Beppo a écrit
Quand tu ne sais pas, toi, tu ne prends pas le temps de prendre un café pour réfléchir et tu agis n'importe comment?
Je n'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains. D'habitude quand une situation urgente se produit, je prend pas 3 heures a décider, j'utilise mon jugement et le gros bon sens pour prendre ma décision.
Mais personnellement, la première action serait de les retirer du milieu familial pour une évaluation psychosociale. Et s'il m'était impossible de les retirer je ferais en sorte qu'ils leur soit interdit de sortir sans la présence d'un parent jusqu'à nouvel ordre.
Fillette violée par deux jeunes garçons: la justice ne punira pas les
Myalisa a écrit
Mais personnellement, la première action serait de les retirer du milieu familial pour une évaluation psychosociale. Et s'il m'était impossible de les retirer je ferais en sorte qu'ils leur soit interdit de sortir sans la présence d'un parent jusqu'à nouvel ordre.
La DPJ ne retire jamais des enfants de leurs milieux de vie si ce milieu est adéquat. Et l'évaluation du milieu n'est pas une affaire pris à la légère, quand ils en viennent à la conclusion que les enfants peuvent rester avec leurs parents, c,est parce qu'ils le peuvent...Moi je leur fait entièrement confiance. L'évaluation psycho-sociale comme tu dis, peut très bien se faire tout en gardant les jeunes dans leur milieu de vie. C'est même souhaitable d'habitude.
Ensuite, la DPJ ne peut ordonner à un jeune de rester à la maison sans possibilité de sorties, c'est le tribunal qui peut faire ça. Sauf qu'ici les jeunes, ayant moins de 12 ans, il est impossible de les traduire en justice.
Mais personnellement, la première action serait de les retirer du milieu familial pour une évaluation psychosociale. Et s'il m'était impossible de les retirer je ferais en sorte qu'ils leur soit interdit de sortir sans la présence d'un parent jusqu'à nouvel ordre.
La DPJ ne retire jamais des enfants de leurs milieux de vie si ce milieu est adéquat. Et l'évaluation du milieu n'est pas une affaire pris à la légère, quand ils en viennent à la conclusion que les enfants peuvent rester avec leurs parents, c,est parce qu'ils le peuvent...Moi je leur fait entièrement confiance. L'évaluation psycho-sociale comme tu dis, peut très bien se faire tout en gardant les jeunes dans leur milieu de vie. C'est même souhaitable d'habitude.
Ensuite, la DPJ ne peut ordonner à un jeune de rester à la maison sans possibilité de sorties, c'est le tribunal qui peut faire ça. Sauf qu'ici les jeunes, ayant moins de 12 ans, il est impossible de les traduire en justice.
tipet a écrit
La DPJ ne retire jamais des enfants de leurs milieux de vie si ce milieu est adéquat. Et l'évaluation du milieu n'est pas une affaire pris à la légère, quand ils en viennent à la conclusion que les enfants peuvent rester avec leurs parents, c,est parce qu'ils le peuvent...Moi je leur fait entièrement confiance. L'évaluation psycho-sociale comme tu dis, peut très bien se faire tout en gardant les jeunes dans leur milieu de vie. C'est même souhaitable d'habitude.
Ensuite, la DPJ ne peut ordonner à un jeune de rester à la maison sans possibilité de sorties, c'est le tribunal qui peut faire ça. Sauf qu'ici les jeunes, ayant moins de 12 ans, il est impossible de les traduire en justice.
Bah voilà où nous en sommes ! Donc il n'est pas faux de dire que le jeune n'aura pas de grosses conséquences pour son crime. Car la Loi bloque partout ! Pas de centre d'accueil pas de restraining order, pas d'interdiction de sortie, pas de couvre-feu imposé par un juge ! Nada !!! Et les parents semblent pas avoir envie de prendre cette initiative.
Voilà pourquoi je m'insurge depuis le début devant le système avec ses failles !
La DPJ ne retire jamais des enfants de leurs milieux de vie si ce milieu est adéquat. Et l'évaluation du milieu n'est pas une affaire pris à la légère, quand ils en viennent à la conclusion que les enfants peuvent rester avec leurs parents, c,est parce qu'ils le peuvent...Moi je leur fait entièrement confiance. L'évaluation psycho-sociale comme tu dis, peut très bien se faire tout en gardant les jeunes dans leur milieu de vie. C'est même souhaitable d'habitude.
Ensuite, la DPJ ne peut ordonner à un jeune de rester à la maison sans possibilité de sorties, c'est le tribunal qui peut faire ça. Sauf qu'ici les jeunes, ayant moins de 12 ans, il est impossible de les traduire en justice.
Bah voilà où nous en sommes ! Donc il n'est pas faux de dire que le jeune n'aura pas de grosses conséquences pour son crime. Car la Loi bloque partout ! Pas de centre d'accueil pas de restraining order, pas d'interdiction de sortie, pas de couvre-feu imposé par un juge ! Nada !!! Et les parents semblent pas avoir envie de prendre cette initiative.
Voilà pourquoi je m'insurge depuis le début devant le système avec ses failles !
Myalisa a écrit
Bah voilà où nous en sommes ! Donc il n'est pas faux de dire que le jeune n'aura pas de grosses conséquences pour son crime. Car la Loi bloque partout ! Pas de centre d'accueil pas de restraining order, pas d'interdiction de sortie, pas de couvre-feu imposé par un juge ! Nada !!! Et les parents semblent pas avoir envie de prendre cette initiative.
Voilà pourquoi je m'insurge depuis le début devant le système avec ses failles !
Donc je te répète ma question: Où trace-t-on la ligne? Quand est-ce qu'on décide, en tant que société, qu'un enfant mérite d'être traduit en justice pour ses actes? À 10 ans? 8 ans? 6 ans?
Parce qu'à chaque âge il y a des histoires d'horreur de ce genre! Il y a eu l'histoire aux States du jeune de 6 ans qui a abattu sa petite copine de classe avec le fusil de son père, et il y a aussi celui du petit bonhomme de 5 ans qui a tué son frère en le pitchant en bas du balcon. On fait quoi avec ça?
Bah voilà où nous en sommes ! Donc il n'est pas faux de dire que le jeune n'aura pas de grosses conséquences pour son crime. Car la Loi bloque partout ! Pas de centre d'accueil pas de restraining order, pas d'interdiction de sortie, pas de couvre-feu imposé par un juge ! Nada !!! Et les parents semblent pas avoir envie de prendre cette initiative.
Voilà pourquoi je m'insurge depuis le début devant le système avec ses failles !
Donc je te répète ma question: Où trace-t-on la ligne? Quand est-ce qu'on décide, en tant que société, qu'un enfant mérite d'être traduit en justice pour ses actes? À 10 ans? 8 ans? 6 ans?
Parce qu'à chaque âge il y a des histoires d'horreur de ce genre! Il y a eu l'histoire aux States du jeune de 6 ans qui a abattu sa petite copine de classe avec le fusil de son père, et il y a aussi celui du petit bonhomme de 5 ans qui a tué son frère en le pitchant en bas du balcon. On fait quoi avec ça?
tipet a écrit
Donc je te répète ma question: Où trace-t-on la ligne? Quand est-ce qu'on décide, en tant que société, qu'un enfant mérite d'être traduit en justice pour ses actes? À 10 ans? 8 ans? 6 ans?
Parce qu'à chaque âge il y a des histoires d'horreur de ce genre! Il y a eu l'histoire aux States du jeune de 6 ans qui a abattu sa petite copine de classe avec le fusil de son père, et il y a aussi celui du petit bonhomme de 5 ans qui a tué son frère en le pitchant en bas du balcon. On fait quoi avec ça?
Je crois que peu importe l'âge de l'enfant, aussitôt qu'un crime avec violence est commis l'enfant devrait être évalué le plus rapidement possible par un psychiatre et sortit du milieu familial par les policiers. (Un enfant qui tue un autre enfant je m'excuse mais ça fou la trouille, je voudrais pas être la baby-sitter de cet enfant). Aucun âge limite pour imposer un restraining order envers les victimes et leur famille.
Dépendemment du crime qu'il a commis il purge un certain temps en centre d'accueil ponctué évidemment de rencontre avec un professionnel. Ensuite, après avoir établit un plan d'intervention serré avec les parents, il peut réintégrer le milieu familial avec un suivi constant.
Donc je te répète ma question: Où trace-t-on la ligne? Quand est-ce qu'on décide, en tant que société, qu'un enfant mérite d'être traduit en justice pour ses actes? À 10 ans? 8 ans? 6 ans?
Parce qu'à chaque âge il y a des histoires d'horreur de ce genre! Il y a eu l'histoire aux States du jeune de 6 ans qui a abattu sa petite copine de classe avec le fusil de son père, et il y a aussi celui du petit bonhomme de 5 ans qui a tué son frère en le pitchant en bas du balcon. On fait quoi avec ça?
Je crois que peu importe l'âge de l'enfant, aussitôt qu'un crime avec violence est commis l'enfant devrait être évalué le plus rapidement possible par un psychiatre et sortit du milieu familial par les policiers. (Un enfant qui tue un autre enfant je m'excuse mais ça fou la trouille, je voudrais pas être la baby-sitter de cet enfant). Aucun âge limite pour imposer un restraining order envers les victimes et leur famille.
Dépendemment du crime qu'il a commis il purge un certain temps en centre d'accueil ponctué évidemment de rencontre avec un professionnel. Ensuite, après avoir établit un plan d'intervention serré avec les parents, il peut réintégrer le milieu familial avec un suivi constant.
Myalisa a écrit
Je crois que peu importe l'âge de l'enfant, aussitôt qu'un crime avec violence est commis l'enfant devrait être évalué le plus rapidement possible par un psychiatre et sortit du milieu familial par les policiers. (Un enfant qui tue un autre enfant je m'excuse mais ça fou la trouille, je voudrais pas être la baby-sitter de cet enfant). Aucun âge limite pour imposer un restraining order envers les victimes et leur famille.
Dépendemment du crime qu'il a commis il purge un certain temps en centre d'accueil ponctué évidemment de rencontre avec un professionnel. Ensuite, après avoir établit un plan d'intervention serré avec les parents, il peut réintégrer le milieu familial avec un suivi constant.
Tu vois, c,est là qu'on ne se rejoint pas du tout. Jamais je ne serai d'accord à ce qu'on policier vienne enlever un enfant à ses parents. À moins que cet enfant soit en danger.
Je crois que peu importe l'âge de l'enfant, aussitôt qu'un crime avec violence est commis l'enfant devrait être évalué le plus rapidement possible par un psychiatre et sortit du milieu familial par les policiers. (Un enfant qui tue un autre enfant je m'excuse mais ça fou la trouille, je voudrais pas être la baby-sitter de cet enfant). Aucun âge limite pour imposer un restraining order envers les victimes et leur famille.
Dépendemment du crime qu'il a commis il purge un certain temps en centre d'accueil ponctué évidemment de rencontre avec un professionnel. Ensuite, après avoir établit un plan d'intervention serré avec les parents, il peut réintégrer le milieu familial avec un suivi constant.
Tu vois, c,est là qu'on ne se rejoint pas du tout. Jamais je ne serai d'accord à ce qu'on policier vienne enlever un enfant à ses parents. À moins que cet enfant soit en danger.
Myalisa a écrit
Je n'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains. D'habitude quand une situation urgente se produit, je prend pas 3 heures a décider, j'utilise mon jugement et le gros bon sens pour prendre ma décision.
Mais personnellement, la première action serait de les retirer du milieu familial pour une évaluation psychosociale. Et s'il m'était impossible de les retirer je ferais en sorte qu'ils leur soit interdit de sortir sans la présence d'un parent jusqu'à nouvel ordre.
Tu ne crois pas que les intervenants se sont servis de leur jugement et de leur gros bon sens? Je ne crois pas que se soit si simple que nous le pensons.
Je te jure qu'au moment où j'ai juste entendu qu'un de mes écoliers avait attenté à sa vie, j'ai pris bien du temps à être sonné pour ensuite réfléchir. C'est toujours plus simple quand on n'est pas concerné (d'où l'importance d'un juge ou d'un tiers). Quand on a le nez dedans, je t'avoue que tu cours après tes repères en tabarnouche.
--Message edité par Beppo le 2008-10-19 23:34:29--
Je n'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains. D'habitude quand une situation urgente se produit, je prend pas 3 heures a décider, j'utilise mon jugement et le gros bon sens pour prendre ma décision.
Mais personnellement, la première action serait de les retirer du milieu familial pour une évaluation psychosociale. Et s'il m'était impossible de les retirer je ferais en sorte qu'ils leur soit interdit de sortir sans la présence d'un parent jusqu'à nouvel ordre.
Tu ne crois pas que les intervenants se sont servis de leur jugement et de leur gros bon sens? Je ne crois pas que se soit si simple que nous le pensons.
Je te jure qu'au moment où j'ai juste entendu qu'un de mes écoliers avait attenté à sa vie, j'ai pris bien du temps à être sonné pour ensuite réfléchir. C'est toujours plus simple quand on n'est pas concerné (d'où l'importance d'un juge ou d'un tiers). Quand on a le nez dedans, je t'avoue que tu cours après tes repères en tabarnouche.
--Message edité par Beppo le 2008-10-19 23:34:29--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Tu ne crois pas que les intervenants se sont servis de leur jugement et de leur gros bon sens? Je ne crois pas que se soit si simple que nous le pensons.
Je te jure qu'au moment où j'ai juste entendu qu'un de mes écoliers avait attenté à sa vie, j'ai pris bien du temps à être sonné pour ensuite réfléchir. C'est toujours plus simple quand on n'est pas concerné (d'où l'importance d'un juge ou d'un tiers). Quand on a le nez dedans, je t'avoue que tu cours après tes repères en tabarnouche.
Bin c'pour ça que j'ai pris la peine de mentionner que j'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains.
Mais c'est certain que l'intervention serait plus rapide que ça.
Tu ne crois pas que les intervenants se sont servis de leur jugement et de leur gros bon sens? Je ne crois pas que se soit si simple que nous le pensons.
Je te jure qu'au moment où j'ai juste entendu qu'un de mes écoliers avait attenté à sa vie, j'ai pris bien du temps à être sonné pour ensuite réfléchir. C'est toujours plus simple quand on n'est pas concerné (d'où l'importance d'un juge ou d'un tiers). Quand on a le nez dedans, je t'avoue que tu cours après tes repères en tabarnouche.
Bin c'pour ça que j'ai pris la peine de mentionner que j'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains.
Mais c'est certain que l'intervention serait plus rapide que ça.
Myalisa a écrit
Bin c'pour ça que j'ai pris la peine de mentionner que j'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains.
Mais c'est certain que l'intervention serait plus rapide que ça.
Mais qui te dis que l'intervention n'est pas commencée justement?
Pas parce que les parents du jeune de 11 ans le laisse se promener partout que la DPJ n'a pas encore commencé son travail et ça même la famille de la victime ne le saura pas.
Bin c'pour ça que j'ai pris la peine de mentionner que j'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains.
Mais c'est certain que l'intervention serait plus rapide que ça.
Mais qui te dis que l'intervention n'est pas commencée justement?
Pas parce que les parents du jeune de 11 ans le laisse se promener partout que la DPJ n'a pas encore commencé son travail et ça même la famille de la victime ne le saura pas.
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Myalisa a écrit
Bin c'pour ça que j'ai pris la peine de mentionner que j'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains.
Mais c'est certain que l'intervention serait plus rapide que ça.
La DPJ elle a le sort de 2 enfants qui sont crissement mal partis dans la vie et qui sont un danger potentiel si on les laisse à leur triste sort. C'est aussi à ça qu'il faut penser...la petite victime doit être prise en charge, suivie en thérapie, recevoir des soins pour la guérir de ses blessures physiques et morales, j'en conviens. Mais les 2 agresseurs aussi en ont besoin, ce sont des ENFANTS, il faut absolument stopper la montée de la violence dans leur cas. --Message edité par tipet le 2008-10-20 09:14:59--
Bin c'pour ça que j'ai pris la peine de mentionner que j'ai pas la vie brisée d'une jeune fille entre les mains.
Mais c'est certain que l'intervention serait plus rapide que ça.
La DPJ elle a le sort de 2 enfants qui sont crissement mal partis dans la vie et qui sont un danger potentiel si on les laisse à leur triste sort. C'est aussi à ça qu'il faut penser...la petite victime doit être prise en charge, suivie en thérapie, recevoir des soins pour la guérir de ses blessures physiques et morales, j'en conviens. Mais les 2 agresseurs aussi en ont besoin, ce sont des ENFANTS, il faut absolument stopper la montée de la violence dans leur cas. --Message edité par tipet le 2008-10-20 09:14:59--
Si l'intervention est commencée tant mieux. Mais c'est ANORMAL que le violeur se promène encore devant chez sa victime.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Myalisa a écritSi l'intervention est commencée tant mieux. Mais c'est ANORMAL que le violeur se promène encore devant chez sa victime.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Ça c'est du ressort des parents de le tenir à l'écart pas de la DPJ.
En passant tu ne peux pas savoir ce que certains forumeurs ont vécu ici alors même si tu nous juge lousse dans nos commentaires ça ne veut pas dire que nous trouvions ça correct mais la loi est ce qu'elle est. Moi être la maman du jeune de 11 ans il ne se promènerait pas de même devant la maison de sa victime jamais au grand jamais.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Ça c'est du ressort des parents de le tenir à l'écart pas de la DPJ.
En passant tu ne peux pas savoir ce que certains forumeurs ont vécu ici alors même si tu nous juge lousse dans nos commentaires ça ne veut pas dire que nous trouvions ça correct mais la loi est ce qu'elle est. Moi être la maman du jeune de 11 ans il ne se promènerait pas de même devant la maison de sa victime jamais au grand jamais.
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brunetta a écrit
Ça c'est du ressort des parents de le tenir à l'écart pas de la DPJ.
En passant tu ne peux pas savoir ce que certains forumeurs ont vécu ici alors même si tu nous juge lousse dans nos commentaires ça ne veut pas dire que nous trouvions ça correct mais la loi est ce qu'elle est. Moi être la maman du jeune de 11 ans il ne se promènerait pas de même devant la maison de sa victime jamais au grand jamais.
C'est ça que je n'aime pas. Cette sempiternelle phrase de : la Loi c'est la Loi. Mais non !!!! Quand la Loi est injuste et présente des failles, il faut s'insurger contre cela !
Mais la société étant ce qu'elle est, ça ne changera pas de si tôt !
Ça c'est du ressort des parents de le tenir à l'écart pas de la DPJ.
En passant tu ne peux pas savoir ce que certains forumeurs ont vécu ici alors même si tu nous juge lousse dans nos commentaires ça ne veut pas dire que nous trouvions ça correct mais la loi est ce qu'elle est. Moi être la maman du jeune de 11 ans il ne se promènerait pas de même devant la maison de sa victime jamais au grand jamais.
C'est ça que je n'aime pas. Cette sempiternelle phrase de : la Loi c'est la Loi. Mais non !!!! Quand la Loi est injuste et présente des failles, il faut s'insurger contre cela !
Mais la société étant ce qu'elle est, ça ne changera pas de si tôt !
Myalisa a écritSi l'intervention est commencée tant mieux. Mais c'est ANORMAL que le violeur se promène encore devant chez sa victime.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Ce que je ne sais pas c'est la configuration physique des lieux. Les deux familles sont-elles voisines ? L'agression ayant eu lieu en aout, a moins d'être attaché sur une chaise depuis deux mois dans la maison je trouve normal qu'on puisse apercevoir le garcon en vélo SI NATURELLEMENT ils habitent tout proche.
Par contre j'aurais tenté d'obtenir une mise en demeure pour que ces garcons ne puissent adresser la parole a mes filles .
Oui je souhaiterais que ma fille n'est plus a le croiser mais il est évident que c'est quasi impossible si tu habites le meme quartier.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Ce que je ne sais pas c'est la configuration physique des lieux. Les deux familles sont-elles voisines ? L'agression ayant eu lieu en aout, a moins d'être attaché sur une chaise depuis deux mois dans la maison je trouve normal qu'on puisse apercevoir le garcon en vélo SI NATURELLEMENT ils habitent tout proche.
Par contre j'aurais tenté d'obtenir une mise en demeure pour que ces garcons ne puissent adresser la parole a mes filles .
Oui je souhaiterais que ma fille n'est plus a le croiser mais il est évident que c'est quasi impossible si tu habites le meme quartier.
Myalisa a écrit
C'est ça que je n'aime pas. Cette sempiternelle phrase de : la Loi c'est la Loi. Mais non !!!! Quand la Loi est injuste et présente des failles, il faut s'insurger contre cela !
Mais la société étant ce qu'elle est, ça ne changera pas de si tôt !
Ce n'est pas une faille de la loi, c'est une décision de société qui a été prise et votée comme quoi nous ne souhaitions pas criminaliser des enfants en bas de 12 ans.
Pour changer la loi il faut la ramener sur le tapis et la faire voter majoritairement. Et alors faudrait savoir si la majorité des gens souhaitent ce fait.
C'est ça que je n'aime pas. Cette sempiternelle phrase de : la Loi c'est la Loi. Mais non !!!! Quand la Loi est injuste et présente des failles, il faut s'insurger contre cela !
Mais la société étant ce qu'elle est, ça ne changera pas de si tôt !
Ce n'est pas une faille de la loi, c'est une décision de société qui a été prise et votée comme quoi nous ne souhaitions pas criminaliser des enfants en bas de 12 ans.
Pour changer la loi il faut la ramener sur le tapis et la faire voter majoritairement. Et alors faudrait savoir si la majorité des gens souhaitent ce fait.
lucide a écrit
Ce que je ne sais pas c'est la configuration physique des lieux. Les deux familles sont-elles voisines ? L'agression ayant eu lieu en aout, a moins d'être attaché sur une chaise depuis deux mois dans la maison je trouve normal qu'on puisse apercevoir le garcon en vélo SI NATURELLEMENT ils habitent tout proche.
Par contre j'aurais tenté d'obtenir une mise en demeure pour que ces garcons ne puissent adresser la parole a mes filles .
Oui je souhaiterais que ma fille n'est plus a le croiser mais il est évident que c'est quasi impossible si tu habites le meme quartier.
Comme la mère le mentionnait, il habite quelques rues plus loin.
Il devrait lui être défendu de se promener sur la rue où habite la jeune fille.
Et probablement que vous n'auriez pas eu réponse à votre mise en demeure comme la mère n'a pas eu de suite à sa demande de non-contact. L'enfant a 11 ans, il n'y aura aucun jugement légal de porté contre lui que ça soit au criminel ou au civil.
La seule option pour les parents seraient de poursuivre ses parents en dommage et intérêts, mais comme la mère le mentionnait, elle veut éviter à sa fille le fait de devoir raconter son histoire à nouveau. Ce qui est normal selon moi. Ce qui ne l'est pas, c'est que ça soit sa seule option.
Ce que je ne sais pas c'est la configuration physique des lieux. Les deux familles sont-elles voisines ? L'agression ayant eu lieu en aout, a moins d'être attaché sur une chaise depuis deux mois dans la maison je trouve normal qu'on puisse apercevoir le garcon en vélo SI NATURELLEMENT ils habitent tout proche.
Par contre j'aurais tenté d'obtenir une mise en demeure pour que ces garcons ne puissent adresser la parole a mes filles .
Oui je souhaiterais que ma fille n'est plus a le croiser mais il est évident que c'est quasi impossible si tu habites le meme quartier.
Comme la mère le mentionnait, il habite quelques rues plus loin.
Il devrait lui être défendu de se promener sur la rue où habite la jeune fille.
Et probablement que vous n'auriez pas eu réponse à votre mise en demeure comme la mère n'a pas eu de suite à sa demande de non-contact. L'enfant a 11 ans, il n'y aura aucun jugement légal de porté contre lui que ça soit au criminel ou au civil.
La seule option pour les parents seraient de poursuivre ses parents en dommage et intérêts, mais comme la mère le mentionnait, elle veut éviter à sa fille le fait de devoir raconter son histoire à nouveau. Ce qui est normal selon moi. Ce qui ne l'est pas, c'est que ça soit sa seule option.
Myalisa a écrit
Comme la mère le mentionnait, il habite quelques rues plus loin.
Il devrait lui être défendu de se promener sur la rue où habite la jeune fille.
Et probablement que vous n'auriez pas eu réponse à votre mise en demeure comme la mère n'a pas eu de suite à sa demande de non-contact. L'enfant a 11 ans, il n'y aura aucun jugement légal de porté contre lui que ça soit au criminel ou au civil.
La seule option pour les parents seraient de poursuivre ses parents en dommage et intérêts, mais comme la mère le mentionnait, elle veut éviter à sa fille le fait de devoir raconter son histoire à nouveau. Ce qui est normal selon moi. Ce qui ne l'est pas, c'est que ça soit sa seule option.
Je crois que nous manquons de détails. Je crois que oui le jeune a pu se promener à bicyclette les jours suivants l'agression. Si la mère a avisé la DPJ de ce fait qui nous dit qu'un correctif n'a pas été apporté? Aussi, dans les jours suivants l'agression, il faut bien prendre connaissance d'une situation exceptionnelle avant d'agir. Il se peut que les intervenants n'aient pas pensé que le jeune pouvait être aussi dérangeant et dérangé que ça, non? Pourquoi toujours chercher un bouc émissaire? Je suis convaincu que depuis l'évènement, le dossier suit son cours normal et on a remis en place les morceaux du casse-tête.
Comme la mère le mentionnait, il habite quelques rues plus loin.
Il devrait lui être défendu de se promener sur la rue où habite la jeune fille.
Et probablement que vous n'auriez pas eu réponse à votre mise en demeure comme la mère n'a pas eu de suite à sa demande de non-contact. L'enfant a 11 ans, il n'y aura aucun jugement légal de porté contre lui que ça soit au criminel ou au civil.
La seule option pour les parents seraient de poursuivre ses parents en dommage et intérêts, mais comme la mère le mentionnait, elle veut éviter à sa fille le fait de devoir raconter son histoire à nouveau. Ce qui est normal selon moi. Ce qui ne l'est pas, c'est que ça soit sa seule option.
Je crois que nous manquons de détails. Je crois que oui le jeune a pu se promener à bicyclette les jours suivants l'agression. Si la mère a avisé la DPJ de ce fait qui nous dit qu'un correctif n'a pas été apporté? Aussi, dans les jours suivants l'agression, il faut bien prendre connaissance d'une situation exceptionnelle avant d'agir. Il se peut que les intervenants n'aient pas pensé que le jeune pouvait être aussi dérangeant et dérangé que ça, non? Pourquoi toujours chercher un bouc émissaire? Je suis convaincu que depuis l'évènement, le dossier suit son cours normal et on a remis en place les morceaux du casse-tête.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Myalisa a écritSi l'intervention est commencée tant mieux. Mais c'est ANORMAL que le violeur se promène encore devant chez sa victime.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Rendu là, c'est la responsabilité des parents des garçons d'agir. Personnellement, je sais très bien que si c'était mon fils, il n'irait certainement pas se promener en vélo sur la rue de la fillette. C'est clair dans ma tête!
La DPJ agit à un autre niveau que la punition à la maison. On ne sait pas ce qu'ils font avec les 2 agresseurs en ce moment et on ne le saura pas non plus. J'imagine qu'ils ont des plans d'interventions déja montés pour la plupart des situations, mais je peux comprendre qu'ils n'aient rien de prévu dans l'immédiat dans un cas comme celui-ci. Ça dépasse l'entendement!
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
Rendu là, c'est la responsabilité des parents des garçons d'agir. Personnellement, je sais très bien que si c'était mon fils, il n'irait certainement pas se promener en vélo sur la rue de la fillette. C'est clair dans ma tête!
La DPJ agit à un autre niveau que la punition à la maison. On ne sait pas ce qu'ils font avec les 2 agresseurs en ce moment et on ne le saura pas non plus. J'imagine qu'ils ont des plans d'interventions déja montés pour la plupart des situations, mais je peux comprendre qu'ils n'aient rien de prévu dans l'immédiat dans un cas comme celui-ci. Ça dépasse l'entendement!
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
Myalisa a écritSi l'intervention est commencée tant mieux. Mais c'est ANORMAL que le violeur se promène encore devant chez sa victime.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
On ne peut pas voir le problème sous cet angle. Parce que c,est évident que si c'était ma fille, je voudrais tellement aller leur en entrer un vibrateur dans l'anus à ces 2 là! Je suis humaine là. C,est pour ça qu'une personne émotivement impliquée ne peut pas avoir suffisamment de recul et d'objectivité pour bien juger de la situation.
Si c'était vous la victime du viol, et je me répète ici, vous ne seriez pas aussi 'lousse' a vouloir que votre agresseur rôde autour de la maison. Ou si c'était votre fille et que vous voyiez par la fenêtre de votre maison, son agresseur qui se promène et votre fille qui panique, vous auriez une autre réaction j'en suis certaine.
Que se soit un enfant ou pas, il aurait violé et brisé votre fille qui était une enfant heureuse avant ce crime. Alors je pense que vous seriez sûrement tenté de demander que votre fille n'aie plus à le croiser !!! Non ???
Ou vous expliqueriez à votre fille que son violeur est un enfant et qu'on peut pas l'empêcher de faire du vélo autour de la maison !!! ?
On ne peut pas voir le problème sous cet angle. Parce que c,est évident que si c'était ma fille, je voudrais tellement aller leur en entrer un vibrateur dans l'anus à ces 2 là! Je suis humaine là. C,est pour ça qu'une personne émotivement impliquée ne peut pas avoir suffisamment de recul et d'objectivité pour bien juger de la situation.
tipet a écrit
On ne peut pas voir le problème sous cet angle. Parce que c,est évident que si c'était ma fille, je voudrais tellement aller leur en entrer un vibrateur dans l'anus à ces 2 là! Je suis humaine là. C,est pour ça qu'une personne émotivement impliquée ne peut pas avoir suffisamment de recul et d'objectivité pour bien juger de la situation.
Là-dessus on est différente. Personnellement je crois que pour bien comprendre la situation, je me met dans la peau de la personne. Quand n'importe quelle situation arrive, je me dis toujours : Si c'était moi, es-ce que je dirais telle chose et telle chose ? Si la réponse est non, alors j'agis dans ce sens.
On ne peut pas voir le problème sous cet angle. Parce que c,est évident que si c'était ma fille, je voudrais tellement aller leur en entrer un vibrateur dans l'anus à ces 2 là! Je suis humaine là. C,est pour ça qu'une personne émotivement impliquée ne peut pas avoir suffisamment de recul et d'objectivité pour bien juger de la situation.
Là-dessus on est différente. Personnellement je crois que pour bien comprendre la situation, je me met dans la peau de la personne. Quand n'importe quelle situation arrive, je me dis toujours : Si c'était moi, es-ce que je dirais telle chose et telle chose ? Si la réponse est non, alors j'agis dans ce sens.