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Publié : dim. juin 03, 2012 1:45 pm
par lucide
Skarhet a écrit : [...]


Je suis sur le marché du travail depuis maintenant près de 10 ans, je gagne relativement bien ma vie et je ne crois pas avoir les moyens de m'acheter une propriété. Pourtant j'économise et je suis raisonnable.

Mais bon c'est un autre débat.

Je dirais que si tu restes a Montreal probablement pas....

Mais je suis a 30 minutes de Montreal, la secretaire de mon école monoparentale a pu avoir un condo pour 120,000$, des maisons de ville a 160,000 etc.... Je pense que ca depend ou tu restes !

Publié : dim. juin 03, 2012 1:49 pm
par Gillo
lolilou a écrit : [...]

ouai, j'imagine aussi que ça dépend du journal où se trouve la chronique... parce que dans la Presse ou le Devoir, les échanges sont chauds mais chacun argumentent et je trouve ça super... mais là, c'était comme tu dis... Je crois que je vais faire comme toi et juste lire les chroniques.
Je suis rendu plus loin que ça. Je ne lis même plus certains chroniqueurs, je ne veux pas les encourager dans leur dénigrement et je ne veux pas tomber dans le piège de les encourager pareil en étant contre mais cliquant sur leur page pour justifier leur salaire, donc je n'y vais plus.

C'est moi qui ai suggéré à ce qu'on puisse voir l'auteur d'une nouvelle ou chronique parce que je me suis fait prendre à quelques occasions. Les 1ères phrases visibles ici sont neutres alors je clique dessus et me ramasse en plein délire d'un chroniqueur mégalomane.

Pour ce qui est des commentaires (même ici) si ça commence par "Nos enfants roi", "Au Québec on fait dur", "Les terroristes" ou "Gouvernemaman", "gogauche", "Communistes", ect... Je passe outre directement sans les lire.

Il faut dire que le gouvernement avec "50 cents par jours", "Trop tard c'est signé, gnan, gnan", "Terroristes violents", "En bon père de famille que je suis" dixit Charest, et autres, parle comme un vendeur de char usagé et ne fait rien pour élever le débat.

Publié : dim. juin 03, 2012 1:53 pm
par lucide
GI.Joe a écrit : [...]


Ben, je sais pas, d'habitude je ne vais pas sur le JdeM mais j'ai fait exception et quand je lis le premier commentaire qui apparait, celui qui a reçu le plus de J'M, j'me pose des questions, j'trouve ça très "ordinaire" comme argumentation. Comme si GND, "le dictateur", était seul responsable... Voyons, les gens dans la rue soir après soir décident d'être là d'eux même....

En fait je suis d'accord avec leurs propos mais j'y impliquerait pas GND personnellemment mais bien son association étudiante.
Je reste persuadée que si a la table de négociations il y a eu que Leo Blouin et Martine Desjardins, le conflit sera probablement terminé depuis longtemps. Je trouve dommage qu'ils aient eu ce boulet a porter.
La classe était ceux qui avait fait avorté l'entente en 2005 entre les étudiants et le gouvernement.

Publié : dim. juin 03, 2012 2:36 pm
par Capuchino
lucide a écrit : [...]



En fait je suis d'accord avec leurs propos mais j'y impliquerait pas GND personnellemment mais bien son association étudiante.
Je reste persuadée que si a la table de négociations il y a eu que Leo Blouin et Martine Desjardins, le conflit sera probablement terminé depuis longtemps. Je trouve dommage qu'ils aient eu ce boulet a porter.
La classe était ceux qui avait fait avorté l'entente en 2005 entre les étudiants et le gouvernement.
Je n'en suis pas aussi certaine, car il y a toujours la menace de voir ses membres changer d'association pour se joindre à la CLASSE qui eux sont plus nombreux. S'ils veulent garder leurs membres ils n'ont pas une grande marge de manoeuvre pour proposer autre chose, ils doivent s'adapter. C'est d'ailleurs pas mal ce qu'ils ont fait, car les représentants de toutes les associations ont tous tenu le même discours depuis le début, c'est juste la personnalité de chacun qui a différé. Dans le fond, il aurait pu y avoir qu'une seule association d'étudiants et ça aurait été pareil.

Publié : dim. juin 03, 2012 2:36 pm
par pucinette
Marisopa a écrit : [...]


Je suis d'accord avec ça, mais c'est comme ça pour tout le monde.

Étude ou pas, on est tous plus serré au début de notre vie en dehors du domicile familial.

C'est quoi être un peu plus serré 3 ans pour rembourser les prêts si c'est pour avoir un meilleur salaire au final?

Pour moi, c'est un non-sens d'utiliser l'argument de la difficulté de rembourser le prêt et l'argument du meilleur salaire en même temps. Pour moi, c'est vouloir le beurre et l'argent du beurre.

Un remboursement sur 3 ans, c'est pas un gros prêt ... Les gens que je connais c'est plus un remboursement sur 10-15 ans ...

Re: La grève étudiante

Publié : dim. juin 03, 2012 2:40 pm
par Marisopa
Je ne parle pas d'un remboursement sur 3 ans. Je faisais référence au fait que Skarhet a dû attendre 3 ans avant d'avoir un bon salaire.

Publié : dim. juin 03, 2012 2:44 pm
par pucinette
Marisopa a écrit : Je ne parle pas d'un remboursement sur 3 ans. Je faisais référence au fait que Skarhet a dû attendre 3 ans avant d'avoir un bon salaire.

Oki, c'est la phrase "C'est quoi être un peu plus serré 3 ans pour rembourser les prêts" qui faisait que je croyais que tu parlais de ça ...

Publié : dim. juin 03, 2012 3:16 pm
par lolilou
Gillo a écrit : [...]


Je suis rendu plus loin que ça. Je ne lis même plus certains chroniqueurs, je ne veux pas les encourager dans leur dénigrement et je ne veux pas tomber dans le piège de les encourager pareil en étant contre mais cliquant sur leur page pour justifier leur salaire, donc je n'y vais plus.

C'est moi qui ai suggéré à ce qu'on puisse voir l'auteur d'une nouvelle ou chronique parce que je me suis fait prendre à quelques occasions. Les 1ères phrases visibles ici sont neutres alors je clique dessus et me ramasse en plein délire d'un chroniqueur mégalomane.

Pour ce qui est des commentaires (même ici) si ça commence par "Nos enfants roi", "Au Québec on fait dur", "Les terroristes" ou "Gouvernemaman", "gogauche", "Communistes", ect... Je passe outre directement sans les lire.

Il faut dire que le gouvernement avec "50 cents par jours", "Trop tard c'est signé, gnan, gnan", "Terroristes violents", "En bon père de famille que je suis" dixit Charest, et autres, parle comme un vendeur de char usagé et ne fait rien pour élever le débat.
Ouai, quand on a un gouvernement qui infantilise les débats par ce type de phrase, c'est vrai qu'en face on ne peut pas avoir autre chose.

Je trouve ça bien ton idée pour l'auteur de la nouvelle.

Publié : dim. juin 03, 2012 3:19 pm
par Anya
Tout lire >>Négocier de bonne foi 
Simon Tremblay-Pepin
IRIS

Il n’est pas évident que les parties attablées à une négociation y sont de bonne foi. Afin de mesurer celle-ci, on peut tenter d’évaluer capacité à faire des concessions pour parvenir à une entente. Le gouvernement et les étudiants remettent en question l’ouverture de la partie adverse. Regardons un peu les offres venues de chaque côté afin de voir qui a fait le plus de concessions lors des négociations qui viennent de se terminer.

Publié : dim. juin 03, 2012 3:40 pm
par Skarhet
lucide a écrit : [...]



Je dirais que si tu restes a Montreal probablement pas....

Mais je suis a 30 minutes de Montreal, la secretaire de mon école monoparentale a pu avoir un condo pour 120,000$, des maisons de ville a 160,000 etc.... Je pense que ca depend ou tu restes !
Je suis à Montréal en effet... J'y travaille aussi.

Publié : dim. juin 03, 2012 3:44 pm
par Placeress
Anya a écrit :
Tout lire >>Négocier de bonne foi 
Simon Tremblay-Pepin
IRIS

Il n’est pas évident que les parties attablées à une négociation y sont de bonne foi. Afin de mesurer celle-ci, on peut tenter d’évaluer capacité à faire des concessions pour parvenir à une entente. Le gouvernement et les étudiants remettent en question l’ouverture de la partie adverse. Regardons un peu les offres venues de chaque côté afin de voir qui a fait le plus de concessions lors des négociations qui viennent de se terminer.

Intéressant

Publié : dim. juin 03, 2012 4:20 pm
par lolilou
Anya a écrit :
Tout lire >>Négocier de bonne foi 
Simon Tremblay-Pepin
IRIS

Il n’est pas évident que les parties attablées à une négociation y sont de bonne foi. Afin de mesurer celle-ci, on peut tenter d’évaluer capacité à faire des concessions pour parvenir à une entente. Le gouvernement et les étudiants remettent en question l’ouverture de la partie adverse. Regardons un peu les offres venues de chaque côté afin de voir qui a fait le plus de concessions lors des négociations qui viennent de se terminer.
Je l'avais lu ce billet, je pensais l'avoir mis ici... je sais plus. Je l'ai partagé sur FB...
Bien aimé en tout cas.

Publié : dim. juin 03, 2012 5:29 pm
par Anya
lolilou a écrit : [...]

Je l'avais lu ce billet, je pensais l'avoir mis ici... je sais plus. Je l'ai partagé sur FB...
Bien aimé en tout cas.
Kitsy a écrit : Un blogue que j'ai trouvé intéressant pour mieux comprendre les négociations entre les deux..les vraies concessions.. etc

http://www.iris-recherche.qc.ca/blogue/ ... bonne-foi/" onclick="window.open(this.href);return false;
:gla: Oups...T'as bien raison Lolilou, j'ai cherché et Kitsy avait déjà mis l'article, vendredi.

Publié : dim. juin 03, 2012 5:52 pm
par Anya
Tout lire >>L’Ontario ou le Triomphe de la paix sociale 
Alex Nado - Tribune libre de Vigile
2 juin 2012

C’est d’abord cette multitude d’intérêts qui minent les mouvements sociaux de la province. Le tissu social ontarien s’amincit d’année en année. Il est désormais trop faible pour être un terreau fertile à la contestation. L’individualisme propre aux sociétés libérales, combiné à un morcellement grandissant de la collectivité ontarienne, forme un puissant somnifère. Les citoyens s’endorment ensemble, mais se réveillent tout seuls.
Pour plusieurs, c’est une question de culture. De mœurs. Historiquement, il n’existe pas de "culture de la contestation" en Ontario, peut-on entendre. Mais cette culture est absente chez qui ? Les Presbytériens ? Les ouvriers ? Les Irlandais ? Ou alors les Musulmans ? Les femmes ? Les hommes ? Et pourquoi pas, tiens, les Franco-Ontariens ? La question est lancée : de quelle "culture" parle-t-on ? Qu’est-ce que la "culture ontarienne" qui n’a pas "l’habitude de la contestation" ? Pour se mobiliser, il faut d’abord s’avoir à qui s’adresser. Il faut d’abord trouver qui partagent nos frustrations, et après, la grande question : où a lieu la manifestation ! Il faut avoir des yeux pour ceux qui nous entourent et, surtout, avoir la ferme conviction que son bonheur individuel dépend du bonheur collectif.

Publié : dim. juin 03, 2012 5:59 pm
par bouquet
Placeress a écrit : [...]



Probablement parce que ça fait 219 pages qu'on en parle et que je peux pas croire que tu n'as pas trouvé réponse à ta question à travers ça.... :gla: :gla: :gla: :lol:

De deux, je ne crois pas que grand monde ici est nié que la CLASSE est l'aile plus radicale et qu'elle n'est pas flexible autre que le gel voire la gratuité.... certains partagent cet avis d'autres non..... c'est ainsi, la CLASSE c'est ça, c'est comme ça et je vois difficilement ce qu'il y a de plus à jaser à leur sujet autre que on es-tu en accord ou pas...

Je pense que la flexibilité des deux autres assos c'est dégradé également au fur et mesure que le conflit a perduré.... c'est normal c'est toujours comme ça dans un conflit... moins tu t'en occupe, plus ça dégénère.

Le rapport de force était au gouvernement avant, maintenant le rapport de force c'est partagé beaucoup plus au fil de temps et avec la lois.

Mais bon, messemble qu'on a déjà dit tout ça.... j'ai pas d'élément nouveau à t'apporter personnellement.. :)
c'est un peu décevant comme réponse, moi qui m'attendait à je sais pas trop quoi, la vie est remplie de déceptions... :lol:

Publié : dim. juin 03, 2012 6:12 pm
par bouquet
Marisopa a écrit : [...]

En même temps,on ne peut pas jouer sur les 2 tableaux.

D'une part, scander que les étudiants vont tellement rapporter en impôt que ça vaut la peine d'investir.

D'autre part, que les étudiants ne feront pas suffisamment d'argent pour rembourser leurs prèts.

C'est un ou c'est l'autre. :chepa:
c'est probablement qu,il y a des jobs qui demandent des études universitaires qui n,offrent pas nécessairement le gros lot en salaire pour débuter. Ce qui étaie le fait que ce n'est pas tous les étudiants qui peuvent s'endetter sans compter. Pourtant il s'agit de jobs nécessaires mais avec la mondialisation , les entreprises n'ont pas le choix, ils ne peuvent pas payer plus pour être compétitif. Ma solution personnelle serait que chaque entreprise faisant affaire dans un pays se devrait de faire fabriquer un pourcentage de son stock si ce n'est dans ce pays , du moins à un endroit où le niveau de vie est comparable. Il faut voir que la base de la société de consommation est né au début du siècle, dans les usines Ford. Henry Ford a augmenté les salaires des employés afin qu'ils aient les moyens de s'acheter une voiture.

Aujourd'hui, les grands loueurs mondiaux espèrent vendre des produits tout en ne donnant pas de jobs assez payantes aux gens pour qu,ils se les paient. Pourtant de grandes cie comme Volkswagen sont en mesure d'offrir de très bons salaires à leurs employés allemands. Encore là, on parle d'un principe de respect, tant pour les travailleurs d'usine que pour les universitaires.

Publié : dim. juin 03, 2012 6:23 pm
par Placeress
bouquet a écrit : [...]


c'est un peu décevant comme réponse, moi qui m'attendait à je sais pas trop quoi, la vie est remplie de déceptions... :lol:

:fume:

Publié : dim. juin 03, 2012 6:38 pm
par lolilou
Anya a écrit :
Tout lire >>L’Ontario ou le Triomphe de la paix sociale 
Alex Nado - Tribune libre de Vigile
2 juin 2012

C’est d’abord cette multitude d’intérêts qui minent les mouvements sociaux de la province. Le tissu social ontarien s’amincit d’année en année. Il est désormais trop faible pour être un terreau fertile à la contestation. L’individualisme propre aux sociétés libérales, combiné à un morcellement grandissant de la collectivité ontarienne, forme un puissant somnifère. Les citoyens s’endorment ensemble, mais se réveillent tout seuls.
Pour plusieurs, c’est une question de culture. De mœurs. Historiquement, il n’existe pas de "culture de la contestation" en Ontario, peut-on entendre. Mais cette culture est absente chez qui ? Les Presbytériens ? Les ouvriers ? Les Irlandais ? Ou alors les Musulmans ? Les femmes ? Les hommes ? Et pourquoi pas, tiens, les Franco-Ontariens ? La question est lancée : de quelle "culture" parle-t-on ? Qu’est-ce que la "culture ontarienne" qui n’a pas "l’habitude de la contestation" ? Pour se mobiliser, il faut d’abord s’avoir à qui s’adresser. Il faut d’abord trouver qui partagent nos frustrations, et après, la grande question : où a lieu la manifestation ! Il faut avoir des yeux pour ceux qui nous entourent et, surtout, avoir la ferme conviction que son bonheur individuel dépend du bonheur collectif.
Ça me fait freaker de lire ça de l'Ontario... O_o On se croirait dans le film La Matrice.
Bon, peut-être aussi que eux sont bien là-dedans... je sais pas. Si ils trouvent la vie trop plate chez eux, ils peuvent venir à Montréal :gla:

Non sérieusement, je ne sais vraiment pas quoi penser de cette province. J'ai été à Ottawa souvent lors de mon tout 1er séjour au Québec y-a 18 ans, j'y faisais un stage. Pis franchement, j'ai toujours trouvé l'ambiance différente, les anglophones ne fonctionnent pas comme les francophones. Ils m'ont toujours semblée + sages.

C'est peut-être juste une histoire de culture propre aux gens de l'Ontario. Je prends les allemands en comparaison qui eux aussi sont sages, plus posés que les Français. C'est une culture qui obéit si on peut dire, qui marche droit. Avec eux ça marche l'austérité.

Publié : dim. juin 03, 2012 6:39 pm
par lolilou
Anya a écrit : [...]


[...]


:gla: Oups...T'as bien raison Lolilou, j'ai cherché et Kitsy avait déjà mis l'article, vendredi.
ah ok, c'est pas moi qui l'avait mis mais je l'avais lu en passant par ici. :top:

Publié : dim. juin 03, 2012 6:40 pm
par Capuchino
bouquet a écrit : [...]


c'est probablement qu,il y a des jobs qui demandent des études universitaires qui n,offrent pas nécessairement le gros lot en salaire pour débuter. Ce qui étaie le fait que ce n'est pas tous les étudiants qui peuvent s'endetter sans compter. Pourtant il s'agit de jobs nécessaires mais avec la mondialisation , les entreprises n'ont pas le choix, ils ne peuvent pas payer plus pour être compétitif. Ma solution personnelle serait que chaque entreprise faisant affaire dans un pays se devrait de faire fabriquer un pourcentage de son stock si ce n'est dans ce pays , du moins à un endroit où le niveau de vie est comparable. Il faut voir que la base de la société de consommation est né au début du siècle, dans les usines Ford. Henry Ford a augmenté les salaires des employés afin qu'ils aient les moyens de s'acheter une voiture.

Aujourd'hui, les grands loueurs mondiaux espèrent vendre des produits tout en ne donnant pas de jobs assez payantes aux gens pour qu,ils se les paient. Pourtant de grandes cie comme Volkswagen sont en mesure d'offrir de très bons salaires à leurs employés allemands. Encore là, on parle d'un principe de respect, tant pour les travailleurs d'usine que pour les universitaires.
On va créer un nouveau problème, car les prix vont être tellement élevés que les gens vont aller magasiner aux Etats-Unis ou ailleurs surtout qu'avec internet les marchés sont rendus internationaux. Les entreprises n'ont pas le choix d'être compétitives sinon elles ferment leurs portes. Pas d'entreprises = pas d'emplois. C'est assez utopique de croire qu'on peut adapter les entreprises selon les besoins des employés. L'économie est basée sur l'offre et la demande, c'est aussi vrai pour les produits que pour les types d'emplois. Quand il y a une forte demande les prix sont à la hausse, c'est aussi vrai pour l'inverse. Cependant, si on suit la logique de vouloir profiter des profits, il faut aussi absorber les pertes quand il y en a. Rendu là, c'est rare que ceux qui sont pour la répartition de la richesse soient aussi en faveur de la répartition des pertes.