquer la route aux conservateurs de Stephen Harper.
Cette démarche attendue de Mme May fait partie intégrante du pacte de non-agression conclu entre la leader du Parti vert et le chef libéral Stéphane Dion en avril 2007, a appris La Presse hier.
En vertu de ce pacte, le Parti libéral ne présente pas de candidat contre Mme May dans Central Nova, en Nouvelle-Écosse, afin de maximiser ses chances de faire mordre la poussière au ministre de la Défense, le conservateur Peter MacKay.
En échange, le Parti vert n'a aucun candidat qui brigue les suffrages contre Stéphane Dion dans la circonscrïption de Saint-Laurent-Cartierville.
Mais ce pacte prévoit aussi que Mme May se prononce éventuellement en faveur de l'élection de Stéphane Dion comme premier ministre dans les derniers jours de la campagne électorale. Cette stratégie électorale n'avait jamais été dévoilée jusqu'ici.
Cette stratégie arrêtée par les libéraux et les verts l'an dernier explique sans doute en bonne partie pourquoi Stéphane Dion a défendu bec et ongles la participation d'Elizabeth May aux débats des chefs qui auront lieu les 1er et 2 octobre au Centre national des arts.
M. Dion était d'ailleurs le seul chef politique à fustiger les leaders des autres partis politiques, en particulier le conservateur Stephen Harper et le néo-démocrate Jack Layton, ainsi que le consortium des radiodiffuseurs représentant les principaux réseaux de télévision au pays pour leur refus d'inclure Elizabeth May dans le débat.
Après deux jours de controverse, Jack Layton et Stephen Harper ont finalement changé leur fusil d'épaule, conduisant ainsi le consortium des radiodiffuseurs à inviter la chef du Parti vert à deux joutes oratoires en français et en anglais.
«L'idée de l'accord, c'est comme un pacte de non-agression pour qu'à la veille du vote, on fasse en sorte que les forces environnementalistes dans les centres urbains se rallient autour de Stéphane Dion. Dans les discussions avec Mme May, il était implicitement entendu qu'elle lance un appel en faveur de M. Dion. Cela a toujours été l'esprit de l'entente», a affirmé une source libérale bien au fait des pourparlers entre les libéraux et les verts.
Dans le passé, Mme May ne s'est jamais gênée pour encenser Stéphane Dion alors qu'il était ministre de l'Environnement dans le gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin.
Le Parti vert a aussi salué le Tournant vert proposé par Stéphane Dion en affirmant qu'il s'agit de pas dans la bonne direction. M. Dion propose d'imposer une taxe sur le carbone et d'utiliser les recettes de cette taxe - environ 15 milliards de dollars - pour réduire les impôts des contribuables et des entreprises.
Mais le Parti vert propose un plan plus ambitieux, soit l'imposition d'une taxe sur le carbone de 50$ la tonne qui permettrait à l'État de recueillir 40 milliards de dollars. Les trois quarts de cette somme proviendraient des entreprises et sociétés. À son tour, le Parti vert veut utiliser cette somme pour offrir «un allègement fiscal aux Canadiennes et aux Canadiens en réduisant les impôts et les charges sociales, en instaurant le partage du revenu, en fournissant un soutien additionnel aux familles à faible revenu et aux familles vivant en milieu rural, et en aidant les étudiantes et les étudiants écrasés par le fardeau de leur dette étudiante».
Interrogé au sujet de ce pacte entre les libéraux et les verts, hier, le député néo-démocrate Thomas Mulcair a dit ne pas être surpris de la portée du pacte entre les libéraux et les verts.
«Cela ne me surprend pas. On sait déjà que Mme May envoie des courriels à des candidats qui ne sont pas des candidats verts. Il y a quelque chose qui cloche. Elle appuie Stéphane Dion comme premier ministre. C'est tout à fait plausible», a dit M. Mulcair.
Une porte-parole du Parti vert, Camille Labchuk, a nié que la portée de «l'entente de courtoisie» entre Mme May et M. Dion se traduira éventuellement par un appui de la leader du Parti vert durant la campagne électorale.
«L'entente ne va pas plus loin que cela. Nous allons avoir des candidats contre les libéraux dans 306 circonscrïptions (sur 308). C'est sans fondement. Le Parti vert veut faire élire des députés verts», a dit Mme Labchuk.
Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
C'est d'ailleurs exactement cette nouvelle qui a éliminé mon hésitation pour voter Vert cette élection. Les libéraux sont à mon avis mieux que les conservateurs, mais si peu brrrrrr --Message edité par Spirullette le 2008-09-18 15:09:42--
Acrux a écrit La première chose qui est écrit dans leur programme à tous les deux c'est la taxe sur le carbone, normal qu'ils puissent s'entendre...
Ah come on! Tu fustigeais les votes du Bloc parce qu,il enlevait des possibles électeurs aux Verts. Et là, tu lis que les Verts eux-mêmes vont recommander à leurs électeurs de voter pour Dion pour bloquer Harper...et tout d,un coup c'est normal! Même que tantôt tu ridiculisaient ceux qui disent "N'importe qui sauf Harper!".
Ah come on! Tu fustigeais les votes du Bloc parce qu,il enlevait des possibles électeurs aux Verts. Et là, tu lis que les Verts eux-mêmes vont recommander à leurs électeurs de voter pour Dion pour bloquer Harper...et tout d,un coup c'est normal! Même que tantôt tu ridiculisaient ceux qui disent "N'importe qui sauf Harper!".
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Spirullette
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- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
tipet a écrit
Ah come on! Tu fustigeais les votes du Bloc parce qu,il enlevait des possibles électeurs aux Verts. Et là, tu lis que les Verts eux-mêmes vont recommander à leurs électeurs de voter pour Dion pour bloquer Harper...et tout d,un coup c'est normal! Même que tantôt tu ridiculisaient ceux qui disent "N'importe qui sauf Harper!".
Exactement ce que je me disais!
Ah come on! Tu fustigeais les votes du Bloc parce qu,il enlevait des possibles électeurs aux Verts. Et là, tu lis que les Verts eux-mêmes vont recommander à leurs électeurs de voter pour Dion pour bloquer Harper...et tout d,un coup c'est normal! Même que tantôt tu ridiculisaient ceux qui disent "N'importe qui sauf Harper!".
Exactement ce que je me disais!
tipet a écritAh et Acrux, qu,est-ce que tu dis de celle-là Tu trouves pas que ça ressemble à vendre son vote sur facebook
Le vendredi 12 sept 2008
May prête à tout pour battre Harper
Joël-Denis Bellavance
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La chef du Parti vert, Elizabeth May, demandera à ses troupes dans le dernier sprint de la campagne électorale de mettre tout leur poids politique derrière les candidats libéraux de Stéphane Dion dans certaines circonscrïptions où la lutte est serrée afin de bloquer la route aux conservateurs de Stephen Harper.
Cette démarche attendue de Mme May fait partie intégrante du pacte de non-agression conclu entre la leader du Parti vert et le chef libéral Stéphane Dion en avril 2007, a appris La Presse hier.
En vertu de ce pacte, le Parti libéral ne présente pas de candidat contre Mme May dans Central Nova, en Nouvelle-Écosse, afin de maximiser ses chances de faire mordre la poussière au ministre de la Défense, le conservateur Peter MacKay.
En échange, le Parti vert n'a aucun candidat qui brigue les suffrages contre Stéphane Dion dans la circonscrïption de Saint-Laurent-Cartierville.
Mais ce pacte prévoit aussi que Mme May se prononce éventuellement en faveur de l'élection de Stéphane Dion comme premier ministre dans les derniers jours de la campagne électorale. Cette stratégie électorale n'avait jamais été dévoilée jusqu'ici.
Cette stratégie arrêtée par les libéraux et les verts l'an dernier explique sans doute en bonne partie pourquoi Stéphane Dion a défendu bec et ongles la participation d'Elizabeth May aux débats des chefs qui auront lieu les 1er et 2 octobre au Centre national des arts.
M. Dion était d'ailleurs le seul chef politique à fustiger les leaders des autres partis politiques, en particulier le conservateur Stephen Harper et le néo-démocrate Jack Layton, ainsi que le consortium des radiodiffuseurs représentant les principaux réseaux de télévision au pays pour leur refus d'inclure Elizabeth May dans le débat.
Après deux jours de controverse, Jack Layton et Stephen Harper ont finalement changé leur fusil d'épaule, conduisant ainsi le consortium des radiodiffuseurs à inviter la chef du Parti vert à deux joutes oratoires en français et en anglais.
«L'idée de l'accord, c'est comme un pacte de non-agression pour qu'à la veille du vote, on fasse en sorte que les forces environnementalistes dans les centres urbains se rallient autour de Stéphane Dion. Dans les discussions avec Mme May, il était implicitement entendu qu'elle lance un appel en faveur de M. Dion. Cela a toujours été l'esprit de l'entente», a affirmé une source libérale bien au fait des pourparlers entre les libéraux et les verts.
Dans le passé, Mme May ne s'est jamais gênée pour encenser Stéphane Dion alors qu'il était ministre de l'Environnement dans le gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin.
Le Parti vert a aussi salué le Tournant vert proposé par Stéphane Dion en affirmant qu'il s'agit de pas dans la bonne direction. M. Dion propose d'imposer une taxe sur le carbone et d'utiliser les recettes de cette taxe - environ 15 milliards de dollars - pour réduire les impôts des contribuables et des entreprises.
Mais le Parti vert propose un plan plus ambitieux, soit l'imposition d'une taxe sur le carbone de 50$ la tonne qui permettrait à l'État de recueillir 40 milliards de dollars. Les trois quarts de cette somme proviendraient des entreprises et sociétés. À son tour, le Parti vert veut utiliser cette somme pour offrir «un allègement fiscal aux Canadiennes et aux Canadiens en réduisant les impôts et les charges sociales, en instaurant le partage du revenu, en fournissant un soutien additionnel aux familles à faible revenu et aux familles vivant en milieu rural, et en aidant les étudiantes et les étudiants écrasés par le fardeau de leur dette étudiante».
Interrogé au sujet de ce pacte entre les libéraux et les verts, hier, le député néo-démocrate Thomas Mulcair a dit ne pas être surpris de la portée du pacte entre les libéraux et les verts.
«Cela ne me surprend pas. On sait déjà que Mme May envoie des courriels à des candidats qui ne sont pas des candidats verts. Il y a quelque chose qui cloche. Elle appuie Stéphane Dion comme premier ministre. C'est tout à fait plausible», a dit M. Mulcair.
Une porte-parole du Parti vert, Camille Labchuk, a nié que la portée de «l'entente de courtoisie» entre Mme May et M. Dion se traduira éventuellement par un appui de la leader du Parti vert durant la campagne électorale.
«L'entente ne va pas plus loin que cela. Nous allons avoir des candidats contre les libéraux dans 306 circonscrïptions (sur 308). C'est sans fondement. Le Parti vert veut faire élire des députés verts», a dit Mme Labchuk.
Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
La première chose qui est écrit dans leur programme à tous les deux c'est la taxe sur le carbone, normal qu'ils puissent s'entendre...
Le vendredi 12 sept 2008
May prête à tout pour battre Harper
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La chef du Parti vert, Elizabeth May, demandera à ses troupes dans le dernier sprint de la campagne électorale de mettre tout leur poids politique derrière les candidats libéraux de Stéphane Dion dans certaines circonscrïptions où la lutte est serrée afin de bloquer la route aux conservateurs de Stephen Harper.
Cette démarche attendue de Mme May fait partie intégrante du pacte de non-agression conclu entre la leader du Parti vert et le chef libéral Stéphane Dion en avril 2007, a appris La Presse hier.
En vertu de ce pacte, le Parti libéral ne présente pas de candidat contre Mme May dans Central Nova, en Nouvelle-Écosse, afin de maximiser ses chances de faire mordre la poussière au ministre de la Défense, le conservateur Peter MacKay.
En échange, le Parti vert n'a aucun candidat qui brigue les suffrages contre Stéphane Dion dans la circonscrïption de Saint-Laurent-Cartierville.
Mais ce pacte prévoit aussi que Mme May se prononce éventuellement en faveur de l'élection de Stéphane Dion comme premier ministre dans les derniers jours de la campagne électorale. Cette stratégie électorale n'avait jamais été dévoilée jusqu'ici.
Cette stratégie arrêtée par les libéraux et les verts l'an dernier explique sans doute en bonne partie pourquoi Stéphane Dion a défendu bec et ongles la participation d'Elizabeth May aux débats des chefs qui auront lieu les 1er et 2 octobre au Centre national des arts.
M. Dion était d'ailleurs le seul chef politique à fustiger les leaders des autres partis politiques, en particulier le conservateur Stephen Harper et le néo-démocrate Jack Layton, ainsi que le consortium des radiodiffuseurs représentant les principaux réseaux de télévision au pays pour leur refus d'inclure Elizabeth May dans le débat.
Après deux jours de controverse, Jack Layton et Stephen Harper ont finalement changé leur fusil d'épaule, conduisant ainsi le consortium des radiodiffuseurs à inviter la chef du Parti vert à deux joutes oratoires en français et en anglais.
«L'idée de l'accord, c'est comme un pacte de non-agression pour qu'à la veille du vote, on fasse en sorte que les forces environnementalistes dans les centres urbains se rallient autour de Stéphane Dion. Dans les discussions avec Mme May, il était implicitement entendu qu'elle lance un appel en faveur de M. Dion. Cela a toujours été l'esprit de l'entente», a affirmé une source libérale bien au fait des pourparlers entre les libéraux et les verts.
Dans le passé, Mme May ne s'est jamais gênée pour encenser Stéphane Dion alors qu'il était ministre de l'Environnement dans le gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin.
Le Parti vert a aussi salué le Tournant vert proposé par Stéphane Dion en affirmant qu'il s'agit de pas dans la bonne direction. M. Dion propose d'imposer une taxe sur le carbone et d'utiliser les recettes de cette taxe - environ 15 milliards de dollars - pour réduire les impôts des contribuables et des entreprises.
Mais le Parti vert propose un plan plus ambitieux, soit l'imposition d'une taxe sur le carbone de 50$ la tonne qui permettrait à l'État de recueillir 40 milliards de dollars. Les trois quarts de cette somme proviendraient des entreprises et sociétés. À son tour, le Parti vert veut utiliser cette somme pour offrir «un allègement fiscal aux Canadiennes et aux Canadiens en réduisant les impôts et les charges sociales, en instaurant le partage du revenu, en fournissant un soutien additionnel aux familles à faible revenu et aux familles vivant en milieu rural, et en aidant les étudiantes et les étudiants écrasés par le fardeau de leur dette étudiante».
Interrogé au sujet de ce pacte entre les libéraux et les verts, hier, le député néo-démocrate Thomas Mulcair a dit ne pas être surpris de la portée du pacte entre les libéraux et les verts.
«Cela ne me surprend pas. On sait déjà que Mme May envoie des courriels à des candidats qui ne sont pas des candidats verts. Il y a quelque chose qui cloche. Elle appuie Stéphane Dion comme premier ministre. C'est tout à fait plausible», a dit M. Mulcair.
Une porte-parole du Parti vert, Camille Labchuk, a nié que la portée de «l'entente de courtoisie» entre Mme May et M. Dion se traduira éventuellement par un appui de la leader du Parti vert durant la campagne électorale.
«L'entente ne va pas plus loin que cela. Nous allons avoir des candidats contre les libéraux dans 306 circonscrïptions (sur 308). C'est sans fondement. Le Parti vert veut faire élire des députés verts», a dit Mme Labchuk.
Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
La première chose qui est écrit dans leur programme à tous les deux c'est la taxe sur le carbone, normal qu'ils puissent s'entendre...
tipet a écrit
Ah come on! Tu fustigeais les votes du Bloc parce qu,il enlevait des possibles électeurs aux Verts. Et là, tu lis que les Verts eux-mêmes vont recommander à leurs électeurs de voter pour Dion pour bloquer Harper...et tout d,un coup c'est normal! Même que tantôt tu ridiculisaient ceux qui disent "N'importe qui sauf Harper!".
Le but c'est que faire passer la taxe au carbone! Elle ne fait pas d'alliance avec le NPD et le Bloc à ce que je sache?!... --Message edité par Acrux le 2008-09-18 15:21:13--
Ah come on! Tu fustigeais les votes du Bloc parce qu,il enlevait des possibles électeurs aux Verts. Et là, tu lis que les Verts eux-mêmes vont recommander à leurs électeurs de voter pour Dion pour bloquer Harper...et tout d,un coup c'est normal! Même que tantôt tu ridiculisaient ceux qui disent "N'importe qui sauf Harper!".
Le but c'est que faire passer la taxe au carbone! Elle ne fait pas d'alliance avec le NPD et le Bloc à ce que je sache?!... --Message edité par Acrux le 2008-09-18 15:21:13--
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Spirullette
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Acrux a écrit Tu vois, je trouve ça bien moi qu'elle mette son égo de politicienne de côté au profit d'une cause (taxe sur le carbone).
Si tu lis bien l'article plus haut, c'est pas vraiment ça !
Je cite :
Citation :Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
Si tu lis bien l'article plus haut, c'est pas vraiment ça !
Je cite :
Citation :Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.»
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Nabila a écritHarper et Charest sont en train de se pogner solide
sortez les gants de boxe!!!!
Ouai, j'aime pas Charest, mais là tous les partis du Québec sont dans le même bateau... Et je trouve que depuis quelques temps Charest met ses culottes.
J'ai trouvé un bel article sur le pognage en question :
http://elections.radio-canada.ca/electi ... cane.shtml --Message edité par lolilou le 2008-09-18 18:48:23--
sortez les gants de boxe!!!!
Ouai, j'aime pas Charest, mais là tous les partis du Québec sont dans le même bateau... Et je trouve que depuis quelques temps Charest met ses culottes.
J'ai trouvé un bel article sur le pognage en question :
http://elections.radio-canada.ca/electi ... cane.shtml --Message edité par lolilou le 2008-09-18 18:48:23--
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Strophe a écrit
Si tu lis bien l'article plus haut, c'est pas vraiment ça !
Je cite :
Citation :Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.» Ouais, celle là je la trouve vraiment pôche!
...j'espère que c'était une blague et qu'elle a été cité hors contexte...
On va le voir d'ici la fin de la campagne.
Cela dit, comme je dis depuis le début, ma priorité à moi cette année c'est la taxe sur le carbone! Peu importe le parti... Cela dit, le programme du parti vert est pas mal plus intéressant, d'autant plus que ce parti a signé une charte que tous les parti vert de la planète ont signé! --Message edité par Acrux le 2008-09-18 18:53:46--
Si tu lis bien l'article plus haut, c'est pas vraiment ça !
Je cite :
Citation :Toutefois, Elizabeth May avait affirmé dans une entrevue accordée au Devoir en mai qu'elle était prête à envisager une stratégie électorale qui consisterait à demander aux électeurs dans toutes les régions du pays préoccupés par les changements climatiques d'appuyer le candidat ayant le plus de chance de vaincre le candidat conservateur.
À la question de savoir si elle appuierait un mouvement «Anybody but Harper», Mme May avait déclaré sans hésitation: «Oui, c'est une idée très intéressante.» Ouais, celle là je la trouve vraiment pôche!
...j'espère que c'était une blague et qu'elle a été cité hors contexte...
On va le voir d'ici la fin de la campagne.
Cela dit, comme je dis depuis le début, ma priorité à moi cette année c'est la taxe sur le carbone! Peu importe le parti... Cela dit, le programme du parti vert est pas mal plus intéressant, d'autant plus que ce parti a signé une charte que tous les parti vert de la planète ont signé! --Message edité par Acrux le 2008-09-18 18:53:46--
Allez voir la chicane entre Williams (Terre-Neuve) et Harper. C'est dans le très joli. Ensuite, on viendra faire la leçon sur les chicanes du PQ ou du Bloc. D'la p'tite bière, mes amis... D'la p'tite bière. Et le plus drôle c'est que vous êtes en présence de deux conservateur (Charest et Williams) et d'un supposé conservateur : Art Peur.
pffffffffffffffffffff
pffffffffffffffffffff
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Citation :Le chef conservateur dit qu'il a éliminé « les vieilles chicanes » entre les provinces et le fédéral depuis l'arrivée de son parti à Ottawa.
Or, depuis le début de la semaine, le fossé ne cesse de se creuser sur cette question entre son gouvernement et celui de Jean Charest, et le blâme de M. Harper sur les baisses d'impôts du gouvernement du Québec est venu jeter de l'huile sur le feu.
Les premiers ministres de l'Ontario et de Terre-Neuve-et-Labrador, respectivement Dalton McGuinty et Danny Williams, sont aussi à couteaux tirés avec Stephen Harper au sujet du déséquilibre fiscal et des paiements de péréquation.
Extrait de l'article que nous a proposé Lolilou. Non mais stu assez beau? Il a éliminé les chicanes depuis son arrivée au pouvoir... Il est menteur en osto et le pire il se croit l'imbécile. Mais que voulez-vous? (phrase célèbre de Jean Chrétien). C'est aussi ça la Con fédération. Ça marche à planche.
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Or, depuis le début de la semaine, le fossé ne cesse de se creuser sur cette question entre son gouvernement et celui de Jean Charest, et le blâme de M. Harper sur les baisses d'impôts du gouvernement du Québec est venu jeter de l'huile sur le feu.
Les premiers ministres de l'Ontario et de Terre-Neuve-et-Labrador, respectivement Dalton McGuinty et Danny Williams, sont aussi à couteaux tirés avec Stephen Harper au sujet du déséquilibre fiscal et des paiements de péréquation.
Extrait de l'article que nous a proposé Lolilou. Non mais stu assez beau? Il a éliminé les chicanes depuis son arrivée au pouvoir... Il est menteur en osto et le pire il se croit l'imbécile. Mais que voulez-vous? (phrase célèbre de Jean Chrétien). C'est aussi ça la Con fédération. Ça marche à planche.
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Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Je reviens un peu en arrière car je crois que c'est pertinent au débat.
A titre d'information, je travaille pour le gouvernement fédéral et une grande partie de mon travail consiste à écrire, élaborer. analyser et modifier des pratiques, politiques et des lois et règlements.
Et oui, il est généralement plus simple de modifier une loi déjà existante que de faire approuver une nouvelle loi. Les processus de vérification sont les mêmes mais de façon générale, les modifications sont moins scrutées à la loupe car il s'agit souvent d'amendements jugés mineurs, changement de terminologie ou spécification dans l'une des deux langues officielles, considérant que les traductions créent parfois des distorsions dans les interprétations légales et/ou judiciaires.
Dans le cas de la loi sur les droits du foetus, le risque, tel que jugé par les détracteurs de cette loi, c'est que bien que la loi telle qu'écrite présentement ne semble pas s'appliquer aux cas d'avortement, elle pourrait possiblement être interprétée ainsi par un juge plus "conservateur" et de là faire jurisprudence.
De plus, toujours selon les détracteurs, le risque aurait été que les conservateurs deviennent majoritaires et alors, la loi, telle qu'approuvée par le gouvernement et l'opposition, aurait pu être facilement modifiée et approuvée en chambre par un gouvernement conservateur majoritaire pour re-criminaliser l'avortement. Un gouvernement majoritaire peut toujours facilement faire passer une loi et/ou un amendement. Il peut même en accélérer l,approbation en court-circuitant le processus de première et deuxième lecture. Il est possible de faire de même avec une nouvelle loi mais généralement, le public est plus informé lors de nouvelles lois que de modifications. On essaie toujours de démontrer que les modifications sont mineures et n'ont que peu d'impact. Tactique de politicien et de fonctionnaire
Désolée si je suis un peu technique, j'essaie simplement de vous donner une idée de comment ça fonctionne.
A titre d'information, je travaille pour le gouvernement fédéral et une grande partie de mon travail consiste à écrire, élaborer. analyser et modifier des pratiques, politiques et des lois et règlements.
Et oui, il est généralement plus simple de modifier une loi déjà existante que de faire approuver une nouvelle loi. Les processus de vérification sont les mêmes mais de façon générale, les modifications sont moins scrutées à la loupe car il s'agit souvent d'amendements jugés mineurs, changement de terminologie ou spécification dans l'une des deux langues officielles, considérant que les traductions créent parfois des distorsions dans les interprétations légales et/ou judiciaires.
Dans le cas de la loi sur les droits du foetus, le risque, tel que jugé par les détracteurs de cette loi, c'est que bien que la loi telle qu'écrite présentement ne semble pas s'appliquer aux cas d'avortement, elle pourrait possiblement être interprétée ainsi par un juge plus "conservateur" et de là faire jurisprudence.
De plus, toujours selon les détracteurs, le risque aurait été que les conservateurs deviennent majoritaires et alors, la loi, telle qu'approuvée par le gouvernement et l'opposition, aurait pu être facilement modifiée et approuvée en chambre par un gouvernement conservateur majoritaire pour re-criminaliser l'avortement. Un gouvernement majoritaire peut toujours facilement faire passer une loi et/ou un amendement. Il peut même en accélérer l,approbation en court-circuitant le processus de première et deuxième lecture. Il est possible de faire de même avec une nouvelle loi mais généralement, le public est plus informé lors de nouvelles lois que de modifications. On essaie toujours de démontrer que les modifications sont mineures et n'ont que peu d'impact. Tactique de politicien et de fonctionnaire
Désolée si je suis un peu technique, j'essaie simplement de vous donner une idée de comment ça fonctionne.