TQS Faillite
Modérateur : Elise-Gisèle
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MountainCougar
- Modeste Jacasseur
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- Inscription : mar. déc. 11, 2007 1:00 am
J'espere . . . pis faut aussi qui nous donne des bon programme de qualité ! Pour l'instant tout ce que je trouve interessant c'est les simpsons , 450 chemin du golf , 110 % , les nouvelle du soir avec jean-luc , cafeine pis loft story bien evidament . Le reste est sans interet surtout les vieux films poche qu'on a deja trop vu
apbt a écritÇa doit pas leur faire un pli la soi-disant fausse victoire de Cass et les revendications à ce sujet
Mettons qu'ils ont d'autres chats à fouetter en urgence ?
Mettons qu'ils ont d'autres chats à fouetter en urgence ?
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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TQS est en faillite mais ps encore mort. La mise sous la protection de la faillite annoncée hier leur permettra d'avoir du temps afin de pouvoir trouver un acheteur. Le problème est le grand contrôle du CRTC et l'arrivée des chaînes spécialisées qui vient diluer la part des publicités. Le fait aussi que les cablodistributeurs ou par satelitte ne versent pas de redevances (au contraire d'avec des chaînes spécialisées) au chaînets dites généralistes. L'arrivée et les obligations s'y rattachant de la haute définition demandent aussi d'important fonds.
Il est possible qu'un "major" du genre de Global soit intéressé et ait les fonds requis pour lui faire passer le cap. Une dette de 65 millions de $$$ est relativement pas beaucoup si on ne connaît pas les avoir (équipements, équipe, part de marché etc...). Regardez juste Air Canada qui va pas mal mieux depuis qu'elle a vécu la même chose.
Je ne suis pas trop inquiet pour TQS, ça va brasser, les employés vont sans doute y gouter, ils vont perdre des investisseurs et des fournisseurs, mais ils devraient survivre et pourraient même recevoir le support de la Caisse de dépôt ou du Fonds de Solidarité de la FTQ, ou de celui de la CSN, car il y a un avenir dans les communications. De toutes manière, ils vont avoir besoin d'un investissement majeur pour la HD.
Il est possible qu'un "major" du genre de Global soit intéressé et ait les fonds requis pour lui faire passer le cap. Une dette de 65 millions de $$$ est relativement pas beaucoup si on ne connaît pas les avoir (équipements, équipe, part de marché etc...). Regardez juste Air Canada qui va pas mal mieux depuis qu'elle a vécu la même chose.
Je ne suis pas trop inquiet pour TQS, ça va brasser, les employés vont sans doute y gouter, ils vont perdre des investisseurs et des fournisseurs, mais ils devraient survivre et pourraient même recevoir le support de la Caisse de dépôt ou du Fonds de Solidarité de la FTQ, ou de celui de la CSN, car il y a un avenir dans les communications. De toutes manière, ils vont avoir besoin d'un investissement majeur pour la HD.
Chroniques Jean-Philippe Décarie
Qui peut sauver TQS?
L’avenir est sombre pour le Mouton noir de la télévision. Après avoir raté une ultime opération-sauvetage qu’elle avait lancée en octobre dernier pour sauver TQS, Cogeco n’a eu d’autre choix que de larguer la chaîne de télé généraliste qu’elle supportait à bout de bras depuis six ans maintenant.
En ayant recours à la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies, derrière laquelle elle a placé hier sa filiale TQS, Cogeco a définitivement sonné le glas de son engagement à l’endroit de la chaîne télé qu’elle avait achetée de Quebecor en septembre 2001.
Confrontée à un environnement qui lui devenait chaque année de plus en plus hostile, Cogeco a été incapable de rentabiliser la dernière-née des chaînes généralistes québécoises qui cumulait des pertes annuelles de 5 millions.
La détérioration de la situation de TQS, selon Louis Audet, le PDG de Cogeco, est notamment attribuable au comportement de la Société Radio-Canada qui s’est non seulement transformée au fil des ans en concurrent commercial mais qui a aussi décidé de mettre fin à son affiliation aux stations de TQS à Saguenay, Sherbrooke et Trois-Rivières.
M. Audet a poliment rappelé hier que la nouvelle orientation commerciale de la SRC en vigueur depuis 2004 avait ravi à TQS du contenu tout autant que des revenus publicitaires.
René Guimond, le PDG du Mouton noir, a renchéri en précisant que la société d’État avait sensiblement les mêmes cotes d’écoute que son réseau privé (12,9 % vs 11,4 %), mais que la SRC disposait de quatre fois ses budgets d’opération largement financés à même l’argent des contribuables.
Une vente improbable
Ce n’est certes pas de gaieté de coeur que Louis Audet a décidé de mettre un terme à l’association de Cogeco à la gestion de stations de télévision. L’entreprise fondée par son père Henri a débuté ses opérations au début des années 50 à Trois-Rivières, là où il a ouvert la première station de télévision, la câblodistribution étant venue par la suite.
Lorque Cogeco s’est associée à Bell Globemedia en 2001 pour faire l’acquisition de TQS, au coût de 74 M$, la contribution financière de Cogeco incluait le partage de la propriété de ses six stations de télé qu’elle opérait au Québec.
En larguant TQS comme il l’a fait hier, Louis Audet a décidé de faire une croix sur ces actifs «patrimoniaux» et de quitter le monde la télévision.
Si le PDG de Cogeco souhaite par ailleurs sincèrement qu’un racheteur se pointe pour sauver TQS de la faillite, il serait pour le moins surprenant qu’un acquéreur se manifeste alors que personne n’a répondu aux appels de Marchés mondiaux CIBC qui avait le mandat de solliciter des acheteurs potentiels.
Les raisons qui ont motivé le retrait de Cogeco de TQS sont les mêmes qui empêchent la réalisation d’une transaction potentielle. La fragmentation du marché publicitaire en raison de la multiplication des chaînes spécialisées et de l’émergence d’Internet et l’interdiction pour les chaînes généralistes de percevoir des frais d’abonnement comme en perçoivent pourtant les canaux spécialisés interdisent à TQS d’envisager la profitabilité à court terme.
Seul un joueur fortuné comme Power Corporation, propriétaire de Gesca, qui a des journaux dans chacun des marchés où TQS opère une station de télé, pourrait s’intéresser à la chaîne francophone et y trouver une fonction potentiellement rentable.
Gesca, qui a maintes fois décrié la stratégie de convergence pratiquée par son concurrent Quebecor - plus par envie et par manque de moyens d’y répliquer correctement que par une réelle opposition à une trop forte concentration des médias -, pourrait bâtir à partir du réseau de TQS et de sa chaîne de journaux son propre modèle de contenus.
Chose certaine, le Mouton noir est peut-être malade, on ne lui souhaite pas de passer à l’abattoir pour autant.
Qui peut sauver TQS?
L’avenir est sombre pour le Mouton noir de la télévision. Après avoir raté une ultime opération-sauvetage qu’elle avait lancée en octobre dernier pour sauver TQS, Cogeco n’a eu d’autre choix que de larguer la chaîne de télé généraliste qu’elle supportait à bout de bras depuis six ans maintenant.
En ayant recours à la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies, derrière laquelle elle a placé hier sa filiale TQS, Cogeco a définitivement sonné le glas de son engagement à l’endroit de la chaîne télé qu’elle avait achetée de Quebecor en septembre 2001.
Confrontée à un environnement qui lui devenait chaque année de plus en plus hostile, Cogeco a été incapable de rentabiliser la dernière-née des chaînes généralistes québécoises qui cumulait des pertes annuelles de 5 millions.
La détérioration de la situation de TQS, selon Louis Audet, le PDG de Cogeco, est notamment attribuable au comportement de la Société Radio-Canada qui s’est non seulement transformée au fil des ans en concurrent commercial mais qui a aussi décidé de mettre fin à son affiliation aux stations de TQS à Saguenay, Sherbrooke et Trois-Rivières.
M. Audet a poliment rappelé hier que la nouvelle orientation commerciale de la SRC en vigueur depuis 2004 avait ravi à TQS du contenu tout autant que des revenus publicitaires.
René Guimond, le PDG du Mouton noir, a renchéri en précisant que la société d’État avait sensiblement les mêmes cotes d’écoute que son réseau privé (12,9 % vs 11,4 %), mais que la SRC disposait de quatre fois ses budgets d’opération largement financés à même l’argent des contribuables.
Une vente improbable
Ce n’est certes pas de gaieté de coeur que Louis Audet a décidé de mettre un terme à l’association de Cogeco à la gestion de stations de télévision. L’entreprise fondée par son père Henri a débuté ses opérations au début des années 50 à Trois-Rivières, là où il a ouvert la première station de télévision, la câblodistribution étant venue par la suite.
Lorque Cogeco s’est associée à Bell Globemedia en 2001 pour faire l’acquisition de TQS, au coût de 74 M$, la contribution financière de Cogeco incluait le partage de la propriété de ses six stations de télé qu’elle opérait au Québec.
En larguant TQS comme il l’a fait hier, Louis Audet a décidé de faire une croix sur ces actifs «patrimoniaux» et de quitter le monde la télévision.
Si le PDG de Cogeco souhaite par ailleurs sincèrement qu’un racheteur se pointe pour sauver TQS de la faillite, il serait pour le moins surprenant qu’un acquéreur se manifeste alors que personne n’a répondu aux appels de Marchés mondiaux CIBC qui avait le mandat de solliciter des acheteurs potentiels.
Les raisons qui ont motivé le retrait de Cogeco de TQS sont les mêmes qui empêchent la réalisation d’une transaction potentielle. La fragmentation du marché publicitaire en raison de la multiplication des chaînes spécialisées et de l’émergence d’Internet et l’interdiction pour les chaînes généralistes de percevoir des frais d’abonnement comme en perçoivent pourtant les canaux spécialisés interdisent à TQS d’envisager la profitabilité à court terme.
Seul un joueur fortuné comme Power Corporation, propriétaire de Gesca, qui a des journaux dans chacun des marchés où TQS opère une station de télé, pourrait s’intéresser à la chaîne francophone et y trouver une fonction potentiellement rentable.
Gesca, qui a maintes fois décrié la stratégie de convergence pratiquée par son concurrent Quebecor - plus par envie et par manque de moyens d’y répliquer correctement que par une réelle opposition à une trop forte concentration des médias -, pourrait bâtir à partir du réseau de TQS et de sa chaîne de journaux son propre modèle de contenus.
Chose certaine, le Mouton noir est peut-être malade, on ne lui souhaite pas de passer à l’abattoir pour autant.
TQS est le pire de ce qui se fait en télé. Depuis son avénement, la qualité des autres télés se sont empirés parce que TQS est tres sensationnaliste et a peu de budget. TVa est est aussi sensationnaliste... mais a un budget monstre. Radio-canada depuis des années baise la qualité des émissions... pour atteinde l absurde cote d ecoute. Ya que télé québec qui emplie son mandat honorablement --Message edité par Xtian b le 2007-12-19 14:32:23--
Il ne faut jamais oublier que Radio-Canada est presque au même niveau de côte d'écoute que TQS mais a 10 fois plus de budget car l'Argent vient des contribuables et des annonceurs ce qui n'est pas le cas de TQS. On ne peut donc pas comparer les deux.
La seule solution reste dans la liquidatio des dettes de TQS par une faillite et sa relance par un gros joueur canadien (je pense à Global) surtout si le CRTC accepte d'obliger le cablo-distributeurs et les vendeurs de signaux satellites a versé des redevances aux canal généraux comme TQS. --Message edité par Robertito le 2007-12-19 15:32:24--
La seule solution reste dans la liquidatio des dettes de TQS par une faillite et sa relance par un gros joueur canadien (je pense à Global) surtout si le CRTC accepte d'obliger le cablo-distributeurs et les vendeurs de signaux satellites a versé des redevances aux canal généraux comme TQS. --Message edité par Robertito le 2007-12-19 15:32:24--
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Beaucerveau
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1040
- Inscription : mar. oct. 09, 2007 12:00 am
Une fois que les créanciers se seront assis sur leurs dettes et auront acceptés d'être payés à 20 ou 30 % des dettes, TQS va redevenir intéressant pour un investisseur. Surtout que grosse discussion on lieu en secret en cours entre Québec et le fédéral pour forcer le ctrc a accepter de verser des redevances ces canaux généralistes.
Ca prendra pas grand chose pour que TQS revienne en avant.
Ca prendra pas grand chose pour que TQS revienne en avant.
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Carpe Diem
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1013
- Inscription : lun. oct. 29, 2007 12:00 am
Diaz a écritc'est mal parti, le mouton noir devenu mouton de panurge !
mais bon..
Comme l'a écrit Stéphane Laporte, avec toutes les coupures que TQS a été obligé de faire jusqu'à maintenant, on ne parlera plus de TQS mais bien de TDS pour Télévision Deux Saisons...
mais bon..
Comme l'a écrit Stéphane Laporte, avec toutes les coupures que TQS a été obligé de faire jusqu'à maintenant, on ne parlera plus de TQS mais bien de TDS pour Télévision Deux Saisons...
Les gens, les choses, les événements ont le pouvoir qu'on leur accorde
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J'ai connu quelqu'un qui a fait 3 faillite et maintenant il est millionnaire à nouveau qui m'a dit un jour quand ça allait mal et que je lui ai parlé de faire faillite qui m'a dit une chose qui m'est resté en tête, la bonne chose avec une faillite c'est que tu n'as plus de dette et comme tu ne pouvais plus emprunter avant car tu étais loadés, tu es maintenant chanceux de ne plus avoir de dettes, tu attend 3 ou 4 ans et tu repart à nouveau.
QUand tu vaux 100 000 $ c'st beaucoup mais c'est rien que de clearer 68 millions de dettes d'un coup sec. Quand tu dois 68 millions de $$$$ les banques te parlent et veulent t'écouter. Quand tu vaux 100 000 $ y veulent juste en finir avec toi.
QUand tu vaux 100 000 $ c'st beaucoup mais c'est rien que de clearer 68 millions de dettes d'un coup sec. Quand tu dois 68 millions de $$$$ les banques te parlent et veulent t'écouter. Quand tu vaux 100 000 $ y veulent juste en finir avec toi.