Karla Homolka bientôt libre
Sondage: les médias ont trop parlé de Karla Homolka
Presse Canadienne
Une majorité de Canadiens et même d'Ontariens en ont soupé d'entendre parler de Karla Homolka dans les médias.
Près des deux tiers des Canadiens, soit 64 pour cent, estiment que les médias ont trop parlé de la sortie de prison de Karla Homolka, indique un sondage Léger marketing remis à la Presse Canadienne.
Les Québécois sont les plus blasés à ce chapitre au Canada, puisque près des trois quarts d'entre eux, soit 73 pour cent, jugent que les médias en ont trop parlé.
Aussi:
Les Canadiens préfèrent leurs informations à la télé
Même en Ontario, où les citoyens, dit-on, sont censés être passionnés par cette histoire sordide qui s'est passée dans cette province, une majorité de répondants, soit 61 pour cent, trouvent que les médias en ont trop parlé. Dans l'ensemble du pays, c'est 64 pour cent des répondants de langue anglaise qui sont de cet avis.
Il ne faut toutefois pas conclure au cynisme de la part des Canadiens face au contenu de l'information, puisque des six sujets d'actualité d'importance qui leur ont été soumis, c'est le seul qui a provoqué une réponse aussi tranchée.
Autres sujets d'actualité
Les Canadiens semblent plus satisfaits du travail des médias dans leur couverture de la Commission Gomery, de la mort du pape Jean-Paul II, du tsunami en Asie du Sud-Est, de l'élection présidentielle américaine et du conflit dans la Ligue nationale de hockey.
La Commission Gomery, sur laquelle les médias ont élaboré pendant des mois, n'a pas causé la même lassitude. Quelque 44 pour cent des Canadiens trouvent que les médias en ont suffisamment parlé, 28 pour cent en ont trop entendu parler et 17 pour cent pas assez.
Au Canada, c'est au Québec qu'il y a le plus de citoyens qui trouvent que les médias en ont trop parlé, mais ceux-ci ne constituent pas la majorité. Ainsi, 46 pour cent jugent que les médias ont suffisamment parlé de la Commission Gomery, 39 pour cent qu'ils en ont trop parlé et 11 pour cent qu'ils n'en ont pas assez parlé.
Les Québécois se distinguent aussi des autres Canadiens pour ce qui est de leur perception de la couverture médiatique de la mort du pape Jean-Paul II. Ils sont plus nombreux, soit 42 pour cent, à trouver que les médias en ont trop parlé, alors que dans les autres provinces ou régions, la proportion de lassitude varie de 24 à 35 pour cent.
Les Québécois se distinguent également des autres Canadiens face au traitement médiatique de l'élection présidentielle américaine. Ils semblent plus friands de la chose, puisqu'ils sont deux fois moins nombreux que les citoyens des Maritimes, par exemple, à trouver que les médias en ont trop parlé, soit 36 pour cent par rapport à 71 pour cent.
Pour ce qui est du lock-out dans la LNH, cependant, les Québécois pensent comme les autres Canadiens: 47 pour cent estiment que les médias en ont trop parlé, 34 pour cent qu'ils en ont suffisamment parlé et 10 pour cent qu'ils n'en ont pas suffisamment parlé.
Le sondage a été réalisé auprès de 1500 Canadiens adultes, du 5 au 11 juillet dernier. La marge d'erreur est de 2,6 pour cent, 19 fois sur 20.
Presse Canadienne
Une majorité de Canadiens et même d'Ontariens en ont soupé d'entendre parler de Karla Homolka dans les médias.
Près des deux tiers des Canadiens, soit 64 pour cent, estiment que les médias ont trop parlé de la sortie de prison de Karla Homolka, indique un sondage Léger marketing remis à la Presse Canadienne.
Les Québécois sont les plus blasés à ce chapitre au Canada, puisque près des trois quarts d'entre eux, soit 73 pour cent, jugent que les médias en ont trop parlé.
Aussi:
Les Canadiens préfèrent leurs informations à la télé
Même en Ontario, où les citoyens, dit-on, sont censés être passionnés par cette histoire sordide qui s'est passée dans cette province, une majorité de répondants, soit 61 pour cent, trouvent que les médias en ont trop parlé. Dans l'ensemble du pays, c'est 64 pour cent des répondants de langue anglaise qui sont de cet avis.
Il ne faut toutefois pas conclure au cynisme de la part des Canadiens face au contenu de l'information, puisque des six sujets d'actualité d'importance qui leur ont été soumis, c'est le seul qui a provoqué une réponse aussi tranchée.
Autres sujets d'actualité
Les Canadiens semblent plus satisfaits du travail des médias dans leur couverture de la Commission Gomery, de la mort du pape Jean-Paul II, du tsunami en Asie du Sud-Est, de l'élection présidentielle américaine et du conflit dans la Ligue nationale de hockey.
La Commission Gomery, sur laquelle les médias ont élaboré pendant des mois, n'a pas causé la même lassitude. Quelque 44 pour cent des Canadiens trouvent que les médias en ont suffisamment parlé, 28 pour cent en ont trop entendu parler et 17 pour cent pas assez.
Au Canada, c'est au Québec qu'il y a le plus de citoyens qui trouvent que les médias en ont trop parlé, mais ceux-ci ne constituent pas la majorité. Ainsi, 46 pour cent jugent que les médias ont suffisamment parlé de la Commission Gomery, 39 pour cent qu'ils en ont trop parlé et 11 pour cent qu'ils n'en ont pas assez parlé.
Les Québécois se distinguent aussi des autres Canadiens pour ce qui est de leur perception de la couverture médiatique de la mort du pape Jean-Paul II. Ils sont plus nombreux, soit 42 pour cent, à trouver que les médias en ont trop parlé, alors que dans les autres provinces ou régions, la proportion de lassitude varie de 24 à 35 pour cent.
Les Québécois se distinguent également des autres Canadiens face au traitement médiatique de l'élection présidentielle américaine. Ils semblent plus friands de la chose, puisqu'ils sont deux fois moins nombreux que les citoyens des Maritimes, par exemple, à trouver que les médias en ont trop parlé, soit 36 pour cent par rapport à 71 pour cent.
Pour ce qui est du lock-out dans la LNH, cependant, les Québécois pensent comme les autres Canadiens: 47 pour cent estiment que les médias en ont trop parlé, 34 pour cent qu'ils en ont suffisamment parlé et 10 pour cent qu'ils n'en ont pas suffisamment parlé.
Le sondage a été réalisé auprès de 1500 Canadiens adultes, du 5 au 11 juillet dernier. La marge d'erreur est de 2,6 pour cent, 19 fois sur 20.
Voyeur23 a écritnon mais, c'est quoi la nouvelle, C,est quoi l'information, ya rien ladedans qui est un service public,
moi je participe a des réunion de NA, pis ya un gars qui il y a 25 ans avait fait des chose pire qu'elle et ca fait pas les nouvelle. de plus yé correct maintenent le gars
c'est jaune en criss,
personne s'intéroge ou reste alfonso....
moi j'ai plus peur de la mere, qui a peur pour ses enfants, que de karla,
pcq si la mere a peur pour c'est enfant..... il doit avoir des vrai raison d,avoir peur, pas de karla, mais de autre chose ....
du refloulement comme dirait le doc maillout.....
Je te rejoins là-dessus.
Les gens qui sont interviewé et qui disent qu'ils vont découper la photo de Karla et la mettre sur leur réfrigérateur ont un grave problème: Ils éduquent mal leurs enfants.
J'essaie d'éduquer ma fille aux dangers potentiels, et le danger potentiel ne s'arrête pas à Karla, mais à toutes les personnes qu'elle ne connaît pas. Tout simplement.
Il y a des gens aussi pire, sinon encore pire qu'elle qui sont dehors ou qui ne se sont peut-être même pas fait prendre encore, alors pourquoi mettre l'emphase sur elle?
moi je participe a des réunion de NA, pis ya un gars qui il y a 25 ans avait fait des chose pire qu'elle et ca fait pas les nouvelle. de plus yé correct maintenent le gars
c'est jaune en criss,
personne s'intéroge ou reste alfonso....
moi j'ai plus peur de la mere, qui a peur pour ses enfants, que de karla,
pcq si la mere a peur pour c'est enfant..... il doit avoir des vrai raison d,avoir peur, pas de karla, mais de autre chose ....
du refloulement comme dirait le doc maillout.....
Je te rejoins là-dessus.
Les gens qui sont interviewé et qui disent qu'ils vont découper la photo de Karla et la mettre sur leur réfrigérateur ont un grave problème: Ils éduquent mal leurs enfants.
J'essaie d'éduquer ma fille aux dangers potentiels, et le danger potentiel ne s'arrête pas à Karla, mais à toutes les personnes qu'elle ne connaît pas. Tout simplement.
Il y a des gens aussi pire, sinon encore pire qu'elle qui sont dehors ou qui ne se sont peut-être même pas fait prendre encore, alors pourquoi mettre l'emphase sur elle?

comme a dit mongrain au grand journal les médias vont continuer a en parler
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Longueuil
L'employeur de Karla Homolka se confie
Presse Canadienne
Montréal
Richer Lapointe, le quincailler de Longueuil qui prétend que Karla Homolka a brisé au moins deux de ses 14 conditions de remise en liberté, aurait exigé hier une somme de plusieurs milliers de dollars du réseau TVA en retour de ses confidences sur la tristement célèbre criminelle.
Le diffuseur aurait refusé de verser l'importante somme à M. Lapointe, qui aurait rencontré un journaliste du réseau hier midi.
Ses aveux ont par la suite été recueillis par Sun Media dont le texte du journaliste Alan Cairns précise que Richer Lapointe n'a rien demandé pour livrer ses constatations.
Dans son entrevue à Sun Media, Richer Lapointe, qui a embauché Mme Homolka le 2 août, affirme vouloir dévoiler dès aujourd'hui son vécu auprès d'elle aux avocats ontariens des familles de Kristen French et Leslie Mahaffy, les victimes de cette dernière.
Rappelons que jusqu'ici, aucune autorité n'a publiquement signalé quelque bris que ce soit de la part de la femme de 34 ans.
Richer Lapointe affirme cependant que depuis qu'il la connaît, Mme Homolka semble entretenir des contacts réguliers avec la meurtrière Stivia Clermont, condamnée pour homicide en 1995.
Karla Homolka aurait demandé à M. Lapointe d'aider le fils de Mme Clermont qui éprouverait des ennuis avec la justice, ne pouvant le faire elle-même, consciente que cela briserait ses conditions de remise en liberté et la remettrait sur le chemin de la prison.
M. Lapointe croit aussi qu'elle entre encore en contact avec un meurtrier détenu à Laval, qu'il n'a cependant pas nommé.
Le quincailler de Longueuil reconnaît, par ailleurs, avoir laissé ses deux fils âgés de 9 et 14 ans seuls avec son employée. Il prétend ignorer que le tribunal avait interdit à cette dernière d'entrer en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Karla Homolka aurait fustigé en la présence de Richer Lapointe les médias ontariens et le juge de Joliette, Jean Beaulieu, qui lui a imposé de multiples conditions de remise en liberté après 12 ans d'incarcération pour sa participation aux agressions et meurtres de deux adolescentes ontariennes, dans les années 90.
À M. Lapointe, elle aurait d'autre part dit que si les policiers ontariens avaient bien mené leur enquête dans le dossier sordide la liant à Paul Bernardo, son ex-mari, personne n'aurait été tué.
Elle aurait aussi accusé des politiciens d'avoir appliqué de la pression sur le système judiciaire afin qu'elle demeure incarcérée le plus longtemps possible.
Mme Homolka, qui envisagerait quitter le Canada dès que ça lui sera possible, porte maintenant les cheveux roux et plus courts ; on la dit constamment accompagnée d'un petit chien, un épagneul.
Un donateur se serait engagé à payer son loyer pendant un an dans un secteur de Montréal que la locataire ne semble cependant pas apprécier en raison de son métissage ethnique
L'employeur de Karla Homolka se confie
Presse Canadienne
Montréal
Richer Lapointe, le quincailler de Longueuil qui prétend que Karla Homolka a brisé au moins deux de ses 14 conditions de remise en liberté, aurait exigé hier une somme de plusieurs milliers de dollars du réseau TVA en retour de ses confidences sur la tristement célèbre criminelle.
Le diffuseur aurait refusé de verser l'importante somme à M. Lapointe, qui aurait rencontré un journaliste du réseau hier midi.
Ses aveux ont par la suite été recueillis par Sun Media dont le texte du journaliste Alan Cairns précise que Richer Lapointe n'a rien demandé pour livrer ses constatations.
Dans son entrevue à Sun Media, Richer Lapointe, qui a embauché Mme Homolka le 2 août, affirme vouloir dévoiler dès aujourd'hui son vécu auprès d'elle aux avocats ontariens des familles de Kristen French et Leslie Mahaffy, les victimes de cette dernière.
Rappelons que jusqu'ici, aucune autorité n'a publiquement signalé quelque bris que ce soit de la part de la femme de 34 ans.
Richer Lapointe affirme cependant que depuis qu'il la connaît, Mme Homolka semble entretenir des contacts réguliers avec la meurtrière Stivia Clermont, condamnée pour homicide en 1995.
Karla Homolka aurait demandé à M. Lapointe d'aider le fils de Mme Clermont qui éprouverait des ennuis avec la justice, ne pouvant le faire elle-même, consciente que cela briserait ses conditions de remise en liberté et la remettrait sur le chemin de la prison.
M. Lapointe croit aussi qu'elle entre encore en contact avec un meurtrier détenu à Laval, qu'il n'a cependant pas nommé.
Le quincailler de Longueuil reconnaît, par ailleurs, avoir laissé ses deux fils âgés de 9 et 14 ans seuls avec son employée. Il prétend ignorer que le tribunal avait interdit à cette dernière d'entrer en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Karla Homolka aurait fustigé en la présence de Richer Lapointe les médias ontariens et le juge de Joliette, Jean Beaulieu, qui lui a imposé de multiples conditions de remise en liberté après 12 ans d'incarcération pour sa participation aux agressions et meurtres de deux adolescentes ontariennes, dans les années 90.
À M. Lapointe, elle aurait d'autre part dit que si les policiers ontariens avaient bien mené leur enquête dans le dossier sordide la liant à Paul Bernardo, son ex-mari, personne n'aurait été tué.
Elle aurait aussi accusé des politiciens d'avoir appliqué de la pression sur le système judiciaire afin qu'elle demeure incarcérée le plus longtemps possible.
Mme Homolka, qui envisagerait quitter le Canada dès que ça lui sera possible, porte maintenant les cheveux roux et plus courts ; on la dit constamment accompagnée d'un petit chien, un épagneul.
Un donateur se serait engagé à payer son loyer pendant un an dans un secteur de Montréal que la locataire ne semble cependant pas apprécier en raison de son métissage ethnique
- NainDeJardin
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tuberale a écritLongueuil
L'employeur de Karla Homolka se confie
Presse Canadienne
Montréal
Richer Lapointe, le quincailler de Longueuil qui prétend que Karla Homolka a brisé au moins deux de ses 14 conditions de remise en liberté, aurait exigé hier une somme de plusieurs milliers de dollars du réseau TVA en retour de ses confidences sur la tristement célèbre criminelle.
Le diffuseur aurait refusé de verser l'importante somme à M. Lapointe, qui aurait rencontré un journaliste du réseau hier midi.
Ses aveux ont par la suite été recueillis par Sun Media dont le texte du journaliste Alan Cairns précise que Richer Lapointe n'a rien demandé pour livrer ses constatations.
Dans son entrevue à Sun Media, Richer Lapointe, qui a embauché Mme Homolka le 2 août, affirme vouloir dévoiler dès aujourd'hui son vécu auprès d'elle aux avocats ontariens des familles de Kristen French et Leslie Mahaffy, les victimes de cette dernière.
Rappelons que jusqu'ici, aucune autorité n'a publiquement signalé quelque bris que ce soit de la part de la femme de 34 ans.
Richer Lapointe affirme cependant que depuis qu'il la connaît, Mme Homolka semble entretenir des contacts réguliers avec la meurtrière Stivia Clermont, condamnée pour homicide en 1995.
Karla Homolka aurait demandé à M. Lapointe d'aider le fils de Mme Clermont qui éprouverait des ennuis avec la justice, ne pouvant le faire elle-même, consciente que cela briserait ses conditions de remise en liberté et la remettrait sur le chemin de la prison.
M. Lapointe croit aussi qu'elle entre encore en contact avec un meurtrier détenu à Laval, qu'il n'a cependant pas nommé.
Le quincailler de Longueuil reconnaît, par ailleurs, avoir laissé ses deux fils âgés de 9 et 14 ans seuls avec son employée. Il prétend ignorer que le tribunal avait interdit à cette dernière d'entrer en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Karla Homolka aurait fustigé en la présence de Richer Lapointe les médias ontariens et le juge de Joliette, Jean Beaulieu, qui lui a imposé de multiples conditions de remise en liberté après 12 ans d'incarcération pour sa participation aux agressions et meurtres de deux adolescentes ontariennes, dans les années 90.
À M. Lapointe, elle aurait d'autre part dit que si les policiers ontariens avaient bien mené leur enquête dans le dossier sordide la liant à Paul Bernardo, son ex-mari, personne n'aurait été tué.
Elle aurait aussi accusé des politiciens d'avoir appliqué de la pression sur le système judiciaire afin qu'elle demeure incarcérée le plus longtemps possible.
Mme Homolka, qui envisagerait quitter le Canada dès que ça lui sera possible, porte maintenant les cheveux roux et plus courts ; on la dit constamment accompagnée d'un petit chien, un épagneul.
Un donateur se serait engagé à payer son loyer pendant un an dans un secteur de Montréal que la locataire ne semble cependant pas apprécier en raison de son métissage ethnique
En tout cas, le journal de Mourial ne l'a pas manquée ce matin...
Si ce que l'employeur dit est vrai, cette chère Karla risque de reprendre le chemin des barreaux... Or, on peut se questionner sur le comportement du dit employeur... Peut-être voulait-il vraiment l'aider au départ et il s'est rendue compte que c'est vraiment une folle? Peut-être voulait-il profiter de l'argent éventuel d'une dénonciation... Dur à savoir?
L'employeur de Karla Homolka se confie
Presse Canadienne
Montréal
Richer Lapointe, le quincailler de Longueuil qui prétend que Karla Homolka a brisé au moins deux de ses 14 conditions de remise en liberté, aurait exigé hier une somme de plusieurs milliers de dollars du réseau TVA en retour de ses confidences sur la tristement célèbre criminelle.
Le diffuseur aurait refusé de verser l'importante somme à M. Lapointe, qui aurait rencontré un journaliste du réseau hier midi.
Ses aveux ont par la suite été recueillis par Sun Media dont le texte du journaliste Alan Cairns précise que Richer Lapointe n'a rien demandé pour livrer ses constatations.
Dans son entrevue à Sun Media, Richer Lapointe, qui a embauché Mme Homolka le 2 août, affirme vouloir dévoiler dès aujourd'hui son vécu auprès d'elle aux avocats ontariens des familles de Kristen French et Leslie Mahaffy, les victimes de cette dernière.
Rappelons que jusqu'ici, aucune autorité n'a publiquement signalé quelque bris que ce soit de la part de la femme de 34 ans.
Richer Lapointe affirme cependant que depuis qu'il la connaît, Mme Homolka semble entretenir des contacts réguliers avec la meurtrière Stivia Clermont, condamnée pour homicide en 1995.
Karla Homolka aurait demandé à M. Lapointe d'aider le fils de Mme Clermont qui éprouverait des ennuis avec la justice, ne pouvant le faire elle-même, consciente que cela briserait ses conditions de remise en liberté et la remettrait sur le chemin de la prison.
M. Lapointe croit aussi qu'elle entre encore en contact avec un meurtrier détenu à Laval, qu'il n'a cependant pas nommé.
Le quincailler de Longueuil reconnaît, par ailleurs, avoir laissé ses deux fils âgés de 9 et 14 ans seuls avec son employée. Il prétend ignorer que le tribunal avait interdit à cette dernière d'entrer en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Karla Homolka aurait fustigé en la présence de Richer Lapointe les médias ontariens et le juge de Joliette, Jean Beaulieu, qui lui a imposé de multiples conditions de remise en liberté après 12 ans d'incarcération pour sa participation aux agressions et meurtres de deux adolescentes ontariennes, dans les années 90.
À M. Lapointe, elle aurait d'autre part dit que si les policiers ontariens avaient bien mené leur enquête dans le dossier sordide la liant à Paul Bernardo, son ex-mari, personne n'aurait été tué.
Elle aurait aussi accusé des politiciens d'avoir appliqué de la pression sur le système judiciaire afin qu'elle demeure incarcérée le plus longtemps possible.
Mme Homolka, qui envisagerait quitter le Canada dès que ça lui sera possible, porte maintenant les cheveux roux et plus courts ; on la dit constamment accompagnée d'un petit chien, un épagneul.
Un donateur se serait engagé à payer son loyer pendant un an dans un secteur de Montréal que la locataire ne semble cependant pas apprécier en raison de son métissage ethnique
En tout cas, le journal de Mourial ne l'a pas manquée ce matin...
Si ce que l'employeur dit est vrai, cette chère Karla risque de reprendre le chemin des barreaux... Or, on peut se questionner sur le comportement du dit employeur... Peut-être voulait-il vraiment l'aider au départ et il s'est rendue compte que c'est vraiment une folle? Peut-être voulait-il profiter de l'argent éventuel d'une dénonciation... Dur à savoir?
La plus célèbre criminelle du Canada, Karla Homolka, a été retracée par des journalistes et elle est dénoncée par son employeur qui la soupçonne de comportements pouvant constituer des bris de condition de remise en liberté.
Cependant, jusqu'ici, aucune autorité policière ou judiciaire n'a publiquement signalé quelque bris de condition que ce soit de la part de la jeune femme.
Selon les révélations de Sun Media, Mme Homolka occupe un modeste appartement à Montréal et a été engagée le 2 août par Richer Lapointe, un quincailler de Longueuil qui soutient avoir eu à son emploi des détenus en réhabilitation dans le passé.
Il dit avoir embauché Mme Homolka dans le but d'aider à sa réhabilitation, ou pour qu'elle expose sa mauvaise foi, le cas échéant. Dans son travail, il est arrivé à sa célèbre employée d'assister des clients.
M.Lapointe affirme que depuis qu'il la connaît, Mme Homolka semble entretenir des contacts réguliers avec la meurtrière Stivia Clermont, condamnée pour homicide en 1995. Karla Homolka aurait demandé à M.Lapointe d'aider le fils de Mme Clermont qui éprouverait des ennuis avec la justice, ne pouvant le faire elle-même, consciente que cela briserait ses conditions de remise en liberté et la remettrait sur le chemin de la prison pour deux ans.
M.Lapointe croit aussi qu'elle entre encore en contact avec un meurtrier détenu à Laval, qu'il n'a cependant pas nommé.
Le quincailler de Longueuil reconnaît, par ailleurs, avoir laissé ses deux fils âgés de 9 et 14 ans seuls avec la femme de 34 ans, ignorant que le tribunal avait interdit à cette dernière d'entrer en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Karla Homolka aurait fustigé en la présence de Richer Lapointe les médias ontariens et le juge de Joliette, Jean Beaulieu, qui lui a imposé de multiples conditions de remise en liberté après 12 ans d'incarcération pour sa participation aux agressions et meurtres de deux adolescentes ontariennes, dans les années 90.
À M.Lapointe, elle aurait d'autre part dit que si les policiers ontariens avaient bien mené leur enquête dans le dossier sordide la liant à Paul Bernardo, son ex-mari, personne n'aurait été tué.
Elle aurait aussi accusé des politiciens d'avoir appliqué de la pression sur le système judiciaire afin qu'elle demeure incarcérée le plus longtemps possible.
Mme Homolka, qui envisagerait quitter le Canada dès que ça lui sera possible, porte maintenant les cheveux roux et plus courts; on la dit constamment accompagnée d'un petit chien, un épagneul âgé de sept semaines. Un donateur se serait engagé à payer son loyer pendant un an dans un secteur de Montréal que la locataire ne semble cependant pas apprécier en raison de son métissage ethnique.
Le Journal de Montréal publie ce matin sept photographies montrant Karla Homolka et sa nouvelle apparence, qui diffère de celle du jour où elle fut vue en entrevue télévisée dès sa libération de pénitencier, le 4 juillet dernier. Elle partage l'image de certaines des photos avec M.Lapointe et le petit chien.
En retour de ses révélations à Sun Media, Richer Lapointe affirme n'avoir rien reçu.
Cependant, jusqu'ici, aucune autorité policière ou judiciaire n'a publiquement signalé quelque bris de condition que ce soit de la part de la jeune femme.
Selon les révélations de Sun Media, Mme Homolka occupe un modeste appartement à Montréal et a été engagée le 2 août par Richer Lapointe, un quincailler de Longueuil qui soutient avoir eu à son emploi des détenus en réhabilitation dans le passé.
Il dit avoir embauché Mme Homolka dans le but d'aider à sa réhabilitation, ou pour qu'elle expose sa mauvaise foi, le cas échéant. Dans son travail, il est arrivé à sa célèbre employée d'assister des clients.
M.Lapointe affirme que depuis qu'il la connaît, Mme Homolka semble entretenir des contacts réguliers avec la meurtrière Stivia Clermont, condamnée pour homicide en 1995. Karla Homolka aurait demandé à M.Lapointe d'aider le fils de Mme Clermont qui éprouverait des ennuis avec la justice, ne pouvant le faire elle-même, consciente que cela briserait ses conditions de remise en liberté et la remettrait sur le chemin de la prison pour deux ans.
M.Lapointe croit aussi qu'elle entre encore en contact avec un meurtrier détenu à Laval, qu'il n'a cependant pas nommé.
Le quincailler de Longueuil reconnaît, par ailleurs, avoir laissé ses deux fils âgés de 9 et 14 ans seuls avec la femme de 34 ans, ignorant que le tribunal avait interdit à cette dernière d'entrer en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Karla Homolka aurait fustigé en la présence de Richer Lapointe les médias ontariens et le juge de Joliette, Jean Beaulieu, qui lui a imposé de multiples conditions de remise en liberté après 12 ans d'incarcération pour sa participation aux agressions et meurtres de deux adolescentes ontariennes, dans les années 90.
À M.Lapointe, elle aurait d'autre part dit que si les policiers ontariens avaient bien mené leur enquête dans le dossier sordide la liant à Paul Bernardo, son ex-mari, personne n'aurait été tué.
Elle aurait aussi accusé des politiciens d'avoir appliqué de la pression sur le système judiciaire afin qu'elle demeure incarcérée le plus longtemps possible.
Mme Homolka, qui envisagerait quitter le Canada dès que ça lui sera possible, porte maintenant les cheveux roux et plus courts; on la dit constamment accompagnée d'un petit chien, un épagneul âgé de sept semaines. Un donateur se serait engagé à payer son loyer pendant un an dans un secteur de Montréal que la locataire ne semble cependant pas apprécier en raison de son métissage ethnique.
Le Journal de Montréal publie ce matin sept photographies montrant Karla Homolka et sa nouvelle apparence, qui diffère de celle du jour où elle fut vue en entrevue télévisée dès sa libération de pénitencier, le 4 juillet dernier. Elle partage l'image de certaines des photos avec M.Lapointe et le petit chien.
En retour de ses révélations à Sun Media, Richer Lapointe affirme n'avoir rien reçu.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


selon rdi karla ne travaille pu pour richer lapointe car la police lui aurait dit a elle quil est pas recommandable
car il a eu des melé avec la justice et il aurait meme été violent avec son ex
car il a eu des melé avec la justice et il aurait meme été violent avec son ex
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Justice
Karla Homolka aurait brisé ses conditions de remise en liberté
L'homme qui a donné une chance à Karla Homolka à sa sortie de prison a décidé de briser le silence.
De récentes déclarations de sa protégée auraient incité Richer Lapointe, propriétaire d'un commerce de la Rive-Sud, à faire ces révélations à un journaliste de Sun Média et rapportées dans le Journal de Montréal ce matin.
Seulement trois semaines après son embauche, Homolka aurait demandé à son nouveau patron de protéger le fils de l'une de ses amies, un criminel évadé qui purge une peine d'emprisonnement à vie pour meurtre.
Elle lui aurait également confié préparer régulièrement des repas pour son ami de coeur français, qui vit à Laval.
Les conditions de remise en liberté de Karla Homolka lui interdisent de fréquenter le meurtrier Jean-Paul Gerbet, qu'elle a rencontré en prison.
Selon M. Lapointe, Homolka, loin d'être repentie, en veut énormément à la police ontarienne, aux médias et au juge qui lui a imposé de sévères conditions de remise en liberté.
Elle aurait également affirmé vouloir quitter le Canada dès que cela sera possible pour elle.
Karla Homolka aurait brisé ses conditions de remise en liberté
L'homme qui a donné une chance à Karla Homolka à sa sortie de prison a décidé de briser le silence.
De récentes déclarations de sa protégée auraient incité Richer Lapointe, propriétaire d'un commerce de la Rive-Sud, à faire ces révélations à un journaliste de Sun Média et rapportées dans le Journal de Montréal ce matin.
Seulement trois semaines après son embauche, Homolka aurait demandé à son nouveau patron de protéger le fils de l'une de ses amies, un criminel évadé qui purge une peine d'emprisonnement à vie pour meurtre.
Elle lui aurait également confié préparer régulièrement des repas pour son ami de coeur français, qui vit à Laval.
Les conditions de remise en liberté de Karla Homolka lui interdisent de fréquenter le meurtrier Jean-Paul Gerbet, qu'elle a rencontré en prison.
Selon M. Lapointe, Homolka, loin d'être repentie, en veut énormément à la police ontarienne, aux médias et au juge qui lui a imposé de sévères conditions de remise en liberté.
Elle aurait également affirmé vouloir quitter le Canada dès que cela sera possible pour elle.
Aux nouvelles ils ont dit que son ex-employeur a été payé 35 000$ par le journal de Mourial pour raconter son histoire. J'ai la conviction que le gars a fait exprès pour essayer de piéger Homolka pis vendre son histoire. Eille le gars savait toutes les conditions de la Homolka et il laisse ses deux filles seules avec elle, il est vraiment le pire des cons, il voulait faire de l'argent peut importe les moyens.
- NainDeJardin
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- Inscription : jeu. oct. 30, 2003 1:00 am
ReMeLeFe a écritAux nouvelles ils ont dit que son ex-employeur a été payé 35 000$ par le journal de Mourial pour raconter son histoire. J'ai la conviction que le gars a fait exprès pour essayer de piéger Homolka pis vendre son histoire. Eille le gars savait toutes les conditions de la Homolka et il laisse ses deux filles seules avec elle, il est vraiment le pire des cons, il voulait faire de l'argent peut importe les moyens.
Possible mais à une autre place (me souvient plus ou), ils disaient que le gars n'avait pas reçu d'argent... Qui dit vrai?
Possible mais à une autre place (me souvient plus ou), ils disaient que le gars n'avait pas reçu d'argent... Qui dit vrai?
NainDeJardin a écrit
Possible mais à une autre place (me souvient plus ou), ils disaient que le gars n'avait pas reçu d'argent... Qui dit vrai?
En tout cas,le journaliste de TVA a refuser de payer les 35 000$ que le monsieur exigeait.
Possible mais à une autre place (me souvient plus ou), ils disaient que le gars n'avait pas reçu d'argent... Qui dit vrai?
En tout cas,le journaliste de TVA a refuser de payer les 35 000$ que le monsieur exigeait.
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C'est une crapule ce gars. S'il avait vraiment voulu l'aider il l'aurait encadrer. Lorsque tu prend la décision d'aider quelqu'un en étant conscient de son lourd passé tu t'assume. Voyons donc il est en position d'autorité -boss- et il laisse deux jeunes en sachant ses restrictions. Pas fort.
Lilianne
moi je pense qu'il a voulu coucher avec elle il voit que sa marche pas et la denonce ca ressemble a ca pas mal
quand elle a demissionnée il a pas arrétée de la harceler au telephone
moi je crois que ca l'aide pas des trou de c... comme ca a bien se reinserer dans la société
quand elle a demissionnée il a pas arrétée de la harceler au telephone
moi je crois que ca l'aide pas des trou de c... comme ca a bien se reinserer dans la société
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


Ce que j`en pense, c`est que le gars a besoin de ca$h, il a engagé Karla pour attirer le monde dans sa quinquallerie qui marche pu a cause des réno-dépot et home dépot et cie, il esperais probablement augmenter sa clientelle de curieux qui voudrais voir ce qu`a l`air Karla en vrai, et en meme temps en profiter pour acheter une tondeuse a gazon.
Mais ca a pas marcher comme prévu donc il a fait gardé ses p`tit par l`ex-détenue et a appelé le journal pour vendre son histoire.
C`est mon avis
Mais ca a pas marcher comme prévu donc il a fait gardé ses p`tit par l`ex-détenue et a appelé le journal pour vendre son histoire.
C`est mon avis
pimpon a écrittu ces tu combien ca coute un rona ca lair que non ca coute cher ben plus cher que le 35.000$ il a du $$$$$$$$$$$$$ le gars je suis sur qui a pas besoin de ca
Je suis pas sûr qu'une quincaillerie (pas un Rona) sur une petite rue de Longueil fait bin bin de l'argent moi. Depuis l'arrivée des grandes surfaces, c'est difficile pour ces petits marchants, et à Longueuil, pas mal tout le monde a une voiture et peut donc aller au Reno-Depot un peu plus loin, alors oui, je pense qu'ila besoin du 35 000$.
Je suis pas sûr qu'une quincaillerie (pas un Rona) sur une petite rue de Longueil fait bin bin de l'argent moi. Depuis l'arrivée des grandes surfaces, c'est difficile pour ces petits marchants, et à Longueuil, pas mal tout le monde a une voiture et peut donc aller au Reno-Depot un peu plus loin, alors oui, je pense qu'ila besoin du 35 000$.

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