Un Monde de Fous...!! (et autres lectures de bol...)
Contempler de l'art est bon contre la constipation
STOCKHOLM (AFP) - Contempler des oeuvres d'art et les évoquer sont des remèdes efficaces contre l'hypertension et la constipation, révèle vendredi l'auteur suédoise d'une étude.
Pendant quatre mois, Britt-Maj Wikström, chercheuse à l'université Ersta Sköndal de Stockholm, a réuni une fois par semaine vingt femmes âgées d'environ 80 ans pour des conversations autour d'oeuvres d'art.
"Le résultat a été positif. Leurs attitudes sont devenues de plus en plus positives, elles sont devenues plus créatives, leur pression artérielle est allée dans la bonne direction (...) et elles se sont mises à utiliser moins de laxatifs", a expliqué Mme Wikström.
Un groupe témoin de vingt autres femmes qui se sont réunies, également à un rythme hebdomadaire, pour évoquer leurs loisirs, n'a pas bénéficié des mêmes effets, a-t-elle souligné.
"Il y avait une différence significative entre les groupes", a-t-elle dit, ajoutant que les effets bénéfiques avaient continué d'agir sur les femmes du premier groupe des mois après la fin de l'expérience.
La chercheuse suédoise s'intéresse à l'impact de l'art sur l'homme depuis les années 80. Elle a notamment étudié l'influence sur les employés de la présence de peintures sur les murs de leurs bureaux.
STOCKHOLM (AFP) - Contempler des oeuvres d'art et les évoquer sont des remèdes efficaces contre l'hypertension et la constipation, révèle vendredi l'auteur suédoise d'une étude.
Pendant quatre mois, Britt-Maj Wikström, chercheuse à l'université Ersta Sköndal de Stockholm, a réuni une fois par semaine vingt femmes âgées d'environ 80 ans pour des conversations autour d'oeuvres d'art.
"Le résultat a été positif. Leurs attitudes sont devenues de plus en plus positives, elles sont devenues plus créatives, leur pression artérielle est allée dans la bonne direction (...) et elles se sont mises à utiliser moins de laxatifs", a expliqué Mme Wikström.
Un groupe témoin de vingt autres femmes qui se sont réunies, également à un rythme hebdomadaire, pour évoquer leurs loisirs, n'a pas bénéficié des mêmes effets, a-t-elle souligné.
"Il y avait une différence significative entre les groupes", a-t-elle dit, ajoutant que les effets bénéfiques avaient continué d'agir sur les femmes du premier groupe des mois après la fin de l'expérience.
La chercheuse suédoise s'intéresse à l'impact de l'art sur l'homme depuis les années 80. Elle a notamment étudié l'influence sur les employés de la présence de peintures sur les murs de leurs bureaux.
Voleurs au grand coeur
VALLETTE (Reuters) - Deux hommes cagoulés, qui cambriolaient une pharmacie, ont rendu à une vieille femme son porte-monnaie lorsqu'elle leur a appris qu'il contenait tout ce qu'elle possédait pour acheter ses médicaments, rapporte mardi la presse maltaise.
Les voleurs ont fait irruption lundi dans une officine de Marsascala, village côtier du sud de l'île et ont dérobé 600 livres maltaises (1.400 euros) dans la caisse après avoir menacé le pharmacien d'une arme à feu.
L'un d'entre eux s'est emparé du porte-monnaie de la vieille dame, qui attendait d'être servie, puis, sensible à ses supplications, le lui a rendu, avant de s'enfuir en moto.
VALLETTE (Reuters) - Deux hommes cagoulés, qui cambriolaient une pharmacie, ont rendu à une vieille femme son porte-monnaie lorsqu'elle leur a appris qu'il contenait tout ce qu'elle possédait pour acheter ses médicaments, rapporte mardi la presse maltaise.
Les voleurs ont fait irruption lundi dans une officine de Marsascala, village côtier du sud de l'île et ont dérobé 600 livres maltaises (1.400 euros) dans la caisse après avoir menacé le pharmacien d'une arme à feu.
L'un d'entre eux s'est emparé du porte-monnaie de la vieille dame, qui attendait d'être servie, puis, sensible à ses supplications, le lui a rendu, avant de s'enfuir en moto.
"Jail house rock" pour une fonctionnaire britannique...
LONDRES (AP) -- Une fonctionnaire britannique, qui avait détourné un demi million de livres sterling (747.000 euros) pour satisfaire une passion irraisonnée pour Elvis Presley, a été condamnée jeudi à trois ans de prison.
Julie Wall, 46 ans, a pioché dans la caisse des parcmètres de sa ville de Sleaford (centre de l'Angleterre) jusqu'à 10.000 livres (14.770 euros) mensuelles pendant une dizaine d'années avant qu'un audit interne ne révèle les faits. Et ce pour acheter des disques de collection.
La quadragénaire avait reconnu les vols lors d'une audience préliminaire et son avocat Luke Blackburn a assuré qu'elle avait "honte" de ses actes. Son obsession pour Elvis Presley était telle qu'elle ne pouvait s'empêcher de voler dans la caisse pour assouvir sa passion, selon son avocat.
La collection de Julie Wall devrait être revendue aux enchères pour permettre à la municipalité à récupérer son argent, selon la police. AP
-0-0-0-0-0-
Le papier toilette, denrée rare dans une prison d'Indiana
BLOOMINGTON, Indiana (AP) -- La prison Monroe a été confrontée à une pénurie des plus pénibles la semaine dernière: plus de papier toilette disponible et aucun moyen pour en acheter.
Mais le conseil municipal a accepté cette semaine que le directeur de la prison utilise 26.000 dollars (21.592 euros) de fonds de réserve sur un compte afin de s'approvisionner en produits de base... "Je ne sais pas qui d'entre nous voudrait se voir rentrer chez soi sans papier toilette", a expliqué Marty Hawk, membre du conseil municipal.
Ce vote, à cinq voix contre une, constitue un revirement par rapport à la semaine dernière, quand le conseil avait voté contre ce transfert de fonds.
Grâce à cet argent, la prison pourra également acheter des couverts en plastique, des tasses, des produits de toilette et des filets à cheveux. Sans cette aide, Bill Wilson avait prévu que les prisonniers auraient manqué de tous ces produits de base d'ici à la fin du mois... AP
-0-0-0-0-0-
BLOOMINGTON, Indiana (AP) -- La prison Monroe a été confrontée à une pénurie des plus pénibles la semaine dernière: plus de papier toilette disponible et aucun moyen pour en acheter.
Mais le conseil municipal a accepté cette semaine que le directeur de la prison utilise 26.000 dollars (21.592 euros) de fonds de réserve sur un compte afin de s'approvisionner en produits de base... "Je ne sais pas qui d'entre nous voudrait se voir rentrer chez soi sans papier toilette", a expliqué Marty Hawk, membre du conseil municipal.
Ce vote, à cinq voix contre une, constitue un revirement par rapport à la semaine dernière, quand le conseil avait voté contre ce transfert de fonds.
Grâce à cet argent, la prison pourra également acheter des couverts en plastique, des tasses, des produits de toilette et des filets à cheveux. Sans cette aide, Bill Wilson avait prévu que les prisonniers auraient manqué de tous ces produits de base d'ici à la fin du mois... AP
-0-0-0-0-0-
On recrute des... manifestants
ATLANTA (AP) -- Un militant anti-immigration clandestine a reconnu avoir payé une quinzaine de sans-abri dix dollars chacun pour venir brandir des pancartes dans une manifestation à Atlanta.
D.A. King a déclaré mercredi avoir payé "14 travailleurs américains volontaires pour qu'ils fassent entendre leur voix sur l'immigration illégale". Il a également affirmé que ces militants d'un jour étaient d'accord avec ses revendications.
Les personnes engagées par King sont des sans domicile fixe qui se réunissent régulièrement près du Capitole de l'Etat de Géorgie. "Croyez-moi, ils sont en colère", a prétendu King.
La manifestation organisée sur le site du Capitole a été retransmise en direct sur une radio locale et avait pour but de soutenir un projet de loi qui priverait les clandestins des prestations sociales versées par la Géorgie.
King Mitchell, 28 ans, a reconnu avoir été payé dix dollars pour tenir une pancarte mais s'est dit également d'accord avec les mesures destinées à lutter contre l'immigration illégale.
Le sénateur Sam Zamarripa, un démocrate opposé au projet de loi, a critiqué le recours à des manifestants rémunérés. "C'est une question trop compliquée. Nous n'avons pas besoin que des gens en payent d'autres pour qu'ils soient d'accord avec ceux. Nous avons besoin de gens réfléchis et modérés." AP
-0-0-0-0-0-
ATLANTA (AP) -- Un militant anti-immigration clandestine a reconnu avoir payé une quinzaine de sans-abri dix dollars chacun pour venir brandir des pancartes dans une manifestation à Atlanta.
D.A. King a déclaré mercredi avoir payé "14 travailleurs américains volontaires pour qu'ils fassent entendre leur voix sur l'immigration illégale". Il a également affirmé que ces militants d'un jour étaient d'accord avec ses revendications.
Les personnes engagées par King sont des sans domicile fixe qui se réunissent régulièrement près du Capitole de l'Etat de Géorgie. "Croyez-moi, ils sont en colère", a prétendu King.
La manifestation organisée sur le site du Capitole a été retransmise en direct sur une radio locale et avait pour but de soutenir un projet de loi qui priverait les clandestins des prestations sociales versées par la Géorgie.
King Mitchell, 28 ans, a reconnu avoir été payé dix dollars pour tenir une pancarte mais s'est dit également d'accord avec les mesures destinées à lutter contre l'immigration illégale.
Le sénateur Sam Zamarripa, un démocrate opposé au projet de loi, a critiqué le recours à des manifestants rémunérés. "C'est une question trop compliquée. Nous n'avons pas besoin que des gens en payent d'autres pour qu'ils soient d'accord avec ceux. Nous avons besoin de gens réfléchis et modérés." AP
-0-0-0-0-0-
Mauvaise pioche
SHANGHAI (AP) -- Un homme qui voulait obtenir l'annulation de l'achat de son nouvel appartement après avoir appris qu'un meurtre horrible y avait été commis a été débouté de sa demande par un tribunal de Shanghaï.
Liu Hezhi affirmait que l'ancien propriétaire Yang Haixiang l'avait dupé pour le pousser à acheter l'appartement, rapporte le quotidien "Shangai Daily".
Pour de nombreux Chinois, les habitations qui ont été le théâtre d'un drame retiennent la malchance. Le fait de savoir qu'un tel événement a eu lieu dans un logement peut le rendre quasiment impossible à vendre.
Le tribunal a établi que M. Liu avait signé l'acte d'achat final après avoir appris qu'un ancien habitant des lieux avait tué sa compagne et démembré son corps dans l'appartement. AP
-0-0-0-0-0-
SHANGHAI (AP) -- Un homme qui voulait obtenir l'annulation de l'achat de son nouvel appartement après avoir appris qu'un meurtre horrible y avait été commis a été débouté de sa demande par un tribunal de Shanghaï.
Liu Hezhi affirmait que l'ancien propriétaire Yang Haixiang l'avait dupé pour le pousser à acheter l'appartement, rapporte le quotidien "Shangai Daily".
Pour de nombreux Chinois, les habitations qui ont été le théâtre d'un drame retiennent la malchance. Le fait de savoir qu'un tel événement a eu lieu dans un logement peut le rendre quasiment impossible à vendre.
Le tribunal a établi que M. Liu avait signé l'acte d'achat final après avoir appris qu'un ancien habitant des lieux avait tué sa compagne et démembré son corps dans l'appartement. AP
-0-0-0-0-0-
A adopter, statue du château de Versailles
PARIS (AFP) - "L'Ariane endormie" (1688) de Corneille Van Cleve ou l'antique "Apollon Pothos", deux statues ornant le parc de Versailles attendent d'être "adoptées": les autorités du Château se sont adressées aux PME et aux particuliers pour financer un programme de restauration.
Une étude a été réalisée au printemps 2005 sur les quelque 300 statues que compte le parc de Versailles, pour connaître les oeuvres nécessitant une restauration, a expliqué vendredi à l'AFP Mme Serena Gavazzi, responsable du mécénat pour l'établissement public.
Un appel a alors été lancé aux PME pour qu'elles "adoptent" une statue parmi 26 dont la restauration était urgente.
"Nous avons souhaité une autre optique de mécénat, en l'ouvrant à des entreprises qui n'ont pas l'habitude d'en faire", dit-elle. "Ce sont des oeuvres magnifiques dont la restauration demande des budgets relativement modestes", allant de 3.000 à 30.000 €, dit Mme Gavazzi.
Vingt statues ont ainsi été "adoptées" par des PME de Versailles et de Paris et une deuxième "vague" de restauration et d'"adoption" sera lancée au printemps 2006.
Les statues sont visibles sur le site internet du Château (châteaudeversailles.fr), avec la photographie et le descrïptif de la statue et de la restauration nécessaire, de même que son coût.
Mais les particuliers, avec un budget plus modeste démarrant à 150 €, peuvent également contribuer à l'opération. L'association des "Amis de Versailles" s'est ainsi vu confier un "buste de Caracalla" dont la restauration, évaluée à 5.600 €, sera payée par l'addition des contributions de particuliers.
L'opération sera poursuivie avec une autre oeuvre dès cette dernière financée, selon Mme Anémone Wallet, directrice déléguée de l'association.
PARIS (AFP) - "L'Ariane endormie" (1688) de Corneille Van Cleve ou l'antique "Apollon Pothos", deux statues ornant le parc de Versailles attendent d'être "adoptées": les autorités du Château se sont adressées aux PME et aux particuliers pour financer un programme de restauration.
Une étude a été réalisée au printemps 2005 sur les quelque 300 statues que compte le parc de Versailles, pour connaître les oeuvres nécessitant une restauration, a expliqué vendredi à l'AFP Mme Serena Gavazzi, responsable du mécénat pour l'établissement public.
Un appel a alors été lancé aux PME pour qu'elles "adoptent" une statue parmi 26 dont la restauration était urgente.
"Nous avons souhaité une autre optique de mécénat, en l'ouvrant à des entreprises qui n'ont pas l'habitude d'en faire", dit-elle. "Ce sont des oeuvres magnifiques dont la restauration demande des budgets relativement modestes", allant de 3.000 à 30.000 €, dit Mme Gavazzi.
Vingt statues ont ainsi été "adoptées" par des PME de Versailles et de Paris et une deuxième "vague" de restauration et d'"adoption" sera lancée au printemps 2006.
Les statues sont visibles sur le site internet du Château (châteaudeversailles.fr), avec la photographie et le descrïptif de la statue et de la restauration nécessaire, de même que son coût.
Mais les particuliers, avec un budget plus modeste démarrant à 150 €, peuvent également contribuer à l'opération. L'association des "Amis de Versailles" s'est ainsi vu confier un "buste de Caracalla" dont la restauration, évaluée à 5.600 €, sera payée par l'addition des contributions de particuliers.
L'opération sera poursuivie avec une autre oeuvre dès cette dernière financée, selon Mme Anémone Wallet, directrice déléguée de l'association.
Sans lumière en hiver, une ville autrichienne veut détourner le soleil
RATTENBERG (AFP) - Privé de lumière entre novembre et février, Rattenberg, un village du Tyrol autrichien vivant depuis neuf siècles dans l'ombre d'une montage, veut sortir de l'obscurité en détournant le soleil avec des réflecteurs pilotés par ordinateur.
Située à 40 km à l'est d'Innsbruck, la petite bourgade du 12e siècle est dominée au sud par le "Stadtberg", une montage culminant à 910 m qui fait écran quatre mois par an aux rayons rasants du soleil hivernal.
Pour sortir de cette pénombre et secouer la mélancolie qu'elle engendre immanquablement chez ses 467 habitants, Rattenberg va installer une soixantaine de miroirs pour réfléchir le soleil vers les élégantes façades baroques de son centre.
En collaboration avec le "Bartenbach Lichtlabor", un laboratoire d'Aldrans (ouest) spécialisé dans les phénomènes lumineux, une trentaine d'héliostats doivent être montés d'ici au printemps 2007 dans la commune de Kramsach qui, située à moins de 500 m à vol d'oiseau au nord de Rattenberg, bénéficie d'un ensoleillement parfait en hiver.
"Ces miroirs, pilotés par ordinateur pour accompagner le mouvement du soleil, refléteront la lumière vers des miroirs fixes installés sur un fort" du 17ème siècle situé sur le "Stadtberg", explique Markus Peskoller, responsable du projet au Lichtlabor. "Cette seconde batterie de miroirs détournera le soleil vers une dizaine de points choisis au centre du village", ajoute-t-il.
"Nous avons lancé ce projet un peu fou en 2003, à l'issue d'une consultation où un habitant sur cinq s'est dit dépressif à cause du manque de soleil en hiver", explique le maire de Rattenberg, Franz Wurzenrainer.
Ces "désordres affectifs saisonniers" causés par le manque de lumière sont bien connus des médecins. "Ils se caractérisent par une tristesse extrême accompagnée de fatigue, de troubles du sommeil et le sentiment de n'être bon à rien", explique le Dr Franz Schwanitz, psychologue à l'université d'Innsbruck.
"En hiver, je n'ai plus goût à grand chose", confirme Johann Arzberger, un sculpteur sur bois établi dans la Südtirolerstrasse, la rue principale du village. De plus, l'obscurité diurne à laquelle le village est condamné depuis toujours en hiver "fait fuir les touristes", se plaint Reinhard Lotz, patron du "Gasthof Schlosskeller", un hôtel-restaurant cossu situé à proximité.
La pénombre incite en outre les habitants à quitter le village: au cours des cinq dernières années, Rattenberg a perdu 10% de sa population et une cinquantaine de logements y sont vacants, selon le maire. "Nous devons retenir notre population", argue-t-il lorsqu'on lui demande comment la commune pourra payer les 2 millions d'euros que coûtera le projet, soit l'équivalent de son budget annuel.
Alors que l'étude de faisabilité est encore en cours, personne ne peut garantir que le système fonctionnera. "Les contraintes techniques sont énormes", affirme M. Peskoller. "Il n'existe pas de projet semblable au monde. Les miroirs devront être d'une précision extrême, parfaitement plats, pour que ça marche", ajoute-t-il.
"Le verre a toujours sauvé Rattenberg", affirme pourtant, confiant, Leopold Kisslinger, qui exploite l'une des six cristalleries du village dont la première a été fondée il y a près de quatre siècles. "Avec ce système, les touristes viendront en masse, ne serait-ce que pour l'observer", espère-t-il.
Cet enthousiasme est partagé par l'une des deux boulangeries du village qui a créé un gâteau au sucre opportunément baptisé "Der Spiegel", le miroir.
RATTENBERG (AFP) - Privé de lumière entre novembre et février, Rattenberg, un village du Tyrol autrichien vivant depuis neuf siècles dans l'ombre d'une montage, veut sortir de l'obscurité en détournant le soleil avec des réflecteurs pilotés par ordinateur.
Située à 40 km à l'est d'Innsbruck, la petite bourgade du 12e siècle est dominée au sud par le "Stadtberg", une montage culminant à 910 m qui fait écran quatre mois par an aux rayons rasants du soleil hivernal.
Pour sortir de cette pénombre et secouer la mélancolie qu'elle engendre immanquablement chez ses 467 habitants, Rattenberg va installer une soixantaine de miroirs pour réfléchir le soleil vers les élégantes façades baroques de son centre.
En collaboration avec le "Bartenbach Lichtlabor", un laboratoire d'Aldrans (ouest) spécialisé dans les phénomènes lumineux, une trentaine d'héliostats doivent être montés d'ici au printemps 2007 dans la commune de Kramsach qui, située à moins de 500 m à vol d'oiseau au nord de Rattenberg, bénéficie d'un ensoleillement parfait en hiver.
"Ces miroirs, pilotés par ordinateur pour accompagner le mouvement du soleil, refléteront la lumière vers des miroirs fixes installés sur un fort" du 17ème siècle situé sur le "Stadtberg", explique Markus Peskoller, responsable du projet au Lichtlabor. "Cette seconde batterie de miroirs détournera le soleil vers une dizaine de points choisis au centre du village", ajoute-t-il.
"Nous avons lancé ce projet un peu fou en 2003, à l'issue d'une consultation où un habitant sur cinq s'est dit dépressif à cause du manque de soleil en hiver", explique le maire de Rattenberg, Franz Wurzenrainer.
Ces "désordres affectifs saisonniers" causés par le manque de lumière sont bien connus des médecins. "Ils se caractérisent par une tristesse extrême accompagnée de fatigue, de troubles du sommeil et le sentiment de n'être bon à rien", explique le Dr Franz Schwanitz, psychologue à l'université d'Innsbruck.
"En hiver, je n'ai plus goût à grand chose", confirme Johann Arzberger, un sculpteur sur bois établi dans la Südtirolerstrasse, la rue principale du village. De plus, l'obscurité diurne à laquelle le village est condamné depuis toujours en hiver "fait fuir les touristes", se plaint Reinhard Lotz, patron du "Gasthof Schlosskeller", un hôtel-restaurant cossu situé à proximité.
La pénombre incite en outre les habitants à quitter le village: au cours des cinq dernières années, Rattenberg a perdu 10% de sa population et une cinquantaine de logements y sont vacants, selon le maire. "Nous devons retenir notre population", argue-t-il lorsqu'on lui demande comment la commune pourra payer les 2 millions d'euros que coûtera le projet, soit l'équivalent de son budget annuel.
Alors que l'étude de faisabilité est encore en cours, personne ne peut garantir que le système fonctionnera. "Les contraintes techniques sont énormes", affirme M. Peskoller. "Il n'existe pas de projet semblable au monde. Les miroirs devront être d'une précision extrême, parfaitement plats, pour que ça marche", ajoute-t-il.
"Le verre a toujours sauvé Rattenberg", affirme pourtant, confiant, Leopold Kisslinger, qui exploite l'une des six cristalleries du village dont la première a été fondée il y a près de quatre siècles. "Avec ce système, les touristes viendront en masse, ne serait-ce que pour l'observer", espère-t-il.
Cet enthousiasme est partagé par l'une des deux boulangeries du village qui a créé un gâteau au sucre opportunément baptisé "Der Spiegel", le miroir.
Un émeu trop ému
ZURICH (AP) - Un émeu, oiseau coureur originaire d'Australie et pensionnaire du zoo de Zurich, n'a pas supporté les mesures de confinement des volailles décidées par le Conseil fédéral pour éviter l'introduction de la peste aviaire en Suisse.
L'animal a été victime d'une défaillance cardio-vasculaire alors que le personnel du zoo mettait à couvert lundi (hier) près de 230 animaux, conformément à l'interdiction temporaire d'élever des volailles en plein air entrée en vigueur mardi, a annoncé le zoo de Zurich. AP
ed/fr/ma
ZURICH (AP) - Un émeu, oiseau coureur originaire d'Australie et pensionnaire du zoo de Zurich, n'a pas supporté les mesures de confinement des volailles décidées par le Conseil fédéral pour éviter l'introduction de la peste aviaire en Suisse.
L'animal a été victime d'une défaillance cardio-vasculaire alors que le personnel du zoo mettait à couvert lundi (hier) près de 230 animaux, conformément à l'interdiction temporaire d'élever des volailles en plein air entrée en vigueur mardi, a annoncé le zoo de Zurich. AP
ed/fr/ma
Trois soeurs anglaises s'unissent pour faire un bébé
LONDRES (AFP) - Une Anglaise devenue stérile après un traitement contre le cancer est devenue mère grâce à ses deux soeurs, l'une lui ayant procuré un ovule et la deuxième ayant servi de mère porteuse.
Leur histoire, objet d'un documentaire de la BBC, est apparemment une première du genre au Royaume-Uni.
Alex Patrick, 32 ans, de Woolwich (sud-est de Londres), avait découvert sa stérilité il y a quatre ans, après avoir subi une chimiothérapie pour un cancer du col de l'utérus.
"C'était plus contrariant que le cancer lui-même", a déclaré Alex Patrick à la BBC. Mon mari "Shaun et moi voulions fonder une famille, et nous ne le pouvions plus".
Mais c'était sans compter sur sa soeur jumelle, Charlotte Pestell, et sa soeur aînée Helen Ritchie, 35 ans.
"Pas de problème, vous pouvez avoir un de mes ovules", lui a déclaré Charlotte. L'ovule a alors été fertilisé avec le sperme du mari d'Alex, 39 ans, et implantée dans l'utérus d'Helen.
Les chances d'une grossesse étaient selon les médecins de 25%, mais Helen Ritchie s'est retrouvée enceinte immédiatement et a donné naissance il y a 16 semaines à un petit garçon de 3,8 kg, prénommé Charlie, immédiatement remis à sa soeur Alex.
Helen a confié à la BBC que le bébé qu'elle avait porté pour sa soeur lui manquait, mais qu'elle était prête à le refaire si nécessaire.
"Je suis surprise à quel point il me manque. Mais je le referai, absolument, si elle veut un autre bébé. J'ai juste porté ce bébé pour Alex, et je n'ai pas l'impression de le lui avoir donné".
Quant à Alex Patrick, elle a d'abord été un peu inquiète de cette naissance à trois, craignant que "le bébé ne l'aime pas". Ses craintes ont depuis été balayées.
Charlotte est quant à elle ravie d'avoir pu offrir ce cadeau à sa soeur jumelle.
"Je n'ai plus besoin de mes ovules, j'ai déjà des enfants. Et ce bébé est (génétiquement) le plus proche possible d'elle", a-t-elle expliqué.
LONDRES (AFP) - Une Anglaise devenue stérile après un traitement contre le cancer est devenue mère grâce à ses deux soeurs, l'une lui ayant procuré un ovule et la deuxième ayant servi de mère porteuse.
Leur histoire, objet d'un documentaire de la BBC, est apparemment une première du genre au Royaume-Uni.
Alex Patrick, 32 ans, de Woolwich (sud-est de Londres), avait découvert sa stérilité il y a quatre ans, après avoir subi une chimiothérapie pour un cancer du col de l'utérus.
"C'était plus contrariant que le cancer lui-même", a déclaré Alex Patrick à la BBC. Mon mari "Shaun et moi voulions fonder une famille, et nous ne le pouvions plus".
Mais c'était sans compter sur sa soeur jumelle, Charlotte Pestell, et sa soeur aînée Helen Ritchie, 35 ans.
"Pas de problème, vous pouvez avoir un de mes ovules", lui a déclaré Charlotte. L'ovule a alors été fertilisé avec le sperme du mari d'Alex, 39 ans, et implantée dans l'utérus d'Helen.
Les chances d'une grossesse étaient selon les médecins de 25%, mais Helen Ritchie s'est retrouvée enceinte immédiatement et a donné naissance il y a 16 semaines à un petit garçon de 3,8 kg, prénommé Charlie, immédiatement remis à sa soeur Alex.
Helen a confié à la BBC que le bébé qu'elle avait porté pour sa soeur lui manquait, mais qu'elle était prête à le refaire si nécessaire.
"Je suis surprise à quel point il me manque. Mais je le referai, absolument, si elle veut un autre bébé. J'ai juste porté ce bébé pour Alex, et je n'ai pas l'impression de le lui avoir donné".
Quant à Alex Patrick, elle a d'abord été un peu inquiète de cette naissance à trois, craignant que "le bébé ne l'aime pas". Ses craintes ont depuis été balayées.
Charlotte est quant à elle ravie d'avoir pu offrir ce cadeau à sa soeur jumelle.
"Je n'ai plus besoin de mes ovules, j'ai déjà des enfants. Et ce bébé est (génétiquement) le plus proche possible d'elle", a-t-elle expliqué.
Un musée "Star Wars" pour enseigner la science contemporaine
BOSTON (Reuters) - "Quand la science rencontre l'imagination" est la thématique d'une exposition de vulgarisation scientifique organisée à Boston à partir de Star Wars, rassemblant les accessoires et costumes des six films de la saga.
LucasFilm Ltd, la société du créateur de la "Star Wars", George Lucas, et le musée des Sciences de Boston ont réuni 5 millions de dollars pour concevoir cette exposition sous forme d'outil pédagogique sensé apporter les bases scientifiques relative à l'imaginaire développé dans la série de science-fiction.
Le "Landspeeder" de Luke Skywalker y est présenté sous sa forme originale, accompagné de leçons sur la lévitation magnétique et les électro-aimants qui permettent aux trains de type "maglev" d'atteindre des vitesse proche des 500 km/h.
Des rangées d'androïdes et la prothèse de la main d'Anakin Skywalker de l'épisode III - avant sa transformation en Dark Vador - servent à expliquer les avancées en robotique et dans le domaine des prothèses médicales.
Le cockpit du vaisseau "Millennium Falcon" d'Han Solo, construit sur la base des plans fournis par Lucas, est transformé en planétarium sophistiqué, dans lequel la voix enregistrée d'Anthony Daniels, l'acteur incarnant C-3PO, explique ce que sont les étoiles et comment les scientifiques les observent.
Près de 80 costumes accompagnent les expositions, de la robe blanche de la princesse Leia au masque de Dark Vador en passant par R2D2, le tout sur 10.000 mètres carrés de stands et d'ateliers de vulgarisation scientifique.
Pour le directeur du musée, Ioannis Miaoulis, le risque existe que, face à la compétition venue d'Asie, les écoles américaines n'arrivent plus à produire suffisamment d'ingénieurs à l'avenir. Dans ce contexte, la responsabilité des musées comme le sien s'accentue.
"Nous produisons des générations d'individus qui ne comprennent pas comment la plupart des choses qu'ils utilisent tous les jours fonctionnent", souligne-t-il.
"Nous étions le pays qui formait le plus d'ingénieurs diplômés et maintenant c'est l'Asie qui tient ce rôle", précise-t-il sur la foi de statistiques qui indiquent que la Chine est le premier pays au monde en nombre d'ingénieurs et scientifiques, cinq fois plus qu'aux Etats-Unis où leur nombre a chuté depuis le début des années 1980.
"Nous utilisons 'Stars Wars' pour expliquer aux gens le monde réel", estime pour sa part Ed Rodley, un des responsables de l'exposition.
BOSTON (Reuters) - "Quand la science rencontre l'imagination" est la thématique d'une exposition de vulgarisation scientifique organisée à Boston à partir de Star Wars, rassemblant les accessoires et costumes des six films de la saga.
LucasFilm Ltd, la société du créateur de la "Star Wars", George Lucas, et le musée des Sciences de Boston ont réuni 5 millions de dollars pour concevoir cette exposition sous forme d'outil pédagogique sensé apporter les bases scientifiques relative à l'imaginaire développé dans la série de science-fiction.
Le "Landspeeder" de Luke Skywalker y est présenté sous sa forme originale, accompagné de leçons sur la lévitation magnétique et les électro-aimants qui permettent aux trains de type "maglev" d'atteindre des vitesse proche des 500 km/h.
Des rangées d'androïdes et la prothèse de la main d'Anakin Skywalker de l'épisode III - avant sa transformation en Dark Vador - servent à expliquer les avancées en robotique et dans le domaine des prothèses médicales.
Le cockpit du vaisseau "Millennium Falcon" d'Han Solo, construit sur la base des plans fournis par Lucas, est transformé en planétarium sophistiqué, dans lequel la voix enregistrée d'Anthony Daniels, l'acteur incarnant C-3PO, explique ce que sont les étoiles et comment les scientifiques les observent.
Près de 80 costumes accompagnent les expositions, de la robe blanche de la princesse Leia au masque de Dark Vador en passant par R2D2, le tout sur 10.000 mètres carrés de stands et d'ateliers de vulgarisation scientifique.
Pour le directeur du musée, Ioannis Miaoulis, le risque existe que, face à la compétition venue d'Asie, les écoles américaines n'arrivent plus à produire suffisamment d'ingénieurs à l'avenir. Dans ce contexte, la responsabilité des musées comme le sien s'accentue.
"Nous produisons des générations d'individus qui ne comprennent pas comment la plupart des choses qu'ils utilisent tous les jours fonctionnent", souligne-t-il.
"Nous étions le pays qui formait le plus d'ingénieurs diplômés et maintenant c'est l'Asie qui tient ce rôle", précise-t-il sur la foi de statistiques qui indiquent que la Chine est le premier pays au monde en nombre d'ingénieurs et scientifiques, cinq fois plus qu'aux Etats-Unis où leur nombre a chuté depuis le début des années 1980.
"Nous utilisons 'Stars Wars' pour expliquer aux gens le monde réel", estime pour sa part Ed Rodley, un des responsables de l'exposition.
Banc de touche si bague au doigt
MELBOURNE, 24 octobre (Reuters) - Damian Mori, attaquant de l'équipe de football de Perth, en Australie, va devoir couper son alliance de mariage, qu'il n'a pu enlever dimanche avant de rentrer sur le terrain, comme l'exigeait l'arbitre.
Celui-ci avait demandé à Mori de retirer son alliance mais le joueur n'y est pas parvenu, malgré tous ses efforts. Son équipe, qui affrontait Melbourne, a joué pendant cinq minutes à dix avant que l'entraîneur ne décide de faire entrer sur le terrain un autre attaquant.
"On a vainement essayé d'enlever l'alliance. Il va falloir la couper et dimanche nous n'avions pas les outils nécessaires", a expliqué Damian Mori.
Il a ajouté qu'il avait joué de nombreux matches avec son alliance et qu'il ne savait pas que c'était interdit. "J'ai joué les quatre derniers matches avec cette alliance. En fait, cela fait onze ans que je joue avec. Je ne savais pas qu'il y avait une règle à ce sujet", a-t-il reconnu.
Perth s'est imposé 2-1 face à Melbourne, malgré l'absence de Mori.
MELBOURNE, 24 octobre (Reuters) - Damian Mori, attaquant de l'équipe de football de Perth, en Australie, va devoir couper son alliance de mariage, qu'il n'a pu enlever dimanche avant de rentrer sur le terrain, comme l'exigeait l'arbitre.
Celui-ci avait demandé à Mori de retirer son alliance mais le joueur n'y est pas parvenu, malgré tous ses efforts. Son équipe, qui affrontait Melbourne, a joué pendant cinq minutes à dix avant que l'entraîneur ne décide de faire entrer sur le terrain un autre attaquant.
"On a vainement essayé d'enlever l'alliance. Il va falloir la couper et dimanche nous n'avions pas les outils nécessaires", a expliqué Damian Mori.
Il a ajouté qu'il avait joué de nombreux matches avec son alliance et qu'il ne savait pas que c'était interdit. "J'ai joué les quatre derniers matches avec cette alliance. En fait, cela fait onze ans que je joue avec. Je ne savais pas qu'il y avait une règle à ce sujet", a-t-il reconnu.
Perth s'est imposé 2-1 face à Melbourne, malgré l'absence de Mori.
Des top models hommes ramasseurs de balles au Masters WTA à Madrid en 2006
MADRID (AFP) - Des top models hommes seront ramasseurs de balles au Masters de tennis WTA à Madrid en 2006, ont annoncé les organisateurs au cours du tournoi ATP de la capitale espagnole (Masters Series) où, depuis 2004, officient des ramasseuses top models.
Comme leurs homologues féminines du Masters Series de Madrid, les ramasseurs de balles du Masters féminin - déplacé de Los Angeles à Madrid à partir de 2006 - seront parrainés et habillés par une marque de vêtements.
Malgré les critiques pour sexisme essuyées en 2004, les jolies ramasseuses de balles, courtisées par les caméras de télévision, semblent contribuer au succès du Masters Series de Madrid qui s'est achevé dimanche et qui a vendu toutes ses 120.000 places.
"Une touche de mode ajoute un petit plus au divertissement de l'événement le plus important du circuit" féminin, a commenté le patron de la WTA, Larry Scott. "Les joueuses ne sont pas seulement des athlètes. Elles sont aussi des images de mode, cette idée consolide le lien entre sport et mode".
MADRID (AFP) - Des top models hommes seront ramasseurs de balles au Masters de tennis WTA à Madrid en 2006, ont annoncé les organisateurs au cours du tournoi ATP de la capitale espagnole (Masters Series) où, depuis 2004, officient des ramasseuses top models.
Comme leurs homologues féminines du Masters Series de Madrid, les ramasseurs de balles du Masters féminin - déplacé de Los Angeles à Madrid à partir de 2006 - seront parrainés et habillés par une marque de vêtements.
Malgré les critiques pour sexisme essuyées en 2004, les jolies ramasseuses de balles, courtisées par les caméras de télévision, semblent contribuer au succès du Masters Series de Madrid qui s'est achevé dimanche et qui a vendu toutes ses 120.000 places.
"Une touche de mode ajoute un petit plus au divertissement de l'événement le plus important du circuit" féminin, a commenté le patron de la WTA, Larry Scott. "Les joueuses ne sont pas seulement des athlètes. Elles sont aussi des images de mode, cette idée consolide le lien entre sport et mode".
Football: un club rembourse ses supporters après une raclée 8-1
STOCKHOLM (Reuters) - Le club de football IF Elfsborg remboursera les frais de transports et les billets de ses supporters ayant assisté à sa cinglante défaite (8-1) lors de la dernière journée du championnat de Suède de première division.
Le club reconnaît que sa prestation a été "inacceptable" face aux nouveaux champions en titre, Djurgarden, et promet de rembourser les supporters qui ont parcouru les 700 kilomètres qui séparent Elfsborg de Stockholm pour assister au match.
" Nous aurions aimé pouvoir invoquer des facteurs extérieurs mais nous n'avons aucune excuse, aucune explication. Nous avons seulement été mauvais", a déclaré dans un communiqué le club qui termine la saison septième du championnat.
" Ce 8-1 résonnera dans nos oreilles pendant les cinq à six mois qui viennent", a ajouté le club.
Faudrait pas importer ça ici......me semble de voir le centre Molson rembourser les spectateurs pour un mauvais match..
STOCKHOLM (Reuters) - Le club de football IF Elfsborg remboursera les frais de transports et les billets de ses supporters ayant assisté à sa cinglante défaite (8-1) lors de la dernière journée du championnat de Suède de première division.
Le club reconnaît que sa prestation a été "inacceptable" face aux nouveaux champions en titre, Djurgarden, et promet de rembourser les supporters qui ont parcouru les 700 kilomètres qui séparent Elfsborg de Stockholm pour assister au match.
" Nous aurions aimé pouvoir invoquer des facteurs extérieurs mais nous n'avons aucune excuse, aucune explication. Nous avons seulement été mauvais", a déclaré dans un communiqué le club qui termine la saison septième du championnat.
" Ce 8-1 résonnera dans nos oreilles pendant les cinq à six mois qui viennent", a ajouté le club.
Faudrait pas importer ça ici......me semble de voir le centre Molson rembourser les spectateurs pour un mauvais match..
Une Finlandaise accusée de s'être baignée nue dans un lac
JAIPUR, Inde (Reuters) - La police indienne a porté plainte contre une touriste finlandaise qui s'est baignée nue dans un lac sacré à Pushkar, une ville de pèlerinage hindouiste.
La police a expliqué que la touriste était revenue entièrement nue à son hôtel samedi, après avoir plongé dans le lac, provoquant la colère de plusieurs habitants de cette ville de l'Etat du Rajasthan.
Accusée d'indécence, l'adepte du naturisme risque une amende, voire trois mois d'emprisonnement.
Pushkar abrite un célèbre temple dédié à Brahma - le dieu hindou de la création. La ville attire les touristes étrangers par son ambiance désertique et sa fête annuelle des chameaux.
L'Inde a adopté des lois très dures contre l'obscénité. En septembre, deux Israéliens ont été condamnés à une amende de 1.000 roupies (19 euros) pour indécence après un baiser en public lors de leur mariage à Pushkar. L'an dernier, des habitants de l'Etat du Rajasthan avaient déjà porté plainte auprès des autorités contre des Israéliennes qui dansaient nues.
JAIPUR, Inde (Reuters) - La police indienne a porté plainte contre une touriste finlandaise qui s'est baignée nue dans un lac sacré à Pushkar, une ville de pèlerinage hindouiste.
La police a expliqué que la touriste était revenue entièrement nue à son hôtel samedi, après avoir plongé dans le lac, provoquant la colère de plusieurs habitants de cette ville de l'Etat du Rajasthan.
Accusée d'indécence, l'adepte du naturisme risque une amende, voire trois mois d'emprisonnement.
Pushkar abrite un célèbre temple dédié à Brahma - le dieu hindou de la création. La ville attire les touristes étrangers par son ambiance désertique et sa fête annuelle des chameaux.
L'Inde a adopté des lois très dures contre l'obscénité. En septembre, deux Israéliens ont été condamnés à une amende de 1.000 roupies (19 euros) pour indécence après un baiser en public lors de leur mariage à Pushkar. L'an dernier, des habitants de l'Etat du Rajasthan avaient déjà porté plainte auprès des autorités contre des Israéliennes qui dansaient nues.
Seule la fêta grecque s'appellera fêta
Presse Canadienne
La Cour européenne de justice (CEJ) a finalement scellé le destin de la fêta mardi, en décrétant qu'il s'agissait d'un produit traditionnel grec qui devait être protégé au sein de l'Union européenne. Seule la fêta fabriquée en Grèce pourra donc continuer à être commercialisée sous ce nom. L'Allemagne et le Danemark, soutenus par la France et la Grande-Bretagne, avaient remis en cause cette appellation d'origine, menant depuis près de 20 ans une bataille gastronomique sur le sujet, impliquant des groupes de pression, la Commission européenne et, finalement, la Cour européenne de justice.
Or la CEJ "confirme la dénomination 'fêta' en tant qu'appellation d'origine protégée pour la Grèce", a annoncé le tribunal, basé à Luxembourg, dans son jugement, considérant que la Commission européenne avait eu raison d'estimer que l'appellation n'était pas générique.
Les producteurs danois et allemands espéraient pouvoir continuer à produire un tel fromage et à pouvoir l'appeler "fêta", afin de faciliter sa commercialisation. Ils affirmaient que ce qui faisait la spécificité de la fêta, c'était la technique de fabrication, et non son origine géographique. "Nos efforts ont été couronnés de succès. La Cour européenne a rendu une décision historique, déclarant finalement et irrévocablement que la fêta n'est pas destinée à un usage commun et est exclusivement grecque", a déclaré, très satisfait, le ministre grec de l'Agriculture Evangelos Basiakos.
Presse Canadienne
La Cour européenne de justice (CEJ) a finalement scellé le destin de la fêta mardi, en décrétant qu'il s'agissait d'un produit traditionnel grec qui devait être protégé au sein de l'Union européenne. Seule la fêta fabriquée en Grèce pourra donc continuer à être commercialisée sous ce nom. L'Allemagne et le Danemark, soutenus par la France et la Grande-Bretagne, avaient remis en cause cette appellation d'origine, menant depuis près de 20 ans une bataille gastronomique sur le sujet, impliquant des groupes de pression, la Commission européenne et, finalement, la Cour européenne de justice.
Or la CEJ "confirme la dénomination 'fêta' en tant qu'appellation d'origine protégée pour la Grèce", a annoncé le tribunal, basé à Luxembourg, dans son jugement, considérant que la Commission européenne avait eu raison d'estimer que l'appellation n'était pas générique.
Les producteurs danois et allemands espéraient pouvoir continuer à produire un tel fromage et à pouvoir l'appeler "fêta", afin de faciliter sa commercialisation. Ils affirmaient que ce qui faisait la spécificité de la fêta, c'était la technique de fabrication, et non son origine géographique. "Nos efforts ont été couronnés de succès. La Cour européenne a rendu une décision historique, déclarant finalement et irrévocablement que la fêta n'est pas destinée à un usage commun et est exclusivement grecque", a déclaré, très satisfait, le ministre grec de l'Agriculture Evangelos Basiakos.
Les chimpanzés ne seraient pas très charitables
LONDRES (Reuters) - Les chimpanzés ont beau être les plus proches parents de l'homme dans le règne animal, ils semblent peu altruistes, selon une étude publiée par la revue scientifique Nature.
Lors d'une expérience offrant à des chimpanzés le choix de s'entraider ou de se privilégier, les grands singes n'auraient pas fait preuve d'un grand sens de l'équité, bien qu'ils vivent en groupe et chassent ensemble.
"C'est la première expérience qui montre que les chimpanzés ne s'intéressent pas au bien-être de tous leurs congénères, comme les humains qui donnent leur sang, qui font leur service militaire ou qui agissent pour les autres," a déclaré Joan Silk, anthropologue à l'Université de Californie (UCLA).
Pour déterminer le sens de l'équité des chimpanzés, Silk et ses collègues de l'Université Emory, de celle du Texas et de celle de Louisiane, ont imaginé une expérience à partir de deux groupes de chimpanzés en captivité.
Deux chimpanzés sont installés de part et d'autre d'une fenêtre dans deux pièces séparées. Le chimpanzé peut pousser une manivelle pour récupérer de la nourriture uniquement pour lui, ou choisir d'en bénéficier et d'en faire profiter son congénère qui n'y a pas accès.
Les deux groupes se seraient comportés de façon identique. Aucun n'aurait poussé la poignée de telle façon que les deux chimpanzés aient une portion identique de nourriture.
Les chercheurs ont nuancé la portée de leur expérience en précisant qu'il était possible que les chimpanzés n'aient pas compris qu'ils pouvaient également donner à manger à l'autre singe.
"Néanmoins, les chimpanzés ont à l'évidence préféré se récompenser eux, et non les autres membres du groupe", écrit Silk dans un communiqué.
LONDRES (Reuters) - Les chimpanzés ont beau être les plus proches parents de l'homme dans le règne animal, ils semblent peu altruistes, selon une étude publiée par la revue scientifique Nature.
Lors d'une expérience offrant à des chimpanzés le choix de s'entraider ou de se privilégier, les grands singes n'auraient pas fait preuve d'un grand sens de l'équité, bien qu'ils vivent en groupe et chassent ensemble.
"C'est la première expérience qui montre que les chimpanzés ne s'intéressent pas au bien-être de tous leurs congénères, comme les humains qui donnent leur sang, qui font leur service militaire ou qui agissent pour les autres," a déclaré Joan Silk, anthropologue à l'Université de Californie (UCLA).
Pour déterminer le sens de l'équité des chimpanzés, Silk et ses collègues de l'Université Emory, de celle du Texas et de celle de Louisiane, ont imaginé une expérience à partir de deux groupes de chimpanzés en captivité.
Deux chimpanzés sont installés de part et d'autre d'une fenêtre dans deux pièces séparées. Le chimpanzé peut pousser une manivelle pour récupérer de la nourriture uniquement pour lui, ou choisir d'en bénéficier et d'en faire profiter son congénère qui n'y a pas accès.
Les deux groupes se seraient comportés de façon identique. Aucun n'aurait poussé la poignée de telle façon que les deux chimpanzés aient une portion identique de nourriture.
Les chercheurs ont nuancé la portée de leur expérience en précisant qu'il était possible que les chimpanzés n'aient pas compris qu'ils pouvaient également donner à manger à l'autre singe.
"Néanmoins, les chimpanzés ont à l'évidence préféré se récompenser eux, et non les autres membres du groupe", écrit Silk dans un communiqué.
Le bikini pourrait s'absenter des cartes postales de Rio
RIO DE JANEIRO (Reuters) - La "Fille d'Ipanema" devra peut-être dissimuler ses charmes si elle souhaite figurer sur une carte postale de Rio de Janeiro.
Les images de beautés locales étendues ou flânant avec nonchalance sur les célèbres plages cariocas pourraient en effet être interdites à la vente dans les boutiques et les kiosques de la ville, ceci pour décourager le tourisme sexuel.
L'assemblée de Rio a approuvé cette interdiction mardi soir et le gouverneur de l'Etat, Rosinha Matheus, a trente jours pour la ratifier.
"Ces cartes postales (...) attirent dans notre ville un type de touriste indésirable et favorisent un déplorable tourisme sexuel", estime Alice Tamborindeguy, qui a parrainé la mesure.
"J'espère que le gouverneur entérinera cette proposition, sans quoi nous rendrons un mauvais service à l'Etat et manquerons de respect aux femmes."
Les cartes postales où le bikini règne sur les plages de Copacabana, d'Ipanema ou de Leblon sont omniprésentes dans les boutiques de Rio. L'image de la Brésilienne qui pose en bikini avec détachement a inspiré des chansons de la bossa-nova, à commencer par "A Garota de Ipanema".
En mars dernier, le gouvernement a lancé une campagne contre l'exploitation des mineurs par des touristes.
RIO DE JANEIRO (Reuters) - La "Fille d'Ipanema" devra peut-être dissimuler ses charmes si elle souhaite figurer sur une carte postale de Rio de Janeiro.
Les images de beautés locales étendues ou flânant avec nonchalance sur les célèbres plages cariocas pourraient en effet être interdites à la vente dans les boutiques et les kiosques de la ville, ceci pour décourager le tourisme sexuel.
L'assemblée de Rio a approuvé cette interdiction mardi soir et le gouverneur de l'Etat, Rosinha Matheus, a trente jours pour la ratifier.
"Ces cartes postales (...) attirent dans notre ville un type de touriste indésirable et favorisent un déplorable tourisme sexuel", estime Alice Tamborindeguy, qui a parrainé la mesure.
"J'espère que le gouverneur entérinera cette proposition, sans quoi nous rendrons un mauvais service à l'Etat et manquerons de respect aux femmes."
Les cartes postales où le bikini règne sur les plages de Copacabana, d'Ipanema ou de Leblon sont omniprésentes dans les boutiques de Rio. L'image de la Brésilienne qui pose en bikini avec détachement a inspiré des chansons de la bossa-nova, à commencer par "A Garota de Ipanema".
En mars dernier, le gouvernement a lancé une campagne contre l'exploitation des mineurs par des touristes.
Rencontrer un extraterrestre, signe d'une mémoire défaillante
LONDRES (Reuters) - Les milliers de personnes dans le monde qui assurent avoir rencontré des extraterrestres démontrent la fragilité de la mémoire humaine, plus qu'elles ne prouvent l'existence d'une autre forme de vie, selon une étude clinique menée par un expert-psychologue du Goldsmiths College de Londres.
"Peut-être sommes-nous confrontés à des mémoires défaillantes et non à des personnes ayant été kidnappées par des extraterrestres et emmenées dans leur vaisseau spatial", a déclaré le professeur Chris French, qui a étudié le cas de 19 personnes.
Plusieurs de ces "otages" rapportent avoir été arrachés de leur lit ou de leur voiture par des créatures extraterrestres, mesurant environ 4 pieds (soit 1,20 mètres), dotée d'une tête disproportionnée et de membres maigrichons, précise le Pr French.
Beaucoup de ces rencontres extraterrestres s'expliqueraient par une paralysie du sommeil, un état pendant lequel la personne est réveillée et consciente mais incapable de bouger.
La paralysie du sommeil va souvent de pair avec des hallucinations et 40% des patients de French reconnaissent avoir connu cette pathologie au moins une fois dans leur vie.
Avoir une imagination galopante serait également un facteur déterminant. Plusieurs patients sont enclins à fantasmer et prétendent aussi avoir vu des fantômes. D'autres encore se disent dotés d'un sixième sens ou même des pouvoirs d'un guérisseur.
"Les êtres humains ont des vies fantasmées bien remplies, à tel point qu'ils mélangent souvent le fruit de leur imagination à leur quotidien", a dit French, qui a présenté ses recherches lors d'un séminaire au Musée de la Science à Londres.
LONDRES (Reuters) - Les milliers de personnes dans le monde qui assurent avoir rencontré des extraterrestres démontrent la fragilité de la mémoire humaine, plus qu'elles ne prouvent l'existence d'une autre forme de vie, selon une étude clinique menée par un expert-psychologue du Goldsmiths College de Londres.
"Peut-être sommes-nous confrontés à des mémoires défaillantes et non à des personnes ayant été kidnappées par des extraterrestres et emmenées dans leur vaisseau spatial", a déclaré le professeur Chris French, qui a étudié le cas de 19 personnes.
Plusieurs de ces "otages" rapportent avoir été arrachés de leur lit ou de leur voiture par des créatures extraterrestres, mesurant environ 4 pieds (soit 1,20 mètres), dotée d'une tête disproportionnée et de membres maigrichons, précise le Pr French.
Beaucoup de ces rencontres extraterrestres s'expliqueraient par une paralysie du sommeil, un état pendant lequel la personne est réveillée et consciente mais incapable de bouger.
La paralysie du sommeil va souvent de pair avec des hallucinations et 40% des patients de French reconnaissent avoir connu cette pathologie au moins une fois dans leur vie.
Avoir une imagination galopante serait également un facteur déterminant. Plusieurs patients sont enclins à fantasmer et prétendent aussi avoir vu des fantômes. D'autres encore se disent dotés d'un sixième sens ou même des pouvoirs d'un guérisseur.
"Les êtres humains ont des vies fantasmées bien remplies, à tel point qu'ils mélangent souvent le fruit de leur imagination à leur quotidien", a dit French, qui a présenté ses recherches lors d'un séminaire au Musée de la Science à Londres.
Les vaches psychédéliques de la Cow Parade envahissent Florence
ROME (AFP) - La ville de Florence, joyau de la Renaissance au nord de l'Italie, a été envahie mardi et jusqu'au 20 janvier par un troupeau de vaches psychédéliques à l'occasion de l'exposition artistique itinérante caritative "cow-parade".
Sept ans après la première "cow parade" lancée en 1998 à Zurich, la capitale économique de Suisse, par le sculpteur helvétique Pascal Knapp, la ville-musée italienne reçoit la visite de ces animaux hyper-contemporains.
Les 70 bovins en fibre de verre -60 vaches et une dizaine de veaux- coloriés selon l'inspiration d'artistes professionnels et amateurs, ont élu domicile sur les places les plus célèbres de Florence, comme la Piazza della Signoria ou la Piazza del Duomo.
Les animaux seront vendus aux enchères le 21 février 2006 chez Sotheby's et les fonds ainsi récoltés seront versé à un hôpital pour enfants de Florence.
Des "cow parade" qui, selon les organisateurs, visent à "rapprocher les arts des gens simples dans la rue" tout en récoltant des fonds pour une oeuvre sociale ont déjà eu lieu dans une vingtaine de villes du monde. Mais durant l'été 2004 à Prague, des vandales s'en étaient pris au troupeau, et à Stockholm, une vache avait été kidnappée et détruite.
Des vandales ont également opéré dans les premiers jours de l'exposition florentine, et pour éviter la reproduction de tels actes, un clochard de la ville a été nommé gardien du troupeau, selon l'agence Ansa. L'homme, qui a coutume de dormir dans la rue à deux pas de la Piazza del Duomo, veillera plus particulièrement sur les 10 petits veaux de la "baby cow parade" parrainée par la fondation Mayer.
ROME (AFP) - La ville de Florence, joyau de la Renaissance au nord de l'Italie, a été envahie mardi et jusqu'au 20 janvier par un troupeau de vaches psychédéliques à l'occasion de l'exposition artistique itinérante caritative "cow-parade".
Sept ans après la première "cow parade" lancée en 1998 à Zurich, la capitale économique de Suisse, par le sculpteur helvétique Pascal Knapp, la ville-musée italienne reçoit la visite de ces animaux hyper-contemporains.
Les 70 bovins en fibre de verre -60 vaches et une dizaine de veaux- coloriés selon l'inspiration d'artistes professionnels et amateurs, ont élu domicile sur les places les plus célèbres de Florence, comme la Piazza della Signoria ou la Piazza del Duomo.
Les animaux seront vendus aux enchères le 21 février 2006 chez Sotheby's et les fonds ainsi récoltés seront versé à un hôpital pour enfants de Florence.
Des "cow parade" qui, selon les organisateurs, visent à "rapprocher les arts des gens simples dans la rue" tout en récoltant des fonds pour une oeuvre sociale ont déjà eu lieu dans une vingtaine de villes du monde. Mais durant l'été 2004 à Prague, des vandales s'en étaient pris au troupeau, et à Stockholm, une vache avait été kidnappée et détruite.
Des vandales ont également opéré dans les premiers jours de l'exposition florentine, et pour éviter la reproduction de tels actes, un clochard de la ville a été nommé gardien du troupeau, selon l'agence Ansa. L'homme, qui a coutume de dormir dans la rue à deux pas de la Piazza del Duomo, veillera plus particulièrement sur les 10 petits veaux de la "baby cow parade" parrainée par la fondation Mayer.