Karla Homolka bientôt libre
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Lepic a écrit
J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.
Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.
Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
Exactement. Il a agit stupidement. La seule chose viable aurait été une collaboration avec la police.
Comme tu dis, ce ne sera pas recevable.... même si c'est réel.
J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.
Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.
Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
Exactement. Il a agit stupidement. La seule chose viable aurait été une collaboration avec la police.
Comme tu dis, ce ne sera pas recevable.... même si c'est réel.
Lepic a écrit
J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.
Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.
Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
C'est vrai, je n'avais pas vu cela sous cet angle là, ouain, pas très crédible en effet.
J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.
Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.
Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
C'est vrai, je n'avais pas vu cela sous cet angle là, ouain, pas très crédible en effet.
Lepic a écrit
J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.
Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.
Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
Effectivement tout enregistrement demeure irrecevable devant la cour ... puisqu'il devait en avisé la personne concerner avant de l'enregistré .. ce qu'il n'a sûrement pas fait
Je crois fermement que dans ce cas-ci ... cet individu essais de produire un effet de marchandage pour une tout autre cause le concernant ... il a essayé de créer de l'intérêt sur Homolka dans le but que le juge appaise la sentence qui lui sera donner concernant ces propres gestes envers son ex-conjointe ... il sait que ce style de pratique ne sera sûrement pas recevable ici au Québec alors il essait de se rendre en Ontario puisqu'il en a fait la demande au juge hier et que dans son cas c'est interdit dû a des restrictions qui lui ont été imposer dû à son passé criminel ...
Son cas sera à l'étude et nous verrons la suite sous peu ...
J`pense que c`est pas recevable devant un juge des enregistrements fait par un individu qui n`a pas force de loi, en plus que lui n`est pas blanc comme neige.
Habituellement les policiers demande un mandat a un juge pour pouvoir mettre des lignes sur écoute pour les rendre légale.
Donc j`pense bien que ses p`tites cassettes ca vaut pas chere la livre.
Effectivement tout enregistrement demeure irrecevable devant la cour ... puisqu'il devait en avisé la personne concerner avant de l'enregistré .. ce qu'il n'a sûrement pas fait
Je crois fermement que dans ce cas-ci ... cet individu essais de produire un effet de marchandage pour une tout autre cause le concernant ... il a essayé de créer de l'intérêt sur Homolka dans le but que le juge appaise la sentence qui lui sera donner concernant ces propres gestes envers son ex-conjointe ... il sait que ce style de pratique ne sera sûrement pas recevable ici au Québec alors il essait de se rendre en Ontario puisqu'il en a fait la demande au juge hier et que dans son cas c'est interdit dû a des restrictions qui lui ont été imposer dû à son passé criminel ...
Son cas sera à l'étude et nous verrons la suite sous peu ...
Je suis pas certaine mais si il a enrigistré dans son commerce et qu'un avertissement d'une possibilité d'être filmé ou enrigistré est mis en place alors se serait recevable ??
Mais je pense qu'il a rien contre elle, un feu de paille, une chasse aux sorcières. Le monsieur se fait de la pub sur le dos des média qui accourre dès qu'ils entendent le nom Homolka.
Mais je pense qu'il a rien contre elle, un feu de paille, une chasse aux sorcières. Le monsieur se fait de la pub sur le dos des média qui accourre dès qu'ils entendent le nom Homolka.
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Whammy a écrit
Effectivement tout enregistrement demeure irrecevable devant la cour ... puisqu'il devait en avisé la personne concerner avant de l'enregistré .. ce qu'il n'a sûrement pas fait
Je ne pense pas que la police avait demandé à Cloutier s'il pouvait l'enregistrer lorsqu'il a rencontré Nathalie.
Effectivement tout enregistrement demeure irrecevable devant la cour ... puisqu'il devait en avisé la personne concerner avant de l'enregistré .. ce qu'il n'a sûrement pas fait
Je ne pense pas que la police avait demandé à Cloutier s'il pouvait l'enregistrer lorsqu'il a rencontré Nathalie.
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
orve a écritJe suis pas certaine mais si il a enrigistré dans son commerce et qu'un avertissement d'une possibilité d'être filmé ou enrigistré est mis en place alors se serait recevable ??
Mais je pense qu'il a rien contre elle, un feu de paille, une chasse aux sorcières. Le monsieur se fait de la pub sur le dos des média qui accourre dès qu'ils entendent le nom Homolka.
S'il n'a rien, je me demande vraiment pourquoi il fait ça parce qu'il courerait consciemment devant de gros problèmes, lui qui en a déjà pas mal selon ce qu'on en lit.
Mais je pense qu'il a rien contre elle, un feu de paille, une chasse aux sorcières. Le monsieur se fait de la pub sur le dos des média qui accourre dès qu'ils entendent le nom Homolka.
S'il n'a rien, je me demande vraiment pourquoi il fait ça parce qu'il courerait consciemment devant de gros problèmes, lui qui en a déjà pas mal selon ce qu'on en lit.
Scoubidoux a écrit
S'il n'a rien, je me demande vraiment pourquoi il fait ça parce qu'il courerait consciemment devant de gros problèmes, lui qui en a déjà pas mal selon ce qu'on en lit.
Ha ! on va voir demain mais j'ai l'impression qu'il monte une histoire qu'il est le seul à croire. Et s'il a essayé de la piègé je ne crois pas que c'est légal, juste la police peut le faire pis il faut que ça soit fait correctement et sans incitation.
S'il n'a rien, je me demande vraiment pourquoi il fait ça parce qu'il courerait consciemment devant de gros problèmes, lui qui en a déjà pas mal selon ce qu'on en lit.
Ha ! on va voir demain mais j'ai l'impression qu'il monte une histoire qu'il est le seul à croire. Et s'il a essayé de la piègé je ne crois pas que c'est légal, juste la police peut le faire pis il faut que ça soit fait correctement et sans incitation.
Scoubidoux a écrit
Je ne pense pas que la police avait demandé à Cloutier s'il pouvait l'enregistrer lorsqu'il a rencontré Nathalie.
la différence est que la police avait un mandat signé par un juge pour procéder a l'enregistrement.
Je ne pense pas que la police avait demandé à Cloutier s'il pouvait l'enregistrer lorsqu'il a rencontré Nathalie.
la différence est que la police avait un mandat signé par un juge pour procéder a l'enregistrement.
https://membres.lycos.fr/millenium2003/williamfan.png" onclick="window.open(this.href);return false;
La sécurité du public l'emporte sur le droit de Karla Homolka à la vie privée
TORONTO (PC) - Les médias ont tout à fait le droit d'essayer de retracer la plus connue des ex-détenues au pays et de faire des reportages sur elle malgré ses appels au respect de sa vie privée - mais il y a des limites, affirment des spécialistes de l'éthique des médias.
Selon un sondage effectué la semaine dernière, 64 pour cent des Canadiens pensent que les médias sont allés trop loin dans leur couverture de la libération de Karla Homolka, en juillet. Néanmoins, tout indique qu'ils dévorent les révélations récentes sur sa vie après la prison.
"Le public veut savoir si elle constitue une menace, si elle s'est amendée, si la plus célèbre meurtrière au Canada respecte ses conditions de libération", a dit Stephen Ward, professeur d'éthique journalistique à l'Université de Colombie-Britannique.
L'intérêt public suscité par les révélations sur son emploi dans un commerce de la Rive-Sud de Montréal et par les photos de l'ex-détenue parues mardi dans les médias a également déclenché un débat sur la question de savoir si Karla Homolka a droit au respect de sa vie privée au moment où elle commence une nouvelle vie.
Karla Homolka a été libérée le 4 juillet dernier après avoir purgé 12 ans pour son rôle dans les meurtres de deux adolescentes, Leslie Mahaffy et Kristen French, au début des années 1990, et dans la mort de sa propre soeur.
Elle avait tenté, en vain, d'obtenir une injonction contre les médias à sa sortie de prison, soutenant que sa vie serait en danger si les médias dévoilaient ses allées et venues. Certains ont repris ce point de vue, estimant que les médias font montre d'un zèle excessif à son égard.
Mark Bantey, un avocat spécialisé dans les médias et familier avec le dossier, a affirmé qu'il y a bien eu "des menaces en l'air", mais il ajoutait n'avoir jamais vu aucune preuve à l'appui de ses craintes pour sa vie.
Selon lui, Karla Homolka ne peut pas s'attendre à avoir une vie comme celle de n'importe quel autre criminel libéré de prison, parce qu'elle doit se conformer à des conditions strictes. "Un juge a estimé qu'elle constitue une menace pour la société et lui a imposé ces conditions, et celles-ci devraient être respectées."
Le professeur Ward a fait valoir que la "force morale" du plaidoyer de Karla Homolka en faveur du respect de sa vie privée par les médias a été affaiblie quand elle a accordé une entrevue exclusive à Radio-Canada, immédiatement après avoir quitté la prison.
Paul Schneidereit, le président de l'Association canadienne des journalistes, note que le code d'éthique de son organisme fait mention du droit à la vie privée. Mais à son avis, le code vise davantage à protéger les victimes de crimes et leurs proches, et d'autres personnes se retrouvant sous les feux de la rampe sans l'avoir voulu. Bien que l'association n'ait pas discuté du cas Homolka, il a indiqué qu'à son avis personnel, le code ne s'applique pas à l'ex-détenue.
Néanmoins, les médias doivent s'abstenir de jouer aux "paparazzis", a-t-il dit.
Selon Me Bantey, s'il est correct de suivre Karla Homolka maintenant, cela ne signifie pas que les médias pourront la pourchasser éternellement. "A mesure que le temps passe, à condition qu'elle soit respectueuse de la loi, l'intérêt public va décliner."
Et pour le professeur Ward, si les médias campent encore devant son lieu de résidence et son lieu de travail dans deux semaines, ils auront dépassé les limites de l'éthique, et cela pourrait relever du harcèlement.
© La Presse Canadienne, 2005
http://mesnouvelles.branchez-vous.com/N ... 4140U.html
TORONTO (PC) - Les médias ont tout à fait le droit d'essayer de retracer la plus connue des ex-détenues au pays et de faire des reportages sur elle malgré ses appels au respect de sa vie privée - mais il y a des limites, affirment des spécialistes de l'éthique des médias.
Selon un sondage effectué la semaine dernière, 64 pour cent des Canadiens pensent que les médias sont allés trop loin dans leur couverture de la libération de Karla Homolka, en juillet. Néanmoins, tout indique qu'ils dévorent les révélations récentes sur sa vie après la prison.
"Le public veut savoir si elle constitue une menace, si elle s'est amendée, si la plus célèbre meurtrière au Canada respecte ses conditions de libération", a dit Stephen Ward, professeur d'éthique journalistique à l'Université de Colombie-Britannique.
L'intérêt public suscité par les révélations sur son emploi dans un commerce de la Rive-Sud de Montréal et par les photos de l'ex-détenue parues mardi dans les médias a également déclenché un débat sur la question de savoir si Karla Homolka a droit au respect de sa vie privée au moment où elle commence une nouvelle vie.
Karla Homolka a été libérée le 4 juillet dernier après avoir purgé 12 ans pour son rôle dans les meurtres de deux adolescentes, Leslie Mahaffy et Kristen French, au début des années 1990, et dans la mort de sa propre soeur.
Elle avait tenté, en vain, d'obtenir une injonction contre les médias à sa sortie de prison, soutenant que sa vie serait en danger si les médias dévoilaient ses allées et venues. Certains ont repris ce point de vue, estimant que les médias font montre d'un zèle excessif à son égard.
Mark Bantey, un avocat spécialisé dans les médias et familier avec le dossier, a affirmé qu'il y a bien eu "des menaces en l'air", mais il ajoutait n'avoir jamais vu aucune preuve à l'appui de ses craintes pour sa vie.
Selon lui, Karla Homolka ne peut pas s'attendre à avoir une vie comme celle de n'importe quel autre criminel libéré de prison, parce qu'elle doit se conformer à des conditions strictes. "Un juge a estimé qu'elle constitue une menace pour la société et lui a imposé ces conditions, et celles-ci devraient être respectées."
Le professeur Ward a fait valoir que la "force morale" du plaidoyer de Karla Homolka en faveur du respect de sa vie privée par les médias a été affaiblie quand elle a accordé une entrevue exclusive à Radio-Canada, immédiatement après avoir quitté la prison.
Paul Schneidereit, le président de l'Association canadienne des journalistes, note que le code d'éthique de son organisme fait mention du droit à la vie privée. Mais à son avis, le code vise davantage à protéger les victimes de crimes et leurs proches, et d'autres personnes se retrouvant sous les feux de la rampe sans l'avoir voulu. Bien que l'association n'ait pas discuté du cas Homolka, il a indiqué qu'à son avis personnel, le code ne s'applique pas à l'ex-détenue.
Néanmoins, les médias doivent s'abstenir de jouer aux "paparazzis", a-t-il dit.
Selon Me Bantey, s'il est correct de suivre Karla Homolka maintenant, cela ne signifie pas que les médias pourront la pourchasser éternellement. "A mesure que le temps passe, à condition qu'elle soit respectueuse de la loi, l'intérêt public va décliner."
Et pour le professeur Ward, si les médias campent encore devant son lieu de résidence et son lieu de travail dans deux semaines, ils auront dépassé les limites de l'éthique, et cela pourrait relever du harcèlement.
© La Presse Canadienne, 2005
http://mesnouvelles.branchez-vous.com/N ... 4140U.html
https://membres.lycos.fr/millenium2003/williamfan.png" onclick="window.open(this.href);return false;
Scoubidoux a écrit
Je ne pense pas que la police avait demandé à Cloutier s'il pouvait l'enregistrer lorsqu'il a rencontré Nathalie.
Effectivement tu le dis si bien dans ton texte La police n'a pas demander à Cloutier ... il n'avait pas à le faire non plus puisque la plainte avait déjà été déposé et qu'il s'agissait d'un ''frame out'' dans le but de le mettre sous accusation avec preuve à l'appui ... et qu'ils étaient de conivence avec la victime ...
Dans ce cas-ci on parle d'un ex-criminel récédiviste qui par lui-même a pris l'initiative en tant que civil de jouer les justiciers ... et qui de plus a essayé de manipuler les médias en tentant de vendre ces informations ... et qui présentement cherche a gagner la faveur de la justice dans une manoeuvre de négociation envers certains éléments criminels qu'il a commis envers son ex-conjointe ...
Lorsque tu affirmes que la population semble traité Homolka comme une ''petite victime'' ... je crois fermement que tu fais fausse route ;) ... les gens sont quand même assez logique pour se rendre compte que présentement ils ''deal'' avec une criminelle qui a payé son crime envers la société et qui de plus se servira éventuellement de tout ce maraudage publicitaire et persécution dans sa vie privé ... pour s'assurer un avenir $$$ au dépend de la société ...
Sur divers forums de discussion qui ont été mis en ligne avant sa libération ... sa tête a été mise a prix ... des pôles de longévité à récidiver etc ... ne crois tu pas qu'elle ne soit pas au courant de tout celà ...
Personnellement je me retiendrai de te dire ce que je lui souhaite comme avenir ... ;)
Je ne pense pas que la police avait demandé à Cloutier s'il pouvait l'enregistrer lorsqu'il a rencontré Nathalie.
Effectivement tu le dis si bien dans ton texte La police n'a pas demander à Cloutier ... il n'avait pas à le faire non plus puisque la plainte avait déjà été déposé et qu'il s'agissait d'un ''frame out'' dans le but de le mettre sous accusation avec preuve à l'appui ... et qu'ils étaient de conivence avec la victime ...
Dans ce cas-ci on parle d'un ex-criminel récédiviste qui par lui-même a pris l'initiative en tant que civil de jouer les justiciers ... et qui de plus a essayé de manipuler les médias en tentant de vendre ces informations ... et qui présentement cherche a gagner la faveur de la justice dans une manoeuvre de négociation envers certains éléments criminels qu'il a commis envers son ex-conjointe ...
Lorsque tu affirmes que la population semble traité Homolka comme une ''petite victime'' ... je crois fermement que tu fais fausse route ;) ... les gens sont quand même assez logique pour se rendre compte que présentement ils ''deal'' avec une criminelle qui a payé son crime envers la société et qui de plus se servira éventuellement de tout ce maraudage publicitaire et persécution dans sa vie privé ... pour s'assurer un avenir $$$ au dépend de la société ...
Sur divers forums de discussion qui ont été mis en ligne avant sa libération ... sa tête a été mise a prix ... des pôles de longévité à récidiver etc ... ne crois tu pas qu'elle ne soit pas au courant de tout celà ...
Personnellement je me retiendrai de te dire ce que je lui souhaite comme avenir ... ;)
Karla Homolka piégée par les Justiciers masqués!
Karla Homolka et son avocate, Me Sylvie Bordelais, se sont fait piéger par les Justiciers masqués hier après-midi.
Les animateurs de radio Marc-Antoine Audette et Sébastien Trudel ont réussi à se faire passer pour le ministre de la Justice du Québec, Yvon Marcoux, et son assistant.
Ils ont fait croire à l'avocate que le ministre voulait se prononcer sur le droit à la vie privée de Karla Homolka et qu'il était nécessaire de discuter avec les deux femmes.
Karla Homolka a répondu à quelques questions, mais les deux humoristes ont finalement avoué après une quinzaine de minutes qu'il s'agissait d'un canular.
En entrevue à LCN, les deux animateurs ont indiqué que la célèbre criminelle leur avait confié qu'elle ne sortait pas de chez elle depuis dix jours. Elle a ajouté qu'elle n'habitait pas Longueuil, où elle occupait jusqu'à tout récemment un emploi.
Les deux animateurs ont par ailleurs offert à la blague un poste de chroniqueuse judiciaire à l'ancienne détenue, et celle-ci a semblé intéressée!
Des segments de l'enregistrement seront diffusés, cet après-midi, sur les ondes de CKOI.Karla Homolka piégée par les Justiciers masqués!
Karla Homolka et son avocate, Me Sylvie Bordelais, se sont fait piéger par les Justiciers masqués hier après-midi.
Les animateurs de radio Marc-Antoine Audette et Sébastien Trudel ont réussi à se faire passer pour le ministre de la Justice du Québec, Yvon Marcoux, et son assistant.
Ils ont fait croire à l'avocate que le ministre voulait se prononcer sur le droit à la vie privée de Karla Homolka et qu'il était nécessaire de discuter avec les deux femmes.
Karla Homolka a répondu à quelques questions, mais les deux humoristes ont finalement avoué après une quinzaine de minutes qu'il s'agissait d'un canular.
En entrevue à LCN, les deux animateurs ont indiqué que la célèbre criminelle leur avait confié qu'elle ne sortait pas de chez elle depuis dix jours. Elle a ajouté qu'elle n'habitait pas Longueuil, où elle occupait jusqu'à tout récemment un emploi.
Les deux animateurs ont par ailleurs offert à la blague un poste de chroniqueuse judiciaire à l'ancienne détenue, et celle-ci a semblé intéressée!
Des segments de l'enregistrement seront diffusés, cet après-midi, sur les ondes de CKOI.
Karla Homolka et son avocate, Me Sylvie Bordelais, se sont fait piéger par les Justiciers masqués hier après-midi.
Les animateurs de radio Marc-Antoine Audette et Sébastien Trudel ont réussi à se faire passer pour le ministre de la Justice du Québec, Yvon Marcoux, et son assistant.
Ils ont fait croire à l'avocate que le ministre voulait se prononcer sur le droit à la vie privée de Karla Homolka et qu'il était nécessaire de discuter avec les deux femmes.
Karla Homolka a répondu à quelques questions, mais les deux humoristes ont finalement avoué après une quinzaine de minutes qu'il s'agissait d'un canular.
En entrevue à LCN, les deux animateurs ont indiqué que la célèbre criminelle leur avait confié qu'elle ne sortait pas de chez elle depuis dix jours. Elle a ajouté qu'elle n'habitait pas Longueuil, où elle occupait jusqu'à tout récemment un emploi.
Les deux animateurs ont par ailleurs offert à la blague un poste de chroniqueuse judiciaire à l'ancienne détenue, et celle-ci a semblé intéressée!
Des segments de l'enregistrement seront diffusés, cet après-midi, sur les ondes de CKOI.Karla Homolka piégée par les Justiciers masqués!
Karla Homolka et son avocate, Me Sylvie Bordelais, se sont fait piéger par les Justiciers masqués hier après-midi.
Les animateurs de radio Marc-Antoine Audette et Sébastien Trudel ont réussi à se faire passer pour le ministre de la Justice du Québec, Yvon Marcoux, et son assistant.
Ils ont fait croire à l'avocate que le ministre voulait se prononcer sur le droit à la vie privée de Karla Homolka et qu'il était nécessaire de discuter avec les deux femmes.
Karla Homolka a répondu à quelques questions, mais les deux humoristes ont finalement avoué après une quinzaine de minutes qu'il s'agissait d'un canular.
En entrevue à LCN, les deux animateurs ont indiqué que la célèbre criminelle leur avait confié qu'elle ne sortait pas de chez elle depuis dix jours. Elle a ajouté qu'elle n'habitait pas Longueuil, où elle occupait jusqu'à tout récemment un emploi.
Les deux animateurs ont par ailleurs offert à la blague un poste de chroniqueuse judiciaire à l'ancienne détenue, et celle-ci a semblé intéressée!
Des segments de l'enregistrement seront diffusés, cet après-midi, sur les ondes de CKOI.
nancy31f a écritRicher Lapointe promet d'autres révélations
Richer Lapointe a comparu, mercredi matin, au palais de justice de Longueuil sous des accusations de violence à l'égard de son ex-conjointe.
L'individu est accusé de menaces, d'intimidation, de voies de fait et d'agression sexuelle.
Le quincaillier de Longueuil a profité de sa comparution pour demander la permission au juge de se rendre en Ontario, afin de remettre aux familles des victimes de Karla Homolka les enregistrements de ses conversations avec elle. Aucune décision n'a encore été rendue.
Richer Lapointe est lui-même au coeur d'un imbroglio au sujet de sa propre remise en liberté. L'homme, qui fait face à cinq chefs d'accusation, ne doit pas, selon la loi, se retrouver en présence de personnes possédant un casier judiciaire. Les autorités auraient toutefois omis d'inscrire cette condition dans sa lettre d'engagement lors de sa libération, la semaine dernière.
D'autre part, Lapointe entend dévoiler vendredi prochain des éléments qu'il dit posséder sur des cassettes en lien avec l'affaire Homolka.
Il ne veut pas rendre publics ces éléments avant une conférence de presse qu'il veut tenir afin, dit-il, de régler des choses importantes tant au plan personnel que relativement à cette affaire. Il déclare avoir reçu des caisses de documents à étudier sur l'affaire avant de poser des gestes.
Il rappelle qu'il a des révélations à faire sur ce que lui a déclaré Karla Homolka, qui pourraient permettre de rouvrir des dossiers en Ontario.
Il soutient avoir été surpris par les déclarations de l'ex-détenue et ajoute qu'on lui a conseillé d'amasser des preuves avant de poser des gestes.
Lapointe, qui refuse de déposer ses documents à la police, dit qu'il ne veut surtout pas agir de la sorte pour obtenir de la célébrité.
Me semble oui
Richer Lapointe a comparu, mercredi matin, au palais de justice de Longueuil sous des accusations de violence à l'égard de son ex-conjointe.
L'individu est accusé de menaces, d'intimidation, de voies de fait et d'agression sexuelle.
Le quincaillier de Longueuil a profité de sa comparution pour demander la permission au juge de se rendre en Ontario, afin de remettre aux familles des victimes de Karla Homolka les enregistrements de ses conversations avec elle. Aucune décision n'a encore été rendue.
Richer Lapointe est lui-même au coeur d'un imbroglio au sujet de sa propre remise en liberté. L'homme, qui fait face à cinq chefs d'accusation, ne doit pas, selon la loi, se retrouver en présence de personnes possédant un casier judiciaire. Les autorités auraient toutefois omis d'inscrire cette condition dans sa lettre d'engagement lors de sa libération, la semaine dernière.
D'autre part, Lapointe entend dévoiler vendredi prochain des éléments qu'il dit posséder sur des cassettes en lien avec l'affaire Homolka.
Il ne veut pas rendre publics ces éléments avant une conférence de presse qu'il veut tenir afin, dit-il, de régler des choses importantes tant au plan personnel que relativement à cette affaire. Il déclare avoir reçu des caisses de documents à étudier sur l'affaire avant de poser des gestes.
Il rappelle qu'il a des révélations à faire sur ce que lui a déclaré Karla Homolka, qui pourraient permettre de rouvrir des dossiers en Ontario.
Il soutient avoir été surpris par les déclarations de l'ex-détenue et ajoute qu'on lui a conseillé d'amasser des preuves avant de poser des gestes.
Lapointe, qui refuse de déposer ses documents à la police, dit qu'il ne veut surtout pas agir de la sorte pour obtenir de la célébrité.
Me semble oui