Avez-vous peur de Pauline
En quoi ça te dérange qu'elle possède un château et que d'autres t'indiffèrent? Je pense aux Rémillard entre autres. Comment se fait-il qu'on ne fasse pas tout un plat de leur château évalué à 18 millions? Parce que ce sont des hommes???? Eh bin!
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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Red Ketchup
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Pour répondre à la question : Avez-vous peur de Pauline?
Ma réponse est : Non
Si la question avait été : Avez-vous peur de Mario?
Là je dirais : Oui
Croyez-vous à la réincarnation? Moi oui. L'ADQ est tout simplement la réincarnation de Duplessis, l'UN et le clergé des années de la grande noirceur.
Faites des enfants mesdames, c'est l'ADQ qui vous le dit. 2, c'est pas assez, la madame de l'ADQ en a 4, il faut battre son record. Yééééé.
Ma réponse est : Non
Si la question avait été : Avez-vous peur de Mario?
Là je dirais : Oui
Croyez-vous à la réincarnation? Moi oui. L'ADQ est tout simplement la réincarnation de Duplessis, l'UN et le clergé des années de la grande noirceur.
Faites des enfants mesdames, c'est l'ADQ qui vous le dit. 2, c'est pas assez, la madame de l'ADQ en a 4, il faut battre son record. Yééééé.
Red Ketchup a écritPour répondre à la question : Avez-vous peur de Pauline?
Ma réponse est : Non
Si la question avait été : Avez-vous peur de Mario?
Là je dirais : Oui
Croyez-vous à la réincarnation? Moi oui. L'ADQ est tout simplement la réincarnation de Duplessis, l'UN et le clergé des années de la grande noirceur.
Faites des enfants mesdames, c'est l'ADQ qui vous le dit. 2, c'est pas assez, la madame de l'ADQ en a 4, il faut battre son record. Yééééé.
C'est exactement ce que je ressens...
Ma réponse est : Non
Si la question avait été : Avez-vous peur de Mario?
Là je dirais : Oui
Croyez-vous à la réincarnation? Moi oui. L'ADQ est tout simplement la réincarnation de Duplessis, l'UN et le clergé des années de la grande noirceur.
Faites des enfants mesdames, c'est l'ADQ qui vous le dit. 2, c'est pas assez, la madame de l'ADQ en a 4, il faut battre son record. Yééééé.
C'est exactement ce que je ressens...
Red Ketchup a écritPour répondre à la question : Avez-vous peur de Pauline?
Ma réponse est : Non
Merci de ta réponse, pour le reste que j'ai effacé, ça n'avait aucun rapport avec Pauline.
Tu peux t'ouvrir un topic sur Mario si tu veux en parler.
Ma réponse est : Non
Merci de ta réponse, pour le reste que j'ai effacé, ça n'avait aucun rapport avec Pauline.
Tu peux t'ouvrir un topic sur Mario si tu veux en parler.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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.anthurium.
- Seigneur de la Causerie
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Red Ketchup a écritPour répondre à la question : Avez-vous peur de Pauline?
Ma réponse est : Non
Si la question avait été : Avez-vous peur de Mario?
Là je dirais : Oui
Croyez-vous à la réincarnation? Moi oui. L'ADQ est tout simplement la réincarnation de Duplessis, l'UN et le clergé des années de la grande noirceur.
Faites des enfants mesdames, c'est l'ADQ qui vous le dit. 2, c'est pas assez, la madame de l'ADQ en a 4, il faut battre son record. Yééééé.
En avez vous des solutions. On ne fait plus d'enfants on les avortes il y en a même plus a adopter. Comment faire monter le taux de natalité. Et en passant ce sont des mesures pour encourager la natalité et non des mesures restrictive qu.est-ce qui vous fait peur? Vous avez peur que si on donne le choix aux femmes elles choisissent d'élever leurs enfants elles -même ?
Est-ce que les femmes sont si libre que ça aujourd'hui?
Et pour ce qui est de monsieur Duplessi on dépeint sont époque comme la grande noirceur mais c'était une époque de dynamisme économique on lui doit beaucoup.
Duplessis, Maurice
Bien que controversée, l'autorité de Duplessis l'a fait reconnaître comme « le Chef » au Québec (avec la permission des Bibliothèque et Archives Canada/C-9338).
Duplessis, Maurice Le Noblet, premier ministre et procureur général du Québec de 1936 à 1939, puis de 1944 à 1959 (Trois-Rivières, Qc, 20 avril 1890 -- Schefferville, Qc, 7 sept. 1959). Son père, Nérée Le Noblet Duplessis, un fervent catholique, avait été député provincial conservateur de la circonscrïption de Trois-Rivières de 1886 à 1900. Candidat conservateur défait aux élections fédérales, il avait été nommé juge à la Cour supérieure par sir Robert L. BORDEN en 1915. Sa mère était d'origine irlandaise et écossaise.
Il étudie au Collège Notre-Dame à Montréal (où il devient en quelque sorte le protégé du frère (ANDRÉ) et au Séminaire de Trois-Rivières. Il obtient son diplôme en droit à la faculté de droit de l'U. Laval à Montréal, en 1913, et passe la Première Guerre mondiale au service de la milice locale. Il pratique le droit avec succès à Trois-Rivières, où il perd de justesse l'élection provinciale de 1923, mais il s'y fait élire pour la première fois en 1927 et sera réélu aux neuf prochaines élections.
Il aide le maire de Montréal, Camillien HOUDE, à écarter Arthur Sauvé de la direction du Parti conservateur provincial en 1929, puis se débarrasse de Houde après la débâcle électorale de 1931 qui voit la déroute des conservateurs sous sa direction. Confirmé chef du Parti conservateur du Québec en 1933, Duplessis fait la cour aux libéraux et aux nationalistes réformistes, mécontents et déçus du gouvernement libéral à l'esprit ultra - conservateur de Louis-Alexandre TASCHEREAU, qui se sont regroupés pour former l'ACTION LIBÉRALE NATIONALE. Deux semaines avant l'élection de 1935, Duplessis conclut une alliance avec eux et fonde l'UNION NATIONALE, en faisant de Paul GOUIN, un homme peu réaliste, son prétendu bras droit.
Taschereau revient au pouvoir en 1935, mais Duplessis l'oblige à démissionner en juin 1936, en livrant une prestation exceptionnelle devant le comité des Comptes publics où il expose la corruption et le gaspillage du régime, et en ayant recours à l'obstruction systématique à l'Assemblée législative. Duplessis se débarrasse de Gouin, neutralise ses alliés de l'Action libérale nationale, défait l'infortuné Joseph-Adélard GODBOUT et remporte une victoire écrasante aux élections d'août 1936, mettant ainsi fin aux 39 ans de règne libéral.
Son premier mandat déçoit. Sauf pour la mise sur pied du populaire crédit agricole, de sa commission des salaires raisonnables (en fait, une mesure relative au salaire minimum) et ses mesures pour l'assistance aux mères nécessiteuses et aux aveugles, il y a peu de projets de loi importants. Son administration est prodigue, et Duplessis lui-même mène une vie déréglée. Il est à cette époque un célibataire robuste et quelque peu alcoolique et il ne se mariera jamais. Il commet une bourde monumentale en annonçant une élection surprise en septembre 1939 axée sur la participation du Québec à l'effort de guerre.
Les ministres fédéraux du Québec, dont Ernest LAPOINTE, Arthur Cardin et C.G. POWER, menacent de démissionner si Duplessis est réélu, ce qui laisserait le Québec impuissant devant un Canada anglais en faveur de la conscrïption, et promettent que la CONscrïptION ne sera pas imposée s'il est défait.
Duplessis est réélu, mais l'équipe de Godbout remporte la victoire. Pendant son passage dans l'opposition, sa santé se détériore et, il passera de nombreux séjours à l'hôpital, en 1941 et 1942, pour y soigner une pneumonie et le diabète. Devenu sobre, il fait campagne sans relâche pendant deux ans et l'emporte de justesse en 1944 contre Godbout et le BLOC POPULAIRE CANADIEN, un parti nationaliste dirigé par André LAURENDEAU et Jean DRAPEAU et appuyé de surcroît par Henri BOURASSA. L'Union nationale est réélue en 1948, 1952 et 1956 et intervient avec succès dans d'autres élections, notamment lors de la défaite du maire de Montréal, Jean Drapeau, en 1957, et lors de l'élection de 50 députés conservateurs du Québec au gouvernement DIEFENBAKER.
-----------------------------------------------------------------
LIRE ICI:
Pendant les 15 années de son deuxième mandat, Duplessis affirme l'autorité du gouvernement du Québec sur l'Église, se bat contre le gouvernement fédéral et réussit à récupérer, du moins partiellement, la compétence concurrentielle de taxation directe après la Deuxième Guerre mondiale. Il fait aussi adopter des mesures sociales, dont des lois sur le salaire minimum et sur l'aide à l'accession à la propriété, les plus généreuses au Canada. Son administration se lance dans de grands projets de construction : autoroutes, hôpitaux, écoles et universités, et donne son aval aux imposantes centrales hydroélectriques qui apportent l'électricité au Québec rural.
Duplessis est également connu pour son attitude dure envers les syndicats en grève, en particulier à Noranda, ASBESTOS, Louiseville et Murdochville. Son mépris des concepts contemporains des libertés civiles est manifeste à l'occasion du litige concernant la fameuse LOI DU CADENAS, mesure anticommuniste qui est invalidée par la Cour suprême du Canada en 1957, et aussi lors de l'affaire RONCARELLI, qui se termine en 1959 par une ordonnance de ce tribunal obligeant Duplessis à verser 46 132 $ en dommages et intérêts.
Outre les gains obtenus en matière de compétences provinciales, Duplessis applique un certain nombre de mesures nationalistes symboliques, tels que l'adoption du drapeau du Québec. Il met en place une organisation politique très puissante. Le favoritisme atteint des proportions mythiques, mais Duplessis gouverne pendant une période de prospérité, de croissance économique et d'investissements inégalés,
où pour la première fois, le Québec fait du progrès par rapport à l'Ontario, quelque soit le critère social ou économique utilisé dans l'évaluation.
Un modernisateur, sauf en méthodologie politique, Duplessis perfectionne des méthodes d'antan pour élever l'État du Québec à une position de force encore jamais vu, face à l'Église, au gouvernement fédéral et à la communauté d'affaires anglo-saxonne de Montréal. Il s'appuie sur le clergé qu'il engage à de bas salaires pour effectuer des tâches essentiellement laïques dans les écoles et les hôpitaux, tout en réduisant ainsi l'épiscopat à une dépendance financière. Il réduit les impôts, présente des budgets équilibrés et réussit à convaincre les conservateurs et les nationalistes de voter dans le même sens pour ce qu'il appelle « l'autonomie ».
Son système de gouvernement s'écroule après sa mort, avec la disparition subite de ses successeurs, Paul SAUVÉ et Daniel JOHNSON, et le triomphe de la RÉVOLUTION TRANQUILLE. Maurice Duplessis avait une personnalité énigmatique et colorée : démagogue en public il était un homme sophistiqué, élégant et drôle en privé. Pendant la majeure partie de sa carrière, on l'a surnommé presque partout « le Chef », en raison de ses qualités de leader fort, quoique controversé, du Québec.
Auteur CONRAD M. BLACK
Je ne vois pas de grande noirceur moi je vois du dynamisme. C'est fou ce qu'on nous fait gober en répétant toujours les mêmes phrases dans les médias. La grande noirceur de l'Époque Duplessi est est une preuve. On ne connais pas Duplessi mais on l'accolle a une grande noirceur on l'accolle a la religion alors qu'il n'en avait rien a foutre personellement. Il a collaborer avec les religieux parcequ'il savait que c'était de la main d'oeuvre bon marché tout simplement.
Je ne connais pas son histoire mais je suis en train de m'apercevoir qu'on est en train de nous passer un sapin. vive internet qui nous donne de l'information un quelques clic
Ma réponse est : Non
Si la question avait été : Avez-vous peur de Mario?
Là je dirais : Oui
Croyez-vous à la réincarnation? Moi oui. L'ADQ est tout simplement la réincarnation de Duplessis, l'UN et le clergé des années de la grande noirceur.
Faites des enfants mesdames, c'est l'ADQ qui vous le dit. 2, c'est pas assez, la madame de l'ADQ en a 4, il faut battre son record. Yééééé.
En avez vous des solutions. On ne fait plus d'enfants on les avortes il y en a même plus a adopter. Comment faire monter le taux de natalité. Et en passant ce sont des mesures pour encourager la natalité et non des mesures restrictive qu.est-ce qui vous fait peur? Vous avez peur que si on donne le choix aux femmes elles choisissent d'élever leurs enfants elles -même ?
Est-ce que les femmes sont si libre que ça aujourd'hui?
Et pour ce qui est de monsieur Duplessi on dépeint sont époque comme la grande noirceur mais c'était une époque de dynamisme économique on lui doit beaucoup.
Duplessis, Maurice
Bien que controversée, l'autorité de Duplessis l'a fait reconnaître comme « le Chef » au Québec (avec la permission des Bibliothèque et Archives Canada/C-9338).
Duplessis, Maurice Le Noblet, premier ministre et procureur général du Québec de 1936 à 1939, puis de 1944 à 1959 (Trois-Rivières, Qc, 20 avril 1890 -- Schefferville, Qc, 7 sept. 1959). Son père, Nérée Le Noblet Duplessis, un fervent catholique, avait été député provincial conservateur de la circonscrïption de Trois-Rivières de 1886 à 1900. Candidat conservateur défait aux élections fédérales, il avait été nommé juge à la Cour supérieure par sir Robert L. BORDEN en 1915. Sa mère était d'origine irlandaise et écossaise.
Il étudie au Collège Notre-Dame à Montréal (où il devient en quelque sorte le protégé du frère (ANDRÉ) et au Séminaire de Trois-Rivières. Il obtient son diplôme en droit à la faculté de droit de l'U. Laval à Montréal, en 1913, et passe la Première Guerre mondiale au service de la milice locale. Il pratique le droit avec succès à Trois-Rivières, où il perd de justesse l'élection provinciale de 1923, mais il s'y fait élire pour la première fois en 1927 et sera réélu aux neuf prochaines élections.
Il aide le maire de Montréal, Camillien HOUDE, à écarter Arthur Sauvé de la direction du Parti conservateur provincial en 1929, puis se débarrasse de Houde après la débâcle électorale de 1931 qui voit la déroute des conservateurs sous sa direction. Confirmé chef du Parti conservateur du Québec en 1933, Duplessis fait la cour aux libéraux et aux nationalistes réformistes, mécontents et déçus du gouvernement libéral à l'esprit ultra - conservateur de Louis-Alexandre TASCHEREAU, qui se sont regroupés pour former l'ACTION LIBÉRALE NATIONALE. Deux semaines avant l'élection de 1935, Duplessis conclut une alliance avec eux et fonde l'UNION NATIONALE, en faisant de Paul GOUIN, un homme peu réaliste, son prétendu bras droit.
Taschereau revient au pouvoir en 1935, mais Duplessis l'oblige à démissionner en juin 1936, en livrant une prestation exceptionnelle devant le comité des Comptes publics où il expose la corruption et le gaspillage du régime, et en ayant recours à l'obstruction systématique à l'Assemblée législative. Duplessis se débarrasse de Gouin, neutralise ses alliés de l'Action libérale nationale, défait l'infortuné Joseph-Adélard GODBOUT et remporte une victoire écrasante aux élections d'août 1936, mettant ainsi fin aux 39 ans de règne libéral.
Son premier mandat déçoit. Sauf pour la mise sur pied du populaire crédit agricole, de sa commission des salaires raisonnables (en fait, une mesure relative au salaire minimum) et ses mesures pour l'assistance aux mères nécessiteuses et aux aveugles, il y a peu de projets de loi importants. Son administration est prodigue, et Duplessis lui-même mène une vie déréglée. Il est à cette époque un célibataire robuste et quelque peu alcoolique et il ne se mariera jamais. Il commet une bourde monumentale en annonçant une élection surprise en septembre 1939 axée sur la participation du Québec à l'effort de guerre.
Les ministres fédéraux du Québec, dont Ernest LAPOINTE, Arthur Cardin et C.G. POWER, menacent de démissionner si Duplessis est réélu, ce qui laisserait le Québec impuissant devant un Canada anglais en faveur de la conscrïption, et promettent que la CONscrïptION ne sera pas imposée s'il est défait.
Duplessis est réélu, mais l'équipe de Godbout remporte la victoire. Pendant son passage dans l'opposition, sa santé se détériore et, il passera de nombreux séjours à l'hôpital, en 1941 et 1942, pour y soigner une pneumonie et le diabète. Devenu sobre, il fait campagne sans relâche pendant deux ans et l'emporte de justesse en 1944 contre Godbout et le BLOC POPULAIRE CANADIEN, un parti nationaliste dirigé par André LAURENDEAU et Jean DRAPEAU et appuyé de surcroît par Henri BOURASSA. L'Union nationale est réélue en 1948, 1952 et 1956 et intervient avec succès dans d'autres élections, notamment lors de la défaite du maire de Montréal, Jean Drapeau, en 1957, et lors de l'élection de 50 députés conservateurs du Québec au gouvernement DIEFENBAKER.
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LIRE ICI:
Pendant les 15 années de son deuxième mandat, Duplessis affirme l'autorité du gouvernement du Québec sur l'Église, se bat contre le gouvernement fédéral et réussit à récupérer, du moins partiellement, la compétence concurrentielle de taxation directe après la Deuxième Guerre mondiale. Il fait aussi adopter des mesures sociales, dont des lois sur le salaire minimum et sur l'aide à l'accession à la propriété, les plus généreuses au Canada. Son administration se lance dans de grands projets de construction : autoroutes, hôpitaux, écoles et universités, et donne son aval aux imposantes centrales hydroélectriques qui apportent l'électricité au Québec rural.
Duplessis est également connu pour son attitude dure envers les syndicats en grève, en particulier à Noranda, ASBESTOS, Louiseville et Murdochville. Son mépris des concepts contemporains des libertés civiles est manifeste à l'occasion du litige concernant la fameuse LOI DU CADENAS, mesure anticommuniste qui est invalidée par la Cour suprême du Canada en 1957, et aussi lors de l'affaire RONCARELLI, qui se termine en 1959 par une ordonnance de ce tribunal obligeant Duplessis à verser 46 132 $ en dommages et intérêts.
Outre les gains obtenus en matière de compétences provinciales, Duplessis applique un certain nombre de mesures nationalistes symboliques, tels que l'adoption du drapeau du Québec. Il met en place une organisation politique très puissante. Le favoritisme atteint des proportions mythiques, mais Duplessis gouverne pendant une période de prospérité, de croissance économique et d'investissements inégalés,
où pour la première fois, le Québec fait du progrès par rapport à l'Ontario, quelque soit le critère social ou économique utilisé dans l'évaluation.
Un modernisateur, sauf en méthodologie politique, Duplessis perfectionne des méthodes d'antan pour élever l'État du Québec à une position de force encore jamais vu, face à l'Église, au gouvernement fédéral et à la communauté d'affaires anglo-saxonne de Montréal. Il s'appuie sur le clergé qu'il engage à de bas salaires pour effectuer des tâches essentiellement laïques dans les écoles et les hôpitaux, tout en réduisant ainsi l'épiscopat à une dépendance financière. Il réduit les impôts, présente des budgets équilibrés et réussit à convaincre les conservateurs et les nationalistes de voter dans le même sens pour ce qu'il appelle « l'autonomie ».
Son système de gouvernement s'écroule après sa mort, avec la disparition subite de ses successeurs, Paul SAUVÉ et Daniel JOHNSON, et le triomphe de la RÉVOLUTION TRANQUILLE. Maurice Duplessis avait une personnalité énigmatique et colorée : démagogue en public il était un homme sophistiqué, élégant et drôle en privé. Pendant la majeure partie de sa carrière, on l'a surnommé presque partout « le Chef », en raison de ses qualités de leader fort, quoique controversé, du Québec.
Auteur CONRAD M. BLACK
Je ne vois pas de grande noirceur moi je vois du dynamisme. C'est fou ce qu'on nous fait gober en répétant toujours les mêmes phrases dans les médias. La grande noirceur de l'Époque Duplessi est est une preuve. On ne connais pas Duplessi mais on l'accolle a une grande noirceur on l'accolle a la religion alors qu'il n'en avait rien a foutre personellement. Il a collaborer avec les religieux parcequ'il savait que c'était de la main d'oeuvre bon marché tout simplement.
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8114
- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
Outch, la vision du déchu Conrad Black. Pas sûr que je vais prendre ça pour du cash.
J'ai justement fait à l'époque de mon secondaire 4 une recherche sur Duplessis et m'était justement basé sur les deux livres de Black pour la faire. Duplessis était presque rendu mon idole.
Mettons que j'ai eu beaucoup d'autres sons de cloche depuis.
J'ai justement fait à l'époque de mon secondaire 4 une recherche sur Duplessis et m'était justement basé sur les deux livres de Black pour la faire. Duplessis était presque rendu mon idole.
Mettons que j'ai eu beaucoup d'autres sons de cloche depuis.
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8114
- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
.Anthurium., qu'est ce qui empèche les femmes de faire des enfants aujourd'hui? Les crédits d'impôt????
L'ADQ veut aider à faire des enfants donc, ils doivent faire des mesures sociales pour inciter que ça se fasse. N'est-ce pas là une manière très gau-gauche que l'on reproche constamment au PQ habituellement? L'état providence, faites des enfants, on va vous aider. Hummmm....
La nouvelle société québécoise passe immanquablement par l'immigration. Et c'est là que l'on doit se concentrer à aider à l'intégration.
Y'a déjà assez de monde sur la terre, c'est carrément irresponsable d'inciter les gens à faire plus d'enfants encore et encore. Moi je ne vois aucun problème à ce que notre société soit métissée, ça donne une caractérisque encore plus unique et forte à notre société québécoise.
Dumont nous demande de faire des pures laines ni plus ni moins. C'est un discours très proche de la branche droite du PQ dont je n'adhère en aucun temps.
L'ADQ veut aider à faire des enfants donc, ils doivent faire des mesures sociales pour inciter que ça se fasse. N'est-ce pas là une manière très gau-gauche que l'on reproche constamment au PQ habituellement? L'état providence, faites des enfants, on va vous aider. Hummmm....
La nouvelle société québécoise passe immanquablement par l'immigration. Et c'est là que l'on doit se concentrer à aider à l'intégration.
Y'a déjà assez de monde sur la terre, c'est carrément irresponsable d'inciter les gens à faire plus d'enfants encore et encore. Moi je ne vois aucun problème à ce que notre société soit métissée, ça donne une caractérisque encore plus unique et forte à notre société québécoise.
Dumont nous demande de faire des pures laines ni plus ni moins. C'est un discours très proche de la branche droite du PQ dont je n'adhère en aucun temps.
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.anthurium.
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Red Ketchup a écrit.Anthurium., qu'est ce qui empèche les femmes de faire des enfants aujourd'hui? Les crédits d'impôt????
L'ADQ veut aider à faire des enfants donc, ils doivent faire des mesures sociales pour inciter que ça se fasse. N'est-ce pas là une manière très gau-gauche que l'on reproche constamment au PQ habituellement? L'état providence, faites des enfants, on va vous aider. Hummmm....
La nouvelle société québécoise passe immanquablement par l'immigration. Et c'est là que l'on doit se concentrer à aider à l'intégration.
Y'a déjà assez de monde sur la terre, c'est carrément irresponsable d'inciter les gens à faire plus d'enfants encore et encore. Moi je ne vois aucun problème à ce que notre société soit métissée, ça donne une caractérisque encore plus unique et forte à notre société québécoise.
Dumont nous demande de faire des pures laines ni plus ni moins. C'est un discours très proche de la branche droite du PQ dont je n'adhère en aucun temps.
Tu as raison, prendre des impots pour la donner aux familles est une mesure de gauche. Dans mon monde idéal personne ne devrais avoir besoin d'un salaire pour faire des enfants. J'en suis la preuve. Je suis une maman a temps plein et je ne demande pas que la société paie pour moi. Pour la même raison je suis contre le fait de payer pour les garderies. Mais outre l'aspect financier ce que je reproche aux subventions aux garderies c'est que ca crée une norme chez les québécois de faire éduquer les enfants par les autres et que les quartier se sont vidés de leurs enfants.
Je suis pour les idées de l'ADQ parce ça donnerais le choix aux parents (plus il y a de choix et moins on est a gauche) Et ça enlèverais le pouvoir aux garderie.
Nous avons l'urgence de faire des enfants pour que le poids de la dette ne repose pas que sur quelques épaules.
Tu parle de métissage des québécois. Je n'ai rien contre du point de vue esthétique j'ai toujours aimer les beaux brun mais le problème avec l'immigration c'est qu'au Québec on favorise l'immigration de gens parlant français et ça nous limite dans nos choix. Et il faut intégrer tout ce monde si on ne veux pas créer le bordel comme en france. Qu'un ingénieur australien unilingue anglais immigre ici avec sa famille j'ai rien contre car son mode de vie ressemble quand même beaucoup aux notre, qu'une famille de mexicain unilingue espagnol immigre ici ça ne me dérange pas n'on plus car ils sont travaillant et de même religion que nous et peuvent nous en apprendre côté famille. Il faut voir quel bénéfice notre société retirera de l'immigrant. Je ne dit pas qu'il faut fermer nos frontières aux autres mais il faut favoriser l'immigration qui apportera un plus a notre société.
L'ADQ veut aider à faire des enfants donc, ils doivent faire des mesures sociales pour inciter que ça se fasse. N'est-ce pas là une manière très gau-gauche que l'on reproche constamment au PQ habituellement? L'état providence, faites des enfants, on va vous aider. Hummmm....
La nouvelle société québécoise passe immanquablement par l'immigration. Et c'est là que l'on doit se concentrer à aider à l'intégration.
Y'a déjà assez de monde sur la terre, c'est carrément irresponsable d'inciter les gens à faire plus d'enfants encore et encore. Moi je ne vois aucun problème à ce que notre société soit métissée, ça donne une caractérisque encore plus unique et forte à notre société québécoise.
Dumont nous demande de faire des pures laines ni plus ni moins. C'est un discours très proche de la branche droite du PQ dont je n'adhère en aucun temps.
Tu as raison, prendre des impots pour la donner aux familles est une mesure de gauche. Dans mon monde idéal personne ne devrais avoir besoin d'un salaire pour faire des enfants. J'en suis la preuve. Je suis une maman a temps plein et je ne demande pas que la société paie pour moi. Pour la même raison je suis contre le fait de payer pour les garderies. Mais outre l'aspect financier ce que je reproche aux subventions aux garderies c'est que ca crée une norme chez les québécois de faire éduquer les enfants par les autres et que les quartier se sont vidés de leurs enfants.
Je suis pour les idées de l'ADQ parce ça donnerais le choix aux parents (plus il y a de choix et moins on est a gauche) Et ça enlèverais le pouvoir aux garderie.
Nous avons l'urgence de faire des enfants pour que le poids de la dette ne repose pas que sur quelques épaules.
Tu parle de métissage des québécois. Je n'ai rien contre du point de vue esthétique j'ai toujours aimer les beaux brun mais le problème avec l'immigration c'est qu'au Québec on favorise l'immigration de gens parlant français et ça nous limite dans nos choix. Et il faut intégrer tout ce monde si on ne veux pas créer le bordel comme en france. Qu'un ingénieur australien unilingue anglais immigre ici avec sa famille j'ai rien contre car son mode de vie ressemble quand même beaucoup aux notre, qu'une famille de mexicain unilingue espagnol immigre ici ça ne me dérange pas n'on plus car ils sont travaillant et de même religion que nous et peuvent nous en apprendre côté famille. Il faut voir quel bénéfice notre société retirera de l'immigrant. Je ne dit pas qu'il faut fermer nos frontières aux autres mais il faut favoriser l'immigration qui apportera un plus a notre société.
Prière et chant religieux
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Citation :.anthurium. a dit :
Je ne vois pas de grande noirceur moi je vois du dynamisme. C'est fou ce qu'on nous fait gober en répétant toujours les mêmes phrases dans les médias. La grande noirceur de l'Époque Duplessi est est une preuve. On ne connais pas Duplessi mais on l'accolle a une grande noirceur on l'accolle a la religion alors qu'il n'en avait rien a foutre personellement. Il a collaborer avec les religieux parcequ'il savait que c'était de la main d'oeuvre bon marché tout simplement.
Je ne connais pas son histoire mais je suis en train de m'apercevoir qu'on est en train de nous passer un sapin. vive internet qui nous donne de l'information un quelques clic
Ne tente pas de réécrire l'histoire, quand même! Si tu veux compléter tes quelques clics d'infos, je t'invite à lire sur le différend qui opposait Mgr Charbonneau et le Cheuf... Pour un gars qui n'avait rien à foutre de la religion, il s'en servait et s'en asservissait drôlement... Tu en profiteras aussi pour lire sur la fondation de l'Université de Sherbrooke. Tente de trouver ce qu'il a servi à Mgr Cabana. Le grand dynamisme de Duplessis lui commandait de ne pas instruire le peuple qui dort car il pouvait davantage s'en asservir.
Enfin, comme dynamisme et grande clarté, tu devrais aussi jeter un rapide coup d'oeil sur toute la séquence des « Orphelins de Duplessis ». C'est bien vrai que c'était une période bien dynamique...
L'histoire ne se réinvente pas. Elle s'est formée et doit se lire comme tel...
Pour ton information, la grande période dynamique est venue suite au décès du Cheuf et l'arrivée des libéraux de Jean Lesage au pouvoir. Le tout a coincidé avec la tenue du Concile Vatican II. Il ne faut pas se tromper de période.
--Message edité par Beppo le 2008-03-13 14:40:02--
Je ne vois pas de grande noirceur moi je vois du dynamisme. C'est fou ce qu'on nous fait gober en répétant toujours les mêmes phrases dans les médias. La grande noirceur de l'Époque Duplessi est est une preuve. On ne connais pas Duplessi mais on l'accolle a une grande noirceur on l'accolle a la religion alors qu'il n'en avait rien a foutre personellement. Il a collaborer avec les religieux parcequ'il savait que c'était de la main d'oeuvre bon marché tout simplement.
Je ne connais pas son histoire mais je suis en train de m'apercevoir qu'on est en train de nous passer un sapin. vive internet qui nous donne de l'information un quelques clic
Ne tente pas de réécrire l'histoire, quand même! Si tu veux compléter tes quelques clics d'infos, je t'invite à lire sur le différend qui opposait Mgr Charbonneau et le Cheuf... Pour un gars qui n'avait rien à foutre de la religion, il s'en servait et s'en asservissait drôlement... Tu en profiteras aussi pour lire sur la fondation de l'Université de Sherbrooke. Tente de trouver ce qu'il a servi à Mgr Cabana. Le grand dynamisme de Duplessis lui commandait de ne pas instruire le peuple qui dort car il pouvait davantage s'en asservir.
Enfin, comme dynamisme et grande clarté, tu devrais aussi jeter un rapide coup d'oeil sur toute la séquence des « Orphelins de Duplessis ». C'est bien vrai que c'était une période bien dynamique...
L'histoire ne se réinvente pas. Elle s'est formée et doit se lire comme tel...
Pour ton information, la grande période dynamique est venue suite au décès du Cheuf et l'arrivée des libéraux de Jean Lesage au pouvoir. Le tout a coincidé avec la tenue du Concile Vatican II. Il ne faut pas se tromper de période.
--Message edité par Beppo le 2008-03-13 14:40:02--
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.anthurium.
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Beppo a écrit
Ne tente pas de réécrire l'histoire, quand même! Si tu veux compléter tes quelques clics d'infos, je t'invite à lire sur le différend qui opposait Mgr Charbonneau et le Cheuf... Pour un gars qui n'avait rien à foutre de la religion, il s'en servait et s'en asservissait drôlement... Tu en profiteras aussi pour lire sur la fondation de l'Université de Sherbrooke. Tente de trouver ce qu'il a servi à Mgr Cabana. Le grand dynamisme de Duplessis lui commandait de ne pas instruire le peuple qui dort car il pouvait davantage s'en asservir.
Enfin, comme dynamisme et grande clarté, tu devrais aussi jeter un rapide coup d'oeil sur toute la séquence des « Orphelins de Duplessis ». C'est bien vrai que c'était une période bien dynamique...
L'histoire ne se réinvente pas. Elle s'est formée et doit se lire comme tel...
Pour ton information, la grande période dynamique est venue suite au décès du Cheuf et l'arrivée des libéraux de Jean Lesage au pouvoir. Le tout a coincidé avec la tenue du Concile Vatican II. Il ne faut pas se tromper de période.
Dans le texte plus haut:
Son administration se lance dans de grands projets de construction : autoroutes, hôpitaux, écoles et universités, et donne son aval aux imposantes centrales hydroélectriques qui apportent l'électricité au Québec rural.
Aussi:
Pendant les 15 années de son deuxième mandat, Duplessis affirme l'autorité du gouvernement du Québec sur l'Église
Ne tente pas de réécrire l'histoire, quand même! Si tu veux compléter tes quelques clics d'infos, je t'invite à lire sur le différend qui opposait Mgr Charbonneau et le Cheuf... Pour un gars qui n'avait rien à foutre de la religion, il s'en servait et s'en asservissait drôlement... Tu en profiteras aussi pour lire sur la fondation de l'Université de Sherbrooke. Tente de trouver ce qu'il a servi à Mgr Cabana. Le grand dynamisme de Duplessis lui commandait de ne pas instruire le peuple qui dort car il pouvait davantage s'en asservir.
Enfin, comme dynamisme et grande clarté, tu devrais aussi jeter un rapide coup d'oeil sur toute la séquence des « Orphelins de Duplessis ». C'est bien vrai que c'était une période bien dynamique...
L'histoire ne se réinvente pas. Elle s'est formée et doit se lire comme tel...
Pour ton information, la grande période dynamique est venue suite au décès du Cheuf et l'arrivée des libéraux de Jean Lesage au pouvoir. Le tout a coincidé avec la tenue du Concile Vatican II. Il ne faut pas se tromper de période.
Dans le texte plus haut:
Son administration se lance dans de grands projets de construction : autoroutes, hôpitaux, écoles et universités, et donne son aval aux imposantes centrales hydroélectriques qui apportent l'électricité au Québec rural.
Aussi:
Pendant les 15 années de son deuxième mandat, Duplessis affirme l'autorité du gouvernement du Québec sur l'Église
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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.anthurium. a écrit
Dans le texte plus haut:
Son administration se lance dans de grands projets de construction : autoroutes, hôpitaux, écoles et universités, et donne son aval aux imposantes centrales hydroélectriques qui apportent l'électricité au Québec rural.
Aussi:
Pendant les 15 années de son deuxième mandat, Duplessis affirme l'autorité du gouvernement du Québec sur l'Église
En 1959, quand Duplessis est décédé, il n'y avait que 2 ou 3 universités pour tout le Québec soit Montréal, Laval et McGill. Je ne veux pas t'induire en erreur... mais vite de même... Il a fait poireauter Mgr Cabana pendant des jours dans son antichambre pour lui refuser les lettres patentes de la construction de l'Université de Sherbrooke.
Duplessis louvoyait et mangeait dans la soutane des prêtres afin d'obtenir leurs votes aux élections. Il invitait le clergé à proclamer que le « ciel était bleu et que l'enfer était rouge ».
Si tu fais une recherche sur le « moineau », tu vas te rendre compte qu'il avait même des ramifications au Vatican parvenant à faire dégommer Mgr Charbonneau (archevêque de Montréal) qui s'opposait aux vues du premier ministre dans le conflit de la mine d'Asbestos. D'ailleurs, dans ce conflit, émergea les Marchand, Pelletier et Trudeau.
Duplessis construisait des routes dans les comtés qui avaient voté pour lui. Il confie aussi à des intérêts anglais la gestion de l'électricité (Power Corporation) récupérée plus tard par René Lévesque alors ministre des richesses naturelles dans le cabinet de Jean Lesage.
J'ai bien de la difficulté à comprendre que Duplessis ait pu permettre la construction (il donnait l'autorisation en effet mais que la simple autorisation) d'hôpitaux et d'écoles alors que les communautés religieuses en assumaient les coûts. Duplessis était bien mal placé pour faire fi de la vie religieuse car sans cette dernière, le « Cheuf » n'aurait pas fait long feu.
N.B. Si tu avais l'occasion de visionner la série Duplessis (dont le rôle principal est tenu par le sénateur Jean Lapointe) ou d'assister à la pièce de théâtre intitulé « Charbonneau et le Chef », tu comprendrais sans doute l'ampleur du moineau.
Il est reconnu par la très grande majorité des historiens que suite au décès de Duplessis et surtout suite à l'élection du gouvernement de Jean Lesage vers le début des années '60, le Québec est sorti d'une période de grande noirceur. --Message edité par Beppo le 2008-03-13 20:10:38--
Dans le texte plus haut:
Son administration se lance dans de grands projets de construction : autoroutes, hôpitaux, écoles et universités, et donne son aval aux imposantes centrales hydroélectriques qui apportent l'électricité au Québec rural.
Aussi:
Pendant les 15 années de son deuxième mandat, Duplessis affirme l'autorité du gouvernement du Québec sur l'Église
En 1959, quand Duplessis est décédé, il n'y avait que 2 ou 3 universités pour tout le Québec soit Montréal, Laval et McGill. Je ne veux pas t'induire en erreur... mais vite de même... Il a fait poireauter Mgr Cabana pendant des jours dans son antichambre pour lui refuser les lettres patentes de la construction de l'Université de Sherbrooke.
Duplessis louvoyait et mangeait dans la soutane des prêtres afin d'obtenir leurs votes aux élections. Il invitait le clergé à proclamer que le « ciel était bleu et que l'enfer était rouge ».
Si tu fais une recherche sur le « moineau », tu vas te rendre compte qu'il avait même des ramifications au Vatican parvenant à faire dégommer Mgr Charbonneau (archevêque de Montréal) qui s'opposait aux vues du premier ministre dans le conflit de la mine d'Asbestos. D'ailleurs, dans ce conflit, émergea les Marchand, Pelletier et Trudeau.
Duplessis construisait des routes dans les comtés qui avaient voté pour lui. Il confie aussi à des intérêts anglais la gestion de l'électricité (Power Corporation) récupérée plus tard par René Lévesque alors ministre des richesses naturelles dans le cabinet de Jean Lesage.
J'ai bien de la difficulté à comprendre que Duplessis ait pu permettre la construction (il donnait l'autorisation en effet mais que la simple autorisation) d'hôpitaux et d'écoles alors que les communautés religieuses en assumaient les coûts. Duplessis était bien mal placé pour faire fi de la vie religieuse car sans cette dernière, le « Cheuf » n'aurait pas fait long feu.
N.B. Si tu avais l'occasion de visionner la série Duplessis (dont le rôle principal est tenu par le sénateur Jean Lapointe) ou d'assister à la pièce de théâtre intitulé « Charbonneau et le Chef », tu comprendrais sans doute l'ampleur du moineau.
Il est reconnu par la très grande majorité des historiens que suite au décès de Duplessis et surtout suite à l'élection du gouvernement de Jean Lesage vers le début des années '60, le Québec est sorti d'une période de grande noirceur. --Message edité par Beppo le 2008-03-13 20:10:38--
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Blanche Neige
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Beppo a écrit
En 1959, quand Duplessis est décédé, il n'y avait que 2 ou 3 universités pour tout le Québec soit Montréal, Laval et McGill. Je ne veux pas t'induire en erreur... mais vite de même... Il a fait poireauter Mgr Cabana pendant des jours dans son antichambre pour lui refuser les lettres patentes de la construction de l'Université de Sherbrooke.
Duplessis louvoyait et mangeait dans la soutane des prêtres afin d'obtenir leurs votes aux élections. Il invitait le clergé à proclamer que le « ciel était bleu et que l'enfer était rouge ».
Si tu fais une recherche sur le « moineau », tu vas te rendre compte qu'il avait même des ramifications au Vatican parvenant à faire dégommer Mgr Charbonneau (archevêque de Montréal) qui s'opposait aux vues du premier ministre dans le conflit de la mine d'Asbestos. D'ailleurs, dans ce conflit, émergea les Marchand, Pelletier et Trudeau.
Duplessis construisait des routes dans les comtés qui avaient voté pour lui. Il confie aussi à des intérêts anglais la gestion de l'électricité (Power Corporation) récupérée plus tard par René Lévesque alors ministre des richesses naturelles dans le cabinet de Jean Lesage.
J'ai bien de la difficulté à comprendre que Duplessis ait pu permettre la construction (il donnait l'autorisation en effet mais que la simple autorisation) d'hôpitaux et d'écoles alors que les communautés religieuses en assumaient les coûts. Duplessis était bien mal placé pour faire fi de la vie religieuse car sans cette dernière, le « Cheuf » n'aurait pas fait long feu.
N.B. Si tu avais l'occasion de visionner la série Duplessis (dont le rôle principal est tenu par le sénateur Jean Lapointe) ou d'assister à la pièce de théâtre intitulé « Charbonneau et le Chef », tu comprendrais sans doute l'ampleur du moineau.
Il est reconnu par la très grande majorité des historiens que suite au décès de Duplessis et surtout suite à l'élection du gouvernement de Jean Lesage vers le début des années '60, le Québec est sorti d'une période de grande noirceur.
Par contre, Duplessis a été au pouvoir pendant plus de 15 ans, il a été le dernier à savoir diriger une majorité. À sa mort, il a laissé le Québec avec une population de plus de 95% de Québécois dit de souche, alors qu’aujourd’hui, il en reste moins que 80% et ça s’en va vers la baisse et à grand pas.
C’était noir pâle dans ses années la et aujourd’hui, c’est blanc mais blanc sale!!!
En 1959, quand Duplessis est décédé, il n'y avait que 2 ou 3 universités pour tout le Québec soit Montréal, Laval et McGill. Je ne veux pas t'induire en erreur... mais vite de même... Il a fait poireauter Mgr Cabana pendant des jours dans son antichambre pour lui refuser les lettres patentes de la construction de l'Université de Sherbrooke.
Duplessis louvoyait et mangeait dans la soutane des prêtres afin d'obtenir leurs votes aux élections. Il invitait le clergé à proclamer que le « ciel était bleu et que l'enfer était rouge ».
Si tu fais une recherche sur le « moineau », tu vas te rendre compte qu'il avait même des ramifications au Vatican parvenant à faire dégommer Mgr Charbonneau (archevêque de Montréal) qui s'opposait aux vues du premier ministre dans le conflit de la mine d'Asbestos. D'ailleurs, dans ce conflit, émergea les Marchand, Pelletier et Trudeau.
Duplessis construisait des routes dans les comtés qui avaient voté pour lui. Il confie aussi à des intérêts anglais la gestion de l'électricité (Power Corporation) récupérée plus tard par René Lévesque alors ministre des richesses naturelles dans le cabinet de Jean Lesage.
J'ai bien de la difficulté à comprendre que Duplessis ait pu permettre la construction (il donnait l'autorisation en effet mais que la simple autorisation) d'hôpitaux et d'écoles alors que les communautés religieuses en assumaient les coûts. Duplessis était bien mal placé pour faire fi de la vie religieuse car sans cette dernière, le « Cheuf » n'aurait pas fait long feu.
N.B. Si tu avais l'occasion de visionner la série Duplessis (dont le rôle principal est tenu par le sénateur Jean Lapointe) ou d'assister à la pièce de théâtre intitulé « Charbonneau et le Chef », tu comprendrais sans doute l'ampleur du moineau.
Il est reconnu par la très grande majorité des historiens que suite au décès de Duplessis et surtout suite à l'élection du gouvernement de Jean Lesage vers le début des années '60, le Québec est sorti d'une période de grande noirceur.
Par contre, Duplessis a été au pouvoir pendant plus de 15 ans, il a été le dernier à savoir diriger une majorité. À sa mort, il a laissé le Québec avec une population de plus de 95% de Québécois dit de souche, alors qu’aujourd’hui, il en reste moins que 80% et ça s’en va vers la baisse et à grand pas.
C’était noir pâle dans ses années la et aujourd’hui, c’est blanc mais blanc sale!!!
Les vertus, la sagesse, le bonheur s'acquièrent par l'éducation. L'art de vivre s'apprend. Aristote.
Je ne connais pas beaucoup Maurice Duplessis, mais il serait possible que tout ne soit pas ni noir ni blanc, et qu'il ait apporté autant de bon que de mauvais ?
Faut se reporter à l'époque où le Quebec entier était dominé par le clergé.
Où ce n'était pas l'enseignant ni plus les parents qui établissaient les règles du bien et du mal; c'était Jésus, la bible, les évangiles, Dieu et la religion qui déterminait les bons comportements des mauvais.
Personnellement, des fois je regrette qu'en tant que parent, nous n'avons plus de point d'ancrage établi et partagé par tous, comme la religion à l'époque.
On est tous et chacun chez soi à dealer avec nos enfants. On a chacun nos valeurs.
Pour moi, s'habiller sexuelle à 13 ans n'est pas acceptable. Pour une autre maman c'est mignon un soutien gorge et le G-String assorti à 13 ans.
Des fois je m'ennuie du temps où la religion établissait certaines règles
Le gouvernement émet des lois.
Mais il y avait du bon dans la religion catholique en ce sens qu'elle émettait des valeurs, ce que le gouvernement ne peut faire.
Je ne sais pas si j'ai été claire dans ce que j'essayais de dire. Mais ma dernière phrase résume bien ma pensée (et je ne suis pas praticante d'aucune religion) --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-14 01:31:38--
Faut se reporter à l'époque où le Quebec entier était dominé par le clergé.
Où ce n'était pas l'enseignant ni plus les parents qui établissaient les règles du bien et du mal; c'était Jésus, la bible, les évangiles, Dieu et la religion qui déterminait les bons comportements des mauvais.
Personnellement, des fois je regrette qu'en tant que parent, nous n'avons plus de point d'ancrage établi et partagé par tous, comme la religion à l'époque.
On est tous et chacun chez soi à dealer avec nos enfants. On a chacun nos valeurs.
Pour moi, s'habiller sexuelle à 13 ans n'est pas acceptable. Pour une autre maman c'est mignon un soutien gorge et le G-String assorti à 13 ans.
Des fois je m'ennuie du temps où la religion établissait certaines règles
Le gouvernement émet des lois.
Mais il y avait du bon dans la religion catholique en ce sens qu'elle émettait des valeurs, ce que le gouvernement ne peut faire.
Je ne sais pas si j'ai été claire dans ce que j'essayais de dire. Mais ma dernière phrase résume bien ma pensée (et je ne suis pas praticante d'aucune religion) --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-14 01:31:38--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Blanche Neige a écrit
Par contre, Duplessis a été au pouvoir pendant plus de 15 ans, il a été le dernier à savoir diriger une majorité. À sa mort, il a laissé le Québec avec une population de plus de 95% de Québécois dit de souche, alors qu’aujourd’hui, il en reste moins que 80% et ça s’en va vers la baisse et à grand pas.
C’était noir pâle dans ses années la et aujourd’hui, c’est blanc mais blanc sale!!!
blanc sale???
tous les québécois sont des immigrants....
le terme de souche ressemble dangeureusement à la notion de race pure qui a causé l'holocauste....
il y a une race.. la race humaine.
Par contre, Duplessis a été au pouvoir pendant plus de 15 ans, il a été le dernier à savoir diriger une majorité. À sa mort, il a laissé le Québec avec une population de plus de 95% de Québécois dit de souche, alors qu’aujourd’hui, il en reste moins que 80% et ça s’en va vers la baisse et à grand pas.
C’était noir pâle dans ses années la et aujourd’hui, c’est blanc mais blanc sale!!!
blanc sale???
tous les québécois sont des immigrants....
le terme de souche ressemble dangeureusement à la notion de race pure qui a causé l'holocauste....
il y a une race.. la race humaine.
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8114
- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
Je n'aime pas non plus le terme "de souche" ni "pure laine".
Par définition, ça sous-entend que nous sommes tous d'origine française alors que l'origine de mon nom est anglais (et ça n'a pas empêché plusieurs de mes ancêtres d'être des patriotes) et d'autres viennent de l'irlandais ou de l'écossais.
Comme disait Plume : On est toute une gang de bâtard pis on est ben content.
Par contre, il s'est quand même dégagé des spécificités propre à notre peuple. Une culture et une langue que l'on partage aujourd'hui, des us et coutumes similaires dont l'immigrant doit tenir compte lorsqu'il arrive ici.
J'espère que Dumont ne reprendra pas le rôle des soutanes du temps de Duplessis qui visitaient les foyers pour être bien certains que la pondeuse de la maison avait bien fait sa part cette année.
Par définition, ça sous-entend que nous sommes tous d'origine française alors que l'origine de mon nom est anglais (et ça n'a pas empêché plusieurs de mes ancêtres d'être des patriotes) et d'autres viennent de l'irlandais ou de l'écossais.
Comme disait Plume : On est toute une gang de bâtard pis on est ben content.
Par contre, il s'est quand même dégagé des spécificités propre à notre peuple. Une culture et une langue que l'on partage aujourd'hui, des us et coutumes similaires dont l'immigrant doit tenir compte lorsqu'il arrive ici.
J'espère que Dumont ne reprendra pas le rôle des soutanes du temps de Duplessis qui visitaient les foyers pour être bien certains que la pondeuse de la maison avait bien fait sa part cette année.
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Blanche Neige
- Caïd de la Causette
- Messages : 969
- Inscription : lun. janv. 26, 2004 1:00 am