bobépine a écrit
Depuis l'adolescence je suis péquiste...aussitot que j'ai eu mes 18 ans j,ai pris ma carte du parti...mais je l'avais cancellé il y a 4 ans....maintenant je l'ai repris...et seulement a cause de Boisclair
Tant mieux si tu es une péquiste et que tu reviens. Par contre j'aimerais beaucoup savoir pourquoi c'est Boisclair qui t'as fait revenir. Quel sont les gestes qu'il a fait pour t'avoir fait changer d'idée.
Course au leadership au PQ, vote #4
Fabine a écrit
Tant mieux si tu es une péquiste et que tu reviens. Par contre j'aimerais beaucoup savoir pourquoi c'est Boisclair qui t'as fait revenir. Quel sont les gestes qu'il a fait pour t'avoir fait changer d'idée.
C,est du sang neuf, du renouveau et ses positions rejoignent les mienne
Tant mieux si tu es une péquiste et que tu reviens. Par contre j'aimerais beaucoup savoir pourquoi c'est Boisclair qui t'as fait revenir. Quel sont les gestes qu'il a fait pour t'avoir fait changer d'idée.
C,est du sang neuf, du renouveau et ses positions rejoignent les mienne
C'est bobépine ou bépine SVP
bobépine a écrit
C,est du sang neuf, du renouveau et ses positions rejoignent les mienne
Pour le sang neuf il ne l'est pas tant que ça. Il a été élu député en septembre 1989 c'est toujours bien 16 ans. Tant qu'à ces positions quelles sont-elles? J'ai bien essayé de faire mes mes leçons. J'ai écouté attentivement ses déclarations. J'ai fouillé ses interventions à l'assemblée nationale, j'ai lu ses implications au journal des débats des commissions, ce qui est assez ardu merci.
Pourtant, je ne connast pas sa vrai opinion. Je ne peux même pas dire s'il a des opinions sur la famille, le privé, le public, la santé. Est-il pour les subventions aux entreprises, son opinion sur la façon d'augmenter la richesse des québecois? Par l'entreprise privé, par l'intervention de l'état. Le syndicaliste pour lui quel est-il?
C'est ça c'est vide. Il ne s'est jamais avancé sur une idée, il n'a jamais avancé une idée ou un nouvelle façon de faire.
Peut-être que je me trompes, si oui dites-moi un exemple de ce que Boisclair ferait de différent et qui pourrait marcher.
C,est du sang neuf, du renouveau et ses positions rejoignent les mienne
Pour le sang neuf il ne l'est pas tant que ça. Il a été élu député en septembre 1989 c'est toujours bien 16 ans. Tant qu'à ces positions quelles sont-elles? J'ai bien essayé de faire mes mes leçons. J'ai écouté attentivement ses déclarations. J'ai fouillé ses interventions à l'assemblée nationale, j'ai lu ses implications au journal des débats des commissions, ce qui est assez ardu merci.
Pourtant, je ne connast pas sa vrai opinion. Je ne peux même pas dire s'il a des opinions sur la famille, le privé, le public, la santé. Est-il pour les subventions aux entreprises, son opinion sur la façon d'augmenter la richesse des québecois? Par l'entreprise privé, par l'intervention de l'état. Le syndicaliste pour lui quel est-il?
C'est ça c'est vide. Il ne s'est jamais avancé sur une idée, il n'a jamais avancé une idée ou un nouvelle façon de faire.
Peut-être que je me trompes, si oui dites-moi un exemple de ce que Boisclair ferait de différent et qui pourrait marcher.
-
Moi_Caroline
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1509
- Inscription : jeu. nov. 20, 2003 1:00 am
tuberale a écrit
Non, pour le lien vers les propos abjects .je vais d,ailleurs mettre le lien dans la modération pour obtenir l,aval de mes pairs.......je suis neutre là-dedans, je n,ai même pas ma foutu carte du PQ.......
Tout comme moi... Pour qui on est, je m'en conniche, mais ya des choses qui dépassent tout entendement!
Non, pour le lien vers les propos abjects .je vais d,ailleurs mettre le lien dans la modération pour obtenir l,aval de mes pairs.......je suis neutre là-dedans, je n,ai même pas ma foutu carte du PQ.......
Tout comme moi... Pour qui on est, je m'en conniche, mais ya des choses qui dépassent tout entendement!
[cit]Fabine a dit :
.
Pourtant, je ne connast pas sa vrai opinion. Je ne peux même pas dire s'il a des opinions sur la famille, le privé, le public, la santé. Est-il pour les subventions aux entreprises, son opinion sur la façon d'augmenter la richesse des québecois? Par l'entreprise privé, par l'intervention de l'état. Le syndicaliste pour lui quel est-il?
C'est justement pour cà que je vais voter pour lui... j'en ai marre que mon argent aille sur la famille et la santé.... j'y mets déjà 65 % de mes impots... et les gens ont pas plus d'enfants, et les les urgences sont toujours débordées.
Indépendance, culture, environnement, stimulation des entreprises... on a juste à cesser de surconsommer et s'assumer un peu comme citoyen au lieu de s'attendre toujours à ce que le gouvernement paie pour nous et on va s'enrichir.
.
Pourtant, je ne connast pas sa vrai opinion. Je ne peux même pas dire s'il a des opinions sur la famille, le privé, le public, la santé. Est-il pour les subventions aux entreprises, son opinion sur la façon d'augmenter la richesse des québecois? Par l'entreprise privé, par l'intervention de l'état. Le syndicaliste pour lui quel est-il?
C'est justement pour cà que je vais voter pour lui... j'en ai marre que mon argent aille sur la famille et la santé.... j'y mets déjà 65 % de mes impots... et les gens ont pas plus d'enfants, et les les urgences sont toujours débordées.
Indépendance, culture, environnement, stimulation des entreprises... on a juste à cesser de surconsommer et s'assumer un peu comme citoyen au lieu de s'attendre toujours à ce que le gouvernement paie pour nous et on va s'enrichir.
lucide a dit : [cit]Fabine a écrit
.
Pourtant, je ne connast pas sa vrai opinion. Je ne peux même pas dire s'il a des opinions sur la famille, le privé, le public, la santé. Est-il pour les subventions aux entreprises, son opinion sur la façon d'augmenter la richesse des québecois? Par l'entreprise privé, par l'intervention de l'état. Le syndicaliste pour lui quel est-il?
C'est justement pour cà que je vais voter pour lui... j'en ai marre que mon argent aille sur la famille et la santé.... j'y mets déjà 65 % de mes impots... et les gens ont pas plus d'enfants, et les les urgences sont toujours débordées.
Indépendance, culture, environnement, stimulation des entreprises... on a juste à cesser de surconsommer et s'assumer un peu comme citoyen au lieu de s'attendre toujours à ce que le gouvernement paie pour nous et on va s'enrichir.
Sans vouloir te décevoir, ce n'est pas parceque le chef est plus à droite que la doctrine du parti, que le parti devient à droite Au PQ, le chef doit représenter et en quelques sortes être le porte parole des idéologies du parti, choisit par les membres
Mais sinon tu as raison, Boisclair a des tendances néo-libérales. Mais habituellement il défend la doctrine du parti, son discours sera donc légèrement à gauche..
.
Pourtant, je ne connast pas sa vrai opinion. Je ne peux même pas dire s'il a des opinions sur la famille, le privé, le public, la santé. Est-il pour les subventions aux entreprises, son opinion sur la façon d'augmenter la richesse des québecois? Par l'entreprise privé, par l'intervention de l'état. Le syndicaliste pour lui quel est-il?
C'est justement pour cà que je vais voter pour lui... j'en ai marre que mon argent aille sur la famille et la santé.... j'y mets déjà 65 % de mes impots... et les gens ont pas plus d'enfants, et les les urgences sont toujours débordées.
Indépendance, culture, environnement, stimulation des entreprises... on a juste à cesser de surconsommer et s'assumer un peu comme citoyen au lieu de s'attendre toujours à ce que le gouvernement paie pour nous et on va s'enrichir.
Sans vouloir te décevoir, ce n'est pas parceque le chef est plus à droite que la doctrine du parti, que le parti devient à droite Au PQ, le chef doit représenter et en quelques sortes être le porte parole des idéologies du parti, choisit par les membres
Mais sinon tu as raison, Boisclair a des tendances néo-libérales. Mais habituellement il défend la doctrine du parti, son discours sera donc légèrement à gauche..
Raven a écrit
Sans vouloir te décevoir, ce n'est pas parceque le chef est plus à droite que la doctrine du parti, que le parti devient à droite Au PQ, le chef doit représenter et en quelques sortes être le porte parole des idéologies du parti, choisit par les membres
Mais sinon tu as raison, Boisclair a des tendances néo-libérales. Mais habituellement il défend la doctrine du parti, son discours sera donc légèrement à gauche..
Un nouveau chef amenera peut-être de nouvelles idées au parti, on nous présentera pas j'espère le programme écrit en 1970.
Et dans les idéologies on doit en choisir pour mettre de l'avant dans les années à venir. Marois, Legendre ou Boisclair n'ont pas le même avis sur les priorités et c'est tant mieux, c'est ce qui nous permait de choisir.
Sans vouloir te décevoir, ce n'est pas parceque le chef est plus à droite que la doctrine du parti, que le parti devient à droite Au PQ, le chef doit représenter et en quelques sortes être le porte parole des idéologies du parti, choisit par les membres
Mais sinon tu as raison, Boisclair a des tendances néo-libérales. Mais habituellement il défend la doctrine du parti, son discours sera donc légèrement à gauche..
Un nouveau chef amenera peut-être de nouvelles idées au parti, on nous présentera pas j'espère le programme écrit en 1970.
Et dans les idéologies on doit en choisir pour mettre de l'avant dans les années à venir. Marois, Legendre ou Boisclair n'ont pas le même avis sur les priorités et c'est tant mieux, c'est ce qui nous permait de choisir.
lucide a écrit
Un nouveau chef amenera peut-être de nouvelles idées au parti, on nous présentera pas j'espère le programme écrit en 1970.
Et dans les idéologies on doit en choisir pour mettre de l'avant dans les années à venir. Marois, Legendre ou Boisclair n'ont pas le même avis sur les priorités et c'est tant mieux, c'est ce qui nous permait de choisir.
Je ne veux pas te décevoir, mais le contenu du programme du parti est écrit et adopté par les membres, pas seulement par le chef....À tout le moins, Boisclair peut se choisir un conseil des ministres qui correspond à ses visées, mais il ne pourra pas prendre un virage à 180 degré de même en changeant tout le programme...Il va avoir du monde aux barricades s'il tente de le faire
Un nouveau chef amenera peut-être de nouvelles idées au parti, on nous présentera pas j'espère le programme écrit en 1970.
Et dans les idéologies on doit en choisir pour mettre de l'avant dans les années à venir. Marois, Legendre ou Boisclair n'ont pas le même avis sur les priorités et c'est tant mieux, c'est ce qui nous permait de choisir.
Je ne veux pas te décevoir, mais le contenu du programme du parti est écrit et adopté par les membres, pas seulement par le chef....À tout le moins, Boisclair peut se choisir un conseil des ministres qui correspond à ses visées, mais il ne pourra pas prendre un virage à 180 degré de même en changeant tout le programme...Il va avoir du monde aux barricades s'il tente de le faire
-
*Raphaëlle*
- Immortel du Domaine
- Messages : 22597
- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
sophie20 a écrit
Idem de mon côté. Maintenant, que les autres lèvent la main!
Il y a moi aussi...
C'est vraiment insultant Fabine que tu insinues que les nouveaux membres était des libéraux?
C'est quoi, pour être un "bon" membre du PQ, il faut que ça fasse minimum 5 ans qu'on est membre???
J'ai pris ma carte pour la souveraineté, donc pour Boisclair parce que je crois que c'est lui qui peut nous amener cette souveraineté
Idem de mon côté. Maintenant, que les autres lèvent la main!
Il y a moi aussi...
C'est vraiment insultant Fabine que tu insinues que les nouveaux membres était des libéraux?
C'est quoi, pour être un "bon" membre du PQ, il faut que ça fasse minimum 5 ans qu'on est membre???
J'ai pris ma carte pour la souveraineté, donc pour Boisclair parce que je crois que c'est lui qui peut nous amener cette souveraineté
lucide a écrit
Un nouveau chef amenera peut-être de nouvelles idées au parti, on nous présentera pas j'espère le programme écrit en 1970.
Et dans les idéologies on doit en choisir pour mettre de l'avant dans les années à venir. Marois, Legendre ou Boisclair n'ont pas le même avis sur les priorités et c'est tant mieux, c'est ce qui nous permait de choisir.
Le dernier congrès à eu lieu en 2005, c'est donc un programme de 2005 qu'on défend, et non celui de 1970
Et Boisclair n'aura pas le choix de défendre le programme, et c'est ben tant mieux Le Parti Québécois est un parti qui respecte beaucoup la démocratie des membres, même trop selon plusieurs C'est pour cela que les chefs ont de la difficultés, car chaque membre peu s'exprimer. Le PQ est d'ailleur le seul parti où lors de sa course, tous les membres peuvent voter et décider
Un nouveau chef amenera peut-être de nouvelles idées au parti, on nous présentera pas j'espère le programme écrit en 1970.
Et dans les idéologies on doit en choisir pour mettre de l'avant dans les années à venir. Marois, Legendre ou Boisclair n'ont pas le même avis sur les priorités et c'est tant mieux, c'est ce qui nous permait de choisir.
Le dernier congrès à eu lieu en 2005, c'est donc un programme de 2005 qu'on défend, et non celui de 1970
Et Boisclair n'aura pas le choix de défendre le programme, et c'est ben tant mieux Le Parti Québécois est un parti qui respecte beaucoup la démocratie des membres, même trop selon plusieurs C'est pour cela que les chefs ont de la difficultés, car chaque membre peu s'exprimer. Le PQ est d'ailleur le seul parti où lors de sa course, tous les membres peuvent voter et décider
Raven a écrit
Le dernier congrès à eu lieu en 2005, c'est donc un programme de 2005 qu'on défend, et non celui de 1970
Et Boisclair n'aura pas le choix de défendre le programme, et c'est ben tant mieux Le Parti Québécois est un parti qui respecte beaucoup la démocratie des membres, même trop selon plusieurs C'est pour cela que les chefs ont de la difficultés, car chaque membre peu s'exprimer. Le PQ est d'ailleur le seul parti où lors de sa course, tous les membres peuvent voter et décider
Je sais qu'il y a eu un nouveau programme et j'ai bien hâte apres la nomination du chef qu'on puisse en prendre connaissance de manière plus approfondie.
Le dernier congrès à eu lieu en 2005, c'est donc un programme de 2005 qu'on défend, et non celui de 1970
Et Boisclair n'aura pas le choix de défendre le programme, et c'est ben tant mieux Le Parti Québécois est un parti qui respecte beaucoup la démocratie des membres, même trop selon plusieurs C'est pour cela que les chefs ont de la difficultés, car chaque membre peu s'exprimer. Le PQ est d'ailleur le seul parti où lors de sa course, tous les membres peuvent voter et décider
Je sais qu'il y a eu un nouveau programme et j'ai bien hâte apres la nomination du chef qu'on puisse en prendre connaissance de manière plus approfondie.
137 238 membres pourront voter
Presse Canadienne
Montréal
À la veille du quatrième débat des neuf candidats à la succession de Bernard Landry, la présidente du Parti québécois, Monique Richard, a annoncé qu'au 14 octobre, la formation politique comptait 137 238 membres en règle.
Le 14 octobre était la date limite pour devenir membre et obtenir le droit de vote lors de la course à la direction.
Depuis le dernier congrès en mai dernier, le Parti rapporte qu'il y a eu une augmentation de près de 80 000 membres dont un peu plus de 59 000 nouvelles adhésions. La présidente du Parti, Monique Richard, explique cette augmentation par la forte médiatisation de la course à la direction et aussi par l'intérêt soulevé par les nombreuses tribunes organisées dans les principales régions du Québec.
Mme Richard espère également que d'ici le vote des 13, 14 et 15 novembre prochains pour l'élection d'un nouveau chef, les enjeux de fonds que sont l'éducation, la santé et le développement durable vont ressortir plutôt que les histoires entourant la consommation de cocaïne et de marijuana.
Presse Canadienne
Montréal
À la veille du quatrième débat des neuf candidats à la succession de Bernard Landry, la présidente du Parti québécois, Monique Richard, a annoncé qu'au 14 octobre, la formation politique comptait 137 238 membres en règle.
Le 14 octobre était la date limite pour devenir membre et obtenir le droit de vote lors de la course à la direction.
Depuis le dernier congrès en mai dernier, le Parti rapporte qu'il y a eu une augmentation de près de 80 000 membres dont un peu plus de 59 000 nouvelles adhésions. La présidente du Parti, Monique Richard, explique cette augmentation par la forte médiatisation de la course à la direction et aussi par l'intérêt soulevé par les nombreuses tribunes organisées dans les principales régions du Québec.
Mme Richard espère également que d'ici le vote des 13, 14 et 15 novembre prochains pour l'élection d'un nouveau chef, les enjeux de fonds que sont l'éducation, la santé et le développement durable vont ressortir plutôt que les histoires entourant la consommation de cocaïne et de marijuana.
Québec
Landry comment la course à sa succession
Presse Canadienne (PC) Martin Ouellet
18/10/2005 16h40 - Mise à jour 18/10/2005 16h47
La carrière d'André Boisclair aurait pu prendre fin abruptement si l'ancien premier ministre Bernard Landry avait été informé à l'époque de son penchant pour la cocaïne.
«Cela aurait été une chose extrêmement grave pour moi», a lancé M. Landry, aujourd'hui, lors d'un point de presse à Québec, où il était de passage pour prononcer une conférence devant des étudiants à l'Université Laval.
«Comme premier ministre, c'est sûr que j'aurais pris les mesures que j'aurais cru nécessaires, a-t-il poursuivi, s'empressant toutefois d'ajouter que les gestes reprochés au candidat vedette à la direction du Parti québécois n'ont pas été posés sous son administration.
«Lorsque j'étais premier ministre, une telle chose n'est jamais arrivée, a-t-il insisté. Ce que j'ai entendu moi, c'est que c'est sous Lucien Bouchard (1996-2001) que c'est arrivé.»
Premier ministre de 2001 à 2003, M. Landry avait choisi M. Boisclair pour occuper, en outre, les fonctions névralgiques de ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement.
S'il avait eu vent de rumeurs concernant les habitudes de vie de son ministre, il a assure qu'il aurait pris des mesures immédiates, lourdes de conséquences.
«J'aurais fait faire une enquête sur les circonstances, sur la façon, sur la manière, sur la fréquence de ceci et de cela (...) il aurait fallu que je m'informe des faits et j'aurais jugé d'après les faits», a-t-il expliqué, sans donner plus de détails.
Pour le reste, M. Landry laisse aux militants le soin de tirer leur propre conclusion sur les capacités de M. Boisclair d'assumer les fonctions de chef de parti, de chef de gouvernement et éventuellement de chef d'État.
«Je respecte le choix des militants. Ils disposent de l'information et avec cette information ils agiront selon leur conscience et non pas influencés par leur ancien chef», a-t-il dit.
À un reporter qui lui demandait si M. Boisclair avait suffisamment levé le voile sur son passé nébuleux, l'ancien leader du PQ est demeuré prudent.
«Je crois qu'en son âme et conscience il a dit ce qu'il devait dire. En leur âme et conscience, les militants doivent juger, c'est ça que je crois», a-t-il indiqué.
Sur un autre front, M. Landry croit que Pauline Marois se trompe en attribuant à sa condition de femme ses difficultés à rallier les militants péquistes.
«Je respecte sa pensée mais ce n'est pas mon opinion. Le Québec est une société avancée en matière d'égalité homme-femme. Alors j'ai l'impression que ça ne doit pas être pris en compte.»
Mme Marois, qui avait remis en question le leadership de M. Landry dès 2004, devra chercher ailleurs les raisons qui expliquent ses difficultés de campagne au leadership, analyse l'ancien chef.
«On ne juge pas par le sexe, par l'orientation sexuelle ou par la religion mais par des facteurs profondément reliés aux capacités de la personne», a-t-il fait valoir.
Landry comment la course à sa succession
Presse Canadienne (PC) Martin Ouellet
18/10/2005 16h40 - Mise à jour 18/10/2005 16h47
La carrière d'André Boisclair aurait pu prendre fin abruptement si l'ancien premier ministre Bernard Landry avait été informé à l'époque de son penchant pour la cocaïne.
«Cela aurait été une chose extrêmement grave pour moi», a lancé M. Landry, aujourd'hui, lors d'un point de presse à Québec, où il était de passage pour prononcer une conférence devant des étudiants à l'Université Laval.
«Comme premier ministre, c'est sûr que j'aurais pris les mesures que j'aurais cru nécessaires, a-t-il poursuivi, s'empressant toutefois d'ajouter que les gestes reprochés au candidat vedette à la direction du Parti québécois n'ont pas été posés sous son administration.
«Lorsque j'étais premier ministre, une telle chose n'est jamais arrivée, a-t-il insisté. Ce que j'ai entendu moi, c'est que c'est sous Lucien Bouchard (1996-2001) que c'est arrivé.»
Premier ministre de 2001 à 2003, M. Landry avait choisi M. Boisclair pour occuper, en outre, les fonctions névralgiques de ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement.
S'il avait eu vent de rumeurs concernant les habitudes de vie de son ministre, il a assure qu'il aurait pris des mesures immédiates, lourdes de conséquences.
«J'aurais fait faire une enquête sur les circonstances, sur la façon, sur la manière, sur la fréquence de ceci et de cela (...) il aurait fallu que je m'informe des faits et j'aurais jugé d'après les faits», a-t-il expliqué, sans donner plus de détails.
Pour le reste, M. Landry laisse aux militants le soin de tirer leur propre conclusion sur les capacités de M. Boisclair d'assumer les fonctions de chef de parti, de chef de gouvernement et éventuellement de chef d'État.
«Je respecte le choix des militants. Ils disposent de l'information et avec cette information ils agiront selon leur conscience et non pas influencés par leur ancien chef», a-t-il dit.
À un reporter qui lui demandait si M. Boisclair avait suffisamment levé le voile sur son passé nébuleux, l'ancien leader du PQ est demeuré prudent.
«Je crois qu'en son âme et conscience il a dit ce qu'il devait dire. En leur âme et conscience, les militants doivent juger, c'est ça que je crois», a-t-il indiqué.
Sur un autre front, M. Landry croit que Pauline Marois se trompe en attribuant à sa condition de femme ses difficultés à rallier les militants péquistes.
«Je respecte sa pensée mais ce n'est pas mon opinion. Le Québec est une société avancée en matière d'égalité homme-femme. Alors j'ai l'impression que ça ne doit pas être pris en compte.»
Mme Marois, qui avait remis en question le leadership de M. Landry dès 2004, devra chercher ailleurs les raisons qui expliquent ses difficultés de campagne au leadership, analyse l'ancien chef.
«On ne juge pas par le sexe, par l'orientation sexuelle ou par la religion mais par des facteurs profondément reliés aux capacités de la personne», a-t-il fait valoir.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
tuberale a écrit137 238 membres pourront voter
Presse Canadienne
Montréal
À la veille du quatrième débat des neuf candidats à la succession de Bernard Landry, la présidente du Parti québécois, Monique Richard, a annoncé qu'au 14 octobre, la formation politique comptait 137 238 membres en règle.
Le 14 octobre était la date limite pour devenir membre et obtenir le droit de vote lors de la course à la direction.
Depuis le dernier congrès en mai dernier, le Parti rapporte qu'il y a eu une augmentation de près de 80 000 membres dont un peu plus de 59 000 nouvelles adhésions. La présidente du Parti, Monique Richard, explique cette augmentation par la forte médiatisation de la course à la direction et aussi par l'intérêt soulevé par les nombreuses tribunes organisées dans les principales régions du Québec.
Mme Richard espère également que d'ici le vote des 13, 14 et 15 novembre prochains pour l'élection d'un nouveau chef, les enjeux de fonds que sont l'éducation, la santé et le développement durable vont ressortir plutôt que les histoires entourant la consommation de cocaïne et de marijuana.
C'est bien quand même J'espère par contre qu'on ne retombera pas à 75 000 dans un an.. C'est pas beaucoup 5$ par année pour aider son parti et être plus au courant des dernières nouvelles
Presse Canadienne
Montréal
À la veille du quatrième débat des neuf candidats à la succession de Bernard Landry, la présidente du Parti québécois, Monique Richard, a annoncé qu'au 14 octobre, la formation politique comptait 137 238 membres en règle.
Le 14 octobre était la date limite pour devenir membre et obtenir le droit de vote lors de la course à la direction.
Depuis le dernier congrès en mai dernier, le Parti rapporte qu'il y a eu une augmentation de près de 80 000 membres dont un peu plus de 59 000 nouvelles adhésions. La présidente du Parti, Monique Richard, explique cette augmentation par la forte médiatisation de la course à la direction et aussi par l'intérêt soulevé par les nombreuses tribunes organisées dans les principales régions du Québec.
Mme Richard espère également que d'ici le vote des 13, 14 et 15 novembre prochains pour l'élection d'un nouveau chef, les enjeux de fonds que sont l'éducation, la santé et le développement durable vont ressortir plutôt que les histoires entourant la consommation de cocaïne et de marijuana.
C'est bien quand même J'espère par contre qu'on ne retombera pas à 75 000 dans un an.. C'est pas beaucoup 5$ par année pour aider son parti et être plus au courant des dernières nouvelles
Beppo a écritQuébec
Landry comment la course à sa succession
Presse Canadienne (PC) Martin Ouellet
18/10/2005 16h40 - Mise à jour 18/10/2005 16h47
La carrière d'André Boisclair aurait pu prendre fin abruptement si l'ancien premier ministre Bernard Landry avait été informé à l'époque de son penchant pour la cocaïne.
«Cela aurait été une chose extrêmement grave pour moi», a lancé M. Landry, aujourd'hui, lors d'un point de presse à Québec, où il était de passage pour prononcer une conférence devant des étudiants à l'Université Laval.
«Comme premier ministre, c'est sûr que j'aurais pris les mesures que j'aurais cru nécessaires, a-t-il poursuivi, s'empressant toutefois d'ajouter que les gestes reprochés au candidat vedette à la direction du Parti québécois n'ont pas été posés sous son administration.
«Lorsque j'étais premier ministre, une telle chose n'est jamais arrivée, a-t-il insisté. Ce que j'ai entendu moi, c'est que c'est sous Lucien Bouchard (1996-2001) que c'est arrivé.»
Premier ministre de 2001 à 2003, M. Landry avait choisi M. Boisclair pour occuper, en outre, les fonctions névralgiques de ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement.
S'il avait eu vent de rumeurs concernant les habitudes de vie de son ministre, il a assure qu'il aurait pris des mesures immédiates, lourdes de conséquences.
«J'aurais fait faire une enquête sur les circonstances, sur la façon, sur la manière, sur la fréquence de ceci et de cela (...) il aurait fallu que je m'informe des faits et j'aurais jugé d'après les faits», a-t-il expliqué, sans donner plus de détails.
Pour le reste, M. Landry laisse aux militants le soin de tirer leur propre conclusion sur les capacités de M. Boisclair d'assumer les fonctions de chef de parti, de chef de gouvernement et éventuellement de chef d'État.
«Je respecte le choix des militants. Ils disposent de l'information et avec cette information ils agiront selon leur conscience et non pas influencés par leur ancien chef», a-t-il dit.
À un reporter qui lui demandait si M. Boisclair avait suffisamment levé le voile sur son passé nébuleux, l'ancien leader du PQ est demeuré prudent.
«Je crois qu'en son âme et conscience il a dit ce qu'il devait dire. En leur âme et conscience, les militants doivent juger, c'est ça que je crois», a-t-il indiqué.
Sur un autre front, M. Landry croit que Pauline Marois se trompe en attribuant à sa condition de femme ses difficultés à rallier les militants péquistes.
«Je respecte sa pensée mais ce n'est pas mon opinion. Le Québec est une société avancée en matière d'égalité homme-femme. Alors j'ai l'impression que ça ne doit pas être pris en compte.»
Mme Marois, qui avait remis en question le leadership de M. Landry dès 2004, devra chercher ailleurs les raisons qui expliquent ses difficultés de campagne au leadership, analyse l'ancien chef.
«On ne juge pas par le sexe, par l'orientation sexuelle ou par la religion mais par des facteurs profondément reliés aux capacités de la personne», a-t-il fait valoir.
Je m'ennuie de Landry de plus en plus.
Il a été ultracritiqué, mais c'était quand même un christi de bon politicien....
Landry comment la course à sa succession
Presse Canadienne (PC) Martin Ouellet
18/10/2005 16h40 - Mise à jour 18/10/2005 16h47
La carrière d'André Boisclair aurait pu prendre fin abruptement si l'ancien premier ministre Bernard Landry avait été informé à l'époque de son penchant pour la cocaïne.
«Cela aurait été une chose extrêmement grave pour moi», a lancé M. Landry, aujourd'hui, lors d'un point de presse à Québec, où il était de passage pour prononcer une conférence devant des étudiants à l'Université Laval.
«Comme premier ministre, c'est sûr que j'aurais pris les mesures que j'aurais cru nécessaires, a-t-il poursuivi, s'empressant toutefois d'ajouter que les gestes reprochés au candidat vedette à la direction du Parti québécois n'ont pas été posés sous son administration.
«Lorsque j'étais premier ministre, une telle chose n'est jamais arrivée, a-t-il insisté. Ce que j'ai entendu moi, c'est que c'est sous Lucien Bouchard (1996-2001) que c'est arrivé.»
Premier ministre de 2001 à 2003, M. Landry avait choisi M. Boisclair pour occuper, en outre, les fonctions névralgiques de ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement.
S'il avait eu vent de rumeurs concernant les habitudes de vie de son ministre, il a assure qu'il aurait pris des mesures immédiates, lourdes de conséquences.
«J'aurais fait faire une enquête sur les circonstances, sur la façon, sur la manière, sur la fréquence de ceci et de cela (...) il aurait fallu que je m'informe des faits et j'aurais jugé d'après les faits», a-t-il expliqué, sans donner plus de détails.
Pour le reste, M. Landry laisse aux militants le soin de tirer leur propre conclusion sur les capacités de M. Boisclair d'assumer les fonctions de chef de parti, de chef de gouvernement et éventuellement de chef d'État.
«Je respecte le choix des militants. Ils disposent de l'information et avec cette information ils agiront selon leur conscience et non pas influencés par leur ancien chef», a-t-il dit.
À un reporter qui lui demandait si M. Boisclair avait suffisamment levé le voile sur son passé nébuleux, l'ancien leader du PQ est demeuré prudent.
«Je crois qu'en son âme et conscience il a dit ce qu'il devait dire. En leur âme et conscience, les militants doivent juger, c'est ça que je crois», a-t-il indiqué.
Sur un autre front, M. Landry croit que Pauline Marois se trompe en attribuant à sa condition de femme ses difficultés à rallier les militants péquistes.
«Je respecte sa pensée mais ce n'est pas mon opinion. Le Québec est une société avancée en matière d'égalité homme-femme. Alors j'ai l'impression que ça ne doit pas être pris en compte.»
Mme Marois, qui avait remis en question le leadership de M. Landry dès 2004, devra chercher ailleurs les raisons qui expliquent ses difficultés de campagne au leadership, analyse l'ancien chef.
«On ne juge pas par le sexe, par l'orientation sexuelle ou par la religion mais par des facteurs profondément reliés aux capacités de la personne», a-t-il fait valoir.
Je m'ennuie de Landry de plus en plus.
Il a été ultracritiqué, mais c'était quand même un christi de bon politicien....
-
Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
carabosse a écritMoi aussi je suis membre en règle à présent.
Ah... J'oubliais aussi mon fils. Àgé de 19 ans qui a (malheureusement) un engouement sérieux pour la politique. Qui s'avouait Souverainiste et qui avait hâte aux élections. Alors, en cachette, j'ai pris ma carte de membre et je me suis fait une plaisir de lui balancer devant les yeux... (histoire de le faire baver un peu). Finalement, il s'est empressé de prendre la sienne. Mais j'avoue que si j'avais vraiment voulu le faire "freaker" J'aurais menti en lui disant... Holà! j'ai acheté la carte de membre du Parti Libéral... (j'avais peur qu'il me renie) mdrrr
Des nouveaux membres, j'y crois. Les jeunes "innocents et inconscients" (décrit par l'organisation Legendre) en ont raz le bol et se rendent compte que si tu ne t'occupes pas de la politique... Eux s'occupent de toi.
Ah... J'oubliais aussi mon fils. Àgé de 19 ans qui a (malheureusement) un engouement sérieux pour la politique. Qui s'avouait Souverainiste et qui avait hâte aux élections. Alors, en cachette, j'ai pris ma carte de membre et je me suis fait une plaisir de lui balancer devant les yeux... (histoire de le faire baver un peu). Finalement, il s'est empressé de prendre la sienne. Mais j'avoue que si j'avais vraiment voulu le faire "freaker" J'aurais menti en lui disant... Holà! j'ai acheté la carte de membre du Parti Libéral... (j'avais peur qu'il me renie) mdrrr
Des nouveaux membres, j'y crois. Les jeunes "innocents et inconscients" (décrit par l'organisation Legendre) en ont raz le bol et se rendent compte que si tu ne t'occupes pas de la politique... Eux s'occupent de toi.