Karla Homolka bientôt libre

Votre tribune, la parole est à vous! Débattez d'idées, d'opinions, de sujets chauds de l'actualité ... bref place aux discussions.
Avatar de l’utilisateur
nancy31f
Intronisé au Panthéon
Messages : 75705
Inscription : jeu. avr. 10, 2003 12:00 am

Message par nancy31f »

Citation :Y ont dit aux nouvelles que ce gars la étaient pas apprécié de ces voisins et qu'il avait un casier judiciaire. Faque il était sûrement pas bien intentionné. oui et que c  enfants etaient mal elevé et souvent laissé a eux meme et ca jouaient a lancer des couteaux dans les murs dans cette maison(les jeunes) --Message edité par nancy31f le 2005-08-23 21:40:36--
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain




ImageImage
Avatar de l’utilisateur
ReMeLeFe
Illustre Pie
Messages : 349
Inscription : mar. nov. 23, 2004 1:00 am

Message par ReMeLeFe »

Le gars leurs a monté tout un bateau et les journalistes trop paresseux ce sont fait prendre.
Avatar de l’utilisateur
nancy31f
Intronisé au Panthéon
Messages : 75705
Inscription : jeu. avr. 10, 2003 12:00 am

Message par nancy31f »

L'avocate de Karla Homolka se porte à sa défense

Il fallait s'y attendre, Karla Homolka a finalement été retracée.
Un jour ou l'autre, l'ancienne détenue savait que quelqu'un allait la retrouver et que sa photo serait à nouveau publiée dans les journaux, mais elle était loin de se douter que c'est son nouvel employeur, le propriétaire d'une quincaillerie de Longueuil, qui allait ameuter la presse.

Elle travaillait jusqu'à vendredi dans cette quincaillerie, mais informée par la police que son employeur avait un casier judiciaire, elle a quitté son emploi.

L'avocate de Karla Homolka affirme que sa cliente n'a pas brisé les conditions de sa remise en liberté en travaillant à cet endroit.

Le propriétaire du commerce, Richer Lapointe, avait informé Homolka qu'il avait eu des démêlés avec la justice, mais rien, de l'avis de son avocate Sylvie Bordelais, pour nuire à la réintégration de Karla Homolka. Cependant, jeudi dernier, les policiers l'ont informée que M. Lapointe ne correspondait pas au profil qu'il lui avait présenté. C'est en apprenant ces informations que Karla Homolka a remis sa démission.

Richer Lapointe est accusé de s'être introduit par effraction dans la maison de son ex-conjointe. Il aurait usé de violence, de menaces et l'aurait agressée sexuellement, en plus de tenter de l'extorquer. Le ministère de la Justice déterminera maintenant si Homolka a rempli tous ses engagements.

Notre journaliste Harold Gagné a rencontré ce quincaillier dans un restaurant de Place Longueuil, lundi. Richer Lapointe a offert à TVA des photographies et des enregistrements de Karla Homolka en retour d'un montant de 35 000 dollars, mais TVA n'a pas donné suite à cette demande.

Les photographies se sont retrouvées à la une des quotidiens de Sun Média, qui affirme n'avoir rien payé. Richer Lapointe aurait pris de nombreuses photos à l'insu de sa nouvelle employée, qu'il embauchait depuis trois semaines.

Karla Homolka se terre maintenant dans un petit appartement de Montréal. Son avocate lui a parlé. Elle se demande ce qu'elle fera maintenant. «Elle se sent blessée, affirme Sylvie Bordelais. Elle se sent blessée parce que, effectivement, elle avait fait confiance à M. Lapointe.»

Par ailleurs, le commerce où travaillait Karla Homolka est une quincaillerie affiliée à RONA. La compagnie se défend bien d'avoir un quelconque lien avec toute cette histoire. C'est que, selon un porte-parole de RONA, Daniel Larouche, Richer Lapointe est un marchand indépendant, c'est-à-dire qu'il travaille à son compte, bien que son commerce porte la bannière de RONA.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain




ImageImage
Voyeur23
Magicien des Mots
Messages : 4634
Inscription : jeu. avr. 03, 2003 1:00 am

Message par Voyeur23 »

c'est un hostie de gros con de profiteur de la misere humaines,


qui cherche a se faire passé comme un justicier,

combien y paye TQS  pour qu'il aille se faire insulté  en pleine tv  ???

Renton
Magicien des Mots
Messages : 2845
Inscription : mar. oct. 14, 2003 12:00 am

Message par Renton »

Voyeur23  a écritc'est un hostie de gros con de profiteur de la misere humaines,


qui cherche a se faire passé comme un justicier,

combien y paye TQS  pour qu'il aille se faire insulté  en pleine tv  ???


Incroyable...!!      

Le Doc pis Desmarais qui s'en donnait à coeur joie...!!    




Je sème en moi ce que je souhaite récolter dans ma vie.
Avatar de l’utilisateur
ReMeLeFe
Illustre Pie
Messages : 349
Inscription : mar. nov. 23, 2004 1:00 am

Message par ReMeLeFe »

J'en reviens pas ce gars-là est vraiment malade, je crois qu'il est un pervers narcissique. J'ai bien l'impression qu'il va perdre sa quincaillerie.
Caroo
Caïd de la Causette
Messages : 653
Inscription : lun. juin 13, 2005 12:00 am

Message par Caroo »

Franchement...on voyait bien que ce gars la est pas normal..surement que tu te fais blaster de meme pis que tout ce que tu trouves a faire cest un petit sourire niaiseux!!

moi je trouve que lors de ce débat il avait plutot lair dun gars qui essai juste de garder la tete hors de l'eau dans tout cette situation quil a créer...

Il était incohérent!!! Voyons donc!!!!!
pimpon
Caïd de la Causette
Messages : 797
Inscription : ven. oct. 08, 2004 12:00 am

Message par pimpon »

NetRoll je dit pas que le gars voulais du $$$$  ces un croter qui voulais faire la vedette ces toute il la planter
Avatar de l’utilisateur
ReMeLeFe
Illustre Pie
Messages : 349
Inscription : mar. nov. 23, 2004 1:00 am

Message par ReMeLeFe »

Ce qui est malsain la-dedans, c'est que Karla va aller chercher du capital sympathie à cause de ce gros con.
Avatar de l’utilisateur
Beppo
Intronisé au Panthéon
Messages : 37195
Inscription : sam. nov. 01, 2003 1:00 am

Message par Beppo »

Exclusif Journal de Montréal

Karla Homolka: ses confidences ont été enregistrées!

Brigitte McCann -Journal de Montréal
24/08/2005 05h27  

Le Journal de Montréal a fait l’écoute de l’enregistrement de conversations entre Karla Homolka et son employeur, Richer Lapointe. En voici deux extraits.

De l’aide pour une «amie»

Karla: Si tu veux vraiment aider quelqu’un, je connais quelqu’un qui a désespérément besoin d’aide.

Richer: Quoi…

Karla: Son nom est Stivia, elle est ma meilleure amie en prison et… je veux dire que c’est comme si elle était ma sœur. C’est comme ça qu’on s’appelle.

Richer: Elle est au Québec ou…

Karla: Elle est à Joliette.

Richer: OK.

Karla: Ce n’est pas elle qui a besoin d’aide mais plutôt ses enfants…

Richer: Elle les voit-tu ?

Karla: Maintenant, elle les voit et elle a dû aller en cour parce que son ex-mari ne lui permettait pas de les voir. Ils avaient désespérément besoin d’elle. […] C’est un gros bordel. Son fils aîné a eu des problèmes avec la loi, ce à quoi, j’imagine, on peut s’attendre et maintenant, il est en fuite.

Karla: (Stivia) est une personne merveilleuse. C’est la personne la plus généreuse que je connaisse. Elle vous donnerait sa chemise et elle l’a déjà fait. […] Je ne peux être impliquée d’aucune manière, (personne) ne doit jamais apprendre que nous nous connaissons parce que si quelqu’un l’apprenait, je suis cuite. Et je vais en prison pour deux ans. Tu sais ce que je veux dire ? Il ne faut pas que j’aie l’air de faire des choses que je ne peux pas faire.

Une peine «injustifiée»

Karla: (Les policiers Ontariens) se sont gourrés ! Ils se sont gourrés royalement ! S’ils avaient fait leur job, personne n’aurait été tué ! Personne !

Richer: Qu’est-ce que tu veux dire, personne ?

Karla: Ils n’ont pas fait leur job ! Ils avaient l’ADN (de Paul Bernardo) un an avant que qui que ce soit ne soit tué.

Richer: (inaudible)

Karla: Ils n’ont pas… Ils l’avaient et ils n’ont pas… Ils se sont gourrés ! Ils se sont vraiment gourrés ! De toutes sortes de façons ! Et ils en sont très embarrassés et ils ont fait un deal avec moi. Ils n’avaient aucune preuve contre lui.

Richer: Mais pourquoi as-tu fait un deal si (ils) avaient rien sur toi ?

Karla: Parce que je ne voulais pas… parce que je voulais, je voulais… Je ne voulais pas le garder en dedans plus longtemps ! Je n’avais pas à aller en prison ! Ils n’avaient rien ! Ils n’avaient aucune preuve contre moi !

Richer: Je ne comprends pas.

Karla: Parce que c’était la bonne chose à faire !

Richer: OK, t’es l’agneau sacrifié.

Karla: Oui. J’étais la bonne chose à faire. Ils sont venus me parler à ce sujet parce qu’ils ont finalement testé l’ADN ! Finalement ! Parce qu’il (Bernardo) était aussi un violeur ! Alors ils ont finalement testé l’ADN, ils sont venus et m’ont demandé toutes sortes de questions à son sujet. Et… euh… j’ai répondu à leurs questions. À quelques-unes, j’ai répondu honnêtement, quelques-unes, je ne l’ai pas fait. C’était la première et la dernière fois que je n’étais pas complètement honnête avec eux.

[…]

Karla: Ils n’ont aucune preuve contre moi. Ils n’avaient aucune preuve contre (Bernardo) jusqu’à ce que je leur fournisse ma déclaration. Je leur ai dit où ils pourraient trouver des preuves, et ils en ont trouvé. Je leur ai tout dit ! Tout en détail !

Richer Lapointe s’explique

Attaqué de toutes parts hier, Richer Lapointe a fourni au Journal de Montréal les enregistrements contenant les aveux de Karla Homolka qui font le tour du Canada depuis 48 heures.

«Je n’ai pas menti, tout est enregistré», a affirmé Richer Lapointe en entrevue au Journal, hier.

Critiqué pour son passé criminel par de nombreux médias, le quincaillier qui a dénoncé des propos compromettants de Karla Homolka est resté formel: il ne cherchait qu’à donner une deuxième chance à la célèbre criminelle en l’engageant comme stagiaire.

«Ma motivation première était de la remettre sur les rails, assure le grand brûlé de 39 ans. J’étais très heureux de pouvoir lui donner une chance.»

Passé chargé

À l’âge de 9 ans, M. Lapointe a été défiguré et brûlé sur 80 % de son corps dans l’explosion d’un garage.

Son passé n’est pas sans tache, comme en témoigne son dossier judiciaire. Il a plaidé coupable pour un vol de plus de 5000 $ à Greenfield Park en 1989 et pour un bris d’engagement à Montréal en 1990. Il a été accusé la semaine dernière de menace, d’intimidation, de voies de fait et d’agression sexuelle sur son ex-conjointe, elle-même accusée de tentative de meurtre depuis mai dernier.

Autant «d’expériences de vie» qui, selon M. Lapointe, le placent en bonne position pour comprendre et aider Karla Homolka. «Je ne suis pas un crosseur, insiste-t-il. Je sais ce que c’est que d’être rejeté et d’avoir besoin d’une deuxième chance dans la vie. Les gens essaient de m’attaquer, mais la vraie question demeure les affirmations qu’elle m’a faites.»

Conversation et magasinage

Richer Lapointe a gagné la confiance de celle qu’il appelle toujours «Émilie» en discutant avec elle lors de repas au restaurant, de pique-niques ou de séances de magasinage chez Jacob et Simmons. Le tout aux frais du quincaillier de Longueuil. «Je me sentais comme son grand frère», dit-il.

À sa grande surprise, la criminelle la plus connue au Canada aurait commencé à lui confier des informations compromettantes sur ses crimes, ses victimes et ses amis en prison quelques jours à peine après son embauche, le 2 août dernier.

«J’étais abasourdi, indique Richer Lapointe. Je ne voulais pas faire un coup de publicité, mais ce que j’entendais relevait de l’intérêt public parce qu’il y a des victimes, dont deux qui sont toujours en vie.»

Magnétophone numérique

Voulant «se protéger», M. Lapointe dit avoir alors eu l’idée d’acheter un discret magnétophone numérique la semaine dernière.

L’appareil est resté pendant trois jours caché entre deux gallons de peinture sur une tablette de sa quincaillerie. M. Lapointe a ainsi pu enregistrer près de deux heures trente minutes de conversations entre lui et sa célèbre stagiaire durant leurs pauses.

Mme Homolka était loin de se repentir pour les meurtres de Leslie Mahaffy en 1991 et de Kristen French en 1992, selon lui.

Elle a plutôt fustigé juge, médias et policiers, disant qu’elle ne méritait pas ses douze années passées en prison (voir l’extraits de l’enregistrement).

Les dires de la criminelle laissent croire qu’elle est toujours en contact avec au moins deux criminels condamnés pour meurtre, bien que ses conditions de remises en liberté le lui interdisent.

Elle a aussi demandé à son patron de l’aider à trouver un refuge pour un mineur recherché par les autorités.

Pas payé pour ses révélations

Richer Lapointe n’a jamais demandé à être payé et n’a pas touché le moindre sou en choisissant de se confier à un journaliste d’enquête du Toronto Sun.

Spécialiste de la saga Homolka-Bernardo, le journaliste d’enquête Alan Cairns a réfuté les allégations voulant que Sun Media ait payé pour obtenir l’entrevue ou les photos exclusives dévoilant la nouvelle vie de Karla Homolka. Il en est de même pour Le Journal de Montréal.

«Les journalistes qui suggèrent que Sun Media a donné de l’argent à Richer Lapointe font erreur et n’ont pas pris la peine de vérifier les faits», a indiqué l’auteur de Deadly Innocence, portrait édifiant du couple Bernardo-Homolka. Le best-seller s’est vendu à 200 000 exemplaires partout dans le monde.

«M. Lapointe a préféré parler à un journaliste de l’Ontario parce qu’il ne croyait pas que les médias Québécois le prendraient au sérieux, indique le reporter de renom. J’étais ravi de l’écouter parce que je suis cette histoire depuis 1993.»

Richer Lapointe confirme ces propos. «Je n’aurais jamais vendu Karla», assure celui qui dit n’avoir aucun problème financier.

L’avocat des victimes demande une enquête

L’avocat des victimes de Karla Homolka trouve impératif que la police du Québec enquête pour savoir si elle a ou non enfreint ses conditions de remise en liberté.

«Si (Homolka) est incapable de respecter ce que je considère comme étant des conditions très modestes de remise en liberté, elle ne devrait pas être libre», a indiqué Me Tim Danson en entrevue hier.

L’avocat représente les familles de Kristen French et de Leslie Mahaffy, deux adolescentes violées et tuées par le couple Homolka-Bernardo au début des années des 1990.

Après avoir attiré Kristen French sous un faux prétexte, Karla Homolka l’avait retenue par les cheveux sur la banquette arrière d’une voiture pour l’empêcher de s’en échapper. Elle avait, par la suite, jeté des blocs de ciment renfermant les restes de Kristen French dans un lac.

Travail policier

Selon l’avocat, les autorités devraient se pencher sérieusement sur les propos d’Homolka enregistrés par Richer Lapointe, et ce, peu importe le passé du quincaillier de Longueuil.

«Qui il est et ce qu’il a fait ne comptent pas, indique Me Danson. S’il a ça sur cassette, il a ça sur cassette.»

L’avocat maintient encore que la criminelle notoire constitue toujours une menace sérieuse pour la société.

Les révélations sur Karla Homolka ont choqué les Ontariens de St. Catharines, sa ville d’origine. «Je n’aime pas voir les résultats d’un système juridique qui a échoué», a indiqué Tony Dellerose, un courtier immobilier.

Fidèle à sa ligne de conduite dans ce dossier, la police de Montréal, qui veille au respect des conditions imposées à Homolka, s’est refusée à tout commentaire hier.




Au plaisir!


«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Avatar de l’utilisateur
vampirella
Immortel du Domaine
Messages : 14446
Inscription : mar. avr. 29, 2003 12:00 am

Message par vampirella »

Voyeur23  a écritc'est un hostie de gros con de profiteur de la misere humaines,




Misère humaine  
funny36
Magicien des Mots
Messages : 3415
Inscription : mar. nov. 04, 2003 1:00 am

Message par funny36 »

Allégations de bris de conditions d'Homolka: la police refuse de commenter
 
Karla Homolka last July. (PC PICTURE Archive/Radio-Canada)  
MONTREAL (PC) - Les allégations portées ce matin à l'attention du public par Sun Media concernant Karla Homolka ne semblent pas faire jusqu'ici l'objet d'une enquête policière. Toutefois, la police refuse de confirmer cette information.

Pour sa part, l'avocat Tim Danson, qui représente les familles des victimes de Mme Homolka, affirme que celles-ci veulent une enquête sur ces allégations, afin de vérifier si la criminelle a violé ou non ses conditions de remise en liberté.

L'avocat des familles de Kristen French et de Leslie Mahaffy signale que si les informations étaient fondées, il s'agirait d'une situation très sérieuse.

Rappelons que le quincailler longueuillois Richer Lapointe, l'employeur de celle qui se fait appeler maintenant Karla Leanne Teale, allègue que l'ex-détenue a contrevenu au moins deux fois à ses conditions de libération en entretenant notamment des liens avec des criminels.

Des sources policières soutiennent que si ces allégations s'avéraient non fondées, Karla Homolka pourrait poursuivre M.Lapointe.

Par ailleurs, rien n'indique pour le moment que le commerçant ait fait appel à la police. Toute fausse déclaration à la police est passible de poursuites.

Tant à la police de Montréal qu'à celle de Longueuil, il y a refus de commenter l'affaire à moins que Karla Homolka soit appelée à comparaître en cour.

Le Service de police de la Ville de Montréal explique ce refus en faisant référence à son communiqué daté du 7 juillet dernier, qui citait le respect des droits et libertés garanti par les chartes québécoise et canadienne, et le souci de confidentialité.

Pour sa part, dans une entrevue à Corus Nouvelles, le criminaliste Robert LaHaye a expliqué que le ministère de la Justice pouvait ordonner une enquête policière, mais qu'il n'y avait pas d'obligation à affecter des enquêteurs à un dossier sur simple base d'allégations. La police dispose donc du pouvoir discrétionnaire d'enquêter ou non.



© La Presse Canadienne, 2005



http://mesnouvelles.branchez-vous.com/N ... 2314U.html
https://membres.lycos.fr/millenium2003/williamfan.png" onclick="window.open(this.href);return false;
Scoubidoux
Seigneur de la Causerie
Messages : 5237
Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am

Message par Scoubidoux »

Étrange histoire
Scoubidoux
Seigneur de la Causerie
Messages : 5237
Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am

Message par Scoubidoux »

Si ce gars là est sérieux dans ses démarches, il s'est gouré d'aplomb. Après les premières allégations d'Homolka, il aurait dû contacter la police et collaborer avec elle.

Ce qu'il a montré comme extrait n'est pas très convainquant et il ne semble pas avoir de preuves suffisantes sur le non repenti d'Homolka et ses allégations sur les détails sordides des meurtres.
Scoubidoux
Seigneur de la Causerie
Messages : 5237
Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am

Message par Scoubidoux »

Toujours est-il que je serais quand même porté à le croire.

Et je souhaite qu'Homolka retourne dans son trou. Là où elle n'aurait jamais dû sortir.

Et je trouve la sympathie envers cette femme, ridicule.
Éolianne
Magicien des Mots
Messages : 3641
Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am

Message par Éolianne »

C'est tu juste moi ou je suis vraiment tannée d'entendre parler d'elle dans les  médias...
Scoubidoux
Seigneur de la Causerie
Messages : 5237
Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am

Message par Scoubidoux »

Éolianne  a écritC'est tu juste moi ou je suis vraiment tannée d'entendre parler d'elle dans les  médias...  

J'aime encore mieux entendre parler d'elle de cette façon que comme récidiviste.
Avatar de l’utilisateur
nancy31f
Intronisé au Panthéon
Messages : 75705
Inscription : jeu. avr. 10, 2003 12:00 am

Message par nancy31f »

Richer Lapointe promet d'autres révélations


Richer Lapointe a comparu, mercredi matin, au palais de justice de Longueuil sous des accusations de violence à l'égard de son ex-conjointe.
L'individu est accusé de menaces, d'intimidation, de voies de fait et d'agression sexuelle.

Le quincaillier de Longueuil a profité de sa comparution pour demander la permission au juge de se rendre en Ontario, afin de remettre aux familles des victimes de Karla Homolka les enregistrements de ses conversations avec elle. Aucune décision n'a encore été rendue.

Richer Lapointe est lui-même au coeur d'un imbroglio au sujet de sa propre remise en liberté. L'homme, qui fait face à cinq chefs d'accusation, ne doit pas, selon la loi, se retrouver en présence de personnes possédant un casier judiciaire. Les autorités auraient toutefois omis d'inscrire cette condition dans sa lettre d'engagement lors de sa libération, la semaine dernière.

D'autre part, Lapointe entend dévoiler vendredi prochain des éléments qu'il dit posséder sur des cassettes en lien avec l'affaire Homolka.

Il ne veut pas rendre publics ces éléments avant une conférence de presse qu'il veut tenir afin, dit-il, de régler des choses importantes tant au plan personnel que relativement à cette affaire. Il déclare avoir reçu des caisses de documents à étudier sur l'affaire avant de poser des gestes.

Il rappelle qu'il a des révélations à faire sur ce que lui a déclaré Karla Homolka, qui pourraient permettre de rouvrir des dossiers en Ontario.

Il soutient avoir été surpris par les déclarations de l'ex-détenue et ajoute qu'on lui a conseillé d'amasser des preuves avant de poser des gestes.

Lapointe, qui refuse de déposer ses documents à la police, dit qu'il ne veut surtout pas agir de la sorte pour obtenir de la célébrité.

"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain




ImageImage
Avatar de l’utilisateur
Soleil47
Immortel du Domaine
Messages : 22198
Inscription : jeu. avr. 17, 2003 12:00 am

Message par Soleil47 »

Ouain - il a tout de même les cassettes qui font foi des révélations de Karla.

Pourquoi la police ne voudrait-elle pas enquêter??? Ca prend quoi au juste????

Enfin, on verra bien ce qu'il aura à dire vendredi Richer Lapointe,
Lepic
Illustre Pie
Messages : 271
Inscription : lun. mars 08, 2004 1:00 am

Message par Lepic »

Soleil47  a écritOuain - il a tout de même les cassettes qui font foi des révélations de Karla.

Pourquoi la police ne voudrait-elle pas enquêter??? Ca prend quoi au juste????

Enfin, on verra bien ce qu'il aura à dire vendredi Richer Lapointe,  

J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.

Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.

Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
Répondre

Revenir à « LA TRIBUNE »