Publié : ven. févr. 10, 2006 5:49 am
Red Ketchup a écrit
Voilà bien un exemple d'où peut mener une mauvaise compréhension d'un texte.
Qu'une chose soit abrutissante ne fait pas pour autant, automatiquement, un abruti. Je n'ai pas traiter les gens d'abrutit mais parler de chose qui abrutissent.
J'avais bien compris, mais je trouve que la marge est parfois très mince entre les deux, et c'est pourquoi j'ai réagit..
Ceci étant dit, je ne comprends pas moi-même l'attirance que j'éprouve envers les shows de ce genre...
En fait, je trouve intéressant les interactions entre les participants, et je ne pense pas vraiment plus loin que le bout de mon nez quant aux ''séquelles'' qu'ils pourraient avoir. Ils sont des adultes consentants, et surtout dans la mesure ou il s'agit d'une deuxième édition, ils sont au courant de ce qui les attend.
La comparaison avec les camps nazi ne tient pas non plus, puisque les prisonniers n'étaient en aucun cas consentant, ils ne pouvaient pas quitter si la pression était trop forte, et l'enjeu n'était pas de perdre ou de gagner 50 000, ou une maison, ou un voyage... Ils devaient se trahir, parfois même trahir un enfant ou une mère, pour espérer vivre. On en est quand même loin... (Et là, il s'agit d'une réponse au philosophe et non à toi, Red Ketchup)...
Bye
Voilà bien un exemple d'où peut mener une mauvaise compréhension d'un texte.
Qu'une chose soit abrutissante ne fait pas pour autant, automatiquement, un abruti. Je n'ai pas traiter les gens d'abrutit mais parler de chose qui abrutissent.
J'avais bien compris, mais je trouve que la marge est parfois très mince entre les deux, et c'est pourquoi j'ai réagit..
Ceci étant dit, je ne comprends pas moi-même l'attirance que j'éprouve envers les shows de ce genre...
En fait, je trouve intéressant les interactions entre les participants, et je ne pense pas vraiment plus loin que le bout de mon nez quant aux ''séquelles'' qu'ils pourraient avoir. Ils sont des adultes consentants, et surtout dans la mesure ou il s'agit d'une deuxième édition, ils sont au courant de ce qui les attend.
La comparaison avec les camps nazi ne tient pas non plus, puisque les prisonniers n'étaient en aucun cas consentant, ils ne pouvaient pas quitter si la pression était trop forte, et l'enjeu n'était pas de perdre ou de gagner 50 000, ou une maison, ou un voyage... Ils devaient se trahir, parfois même trahir un enfant ou une mère, pour espérer vivre. On en est quand même loin... (Et là, il s'agit d'une réponse au philosophe et non à toi, Red Ketchup)...
Bye