Remstar veut abolir les nouvelles à TQS
nic30 a écritLA PRESSE CANADIENNE
Remstar dépose son plan de restructuration au CRTC
Remstar invoque la situation précaire du réseau de télévision TQS pour demander au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de lui octroyer une licence de diffusion - dépourvue de l'obligation d'offrir des bulletins d'information - jusqu'en 2015.
Dans sa demande au CRTC, rendue publique vendredi, l'entreprise montréalaise dit vouloir viser un auditoire plus jeune, soit le groupe-cible des 18-49 ans.
Pour remplacer les nouvelles, les acheteurs de TQS proposent de diffuser des émissions régionales, axées sur l'actualité artistique et les «gens qui font l'événement», dans les marchés de Montréal, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières et Saguenay.
Cinq heures par semaine seraient consacrées à ces émissions à Québec, 1,5 heure à Sherbrooke, Trois-Rivières et Saguenay et 15 heures à Montréal. On entend mettre en vedette les gens des régions et les membres des communautés culturelles.
La nouvelle mouture de TQS compte également proposer des jeux questionnaires, des émissions «d'éducation informelle» et des «tribunes de nature informative». On retrouverait du sport le matin, des films l'après-midi et des dramatiques le soir.
Selon les chiffres divulgués vendredi par Remstar, les dépenses de programmation de TQS passeront de 66,9 millions $ cette année à 47,9 millions $ en 2008-09, puis à 57,2 millions $ en 2014-15. L'abolition du service de l'information se traduira pas des économies de 21,3 millions $.
Le CRTC entendra la demande de Remstar à compter du 2 juin lors d'audiences qui se tiendront à Montréal et à Québec.
Sources : Argent http://argent.canoe.com/lca/infos/quebe ... 50152.html
DONC ADIEU LOFT STORY
Remstar dépose son plan de restructuration au CRTC
Remstar invoque la situation précaire du réseau de télévision TQS pour demander au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de lui octroyer une licence de diffusion - dépourvue de l'obligation d'offrir des bulletins d'information - jusqu'en 2015.
Dans sa demande au CRTC, rendue publique vendredi, l'entreprise montréalaise dit vouloir viser un auditoire plus jeune, soit le groupe-cible des 18-49 ans.
Pour remplacer les nouvelles, les acheteurs de TQS proposent de diffuser des émissions régionales, axées sur l'actualité artistique et les «gens qui font l'événement», dans les marchés de Montréal, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières et Saguenay.
Cinq heures par semaine seraient consacrées à ces émissions à Québec, 1,5 heure à Sherbrooke, Trois-Rivières et Saguenay et 15 heures à Montréal. On entend mettre en vedette les gens des régions et les membres des communautés culturelles.
La nouvelle mouture de TQS compte également proposer des jeux questionnaires, des émissions «d'éducation informelle» et des «tribunes de nature informative». On retrouverait du sport le matin, des films l'après-midi et des dramatiques le soir.
Selon les chiffres divulgués vendredi par Remstar, les dépenses de programmation de TQS passeront de 66,9 millions $ cette année à 47,9 millions $ en 2008-09, puis à 57,2 millions $ en 2014-15. L'abolition du service de l'information se traduira pas des économies de 21,3 millions $.
Le CRTC entendra la demande de Remstar à compter du 2 juin lors d'audiences qui se tiendront à Montréal et à Québec.
Sources : Argent http://argent.canoe.com/lca/infos/quebe ... 50152.html
DONC ADIEU LOFT STORY
ARTICLE DU CRTC DANS LA CAUSE DE TQS ( si ça vous dit )
Avis d’audience publique de radiodiffusion CRTC 2008-5
Ottawa, le 25 avril 2008
Avis de consultation et d’audience
2 juin 2008
Montréal et Québec (Québec)
Date limite pour le dépôt des interventions/observations : 15 mai 2008
Le Conseil tiendra une audience publique afin d'étudier les demandes qui suivent à partir du 2 juin 2008 à 9 h à Montréal (Québec) et se poursuivra à Québec (Québec). Les lieux exacts seront publiés prochainement.
[formulaire d’intervention/d’observations - radiodiffusion]
Article Requérante et endroit
1.
TQS inc.
Jonquière, Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières (Québec)
No de demandes 2008-0594-7; 2008-0595-5; 2008-0596-3; 2008-0597-1; 2008-0599-7; 2008-0600-5; 2008-0601-0; 2008-0604-4
2.
Société Radio-Canada
Sherbrooke, Trois-Rivières, Saguenay et St-Fulgence (Québec)
No de demande 2008-0516-1
1. Jonquière, Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières (Québec)
No de demandes 2008-0594-7; 2008-0595-5; 2008-0596-3; 2008-0597-1; 2008-0599-7; 2008-0600-5; 2008-0601-0; 2008-0604-4
Demande (2008-0594-7) présentée par TQS inc. (TQS) , afin d’obtenir l’autorisation de changer son contrôle effectif, de Cogeco Radio-Télévision inc. (Cogeco) à Remstar Diffusion inc. (Remstar Diffusion), une société détenue et contrôlée à part égales par Julien et Maxime Rémillard.
Demandes (2008-0595-5; 2008-0596-3; 2008-0597-1; 2008-0599-7; 2008-0600-5; 2008-0601-0; 2008-0604-4) de TQS afin d’obtenir l’autorisation de renouveler les licences de radiodiffusion des entreprises de télévision suivantes :
CFJP-TV Montréal
CFJP-DT Montréal
CFAP-TV Québec
CFKM-TV Trois-Rivières
CFKS-TV Sherbrooke
CFRS-TV Saguenay
Réseau TQS
La requérante demande de nouvelles licences jusqu’au 31 août 2015. La requérante propose l’exploitation des stations de télévision aux mêmes conditions de licence mais avec de nouveaux engagements à compter du 1er septembre 2008. Les demandes contiennent de nouvelles propositions relatives à la programmation ainsi qu’une grille de programmation.
Modification du contrôle effectif
La transaction proposée s'effectuera par le transfert de la totalité des actions émises et en circulation de 3947424 Canada Inc., la société mère de TQS, actuellement détenue par CTV Television Inc. (CTV) (40 %) et Cogeco (60 %), à Remstar Diffusion.
Les propriétaires de Remstar Diffusion, Messieurs Julien et Maxime Rémillard, détiennent également des intérêts identiques (50 %) dans Remstar Corporation, une société canadienne indépendante de divertissement axée sur le développement, le financement, la production et la distribution de produits cinématographiques et télévisuels.
La requérante s’engage, à titre d’avantages tangibles, à verser 1 million de dollars sur une période de sept ans.
La requérante a confirmé son engagement à prendre en charge tout avantage tangible non complété résultant de l’acquisition de TQS par CTV et Cogeco, sous réserve de certaines exigences découlant du plan d’arrangement avec les créanciers.
Général
Le Conseil considérera ces demandes, comme il le fait pour toute demande relative à la télévision en direct, en examinant soigneusement les propositions relatives à la programmation, particulièrement celles portant sur les émissions prioritaires et la programmation locale, incluant la couverture de l’information.
Le Conseil note que plusieurs documents ont été déposés à titre confidentiel par la requérante. Elle considère qu’ils contiennent des renseignements financiers dont la divulgation pourrait nuire à la capacité de Remstar Diffusion d’effectuer l’acquisition de TQS.
Par conséquent, le Conseil a accordé une confidentialité temporaire pour ces documents jusqu'au 22 mai 2008, date de la réunion des créanciers conformément à l'ordonnance de la Cour Supérieure du Québec rendue le 4 avril 2008.
Des renseignements additionnels seront versés au dossier public à mesure qu’ils seront disponibles. Le Conseil invite les parties intéressées à consulter régulièrement le dossier d’examen public ainsi que le site Web du Conseil pour obtenir d’autres renseignements susceptibles de les aider à rédiger leurs observations.
Adresse de la requérante :
612, rue Saint-Jacques
pièce 100
Montréal (Québec)
H3C 5R1
Télécopieur : 514-390-6160
Courriel : bguerin@tqs.ca
Examen de la demande :
A l’adresse de la requérante
330, rue Saint-Valier est, bureau 025
Québec (Québec)
4141, boulevard Saint-Jean
Trois-Rivières (Québec)
2303, rue Sir Wilfrid Laurier
Jonquière (Québec)
3720, boulevard Industriel
Sherbrooke (Québec)
2. Sherbrooke, Trois-Rivières, Saguenay et St-Fulgence (Québec)
No de demande 2008-0516-1
Demande présentée par la Société Radio-Canada (SRC), afin d'acquérir l'actif des entreprises de programmation de télévision CKSH-TV Sherbrooke, CKTM-TV Trois-Rivières et CKTV-TV Saguenay et son émetteur CKTV-TV-1 St-Fulgence (Québec) de TQS inc.
La requérante demande l’émission de nouvelles licences afin de poursuivre l’exploitation de ces entreprises suivant les mêmes modalités et conditions que celles en vigueur dans les licences actuelles.
La SRC n'a proposé aucun bloc d'avantages tangibles puisque qu’elle considère que les investissements pour améliorer toute la chaîne de transmission et convertir ses émetteurs au numérique excèdent amplement le montant qui pourrait être requis en vertu de la politique du Conseil sur les avantages tangibles.
Le Conseil note que certaines parties de l’offre d’achat ont été déposées à titre confidentiel par la requérante. La requérante considère que ces documents contiennent des renseignements financiers dont la divulgation pourrait nuire à la capacité de Remstar Diffusion d’effectuer l’acquisition de TQS.
Par conséquent, le Conseil a accordé une confidentialité temporaire pour ces documents jusqu'au 22 mai 2008, après quoi le Conseil se prononcera de façon définitive relativement à la confidentialité. Le 22 mai est la date à laquelle aura lieu la réunion des créanciers de TQS, conformément à l'ordonnance de la Cour Supérieure du Québec rendue le 4 avril 2008.
Des renseignements additionnels seront versés au dossier public à mesure qu’ils seront disponibles. Le Conseil invite les parties intéressées à consulter régulièrement le dossier d’examen public ainsi que le site Web du Conseil pour obtenir d’autres renseignements susceptibles de les aider à rédiger leurs observations.
Adresse de la requérante :
181, rue Queen
Ottawa (Ontario)
K1P 1K9
Télécopieur : 613-288-6257
Courriel : affairesreglementaires@radio-canada.ca
Examen de la demande :
65, rue Belvédère Nord, Bureau 190
Sherbrooke (Québec)
25, rue des Forges
Trois-Rivières (Québec)
500, rue des Saguenéens
Saguenay (Québec)
Participation du public
Date limite d’interventions/d’observations
15 mai 2008
L'intervention doit être reçue par le Conseil et par la requérante, au plus tard à la date susmentionnée. Le Conseil ne peut être tenu responsable des délais occasionnés par la poste.
L’intervention doit comprendre l’un des énoncés suivants dans le premier ou le dernier paragraphe :
1 - Je demande à comparaître à l’audience publique.
2 - Je ne veux pas comparaître à l’audience publique.
Le Conseil examinera votre intervention et elle sera en outre versée au dossier public de l’instance sans autre avis de notre part, à la condition que la procédure sousmentionnée ait été suivie. Nous communiquerons avec vous uniquement si votre intervention soulève des questions de procédure.
Faire parvenir votre intervention écrite à la Secrétaire générale du Conseil selon une seule des façons suivantes :
en remplissant le
[formulaire d’intervention/d’observations - radiodiffusion]
Ou
par la poste à l’adresse
CRTC, Ottawa (Ontario) K1A 0N2
ou
par télécopieur au numéro
819-994-0218
Une copie conforme doit être envoyée à la requérante et la preuve d’un tel envoi doit être jointe à l’intervention envoyée au Conseil.
Le Conseil recommande à toutes les personnes qui déposent un document et en signifient copie par voie électronique de se montrer prudentes lors de l’envoi des documents ou avis par courriel, car il peut être difficile de prouver ensuite que cet envoi a bien été fait.
Avant d’utiliser le courrier électronique, assurez-vous de pouvoir prouver au Conseil, sur demande, que le document a été signifié.
Pour les interventions soumises par voie électronique, la mention ***Fin du document*** devrait être ajoutée à la fin du document, pour indiquer que le document n’a pas été modifié pendant la transmission électronique.
Les paragraphes du document devraient être numérotés.
Votre intervention doit clairement mentionner la demande, faire état de votre appui ou de votre opposition et, si vous y proposez des modifications, présenter des faits et des motifs à cet égard.
Advenant que la demande passe à l'étape comparante de l'audience et que vous désiriez comparaître, veuillez expliquer pourquoi vos observations écrites ne suffisent pas et pourquoi une comparution est nécessaire.
Les personnes qui requièrent des auxiliaires de communication comme les dispositifs techniques pour malentendants et l'interprétation gestuelle voudront bien en aviser le Conseil au moins vingt (20) jours avant le début de l'audience afin de lui permettre de prendre les dispositions nécessaires.
Avis important
Veuillez noter que tous les renseignements que vous fournissez dans le contexte de ce processus public, sauf ceux qui font l’objet d’une demande de traitement confidentiel, qu’ils soient envoyés par la poste, par télécopieur, par courriel ou au moyen du site Web du Conseil à www.crtc.gc.ca seront versés à un dossier public et seront affichés sur le site Web du Conseil. Ces renseignements comprennent les renseignements personnels, tels que votre nom, votre adresse courriel, votre adresse postale, vos numéros de téléphone et de télécopieur ainsi que tout autre renseignement personnel que vous fournissez.
Les renseignements personnels ainsi fournis seront divulgués et utilisés aux fins auxquelles ils ont été recueillis par le Conseil ou compilés initialement ou pour un usage qui est compatible avec ces fins.
Les documents reçus en version électronique ou autrement seront affichés intégralement sur le site Web du Conseil, tels qu’ils ont été envoyés, y compris tous les renseignements personnels qu’ils contiennent, dans la langue officielle et le format d’origine dans lesquels ils sont reçus. Les documents qui ne sont pas reçus en version électronique seront disponibles en version PDF.
Il est à noter que les renseignements fournis au Conseil dans le cadre de ce processus public sont déposés dans une base de données impropre à la recherche et réservée exclusivement à ce processus public. Cette base de données ne peut être consultée qu’à partir de la page Web de ce processus public. En conséquence, une recherche généralisée de notre site Web à l’aide de notre engin de recherche ou de tout autre engin de recherche ne permettra pas d’accéder aux renseignements fournis dans le cadre de ce processus public.
Examen des documents
Les demandes sont disponibles en format électronique en sélectionnant le numéro de la demande à l’intérieur de cet avis.
Une liste de toutes interventions/observations sera également disponible sur le site Web du Conseil. La version électronique de toutes interventions/ observations soumise sera accessible à partir de cette liste. Afin d’accéder à cette liste, sélectionner « Liste d’interventions/observations » sous la rubrique « Instances publiques » du site Web du Conseil.
Les documents sont disponibles pendant les heures normales du bureau à l’adresse locale indiquée dans cet avis et aux bureaux du Conseil et aux centres de documentation concernés par ces demandes ou bien, sur demande, à l’intérieur de 2 jours ouvrables, aux autres bureaux et centres de documentation du Conseil.
Édifice central
Les Terrasses de la Chaudière
1, promenade du Portage, pièce 206
Gatineau (Québec) K1A 0N2
Tél. : 819- 997-2429
Tél. Sans Frais : 1-877-249-2782
ATS Sans Frais : 1-877-909-2782
Télécopieur : 819-994-0218
Place Metropolitan
99, chemin Wyse
Bureau 1410
Dartmouth (Nouvelle-Écosse) B3A 4S5
Tél. : 902-426-7997
Télécopieur : 902-426-2721
205, avenue Viger Ouest
Bureau 504
Montréal (Québec) H2Z 1G2
Tél. : 514-283-6607
55, avenue St. Clair Est
Bureau 624
Toronto (Ontario) M4T 1M2
Tél. : 416-952-9096
Édifice Kensington
275, avenue Portage
Bureau 1810
Winnipeg (Manitoba) R3B 2B3
Tél. : 204-983-6306 – ATS: 204-983-8274
Télécopieur : 204-983-6317
Édifice Cornwall Professional
2125, 11e Avenue
Pièce 103
Regina (Saskatchewan) S4P 3X3
Tél. : 306-780-3422
10405, avenue Jasper
Bureau 520
Edmonton (Alberta) T5J 3N4
Tél. : 780-495-3224
530-580, rue Hornby
Vancouver (Colombie-Britannique) V6C 3B6
Tél. : 604-666-2111 – ATS : 604-666-0778
Télécopieur : 604-666-8322
Secrétaire général
Ce document est disponible, sur demande, en média substitut, et peut également être consulté en version PDF ou en HTML sur le site internet suivant : http://www.crtc.gc.ca
Mise à jour : 2008-04-25
Avis d’audience publique de radiodiffusion CRTC 2008-5
Ottawa, le 25 avril 2008
Avis de consultation et d’audience
2 juin 2008
Montréal et Québec (Québec)
Date limite pour le dépôt des interventions/observations : 15 mai 2008
Le Conseil tiendra une audience publique afin d'étudier les demandes qui suivent à partir du 2 juin 2008 à 9 h à Montréal (Québec) et se poursuivra à Québec (Québec). Les lieux exacts seront publiés prochainement.
[formulaire d’intervention/d’observations - radiodiffusion]
Article Requérante et endroit
1.
TQS inc.
Jonquière, Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières (Québec)
No de demandes 2008-0594-7; 2008-0595-5; 2008-0596-3; 2008-0597-1; 2008-0599-7; 2008-0600-5; 2008-0601-0; 2008-0604-4
2.
Société Radio-Canada
Sherbrooke, Trois-Rivières, Saguenay et St-Fulgence (Québec)
No de demande 2008-0516-1
1. Jonquière, Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières (Québec)
No de demandes 2008-0594-7; 2008-0595-5; 2008-0596-3; 2008-0597-1; 2008-0599-7; 2008-0600-5; 2008-0601-0; 2008-0604-4
Demande (2008-0594-7) présentée par TQS inc. (TQS) , afin d’obtenir l’autorisation de changer son contrôle effectif, de Cogeco Radio-Télévision inc. (Cogeco) à Remstar Diffusion inc. (Remstar Diffusion), une société détenue et contrôlée à part égales par Julien et Maxime Rémillard.
Demandes (2008-0595-5; 2008-0596-3; 2008-0597-1; 2008-0599-7; 2008-0600-5; 2008-0601-0; 2008-0604-4) de TQS afin d’obtenir l’autorisation de renouveler les licences de radiodiffusion des entreprises de télévision suivantes :
CFJP-TV Montréal
CFJP-DT Montréal
CFAP-TV Québec
CFKM-TV Trois-Rivières
CFKS-TV Sherbrooke
CFRS-TV Saguenay
Réseau TQS
La requérante demande de nouvelles licences jusqu’au 31 août 2015. La requérante propose l’exploitation des stations de télévision aux mêmes conditions de licence mais avec de nouveaux engagements à compter du 1er septembre 2008. Les demandes contiennent de nouvelles propositions relatives à la programmation ainsi qu’une grille de programmation.
Modification du contrôle effectif
La transaction proposée s'effectuera par le transfert de la totalité des actions émises et en circulation de 3947424 Canada Inc., la société mère de TQS, actuellement détenue par CTV Television Inc. (CTV) (40 %) et Cogeco (60 %), à Remstar Diffusion.
Les propriétaires de Remstar Diffusion, Messieurs Julien et Maxime Rémillard, détiennent également des intérêts identiques (50 %) dans Remstar Corporation, une société canadienne indépendante de divertissement axée sur le développement, le financement, la production et la distribution de produits cinématographiques et télévisuels.
La requérante s’engage, à titre d’avantages tangibles, à verser 1 million de dollars sur une période de sept ans.
La requérante a confirmé son engagement à prendre en charge tout avantage tangible non complété résultant de l’acquisition de TQS par CTV et Cogeco, sous réserve de certaines exigences découlant du plan d’arrangement avec les créanciers.
Général
Le Conseil considérera ces demandes, comme il le fait pour toute demande relative à la télévision en direct, en examinant soigneusement les propositions relatives à la programmation, particulièrement celles portant sur les émissions prioritaires et la programmation locale, incluant la couverture de l’information.
Le Conseil note que plusieurs documents ont été déposés à titre confidentiel par la requérante. Elle considère qu’ils contiennent des renseignements financiers dont la divulgation pourrait nuire à la capacité de Remstar Diffusion d’effectuer l’acquisition de TQS.
Par conséquent, le Conseil a accordé une confidentialité temporaire pour ces documents jusqu'au 22 mai 2008, date de la réunion des créanciers conformément à l'ordonnance de la Cour Supérieure du Québec rendue le 4 avril 2008.
Des renseignements additionnels seront versés au dossier public à mesure qu’ils seront disponibles. Le Conseil invite les parties intéressées à consulter régulièrement le dossier d’examen public ainsi que le site Web du Conseil pour obtenir d’autres renseignements susceptibles de les aider à rédiger leurs observations.
Adresse de la requérante :
612, rue Saint-Jacques
pièce 100
Montréal (Québec)
H3C 5R1
Télécopieur : 514-390-6160
Courriel : bguerin@tqs.ca
Examen de la demande :
A l’adresse de la requérante
330, rue Saint-Valier est, bureau 025
Québec (Québec)
4141, boulevard Saint-Jean
Trois-Rivières (Québec)
2303, rue Sir Wilfrid Laurier
Jonquière (Québec)
3720, boulevard Industriel
Sherbrooke (Québec)
2. Sherbrooke, Trois-Rivières, Saguenay et St-Fulgence (Québec)
No de demande 2008-0516-1
Demande présentée par la Société Radio-Canada (SRC), afin d'acquérir l'actif des entreprises de programmation de télévision CKSH-TV Sherbrooke, CKTM-TV Trois-Rivières et CKTV-TV Saguenay et son émetteur CKTV-TV-1 St-Fulgence (Québec) de TQS inc.
La requérante demande l’émission de nouvelles licences afin de poursuivre l’exploitation de ces entreprises suivant les mêmes modalités et conditions que celles en vigueur dans les licences actuelles.
La SRC n'a proposé aucun bloc d'avantages tangibles puisque qu’elle considère que les investissements pour améliorer toute la chaîne de transmission et convertir ses émetteurs au numérique excèdent amplement le montant qui pourrait être requis en vertu de la politique du Conseil sur les avantages tangibles.
Le Conseil note que certaines parties de l’offre d’achat ont été déposées à titre confidentiel par la requérante. La requérante considère que ces documents contiennent des renseignements financiers dont la divulgation pourrait nuire à la capacité de Remstar Diffusion d’effectuer l’acquisition de TQS.
Par conséquent, le Conseil a accordé une confidentialité temporaire pour ces documents jusqu'au 22 mai 2008, après quoi le Conseil se prononcera de façon définitive relativement à la confidentialité. Le 22 mai est la date à laquelle aura lieu la réunion des créanciers de TQS, conformément à l'ordonnance de la Cour Supérieure du Québec rendue le 4 avril 2008.
Des renseignements additionnels seront versés au dossier public à mesure qu’ils seront disponibles. Le Conseil invite les parties intéressées à consulter régulièrement le dossier d’examen public ainsi que le site Web du Conseil pour obtenir d’autres renseignements susceptibles de les aider à rédiger leurs observations.
Adresse de la requérante :
181, rue Queen
Ottawa (Ontario)
K1P 1K9
Télécopieur : 613-288-6257
Courriel : affairesreglementaires@radio-canada.ca
Examen de la demande :
65, rue Belvédère Nord, Bureau 190
Sherbrooke (Québec)
25, rue des Forges
Trois-Rivières (Québec)
500, rue des Saguenéens
Saguenay (Québec)
Participation du public
Date limite d’interventions/d’observations
15 mai 2008
L'intervention doit être reçue par le Conseil et par la requérante, au plus tard à la date susmentionnée. Le Conseil ne peut être tenu responsable des délais occasionnés par la poste.
L’intervention doit comprendre l’un des énoncés suivants dans le premier ou le dernier paragraphe :
1 - Je demande à comparaître à l’audience publique.
2 - Je ne veux pas comparaître à l’audience publique.
Le Conseil examinera votre intervention et elle sera en outre versée au dossier public de l’instance sans autre avis de notre part, à la condition que la procédure sousmentionnée ait été suivie. Nous communiquerons avec vous uniquement si votre intervention soulève des questions de procédure.
Faire parvenir votre intervention écrite à la Secrétaire générale du Conseil selon une seule des façons suivantes :
en remplissant le
[formulaire d’intervention/d’observations - radiodiffusion]
Ou
par la poste à l’adresse
CRTC, Ottawa (Ontario) K1A 0N2
ou
par télécopieur au numéro
819-994-0218
Une copie conforme doit être envoyée à la requérante et la preuve d’un tel envoi doit être jointe à l’intervention envoyée au Conseil.
Le Conseil recommande à toutes les personnes qui déposent un document et en signifient copie par voie électronique de se montrer prudentes lors de l’envoi des documents ou avis par courriel, car il peut être difficile de prouver ensuite que cet envoi a bien été fait.
Avant d’utiliser le courrier électronique, assurez-vous de pouvoir prouver au Conseil, sur demande, que le document a été signifié.
Pour les interventions soumises par voie électronique, la mention ***Fin du document*** devrait être ajoutée à la fin du document, pour indiquer que le document n’a pas été modifié pendant la transmission électronique.
Les paragraphes du document devraient être numérotés.
Votre intervention doit clairement mentionner la demande, faire état de votre appui ou de votre opposition et, si vous y proposez des modifications, présenter des faits et des motifs à cet égard.
Advenant que la demande passe à l'étape comparante de l'audience et que vous désiriez comparaître, veuillez expliquer pourquoi vos observations écrites ne suffisent pas et pourquoi une comparution est nécessaire.
Les personnes qui requièrent des auxiliaires de communication comme les dispositifs techniques pour malentendants et l'interprétation gestuelle voudront bien en aviser le Conseil au moins vingt (20) jours avant le début de l'audience afin de lui permettre de prendre les dispositions nécessaires.
Avis important
Veuillez noter que tous les renseignements que vous fournissez dans le contexte de ce processus public, sauf ceux qui font l’objet d’une demande de traitement confidentiel, qu’ils soient envoyés par la poste, par télécopieur, par courriel ou au moyen du site Web du Conseil à www.crtc.gc.ca seront versés à un dossier public et seront affichés sur le site Web du Conseil. Ces renseignements comprennent les renseignements personnels, tels que votre nom, votre adresse courriel, votre adresse postale, vos numéros de téléphone et de télécopieur ainsi que tout autre renseignement personnel que vous fournissez.
Les renseignements personnels ainsi fournis seront divulgués et utilisés aux fins auxquelles ils ont été recueillis par le Conseil ou compilés initialement ou pour un usage qui est compatible avec ces fins.
Les documents reçus en version électronique ou autrement seront affichés intégralement sur le site Web du Conseil, tels qu’ils ont été envoyés, y compris tous les renseignements personnels qu’ils contiennent, dans la langue officielle et le format d’origine dans lesquels ils sont reçus. Les documents qui ne sont pas reçus en version électronique seront disponibles en version PDF.
Il est à noter que les renseignements fournis au Conseil dans le cadre de ce processus public sont déposés dans une base de données impropre à la recherche et réservée exclusivement à ce processus public. Cette base de données ne peut être consultée qu’à partir de la page Web de ce processus public. En conséquence, une recherche généralisée de notre site Web à l’aide de notre engin de recherche ou de tout autre engin de recherche ne permettra pas d’accéder aux renseignements fournis dans le cadre de ce processus public.
Examen des documents
Les demandes sont disponibles en format électronique en sélectionnant le numéro de la demande à l’intérieur de cet avis.
Une liste de toutes interventions/observations sera également disponible sur le site Web du Conseil. La version électronique de toutes interventions/ observations soumise sera accessible à partir de cette liste. Afin d’accéder à cette liste, sélectionner « Liste d’interventions/observations » sous la rubrique « Instances publiques » du site Web du Conseil.
Les documents sont disponibles pendant les heures normales du bureau à l’adresse locale indiquée dans cet avis et aux bureaux du Conseil et aux centres de documentation concernés par ces demandes ou bien, sur demande, à l’intérieur de 2 jours ouvrables, aux autres bureaux et centres de documentation du Conseil.
Édifice central
Les Terrasses de la Chaudière
1, promenade du Portage, pièce 206
Gatineau (Québec) K1A 0N2
Tél. : 819- 997-2429
Tél. Sans Frais : 1-877-249-2782
ATS Sans Frais : 1-877-909-2782
Télécopieur : 819-994-0218
Place Metropolitan
99, chemin Wyse
Bureau 1410
Dartmouth (Nouvelle-Écosse) B3A 4S5
Tél. : 902-426-7997
Télécopieur : 902-426-2721
205, avenue Viger Ouest
Bureau 504
Montréal (Québec) H2Z 1G2
Tél. : 514-283-6607
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Mise à jour : 2008-04-25
une question que je me pose , est-ce qu'ils ont le droit de congedier les employés ? parce qu'ils ne sont pas propriétaire à 100% , ça n'a pas été approuvé par tous les actionnaires ni le crtc ? j'y connais rien en affaire mais....de plus si les créanciers votent non et que le crtc n'acceptent pas les exigences de remstar ils peuvent se retirer et laisser la chance p-e à un autre acheteur s'il y en a mais selon eric levesque de tqs du syndicat des employés de quebec y'a un autre groupe qui vont rencontré les creanciers pour leur faire voir l'offre qu'ils avaient faits alors histoire à suivre.....
D'après ce que j'ai entendu d'un employé de TQS les employés deviennent créanciers ils ont donc droit de vote sur l'offre.
On peut donc s'attendre à ce que ce soit refusé si cette info est exacte
On peut donc s'attendre à ce que ce soit refusé si cette info est exacte
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Les négos entre Remstar et les syndiqués de TQS achoppent
Les représentants de Remstar sont sortis en claquant la porte d’une rencontre avec les syndiqués de TQS, jeudi à Montréal, alors que s’amorçait la lutte pour la survie du service de l’information de la chaîne de télévision.
Après avoir annoncé la mise à pied de 270 employés mercredi, les nouveaux acquéreurs de TQS n’ont pas réussi à convaincre les employés de renégocier leur convention collective et ont mis fin aux discussions.
«Ils nous disaient «On a coupé des emplois, il n’y a plus de service de nouvelles, mais ça nous prend encore plus d’argent parce qu’on en perd encore». Donc les employés qui restaient allaient avoir une convention collective assouplie. Peut-être que des pans de mur devaient tomber, on l’ignore : on n’a jamais eu le plan (de relance) déposé. Ils ont dit «L’agenda n’adonne pas, désolé, c’est terminé, on ne se parle plus», a dit au Soleil Éric Lévesque, président du syndicat de TQS-Québec, en sortant de la rencontre.
delai trop court
Les frères Rémillard, propriétaires de Remstar, n’étaient pas présents à cette rencontre.
Les représentants de l’entreprise ont demandé aux syndicats de renégocier les conventions collectives des employés de TQS avant lundi. Un délai que les syndiqués, qui se réunissent demain en assemblée à Trois-
Rivières, ont refusé.
Le porte-parole de Remstar, Jean-François Lebrun, expliquait mercredi que son entreprise souhaitait alléger les conventions, par exemple en coupant dans les primes ou en intégrant du travail multifonction.
Jeudi midi, une centaine d’employés de TQS, dont certains venus du Saguenay, de Québec et de l’Estrie, ont manifesté devant les bureaux de TQS à Montréal, contre l’élimination de toutes les salles de nouvelles du Québec et la suppression des 270 emplois. Des manifestations ont aussi eu lieu à Québec, à Montréal, à Sherbrooke et à Trois-Rivières.
La présidente de la Fédération nationale des communications (CSN), Chantal Larouche, a dit croire que les nombreux appuis reçus ces derniers jours, notamment la motion unanime de l’Assemblée nationale, aideront les employés du Mouton noir dans leur bataille pour conserver l’information à TQS.
«Je suis convaincue que si Remstar n’est pas preneur pour TQS, il y en a peut-être d’autres qui vont l’être et qui vont se rendre compte que la programmation locale et régionale, c’est pas des blagues», a lancé la dirigeante syndicale.
«Nous, ce qu’on veut, c’est que Remstar se retire du dossier», affirme pour sa part Éric Thibault, le conseiller syndical qui représente les employés de TQS à Saguenay.
Le CRTC devrait dévoiler aujourd’hui (vendredi) vers 11h le plan de redressement de Remstar pour TQS.
Pour abolir les nouvelles à TQS, l’entreprise des frères Rémillard devra convaincre le CRTC de modifier sa licence d’exploitation, qui l’oblige à produire 14 heures d’information par semaine.
Les représentants de Remstar sont sortis en claquant la porte d’une rencontre avec les syndiqués de TQS, jeudi à Montréal, alors que s’amorçait la lutte pour la survie du service de l’information de la chaîne de télévision.
Après avoir annoncé la mise à pied de 270 employés mercredi, les nouveaux acquéreurs de TQS n’ont pas réussi à convaincre les employés de renégocier leur convention collective et ont mis fin aux discussions.
«Ils nous disaient «On a coupé des emplois, il n’y a plus de service de nouvelles, mais ça nous prend encore plus d’argent parce qu’on en perd encore». Donc les employés qui restaient allaient avoir une convention collective assouplie. Peut-être que des pans de mur devaient tomber, on l’ignore : on n’a jamais eu le plan (de relance) déposé. Ils ont dit «L’agenda n’adonne pas, désolé, c’est terminé, on ne se parle plus», a dit au Soleil Éric Lévesque, président du syndicat de TQS-Québec, en sortant de la rencontre.
delai trop court
Les frères Rémillard, propriétaires de Remstar, n’étaient pas présents à cette rencontre.
Les représentants de l’entreprise ont demandé aux syndicats de renégocier les conventions collectives des employés de TQS avant lundi. Un délai que les syndiqués, qui se réunissent demain en assemblée à Trois-
Rivières, ont refusé.
Le porte-parole de Remstar, Jean-François Lebrun, expliquait mercredi que son entreprise souhaitait alléger les conventions, par exemple en coupant dans les primes ou en intégrant du travail multifonction.
Jeudi midi, une centaine d’employés de TQS, dont certains venus du Saguenay, de Québec et de l’Estrie, ont manifesté devant les bureaux de TQS à Montréal, contre l’élimination de toutes les salles de nouvelles du Québec et la suppression des 270 emplois. Des manifestations ont aussi eu lieu à Québec, à Montréal, à Sherbrooke et à Trois-Rivières.
La présidente de la Fédération nationale des communications (CSN), Chantal Larouche, a dit croire que les nombreux appuis reçus ces derniers jours, notamment la motion unanime de l’Assemblée nationale, aideront les employés du Mouton noir dans leur bataille pour conserver l’information à TQS.
«Je suis convaincue que si Remstar n’est pas preneur pour TQS, il y en a peut-être d’autres qui vont l’être et qui vont se rendre compte que la programmation locale et régionale, c’est pas des blagues», a lancé la dirigeante syndicale.
«Nous, ce qu’on veut, c’est que Remstar se retire du dossier», affirme pour sa part Éric Thibault, le conseiller syndical qui représente les employés de TQS à Saguenay.
Le CRTC devrait dévoiler aujourd’hui (vendredi) vers 11h le plan de redressement de Remstar pour TQS.
Pour abolir les nouvelles à TQS, l’entreprise des frères Rémillard devra convaincre le CRTC de modifier sa licence d’exploitation, qui l’oblige à produire 14 heures d’information par semaine.
Les Rémillard s'expliquent
TQS a annoncé mercredi la suppression progressive de son service de l’information. 270 personnes vont perdre leur emploi d’ici l’automne. Un geste dénoncé tant par les politiciens que le grand public.
Au cœur de la controverse, Maxime et Julien Rémillard, ont choisi de garder le silence et d’encaisser les coups.
Vendredi après-midi, visiblement ébranlé par les critiques à son endroit, Maxime Rémillard a contacté La Presse pour donner sa version des faits. Le jeune producteur était tendu et nerveux lorsqu’il nous a reçu dans les bureaux de sa compagnie, Remstar.
«TQS est sur son lit de mort, présentement. Ce n’est pas nous qui l’avons amené là», s'est-il défendu. Une heure plus tard, son frère aîné, Julien, s'est joint à la conversation.
La Presse: Dans la requête que vous avez présentée au CRTC cette semaine, vous demandez à ne pas avoir l'obligation de diffuser de bulletin d'information jusqu'en 2015. Pourquoi?
Maxime Rémillard: Le CRTC exige de faire de la programmation avec un reflet local. Dans nos marchés comme Québec, Saguenay, Trois-Rivières, et Sherbrooke, on demande un aspect local. Historiquement, cela se faisait avec les nouvelles.
Nous, ce que l'on demande au Conseil, c'est de le faire de manière différente. On veut rester dans nos régions, on croit à nos régions et on veut faire une programmation avec un reflet local. On veut travailler avec les gens de ces régions-là, les producteurs indépendants locaux, afin de leur offrir une programmation à reflet local.
Un contenu local?
Oui. C'est dans nos obligations de faire un contenu local. Il n'a jamais été question de ne plus être présent dans les régions. Les gens ont la conception que l'on veut diffuser en région et aller chercher les revenus publicitaires. Ce n'est pas notre plan d'affaires. On va faire 5h30 à Québec, par exemple.
Eh bien, cela va être autre chose que de l'information. On croit qu'il y a un déséquilibre entre l'offre et la demande d'information, et que c'est un modèle d'affaires, pour l'information à TQS, qui ne fonctionne pas et n'est pas rentable.
270 employés ont perdu leur emploi mercredi. Était-ce nécessaire de faire des coupes si radicales?
Mais l'entreprise, ce n'est pas nous qui l'avons mise en faillite. Elle a été mise sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers par les précédents actionnaires. Nous avons hérité de cette situation-là.
Personnellement, mon frère et moi trouvons cela très difficile de mettre à pied 270 personnes. Ce n'est pas quelque chose que l'on fait de gaieté de coeur. On n'a jamais à faire de coupes massives comme ça dans nos entreprises. Mais c'est essentiel à la survie de TQS.
Cette entreprise, on s'est donné comme mandat de la restructurer. Ce qu'on voit, c'est que nous sauvons 209 emplois. Notre but, c'est de sauver l'entreprise, de sauver l'antenne. De lui permettre de diffuser un produit culturel québécois, un contenu québécois.
Vous passiez pour les sauveurs lors de l'annonce de l'offre d'achat. La suppression du service de nouvelles a suscité une levée de boucliers. Comment vivez-vous ce renversement?
C'est sûr qu'on savait que la décision d'abandonner l'information serait difficile. Il y a des pertes d'emploi liées à cela, et mon frère et moi y sommes très sensibles. Nous sommes de jeunes entrepreneurs: j'ai 33 ans, mon frère 35 ans, cela fait 11 ans que Remstar existe.
On a toujours fait des produits de qualité dans le cinéma. Quand je fais des films québécois, j'investis mon propre argent là-dedans. On est défenseurs de la culture québécoise. TQS est une diversification naturelle pour nous. On se retire peut-être de l'information, mais on va investir davantage dans la production indépendante québécoise.
Je respecte la décision des différents partis politiques par rapport à notre décision d'affaires, mais l'entreprise perd 18 millions cette année. Le service de l'information, dans le marché actuel, est déficitaire.
Est-ce que cela veut dire que TQS ne va plus être une chaîne généraliste?
Non, TQS va demeurer une chaîne généraliste. Mais on va revoir le modèle.
Est-ce qu'il y aura plus de téléréalité?
Ce sera une programmation plus événementielle afin d'augmenter l'interaction avec le public.
D'après les documents déposés au CRTC, vous désirez faire de l'information artistique, culturelle, à Montréal et en région. Quelle forme cela prendra-t-il?
Julien Rémillard: C'est de l'information redéfinie.
Maxime Rémillard: Prenez la radio. Elle fait de l'information, mais de manière différente.
Julien: Je pense que vous l'avez vu, il n'est pas question que le contenu canadien soit diminué. On est complètement au courant que c'est réglementé. On respecte le contenu local. Au contraire, la production locale va peut-être prendre plus de place. Les gens ont peur de ça pour rien.
Question: Ne craignez-vous pas, avec la suppression du service de l’information, de perdre la licence du CRTC?
Maxime Rémillard: On va respecter nos engagements et nos obligations. On va continuer à produire dans les régions, et du contenu local, afin de desservir nos communautés.
Question: Une autre échéance arrive pour TQS dans les prochaines années: le passage à la Haute Définition. Pensez-vous que TQS sera en mesure de prendre ce virage?
Julien Rémillard: TQS, en tant que tel ne sera pas prêt. On s’entend, il n’y a aucun profit. Mais nous, on s’engage à faire un investissement pour prendre le virage, c’est sûr et certain. On parle de l’ordre de 25-30 millions qui vont devoir être injectés à court terme pour relancer tout cela.
Question: Pauline Marois a dit, à la suite de votre annonce, qu’il faudrait transférer les pouvoirs du CRTC, du fédéral, au provincial. Pensez-vous que cela soit une bonne idée?
Maxime Rémillard: On travaille très fort dans la relance (…) Mais on aimerait ne mieux pas commenter. On veut mettre l’entreprise sur des bases financières solides.
Question: Si vous allez refaire de l’information et du local, pourquoi ne pas l’avoir annoncé en même temps que la suppression de l’information? Tout le monde craint que TQS ne devienne qu’un réseau avec des émissions américaines doublées...
Maxime Rémillard: Ça, c’est la perception des choses, mais notre plan n’a jamais été de faire de TQS un réseau qui ne passe que des émissions américaines et ne reflète pas notre diversité (…) On est commis envers notre culture québécoise. On a un engagement, on fait des choses de qualité. On va continuer dans cette direction-là. Cela va être un reflet de nos autres activités.
Julien Rémillard: L’hôtel St-James (que possèdent les frères Rémillard, NDLR), personne ne m’a dit que c’est cheap. Nous, on n’est pas cheap! On n’est pas là pour faire des choses à rabais, on est là pour faire des choses à succès (…) Notre programmation va surprendre tout le monde. Et cela va rassurer tout le monde. On ne s’en va pas décapiter TQS. --Message edité par scorpy le 2008-04-26 14:32:40--
TQS a annoncé mercredi la suppression progressive de son service de l’information. 270 personnes vont perdre leur emploi d’ici l’automne. Un geste dénoncé tant par les politiciens que le grand public.
Au cœur de la controverse, Maxime et Julien Rémillard, ont choisi de garder le silence et d’encaisser les coups.
Vendredi après-midi, visiblement ébranlé par les critiques à son endroit, Maxime Rémillard a contacté La Presse pour donner sa version des faits. Le jeune producteur était tendu et nerveux lorsqu’il nous a reçu dans les bureaux de sa compagnie, Remstar.
«TQS est sur son lit de mort, présentement. Ce n’est pas nous qui l’avons amené là», s'est-il défendu. Une heure plus tard, son frère aîné, Julien, s'est joint à la conversation.
La Presse: Dans la requête que vous avez présentée au CRTC cette semaine, vous demandez à ne pas avoir l'obligation de diffuser de bulletin d'information jusqu'en 2015. Pourquoi?
Maxime Rémillard: Le CRTC exige de faire de la programmation avec un reflet local. Dans nos marchés comme Québec, Saguenay, Trois-Rivières, et Sherbrooke, on demande un aspect local. Historiquement, cela se faisait avec les nouvelles.
Nous, ce que l'on demande au Conseil, c'est de le faire de manière différente. On veut rester dans nos régions, on croit à nos régions et on veut faire une programmation avec un reflet local. On veut travailler avec les gens de ces régions-là, les producteurs indépendants locaux, afin de leur offrir une programmation à reflet local.
Un contenu local?
Oui. C'est dans nos obligations de faire un contenu local. Il n'a jamais été question de ne plus être présent dans les régions. Les gens ont la conception que l'on veut diffuser en région et aller chercher les revenus publicitaires. Ce n'est pas notre plan d'affaires. On va faire 5h30 à Québec, par exemple.
Eh bien, cela va être autre chose que de l'information. On croit qu'il y a un déséquilibre entre l'offre et la demande d'information, et que c'est un modèle d'affaires, pour l'information à TQS, qui ne fonctionne pas et n'est pas rentable.
270 employés ont perdu leur emploi mercredi. Était-ce nécessaire de faire des coupes si radicales?
Mais l'entreprise, ce n'est pas nous qui l'avons mise en faillite. Elle a été mise sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers par les précédents actionnaires. Nous avons hérité de cette situation-là.
Personnellement, mon frère et moi trouvons cela très difficile de mettre à pied 270 personnes. Ce n'est pas quelque chose que l'on fait de gaieté de coeur. On n'a jamais à faire de coupes massives comme ça dans nos entreprises. Mais c'est essentiel à la survie de TQS.
Cette entreprise, on s'est donné comme mandat de la restructurer. Ce qu'on voit, c'est que nous sauvons 209 emplois. Notre but, c'est de sauver l'entreprise, de sauver l'antenne. De lui permettre de diffuser un produit culturel québécois, un contenu québécois.
Vous passiez pour les sauveurs lors de l'annonce de l'offre d'achat. La suppression du service de nouvelles a suscité une levée de boucliers. Comment vivez-vous ce renversement?
C'est sûr qu'on savait que la décision d'abandonner l'information serait difficile. Il y a des pertes d'emploi liées à cela, et mon frère et moi y sommes très sensibles. Nous sommes de jeunes entrepreneurs: j'ai 33 ans, mon frère 35 ans, cela fait 11 ans que Remstar existe.
On a toujours fait des produits de qualité dans le cinéma. Quand je fais des films québécois, j'investis mon propre argent là-dedans. On est défenseurs de la culture québécoise. TQS est une diversification naturelle pour nous. On se retire peut-être de l'information, mais on va investir davantage dans la production indépendante québécoise.
Je respecte la décision des différents partis politiques par rapport à notre décision d'affaires, mais l'entreprise perd 18 millions cette année. Le service de l'information, dans le marché actuel, est déficitaire.
Est-ce que cela veut dire que TQS ne va plus être une chaîne généraliste?
Non, TQS va demeurer une chaîne généraliste. Mais on va revoir le modèle.
Est-ce qu'il y aura plus de téléréalité?
Ce sera une programmation plus événementielle afin d'augmenter l'interaction avec le public.
D'après les documents déposés au CRTC, vous désirez faire de l'information artistique, culturelle, à Montréal et en région. Quelle forme cela prendra-t-il?
Julien Rémillard: C'est de l'information redéfinie.
Maxime Rémillard: Prenez la radio. Elle fait de l'information, mais de manière différente.
Julien: Je pense que vous l'avez vu, il n'est pas question que le contenu canadien soit diminué. On est complètement au courant que c'est réglementé. On respecte le contenu local. Au contraire, la production locale va peut-être prendre plus de place. Les gens ont peur de ça pour rien.
Question: Ne craignez-vous pas, avec la suppression du service de l’information, de perdre la licence du CRTC?
Maxime Rémillard: On va respecter nos engagements et nos obligations. On va continuer à produire dans les régions, et du contenu local, afin de desservir nos communautés.
Question: Une autre échéance arrive pour TQS dans les prochaines années: le passage à la Haute Définition. Pensez-vous que TQS sera en mesure de prendre ce virage?
Julien Rémillard: TQS, en tant que tel ne sera pas prêt. On s’entend, il n’y a aucun profit. Mais nous, on s’engage à faire un investissement pour prendre le virage, c’est sûr et certain. On parle de l’ordre de 25-30 millions qui vont devoir être injectés à court terme pour relancer tout cela.
Question: Pauline Marois a dit, à la suite de votre annonce, qu’il faudrait transférer les pouvoirs du CRTC, du fédéral, au provincial. Pensez-vous que cela soit une bonne idée?
Maxime Rémillard: On travaille très fort dans la relance (…) Mais on aimerait ne mieux pas commenter. On veut mettre l’entreprise sur des bases financières solides.
Question: Si vous allez refaire de l’information et du local, pourquoi ne pas l’avoir annoncé en même temps que la suppression de l’information? Tout le monde craint que TQS ne devienne qu’un réseau avec des émissions américaines doublées...
Maxime Rémillard: Ça, c’est la perception des choses, mais notre plan n’a jamais été de faire de TQS un réseau qui ne passe que des émissions américaines et ne reflète pas notre diversité (…) On est commis envers notre culture québécoise. On a un engagement, on fait des choses de qualité. On va continuer dans cette direction-là. Cela va être un reflet de nos autres activités.
Julien Rémillard: L’hôtel St-James (que possèdent les frères Rémillard, NDLR), personne ne m’a dit que c’est cheap. Nous, on n’est pas cheap! On n’est pas là pour faire des choses à rabais, on est là pour faire des choses à succès (…) Notre programmation va surprendre tout le monde. Et cela va rassurer tout le monde. On ne s’en va pas décapiter TQS. --Message edité par scorpy le 2008-04-26 14:32:40--
Avenir du réseau TQS
470 syndiqués se rassemblent à Trois-Rivières
Un grand rassemblement syndical des employés de TQS est prévu ajourd'hui à Trois-Rivières.
Quelque 470 employés ont été convoqués à 13h au Parc Champlain. Une assemblée spéciale aura également lieu.
Les syndiqués débattront des stratégies pour sauver le secteur de l'information.
Au cours de la manifestation, les employés vont demander l'appui de la députée fédérale de Trois-Rivières à leur campagne contre le démantèlement de la salle des nouvelles de TQS par son propriétaire éventuel, Remstar.
Par ailleurs, les deux autres acquéreurs potentiels devancés par Remstar pour acheter TQS se disent toujours intéressés. Ils assurent qu'ils conserveraient les bulletins d'information.
Remstar a annoncé mercredi qu'elle mettra fin aux bulletins des nouvelles d'ici à septembre et que 270 personnes perdront leur emploi.
Écoutez les explications détaillées de Félix Séguin
Écoutez le président du syndicat des employés de TQS, Luc Bessette, expliquer le déroulement de la réunion.
470 syndiqués se rassemblent à Trois-Rivières
Un grand rassemblement syndical des employés de TQS est prévu ajourd'hui à Trois-Rivières.
Quelque 470 employés ont été convoqués à 13h au Parc Champlain. Une assemblée spéciale aura également lieu.
Les syndiqués débattront des stratégies pour sauver le secteur de l'information.
Au cours de la manifestation, les employés vont demander l'appui de la députée fédérale de Trois-Rivières à leur campagne contre le démantèlement de la salle des nouvelles de TQS par son propriétaire éventuel, Remstar.
Par ailleurs, les deux autres acquéreurs potentiels devancés par Remstar pour acheter TQS se disent toujours intéressés. Ils assurent qu'ils conserveraient les bulletins d'information.
Remstar a annoncé mercredi qu'elle mettra fin aux bulletins des nouvelles d'ici à septembre et que 270 personnes perdront leur emploi.
Écoutez les explications détaillées de Félix Séguin
Écoutez le président du syndicat des employés de TQS, Luc Bessette, expliquer le déroulement de la réunion.
Pepsi a écritLe pire c'est que, y'En avait d'autres des acheteurs potentiels de TQS Sti.. Oui c'est vrai, et cela me chagrine beaucoup que plusieurs employés soient mis dehors, mais c'est pas juste cela l'affaire.
Il y a plusieurs millions en jeu dans cette affaire et quiconque achètera cette station va devoir couper quelque part, ils n'ont pas le choix.
Ce ne sont pas les frères Rémillard qui sont à blâmer là-dedans, qui achèterait cette station et seraient intéressés à perdre autant d'argent, et depuis le début que les employés savent qu'il y en aura des coupures.
C'est ben plate pour les employés et je compatis avec eux, aucun doute là-dessus, mais je ne pense pas qu'il y ait d'autres moyens possibles pour que ceux qui achètent cette station s'en sortent facilement, si non, s'ils ne coupent pas nulle part, il faudra qu'il la ferme dans un avenir très rapproché.
Il y a plusieurs millions en jeu dans cette affaire et quiconque achètera cette station va devoir couper quelque part, ils n'ont pas le choix.
Ce ne sont pas les frères Rémillard qui sont à blâmer là-dedans, qui achèterait cette station et seraient intéressés à perdre autant d'argent, et depuis le début que les employés savent qu'il y en aura des coupures.
C'est ben plate pour les employés et je compatis avec eux, aucun doute là-dessus, mais je ne pense pas qu'il y ait d'autres moyens possibles pour que ceux qui achètent cette station s'en sortent facilement, si non, s'ils ne coupent pas nulle part, il faudra qu'il la ferme dans un avenir très rapproché.
Le samedi 26 avril 2008
TQS: les autres acheteurs croient aux nouvelles
Manifestation de la CSN en appui aux travailleurs du service de l'information du réseau de télévision TQS, le 24 avril dernier. (Photo Patrick Sanfaçon, La Presse)
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Manifestation de la CSN en appui aux travailleurs du service de l'information du réseau de télévision TQS, le 24 avril dernier.
Photo Patrick Sanfaçon, La Presse
Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse
Les deux autres acheteurs devancés par Remstar sont toujours intéressés à TQS. Et contrairement aux frères Rémillard, eux conserveraient les bulletins d'information.
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«Nous sommes toujours intéressés à acheter TQS et notre plan d'affaires ne comprend aucune réduction dans la salle de nouvelles et dans les nouvelles régionales», dit Me Alain Gaul, l'avocat de Catalyst Capital Group, une firme torontoise d'investissement privé qui a présenté une offre afin d'acheter TQS en mars dernier.
L'autre consortium, formé de Section Rouge Média et Evolutra Global, est toujours intéressé à acheter TQS. Le consortium québéco-ontarien entend aussi conserver les bulletins d'information, mais son offre prévoyait tout de même des coupes dans la salle des nouvelles. «Si jamais le CRTC décidait d'annuler la transaction avec Remstar, nous serions à nouveau sur les rangs, dit Me Jean-Pierre Rancourt, vice-président de Section Rouge Média. Selon notre plan, il resterait des nouvelles à TQS.»
Après s'être placé sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers en décembre dernier, TQS a été mis en vente par ses propriétaires, Cogeco et CTVglobemedia.
TQS: les autres acheteurs croient aux nouvelles
Manifestation de la CSN en appui aux travailleurs du service de l'information du réseau de télévision TQS, le 24 avril dernier. (Photo Patrick Sanfaçon, La Presse)
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Manifestation de la CSN en appui aux travailleurs du service de l'information du réseau de télévision TQS, le 24 avril dernier.
Photo Patrick Sanfaçon, La Presse
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Les deux autres acheteurs devancés par Remstar sont toujours intéressés à TQS. Et contrairement aux frères Rémillard, eux conserveraient les bulletins d'information.
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«Nous sommes toujours intéressés à acheter TQS et notre plan d'affaires ne comprend aucune réduction dans la salle de nouvelles et dans les nouvelles régionales», dit Me Alain Gaul, l'avocat de Catalyst Capital Group, une firme torontoise d'investissement privé qui a présenté une offre afin d'acheter TQS en mars dernier.
L'autre consortium, formé de Section Rouge Média et Evolutra Global, est toujours intéressé à acheter TQS. Le consortium québéco-ontarien entend aussi conserver les bulletins d'information, mais son offre prévoyait tout de même des coupes dans la salle des nouvelles. «Si jamais le CRTC décidait d'annuler la transaction avec Remstar, nous serions à nouveau sur les rangs, dit Me Jean-Pierre Rancourt, vice-président de Section Rouge Média. Selon notre plan, il resterait des nouvelles à TQS.»
Après s'être placé sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers en décembre dernier, TQS a été mis en vente par ses propriétaires, Cogeco et CTVglobemedia.
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Les Rémillard ont fait leur fortune dans les vidanges et nous savons tous que les vidandes puent.
La famille Rémillard démontre comment elle ne connait rien au média. Franchement, les méthodes du secteur des vidanges ne peut se transposer à un poste de télé. Ils sont complèment hors champ. Comment peuvent t'ils s'imaginer que leur méthode ne brassera pas quelques merdes. Car faut le dire, dans cette famille il y a quelques squelettes et si les journalistes décident de creuser il sera facile de faire remonter des choses pas jolies. Ceux qui ont un certain âge et qui habitaient la Rive-Sud dans les années 60, se souviennent du nom de Rémillard comme étant un maire qui n'a fait que passer dans Ville Jacques-Cartier. Léo-Aldéo Rémillard avait remporté les élections municipales à la surprise de tous en ayant plus de votes que ses deux pricipaux adversaires. Le gouvernement du Québec avait passé alors une loi en vitesse pour rendre inlégible un candidat avec un dossier judiciaire et monsieur Rémillard ne pouvait plus être maire. Il y avait aussi un de ses organisateur politique considéré comme un caïd qui avait été retrouvé assassiné je crois dans le bout de Saint-Amable. En tout cas vous voyez le genre. Enfin le fils fait fortune dans les vidanges et les petits fils calisse 270 personnes dehors, mettent en péril l'information régionale en province, comme ça, de même, parce qu'ils en ont décidé ainsi et ce sans avoir le courage d'expliquer en personne leurs raisons et leur plan pour l'avenir.
Ce doit être une question de gène....
La famille Rémillard démontre comment elle ne connait rien au média. Franchement, les méthodes du secteur des vidanges ne peut se transposer à un poste de télé. Ils sont complèment hors champ. Comment peuvent t'ils s'imaginer que leur méthode ne brassera pas quelques merdes. Car faut le dire, dans cette famille il y a quelques squelettes et si les journalistes décident de creuser il sera facile de faire remonter des choses pas jolies. Ceux qui ont un certain âge et qui habitaient la Rive-Sud dans les années 60, se souviennent du nom de Rémillard comme étant un maire qui n'a fait que passer dans Ville Jacques-Cartier. Léo-Aldéo Rémillard avait remporté les élections municipales à la surprise de tous en ayant plus de votes que ses deux pricipaux adversaires. Le gouvernement du Québec avait passé alors une loi en vitesse pour rendre inlégible un candidat avec un dossier judiciaire et monsieur Rémillard ne pouvait plus être maire. Il y avait aussi un de ses organisateur politique considéré comme un caïd qui avait été retrouvé assassiné je crois dans le bout de Saint-Amable. En tout cas vous voyez le genre. Enfin le fils fait fortune dans les vidanges et les petits fils calisse 270 personnes dehors, mettent en péril l'information régionale en province, comme ça, de même, parce qu'ils en ont décidé ainsi et ce sans avoir le courage d'expliquer en personne leurs raisons et leur plan pour l'avenir.
Ce doit être une question de gène....
Je met un lien juste pour démontrer que je n'invente pas, je ne fais que rapporter des faits. Désolé pour l'anglais
http://coolopolis.blogspot.com/2007_12_01_archive.html
Keith Pearson, aka Rocky Pearson had a business in Ville Jacques Cartier, now a part of Longueuil. He managed a construction firm. He was a big boy, a former boxer, known as the White Wolf.
Pearson was in in his 30s when he reached some serious status as a criminal, bank robbery, dealer and fixer of municipal elections. If you needed to win an election, you'd definitely be texting this guy.
He'd send over his tough guys to intimidate the opposition and jam ballot boxes. He was close to Léo-Aldéo Rémillard, who became mayor of the fast-growing town on the south shore in 1960, only to have his mayoral title stripped by a special provincial law passed in 1962 to prevent those with criminal records holding such jobs.
26 June, 1961 Keith Pearson was reported missing by his girlfriend. Cops got an anonymous tip and they found his body half buried in Saint-Amable-des-Varennes.
Frank Watson, 42, was Pearson's bodyguard/chauffeur. Watson was also an ex-con and an RCMP informant, paid $100 a week salary. Watson tells the RCMP who killed Pearson. But he tells police nothing, thereby keeping his cover. He waits for arrests. No arrests follow.
Two years go by and suddenly cops arrest four of Pearson's own men for the murder of their boss, they are: Rosaire Daoust, George Aird, Armand Larose and Raymond Caza.
Donald Cote, another wheel in the Pearson gang, is shot three times while leaving the hospital where his wife just gave birth. He survives. The trial of the Pearson gang begins. Legendary anti-crime Crown Prosecutor Claude Wagner takes on the prosecution.
The informant Watson - who meanwhile had been savagely beaten with a baseball bat in Ottawa - is no longer under cover. He tells the court that he returned from fetching hot dogs on June 26 at 4 p.m. to see three other guns pointed at him. He figured the boys had learned he was an informant and had just minutes to live. But in fact Pearson's own boys had just shot their boss. The boys force Watson to crack the unconscious Pearson on the head. Watson says Pearson was already dead anyway.
The sides rested their cases in March '64 but the jury quarreled, necessitating a retrial. May '65 they tried again. Same result. Two hung juries. No convictions.
Cote was acquitted on accessory charges. He learns to deal with his bullet-riddled body.
Pearson gang members Aird, Caza, Larose (who had since lost a leg from a car bomb September 10, 1962) and the American Edward Callaghan were convicted of an earlier bank robbery organized by Pearson and committed in January 1961 at a St. Hyacinthe Caisse Pop, which netted $133,000. The four were sentence to long prison terms in February 1966.
(Sources: Les Grands Proces du Quebec by Daniel Proulx, 203-210 and Le Crime Organise a Montreal 1940-1980 by Pierre de Champlain, p 125-129.)
http://coolopolis.blogspot.com/2007_12_01_archive.html
Keith Pearson, aka Rocky Pearson had a business in Ville Jacques Cartier, now a part of Longueuil. He managed a construction firm. He was a big boy, a former boxer, known as the White Wolf.
Pearson was in in his 30s when he reached some serious status as a criminal, bank robbery, dealer and fixer of municipal elections. If you needed to win an election, you'd definitely be texting this guy.
He'd send over his tough guys to intimidate the opposition and jam ballot boxes. He was close to Léo-Aldéo Rémillard, who became mayor of the fast-growing town on the south shore in 1960, only to have his mayoral title stripped by a special provincial law passed in 1962 to prevent those with criminal records holding such jobs.
26 June, 1961 Keith Pearson was reported missing by his girlfriend. Cops got an anonymous tip and they found his body half buried in Saint-Amable-des-Varennes.
Frank Watson, 42, was Pearson's bodyguard/chauffeur. Watson was also an ex-con and an RCMP informant, paid $100 a week salary. Watson tells the RCMP who killed Pearson. But he tells police nothing, thereby keeping his cover. He waits for arrests. No arrests follow.
Two years go by and suddenly cops arrest four of Pearson's own men for the murder of their boss, they are: Rosaire Daoust, George Aird, Armand Larose and Raymond Caza.
Donald Cote, another wheel in the Pearson gang, is shot three times while leaving the hospital where his wife just gave birth. He survives. The trial of the Pearson gang begins. Legendary anti-crime Crown Prosecutor Claude Wagner takes on the prosecution.
The informant Watson - who meanwhile had been savagely beaten with a baseball bat in Ottawa - is no longer under cover. He tells the court that he returned from fetching hot dogs on June 26 at 4 p.m. to see three other guns pointed at him. He figured the boys had learned he was an informant and had just minutes to live. But in fact Pearson's own boys had just shot their boss. The boys force Watson to crack the unconscious Pearson on the head. Watson says Pearson was already dead anyway.
The sides rested their cases in March '64 but the jury quarreled, necessitating a retrial. May '65 they tried again. Same result. Two hung juries. No convictions.
Cote was acquitted on accessory charges. He learns to deal with his bullet-riddled body.
Pearson gang members Aird, Caza, Larose (who had since lost a leg from a car bomb September 10, 1962) and the American Edward Callaghan were convicted of an earlier bank robbery organized by Pearson and committed in January 1961 at a St. Hyacinthe Caisse Pop, which netted $133,000. The four were sentence to long prison terms in February 1966.
(Sources: Les Grands Proces du Quebec by Daniel Proulx, 203-210 and Le Crime Organise a Montreal 1940-1980 by Pierre de Champlain, p 125-129.)
SÉrieux... j'en peux plus de tout ce tapage médiatique... damn.
Oui, c'est chien pour les employés mais en même temps, je crois que l'idée de Remstar n'est pas si stupide que ça.
Je ne sais pas trop comment expliquer mon point... mais j'ai l'impression que la télévision québécoise généraliste se doit de tenter d'innover afin de concurrencer le nouvel outil média par excellence : Internet.
Je suis contente que les deux frères Rémillard aient enfin parler aux médias et expliquer un peu mieux leur décision.
Oui, c'est chien pour les employés mais en même temps, je crois que l'idée de Remstar n'est pas si stupide que ça.
Je ne sais pas trop comment expliquer mon point... mais j'ai l'impression que la télévision québécoise généraliste se doit de tenter d'innover afin de concurrencer le nouvel outil média par excellence : Internet.
Je suis contente que les deux frères Rémillard aient enfin parler aux médias et expliquer un peu mieux leur décision.
Désolé mais je ne vois pas en quoi les sports le matin, les films l'après-midi et des dramatique le soir vont faire en sorte de faire concurence à internet justement.
[url=http://lilypie.com][img]http://lilypie.com/pic/090307/N3LF.jpg[/img][img]http://b3.lilypie.com/BWcSm5/.png[/img][/url]
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brunetta a écritDésolé mais je ne vois pas en quoi les sports le matin, les films l'après-midi et des dramatique le soir vont faire en sorte de faire concurence à internet justement.
Peut -être pas ça, mais ils disent vouloir mettre davantage de contenu pouvant permettre au public d'avoir de l'interaction, des discussions à la télé. Peut-être que j'interprète mal, mais je pense qu'ils veulent amener l'idée des blogues, des forums qui se retrouvent sur internet et le transposer à la télévision.
Je ne dis pas qu'il vont faire concurrence à Internet avec des films ou des sports. J'ai peut-être pas utilisé le bon mot... Ils vont adapter la chaîne aux nouveaux médias.
Personnellement, et je sais que je ne suis pas la majorité, je préfère regardé les films à la télé que sur internet, même chose pour les séries ou bien les sports.
Par contre, les nouvelles et l'actualité, je préfère aller sur le net parce que je peux choisir ce qui m'intéresse et pas attendre 30 minutes avant de voir la nouvelle qui m'intéresse et qui a été annoncé en début de bulletin.
Peut -être pas ça, mais ils disent vouloir mettre davantage de contenu pouvant permettre au public d'avoir de l'interaction, des discussions à la télé. Peut-être que j'interprète mal, mais je pense qu'ils veulent amener l'idée des blogues, des forums qui se retrouvent sur internet et le transposer à la télévision.
Je ne dis pas qu'il vont faire concurrence à Internet avec des films ou des sports. J'ai peut-être pas utilisé le bon mot... Ils vont adapter la chaîne aux nouveaux médias.
Personnellement, et je sais que je ne suis pas la majorité, je préfère regardé les films à la télé que sur internet, même chose pour les séries ou bien les sports.
Par contre, les nouvelles et l'actualité, je préfère aller sur le net parce que je peux choisir ce qui m'intéresse et pas attendre 30 minutes avant de voir la nouvelle qui m'intéresse et qui a été annoncé en début de bulletin.
TQS: les autres acheteurs croient aux nouvelles
Les deux autres acheteurs devancés par Remstar sont toujours intéressés à TQS. Et contrairement aux frères Rémillard, eux conserveraient les bulletins d'information.
«Nous sommes toujours intéressés à acheter TQS et notre plan d'affaires ne comprend aucune réduction dans la salle de nouvelles et dans les nouvelles régionales», dit Me Alain Gaul, l'avocat de Catalyst Capital Group, une firme torontoise d'investissement privé qui a présenté une offre afin d'acheter TQS en mars dernier.
L'autre consortium, formé de Section Rouge Média et Evolutra Global, est toujours intéressé à acheter TQS. Le consortium québéco-ontarien entend aussi conserver les bulletins d'information, mais son offre prévoyait tout de même des coupes dans la salle des nouvelles.
«Si jamais le CRTC décidait d'annuler la transaction avec Remstar, nous serions à nouveau sur les rangs, dit Me Jean-Pierre Rancourt, vice-président de Section Rouge Média. Selon notre plan, il resterait des nouvelles à TQS.»
Après s'être placé sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers en décembre dernier, TQS a été mis en vente par ses propriétaires, Cogeco et CTVglobemedia.
Les deux autres acheteurs devancés par Remstar sont toujours intéressés à TQS. Et contrairement aux frères Rémillard, eux conserveraient les bulletins d'information.
«Nous sommes toujours intéressés à acheter TQS et notre plan d'affaires ne comprend aucune réduction dans la salle de nouvelles et dans les nouvelles régionales», dit Me Alain Gaul, l'avocat de Catalyst Capital Group, une firme torontoise d'investissement privé qui a présenté une offre afin d'acheter TQS en mars dernier.
L'autre consortium, formé de Section Rouge Média et Evolutra Global, est toujours intéressé à acheter TQS. Le consortium québéco-ontarien entend aussi conserver les bulletins d'information, mais son offre prévoyait tout de même des coupes dans la salle des nouvelles.
«Si jamais le CRTC décidait d'annuler la transaction avec Remstar, nous serions à nouveau sur les rangs, dit Me Jean-Pierre Rancourt, vice-président de Section Rouge Média. Selon notre plan, il resterait des nouvelles à TQS.»
Après s'être placé sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers en décembre dernier, TQS a été mis en vente par ses propriétaires, Cogeco et CTVglobemedia.
Ils disent que les nouvelles coûtent très cher , selon ce que les experts disent la réponse est oui mais une chose que j'me demande , etant donné qu'ont a tva avec son lcn et src avec son rdi pourquoi a tqs ne se contentent-ils pas des nouvelles locales qui n'entraineraient pas de grand voyage dans le monde me semble que les couts seraient moindrent n'est-ce pas ?