Nikki. a écrit
Entre être parfait et avoir commis des ''voies de fait sur deux jeunes dont tu as la responsabilité'', il y a tout un monde de nuances qui permet de justement avoir un esprit critique.
Il y a des types d'emplois qui exigent que tu sois clean avant de les pratiquer... Pareil pour certains endroits...
Oui, selon moi il y a des gens moins vertueux que d'autres, et un prêtre qui a déjà lui-même péché est selon moi bien mal placé pour condamner ce qu'il perçoit être un péché chez les autres...
Je suis absolument d'accord avec tes propos.Ça me rejoint ce que tu as écrit.
Morgentaler décoré bientôt
ploloto a écrit
Dire de Dieu qu’il veut ceci ou cela, parler en son nom parce qu’on se sent imbus de l’esprit saint, sans compter l’affirmation qu’il nous attend au bout du chemin comme le juge derrière son bureau avec son marteau, je ne sais pas pour vous, mais pour moi j’ai beaucoup de difficulté avec cela.
Regarder le monde avec compassion et ne point juger ni les homosexuels ni les avortement, ni la contraception et faire l’apologie du plaisir modéré sur terre, le plaisir de ses sens, sans se mortifier en culpabilité ou en privation, avec un regard dédié à l’amour et au partage, c’est ce dont j’attendrais d’un être vraiment spirituellement sain, éducateur véritable et libéré de tout dogme sectaire, figé et prisonnier.
Mais qu’une personne comme Ingrid Betancourt parle de sa religion comme elle le fait, comme soutien, comme guide véritable en toute liberté, c’est merveilleux. La compassion sur tout et le jugement religieux sur rien, simplement la rigueur laic d’un cerveau qui réfléchit mais qui se ressource dans sa croyance, comme on peut se ressourcer dans une mare pleine de belles joies.
Aussitôt qu’un ton moralisateur prend le dessus pour donner apparence de, alors que derrière toute l’hypocrisie d’un autre comportement caché n’est pas affiché, c’est l’impression que cela laisse en trace du non-dit! C’est la trace de toute la manipulation du contenant alors que l’esprit même du contenu est pourtant si simple à comprendre!
Ah oui j’oubliais! Penser que contrôler la pulsion sexuelle, rend l’homme fidèle, non homosexuel et non pédophile, et que c’est grâce à la religion qu’on peut y arriver et qu’on évite le besoin de la contraception et de l’avortement! Holé! C’est la solution de l’Eglise pour guérir le sida? En Afrique m’a-t-on dit! Bizarre comme solution et très efficace m’a-t-on pas dit!
Très bonne réflexion
Dire de Dieu qu’il veut ceci ou cela, parler en son nom parce qu’on se sent imbus de l’esprit saint, sans compter l’affirmation qu’il nous attend au bout du chemin comme le juge derrière son bureau avec son marteau, je ne sais pas pour vous, mais pour moi j’ai beaucoup de difficulté avec cela.
Regarder le monde avec compassion et ne point juger ni les homosexuels ni les avortement, ni la contraception et faire l’apologie du plaisir modéré sur terre, le plaisir de ses sens, sans se mortifier en culpabilité ou en privation, avec un regard dédié à l’amour et au partage, c’est ce dont j’attendrais d’un être vraiment spirituellement sain, éducateur véritable et libéré de tout dogme sectaire, figé et prisonnier.
Mais qu’une personne comme Ingrid Betancourt parle de sa religion comme elle le fait, comme soutien, comme guide véritable en toute liberté, c’est merveilleux. La compassion sur tout et le jugement religieux sur rien, simplement la rigueur laic d’un cerveau qui réfléchit mais qui se ressource dans sa croyance, comme on peut se ressourcer dans une mare pleine de belles joies.
Aussitôt qu’un ton moralisateur prend le dessus pour donner apparence de, alors que derrière toute l’hypocrisie d’un autre comportement caché n’est pas affiché, c’est l’impression que cela laisse en trace du non-dit! C’est la trace de toute la manipulation du contenant alors que l’esprit même du contenu est pourtant si simple à comprendre!
Ah oui j’oubliais! Penser que contrôler la pulsion sexuelle, rend l’homme fidèle, non homosexuel et non pédophile, et que c’est grâce à la religion qu’on peut y arriver et qu’on évite le besoin de la contraception et de l’avortement! Holé! C’est la solution de l’Eglise pour guérir le sida? En Afrique m’a-t-on dit! Bizarre comme solution et très efficace m’a-t-on pas dit!
Très bonne réflexion
«Aimer c'est la moitié de Croire.»
Je suis reconnaissante pour ce que le docteur Morgentaler à fait puisque j'ai eu à passer par un avortement aussi il y a 3 ans de cela. Et à 8 semaines cela avait été très douloureux pareille.
Par contre, je suis contre la majorité des avortements, et je compte le mien dans le lot. L'avortement doit exister pour les cas où il y a eu viol, où les mères sont en mauvaise santé et qu'un accouchement pourraient mettre sa vie ou celle du bébé en danger, que la mère est trop agée ou trop jeune. Mais les autres avortements, c'est des choix qui sont souvent influencer par notre environnement et non par nos valeurs ce qui fait que le deuil peut-être très longtemps et très douloureux. Dans mon cas, je me suis faite avorter car mon conjoint, et nous sommes toujours ensemble, m'avait fait comprendre que c'était trop tôt pour lui mais qu'il accepterai la décision que je prendrai. Sachant ça, on ajoute le fait que j'étais encore à l'école, en apparte, etc. Alors j'ai finalement renoncer même si mes valeurs ne voulaient pas (c'est dans les valeur même de notre société qu'il est mal de tué un être vivant alors qui peux vraiment être content d'un avortement au plus profond de lui même ?), je ne pouvais tout simplement pas les imposer à mon conjoint et à nos familles. L'avortement à été douloureux et au tout début, tout allait bien, c'était comme si rien ne c'était passé mais 1 ans plus tard, mon deuil est revenu à la charge et j'ai du consulter jusqu'à tout récemment.
Alors maintenant que j'ai terminé les études, que mon conjoint est prêt à avoir des enfants, je me dit, pourquoi avoir avorter au tout départ et avoir à souffrir psychologiquement durant toutes ces années pour finalement en arriver à la même chose. Je crois que dans bien des cas on se trouve des raisons car on à peur de la grossesse et de ces répercussion sur notre vie, et on pense que l'avortement n'en aura aucune, ce qui est tout a fait faux même si on le ressens pas tout de suite, les lectures que j'ai faite à ce sujet révèlent que 80% des femmes se fesant avorter doivent consulter un jour ou l'autre.
D'après moi, la société banalise la douleur psychologique, comme les burn-out, la dépression, etc. C'est très dur et il faut chercher à la contrer.
Et penser que le simple fait de vouloir ou pas un enfant peux lui garantir une meilleur vie c'est se mettre le doigt dans l'oeil. La plus part des couples divorce dans les premières années suivants la naissances des enfants. Et la c'est sans compter tout les personnes qui veulent des enfants et qui les mal traitent, qui les violent, qui ne s'en occupe pas. Ceux qui ont des enfants pour avoir plus de bs, de bourses d'étude, d'allocation familiale, pour garder son conjoint même si ça ne marche plus. Le simple fait de ne pas vouloir l'enfant au départ ne veux pas dire qu'il a plus de chance d'être maltraité par la suite. Beaucoup de mère admette que leur enfants ont changer leur vie positivement. Qu'elles se forcent à mieux vivre pour leur enfant. Qu'avant d'avoir un enfant, leur vie n'avait pas vraiment de sens, ni de but.
Et que dire de tout ces couples qui sont infertiles et qui voudraient pouvoir adopté plus facilement mais qui doivent attendre des années et payés des dizaine de millier de dollars. Psychologiquement je sais que ce serait aussi difficile pour la mère de se séparer de l'enfant mais au moins la société économiserait un avortement coûteux et un traitement de fertilité encore plus coûteux.
Ce qui est encore pire, c'est celles qui se font avorter à répétition. J'ai lu qu'il s'agissait d'un symtôme de dépression non-traité à la suite du premier avortement. --Message edité par ely le 2008-07-06 11:10:10--
Par contre, je suis contre la majorité des avortements, et je compte le mien dans le lot. L'avortement doit exister pour les cas où il y a eu viol, où les mères sont en mauvaise santé et qu'un accouchement pourraient mettre sa vie ou celle du bébé en danger, que la mère est trop agée ou trop jeune. Mais les autres avortements, c'est des choix qui sont souvent influencer par notre environnement et non par nos valeurs ce qui fait que le deuil peut-être très longtemps et très douloureux. Dans mon cas, je me suis faite avorter car mon conjoint, et nous sommes toujours ensemble, m'avait fait comprendre que c'était trop tôt pour lui mais qu'il accepterai la décision que je prendrai. Sachant ça, on ajoute le fait que j'étais encore à l'école, en apparte, etc. Alors j'ai finalement renoncer même si mes valeurs ne voulaient pas (c'est dans les valeur même de notre société qu'il est mal de tué un être vivant alors qui peux vraiment être content d'un avortement au plus profond de lui même ?), je ne pouvais tout simplement pas les imposer à mon conjoint et à nos familles. L'avortement à été douloureux et au tout début, tout allait bien, c'était comme si rien ne c'était passé mais 1 ans plus tard, mon deuil est revenu à la charge et j'ai du consulter jusqu'à tout récemment.
Alors maintenant que j'ai terminé les études, que mon conjoint est prêt à avoir des enfants, je me dit, pourquoi avoir avorter au tout départ et avoir à souffrir psychologiquement durant toutes ces années pour finalement en arriver à la même chose. Je crois que dans bien des cas on se trouve des raisons car on à peur de la grossesse et de ces répercussion sur notre vie, et on pense que l'avortement n'en aura aucune, ce qui est tout a fait faux même si on le ressens pas tout de suite, les lectures que j'ai faite à ce sujet révèlent que 80% des femmes se fesant avorter doivent consulter un jour ou l'autre.
D'après moi, la société banalise la douleur psychologique, comme les burn-out, la dépression, etc. C'est très dur et il faut chercher à la contrer.
Et penser que le simple fait de vouloir ou pas un enfant peux lui garantir une meilleur vie c'est se mettre le doigt dans l'oeil. La plus part des couples divorce dans les premières années suivants la naissances des enfants. Et la c'est sans compter tout les personnes qui veulent des enfants et qui les mal traitent, qui les violent, qui ne s'en occupe pas. Ceux qui ont des enfants pour avoir plus de bs, de bourses d'étude, d'allocation familiale, pour garder son conjoint même si ça ne marche plus. Le simple fait de ne pas vouloir l'enfant au départ ne veux pas dire qu'il a plus de chance d'être maltraité par la suite. Beaucoup de mère admette que leur enfants ont changer leur vie positivement. Qu'elles se forcent à mieux vivre pour leur enfant. Qu'avant d'avoir un enfant, leur vie n'avait pas vraiment de sens, ni de but.
Et que dire de tout ces couples qui sont infertiles et qui voudraient pouvoir adopté plus facilement mais qui doivent attendre des années et payés des dizaine de millier de dollars. Psychologiquement je sais que ce serait aussi difficile pour la mère de se séparer de l'enfant mais au moins la société économiserait un avortement coûteux et un traitement de fertilité encore plus coûteux.
Ce qui est encore pire, c'est celles qui se font avorter à répétition. J'ai lu qu'il s'agissait d'un symtôme de dépression non-traité à la suite du premier avortement. --Message edité par ely le 2008-07-06 11:10:10--
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Ely a écritJe suis reconnaissante pour ce que le docteur Morgentaler à fait puisque j'ai eu à passer par un avortement aussi il y a 3 ans de cela. Et à 8 semaines cela avait été très douloureux pareille.
Par contre, je suis contre la majorité des avortements, et je compte le mien dans le lot. L'avortement doit exister pour les cas où il y a eu viol, où les mères sont en mauvaise santé et qu'un accouchement pourraient mettre sa vie ou celle du bébé en danger, que la mère est trop agée ou trop jeune. Mais les autres avortements, c'est des choix qui sont souvent influencer par notre environnement et non par nos valeurs ce qui fait que le deuil peut-être très longtemps et très douloureux. Dans mon cas, je me suis faite avorter car mon conjoint, et nous sommes toujours ensemble, m'avait fait comprendre que c'était trop tôt pour lui mais qu'il accepterai la décision que je prendrai. Sachant ça, on ajoute le fait que j'étais encore à l'école, en apparte, etc. Alors j'ai finalement renoncer même si mes valeurs ne voulaient pas (c'est dans les valeur même de notre société qu'il est mal de tué un être vivant alors qui peux vraiment être content d'un avortement au plus profond de lui même ?), je ne pouvais tout simplement pas les imposer à mon conjoint et à nos familles. L'avortement à été douloureux et au tout début, tout allait bien, c'était comme si rien ne c'était passé mais 1 ans plus tard, mon deuil est revenu à la charge et j'ai du consulter jusqu'à tout récemment.
Alors maintenant que j'ai terminé les études, que mon conjoint est prêt à avoir des enfants, je me dit, pourquoi avoir avorter au tout départ et avoir à souffrir psychologiquement durant toutes ces années pour finalement en arriver à la même chose. Je crois que dans bien des cas on se trouve des raisons car on à peur de la grossesse et de ces répercussion sur notre vie, et on pense que l'avortement n'en aura aucune, ce qui est tout a fait faux même si on le ressens pas tout de suite, les lectures que j'ai faite à ce sujet révèlent que 80% des femmes se fesant avorter doivent consulter un jour ou l'autre.
D'après moi, la société banalise la douleur psychologique, comme les burn-out, la dépression, etc. C'est très dur et il faut chercher à la contrer.
Et penser que le simple fait de vouloir ou pas un enfant peux lui garantir une meilleur vie c'est se mettre le doigt dans l'oeil. La plus part des couples divorce dans les premières années suivants la naissances des enfants. Et la c'est sans compter tout les personnes qui veulent des enfants et qui les mal traitent, qui les violent, qui ne s'en occupe pas. Ceux qui ont des enfants pour avoir plus de bs, de bourses d'étude, d'allocation familiale, pour garder son conjoint même si ça ne marche plus. Le simple fait de ne pas vouloir l'enfant au départ ne veux pas dire qu'il a plus de chance d'être maltraité par la suite. Beaucoup de mère admette que leur enfants ont changer leur vie positivement. Qu'elles se forcent à mieux vivre pour leur enfant. Qu'avant d'avoir un enfant, leur vie n'avait pas vraiment de sens, ni de but.
Et que dire de tout ces couples qui sont infertiles et qui voudraient pouvoir adopté plus facilement mais qui doivent attendre des années et payés des dizaine de millier de dollars. Psychologiquement je sais que ce serait aussi difficile pour la mère de se séparer de l'enfant mais au moins la société économiserait un avortement coûteux et un traitement de fertilité encore plus coûteux.
Ce qui est encore pire, c'est celles qui se font avorter à répétition. J'ai lu qu'il s'agissait d'un symtôme de dépression non-traité à la suite du premier avortement.
Merci pour avoir partager ton vécu avec nous.
Par contre, je suis contre la majorité des avortements, et je compte le mien dans le lot. L'avortement doit exister pour les cas où il y a eu viol, où les mères sont en mauvaise santé et qu'un accouchement pourraient mettre sa vie ou celle du bébé en danger, que la mère est trop agée ou trop jeune. Mais les autres avortements, c'est des choix qui sont souvent influencer par notre environnement et non par nos valeurs ce qui fait que le deuil peut-être très longtemps et très douloureux. Dans mon cas, je me suis faite avorter car mon conjoint, et nous sommes toujours ensemble, m'avait fait comprendre que c'était trop tôt pour lui mais qu'il accepterai la décision que je prendrai. Sachant ça, on ajoute le fait que j'étais encore à l'école, en apparte, etc. Alors j'ai finalement renoncer même si mes valeurs ne voulaient pas (c'est dans les valeur même de notre société qu'il est mal de tué un être vivant alors qui peux vraiment être content d'un avortement au plus profond de lui même ?), je ne pouvais tout simplement pas les imposer à mon conjoint et à nos familles. L'avortement à été douloureux et au tout début, tout allait bien, c'était comme si rien ne c'était passé mais 1 ans plus tard, mon deuil est revenu à la charge et j'ai du consulter jusqu'à tout récemment.
Alors maintenant que j'ai terminé les études, que mon conjoint est prêt à avoir des enfants, je me dit, pourquoi avoir avorter au tout départ et avoir à souffrir psychologiquement durant toutes ces années pour finalement en arriver à la même chose. Je crois que dans bien des cas on se trouve des raisons car on à peur de la grossesse et de ces répercussion sur notre vie, et on pense que l'avortement n'en aura aucune, ce qui est tout a fait faux même si on le ressens pas tout de suite, les lectures que j'ai faite à ce sujet révèlent que 80% des femmes se fesant avorter doivent consulter un jour ou l'autre.
D'après moi, la société banalise la douleur psychologique, comme les burn-out, la dépression, etc. C'est très dur et il faut chercher à la contrer.
Et penser que le simple fait de vouloir ou pas un enfant peux lui garantir une meilleur vie c'est se mettre le doigt dans l'oeil. La plus part des couples divorce dans les premières années suivants la naissances des enfants. Et la c'est sans compter tout les personnes qui veulent des enfants et qui les mal traitent, qui les violent, qui ne s'en occupe pas. Ceux qui ont des enfants pour avoir plus de bs, de bourses d'étude, d'allocation familiale, pour garder son conjoint même si ça ne marche plus. Le simple fait de ne pas vouloir l'enfant au départ ne veux pas dire qu'il a plus de chance d'être maltraité par la suite. Beaucoup de mère admette que leur enfants ont changer leur vie positivement. Qu'elles se forcent à mieux vivre pour leur enfant. Qu'avant d'avoir un enfant, leur vie n'avait pas vraiment de sens, ni de but.
Et que dire de tout ces couples qui sont infertiles et qui voudraient pouvoir adopté plus facilement mais qui doivent attendre des années et payés des dizaine de millier de dollars. Psychologiquement je sais que ce serait aussi difficile pour la mère de se séparer de l'enfant mais au moins la société économiserait un avortement coûteux et un traitement de fertilité encore plus coûteux.
Ce qui est encore pire, c'est celles qui se font avorter à répétition. J'ai lu qu'il s'agissait d'un symtôme de dépression non-traité à la suite du premier avortement.
Merci pour avoir partager ton vécu avec nous.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : dim. nov. 04, 2007 12:00 am
Ely a écritJe suis reconnaissante pour ce que le docteur Morgentaler à fait puisque j'ai eu à passer par un avortement aussi il y a 3 ans de cela. Et à 8 semaines cela avait été très douloureux pareille.
Par contre, je suis contre la majorité des avortements, et je compte le mien dans le lot. L'avortement doit exister pour les cas où il y a eu viol, où les mères sont en mauvaise santé et qu'un accouchement pourraient mettre sa vie ou celle du bébé en danger, que la mère est trop agée ou trop jeune. Mais les autres avortements, c'est des choix qui sont souvent influencer par notre environnement et non par nos valeurs ce qui fait que le deuil peut-être très longtemps et très douloureux. Dans mon cas, je me suis faite avorter car mon conjoint, et nous sommes toujours ensemble, m'avait fait comprendre que c'était trop tôt pour lui mais qu'il accepterai la décision que je prendrai. Sachant ça, on ajoute le fait que j'étais encore à l'école, en apparte, etc. Alors j'ai finalement renoncer même si mes valeurs ne voulaient pas (c'est dans les valeur même de notre société qu'il est mal de tué un être vivant alors qui peux vraiment être content d'un avortement au plus profond de lui même ?), je ne pouvais tout simplement pas les imposer à mon conjoint et à nos familles. L'avortement à été douloureux et au tout début, tout allait bien, c'était comme si rien ne c'était passé mais 1 ans plus tard, mon deuil est revenu à la charge et j'ai du consulter jusqu'à tout récemment.
Alors maintenant que j'ai terminé les études, que mon conjoint est prêt à avoir des enfants, je me dit, pourquoi avoir avorter au tout départ et avoir à souffrir psychologiquement durant toutes ces années pour finalement en arriver à la même chose. Je crois que dans bien des cas on se trouve des raisons car on à peur de la grossesse et de ces répercussion sur notre vie, et on pense que l'avortement n'en aura aucune, ce qui est tout a fait faux même si on le ressens pas tout de suite, les lectures que j'ai faite à ce sujet révèlent que 80% des femmes se fesant avorter doivent consulter un jour ou l'autre.
D'après moi, la société banalise la douleur psychologique, comme les burn-out, la dépression, etc. C'est très dur et il faut chercher à la contrer.
Et penser que le simple fait de vouloir ou pas un enfant peux lui garantir une meilleur vie c'est se mettre le doigt dans l'oeil. La plus part des couples divorce dans les premières années suivants la naissances des enfants. Et la c'est sans compter tout les personnes qui veulent des enfants et qui les mal traitent, qui les violent, qui ne s'en occupe pas. Ceux qui ont des enfants pour avoir plus de bs, de bourses d'étude, d'allocation familiale, pour garder son conjoint même si ça ne marche plus. Le simple fait de ne pas vouloir l'enfant au départ ne veux pas dire qu'il a plus de chance d'être maltraité par la suite. Beaucoup de mère admette que leur enfants ont changer leur vie positivement. Qu'elles se forcent à mieux vivre pour leur enfant. Qu'avant d'avoir un enfant, leur vie n'avait pas vraiment de sens, ni de but.
Et que dire de tout ces couples qui sont infertiles et qui voudraient pouvoir adopté plus facilement mais qui doivent attendre des années et payés des dizaine de millier de dollars. Psychologiquement je sais que ce serait aussi difficile pour la mère de se séparer de l'enfant mais au moins la société économiserait un avortement coûteux et un traitement de fertilité encore plus coûteux.
Ce qui est encore pire, c'est celles qui se font avorter à répétition. J'ai lu qu'il s'agissait d'un symtôme de dépression non-traité à la suite du premier avortement.
Je m'excuse à l'avance de ce que je vais dire mais c'est tellement moralisateur ce que tu dis. Tu t'es servie de l'avortemement et ensuite tu portes un jugement très dur sur celles qui le font aussi. Je ne comprends vraiment pas ou tu veux en venir
Par contre, je suis contre la majorité des avortements, et je compte le mien dans le lot. L'avortement doit exister pour les cas où il y a eu viol, où les mères sont en mauvaise santé et qu'un accouchement pourraient mettre sa vie ou celle du bébé en danger, que la mère est trop agée ou trop jeune. Mais les autres avortements, c'est des choix qui sont souvent influencer par notre environnement et non par nos valeurs ce qui fait que le deuil peut-être très longtemps et très douloureux. Dans mon cas, je me suis faite avorter car mon conjoint, et nous sommes toujours ensemble, m'avait fait comprendre que c'était trop tôt pour lui mais qu'il accepterai la décision que je prendrai. Sachant ça, on ajoute le fait que j'étais encore à l'école, en apparte, etc. Alors j'ai finalement renoncer même si mes valeurs ne voulaient pas (c'est dans les valeur même de notre société qu'il est mal de tué un être vivant alors qui peux vraiment être content d'un avortement au plus profond de lui même ?), je ne pouvais tout simplement pas les imposer à mon conjoint et à nos familles. L'avortement à été douloureux et au tout début, tout allait bien, c'était comme si rien ne c'était passé mais 1 ans plus tard, mon deuil est revenu à la charge et j'ai du consulter jusqu'à tout récemment.
Alors maintenant que j'ai terminé les études, que mon conjoint est prêt à avoir des enfants, je me dit, pourquoi avoir avorter au tout départ et avoir à souffrir psychologiquement durant toutes ces années pour finalement en arriver à la même chose. Je crois que dans bien des cas on se trouve des raisons car on à peur de la grossesse et de ces répercussion sur notre vie, et on pense que l'avortement n'en aura aucune, ce qui est tout a fait faux même si on le ressens pas tout de suite, les lectures que j'ai faite à ce sujet révèlent que 80% des femmes se fesant avorter doivent consulter un jour ou l'autre.
D'après moi, la société banalise la douleur psychologique, comme les burn-out, la dépression, etc. C'est très dur et il faut chercher à la contrer.
Et penser que le simple fait de vouloir ou pas un enfant peux lui garantir une meilleur vie c'est se mettre le doigt dans l'oeil. La plus part des couples divorce dans les premières années suivants la naissances des enfants. Et la c'est sans compter tout les personnes qui veulent des enfants et qui les mal traitent, qui les violent, qui ne s'en occupe pas. Ceux qui ont des enfants pour avoir plus de bs, de bourses d'étude, d'allocation familiale, pour garder son conjoint même si ça ne marche plus. Le simple fait de ne pas vouloir l'enfant au départ ne veux pas dire qu'il a plus de chance d'être maltraité par la suite. Beaucoup de mère admette que leur enfants ont changer leur vie positivement. Qu'elles se forcent à mieux vivre pour leur enfant. Qu'avant d'avoir un enfant, leur vie n'avait pas vraiment de sens, ni de but.
Et que dire de tout ces couples qui sont infertiles et qui voudraient pouvoir adopté plus facilement mais qui doivent attendre des années et payés des dizaine de millier de dollars. Psychologiquement je sais que ce serait aussi difficile pour la mère de se séparer de l'enfant mais au moins la société économiserait un avortement coûteux et un traitement de fertilité encore plus coûteux.
Ce qui est encore pire, c'est celles qui se font avorter à répétition. J'ai lu qu'il s'agissait d'un symtôme de dépression non-traité à la suite du premier avortement.
Je m'excuse à l'avance de ce que je vais dire mais c'est tellement moralisateur ce que tu dis. Tu t'es servie de l'avortemement et ensuite tu portes un jugement très dur sur celles qui le font aussi. Je ne comprends vraiment pas ou tu veux en venir
La Sulfureuse a écrit
Je m'excuse à l'avance de ce que je vais dire mais c'est tellement moralisateur ce que tu dis. Tu t'es servie de l'avortemement et ensuite tu portes un jugement très dur sur celles qui le font aussi. Je ne comprends vraiment pas ou tu veux en venir
Je ne porte pas le blame sur celle qui le font, au contraire, je veux seulement démentir la pensé magique qu'a la société. L'avortement n'est pas une solution magique qui n'a aucune conséquence sur notre santé. Avoir un enfant peux poser des problèmes mais plusieurs femmes ne s'attendent pas à en avoir autant après un avortement aussi. Les femmes sont mal informer sur ce point je crois et c'est ce que je voulais faire voir dans mon témoignage. Que, entre les problèmes d'avoir un enfant à un moment moins opportun et les problèmes psychologiques suivant un avortement, je crois que dans bien des cas ça ne vaut pas le coup de se faire avorter.
Je m'excuse à l'avance de ce que je vais dire mais c'est tellement moralisateur ce que tu dis. Tu t'es servie de l'avortemement et ensuite tu portes un jugement très dur sur celles qui le font aussi. Je ne comprends vraiment pas ou tu veux en venir
Je ne porte pas le blame sur celle qui le font, au contraire, je veux seulement démentir la pensé magique qu'a la société. L'avortement n'est pas une solution magique qui n'a aucune conséquence sur notre santé. Avoir un enfant peux poser des problèmes mais plusieurs femmes ne s'attendent pas à en avoir autant après un avortement aussi. Les femmes sont mal informer sur ce point je crois et c'est ce que je voulais faire voir dans mon témoignage. Que, entre les problèmes d'avoir un enfant à un moment moins opportun et les problèmes psychologiques suivant un avortement, je crois que dans bien des cas ça ne vaut pas le coup de se faire avorter.
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Ely a écrit
Je ne porte pas le blame sur celle qui le font, au contraire, je veux seulement démentir la pensé magique qu'a la société. L'avortement n'est pas une solution magique qui n'a aucune conséquence sur notre santé. Avoir un enfant peux poser des problèmes mais plusieurs femmes ne s'attendent pas à en avoir autant après un avortement aussi. Les femmes sont mal informer sur ce point je crois et c'est ce que je voulais faire voir dans mon témoignage. Que, entre les problèmes d'avoir un enfant à un moment moins opportun et les problèmes psychologiques suivant un avortement, je crois que dans bien des cas ça ne vaut pas le coup de se faire avorter.
Je crois comprendre dans ton témoignage que l'avortement peut sembler plus "simple" si on tombe enceinte par accident (on sait tous qu'un condom peut rester pogné et ne pas faire sa job même si on veut se protéger), par rapport à assumer le fait de devenir parent quand ce n'était pas prévu... Par contre, si on est dans un couple stable, qui prévoit avoir des enfants un jour mais qui n'est pas pas prêt à ce moment, ça ne doit vraiment pas être évident...
C'est vraiment pas facile de faire un choix mais dans ce cas; je crois que les personnes concernées sont les meilleures placées pour l'effectuer... Ça ne veut pas dire que ça se fait comme si rien n'était; ce n'est pas le genre de décision qui est facile...
Je suis pour le choix quand ça s'impose; ça n'a rien à voir avec certaines personnes inconscientes qui se font avorter à répétition faute de prendre les moyens appropriés pour leurs actes...
Je ne porte pas le blame sur celle qui le font, au contraire, je veux seulement démentir la pensé magique qu'a la société. L'avortement n'est pas une solution magique qui n'a aucune conséquence sur notre santé. Avoir un enfant peux poser des problèmes mais plusieurs femmes ne s'attendent pas à en avoir autant après un avortement aussi. Les femmes sont mal informer sur ce point je crois et c'est ce que je voulais faire voir dans mon témoignage. Que, entre les problèmes d'avoir un enfant à un moment moins opportun et les problèmes psychologiques suivant un avortement, je crois que dans bien des cas ça ne vaut pas le coup de se faire avorter.
Je crois comprendre dans ton témoignage que l'avortement peut sembler plus "simple" si on tombe enceinte par accident (on sait tous qu'un condom peut rester pogné et ne pas faire sa job même si on veut se protéger), par rapport à assumer le fait de devenir parent quand ce n'était pas prévu... Par contre, si on est dans un couple stable, qui prévoit avoir des enfants un jour mais qui n'est pas pas prêt à ce moment, ça ne doit vraiment pas être évident...
C'est vraiment pas facile de faire un choix mais dans ce cas; je crois que les personnes concernées sont les meilleures placées pour l'effectuer... Ça ne veut pas dire que ça se fait comme si rien n'était; ce n'est pas le genre de décision qui est facile...
Je suis pour le choix quand ça s'impose; ça n'a rien à voir avec certaines personnes inconscientes qui se font avorter à répétition faute de prendre les moyens appropriés pour leurs actes...