Tout lire >>Tout sauf Charest Michel David
Le Devoir
« La crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse », dit la Bible. Ces jours-ci, c’est plutôt la crainte de Jean Charest qui en fait réfléchir plusieurs.
En faisant resurgir le spectre d’une victoire libérale qu’on avait crue impensable, la crise étudiante a eu pour effet de relancer le débat sur la nécessité d’un front commun des forces souverainistes, dont l’idée semblait définitivement enterrée.
Assez déprimant...
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Tout lire >>Tout sauf Charest Michel David
Le Devoir
« La crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse », dit la Bible. Ces jours-ci, c’est plutôt la crainte de Jean Charest qui en fait réfléchir plusieurs.
En faisant resurgir le spectre d’une victoire libérale qu’on avait crue impensable, la crise étudiante a eu pour effet de relancer le débat sur la nécessité d’un front commun des forces souverainistes, dont l’idée semblait définitivement enterrée.
Ben le temps d'y penser gang de morons .....ah on se voulait tous chef de parti......ben là c'est ça.....vs l'êtes et vs divisez le vote....on dirait qu'ils viennent juste d'allumer....pffffff
Ben le temps d'y penser gang de morons .....ah on se voulait tous chef de parti......ben là c'est ça.....vs l'êtes et vs divisez le vote....on dirait qu'ils viennent juste d'allumer....pffffff
On s'est divisé mais là, il faut s'allier illico pour ne pas diviser... ALLO ...
J'comprend que Marois branche pas.. mais on s'attendait à quoi...
Mais est-ce bien la raison de cette mévente?
Pas complètement, et plus probablement… pas tellement.
Les clientèles américaines et sud-américaines ont cette année une autre option en Amérique du Nord: le retour de la Formule 1 aux États-Unis.
Les étudiants militants ont été très offusqués de se voir traités d'«enfants gâtés». Mais après plus de 100 jours de grève et quelques séances de négociation avortées, on peut juger l'arbre à ses fruits.
Toutes les «offres» soumises au gouvernement par les leaders étudiants ont démontré que malgré les beaux discours altruistes des carrés rouges, ils n'avaient qu'un objectif, et un seul: faire payer leurs droits de scolarité par les autres, fussent-ils des contribuables à petits revenus, les étudiants-travailleurs du secteur professionnel ou les familles modestes bénéficiant du programme d'épargne-études.
Selon le récit détaillé qu'en a fait Le Devoir, la FECQ et la FEUQ ont sauté à pieds joints sur la suggestion gouvernementale (fort contestable au demeurant) de prélever à leur bénéfice une partie du crédit d'impôt pour les frais scolaires et examens (CIFSE).
La CLASSE souffle le chaud et le froid sur Montréal, une situation qui risque non seulement de perturber la métropole cet été, mais aussi de desservir la cause pour laquelle elle se bat.
Depuis la fin abrupte des négociations, la semaine dernière, les porte-parole de la Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante ont repris leurs appels à la mobilisation. Ils invitent leurs membres à se joindre à leurs «actions de visibilité», à défier la loi 78, à commettre des gestes de désobéissance civile.
Première victime: la journée portes ouvertes du Grand Prix qui a été annulée «compte tenu des annonces de perturbation récemment formulées». Avec raison, les organisateurs ont refusé de courir le risque, aussi minime soit-il, qu'un débordement n'ait de fâcheuses conséquences.
QUÉBEC - Les étudiants du secteur technique au cégep sont les grands perdants dans la présente crise. Ils sont aussi les grands oubliés. Leurs propres leaders n’ont eu aucune considération pour eux au cours des quatre derniers mois.
Ces étudiants ne sont pas touchés par la hausse des frais de scolarité à l’université puisqu’ils ne la fréquenteront pas. Ils sont cependant retardés dans leur formation et conséquemment pour leur entrée sur le marché du travail.
Mais pire, la CLASSE et la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), qui se partagent la représentation des cégépiens, se sont même associées à une proposition qui consistait en un gel des frais de scolarité, compensé par une annulation ou un rabattement du crédit d’impôt dont profitent les étudiants. Gabriel Nadeau-Dubois et Léo Bureau-Blouin étaient prêts à priver leurs membres qui ne se destinent pas à des études universitaires d’un avantage fiscal afin de servir les intérêts de ceux qui se dirigent vers l’université plutôt que vers un métier.
Il n’y a plus personne aujourd’hui qui croit encore qu’avoir réglé la question de la hausse des frais de scolarité, la semaine dernière, aurait ramené le calme politique et la paix sociale au Québec.
On a tous compris que la crise étudiante n’était qu’un cheval de Troie dans une bataille beaucoup plus vaste et ambitieuse, qui couve, et parfois éclate depuis avril 2003, date de l’élection de Jean Charest.
On connaît aussi très bien les protagonistes de ce conflit et leurs enjeux. L’ensemble a été décrit très efficacement par Lucien Bouchard et ses acolytes, en 2005, dans leur pamphlet Pour un Québec lucide.
Vous vous en souvenez ? Il prévenait que le Québec n’a plus les moyens d’être « la république du statu quo ». Bouchard disait, essentiellement, que le Québec n’a plus les moyens de se payer le paradis social-démocrate qu’il est devenu.
À Québec, les manifestants ont été pris en souricière par les policiers dans le quartier Petit Champlain. Le politicien Amir Khadir est parmi eux.
La police était présente pour encadrer la marche dès le début de la manifestation, ce qu'elle n'avait pas fait depuis samedi. Fidèles à leur habitude, les manifestants de Québec ont voté devant l'Assemblée nationale pour décider s'ils allaient remettre aux autorités leur itinéraire. Ils ont finalement choisi de ne pas le donner. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/so ... ebec.shtml" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Anya le mar. juin 05, 2012 10:32 pm, modifié 1 fois.
Ils ont dit qu'il serait libéré sur place mais les autobus sont parties et personne ne sait où ils vont. apparemment que ce ne serait pas au poste de police. bizarre
Amir Khadir a été l'un des premiers à pénétrer à l'intérieur du véhicule. Il est demeuré assis à l'arrière en discutant avec les autres près de lui. Il n'a pas tourné la tête vers les caméras.
Vers 22h30, les autobus ont quitté vers la centrale du parc Victoria. La côte de la Montagne a été rouverte à 22h45.
Chaque personne devait recevoir un constat d'infraction de 494 $ en vertu de l'article 500.1 du Code de la sécurité routière. Une fois l'identification complétée au poste, les gens devaient être libérés.
Earendil a écrit : voila je vous le disais gens de droite il y a pu de democratie
Il y a peut etre été torturé avec ca ????? Il a eu sa contrevention comme tous les manifestants qui sont en position illégale en ne respectant pas l'itinéraire donné pour la manifestation.
Moi je serais plutot interessé a savoir si dans les procedures ministerielles il a le droit de garder son poste de député quand tu efreins une loi gouvernemental, car il fait partie du caucus....
Madame David et son parti etaient pas tres contents de le voir promouvoir la désobissance civile il a du se retracter.
Il y a peut etre été torturé avec ca ????? Il a eu sa contrevention comme tous les manifestants qui sont en position illégale en ne respectant pas l'itinéraire donné pour la manifestation.
Moi je serais plutot interessé a savoir si dans les procedures ministerielles il a le droit de garder son poste de député quand tu efreins une loi gouvernemental, car il fait partie du caucus....
Madame David et son parti etaient pas tres contents de le voir promouvoir la désobissance civile il a du se retracter.
Tsé, on a des députés et ministres libéraux qui mangent avec la mafia et qui trempent dans des affaires croches, je pense que ce serait un peu malvenu de faire tomber quelqu'un qui ne respecte pas un itinéraire...