LE DOMAINE BLEU

brunetta a écrit : [...]



En tout cas j'ai trouvé l'attitude du Dr. Poirier chiante à souhait.

Même constatation pour moi. Même plus, je ne me rappelle pas le nom du médecin qui était là mais je l'ai trouvé plus médical et professionnel que la taouin à Poirier qui ne cherchait qu'à justifier son contrat : vendre de façon inconsidérée sa salade. À la limite, j'ai trouvé Poirier méprisant quand il a dit au médecin qu'il ne le prendrait pas comme directeur des services de santé ou quelque chose du genre. Si il savait...

Beppo a écrit : [...]


Même constatation pour moi. Même plus, je ne me rappelle pas le nom du médecin qui était là mais je l'ai trouvé plus médical et professionnel que la taouin à Poirier qui ne cherchait qu'à justifier son contrat : vendre de façon inconsidérée sa salade. À la limite, j'ai trouvé Poirier méprisant quand il a dit au médecin qu'il ne le prendrait pas comme directeur des services de santé ou quelque chose du genre. Si il savait...

Dr Marc Zaffran.

Beppo a écrit : [...]


Même constatation pour moi. Même plus, je ne me rappelle pas le nom du médecin qui était là mais je l'ai trouvé plus médical et professionnel que la taouin à Poirier qui ne cherchait qu'à justifier son contrat : vendre de façon inconsidérée sa salade. À la limite, j'ai trouvé Poirier méprisant quand il a dit au médecin qu'il ne le prendrait pas comme directeur des services de santé ou quelque chose du genre. Si il savait...

Je ne peux que te japoniser là-dessus

unpeucommeavant a écrit : [...]


C'est le silence surréaliste du gouvernement qui me dérange. A l'aube d'une catastrophe annoncée, il semble attendre dans l'indifférence ou l'ignorance, on ne peut dire.

Hier, à la télé, j'ai aussi vu ces deux barbus spécialistes se chicaner sans faire de vainqueur, ni de consensus.
Et bien qu'ils nous ont laissé dans l'incertitude, ils semblaient satisfaits et réjouis de leurs petits laius scientifiques, ils sont partis boire du rouge ou du blanc s'inquiétant avec un gros oeil inquisiteur à savoir s'il buvaient un bon millésime comme quoi dans la vie faut s'intéresser aux vraies choses sérieuses.

... ca ressemblait un peu a ca

Moi, ce que je retiens le plus de l'entrevue du bon docteur c'est à combien de reprises il nous a répété que le vaccin coutait 8$ de tout les arguments qu'il aurait pu livrer à la population...il n'a fait que répéter que ca coutait juste 8 piasses...mais X 11 millions de doses, docteur, ca fait de l'argent en sacrifice ça.

Je crois sincèrement que la santé publique aurait été mieux servie, et l'argent des contribuables mieux utilisé, en achetant moins de doses mais de meilleure qualité (sans adjuvent et agents de conservation) et de mieux faire passer le message chez les groupes à risque. Je l'ai eu cette grippe, je ne me ferai donc pas vacciner, mais franchement, si j'étais dans un groupe à risque, je vivrais un GROS dilemme présentement.

Ben oui, ca juste couté 8 piasses...malheureusement, l'expérience tend à démontrer que d'habitude, on a exactement ce pour quoi on a payé.

Pour ceux et celles qui ont envie d'entendre deux personnes intelligentes discuter calmement.

http://www.radio-canada.ca/emissions/la ... 2009-2010/" onclick="window.open(this.href);return false;

Tu parles d'une belle émission! J'ai trouvé les gens posés, non alarmistes d'un côté comme de l'autre et très enclins à entendre le point de vue de chacun, sans insulter ou blâmer. La Dr Blais est bien meilleur porte-parole que le Dr Poirier!

Je ne me suis jamais fait vacciner contre la grippe saisonnière. Je ne suis pas à risque et pas de personnes à risque dans mon entourage. Jamais j'ai senti que je mettais les autres en danger parce que je ne recevais pas le vaccin de l'influenza. Jamais j'ai hésité à savoir si je devais me faire vacciner ou pas.
Pourquoi avec la h1n1, j'hésite? Pouquoi quelqu'un pourrait me faire des gros yeux parce que je refuse ce vaccin, alors que personne ne m'a fait de remarque négative parce que je ne recevais pas le vaccin contre la grippe saisonnière?
Pourquoi ce vaccin est-il plus important que celui de l'influenza?

Québec pourrait décréter l'état d'urgence
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Si la situation l'exige, des milliers d'infirmières à la retraite et d'étudiantes en soins infirmiers seront appelées à administrer les vaccins contre le virus de la grippe A (H1N1).


Jocelyne Richer
La Presse Canadienne
Québec


Québec n'hésitera pas à décréter l'état d'«urgence sanitaire» et à suspendre l'application des conventions collectives, si le scénario d'une pandémie de grippe A (H1N1) s'avère.

Dans cette logique de scénario catastrophe, le gouvernement se prévaudrait - pour la première fois - de l'article 123 de la Loi sur la santé publique, en invoquant l'état «d'urgence sanitaire» pour imposer sa loi par décret.

Ainsi, le gouvernement pourrait à la fois s'assurer d'une plus grande disponibilité du personnel du réseau de la santé et acquérir toute la souplesse de fonctionnement requise par la suspension de certaines dispositions des conventions collectives.

«En cas d'urgence, on prend des mesures d'urgence que le décret nous permettrait de faire», a indiqué le ministre de la Santé, Yves Bolduc, en conférence de presse à Montréal, lundi.


Chose certaine, si le virus fait des ravages, un effort exceptionnel et substantiel sera demandé au personnel hospitalier au cours des prochains mois.

Une contribution tout aussi exceptionnelle sera étendue aux infirmières à la retraite et aux étudiantes en soins infirmiers, qui seront appelées à la rescousse, pour faire fonctionner le réseau.

Si la situation l'exige, elles seront appelées à administrer les vaccins contre le virus ou à effectuer toute autre tâche requise, a indiqué une porte-parole du ministre Bolduc.

Ce dernier se prépare au pire, craignant que jusqu'à 2,5 millions de Québécois soient frappés par le virus dans les prochaines semaines, entraînant une pression jamais vue sur le réseau de la santé.

Avec son décret, présentement en préparation, Québec veut mettre toutes les chances de son côté pour s'assurer que le réseau suffira à la demande, dans tous les cas de figure.

Les centrales syndicales ont été informées des intentions de Québec et des scénarios qui se préparent.

«C'est la responsabilité de l'Etat» d'établir les conditions selon lesquelles le réseau devra s'ajuster à une pression exceptionnelle, a dit le premier ministre Jean Charest, lors d'un point de presse, à Lachute, en marge d'une annonce gouvernementale.

Dans ce contexte, les infirmières doivent s'attendre à faire de longues heures de travail, voire à renoncer aux jours de congés habituels.

De plus, leur tâche pourrait être modifiée: par exemple, une infirmière spécialisée en néonatalogie pourrait se retrouver aux soins intensifs, si le besoin se fait sentir.

Le mot flexibilité deviendra le mot d'ordre imposé au personnel du réseau, indique-t-on au cabinet du ministre Bolduc.

Tout sera mis en oeuvre pour éviter que le virus se propage et limiter les dégâts chez les patients atteints.

Québec prévoit que cette situation pourrait s'étendre jusqu'à 12 semaines, donc inclure le temps des Fêtes.

«Nous visons une utilisation optimale des compétences», a indiqué l'attachée de presse du ministre, Marie-Eve Bédard.

On craint que jusqu'à 10 pour cent des personnes frappées par la grippe A (H1N1) pourraient nécessiter une visite médicale, pouvant aller dans certains cas jusqu'à l'hospitalisation.

Idéalement, le ministre Bolduc espère par ailleurs vacciner 80 pour cent de la population, d'où le recours à toutes les ressources disponibles.

La vaccination, dans un premier temps pour les clientèles plus vulnérables, devrait normalement débuter dès la semaine prochaine, a précisé le ministre.

Le retour au travail des infirmières retraitées depuis quelques années et la contribution des étudiantes seront volontaires.

Le ministère de la Santé a en mains une liste de 5000 noms d'infirmières retraitées, dont bon nombre ont déjà été contactées pour connaître leur disponibilité.

Avant d'appliquer le décret et d'appeler en renfort les infirmières retraitées et les étudiantes, on épuisera les autres moyens disponibles pour réorienter les ressources actuelles à l'intérieur du réseau, en reportant par exemple les chirurgies non urgentes, a expliqué Mme Bédard


Y ont tellement le tour de dans leurs relations avec leur employés .....

j'appelle ça être responsable moi, si le scénario s'avère vrai, il faudrait qu'il fasse quoi le gouvernement? Attendre que tout le monde chiale qu'ils n'ont rien de prévu?

On voit maintenant qu'un plan d'action est mis en place en cas de pandémie

Nikki a écrit : [...]


Je ne comprend pas trop ce message en fait... Tu sembles mal prendre que des gens ne partagent pas le point de vue de ta fille... Bien sûr, tu es libre de participer ou pas à ce topic, mais je croyais que pour un scientifique, l'important était d'informer les gens, pas de les rallier à tout prix à leurs conclusions...
Dommage..

Tout d'abord je parle pour moi et non au nom de ma fille, j'ai bien dis que j'avais l'intention de lui demander de prendre du temps pour venir vous donner des informations et du temps elle n'en a pas beaucoup. Je ne vois pas pourquoi tu mélanges l'intégrité scientique de ma fille ici, si je lui demandais, elle le ferait, c'est moi qui a décidé que cela ne donnerait pas grand chose. En passant, je ne suis pas scientifique moi.

Ce n'est pas une question de rallier les gens à tous prix mais je vois qu'ici c'est plus un débat politique que sur les vrais enjeux en cas de pandémie et je vois aussi que les gens sont très mal informés, j'avoue que c'est très difficile de prendre position avec ce que l'on voit dans la presse.

Donc, je pense que malgré n'importe laquelle intervention et même d'une chercheure en virologie , les gens vont continuer de faire leur propre recherche sur le net ou ailleur

Pour terminer, en gros ce que ma fille me dit c'est que le risque d'avoir le vaccin et oui il y a un risque très faible comme tous les vaccins que nous avons eu dans notre vie mais si le H1N1 mute cet automne et il est fort propable selon les scientifiques qu'il va muter, alors là, le risque d'attraper cette grippe sera fortement mortel.

Il est possible qu'il ne mute pas mais l'OMS ne prend pas de chance et avec raison. Ce virus est suivi de près par tous les scientifiques du monde entier et cela depuis 4 ans qu'ils le prédisaient en regardant son évolution, ce n'est pas nouveau mais il est à nos portes maintenant.

Pour ma fille il est clair qu'elle va se faire vacciner ainsi que tous ses collègues de travaille chercheurs et elle me recommande fortement le vaccin. Donc, je vais me faire vacciner après mûre réflexion et en connaissance de cause.

Frasie que le monde se fasse vacciner ou pas m'importe peu
J'ai beaucoup lu sur ce fameux vaccin
Meme mon medecin ne me conseille pas ce vaccin
Il a eu moins de mort avec cette grippe que l'influenza
La decision que j'ai prise de ne pas me faire vacciner
ne vient pas de Poirier ou autres mais de moi meme apres avoir lu une foule
de documents sur le sujet

lucide a écrit : Québec pourrait décréter l'état d'urgence
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Si la situation l'exige, des milliers d'infirmières à la retraite et d'étudiantes en soins infirmiers seront appelées à administrer les vaccins contre le virus de la grippe A (H1N1).


Jocelyne Richer
La Presse Canadienne
Québec


Québec n'hésitera pas à décréter l'état d'«urgence sanitaire» et à suspendre l'application des conventions collectives, si le scénario d'une pandémie de grippe A (H1N1) s'avère.

Dans cette logique de scénario catastrophe, le gouvernement se prévaudrait - pour la première fois - de l'article 123 de la Loi sur la santé publique, en invoquant l'état «d'urgence sanitaire» pour imposer sa loi par décret.

Ainsi, le gouvernement pourrait à la fois s'assurer d'une plus grande disponibilité du personnel du réseau de la santé et acquérir toute la souplesse de fonctionnement requise par la suspension de certaines dispositions des conventions collectives.

«En cas d'urgence, on prend des mesures d'urgence que le décret nous permettrait de faire», a indiqué le ministre de la Santé, Yves Bolduc, en conférence de presse à Montréal, lundi.


Chose certaine, si le virus fait des ravages, un effort exceptionnel et substantiel sera demandé au personnel hospitalier au cours des prochains mois.

Une contribution tout aussi exceptionnelle sera étendue aux infirmières à la retraite et aux étudiantes en soins infirmiers, qui seront appelées à la rescousse, pour faire fonctionner le réseau.

Si la situation l'exige, elles seront appelées à administrer les vaccins contre le virus ou à effectuer toute autre tâche requise, a indiqué une porte-parole du ministre Bolduc.

Ce dernier se prépare au pire, craignant que jusqu'à 2,5 millions de Québécois soient frappés par le virus dans les prochaines semaines, entraînant une pression jamais vue sur le réseau de la santé.

Avec son décret, présentement en préparation, Québec veut mettre toutes les chances de son côté pour s'assurer que le réseau suffira à la demande, dans tous les cas de figure.

Les centrales syndicales ont été informées des intentions de Québec et des scénarios qui se préparent.

«C'est la responsabilité de l'Etat» d'établir les conditions selon lesquelles le réseau devra s'ajuster à une pression exceptionnelle, a dit le premier ministre Jean Charest, lors d'un point de presse, à Lachute, en marge d'une annonce gouvernementale.

Dans ce contexte, les infirmières doivent s'attendre à faire de longues heures de travail, voire à renoncer aux jours de congés habituels.

De plus, leur tâche pourrait être modifiée: par exemple, une infirmière spécialisée en néonatalogie pourrait se retrouver aux soins intensifs, si le besoin se fait sentir.

Le mot flexibilité deviendra le mot d'ordre imposé au personnel du réseau, indique-t-on au cabinet du ministre Bolduc.

Tout sera mis en oeuvre pour éviter que le virus se propage et limiter les dégâts chez les patients atteints.

Québec prévoit que cette situation pourrait s'étendre jusqu'à 12 semaines, donc inclure le temps des Fêtes.

«Nous visons une utilisation optimale des compétences», a indiqué l'attachée de presse du ministre, Marie-Eve Bédard.

On craint que jusqu'à 10 pour cent des personnes frappées par la grippe A (H1N1) pourraient nécessiter une visite médicale, pouvant aller dans certains cas jusqu'à l'hospitalisation.

Idéalement, le ministre Bolduc espère par ailleurs vacciner 80 pour cent de la population, d'où le recours à toutes les ressources disponibles.

La vaccination, dans un premier temps pour les clientèles plus vulnérables, devrait normalement débuter dès la semaine prochaine, a précisé le ministre.

Le retour au travail des infirmières retraitées depuis quelques années et la contribution des étudiantes seront volontaires.

Le ministère de la Santé a en mains une liste de 5000 noms d'infirmières retraitées, dont bon nombre ont déjà été contactées pour connaître leur disponibilité.

Avant d'appliquer le décret et d'appeler en renfort les infirmières retraitées et les étudiantes, on épuisera les autres moyens disponibles pour réorienter les ressources actuelles à l'intérieur du réseau, en reportant par exemple les chirurgies non urgentes, a expliqué Mme Bédard


Y ont tellement le tour de dans leurs relations avec leur employés .....

Y'é ben sué nerfs lui....................Y va avoir l'air fou en cibole si y'a pas 2.5 millions de Québecois malade du H1N1 dans les prochaines semaines Y va perdre de la crédibilité le ti doqueteur de la santé

Annouk a écrit : j'appelle ça être responsable moi, si le scénario s'avère vrai, il faudrait qu'il fasse quoi le gouvernement? Attendre que tout le monde chiale qu'ils n'ont rien de prévu?

On voit maintenant qu'un plan d'action est mis en place en cas de pandémie

Exacte, si le virus ne mute pas, il ne se passera pas grand chose à part des gens malades comme à peu près la grippe saisonnière mais si le virus mute comme le prédise les scientifiques, nous allons vivre le même épisode que la grippe espagnole, L'OMS ne prend pas de chance, donc en état d'alecte. Pour ma part, c'est rassurant de voir les mesures misent en place.

C'est sûre que si le virus ne mute pas, tout le monde va chialer mais si le pire scénario arrive, tous les gens vont applaudir les mesures en place.

Frasie a écrit : [...]


Exacte, si le virus ne mute pas, il ne se passera pas grand chose à part des gens malades comme à peu près la grippe saisonnière mais si le virus mute comme le prédise les scientifiques, nous allons vivre le même épisode que la grippe espagnole, L'OMS ne prend pas de chance, donc en état d'alecte. Pour ma part, c'est rassurant de voir les mesures misent en place.

C'est sûre que si le virus ne mute pas, tout le monde va chialer mais si le pire scénario arrive, tous les gens vont applaudir les mesures en place.

Les mesures en place à date c'est juste de se faire vacciner

Annouk a écrit : j'appelle ça être responsable moi, si le scénario s'avère vrai, il faudrait qu'il fasse quoi le gouvernement? Attendre que tout le monde chiale qu'ils n'ont rien de prévu?

On voit maintenant qu'un plan d'action est mis en place en cas de pandémie

J'ai rien contre la préparation du scénario mais désolée dans l'application ils l'ont pas pantoute. Premierement ils peuvent se préparer sans mettre la population au courant des moindres détails.

En plus d'être la risée de la population avec leur campagne de peur , ils tentent de se mettre a dos les personnes dont ils ont besoin du plus grand support.

Ils ne les rencontrent pas, ne font pas appel a leur collaboration, ils les menacent simplement par les journaux en plus de leur foutre une loi au c..., de couper leurs conges, leur changer leur assignation sans droit de regard.

On se demande apres pourquoi il y a un manque flagrant de personnel dans les hopitaux ...

lucide a écrit : [...]


J'ai rien contre la préparation du scénario mais désolée dans l'application ils l'ont pas pantoute. Premierement ils peuvent se préparer sans mettre la population au courant des moindres détails.

En plus d'être la risée de la population avec leur campagne de peur , ils tentent de se mettre a dos les personnes dont ils ont besoin du plus grand support.

Ils ne les rencontrent pas, ne font pas appel a leur collaboration, ils les menacent simplement par les journaux en plus de leur foutre une loi au c..., de couper leurs conges, leur changer leur assignation sans droit de regard.

On se demande apres pourquoi il y a un manque flagrant de personnel dans les hopitaux ...

Ils sont la risée d'une partie de la population Pourquoi toujours généraliser une seule opinion?
Il y a aussi une partie de la population qui souhaite se faire vacciner, qui craigne cette pandémie et qui trouve que l'autre partie prend cela bien à la légère.

Pour ce qui est des dirigeants, ils sont bien occupés justement à essayer de convaincre la population de se faire vacciner. Ils ont donc moins de temps pour flatter les employés de l'état qui, eux, menacent à coup de syndicat des mesures qui ne seront peut-être même pas prise.

Bref, il y a 2 camps, pas un ne semble plus crédible dans sa façon de se battre. À chacun de décider si il embarque dans une campagne de peur du lobby anti-vaccin ou dans une camapgne de peur au sujet d'une pandémie

lucide a écrit : [...]


J'ai rien contre la préparation du scénario mais désolée dans l'application ils l'ont pas pantoute. Premierement ils peuvent se préparer sans mettre la population au courant des moindres détails.

En plus d'être la risée de la population avec leur campagne de peur , ils tentent de se mettre a dos les personnes dont ils ont besoin du plus grand support.

Ils ne les rencontrent pas, ne font pas appel a leur collaboration, ils les menacent simplement par les journaux en plus de leur foutre une loi au c..., de couper leurs conges, leur changer leur assignation sans droit de regard.

On se demande apres pourquoi il y a un manque flagrant de personnel dans les hopitaux ...

Il est étrange ton texte. On dirait une revendication syndicale alors qu'une période potentiellement dangeureuse s'annonce à l'horizon.

Frasie a écrit : [...]


Tout d'abord je parle pour moi et non au nom de ma fille, j'ai bien dis que j'avais l'intention de lui demander de prendre du temps pour venir vous donner des informations et du temps elle n'en a pas beaucoup. Je ne vois pas pourquoi tu mélanges l'intégrité scientique de ma fille ici, si je lui demandais, elle le ferait, c'est moi qui a décidé que cela ne donnerait pas grand chose. En passant, je ne suis pas scientifique moi.

Ce n'est pas une question de rallier les gens à tous prix mais je vois qu'ici c'est plus un débat politique que sur les vrais enjeux en cas de pandémie et je vois aussi que les gens sont très mal informés, j'avoue que c'est très difficile de prendre position avec ce que l'on voit dans la presse.

Donc, je pense que malgré n'importe laquelle intervention et même d'une chercheure en virologie , les gens vont continuer de faire leur propre recherche sur le net ou ailleur

Pour terminer, en gros ce que ma fille me dit c'est que le risque d'avoir le vaccin et oui il y a un risque très faible comme tous les vaccins que nous avons eu dans notre vie mais si le H1N1 mute cet automne et il est fort propable selon les scientifiques qu'il va muter, alors là, le risque d'attraper cette grippe sera fortement mortel.

Il est possible qu'il ne mute pas mais l'OMS ne prend pas de chance et avec raison. Ce virus est suivi de près par tous les scientifiques du monde entier et cela depuis 4 ans qu'ils le prédisaient en regardant son évolution, ce n'est pas nouveau mais il est à nos portes maintenant.

Pour ma fille il est clair qu'elle va se faire vacciner ainsi que tous ses collègues de travaille chercheurs et elle me recommande fortement le vaccin. Donc, je vais me faire vacciner après mûre réflexion et en connaissance de cause.

Marc Zaffran est micro biologiste et il dit que ce virus est bénin je ne crois pas me baser sur n'importe quelle étude pour prendre ma décision. Le virus n'a pas tué dans l'hémisphère sud qui eux ont déjà eu la deuxième vague qui s'est avérée beaucoup moins virulente qu'on le croyait. à partir de ça je crois que je suis en mesure de décider si je veux servir de cobaye pour un vaccin qui contient un élément qui est interdit aux USA et qui n'est pas dans la composition d'aucun autres vaccins donné ailleurs dans le monde.

Même le microbiologiste qui travaille à la même clinique médicale que ma belle-soeur a dit d'attendre que finalement il n'était plus si certain que le vaccin était inoffensif.

Il n'y a pas un scientifique qui dit la même chose dans ce cas-ci rien pour nous rassurer.

jaskab a écrit : Je ne me suis jamais fait vacciner contre la grippe saisonnière. Je ne suis pas à risque et pas de personnes à risque dans mon entourage. Jamais j'ai senti que je mettais les autres en danger parce que je ne recevais pas le vaccin de l'influenza. Jamais j'ai hésité à savoir si je devais me faire vacciner ou pas.
Pourquoi avec la h1n1, j'hésite? Pouquoi quelqu'un pourrait me faire des gros yeux parce que je refuse ce vaccin, alors que personne ne m'a fait de remarque négative parce que je ne recevais pas le vaccin contre la grippe saisonnière?
Pourquoi ce vaccin est-il plus important que celui de l'influenza?

De ce que je sais, le H1N1 se propage beaucoup plus facilement que la grippe saisonnière.

brunetta a écrit : [...]


Marc Zaffran est micro biologiste et il dit que ce virus est bénin je ne crois pas me baser sur n'importe quelle étude pour prendre ma décision. Le virus n'a pas tué dans l'hémisphère sud qui eux ont déjà eu la deuxième vague qui s'est avérée beaucoup moins virulente qu'on le croyait. à partir de ça je crois que je suis en mesure de décider si je veux servir de cobaye pour un vaccin qui contient un élément qui est interdit aux USA et qui n'est pas dans la composition d'aucun autres vaccins donné ailleurs dans le monde.

Même le microbiologiste qui travaille à la même clinique médicale que ma belle-soeur a dit d'attendre que finalement il n'était plus si certain que le vaccin était inoffensif.

Il n'y a pas un scientifique qui dit la même chose dans ce cas-ci rien pour nous rassurer.

Dans l'hémisphere sud, ils n'ont pas de virus de l'influenza saisonniere comme nous on en a. C'est donc pratiquement impossible que le virus mute avec une autre souche. Nous ici on en a une panoplie de grippe. Si la H1N1 rencontre une de nos souches et mute, la ca va être grave. C'est ca qui inquiete le plus les scientifiques.

Mais moi je me dis, si le virus mute est-ce que le vaccin que nous avons recu sera encore efficace, puisque, sommes toutes, ce sera un nouveau virus?