Élection au Provincial
Ely a écritComment Jean Charest peut'il enlever la TVQ sur les produits culturels québécois ??? il a les moyens lui pour un gars qui annonce une tempête économique
et qui en plus dirige la province la plus endettée du Canada
Et bien moi j'apprécie cette mesure.... d'ailleurs cela devra ne pas s'appliquer juste a la culture, on devrait pas taxer si on achete des produits canadiens comparativment a des produits fait ailleurs. Je le vois comme un stimulant économique.
et qui en plus dirige la province la plus endettée du Canada
Et bien moi j'apprécie cette mesure.... d'ailleurs cela devra ne pas s'appliquer juste a la culture, on devrait pas taxer si on achete des produits canadiens comparativment a des produits fait ailleurs. Je le vois comme un stimulant économique.
lucide a écrit
Et bien moi j'apprécie cette mesure.... d'ailleurs cela devra ne pas s'appliquer juste a la culture, on devrait pas taxer si on achete des produits canadiens comparativment a des produits fait ailleurs. Je le vois comme un stimulant économique.
Ca s'appelle du protectionnisme et c'est prouver depuis belle lurette qu de telles mesures provoquent une augmentation des prix des produits avantagés. Et ca finis par annuler l'effet bénéfique et diminuer les revenus de l'État. --Message edité par ely le 2008-11-18 12:50:15--
Et bien moi j'apprécie cette mesure.... d'ailleurs cela devra ne pas s'appliquer juste a la culture, on devrait pas taxer si on achete des produits canadiens comparativment a des produits fait ailleurs. Je le vois comme un stimulant économique.
Ca s'appelle du protectionnisme et c'est prouver depuis belle lurette qu de telles mesures provoquent une augmentation des prix des produits avantagés. Et ca finis par annuler l'effet bénéfique et diminuer les revenus de l'État. --Message edité par ely le 2008-11-18 12:50:15--
Je vois mal comment DUmont pourrait couper davantage de fonctionnaires... Actuellement, 2 départs à la retraite sur 5 sont remplacés. Dans le ministère ou je travaille, on a passé une loi pour que tous les délinquants soient évalués dans un délai de 45 jours (post-sentence). Cette loi devient inapplicabpe en raison du manque de personnel (départs à la retraite, non-remplacement des travailleurs en congé de maladie, surcharge de travail à la suite de coupures de poste...). En tant que citoyenne, il me semble que c'est important de bien évaluer le niveau de risque de ceux qui commettent des délits si on veut les encadrer correctement ou réduire le risque de récidive et de dangerosité... EN ce moment, croyez-moi, y'a plusieurs évaluateurs qui sont tellement dans le jus qu'ils n'ont pas le choix de tourner les coins ronds. Si on coupe encore, que va-t-il se passer? Une autre affaire Livernoche?
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L’ADQ propose des experts indépendants pour baliser les grands projets
2008-11-18, 10:26
Le chef de L’ADQ, M. Mario Dumont, devant l’Hôtel-Dieu de Québec et en présence de plusieurs candidats de l’ADQ, a proposé que pour chaque projet public de plus de 100 millions de dollars, un comité ad hoc d’experts indépendants sous l’autorité du Vérificateur général du Québec soit formé afin d’évaluer la viabilité de ces projets.
Ce comité réunirait des experts, notamment en matière de gestion de projet, de financement, d’ingénierie et d’immobilier. Ce comité serait chargé de se prononcer sur la faisabilité du projet proposé par le gouvernement et fixerait des balises financières à sa réalisation avant que le gouvernement puisse aller de l’avant.
Pour le chef de l’ADQ, cette mesure permettrait d’éviter les dérapages financiers, mais aussi de restaurer la confiance des Québécois dans leur capacité collective à réaliser des grands projets. « Les déboires des grands projets publics de construction des vingt dernières années ont laissé un goût amer aux contribuables. Ces fiascos nous ont aussi fait oublier que nous sommes capables de grandes choses. Pour moi, il est fondamental de redresser cette situation », a déclaré Mario Dumont.
Mettre fin aux désastres financiers
Le chef de l’ADQ a rappelé le contexte des dernières années qui ont vu se succéder les gouffres financiers du siège social de la Caisse de dépôt et placement, du métro de Laval ou de l’Îlot voyageur de l’UQAM, ainsi que, plus près de nous, les désastres annoncés du CHUM, de la salle de l’OSM ou de l’Hôtel-Dieu de Québec. « Les gouvernements du Parti québécois et du Parti libéral n’ont pas été capables d’éviter que de bonnes idées se terminent par des catastrophes pour nos finances publiques. Le métro de Laval devait nous coûter 179 millions de dollars. Son coût final a été de 804 millions de dollars. La salle de l’OSM a été annoncée en juin 2006 à 105 millions de dollars. Nous en étions déjà à 266 millions de dollars 18 mois plus tard. Le projet du CHUM est le pire de tous parce que nous ne savons pas où il nous mènera, mais le dépassement de coût est déjà de 600 millions de dollars », a insisté Mario Dumont, qui a également appelé le gouvernement à la raison dans le dossier de l’Hôtel-Dieu de Québec.
« Le gouvernement doit revenir sur son projet de rénover l’Hôtel-Dieu et choisir de bâtir un nouvel hôpital plus accessible. Le coût initial de la rénovation prévue était de 175 millions de dollars. Nous en sommes à 635 millions de dollars aujourd’hui. Tout le monde sait que faire du neuf avec du vieux coûte plus cher que de tout simplement construire du neuf. Le gouvernement veut détruire l’Hôpital Saint-Luc à Montréal qui n’est pas si vieux, mais veut rénover à Québec un des plus vieux hôpitaux d’Amérique du Nord. Tout cela est tout simplement irresponsable et contraire au bon sens. Nous avons déjà été capables de bâtir de grandes choses au bénéfice des Québécois sans que ces grands projets ne finissent en histoires d’horreur. Les grands barrages d’Hydro-Québec en sont la preuve concrète. Ce n’est pas vrai que nous avons perdu au Québec toutes nos capacités de planification et que nous ne pouvons plus prévoir l’évolution des coûts de nos grands projets », a affirmé le chef de l’ADQ.
S’appuyer sur l’expertise de nos grands bâtisseurs
« Nous avons assez d’experts au Québec, et notamment celles et ceux qui ont construit nos barrages, pour faire appel à la sagesse de l’expertise. Il faut revoir le processus de planification de nos grands projets. Il n’y a pas, actuellement, de ligne directrice et le gouvernement, par paresse ou par laxisme, semble s’être convaincu que les choses ne pouvaient pas changer et que les dépassements de coûts, les retards ou les magouilles étaient des choses normales. Pour l’ADQ, les choses peuvent changer et elles doivent changer. Nous devons retrouver la rigueur qui nous a permis, il y a 50 ans, de faire naître le Québec à la modernité », a conclu Mario Dumont.
2008-11-18, 10:26
Le chef de L’ADQ, M. Mario Dumont, devant l’Hôtel-Dieu de Québec et en présence de plusieurs candidats de l’ADQ, a proposé que pour chaque projet public de plus de 100 millions de dollars, un comité ad hoc d’experts indépendants sous l’autorité du Vérificateur général du Québec soit formé afin d’évaluer la viabilité de ces projets.
Ce comité réunirait des experts, notamment en matière de gestion de projet, de financement, d’ingénierie et d’immobilier. Ce comité serait chargé de se prononcer sur la faisabilité du projet proposé par le gouvernement et fixerait des balises financières à sa réalisation avant que le gouvernement puisse aller de l’avant.
Pour le chef de l’ADQ, cette mesure permettrait d’éviter les dérapages financiers, mais aussi de restaurer la confiance des Québécois dans leur capacité collective à réaliser des grands projets. « Les déboires des grands projets publics de construction des vingt dernières années ont laissé un goût amer aux contribuables. Ces fiascos nous ont aussi fait oublier que nous sommes capables de grandes choses. Pour moi, il est fondamental de redresser cette situation », a déclaré Mario Dumont.
Mettre fin aux désastres financiers
Le chef de l’ADQ a rappelé le contexte des dernières années qui ont vu se succéder les gouffres financiers du siège social de la Caisse de dépôt et placement, du métro de Laval ou de l’Îlot voyageur de l’UQAM, ainsi que, plus près de nous, les désastres annoncés du CHUM, de la salle de l’OSM ou de l’Hôtel-Dieu de Québec. « Les gouvernements du Parti québécois et du Parti libéral n’ont pas été capables d’éviter que de bonnes idées se terminent par des catastrophes pour nos finances publiques. Le métro de Laval devait nous coûter 179 millions de dollars. Son coût final a été de 804 millions de dollars. La salle de l’OSM a été annoncée en juin 2006 à 105 millions de dollars. Nous en étions déjà à 266 millions de dollars 18 mois plus tard. Le projet du CHUM est le pire de tous parce que nous ne savons pas où il nous mènera, mais le dépassement de coût est déjà de 600 millions de dollars », a insisté Mario Dumont, qui a également appelé le gouvernement à la raison dans le dossier de l’Hôtel-Dieu de Québec.
« Le gouvernement doit revenir sur son projet de rénover l’Hôtel-Dieu et choisir de bâtir un nouvel hôpital plus accessible. Le coût initial de la rénovation prévue était de 175 millions de dollars. Nous en sommes à 635 millions de dollars aujourd’hui. Tout le monde sait que faire du neuf avec du vieux coûte plus cher que de tout simplement construire du neuf. Le gouvernement veut détruire l’Hôpital Saint-Luc à Montréal qui n’est pas si vieux, mais veut rénover à Québec un des plus vieux hôpitaux d’Amérique du Nord. Tout cela est tout simplement irresponsable et contraire au bon sens. Nous avons déjà été capables de bâtir de grandes choses au bénéfice des Québécois sans que ces grands projets ne finissent en histoires d’horreur. Les grands barrages d’Hydro-Québec en sont la preuve concrète. Ce n’est pas vrai que nous avons perdu au Québec toutes nos capacités de planification et que nous ne pouvons plus prévoir l’évolution des coûts de nos grands projets », a affirmé le chef de l’ADQ.
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Prière et chant religieux
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Fourmi a écritJe vois mal comment DUmont pourrait couper davantage de fonctionnaires... Actuellement, 2 départs à la retraite sur 5 sont remplacés. Dans le ministère ou je travaille, on a passé une loi pour que tous les délinquants soient évalués dans un délai de 45 jours (post-sentence). Cette loi devient inapplicabpe en raison du manque de personnel (départs à la retraite, non-remplacement des travailleurs en congé de maladie, surcharge de travail à la suite de coupures de poste...). En tant que citoyenne, il me semble que c'est important de bien évaluer le niveau de risque de ceux qui commettent des délits si on veut les encadrer correctement ou réduire le risque de récidive et de dangerosité... EN ce moment, croyez-moi, y'a plusieurs évaluateurs qui sont tellement dans le jus qu'ils n'ont pas le choix de tourner les coins ronds. Si on coupe encore, que va-t-il se passer? Une autre affaire Livernoche?
Ça prouve que le travail a été mal fait. Pendant que vous manquez de personnel il y a encore trop de boss dans plusieurs ministère .Ça c'est un gros problème Il est très difficile de faire un travail du début à la fin même si tu as les compétences pour le faire. Il faut faire aprouver par un et par l'autre avant de continuer...
Ça prouve que le travail a été mal fait. Pendant que vous manquez de personnel il y a encore trop de boss dans plusieurs ministère .Ça c'est un gros problème Il est très difficile de faire un travail du début à la fin même si tu as les compétences pour le faire. Il faut faire aprouver par un et par l'autre avant de continuer...
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.anthurium. a écrit
Ça prouve que le travail a été mal fait. Pendant que vous manquez de personnel il y a encore trop de boss dans plusieurs ministère .Ça c'est un gros problème Il est très difficile de faire un travail du début à la fin même si tu as les compétences pour le faire. Il faut faire aprouver par un et par l'autre avant de continuer...
Qui vises-tu? L'intervenant ou le manque de personnel. Un travail peut être mal fait parce que tu n'as pas les ressources pour l'accomplir adéquatement.
Prenons exemple dans l'enseignement. Je travaille avec 28 ou 29 élèves tout aussi différent les uns que les autres. Est-ce que je fais mal mon travail si je ne parviens pas aux résultats escomptés? Dans un autre pays (la Finlande entre autres), le même enseignant ferait face à une classe dont le maximum permis est 16. Fait-il mieux son travail que moi?
Ça prouve que le travail a été mal fait. Pendant que vous manquez de personnel il y a encore trop de boss dans plusieurs ministère .Ça c'est un gros problème Il est très difficile de faire un travail du début à la fin même si tu as les compétences pour le faire. Il faut faire aprouver par un et par l'autre avant de continuer...
Qui vises-tu? L'intervenant ou le manque de personnel. Un travail peut être mal fait parce que tu n'as pas les ressources pour l'accomplir adéquatement.
Prenons exemple dans l'enseignement. Je travaille avec 28 ou 29 élèves tout aussi différent les uns que les autres. Est-ce que je fais mal mon travail si je ne parviens pas aux résultats escomptés? Dans un autre pays (la Finlande entre autres), le même enseignant ferait face à une classe dont le maximum permis est 16. Fait-il mieux son travail que moi?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Red K a écrit
Le PQ ne se fait pas élire pour enclencher la souveraineté. Le processus doit passé par une consultation populaire (un référendum). Donc, oui, tu peux voter pour le PQ sans être souverainiste. Tu aura juste a voter Non si jamais il y a un référendum durant leur mandat (en cas d'élection du PQ évidemment).
ahhh, je sais ben mais de penser que ces personnes ont des valeurs totalement opposées aux miennes sur ce point important me font hésiter.
Le PQ ne se fait pas élire pour enclencher la souveraineté. Le processus doit passé par une consultation populaire (un référendum). Donc, oui, tu peux voter pour le PQ sans être souverainiste. Tu aura juste a voter Non si jamais il y a un référendum durant leur mandat (en cas d'élection du PQ évidemment).
ahhh, je sais ben mais de penser que ces personnes ont des valeurs totalement opposées aux miennes sur ce point important me font hésiter.
Ely a écritMaudit que j'haïs ça les élections ...
Là, le PQ dit qu'il veux faire des concentrations en anglais au deuxième cycle du primaire. Moi qui enseigne l'anglais au privé, je me dit que se serait une excellente idée car les jeunes qui sortent du secondaire ne savent pas parler anglais à moitié.
Mais je m'inquiète pour le français, si on les fait parler anglais durant toute une session, ca va être le bordel durant le cour de francais après. Parce que notre français fait dur aussi
Et qu'est ce qu'on va faire avec les prof qui ne peuvent pas enseigner en anglais ?
Pis je suis contre la souveraineté, m'essemble que je peux pas voter pour ce parti là peut importe leur autre bon côté
Le PQ ne se fait pas élire pour enclencher la souveraineté. Le processus doit passé par une consultation populaire (un référendum). Donc, oui, tu peux voter pour le PQ sans être souverainiste. Tu aura juste a voter Non si jamais il y a un référendum durant leur mandat (en cas d'élection du PQ évidemment).
Là, le PQ dit qu'il veux faire des concentrations en anglais au deuxième cycle du primaire. Moi qui enseigne l'anglais au privé, je me dit que se serait une excellente idée car les jeunes qui sortent du secondaire ne savent pas parler anglais à moitié.
Mais je m'inquiète pour le français, si on les fait parler anglais durant toute une session, ca va être le bordel durant le cour de francais après. Parce que notre français fait dur aussi
Et qu'est ce qu'on va faire avec les prof qui ne peuvent pas enseigner en anglais ?
Pis je suis contre la souveraineté, m'essemble que je peux pas voter pour ce parti là peut importe leur autre bon côté
Le PQ ne se fait pas élire pour enclencher la souveraineté. Le processus doit passé par une consultation populaire (un référendum). Donc, oui, tu peux voter pour le PQ sans être souverainiste. Tu aura juste a voter Non si jamais il y a un référendum durant leur mandat (en cas d'élection du PQ évidemment).
Ely a écritComment Jean Charest peut'il enlever la TVQ sur les produits culturels québécois ??? il a les moyens lui pour un gars qui annonce une tempête économique
et qui en plus dirige la province la plus endettée du Canada
J'ai rien contre le retrait de la TVQ sur certains produits, Le PQ l'avait fait dans leurs premiers mandats en l'enlevant sur les vêtements fait au Québec et autres choses.
Et lorsque l'on parle de province endettée, on parle aussi de la province qui laisse le moins les gens les plus démunis dans la dèche et une province qui fait économiser les gens sur plusieurs plan (la garderie à 7$ en est un exemple entre autre).
Nous sommes moins riche mais, ça nous coute moins cher aussi.
et qui en plus dirige la province la plus endettée du Canada
J'ai rien contre le retrait de la TVQ sur certains produits, Le PQ l'avait fait dans leurs premiers mandats en l'enlevant sur les vêtements fait au Québec et autres choses.
Et lorsque l'on parle de province endettée, on parle aussi de la province qui laisse le moins les gens les plus démunis dans la dèche et une province qui fait économiser les gens sur plusieurs plan (la garderie à 7$ en est un exemple entre autre).
Nous sommes moins riche mais, ça nous coute moins cher aussi.
Ely a écrit
Ca s'appelle du protectionnisme et c'est prouver depuis belle lurette qu de telles mesures provoquent une augmentation des prix des produits avantagés. Et ca finis par annuler l'effet bénéfique et diminuer les revenus de l'État.
Les résultats ont aussi des effets pervers lorsque l'on parle de libre-échange et le non-protectionisme. Aller magasiner chez Walmart et compagnie nous fait payer moins cher à la caisse mais, nous passons à la caisse par la suite.....pour emprunter parce qu'on a eu une diminution de salaire ou on est au chômage.
Il y a une fuite de capitaux qui n'est pas remplacée, on ne peut pas vraiment prendre le dessus avec ce genre de pratique.
Ca s'appelle du protectionnisme et c'est prouver depuis belle lurette qu de telles mesures provoquent une augmentation des prix des produits avantagés. Et ca finis par annuler l'effet bénéfique et diminuer les revenus de l'État.
Les résultats ont aussi des effets pervers lorsque l'on parle de libre-échange et le non-protectionisme. Aller magasiner chez Walmart et compagnie nous fait payer moins cher à la caisse mais, nous passons à la caisse par la suite.....pour emprunter parce qu'on a eu une diminution de salaire ou on est au chômage.
Il y a une fuite de capitaux qui n'est pas remplacée, on ne peut pas vraiment prendre le dessus avec ce genre de pratique.
Red K a écrit
Les résultats ont aussi des effets pervers lorsque l'on parle de libre-échange et le non-protectionisme. Aller magasiner chez Walmart et compagnie nous fait payer moins cher à la caisse mais, nous passons à la caisse par la suite.....pour emprunter parce qu'on a eu une diminution de salaire ou on est au chômage.
Il y a une fuite de capitaux qui n'est pas remplacée, on ne peut pas vraiment prendre le dessus avec ce genre de pratique.
Il y a des centaines de pertes d'emploi ici mais les gens peuvent compter sur l'aide du gouvernement pour retourner à l'école, retrouver un boulot, chomage, aide sociale, etc.
Tandis qu'en Chine, des millions de chinois on grandement améliorer leur sort grâce à ces nouveaux emplois engendrés par la mondialisation. Ils ont de meilleur condition, de meilleur salaire, une plus grande ouverture sur le monde malgré le communisme. etc...
Les résultats ont aussi des effets pervers lorsque l'on parle de libre-échange et le non-protectionisme. Aller magasiner chez Walmart et compagnie nous fait payer moins cher à la caisse mais, nous passons à la caisse par la suite.....pour emprunter parce qu'on a eu une diminution de salaire ou on est au chômage.
Il y a une fuite de capitaux qui n'est pas remplacée, on ne peut pas vraiment prendre le dessus avec ce genre de pratique.
Il y a des centaines de pertes d'emploi ici mais les gens peuvent compter sur l'aide du gouvernement pour retourner à l'école, retrouver un boulot, chomage, aide sociale, etc.
Tandis qu'en Chine, des millions de chinois on grandement améliorer leur sort grâce à ces nouveaux emplois engendrés par la mondialisation. Ils ont de meilleur condition, de meilleur salaire, une plus grande ouverture sur le monde malgré le communisme. etc...
.anthurium. a écrit
Ça prouve que le travail a été mal fait. Pendant que vous manquez de personnel il y a encore trop de boss dans plusieurs ministère .Ça c'est un gros problème Il est très difficile de faire un travail du début à la fin même si tu as les compétences pour le faire. Il faut faire aprouver par un et par l'autre avant de continuer...
Le hic, c'est qu'aucun gouvernement ne coupe dans les hauts fonctionnaires. C'est toujours les petits qui écopent, parce que tous savent que les fonctionnaires sont impopulaires qux yeux de la population. Alors que pourtant, les salaires au provincial sont (et de beaucoup!) inférieurs aux salaires de la fonction publique fédérale et municipale.
Mario parle de couper des fonctionnaires parce qu'il sait pertinemment que ses électeurs détestent les fonctionnaires parce qu'ils croient vraiment que nous sommes trop bien traités! C'est le meilleur moyen de niveler vers le bas... pas pour rien que les gens instruits qui le peuvent se tournent vers le privé (pharmaciens, avocats, ingénieurs, infirmières, médecins, etc).
J'adore mon boulot mais si j'avais le choix, j'irais au privé afin de pouvoir le faire dans des conditions optimales. Je déteste avoir le sentiment que je pourrais faire mieuix mais malheureusement, c'est parfois la conclusion à laquelle j'en arrive. Et crois-moi, ce n'est pas par choix ou par paresse parce que j'aime beaucoup mon boulot et que je suis perfectionniste. Mais à un moment donné, tu as le choix entre faire un travail parfait et un burn-out...
Ça prouve que le travail a été mal fait. Pendant que vous manquez de personnel il y a encore trop de boss dans plusieurs ministère .Ça c'est un gros problème Il est très difficile de faire un travail du début à la fin même si tu as les compétences pour le faire. Il faut faire aprouver par un et par l'autre avant de continuer...
Le hic, c'est qu'aucun gouvernement ne coupe dans les hauts fonctionnaires. C'est toujours les petits qui écopent, parce que tous savent que les fonctionnaires sont impopulaires qux yeux de la population. Alors que pourtant, les salaires au provincial sont (et de beaucoup!) inférieurs aux salaires de la fonction publique fédérale et municipale.
Mario parle de couper des fonctionnaires parce qu'il sait pertinemment que ses électeurs détestent les fonctionnaires parce qu'ils croient vraiment que nous sommes trop bien traités! C'est le meilleur moyen de niveler vers le bas... pas pour rien que les gens instruits qui le peuvent se tournent vers le privé (pharmaciens, avocats, ingénieurs, infirmières, médecins, etc).
J'adore mon boulot mais si j'avais le choix, j'irais au privé afin de pouvoir le faire dans des conditions optimales. Je déteste avoir le sentiment que je pourrais faire mieuix mais malheureusement, c'est parfois la conclusion à laquelle j'en arrive. Et crois-moi, ce n'est pas par choix ou par paresse parce que j'aime beaucoup mon boulot et que je suis perfectionniste. Mais à un moment donné, tu as le choix entre faire un travail parfait et un burn-out...
Publié le 18 novembre 2008 à 07h03
Mis à jour à 07h06
Le boulet de Mme Marois
André Pratte
La Presse
Depuis deux jours, Pauline Marois est sur la défensive, forcée de justifier les programmes de retraite précoce offerts aux médecins et aux infirmières par le gouvernement Bouchard, il y a 10 ans. Plus de 7000 professionnels de la santé avaient profité de ces programmes, provoquant de graves pénuries.
Mme Marois doit évidemment assumer la responsabilité des décisions qu'elle a prises à l'époque. Il est toutefois injuste de lui imputer les problèmes d'accessibilité aux soins qui perdurent aujourd'hui, comme le font les libéraux et les adéquistes.
Soulignons d'abord que les programmes en question ont été mis en place avant l'arrivée de Mme Marois au ministère de la Santé. D'ailleurs, au début des années 90, la plupart des acteurs du système de santé estimaient que le Québec souffrait... d'un surplus de médecins. Par conséquent, avant même que ne s'amorce le combat pour le déficit zéro, le gouvernement cherchait à favoriser les retraites. De plus, on a réduit considérablement les admissions dans les facultés de médecine. C'est l'effet de cette dernière mesure, davantage que celui des retraites anticipées, qui se fait encore sentir de nos jours. Or, cette diminution du nombre d'étudiants en médecine a été amorcée sous le gouvernement Bourassa.
Le gouvernement de Lucien Bouchard ne porte pas seul la responsabilité des milliers de retraites anticipées qui ont fait si mal. Les syndicats de médecins et d'infirmières insistaient à l'époque pour que Québec adopte cette voie plutôt que d'autres mesures de réduction des coûts de main-d'oeuvre.
Et puis, il faut tenir compte du contexte. Le gouvernement du Québec devait absolument réduire ses dépenses. Le réseau de la santé, qui comptait pour le tiers des dépenses de programme, ne pouvait pas être épargné.
Depuis quelques années, le nombre de médecins et d'infirmières pratiquant au Québec est en hausse. On compte aujourd'hui 1800 médecins de plus qu'en 1999, et 2800 de plus qu'il y a 20 ans. Il y a 1700 infirmières de plus qu'il y a cinq ans.
Les problèmes de main-d'oeuvre qui subsistent dans le domaine de la santé sont moins dus à une pénurie généralisée qu'à des difficultés relatives à l'organisation du travail. Des postes permanents restent vacants parce que les jeunes infirmières ne veulent pas être confinées aux quarts de nuit. Des infirmières se voient confier des tâches de bureau ou d'entretien qui sont en deçà de leurs compétences. Les jeunes médecins refusent de s'imposer les horaires de fous de leurs aînés, donnant priorité à la conciliation travail-famille.
Il s'agit là de problèmes complexes qui ne peuvent se régler d'un coup de baguette magique. Chose certaine, on ne peut pas en attribuer la responsabilité à Mme Marois, qui a quitté le ministère de la Santé il y a sept ans (elle y a d'ailleurs laissé un excellent souvenir).
Pauline Marois ferait-elle la même chose aujourd'hui, dans les mêmes circonstances? La question est piégée. La réalité c'est que, dans le contexte de la lutte au déficit qui prévalait au milieu des années 90, n'importe quel ministre de la Santé, péquiste, libéral ou adéquiste, aurait fait exactement la même chose que Mme Marois et son prédécesseur Jean Rochon.
http://www.cyberpresse.ca/opinions/edit ... marois.php
Mis à jour à 07h06
Le boulet de Mme Marois
André Pratte
La Presse
Depuis deux jours, Pauline Marois est sur la défensive, forcée de justifier les programmes de retraite précoce offerts aux médecins et aux infirmières par le gouvernement Bouchard, il y a 10 ans. Plus de 7000 professionnels de la santé avaient profité de ces programmes, provoquant de graves pénuries.
Mme Marois doit évidemment assumer la responsabilité des décisions qu'elle a prises à l'époque. Il est toutefois injuste de lui imputer les problèmes d'accessibilité aux soins qui perdurent aujourd'hui, comme le font les libéraux et les adéquistes.
Soulignons d'abord que les programmes en question ont été mis en place avant l'arrivée de Mme Marois au ministère de la Santé. D'ailleurs, au début des années 90, la plupart des acteurs du système de santé estimaient que le Québec souffrait... d'un surplus de médecins. Par conséquent, avant même que ne s'amorce le combat pour le déficit zéro, le gouvernement cherchait à favoriser les retraites. De plus, on a réduit considérablement les admissions dans les facultés de médecine. C'est l'effet de cette dernière mesure, davantage que celui des retraites anticipées, qui se fait encore sentir de nos jours. Or, cette diminution du nombre d'étudiants en médecine a été amorcée sous le gouvernement Bourassa.
Le gouvernement de Lucien Bouchard ne porte pas seul la responsabilité des milliers de retraites anticipées qui ont fait si mal. Les syndicats de médecins et d'infirmières insistaient à l'époque pour que Québec adopte cette voie plutôt que d'autres mesures de réduction des coûts de main-d'oeuvre.
Et puis, il faut tenir compte du contexte. Le gouvernement du Québec devait absolument réduire ses dépenses. Le réseau de la santé, qui comptait pour le tiers des dépenses de programme, ne pouvait pas être épargné.
Depuis quelques années, le nombre de médecins et d'infirmières pratiquant au Québec est en hausse. On compte aujourd'hui 1800 médecins de plus qu'en 1999, et 2800 de plus qu'il y a 20 ans. Il y a 1700 infirmières de plus qu'il y a cinq ans.
Les problèmes de main-d'oeuvre qui subsistent dans le domaine de la santé sont moins dus à une pénurie généralisée qu'à des difficultés relatives à l'organisation du travail. Des postes permanents restent vacants parce que les jeunes infirmières ne veulent pas être confinées aux quarts de nuit. Des infirmières se voient confier des tâches de bureau ou d'entretien qui sont en deçà de leurs compétences. Les jeunes médecins refusent de s'imposer les horaires de fous de leurs aînés, donnant priorité à la conciliation travail-famille.
Il s'agit là de problèmes complexes qui ne peuvent se régler d'un coup de baguette magique. Chose certaine, on ne peut pas en attribuer la responsabilité à Mme Marois, qui a quitté le ministère de la Santé il y a sept ans (elle y a d'ailleurs laissé un excellent souvenir).
Pauline Marois ferait-elle la même chose aujourd'hui, dans les mêmes circonstances? La question est piégée. La réalité c'est que, dans le contexte de la lutte au déficit qui prévalait au milieu des années 90, n'importe quel ministre de la Santé, péquiste, libéral ou adéquiste, aurait fait exactement la même chose que Mme Marois et son prédécesseur Jean Rochon.
http://www.cyberpresse.ca/opinions/edit ... marois.php
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Lucien Bouchard avait déjà expliqué les coupures en santé. le québec était au bord du gouffre, sa cote de crédit était au plus bas et pour continuer à recevoir de l'argent, il devait absolument couper les dépenses et ce au plus sacrant si on peut dire. Je ne dis pas que aller dans la santé était ce qu'il y a de plus intelligent, mais au moins on comprend le pourquoi du geste...
Citation :Soulignons d'abord que les programmes en question ont été mis en place avant l'arrivée de Mme Marois au ministère de la Santé. D'ailleurs, au début des années 90, la plupart des acteurs du système de santé estimaient que le Québec souffrait... d'un surplus de médecins. Par conséquent, avant même que ne s'amorce le combat pour le déficit zéro, le gouvernement cherchait à favoriser les retraites. De plus, on a réduit considérablement les admissions dans les facultés de médecine. C'est l'effet de cette dernière mesure, davantage que celui des retraites anticipées, qui se fait encore sentir de nos jours. Or, cette diminution du nombre d'étudiants en médecine a été amorcée sous le gouvernement Bourassa.
Ce bout-là, je savais pas! Pourquoi Marois ne cloue pas le bec à Dumont avec ça?

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- Seigneur de la Causerie
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Beppo a écrit
Qui vises-tu? L'intervenant ou le manque de personnel. Un travail peut être mal fait parce que tu n'as pas les ressources pour l'accomplir adéquatement.
Prenons exemple dans l'enseignement. Je travaille avec 28 ou 29 élèves tout aussi différent les uns que les autres. Est-ce que je fais mal mon travail si je ne parviens pas aux résultats escomptés? Dans un autre pays (la Finlande entre autres), le même enseignant ferait face à une classe dont le maximum permis est 16. Fait-il mieux son travail que moi?
Je ne comprend pas ton commentaire par rapport a mon post.
Moi je parle du ménage dans l'appareil gouvernemental qui n'a pas été bien fait.
Qui vises-tu? L'intervenant ou le manque de personnel. Un travail peut être mal fait parce que tu n'as pas les ressources pour l'accomplir adéquatement.
Prenons exemple dans l'enseignement. Je travaille avec 28 ou 29 élèves tout aussi différent les uns que les autres. Est-ce que je fais mal mon travail si je ne parviens pas aux résultats escomptés? Dans un autre pays (la Finlande entre autres), le même enseignant ferait face à une classe dont le maximum permis est 16. Fait-il mieux son travail que moi?
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Prière et chant religieux
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