rikiki a écrithttp://www.humourhumour.com/animation.php?id=51
Guy Cloutier tentera aujourd'hui d'obtenir sa libération conditionnel
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C'est drôle et c'est pas drôle en même temps...Pauvre eux-autres
C'est drôle et c'est pas drôle en même temps...Pauvre eux-autres
Une onde de choc
Hugo Meunier
La Presse
L'arrivée dans l'affaire d'une présumée troisième victime du pédophile a pris tout le monde au dépourvu, y compris le principal intéressé.
D'entrée de jeu, il a été impossible de parler avec des proches de Guy Cloutier ou de sa seule victime connue, Nathalie Simard.
La Presse a néanmoins pu obtenir quelques commentaires d'une adjointe de sa fille Véronique. «C'est un coup que personne n'a vu venir. C'est sûr que c'est un moment difficile, a avoué Sandra Rossi. Dans les circonstances, tout le monde comprendra qu'il n'y a rien à dire.» Cette nouvelle tuile ne modifiera d'aucune façon les activités professionnelles de Véronique Cloutier. Celle-ci a d'ailleurs vite retroussé ses manches, en animant en direct et avec un aplomb quasi surréaliste sa quotidienne à Radio-Canada, hier après-midi. «S'il y a quelqu'un qui va réagir prochainement, ça sera Véro», a résumé Sandra Rossi.
Une réaction fréquente
Il n'est pas rare que des victimes de pédophilie vivent plusieurs années avec leur secret avant de briser le silence. «C'est très fréquent, l'agresseur utilise toutes sortes de stratégies pour réduire sa victime au silence», a souligné Carole Tremblay, du regroupement des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS).
Mme Tremblay ne cache pas que la sortie publique de Nathalie Simard a non seulement fait exploser le nombre d'appels dans les succursales de l'organisme, mais a peut-être aussi encouragé la présumée troisième victime à sortir de l'ombre. «Elle a pu se dire: Je ne conçois pas qu'il (Guy Cloutier) retrouve sa liberté et j'ai un rôle à jouer», a suggéré l'intervenante.
Un baptême mouvementé
Il y a deux semaines, l'ancien ministre de la Justice, Marc Bellemare, avait entrepris des démarches pour assister à la comparution de Guy Cloutier devant la Commission. «Ça m'intéressait de voir comment fonctionne le processus de remise en liberté», a expliqué l'avocat.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que son baptême a été mouvementé. «J'imagine que la Commission avait en main des éléments suffisamment sérieux pour ajourner l'audience», a commenté l'ancien ministre, qui était procureur général lorsque des accusations ont été portées contre Cloutier.
Le coup de théâtre d'hier a évidemment étonné M. Bellemare. «Le moment où la victime choisit de dénoncer son agresseur n'a pas d'importance. L'important, c'est de dénoncer», a-t-il souligné.
M. Bellemare trouvait inacceptable l'idée d'accorder à Guy Cloutier une libération au tiers de sa peine. «Il faut se mettre à la place des victimes», a-t-il laissé tomber.
Trop d'informations
Auteur du livre Tout le monde dehors!, sur les failles du système de libérations conditionnelles, et auteur d'une biographie de Nathalie Simard, Yves Thériault comprend mal pourquoi les commissaires ont décidé de dévoiler autant de détails avant d'ajourner l'audience. «Ils auraient pu seulement dire: On a reçu de nouvelles informations et on doit prendre le temps de les regarder», a-t-il expliqué.
M. Thériault croit que la commission a peut-être péché par excès de transparence. «Si c'est un canular ou si la personne panique et ne porte pas plainte, c'est tout le système qui sera discrédité.»
Selon des criminalistes, le moment choisi par la présumée troisième victime pour se manifester risque de lui nuire si l'histoire rebondit devant les tribunaux. «C'est sûr que ça peut lui faire perdre de la crédibilité, surtout qu'il y a longtemps que l'affaire Cloutier est sur la place publique», a souligné Me Roxane Hamelin. Son confrère Robert LaHaye croit aussi que la défense pourrait " tester " la crédibilité de la victime. «Est-ce un délai stratégique? L'intention de mettre un grain de sable dans l'engrenage? Est-ce malicieux?» a évoqué l'avocat.
De son côté, le président de la Fédération professionnelle des journalistes du
Québec n'a observé aucun dérapage éthique dans la tempête médiatique qui souffle depuis hier. «C'est un événement exceptionnel et sensationnel au sens neutre du terme. On ne peut pas prétendre que ce n'est pas gigantesque», a dit Alain Gravel.
Hugo Meunier
La Presse
L'arrivée dans l'affaire d'une présumée troisième victime du pédophile a pris tout le monde au dépourvu, y compris le principal intéressé.
D'entrée de jeu, il a été impossible de parler avec des proches de Guy Cloutier ou de sa seule victime connue, Nathalie Simard.
La Presse a néanmoins pu obtenir quelques commentaires d'une adjointe de sa fille Véronique. «C'est un coup que personne n'a vu venir. C'est sûr que c'est un moment difficile, a avoué Sandra Rossi. Dans les circonstances, tout le monde comprendra qu'il n'y a rien à dire.» Cette nouvelle tuile ne modifiera d'aucune façon les activités professionnelles de Véronique Cloutier. Celle-ci a d'ailleurs vite retroussé ses manches, en animant en direct et avec un aplomb quasi surréaliste sa quotidienne à Radio-Canada, hier après-midi. «S'il y a quelqu'un qui va réagir prochainement, ça sera Véro», a résumé Sandra Rossi.
Une réaction fréquente
Il n'est pas rare que des victimes de pédophilie vivent plusieurs années avec leur secret avant de briser le silence. «C'est très fréquent, l'agresseur utilise toutes sortes de stratégies pour réduire sa victime au silence», a souligné Carole Tremblay, du regroupement des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS).
Mme Tremblay ne cache pas que la sortie publique de Nathalie Simard a non seulement fait exploser le nombre d'appels dans les succursales de l'organisme, mais a peut-être aussi encouragé la présumée troisième victime à sortir de l'ombre. «Elle a pu se dire: Je ne conçois pas qu'il (Guy Cloutier) retrouve sa liberté et j'ai un rôle à jouer», a suggéré l'intervenante.
Un baptême mouvementé
Il y a deux semaines, l'ancien ministre de la Justice, Marc Bellemare, avait entrepris des démarches pour assister à la comparution de Guy Cloutier devant la Commission. «Ça m'intéressait de voir comment fonctionne le processus de remise en liberté», a expliqué l'avocat.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que son baptême a été mouvementé. «J'imagine que la Commission avait en main des éléments suffisamment sérieux pour ajourner l'audience», a commenté l'ancien ministre, qui était procureur général lorsque des accusations ont été portées contre Cloutier.
Le coup de théâtre d'hier a évidemment étonné M. Bellemare. «Le moment où la victime choisit de dénoncer son agresseur n'a pas d'importance. L'important, c'est de dénoncer», a-t-il souligné.
M. Bellemare trouvait inacceptable l'idée d'accorder à Guy Cloutier une libération au tiers de sa peine. «Il faut se mettre à la place des victimes», a-t-il laissé tomber.
Trop d'informations
Auteur du livre Tout le monde dehors!, sur les failles du système de libérations conditionnelles, et auteur d'une biographie de Nathalie Simard, Yves Thériault comprend mal pourquoi les commissaires ont décidé de dévoiler autant de détails avant d'ajourner l'audience. «Ils auraient pu seulement dire: On a reçu de nouvelles informations et on doit prendre le temps de les regarder», a-t-il expliqué.
M. Thériault croit que la commission a peut-être péché par excès de transparence. «Si c'est un canular ou si la personne panique et ne porte pas plainte, c'est tout le système qui sera discrédité.»
Selon des criminalistes, le moment choisi par la présumée troisième victime pour se manifester risque de lui nuire si l'histoire rebondit devant les tribunaux. «C'est sûr que ça peut lui faire perdre de la crédibilité, surtout qu'il y a longtemps que l'affaire Cloutier est sur la place publique», a souligné Me Roxane Hamelin. Son confrère Robert LaHaye croit aussi que la défense pourrait " tester " la crédibilité de la victime. «Est-ce un délai stratégique? L'intention de mettre un grain de sable dans l'engrenage? Est-ce malicieux?» a évoqué l'avocat.
De son côté, le président de la Fédération professionnelle des journalistes du
Québec n'a observé aucun dérapage éthique dans la tempête médiatique qui souffle depuis hier. «C'est un événement exceptionnel et sensationnel au sens neutre du terme. On ne peut pas prétendre que ce n'est pas gigantesque», a dit Alain Gravel.
SELON L'ORGANISME OPTION-VIE
Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire
Presse Canadienne
Montréal
Le report d'audiences devant la Commission des libérations conditionnelles, comme ce fut le cas hier pour Guy Cloutier, est chose courante.
C'est ce que soutient Michel Dunn, accompagnateur de détenus lors de ces audiences, pour l'organisme Option-Vie.
M. Dunn rappelle que la Commission n'a d'autres choix que de reporter les audiences lorsqu'elle obtient de nouvelles informations ou qu'elle constate une absence de documents importants.
Il assure que Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire parce qu'il est «connu».
Michel Dunn assiste à une quarantaine d'audiences par année. Il indique qu'au moins cinq d'entre elles doivent être reportées pour divers motifs.
Guy Cloutier devra maintenant patienter au moins deux mois avant de revenir devant la Commission.
Entre-temps, la Sureté du Québec enquête sur les allégations d'agressions sexuelles d'une troisième présumée victime de l'ex-impressario
Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire
Presse Canadienne
Montréal
Le report d'audiences devant la Commission des libérations conditionnelles, comme ce fut le cas hier pour Guy Cloutier, est chose courante.
C'est ce que soutient Michel Dunn, accompagnateur de détenus lors de ces audiences, pour l'organisme Option-Vie.
M. Dunn rappelle que la Commission n'a d'autres choix que de reporter les audiences lorsqu'elle obtient de nouvelles informations ou qu'elle constate une absence de documents importants.
Il assure que Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire parce qu'il est «connu».
Michel Dunn assiste à une quarantaine d'audiences par année. Il indique qu'au moins cinq d'entre elles doivent être reportées pour divers motifs.
Guy Cloutier devra maintenant patienter au moins deux mois avant de revenir devant la Commission.
Entre-temps, la Sureté du Québec enquête sur les allégations d'agressions sexuelles d'une troisième présumée victime de l'ex-impressario
tuberale a écritSELON L'ORGANISME OPTION-VIE
Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire
Presse Canadienne
Montréal
Le report d'audiences devant la Commission des libérations conditionnelles, comme ce fut le cas hier pour Guy Cloutier, est chose courante.
C'est ce que soutient Michel Dunn, accompagnateur de détenus lors de ces audiences, pour l'organisme Option-Vie.
M. Dunn rappelle que la Commission n'a d'autres choix que de reporter les audiences lorsqu'elle obtient de nouvelles informations ou qu'elle constate une absence de documents importants.
Il assure que Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire parce qu'il est «connu».
Michel Dunn assiste à une quarantaine d'audiences par année. Il indique qu'au moins cinq d'entre elles doivent être reportées pour divers motifs.
Guy Cloutier devra maintenant patienter au moins deux mois avant de revenir devant la Commission.
Entre-temps, la Sureté du Québec enquête sur les allégations d'agressions sexuelles d'une troisième présumée victime de l'ex-impressario
J'espère qu'Esger va lire ça
Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire
Presse Canadienne
Montréal
Le report d'audiences devant la Commission des libérations conditionnelles, comme ce fut le cas hier pour Guy Cloutier, est chose courante.
C'est ce que soutient Michel Dunn, accompagnateur de détenus lors de ces audiences, pour l'organisme Option-Vie.
M. Dunn rappelle que la Commission n'a d'autres choix que de reporter les audiences lorsqu'elle obtient de nouvelles informations ou qu'elle constate une absence de documents importants.
Il assure que Guy Cloutier n'a pas été victime d'une décision arbitraire parce qu'il est «connu».
Michel Dunn assiste à une quarantaine d'audiences par année. Il indique qu'au moins cinq d'entre elles doivent être reportées pour divers motifs.
Guy Cloutier devra maintenant patienter au moins deux mois avant de revenir devant la Commission.
Entre-temps, la Sureté du Québec enquête sur les allégations d'agressions sexuelles d'une troisième présumée victime de l'ex-impressario
J'espère qu'Esger va lire ça
GUY CLOUTIER S'EFFONDRE EN PLEURS
Une nouvelle victime présumée se manifeste
Si l'information se confirme, Cloutier pourrait avoir à en découdre encore longtemps avec la CNLC avant de pouvoir recouvrer sa liberté. À l'instar de certains autres tribunaux administratifs, la Commission n'a pas besoin d'une «preuve en béton» pour garder un prisonnier en détention
L'octroi d'une libération conditionnelle étant un privilège, et non un droit, il suffit, par exemple, qu'un détenu se comporte mal, qu'il ait de mauvaises fréquentations ou qu'on le soupçonne de tremper dans des affaires louches en prison pour qu'il en paie le prix à son passage devant la CNLC.
Le coup de théâtre d'hier matin est survenu au moment où les commissaires Constance Bennett et Robert Paquette commençaient à interroger Cloutier à huis clos sur le «cycle délictuel» et le contexte qui existaient au moment des crimes sexuels qu'il a commis contre Nathalie Simard et un autre enfant non identifié. Les victimes n'avaient que 11 et 12 ans quand les premières agressions ont eu lieu dans les années 70.
«Comme on veut avoir toute la latitude pour évaluer le risque de récidive et, en même temps, respecter l'ordre du tribunal de préserver l'identité de la deuxième victime, on a décidé de tenir cette partie de l'audience à huis clos», a expliqué Mme Bennett dès l'ouverture de la séance, peu après 9h.
La vingtaine de journalistes et les trois citoyens venus assister à l'audience faisaient le pied de grue depuis 45 minutes dans une salle adjacente du pénitencier quand, à leur grande surprise, les commissaires les ont rappelés pour leur annoncer l'annulation de l'audience.
«On a été informés de l'existence d'une victime potentielle qui soutient avoir été agressée entre 1974 et 1975», a dit Mme Bennett, manifestement décontenancée, elle aussi, par la tournure inattendue des événements.
C'est à ce moment que Cloutier, déjà fort tendu, a éclaté en sanglots. Assis face aux commissaires, et dos aux 10 journalistes acceptés dans la petite salle du Centre fédéral de formation, Cloutier avait à ses côtés Me Jacynthe Lanctôt, spécialiste en droit carcéral, et un ami de longue date, Me Léopold Fournier.
Selon Mme Bennett, l'intrigante dénonciation venait tout juste de leur être envoyée par courriel- à 8h56 plus exactement- des bureaux régionaux de la CNLC, à Laval. Le message avait été reçu la veille, vers 20h, au siège social de la CNLC, à Ottawa.
«Nous avons décidé d'ajourner l'audience afin de demander au Service correctionnel de valider la crédibilité de l'information reçue», a souligné la Mme Bennett. À la limite, le dossier pourrait être transmis à la police «pour plus de vérifications», a-t-elle dit, laissant tout le monde perplexe.
Au moment d'ajourner, elle a ajouté: «L'information se doit d'être vérifiée, car elle pourrait être cruciale pour notre dossier». Puis elle a conclu, devant un Guy Cloutier catastrophé et en larmes, qu'une date de reprise de l'audience allait être fixée «dans les meilleurs délais. En général, cette période est de deux mois.
Selon Carole Ménard, porte-parole de la CNLC, «un tel report n'est pas commun, mais ça arrive à l'occasion». À ses dires, les commissaires doivent «traiter et analyser» toutes les informations qu'ils détiennent, qu'elles soient de dernière minute ou autres. Ils ont aussi l'obligation de les partager avec le détenu.
Personne à la CNLC ou au Service correctionnel, que ce soit à Montréal, Laval ou Ottawa, n'a accepté, malgré les appels répétés, de fournir quelque autre détail que ce soit concernant le fameux courriel qui a provoqué ce spectaculaire revirement.
Est-ce une lettre anonyme? Portait-elle un nom, une adresse et un numéro de téléphone? Vient-elle d'une femme ou d'un homme? Toutes ces questions sont restées sans réponse. Par contre, une rumeur a circulé, hier, voulant que ce soit un document qui en disait assez pour susciter l'intérêt de la CNLC.
«À l'heure où l'on se parle, j'ignore si la police est dans le coup. On a des raisons de croire qu'elle sera mise au courant. Chose certaine, les agents de gestion de cas (ils s'occupent du dossier de Cloutier en prison) vont en avoir une copie afin d'en faire une analyse. C'est essentiel à l'évaluation du dossier (de Cloutier) et ils vont l'interroger là-dessus», a déclaré Guy Campeau, du Service correctionnel du Canada, à Ottawa.
En fin d'après-midi, la Sûreté du Québec a confirmé avoir été saisie du dossier. Des enquêteurs du Service des crimes contre la personne ont été chargés de récupérer le courriel, a indiqué l'agent relationniste Marc Butz, qui se disait incapable d'en dire davantage pour l'instant.
Une nouvelle victime présumée se manifeste
Si l'information se confirme, Cloutier pourrait avoir à en découdre encore longtemps avec la CNLC avant de pouvoir recouvrer sa liberté. À l'instar de certains autres tribunaux administratifs, la Commission n'a pas besoin d'une «preuve en béton» pour garder un prisonnier en détention
L'octroi d'une libération conditionnelle étant un privilège, et non un droit, il suffit, par exemple, qu'un détenu se comporte mal, qu'il ait de mauvaises fréquentations ou qu'on le soupçonne de tremper dans des affaires louches en prison pour qu'il en paie le prix à son passage devant la CNLC.
Le coup de théâtre d'hier matin est survenu au moment où les commissaires Constance Bennett et Robert Paquette commençaient à interroger Cloutier à huis clos sur le «cycle délictuel» et le contexte qui existaient au moment des crimes sexuels qu'il a commis contre Nathalie Simard et un autre enfant non identifié. Les victimes n'avaient que 11 et 12 ans quand les premières agressions ont eu lieu dans les années 70.
«Comme on veut avoir toute la latitude pour évaluer le risque de récidive et, en même temps, respecter l'ordre du tribunal de préserver l'identité de la deuxième victime, on a décidé de tenir cette partie de l'audience à huis clos», a expliqué Mme Bennett dès l'ouverture de la séance, peu après 9h.
La vingtaine de journalistes et les trois citoyens venus assister à l'audience faisaient le pied de grue depuis 45 minutes dans une salle adjacente du pénitencier quand, à leur grande surprise, les commissaires les ont rappelés pour leur annoncer l'annulation de l'audience.
«On a été informés de l'existence d'une victime potentielle qui soutient avoir été agressée entre 1974 et 1975», a dit Mme Bennett, manifestement décontenancée, elle aussi, par la tournure inattendue des événements.
C'est à ce moment que Cloutier, déjà fort tendu, a éclaté en sanglots. Assis face aux commissaires, et dos aux 10 journalistes acceptés dans la petite salle du Centre fédéral de formation, Cloutier avait à ses côtés Me Jacynthe Lanctôt, spécialiste en droit carcéral, et un ami de longue date, Me Léopold Fournier.
Selon Mme Bennett, l'intrigante dénonciation venait tout juste de leur être envoyée par courriel- à 8h56 plus exactement- des bureaux régionaux de la CNLC, à Laval. Le message avait été reçu la veille, vers 20h, au siège social de la CNLC, à Ottawa.
«Nous avons décidé d'ajourner l'audience afin de demander au Service correctionnel de valider la crédibilité de l'information reçue», a souligné la Mme Bennett. À la limite, le dossier pourrait être transmis à la police «pour plus de vérifications», a-t-elle dit, laissant tout le monde perplexe.
Au moment d'ajourner, elle a ajouté: «L'information se doit d'être vérifiée, car elle pourrait être cruciale pour notre dossier». Puis elle a conclu, devant un Guy Cloutier catastrophé et en larmes, qu'une date de reprise de l'audience allait être fixée «dans les meilleurs délais. En général, cette période est de deux mois.
Selon Carole Ménard, porte-parole de la CNLC, «un tel report n'est pas commun, mais ça arrive à l'occasion». À ses dires, les commissaires doivent «traiter et analyser» toutes les informations qu'ils détiennent, qu'elles soient de dernière minute ou autres. Ils ont aussi l'obligation de les partager avec le détenu.
Personne à la CNLC ou au Service correctionnel, que ce soit à Montréal, Laval ou Ottawa, n'a accepté, malgré les appels répétés, de fournir quelque autre détail que ce soit concernant le fameux courriel qui a provoqué ce spectaculaire revirement.
Est-ce une lettre anonyme? Portait-elle un nom, une adresse et un numéro de téléphone? Vient-elle d'une femme ou d'un homme? Toutes ces questions sont restées sans réponse. Par contre, une rumeur a circulé, hier, voulant que ce soit un document qui en disait assez pour susciter l'intérêt de la CNLC.
«À l'heure où l'on se parle, j'ignore si la police est dans le coup. On a des raisons de croire qu'elle sera mise au courant. Chose certaine, les agents de gestion de cas (ils s'occupent du dossier de Cloutier en prison) vont en avoir une copie afin d'en faire une analyse. C'est essentiel à l'évaluation du dossier (de Cloutier) et ils vont l'interroger là-dessus», a déclaré Guy Campeau, du Service correctionnel du Canada, à Ottawa.
En fin d'après-midi, la Sûreté du Québec a confirmé avoir été saisie du dossier. Des enquêteurs du Service des crimes contre la personne ont été chargés de récupérer le courriel, a indiqué l'agent relationniste Marc Butz, qui se disait incapable d'en dire davantage pour l'instant.
Bambi_Smiley a écritComme les actes d'accusation de Nathalie n'était pas Pédophilie mais autres tels : "attentat à la pudeur", "agression sexuelle" et etc...
Je serais pas surprise que la 3e victime n'était pas mineure en 1974-75, Mais a subi "attentat à la pudeur", agression sexuelle", "viol", et finalement "sodomie".
C'est soit lyne la soeur de nathalie (mais j'ai rien qui me dit qu'elle accompagnait rené en voyage) Elle est née entre 1957 et 1960, ou une adulte sexy et populaire en 1974-75 (oublions l'asie, une mauvaise piste à mon avis).
--------------------------------------------
AVIS AUX COLUMBO -DEVINETTE-
Quelles étaient:
1) Les femmes adultes, sexy et populaires en 1974-75 ?
2) Sous l'emprise de Cloutier (car sur deux ans, donc pas un fait isolé)
3) Que et Michel Jasmin et Michel Girouard sont proches (car ils disent penser savoir qui est la troisième victime)
------------------------------------------------------------
Moi je dis Chantal Paris
Michèle Richard est une très bonne amie de Michel Jasmin mais je doute qu'elle soit la troisième victime, bien qu'on ne sait jamais!
Je serais pas surprise que la 3e victime n'était pas mineure en 1974-75, Mais a subi "attentat à la pudeur", agression sexuelle", "viol", et finalement "sodomie".
C'est soit lyne la soeur de nathalie (mais j'ai rien qui me dit qu'elle accompagnait rené en voyage) Elle est née entre 1957 et 1960, ou une adulte sexy et populaire en 1974-75 (oublions l'asie, une mauvaise piste à mon avis).
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AVIS AUX COLUMBO -DEVINETTE-
Quelles étaient:
1) Les femmes adultes, sexy et populaires en 1974-75 ?
2) Sous l'emprise de Cloutier (car sur deux ans, donc pas un fait isolé)
3) Que et Michel Jasmin et Michel Girouard sont proches (car ils disent penser savoir qui est la troisième victime)
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Moi je dis Chantal Paris
Michèle Richard est une très bonne amie de Michel Jasmin mais je doute qu'elle soit la troisième victime, bien qu'on ne sait jamais!
****FANK CLUB DE KEN PAVÈS****
Affaire Guy Cloutier : aucun indice sur l'identité de la présumée troisième victime » Options Écouter
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(CKAC) - Le Journal de Montréal a contacté les proches de différentes chanteuses qui ont travaillé avec Guy Cloutier, dont Martine St-Clair, Martine Chevrier, Mimi Hétu et Véronique Béliveau.
Dans tous les cas, on affirme ne pas être à l'origine de cette troisième dénonciation.
On a aussi contacté l'agent de Nathalie Simard, qui affirme que cette dernière n'a aucune idée de qui il peut s'agir.
Le chroniqueur judiciaire Richard Desmarais, indique que même la machine à rumeurs étant partie, il sera impossible de rendre public le nom de cette troisième victime potentielle.
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(CKAC) - Le Journal de Montréal a contacté les proches de différentes chanteuses qui ont travaillé avec Guy Cloutier, dont Martine St-Clair, Martine Chevrier, Mimi Hétu et Véronique Béliveau.
Dans tous les cas, on affirme ne pas être à l'origine de cette troisième dénonciation.
On a aussi contacté l'agent de Nathalie Simard, qui affirme que cette dernière n'a aucune idée de qui il peut s'agir.
Le chroniqueur judiciaire Richard Desmarais, indique que même la machine à rumeurs étant partie, il sera impossible de rendre public le nom de cette troisième victime potentielle.
Katchinaphotos.iquebec.com
pompon__3 a écrit, si mon pere aurais fais comme cloutier je l aurais renier il ne m aurais pu revue, ben christi je sais po mais moi sa fais longtemp que je l aurais floché
vous aller me dire ben oui mais cé leur pere cé son mari
je sais que je vais me faire juger sur se que j ecris
sa m enrage de voir sa
tout cas j ai pas eu aucun message de ma penser depuis toute cette histoire mais la je n ai pu résister oui je sais que les enfants de cloutier non pas demander a vivre cela mais crime si ils continuent d aller le voir et de l appuyer arreter de dire pauvres eux autres je ne trouve pas qu ils font si pitié ils se sont fait eux meme remplir par leur propre pere pis il l excuse ben christi moi sa fait longtemp qu il aurait prit le bord
Je ne vais pas te juger , car moi aussi je me dit sa femme , ses filles , je comprends pas pourquoi ,le pardon ok c est une bonne chose ,mais pardonner et continuer a voir la personne est 2 choses sauf quand même temps je les comprends tellement . C est un sentiment qui malgré tout ce que la personne peut avoir fait aux autres ou nous avoir fait a nous que meme si notre tete nous dit une chose, les sentiments ,le coeur lui voit autrement .
C est quelque chose de pas évident a comprendre tant qu on ne le vit et même encore .... Renié une vie , une enfance , un parent , les bons moments au profit du mal c'est pas chose aussi simple qu'il n'y parait ...donc autant je comprends pas , autant je comprends ce qu elles doivent vivre , et pourquoi elles le voient encore --Message edité par leelou le 2006-04-13 09:16:57--
vous aller me dire ben oui mais cé leur pere cé son mari
je sais que je vais me faire juger sur se que j ecris
sa m enrage de voir sa
tout cas j ai pas eu aucun message de ma penser depuis toute cette histoire mais la je n ai pu résister oui je sais que les enfants de cloutier non pas demander a vivre cela mais crime si ils continuent d aller le voir et de l appuyer arreter de dire pauvres eux autres je ne trouve pas qu ils font si pitié ils se sont fait eux meme remplir par leur propre pere pis il l excuse ben christi moi sa fait longtemp qu il aurait prit le bord
Je ne vais pas te juger , car moi aussi je me dit sa femme , ses filles , je comprends pas pourquoi ,le pardon ok c est une bonne chose ,mais pardonner et continuer a voir la personne est 2 choses sauf quand même temps je les comprends tellement . C est un sentiment qui malgré tout ce que la personne peut avoir fait aux autres ou nous avoir fait a nous que meme si notre tete nous dit une chose, les sentiments ,le coeur lui voit autrement .
C est quelque chose de pas évident a comprendre tant qu on ne le vit et même encore .... Renié une vie , une enfance , un parent , les bons moments au profit du mal c'est pas chose aussi simple qu'il n'y parait ...donc autant je comprends pas , autant je comprends ce qu elles doivent vivre , et pourquoi elles le voient encore --Message edité par leelou le 2006-04-13 09:16:57--
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LeeLou a écrit
Je ne vais pas te juger , car moi aussi je me dit sa femme , ses filles , je comprends pas pourquoi ,le pardon ok c est une bonne chose ,mais pardonner et continuer a voir la personne est 2 choses sauf quand même temps je les comprends tellement . C est un sentiment qui malgré tout ce que la personne peut avoir fait aux autres ou nous avoir fait a nous que meme si notre tete nous dit une chose, les sentiments ,le coeur lui voit autrement .
C est quelque chose de pas évident a comprendre tant qu on ne le vit et même encore .... Renié une vie , une enfance , un parent , les bons moments au profit du mal c'est pas chose aussi simple qu'il n'y parait ...donc autant je comprends pas , autant je comprends ce qu elles doivent vivre , et pourquoi elles le voient encore
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Je ne vais pas te juger , car moi aussi je me dit sa femme , ses filles , je comprends pas pourquoi ,le pardon ok c est une bonne chose ,mais pardonner et continuer a voir la personne est 2 choses sauf quand même temps je les comprends tellement . C est un sentiment qui malgré tout ce que la personne peut avoir fait aux autres ou nous avoir fait a nous que meme si notre tete nous dit une chose, les sentiments ,le coeur lui voit autrement .
C est quelque chose de pas évident a comprendre tant qu on ne le vit et même encore .... Renié une vie , une enfance , un parent , les bons moments au profit du mal c'est pas chose aussi simple qu'il n'y parait ...donc autant je comprends pas , autant je comprends ce qu elles doivent vivre , et pourquoi elles le voient encore
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
tipet a écrit
A-t-elle réagit depuis hier?
Je ne pense pas, elle a continuer a faire sa job, même si ca doit être extrêmement dur pour elle présentement. Perdre son émission, se faire trahir pas son accolyte d'animatrice, gérer une compagnie et ce dernier coup d'éclat en plus.
Je compatise énormément avec les victimes. Mais je compatise aussi avec une femme d'affaire qui en a vu des vertes et des pas mures depuis quelques temps. Qui doit laisser de côté ses émotions pour faire son boulot. Je la trouve très forte.
A-t-elle réagit depuis hier?
Je ne pense pas, elle a continuer a faire sa job, même si ca doit être extrêmement dur pour elle présentement. Perdre son émission, se faire trahir pas son accolyte d'animatrice, gérer une compagnie et ce dernier coup d'éclat en plus.
Je compatise énormément avec les victimes. Mais je compatise aussi avec une femme d'affaire qui en a vu des vertes et des pas mures depuis quelques temps. Qui doit laisser de côté ses émotions pour faire son boulot. Je la trouve très forte.
hier aux nouvelles sur l heure du souper , c est rare que j écoute tva mais comme c était maréchal a tqs au lieu de mongrain jai écouté tva .Ils prenait des appels du public , une dame a téléphoner , elle s est pratiquement mise a pleurer au téléphone , en fait elle a pleurer. Elle disait que ca ne faisait pas longtemps qu elle avait dénoncé et que c est la sortie de Nathalie qui l avait poussé dans cette voie . Mais que la avec tout ce qui se passe aux nouvelles , a la télé , la radio , ca la ramene a ses souvenirs , que ca lui fais mal a chaque fois qu elle en entends parler mais que surtout on ne parle que de cloutier que les journalistes oublis les victimes dans tout ca . Qu'ils n en ont que pour cloutier . Leur a dit quils devraient parler plus des victimes de ces actes la .
Enfin ca m a touchée d entendre cette dame , appeller comme ca en direct a la tv et dire ce que beaucoup pense tout bas meme si ca lui arrachait le coeur d en parler .
Enfin ca m a touchée d entendre cette dame , appeller comme ca en direct a la tv et dire ce que beaucoup pense tout bas meme si ca lui arrachait le coeur d en parler .
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Annouk a écrit
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Annouk a écrit
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Elles peuvent être déçues, tristes et avoir de la compassion pour les victimes, sans pour autant renier leur père.
J'ai un oncle qui a commis de l'inceste sur sa fille (ma cousine). Bien que toute la famille soit carrément outrée par ce qu'il a fait, ses parents lui parlent toujours et tentent de l'aider. Un parent reste un parent, et je pense que pour un enfant c'est la même chose.
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Elles peuvent être déçues, tristes et avoir de la compassion pour les victimes, sans pour autant renier leur père.
J'ai un oncle qui a commis de l'inceste sur sa fille (ma cousine). Bien que toute la famille soit carrément outrée par ce qu'il a fait, ses parents lui parlent toujours et tentent de l'aider. Un parent reste un parent, et je pense que pour un enfant c'est la même chose.
linus611 a écrit
Je ne pense pas, elle a continuer a faire sa job, même si ca doit être extrêmement dur pour elle présentement. Perdre son émission, se faire trahir pas son accolyte d'animatrice, gérer une compagnie et ce dernier coup d'éclat en plus.
Je compatise énormément avec les victimes. Mais je compatise aussi avec une femme d'affaire qui en a vu des vertes et des pas mures depuis quelques temps. Qui doit laisser de côté ses émotions pour faire son boulot. Je la trouve très forte.
Ah ok
Je ne pense pas, elle a continuer a faire sa job, même si ca doit être extrêmement dur pour elle présentement. Perdre son émission, se faire trahir pas son accolyte d'animatrice, gérer une compagnie et ce dernier coup d'éclat en plus.
Je compatise énormément avec les victimes. Mais je compatise aussi avec une femme d'affaire qui en a vu des vertes et des pas mures depuis quelques temps. Qui doit laisser de côté ses émotions pour faire son boulot. Je la trouve très forte.
Ah ok
Annouk a écrit
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Personnellement je ne dit pas qu elles devraient ne plus le voir , oui par moment je me dit ben voyons donc , mais en meme temps je les comprends de continuer , c est un peu ce quil y avait dans mon message ... peut etre me suis je mal exprimée
Je ne vous lance pas de tomates mais je ne suis pas de votre avis en ce qui concerne les filles de Guy Cloutier. J'ai toujours trouvé l'attitude de Véronique Cloutier très saine et très équilibrée depuis le début de cette affaire. Quoiqu'elle dise ou quoiqu'elle fasse, Guy Cloutier demeurera toujours son père. Les choses qu'elle a vécue avec lui ne s'effaceront jamais. Comment demander à quelqu'un de renier toute son enfance si celle-ci n'a pas été malheureuse?
Je crois fermement et je sais pertinament qu'on peut aimer quelqu'un tout en détestant ce qu'il a fait. Il est très sain de dissocier une personne des gestes qu'elle a commis. Guy Cloutier n'est pas un monstre, c'est une personne malade souffrant de pédophilie, une déviance qui aura finalement brisé sa vie et celle de ses victimes, causant en plus de sérieuses brèches dans celles de ses proches qui sont, avant tout des victimes indirectes de sa déviance.
Je n'ai jamais compris pourquoi des gens tiennent absolument à rejetter des fautes sur les filles de Guy Cloutier. On dirais qu'elles sont coupables de vouloir contineur à vivre le plus normalement possible
Personnellement je ne dit pas qu elles devraient ne plus le voir , oui par moment je me dit ben voyons donc , mais en meme temps je les comprends de continuer , c est un peu ce quil y avait dans mon message ... peut etre me suis je mal exprimée
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LeeLou a écrit
Personnellement je ne dit pas qu elles devraient ne plus le voir , oui par moment je me dit ben voyons donc , mais en meme temps je les comprends de continuer , c est un peu ce quil y avait dans mon message ... peut etre me suis je mal exprimée
Ben non ma belle, c'est moi qui a cité le mauvais message, je voulais citer pompom_3
Personnellement je ne dit pas qu elles devraient ne plus le voir , oui par moment je me dit ben voyons donc , mais en meme temps je les comprends de continuer , c est un peu ce quil y avait dans mon message ... peut etre me suis je mal exprimée
Ben non ma belle, c'est moi qui a cité le mauvais message, je voulais citer pompom_3