Bon j'ai retrouvé le texte où il est question de la séparation de sa soeur.
Publié: Ven Mai 13, 2011 11:46 am Actions Citer
Message privé
Message éclair
Profil
Rapporter
Administrateur
Mood: Vive l'été
Inscrit le: 01 Mars 2003
Messages: 63534
Localisation: Legardeur
Le vendredi 13 mai 2011
L'accusé avait accès à des médicaments mortels
Marc Pigeon / Agence QMI
13/05/2011 11h36
SAINT-JÉRÔME – Le cardiologue Guy Turcotte a admis qu'il avait accès à des médicaments pouvant tuer efficacement, à l'hôpital où il travaillait, mais a indiqué n'avoir jamais pensé à les utiliser.
L'accusé a plutôt ingurgité du lave-vitre (contenant du méthanol) pour s'enlever la vie, le soir du drame, le 20 février 2009.
Pourtant, les recherches qu'il avait faites sur internet, ce soir-là, montraient que le méthanol pouvait prendre jusqu'à 30 heures avant de produire ses premiers effets toxiques.
Le contre-interrogatoire de Guy Turcotte s'est amorcé, vendredi matin, par la procureure de la couronne, Claudia Carbonneau. Il en est à sa cinquième journée à la barre des témoins.
L'homme de 39 ans subit son procès devant le juge Marc David, sous deux accusations de meurtre au premier degré de ses enfants, Olivier et Anne-Sophie.
L'avocate l'a amené sur des terrains plutôt personnels, comme la place de la religion dans sa famille et les relations intimes qu'il a eues avant de connaître Isabelle Gaston. Des questions qui ont poussé son avocat, Guy Poupart, à formuler des objections. Elles ont toutes été rejetées.
L'une des questions de l'avocate a particulièrement fait réagir les membres de la famille de l'accusé: elle voulait savoir si l'une de ses soeurs avait été écartée de la famille, après une séparation.
«Non», a répondu l'accusé, avant d'être coupé par une injection.
«J'y reviendrai plus tard», a dit l'avocate.
L'une des questions de l'avocate a particulièrement fait réagir les membres de la famille de l'accusé: elle voulait savoir si l'une de ses soeurs avait été écartée de la famille, après une séparation.
«Non», a répondu l'accusé, avant d'être coupé par une injection.
«J'y reviendrai plus tard», a dit l'avocate
Le contre-interrogatoire s’est poursuivi vendredi.
http://lejournaldemontreal.canoe.ca/jou" onclick="window.open(this.href);return false; ... 13637.html
Haut