Élection au Provincial
Red K a écritY'a-t-il beaucoup d'endroit dans le monde ou ils ont été obligé de voter aussi souvent que nous en si peu de temps. Et en plus, je vote dans le comté de Roberval ou il y a eu une partielle l'an passé au fédéral.
Un m'ment d'né, ça commence à bien faire, ça devient totalement ridicule.
Et dire qu'il y en a (probablement des libéraux qui ne voient aucun problème à avoir une campagne électoral cette année) qui vont sûrement s'insurger lorsque viendra le moment d'un 3ième référendum sur un sujet aussi important que l'avenir d'un peuple.
Stivident! --Message edité par Gillo le 2008-11-15 12:38:35--
Un m'ment d'né, ça commence à bien faire, ça devient totalement ridicule.
Et dire qu'il y en a (probablement des libéraux qui ne voient aucun problème à avoir une campagne électoral cette année) qui vont sûrement s'insurger lorsque viendra le moment d'un 3ième référendum sur un sujet aussi important que l'avenir d'un peuple.
Stivident! --Message edité par Gillo le 2008-11-15 12:38:35--
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
Beppo a écrit
Je ne comprends pas...
Ce que je veux dire c'est qu'il y a des tonnes de raisons de ne pas voter pour Charest parce qu'on est pas d'accord avec ses réalisations ou ses non réalisations ou ses objectifs futurs.
Mais que je crois que c'est pueril et irresponsable de voter aveuglement pour quelqu'un d'autre simplement parce que le premier ministre a déclenché des élections et qu'on en voulait pas comme punition.
Effectivement c'est un geste opportuniste, mais quel politicien ou parti politique ne l'est pas. Et personnellement j'en aurais aussi ras le bol de tenter de gouverner en coalition avec la gang d'incompetents de l'ADQ qui connaissent en rien les dossiers dont les interventions ne font pas avancer les choses.
De plus pour moi me débarasser de Mario Dumont ca pas de prix
Je ne comprends pas...
Ce que je veux dire c'est qu'il y a des tonnes de raisons de ne pas voter pour Charest parce qu'on est pas d'accord avec ses réalisations ou ses non réalisations ou ses objectifs futurs.
Mais que je crois que c'est pueril et irresponsable de voter aveuglement pour quelqu'un d'autre simplement parce que le premier ministre a déclenché des élections et qu'on en voulait pas comme punition.
Effectivement c'est un geste opportuniste, mais quel politicien ou parti politique ne l'est pas. Et personnellement j'en aurais aussi ras le bol de tenter de gouverner en coalition avec la gang d'incompetents de l'ADQ qui connaissent en rien les dossiers dont les interventions ne font pas avancer les choses.
De plus pour moi me débarasser de Mario Dumont ca pas de prix
Mimosa a écritAvoir Charest comme PM, ça a un prix par contre
http://fr.youtube.com/watch?v=UUKKR1xLKDE
Mis bout à bout comme cela, c'est édifiant hein?
http://fr.youtube.com/watch?v=UUKKR1xLKDE
Mis bout à bout comme cela, c'est édifiant hein?
(Lévis) Un gouvernement adéquiste réduira le décrochage scolaire de moitié en un seul mandat, a promis Mario Dumont, samedi.
«L'objectif que je fixe: que le taux de décrochage scolaire au Québec descende sous la barre des 10%, a-t-il affirmé. Je veux que le décrochage pour l'ensemble des enfants baisse sous la barre des 10%, et que le décrochage chez les garçons passe sous la barre des 15%.»Selon les dernières données du ministère de l'Éducation, publiées en 2005-2006, 24% des élèves quittent le secondaire sans décrocher leur diplôme. La proportion est encore plus élevée chez les garçons: 30%.
M. Dumont n'a pas précisé de quelle façon il entend atteindre son objectif.
Dans un long discours, prononcé devant 350 personnes, il a toutefois écorché la réforme instituée par Pauline Marois, la qualifiant d'«erreur» qui a éliminé la «culture de l'effort» dans les salles de classe. Il a parlé de «rétablir l'autorité» des enseignants.
L'ADQ souhaite abolir les commissions scolaires afin de confier plus d'argent et plus d'autonomie aux écoles. Au cours des derniers jours, le chef a fait l'éloge des programmes sports-études et arts-études, qu'il a présentés comme d'excellents moyens de contrer le décrochage.
L'objectif de réduire le taux sous la barre des 10% est parfaitement réaliste, a-t-il soutenu.
«Ce n'est pas possible pour des gens qui, pendant des années, ont cultivé à l'école le nivellement par le bas, a-t-il affirmé. Ce n'est pas possible pour des gens qui, année après année, ont mis de l'argent dans la bureaucratie pendant qu'on coupait sur le terrain dans ce qui est de plus fondamental, ce dont les enfants avaient besoin.»
Mario Dumont a effectué un second passage en autant de jours sur la rive sud de Québec, un secteur considéré comme un château fort pour son parti. Il a été accueilli par l'une des plus imposantes foules depuis le début de la campagne dans une cabane à sucre de Saint-Nicolas.
source: cyberpresse.ca
«L'objectif que je fixe: que le taux de décrochage scolaire au Québec descende sous la barre des 10%, a-t-il affirmé. Je veux que le décrochage pour l'ensemble des enfants baisse sous la barre des 10%, et que le décrochage chez les garçons passe sous la barre des 15%.»Selon les dernières données du ministère de l'Éducation, publiées en 2005-2006, 24% des élèves quittent le secondaire sans décrocher leur diplôme. La proportion est encore plus élevée chez les garçons: 30%.
M. Dumont n'a pas précisé de quelle façon il entend atteindre son objectif.
Dans un long discours, prononcé devant 350 personnes, il a toutefois écorché la réforme instituée par Pauline Marois, la qualifiant d'«erreur» qui a éliminé la «culture de l'effort» dans les salles de classe. Il a parlé de «rétablir l'autorité» des enseignants.
L'ADQ souhaite abolir les commissions scolaires afin de confier plus d'argent et plus d'autonomie aux écoles. Au cours des derniers jours, le chef a fait l'éloge des programmes sports-études et arts-études, qu'il a présentés comme d'excellents moyens de contrer le décrochage.
L'objectif de réduire le taux sous la barre des 10% est parfaitement réaliste, a-t-il soutenu.
«Ce n'est pas possible pour des gens qui, pendant des années, ont cultivé à l'école le nivellement par le bas, a-t-il affirmé. Ce n'est pas possible pour des gens qui, année après année, ont mis de l'argent dans la bureaucratie pendant qu'on coupait sur le terrain dans ce qui est de plus fondamental, ce dont les enfants avaient besoin.»
Mario Dumont a effectué un second passage en autant de jours sur la rive sud de Québec, un secteur considéré comme un château fort pour son parti. Il a été accueilli par l'une des plus imposantes foules depuis le début de la campagne dans une cabane à sucre de Saint-Nicolas.
source: cyberpresse.ca
'' Le bonheur, c'est le temps que dure la surprise d'avoir cessé d'avoir mal'' Réjean Ducharme- du roman L'hiver de force
''L'art sauvera le monde.'' Fiodor Dostoïevski
''L'enfance est un couteau planté dans la gorge'' tiré de Incendies de Wajdi Mouhawad
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ADQ
Plaidoyer pour la famille
Mise à jour le samedi 15 novembre 2008 à 12 h 47
Une cabane à sucre à Saint-Nicolas, avec plusieurs enfants en bas âge dans l'assistance, c'est le lieu qu'a choisi Mario Dumont pour vanter ses engagements en matière d'éducation et de famille.
Le chef adéquiste entend ainsi faire passer le taux de décrochage scolaire de 25 % à 10 % (plus spécifiquement à 15 % pour les garçons).
S'il n'a annoncé aucune mesure concrète pour y parvenir, Mario Dumont entend réformer l'école et « réparer la protection de la jeunesse », afin que les jeunes portent « le manteau de l'équipe de football plutôt que le manteau des gangs de rue ». Il envisage, entre autres, de rappeler des professeurs à la retraite pour soutenir les jeunes élèves. L'ADQ veut aussi « responsabiliser » le personnel scolaire et soutenir les professeurs qu'il estime peu appuyés.
« Ce que la réforme Marois a fait dans les écoles, c'est terrible », a-t-il ajouté. M. Dumont estime que la réforme scolaire, basée sur les compétences, est « contraire aux principes élémentaires » et qu'elle est le fruit d'une « dérive bureaucratique ».
L'ADQ rêve d'un Québec avec plus d'enfants
Outre l'école, le chef de l'ADQ a insisté sur le taux de natalité de la province. « Dans le Québec dont on rêve, il doit y avoir plus d'enfants », a-t-il lancé aux partisans. Mario Dumont a rappelé des mesures déjà annoncées pour ce faire: une aide aux couples ayant des problèmes d'infertilité ou encore une allocation de 5000 $ pour un troisième enfant.
Ces mesures s'insèrent dans un discours plus large, où Mario Dumont a voulu transmettre son message aux familles. Il a rappelé son opposition au modèle de garderie subventionnée comme « unique choix » offert aux parents, lui préférant une allocation de 100 $ par enfant par semaine. Il a réitéré sa volonté de réduire la dette publique et celle de « remettre de l'argent dans les poches de la classe moyenne ».
L'« urgence » d'Andrée Ruffo
L'ancienne juge Andrée Ruffo au rassemblement de l'ADQ
Au préalable, l'ancienne juge de la Chambre de la jeunesse Andrée Ruffo a pris la parole devant les militants adéquistes. Connue pour sa défense des droits des enfants, au risque de mettre son devoir d'impartialité en jeu, elle avait démissionné en 2006, afin d'éviter la destitution.
« Je crois encore aux familles. [...] Ce n'est pas vrai que c'est l'État qui donne de l'amour aux enfants », a-t-elle lancé en allusion au programme de garderies. Et d'ajouter : « Il faut revenir à la communauté et c'est urgent de le faire ».
Au sujet du cours d'éthique et de culture religieuse, auquel Mario Dumont s'oppose, elle a déclaré que « des enfants de 6 ans, ça ne peut pas avoir accès à une large culture, à l'histoire des religions ».
Elle estime qu'il y a « urgence de se recentrer sur les enfants », notamment ceux qui sont « parqués » dans les centres de réadaptation.
« Mais qui va se lever et va vraiment aider les familles à faire en sorte que leurs enfants deviennent de grands et beaux citoyens? », s'est interrogée Mme Ruffo. Elle n'a toutefois pas répondu à sa propre question, n'apportant pas explicitement son soutien à l'ADQ.
J'y étais avec mon mari mes enfants mes parents et des amis wow! c'est impressionnant et remontant de voir autant d'adéquistes. J'pense que je vais me prendre une carte de membre. --Message edité par .anthurium. le 2008-11-15 14:24:41--
Plaidoyer pour la famille
Mise à jour le samedi 15 novembre 2008 à 12 h 47
Une cabane à sucre à Saint-Nicolas, avec plusieurs enfants en bas âge dans l'assistance, c'est le lieu qu'a choisi Mario Dumont pour vanter ses engagements en matière d'éducation et de famille.
Le chef adéquiste entend ainsi faire passer le taux de décrochage scolaire de 25 % à 10 % (plus spécifiquement à 15 % pour les garçons).
S'il n'a annoncé aucune mesure concrète pour y parvenir, Mario Dumont entend réformer l'école et « réparer la protection de la jeunesse », afin que les jeunes portent « le manteau de l'équipe de football plutôt que le manteau des gangs de rue ». Il envisage, entre autres, de rappeler des professeurs à la retraite pour soutenir les jeunes élèves. L'ADQ veut aussi « responsabiliser » le personnel scolaire et soutenir les professeurs qu'il estime peu appuyés.
« Ce que la réforme Marois a fait dans les écoles, c'est terrible », a-t-il ajouté. M. Dumont estime que la réforme scolaire, basée sur les compétences, est « contraire aux principes élémentaires » et qu'elle est le fruit d'une « dérive bureaucratique ».
L'ADQ rêve d'un Québec avec plus d'enfants
Outre l'école, le chef de l'ADQ a insisté sur le taux de natalité de la province. « Dans le Québec dont on rêve, il doit y avoir plus d'enfants », a-t-il lancé aux partisans. Mario Dumont a rappelé des mesures déjà annoncées pour ce faire: une aide aux couples ayant des problèmes d'infertilité ou encore une allocation de 5000 $ pour un troisième enfant.
Ces mesures s'insèrent dans un discours plus large, où Mario Dumont a voulu transmettre son message aux familles. Il a rappelé son opposition au modèle de garderie subventionnée comme « unique choix » offert aux parents, lui préférant une allocation de 100 $ par enfant par semaine. Il a réitéré sa volonté de réduire la dette publique et celle de « remettre de l'argent dans les poches de la classe moyenne ».
L'« urgence » d'Andrée Ruffo
L'ancienne juge Andrée Ruffo au rassemblement de l'ADQ
Au préalable, l'ancienne juge de la Chambre de la jeunesse Andrée Ruffo a pris la parole devant les militants adéquistes. Connue pour sa défense des droits des enfants, au risque de mettre son devoir d'impartialité en jeu, elle avait démissionné en 2006, afin d'éviter la destitution.
« Je crois encore aux familles. [...] Ce n'est pas vrai que c'est l'État qui donne de l'amour aux enfants », a-t-elle lancé en allusion au programme de garderies. Et d'ajouter : « Il faut revenir à la communauté et c'est urgent de le faire ».
Au sujet du cours d'éthique et de culture religieuse, auquel Mario Dumont s'oppose, elle a déclaré que « des enfants de 6 ans, ça ne peut pas avoir accès à une large culture, à l'histoire des religions ».
Elle estime qu'il y a « urgence de se recentrer sur les enfants », notamment ceux qui sont « parqués » dans les centres de réadaptation.
« Mais qui va se lever et va vraiment aider les familles à faire en sorte que leurs enfants deviennent de grands et beaux citoyens? », s'est interrogée Mme Ruffo. Elle n'a toutefois pas répondu à sa propre question, n'apportant pas explicitement son soutien à l'ADQ.
J'y étais avec mon mari mes enfants mes parents et des amis wow! c'est impressionnant et remontant de voir autant d'adéquistes. J'pense que je vais me prendre une carte de membre. --Message edité par .anthurium. le 2008-11-15 14:24:41--
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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Annouk a écrit
Mis bout à bout comme cela, c'est édifiant hein?
Ouep ...
Et ça s'arrête en 2006, donc il manque 2 ans.. On peut tout de même ajouter quelques 80 millions pour des élections non-nécessaires..
Mis bout à bout comme cela, c'est édifiant hein?
Ouep ...
Et ça s'arrête en 2006, donc il manque 2 ans.. On peut tout de même ajouter quelques 80 millions pour des élections non-nécessaires..
Because they don't have a voice, you'll never stop hearing mine.
Great minds discuss ideas. Average minds discuss events. Small minds discuss people. - Eleanor Roosevelt
Great minds discuss ideas. Average minds discuss events. Small minds discuss people. - Eleanor Roosevelt
Autumn a écrit(Lévis) Un gouvernement adéquiste réduira le décrochage scolaire de moitié en un seul mandat, a promis Mario Dumont, samedi.
«L'objectif que je fixe: que le taux de décrochage scolaire au Québec descende sous la barre des 10%, a-t-il affirmé. Je veux que le décrochage pour l'ensemble des enfants baisse sous la barre des 10%, et que le décrochage chez les garçons passe sous la barre des 15%.»Selon les dernières données du ministère de l'Éducation, publiées en 2005-2006, 24% des élèves quittent le secondaire sans décrocher leur diplôme. La proportion est encore plus élevée chez les garçons: 30%.
M. Dumont n'a pas précisé de quelle façon il entend atteindre son objectif.
Dans un long discours, prononcé devant 350 personnes, il a toutefois écorché la réforme instituée par Pauline Marois, la qualifiant d'«erreur» qui a éliminé la «culture de l'effort» dans les salles de classe. Il a parlé de «rétablir l'autorité» des enseignants.
L'ADQ souhaite abolir les commissions scolaires afin de confier plus d'argent et plus d'autonomie aux écoles. Au cours des derniers jours, le chef a fait l'éloge des programmes sports-études et arts-études, qu'il a présentés comme d'excellents moyens de contrer le décrochage.
L'objectif de réduire le taux sous la barre des 10% est parfaitement réaliste, a-t-il soutenu.
«Ce n'est pas possible pour des gens qui, pendant des années, ont cultivé à l'école le nivellement par le bas, a-t-il affirmé. Ce n'est pas possible pour des gens qui, année après année, ont mis de l'argent dans la bureaucratie pendant qu'on coupait sur le terrain dans ce qui est de plus fondamental, ce dont les enfants avaient besoin.»
Mario Dumont a effectué un second passage en autant de jours sur la rive sud de Québec, un secteur considéré comme un château fort pour son parti. Il a été accueilli par l'une des plus imposantes foules depuis le début de la campagne dans une cabane à sucre de Saint-Nicolas.
source: cyberpresse.ca
Encore un voeu pieux.....
«L'objectif que je fixe: que le taux de décrochage scolaire au Québec descende sous la barre des 10%, a-t-il affirmé. Je veux que le décrochage pour l'ensemble des enfants baisse sous la barre des 10%, et que le décrochage chez les garçons passe sous la barre des 15%.»Selon les dernières données du ministère de l'Éducation, publiées en 2005-2006, 24% des élèves quittent le secondaire sans décrocher leur diplôme. La proportion est encore plus élevée chez les garçons: 30%.
M. Dumont n'a pas précisé de quelle façon il entend atteindre son objectif.
Dans un long discours, prononcé devant 350 personnes, il a toutefois écorché la réforme instituée par Pauline Marois, la qualifiant d'«erreur» qui a éliminé la «culture de l'effort» dans les salles de classe. Il a parlé de «rétablir l'autorité» des enseignants.
L'ADQ souhaite abolir les commissions scolaires afin de confier plus d'argent et plus d'autonomie aux écoles. Au cours des derniers jours, le chef a fait l'éloge des programmes sports-études et arts-études, qu'il a présentés comme d'excellents moyens de contrer le décrochage.
L'objectif de réduire le taux sous la barre des 10% est parfaitement réaliste, a-t-il soutenu.
«Ce n'est pas possible pour des gens qui, pendant des années, ont cultivé à l'école le nivellement par le bas, a-t-il affirmé. Ce n'est pas possible pour des gens qui, année après année, ont mis de l'argent dans la bureaucratie pendant qu'on coupait sur le terrain dans ce qui est de plus fondamental, ce dont les enfants avaient besoin.»
Mario Dumont a effectué un second passage en autant de jours sur la rive sud de Québec, un secteur considéré comme un château fort pour son parti. Il a été accueilli par l'une des plus imposantes foules depuis le début de la campagne dans une cabane à sucre de Saint-Nicolas.
source: cyberpresse.ca
Encore un voeu pieux.....
lucide a écrit
Encore un voeu pieux.....
J'espère que les voeux pieux ne sont pas l'apanage exclusivement de l'ADQ. De chaque côté, il y en a des tonnes pour des milliards de dollars. À les écouter, il est à se demander si nous nous dirigeons vers une crise économique.
Encore un voeu pieux.....
J'espère que les voeux pieux ne sont pas l'apanage exclusivement de l'ADQ. De chaque côté, il y en a des tonnes pour des milliards de dollars. À les écouter, il est à se demander si nous nous dirigeons vers une crise économique.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
.anthurium. a écritADQ
Plaidoyer pour la famille
Mise à jour le samedi 15 novembre 2008 à 12 h 47
Une cabane à sucre à Saint-Nicolas, avec plusieurs enfants en bas âge dans l'assistance, c'est le lieu qu'a choisi Mario Dumont pour vanter ses engagements en matière d'éducation et de famille.
Le chef adéquiste entend ainsi faire passer le taux de décrochage scolaire de 25 % à 10 % (plus spécifiquement à 15 % pour les garçons).
S'il n'a annoncé aucune mesure concrète pour y parvenir, Mario Dumont entend réformer l'école et « réparer la protection de la jeunesse », afin que les jeunes portent « le manteau de l'équipe de football plutôt que le manteau des gangs de rue ». Il envisage, entre autres, de rappeler des professeurs à la retraite pour soutenir les jeunes élèves. L'ADQ veut aussi « responsabiliser » le personnel scolaire et soutenir les professeurs qu'il estime peu appuyés.
« Ce que la réforme Marois a fait dans les écoles, c'est terrible », a-t-il ajouté. M. Dumont estime que la réforme scolaire, basée sur les compétences, est « contraire aux principes élémentaires » et qu'elle est le fruit d'une « dérive bureaucratique ».
L'ADQ rêve d'un Québec avec plus d'enfants
Outre l'école, le chef de l'ADQ a insisté sur le taux de natalité de la province. « Dans le Québec dont on rêve, il doit y avoir plus d'enfants », a-t-il lancé aux partisans. Mario Dumont a rappelé des mesures déjà annoncées pour ce faire: une aide aux couples ayant des problèmes d'infertilité ou encore une allocation de 5000 $ pour un troisième enfant.
Ces mesures s'insèrent dans un discours plus large, où Mario Dumont a voulu transmettre son message aux familles. Il a rappelé son opposition au modèle de garderie subventionnée comme « unique choix » offert aux parents, lui préférant une allocation de 100 $ par enfant par semaine. Il a réitéré sa volonté de réduire la dette publique et celle de « remettre de l'argent dans les poches de la classe moyenne ».
L'« urgence » d'Andrée Ruffo
L'ancienne juge Andrée Ruffo au rassemblement de l'ADQ
Au préalable, l'ancienne juge de la Chambre de la jeunesse Andrée Ruffo a pris la parole devant les militants adéquistes. Connue pour sa défense des droits des enfants, au risque de mettre son devoir d'impartialité en jeu, elle avait démissionné en 2006, afin d'éviter la destitution.
« Je crois encore aux familles. [...] Ce n'est pas vrai que c'est l'État qui donne de l'amour aux enfants », a-t-elle lancé en allusion au programme de garderies. Et d'ajouter : « Il faut revenir à la communauté et c'est urgent de le faire ».
Au sujet du cours d'éthique et de culture religieuse, auquel Mario Dumont s'oppose, elle a déclaré que « des enfants de 6 ans, ça ne peut pas avoir accès à une large culture, à l'histoire des religions ».
Elle estime qu'il y a « urgence de se recentrer sur les enfants », notamment ceux qui sont « parqués » dans les centres de réadaptation.
« Mais qui va se lever et va vraiment aider les familles à faire en sorte que leurs enfants deviennent de grands et beaux citoyens? », s'est interrogée Mme Ruffo. Elle n'a toutefois pas répondu à sa propre question, n'apportant pas explicitement son soutien à l'ADQ.
J'y étais avec mon mari mes enfants mes parents et des amis wow! c'est impressionnant et remontant de voir autant d'adéquistes. J'pense que je vais me prendre une carte de membre.
Faut être épais rare pour avancer une telle affirmation. D'offrir un service, est-ce suppléer à l'état? Elle ne change pas la bonne dame. Elle crie fort mais ne résout rien. Même maudite affaire du temps qu'elle était juge. --Message edité par Beppo le 2008-11-15 16:33:38--
Plaidoyer pour la famille
Mise à jour le samedi 15 novembre 2008 à 12 h 47
Une cabane à sucre à Saint-Nicolas, avec plusieurs enfants en bas âge dans l'assistance, c'est le lieu qu'a choisi Mario Dumont pour vanter ses engagements en matière d'éducation et de famille.
Le chef adéquiste entend ainsi faire passer le taux de décrochage scolaire de 25 % à 10 % (plus spécifiquement à 15 % pour les garçons).
S'il n'a annoncé aucune mesure concrète pour y parvenir, Mario Dumont entend réformer l'école et « réparer la protection de la jeunesse », afin que les jeunes portent « le manteau de l'équipe de football plutôt que le manteau des gangs de rue ». Il envisage, entre autres, de rappeler des professeurs à la retraite pour soutenir les jeunes élèves. L'ADQ veut aussi « responsabiliser » le personnel scolaire et soutenir les professeurs qu'il estime peu appuyés.
« Ce que la réforme Marois a fait dans les écoles, c'est terrible », a-t-il ajouté. M. Dumont estime que la réforme scolaire, basée sur les compétences, est « contraire aux principes élémentaires » et qu'elle est le fruit d'une « dérive bureaucratique ».
L'ADQ rêve d'un Québec avec plus d'enfants
Outre l'école, le chef de l'ADQ a insisté sur le taux de natalité de la province. « Dans le Québec dont on rêve, il doit y avoir plus d'enfants », a-t-il lancé aux partisans. Mario Dumont a rappelé des mesures déjà annoncées pour ce faire: une aide aux couples ayant des problèmes d'infertilité ou encore une allocation de 5000 $ pour un troisième enfant.
Ces mesures s'insèrent dans un discours plus large, où Mario Dumont a voulu transmettre son message aux familles. Il a rappelé son opposition au modèle de garderie subventionnée comme « unique choix » offert aux parents, lui préférant une allocation de 100 $ par enfant par semaine. Il a réitéré sa volonté de réduire la dette publique et celle de « remettre de l'argent dans les poches de la classe moyenne ».
L'« urgence » d'Andrée Ruffo
L'ancienne juge Andrée Ruffo au rassemblement de l'ADQ
Au préalable, l'ancienne juge de la Chambre de la jeunesse Andrée Ruffo a pris la parole devant les militants adéquistes. Connue pour sa défense des droits des enfants, au risque de mettre son devoir d'impartialité en jeu, elle avait démissionné en 2006, afin d'éviter la destitution.
« Je crois encore aux familles. [...] Ce n'est pas vrai que c'est l'État qui donne de l'amour aux enfants », a-t-elle lancé en allusion au programme de garderies. Et d'ajouter : « Il faut revenir à la communauté et c'est urgent de le faire ».
Au sujet du cours d'éthique et de culture religieuse, auquel Mario Dumont s'oppose, elle a déclaré que « des enfants de 6 ans, ça ne peut pas avoir accès à une large culture, à l'histoire des religions ».
Elle estime qu'il y a « urgence de se recentrer sur les enfants », notamment ceux qui sont « parqués » dans les centres de réadaptation.
« Mais qui va se lever et va vraiment aider les familles à faire en sorte que leurs enfants deviennent de grands et beaux citoyens? », s'est interrogée Mme Ruffo. Elle n'a toutefois pas répondu à sa propre question, n'apportant pas explicitement son soutien à l'ADQ.
J'y étais avec mon mari mes enfants mes parents et des amis wow! c'est impressionnant et remontant de voir autant d'adéquistes. J'pense que je vais me prendre une carte de membre.
Faut être épais rare pour avancer une telle affirmation. D'offrir un service, est-ce suppléer à l'état? Elle ne change pas la bonne dame. Elle crie fort mais ne résout rien. Même maudite affaire du temps qu'elle était juge. --Message edité par Beppo le 2008-11-15 16:33:38--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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Publié le 15 novembre 2008 à 05h00 | Mis à jour à 05h00
Rien ne va plus dans l'organisation du PQ dans la grande région de Québec
Selon des personnes interrogées par Le Soleil, la période André Boisclair (ci-dessus pendant la campagne de 2007) a laissé de profondes cicatrices au PQ. Et Pauline Marois «n'a pas fait le ménage», affirme Jean-François Jacob, ex-président de l'exécutif dans Jean-Lesage.
Éric Moreault
Le Soleil
(Québec) Le Parti québécois connaît de sérieux problèmes d'organisation dans la Capitale-Nationale et dans Chaudière-Appalaches. Manque de ressources, de bénévoles, chicanes; les militants restent à la maison ou, même, claquent la porte. Bref, le PQ s'est fait «prendre les culottes à terre», pour reprendre l'expression d'un ex-candidat aux élections de 2007.
«Il ne faut pas se surprendre. C'est un secret de Polichinelle que le PQ, un parti en reconstruction, n'était pas prêt», souligne Claude Lachance, élu trois fois pour le PQ dans Bellechasse, et maintenant analyste pour la radio.
Après la dégelée de 2007, le PQ a terminé troisième dans sept des huit circonscrïptions dans Chaudière-Appalaches. On part de loin. Si certains se débrouillent mieux que d'autres en ce moment, mais sans rien de comparable aux organisations des années 80 et 90, il y a des «lacunes importantes», observe M. Lachance.
Au moment du déclenchement des élections, seulement la moitié des candidats dans la grande région de Québec étaient sur les blocs de départ. Ceci explique cela : plusieurs circonscrïptions se sont retrouvées complètement désorganisées et en manque de bras pour travailler sur le terrain.
Le portrait n'est guère reluisant. Dans la Capitale-Nationale, malgré la présence controversée d'André Boisclair à la tête du PQ, «c'était beaucoup plus solide en 2007», fait valoir un candidat défait lors de ces élections qui préfère rester discret.
L'obsession du «450»
Il est évident que Pauline Marois est obsédée par le «450» (la périphérie de l'île de Montréal) et a délaissé la grande région de Québec, fait valoir un militant. «Les locaux sont vides, dit un autre militant. Ils peuvent s'estimer chanceux que l'ADQ ne lève pas plus que ça. Mais ce n'est pas évident. Le PQ est dans le rouge.»
«La seule organisation, c'est celle d'Agnès Maltais (dans Taschereau). Où est le PQ dans la région?» demande Jean-François Jacob, ex-président de l'exécutif dans Jean-Lesage. M. Jacob en a gros sur le coeur à propos des «manoeuvres» au profit de certains candidats aux élections précédentes. Aujourd'hui, «je me retrouve orphelin de parti. Je vais aller voter, mais le PQ n'aura pas mon vote», lance celui qui n'a pas renouvelé sa carte de membre.
À l'image de M. Jacob, beaucoup de militants déçus, notamment les «purs et durs», ne s'impliquent pas. «On s'est repliés sur le Bloc québécois, un parti et un chef qui travaillent avec les militants», explique-t-il.
En fait, disent plusieurs des personnes interrogées par Le Soleil, il y a un malaise profond au PQ dans la grande région de Québec. La période Boisclair a laissé de profondes cicatrices. Et Pauline «n'a pas fait le ménage», souligne M. Jacob.
La démobilisation des militants tient aussi au fait «qu'on sort d'une campagne fédérale, ça n'aide pas», souligne Sylvain Lévesque, un candidat du PQ en 2007, qui conseille Hélène Guillemette. Même si «ce n'est pas la folie furieuse», il soutient que Jean-Lesage «ne manque pas de bénévoles. Les fidèles sont là. Les opérations normales se font. Notre local ouvrira mardi», tout de même deux semaines après le début de la campagne.
Reste que les ratés du PQ ne se limitent pas au niveau régional. Il y a des problèmes majeurs au national dans la production et la distribution des pancartes, observe Philippe-Edwin Bélanger, ex-président régional et fils du candidat Guy Bélanger, dans Montmagny-L'Islet.
Quand ça va mal...
Rien ne va plus dans l'organisation du PQ dans la grande région de Québec
Selon des personnes interrogées par Le Soleil, la période André Boisclair (ci-dessus pendant la campagne de 2007) a laissé de profondes cicatrices au PQ. Et Pauline Marois «n'a pas fait le ménage», affirme Jean-François Jacob, ex-président de l'exécutif dans Jean-Lesage.
Éric Moreault
Le Soleil
(Québec) Le Parti québécois connaît de sérieux problèmes d'organisation dans la Capitale-Nationale et dans Chaudière-Appalaches. Manque de ressources, de bénévoles, chicanes; les militants restent à la maison ou, même, claquent la porte. Bref, le PQ s'est fait «prendre les culottes à terre», pour reprendre l'expression d'un ex-candidat aux élections de 2007.
«Il ne faut pas se surprendre. C'est un secret de Polichinelle que le PQ, un parti en reconstruction, n'était pas prêt», souligne Claude Lachance, élu trois fois pour le PQ dans Bellechasse, et maintenant analyste pour la radio.
Après la dégelée de 2007, le PQ a terminé troisième dans sept des huit circonscrïptions dans Chaudière-Appalaches. On part de loin. Si certains se débrouillent mieux que d'autres en ce moment, mais sans rien de comparable aux organisations des années 80 et 90, il y a des «lacunes importantes», observe M. Lachance.
Au moment du déclenchement des élections, seulement la moitié des candidats dans la grande région de Québec étaient sur les blocs de départ. Ceci explique cela : plusieurs circonscrïptions se sont retrouvées complètement désorganisées et en manque de bras pour travailler sur le terrain.
Le portrait n'est guère reluisant. Dans la Capitale-Nationale, malgré la présence controversée d'André Boisclair à la tête du PQ, «c'était beaucoup plus solide en 2007», fait valoir un candidat défait lors de ces élections qui préfère rester discret.
L'obsession du «450»
Il est évident que Pauline Marois est obsédée par le «450» (la périphérie de l'île de Montréal) et a délaissé la grande région de Québec, fait valoir un militant. «Les locaux sont vides, dit un autre militant. Ils peuvent s'estimer chanceux que l'ADQ ne lève pas plus que ça. Mais ce n'est pas évident. Le PQ est dans le rouge.»
«La seule organisation, c'est celle d'Agnès Maltais (dans Taschereau). Où est le PQ dans la région?» demande Jean-François Jacob, ex-président de l'exécutif dans Jean-Lesage. M. Jacob en a gros sur le coeur à propos des «manoeuvres» au profit de certains candidats aux élections précédentes. Aujourd'hui, «je me retrouve orphelin de parti. Je vais aller voter, mais le PQ n'aura pas mon vote», lance celui qui n'a pas renouvelé sa carte de membre.
À l'image de M. Jacob, beaucoup de militants déçus, notamment les «purs et durs», ne s'impliquent pas. «On s'est repliés sur le Bloc québécois, un parti et un chef qui travaillent avec les militants», explique-t-il.
En fait, disent plusieurs des personnes interrogées par Le Soleil, il y a un malaise profond au PQ dans la grande région de Québec. La période Boisclair a laissé de profondes cicatrices. Et Pauline «n'a pas fait le ménage», souligne M. Jacob.
La démobilisation des militants tient aussi au fait «qu'on sort d'une campagne fédérale, ça n'aide pas», souligne Sylvain Lévesque, un candidat du PQ en 2007, qui conseille Hélène Guillemette. Même si «ce n'est pas la folie furieuse», il soutient que Jean-Lesage «ne manque pas de bénévoles. Les fidèles sont là. Les opérations normales se font. Notre local ouvrira mardi», tout de même deux semaines après le début de la campagne.
Reste que les ratés du PQ ne se limitent pas au niveau régional. Il y a des problèmes majeurs au national dans la production et la distribution des pancartes, observe Philippe-Edwin Bélanger, ex-président régional et fils du candidat Guy Bélanger, dans Montmagny-L'Islet.
Quand ça va mal...
Prière et chant religieux
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Beppo a écrit
J'espère que les voeux pieux ne sont pas l'apanage exclusivement de l'ADQ. De chaque côté, il y en a des tonnes pour des milliards de dollars. À les écouter, il est à se demander si nous nous dirigeons vers une crise économique.
Effectivement on dirait qu'on est ben ben riche. Mais a la difference de Monsieur Charest et de Madame Marois qui nous disent comment ils vont dépenser l'argent que l'on a pas Mario Dumont veut faire des changements mais ils ne sait pas comment?
J'espère que les voeux pieux ne sont pas l'apanage exclusivement de l'ADQ. De chaque côté, il y en a des tonnes pour des milliards de dollars. À les écouter, il est à se demander si nous nous dirigeons vers une crise économique.
Effectivement on dirait qu'on est ben ben riche. Mais a la difference de Monsieur Charest et de Madame Marois qui nous disent comment ils vont dépenser l'argent que l'on a pas Mario Dumont veut faire des changements mais ils ne sait pas comment?
Beppo a écrit
Faut être épais rare pour avancer une telle affirmation. D'offrir un service, est-ce suppléer à l'état? Elle ne change pas la bonne dame. Elle crie fort mais ne résout rien. Même maudite affaire du temps qu'elle était juge.
En fait elle se fond parfaitement bien dans le moule ADQ, hystérique, chialeuse et sans solution.
Faut être épais rare pour avancer une telle affirmation. D'offrir un service, est-ce suppléer à l'état? Elle ne change pas la bonne dame. Elle crie fort mais ne résout rien. Même maudite affaire du temps qu'elle était juge.
En fait elle se fond parfaitement bien dans le moule ADQ, hystérique, chialeuse et sans solution.
Autumn a écrit(Lévis) Un gouvernement adéquiste réduira le décrochage scolaire de moitié en un seul mandat, a promis Mario Dumont, samedi.
«L'objectif que je fixe: que le taux de décrochage scolaire au Québec descende sous la barre des 10%, a-t-il affirmé. Je veux que le décrochage pour l'ensemble des enfants baisse sous la barre des 10%, et que le décrochage chez les garçons passe sous la barre des 15%.»Selon les dernières données du ministère de l'Éducation, publiées en 2005-2006, 24% des élèves quittent le secondaire sans décrocher leur diplôme. La proportion est encore plus élevée chez les garçons: 30%.
M. Dumont n'a pas précisé de quelle façon il entend atteindre son objectif.
Dans un long discours, prononcé devant 350 personnes, il a toutefois écorché la réforme instituée par Pauline Marois, la qualifiant d'«erreur» qui a éliminé la «culture de l'effort» dans les salles de classe. Il a parlé de «rétablir l'autorité» des enseignants.
L'ADQ souhaite abolir les commissions scolaires afin de confier plus d'argent et plus d'autonomie aux écoles. Au cours des derniers jours, le chef a fait l'éloge des programmes sports-études et arts-études, qu'il a présentés comme d'excellents moyens de contrer le décrochage.L'objectif de réduire le taux sous la barre des 10% est parfaitement réaliste, a-t-il soutenu.
«Ce n'est pas possible pour des gens qui, pendant des années, ont cultivé à l'école le nivellement par le bas, a-t-il affirmé. Ce n'est pas possible pour des gens qui, année après année, ont mis de l'argent dans la bureaucratie pendant qu'on coupait sur le terrain dans ce qui est de plus fondamental, ce dont les enfants avaient besoin.»
Mario Dumont a effectué un second passage en autant de jours sur la rive sud de Québec, un secteur considéré comme un château fort pour son parti. Il a été accueilli par l'une des plus imposantes foules depuis le début de la campagne dans une cabane à sucre de Saint-Nicolas.
source: cyberpresse.ca
Est ce qu'il dit aux gens le cout de tels programmes.. mon fils a fréquenté le sport etudes au cout de 2000$ par année, le meme cout que de fréquenter l'école privée.
Ou est son plan pour attirer plus d'hommes dans la profession d'enseignant ( qui aiderait grandement l'identification des gars a l'école) quand deja il y a pénurie d'enseignat et que 2sur 5 abadonne apres avoir fait quelques stages
Est ce qu,il dit que les municipalités refusent de prendre la gestion des batiments scolaires si il abolit les commissions scolaires.
Que pour ajouter des heures d'éducation physique on devra construire des gymnases car ils sont deja pleins.....
Non il lance encore n'impotre comment une belle promesse démagogique.
«L'objectif que je fixe: que le taux de décrochage scolaire au Québec descende sous la barre des 10%, a-t-il affirmé. Je veux que le décrochage pour l'ensemble des enfants baisse sous la barre des 10%, et que le décrochage chez les garçons passe sous la barre des 15%.»Selon les dernières données du ministère de l'Éducation, publiées en 2005-2006, 24% des élèves quittent le secondaire sans décrocher leur diplôme. La proportion est encore plus élevée chez les garçons: 30%.
M. Dumont n'a pas précisé de quelle façon il entend atteindre son objectif.
Dans un long discours, prononcé devant 350 personnes, il a toutefois écorché la réforme instituée par Pauline Marois, la qualifiant d'«erreur» qui a éliminé la «culture de l'effort» dans les salles de classe. Il a parlé de «rétablir l'autorité» des enseignants.
L'ADQ souhaite abolir les commissions scolaires afin de confier plus d'argent et plus d'autonomie aux écoles. Au cours des derniers jours, le chef a fait l'éloge des programmes sports-études et arts-études, qu'il a présentés comme d'excellents moyens de contrer le décrochage.L'objectif de réduire le taux sous la barre des 10% est parfaitement réaliste, a-t-il soutenu.
«Ce n'est pas possible pour des gens qui, pendant des années, ont cultivé à l'école le nivellement par le bas, a-t-il affirmé. Ce n'est pas possible pour des gens qui, année après année, ont mis de l'argent dans la bureaucratie pendant qu'on coupait sur le terrain dans ce qui est de plus fondamental, ce dont les enfants avaient besoin.»
Mario Dumont a effectué un second passage en autant de jours sur la rive sud de Québec, un secteur considéré comme un château fort pour son parti. Il a été accueilli par l'une des plus imposantes foules depuis le début de la campagne dans une cabane à sucre de Saint-Nicolas.
source: cyberpresse.ca
Est ce qu'il dit aux gens le cout de tels programmes.. mon fils a fréquenté le sport etudes au cout de 2000$ par année, le meme cout que de fréquenter l'école privée.
Ou est son plan pour attirer plus d'hommes dans la profession d'enseignant ( qui aiderait grandement l'identification des gars a l'école) quand deja il y a pénurie d'enseignat et que 2sur 5 abadonne apres avoir fait quelques stages
Est ce qu,il dit que les municipalités refusent de prendre la gestion des batiments scolaires si il abolit les commissions scolaires.
Que pour ajouter des heures d'éducation physique on devra construire des gymnases car ils sont deja pleins.....
Non il lance encore n'impotre comment une belle promesse démagogique.
Le désenchantement des électeurs adéquistes
Isabelle Hachey
La Presse
Quelques jours après le scrutin du 26 mars 2007, La Presse avait tenté de comprendre la percée de l'Action démocratique du Québec (ADQ) dans les banlieues de Montréal. Nous avions rencontré Nathaly Gagné, de Sainte-Julie, qui s'était laissé séduire par le «vent de fraîcheur» apporté par Mario Dumont.
Un an et demi plus tard, nous avons joint Mme Gagné pour savoir si le vent de fraîcheur souffle toujours de son côté. Pas du tout. «J'ai vraiment déchanté!» avoue cette infographiste, mère de trois enfants.
«Mario Dumont avait fait une bonne prestation pendant la campagne de 2007. Mais après l'élection, ses sorties semblaient mal préparées ou tout simplement injustifiées. Il a critiqué un budget qu'il n'avait même pas encore vu! Il ressemblait à un ado qui s'excite un peu en disant: non, non, c'est pas vrai, c'est pas comme ça!»
Le 8 décembre, Mme Gagné retournera à ses anciennes amours: le Parti québécois. Et elle ne sera pas la seule, prédit-elle. «La majorité des gens à qui j'ai parlé sont déçus et disent qu'ils voteront pour leur ancien parti.»
Pour Nicolas aussi, la «balloune a dégonflé». Cet adéquiste de la première heure refuse que son véritable nom soit publié pour éviter les «foires d'empoigne» avec ses amis de diverses allégeances.
L'opposition aveugle de l'ADQ au budget a «beaucoup déçu» l'homme de 37 ans, qui habite Mirabel. «On ne les avait pas élus pour faire ce que les partis de l'opposition avaient toujours fait dans le passé: être contre parce qu'il faut être contre. On voulait une opposition différente, constructive.»
L'autre «bourde monumentale» de M. Dumont, selon Nicolas, c'est lorsqu'il a menacé de défaire le gouvernement sur la réforme des commissions scolaires. «Cela ne faisait pas sérieux. C'était de la petite politique plate.»
Le 8 décembre, Nicolas votera libéral en espérant que le parti obtienne une majorité, «question d'avoir la paix pendant quatre ans».
À Blainville, Dave Toulouse n'ira carrément pas voter. Le programmeur de 29 ans a pourtant appuyé l'ADQ à tous les scrutins depuis 1998. Mais cette fois, il se dit désenchanté.
«Jusqu'à ce que l'ADQ devienne l'opposition officielle, on pensait que Mario Dumont offrait quelque chose de différent - qu'il était capable d'avoir des réflexions logiques sans entrer dans la partisanerie, dit-il. Mais l'ADQ ressemble de plus en plus aux autres partis.»
À Laval, François Jolicoeur, retraité de 65 ans, raconte avoir été séduit en 2007 par les engagements de l'ADQ en matière de politique familiale. «J'ai des petits-enfants dont la mère a choisi de rester à la maison. Alors l'idée de payer les familles plutôt que de financer les garderies, je trouvais ça intéressant», explique-t-il.
«Au début, j'estimais que Mario Dumont tenait un discours différent de nos politiciens habituels», dit M. Jolicoeur. Il a «totalement décroché» mardi. «Ses fameux clips, c'est bien un certain temps, mais quand il s'est mis à chanter la poupée qui fait non, non, non... là, j'ai eu honte d'avoir voté pour lui!»
En mars 2007, Mario Dumont s'était servi du débat sur les accommodements raisonnables pour rallier des électeurs. Nathaly Gagné était du nombre. Encore aujourd'hui, elle estime qu'il a été «un de ceux qui se sont tenus debout dans cette affaire».
Depuis quelques jours, le chef adéquiste tente à nouveau d'exploiter le thème de l'identité québécoise en vilipendant le cours d'éthique et de culture religieuse dans les écoles. Avec moins de succès, cette fois, auprès de Mme Gagné.
«Ce cours, je l'attendais. Il va offrir à mes enfants une ouverture sur les religions et sur une bonne partie de ce qui s'est passé sur terre au cours des derniers siècles! Non, vraiment, ça ne prend pas, son histoire...» --Message edité par Earendil le 2008-11-15 17:08:33--
Isabelle Hachey
La Presse
Quelques jours après le scrutin du 26 mars 2007, La Presse avait tenté de comprendre la percée de l'Action démocratique du Québec (ADQ) dans les banlieues de Montréal. Nous avions rencontré Nathaly Gagné, de Sainte-Julie, qui s'était laissé séduire par le «vent de fraîcheur» apporté par Mario Dumont.
Un an et demi plus tard, nous avons joint Mme Gagné pour savoir si le vent de fraîcheur souffle toujours de son côté. Pas du tout. «J'ai vraiment déchanté!» avoue cette infographiste, mère de trois enfants.
«Mario Dumont avait fait une bonne prestation pendant la campagne de 2007. Mais après l'élection, ses sorties semblaient mal préparées ou tout simplement injustifiées. Il a critiqué un budget qu'il n'avait même pas encore vu! Il ressemblait à un ado qui s'excite un peu en disant: non, non, c'est pas vrai, c'est pas comme ça!»
Le 8 décembre, Mme Gagné retournera à ses anciennes amours: le Parti québécois. Et elle ne sera pas la seule, prédit-elle. «La majorité des gens à qui j'ai parlé sont déçus et disent qu'ils voteront pour leur ancien parti.»
Pour Nicolas aussi, la «balloune a dégonflé». Cet adéquiste de la première heure refuse que son véritable nom soit publié pour éviter les «foires d'empoigne» avec ses amis de diverses allégeances.
L'opposition aveugle de l'ADQ au budget a «beaucoup déçu» l'homme de 37 ans, qui habite Mirabel. «On ne les avait pas élus pour faire ce que les partis de l'opposition avaient toujours fait dans le passé: être contre parce qu'il faut être contre. On voulait une opposition différente, constructive.»
L'autre «bourde monumentale» de M. Dumont, selon Nicolas, c'est lorsqu'il a menacé de défaire le gouvernement sur la réforme des commissions scolaires. «Cela ne faisait pas sérieux. C'était de la petite politique plate.»
Le 8 décembre, Nicolas votera libéral en espérant que le parti obtienne une majorité, «question d'avoir la paix pendant quatre ans».
À Blainville, Dave Toulouse n'ira carrément pas voter. Le programmeur de 29 ans a pourtant appuyé l'ADQ à tous les scrutins depuis 1998. Mais cette fois, il se dit désenchanté.
«Jusqu'à ce que l'ADQ devienne l'opposition officielle, on pensait que Mario Dumont offrait quelque chose de différent - qu'il était capable d'avoir des réflexions logiques sans entrer dans la partisanerie, dit-il. Mais l'ADQ ressemble de plus en plus aux autres partis.»
À Laval, François Jolicoeur, retraité de 65 ans, raconte avoir été séduit en 2007 par les engagements de l'ADQ en matière de politique familiale. «J'ai des petits-enfants dont la mère a choisi de rester à la maison. Alors l'idée de payer les familles plutôt que de financer les garderies, je trouvais ça intéressant», explique-t-il.
«Au début, j'estimais que Mario Dumont tenait un discours différent de nos politiciens habituels», dit M. Jolicoeur. Il a «totalement décroché» mardi. «Ses fameux clips, c'est bien un certain temps, mais quand il s'est mis à chanter la poupée qui fait non, non, non... là, j'ai eu honte d'avoir voté pour lui!»
En mars 2007, Mario Dumont s'était servi du débat sur les accommodements raisonnables pour rallier des électeurs. Nathaly Gagné était du nombre. Encore aujourd'hui, elle estime qu'il a été «un de ceux qui se sont tenus debout dans cette affaire».
Depuis quelques jours, le chef adéquiste tente à nouveau d'exploiter le thème de l'identité québécoise en vilipendant le cours d'éthique et de culture religieuse dans les écoles. Avec moins de succès, cette fois, auprès de Mme Gagné.
«Ce cours, je l'attendais. Il va offrir à mes enfants une ouverture sur les religions et sur une bonne partie de ce qui s'est passé sur terre au cours des derniers siècles! Non, vraiment, ça ne prend pas, son histoire...» --Message edité par Earendil le 2008-11-15 17:08:33--
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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lucide a écrit
Effectivement on dirait qu'on est ben ben riche. Mais a la difference de Monsieur Charest et de Madame Marois qui nous disent comment ils vont dépenser l'argent que l'on a pas Mario Dumont veut faire des changements mais ils ne sait pas comment?
Pousse mais pousse égal Mme marois n'a pas encore sorti son cadre financier Mario Oui.
Effectivement on dirait qu'on est ben ben riche. Mais a la difference de Monsieur Charest et de Madame Marois qui nous disent comment ils vont dépenser l'argent que l'on a pas Mario Dumont veut faire des changements mais ils ne sait pas comment?
Pousse mais pousse égal Mme marois n'a pas encore sorti son cadre financier Mario Oui.
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Cadre financier du PQ : l’argent pousse dans les arbres
2008-11-15, 11:01
Depuis le début de la campagne électorale, seule l’ADQ a chiffré et publié son cadre financier.
Plus de 1,8 milliard de dollars seront directement utilisés afin de soutenir le pouvoir d'achat des familles et de faciliter leur quotidien. L'ADQ propose notamment d'aider directement les familles et les aînés grâce à une enveloppe de 858 millions de dollars.
L’ADQ a eu le courage de dire qu’elle financerait ses engagements en effectuant des compressions de plus de 2 milliards de dollars dans les dépenses de l’État. Gilles Taillon a indiqué que la marge de manœuvre que dégagerait un gouvernement de l'ADQ afin de financer ses diverses initiatives proviendrait, d'une part, de la privatisation partielle d'Hydro Québec à hauteur de 450 millions de dollars et, d'autre part, d'une réforme de l'État et d'une véritable révision générale des politiques publiques à hauteur de 2 milliards de dollars.
Cadre financier au PQ : l’argent pousse dans les arbres
Pauline Marois promet mer et monde sans toutefois dire où elle va prendre l’argent. Le PQ n’entend pas dévoiler de cadre financier au cours de la campagne électorale. Pire encore, le PQ prétend qu’il « pourrait adopter une loi pour effacer tout déficit accumulé et retrouver l'équilibre budgétaire.» En fait, Pauline Marois suggère de replonger le Québec en déficit, tout en mentionnant que le Québec retrouverait l'équilibre budgétaire cinq ans plus tard. Considérant les échecs financiers successifs de Pauline Marois lorsqu’elle était ministre, il faut s’inquiéter de cette proposition péquiste. Comment une candidate qui aspire au poste de première ministre peut-elle être aussi irresponsable ? Le PQ adopte encore une fois la pensée magique. Pour Pauline Marois, l’argent pousserait-il dans les arbres ?
PLQ
De son côté, le PLQ n’a toujours pas dévoilé son cadre financier. Plutôt ironique pour Jean Charest qui déclenche inutilement des élections de 83 millions de dollars.
2008-11-15, 11:01
Depuis le début de la campagne électorale, seule l’ADQ a chiffré et publié son cadre financier.
Plus de 1,8 milliard de dollars seront directement utilisés afin de soutenir le pouvoir d'achat des familles et de faciliter leur quotidien. L'ADQ propose notamment d'aider directement les familles et les aînés grâce à une enveloppe de 858 millions de dollars.
L’ADQ a eu le courage de dire qu’elle financerait ses engagements en effectuant des compressions de plus de 2 milliards de dollars dans les dépenses de l’État. Gilles Taillon a indiqué que la marge de manœuvre que dégagerait un gouvernement de l'ADQ afin de financer ses diverses initiatives proviendrait, d'une part, de la privatisation partielle d'Hydro Québec à hauteur de 450 millions de dollars et, d'autre part, d'une réforme de l'État et d'une véritable révision générale des politiques publiques à hauteur de 2 milliards de dollars.
Cadre financier au PQ : l’argent pousse dans les arbres
Pauline Marois promet mer et monde sans toutefois dire où elle va prendre l’argent. Le PQ n’entend pas dévoiler de cadre financier au cours de la campagne électorale. Pire encore, le PQ prétend qu’il « pourrait adopter une loi pour effacer tout déficit accumulé et retrouver l'équilibre budgétaire.» En fait, Pauline Marois suggère de replonger le Québec en déficit, tout en mentionnant que le Québec retrouverait l'équilibre budgétaire cinq ans plus tard. Considérant les échecs financiers successifs de Pauline Marois lorsqu’elle était ministre, il faut s’inquiéter de cette proposition péquiste. Comment une candidate qui aspire au poste de première ministre peut-elle être aussi irresponsable ? Le PQ adopte encore une fois la pensée magique. Pour Pauline Marois, l’argent pousserait-il dans les arbres ?
PLQ
De son côté, le PLQ n’a toujours pas dévoilé son cadre financier. Plutôt ironique pour Jean Charest qui déclenche inutilement des élections de 83 millions de dollars.
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