Soleil47 a écrit : [...]
De ce que j'ai su, la maison (si elle était à vendre) c'est parce qu'elle venait d'hériter de la maison de sa mère, et je ne me souviens pas avoir lu ou vu quelque part a dit que leur maison personnelle était à vendre au moment de la disparition de Diane Grégoire, mais cela fait tellement longtemps (2008) que je ne me souviens pas de tout ce qui a été dit
Et comme je le disais hier, dans un autre topic, il y a tellement de rumeurs qui ont circulé que c'est pas difficile d'en perdre son latin.

c'est dans cet article que jai lu que leur bungalow était déja a vendre avant sa disparition voici le texte:
Disparue - Diane Grégoire
Sa maison vendue
Daniel Renaud
Journal de Montréal
07/05/2008 09h23
Même si la femme de 51 ans est toujours officiellement considérée comme disparue, la maison de Diane Grégoire à Saint-Hyacinthe a été vendue.
«Oui, elle a été vendue, mais c'est tout ce que je peux dire», a indiqué au Journal l'agent d'immeubles de La Capitale, Dominique Gévry, en précisant que l'affaire avait été compliquée et qu'elle n'avait pas encore été officialisée par un notaire.
Le bungalow, situé en bordure de la rivière Yamaska, était déjà en vente avant la disparition de sa propriétaire et le prix demandé était de 205000 $.
Selon certaines informations qui n'ont pu être confirmées, l'argent de la vente a été placé dans une fiducie, où il doit rester durant une période de cinq ans. Mais selon le Code civil, une personne absente est considérée comme vivante durant sept ans.
Diane Grégoire a hérité du 8780, rang du Rapide-Plat Sud en 2004 après le décès de son père, et la maison est à son nom.
«Pour vendre l'immeuble d'une personne absente, il faut une procuration ou un tuteur nommé par un juge», explique Alain Roy, professeur en droit à l'Université de Montréal.
«On pourrait également convoquer un conseil de famille devant notaire, mais il faut voir les pouvoirs qu'on lui a donnés», ajoute Me Michel Rocheleau, spécialiste en droit immobilier.
Non au polygraphe
Par ailleurs, c'est plus que jamais l'impasse pour les policiers de Longueuil, trois mois après la disparition de Diane Grégoire aux Promenades Saint-Bruno. «Nous n'avons trouvé aucune réponse dans les 170 informations que nous avons traitées», explique l'agent Pierre Quintal.
Le transfert des appels à la ligne Info-Crime Québec la semaine dernière a cependant permis d'obtenir une douzaine d'informations supplémentaires.
Selon le mari de Diane Grégoire, Paul Laplante, celui-ci l'a laissée le matin du 31 janvier aux Promenades Saint-Bruno mais elle ne s'est jamais présentée lorsqu'il est revenu pour la chercher, vers 16 h.
Conscient que certains peuvent douter de sa version, M. Laplante avait dit au Journal le 13 février qu'il était prêt à subir le test du détecteur de mensonges.
«Le polygraphe lui a été offert mais jusqu'à maintenant, il ne l'a pas accepté», a simplement indiqué M. Quintal.
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