C'est ça le PQ

[Savvy]

[...]


Pour le respect, c'est toi que je visais. Si ce n'est pas moi que tu visais en parlant de provocation, je m'en excuse.

Et pour ceux qui ne voient que de la provocation dans les articles et les commentaires que je met sur le PQ, c'est ce que j'en pense du PQ et je le dis.

Mon opinion je l'ai donné et je ne répèterai pas inutilement. Désolé! Je ne crois pas avoir manqué de respect à qui que ce soit. En répondant à Red K, je n'ai fait qu'émettre un avis dans le respect et sans insulte, car ma mère m'a très bien élevée.

[unpeucommeavant]

[...]


La provocation, on peut la voir n'importe où, tout dépendant de quel bord on se situe.

Je ne saisi pas ton point de vue sur la provocation.

Faire des copier-coller négatifs envers le PQ sur une base régulière c'est à sens unique. Où est l'autre côté ???

Comment expliques-tu que cela dépend du bord où on se situe ???

[unpeucommeavant]

[...]


Pour le respect, c'est toi que je visais. Si ce n'est pas moi que tu visais en parlant de provocation, je m'en excuse.

Et pour ceux qui ne voient que de la provocation dans les articles et les commentaires que je met sur le PQ, c'est ce que j'en pense du PQ et je le dis.

Il serait peut-être intéressant que tu puisses écrire tes propres idées et non faire des copier-coller.

Te lèves-tu chaque matin en disant: "Ah...... aujourd'hui je vais faire un copier-coller contre le PQ" ????

J'aimerais bien échanger et connaître ton point de vue de façon plus précise.

Personnellement, je crains que la langue française disparaisse au Québec ???

Quelle est ta crainte face au PQ ???

[Nikki]

[...]


Il serait peut-être intéressant que tu puisses écrire tes propres idées et non faire des copier-coller.

Te lèves-tu chaque matin en disant: "Ah...... aujourd'hui je vais faire un copier-coller contre le PQ" ????

J'aimerais bien échanger et connaître ton point de vue de façon plus précise.

Personnellement, je crains que la langue française disparaisse au Québec ???

Quelle est ta crainte face au PQ ???

Tu sais, Jumbo a le droit selon les règles du DB de faire un topic comme celui-ci.
Chacun est libre de donner son avis ou pas.

[Savvy]

[...]


Tu sais, Jumbo a le droit selon les règles du DB de faire un topic comme celui-ci.
Chacun est libre de donner son avis ou pas.

Je crois que ce qui bloque toutes discussions sur le sujet ce n'est pas tant les copié/collé de divers textes, car comme tu dis Jumbo a le droit si elle le désire de faire ainsi son topic, mais les commentaires qui n'ouvrent pas à la discussion, mais qui ne dépareraient pas dans les quelques topics qu'on lit sur les vedettes. Ça ne motive personne à discuter car on sent que ce n'est pas l'intention derrière le message initial. Alors où est l'esprit du forum a ce moment là? Encore si j'étais la seule à le sentir comme ça, mais ça ne semble tellement pas le cas.
C'est désolant parce que même si on est en désaccord, je crois que les gens peuvent discuter et défendre un point de vue différent sans chercher à ridiculiser ses vis-à-vis.

[Red K]

[...]


Pour le respect, c'est toi que je visais. Si ce n'est pas moi que tu visais en parlant de provocation, je m'en excuse.

Et pour ceux qui ne voient que de la provocation dans les articles et les commentaires que je met sur le PQ, c'est ce que j'en pense du PQ et je le dis.

C'est parce que, bien souvent dans les articles que tu copie/colle ici, il n'y a pas grand matière à ''descendre'' le PQ. Ce sont plutôt tes réflexions qui me laissent perplexe et me laisse penser que tu ne lis probablement pas de la même façon que moi et ne comprend pas de la même manière.

[Acrux]

[...]


Personnellement, je crains que la langue française disparaisse au Québec ???

Quelle est ta crainte face au PQ ???

Moi ma crainte face au PQ c'est que s'ils tombent au pouvoir qu'ils foutent la merde partout dans le but de créer une méga guerre Québec-Ottawa (on sait tous pourquoi) où le Québec ne pourrait qu'en sortir perdant.

Le PQ au pouvoir favorisera toujours les chicanes avec Ottawa pour démontrer OH COMBIEN nous faisons pitié... Moi je veux un parti qui sait négocier pour faire des gains et "contribuer" à faire évoluer le système canadien, et plus...

Je serai toujours davantage axée sur les regroupements que sur les séparations.


Et pour en ajouter un peu, ce que je souhaite c'est de l'autonomie régional. Avec le PLQ on obtient de la centralisation d'Ottawa et avec le PQ on obtient de la centralisation de Québéc. Peu importe qui sont les cravatés, quand les pouvoirs sont centralisé l'argent se perd dans une bureaucratie lourdement coûteuse...

[Acrux]

Et pour défendre un peu ce topic, sachant que ça fait des années que je me fais dire dans le Dôme que cette crainte est non fondé, je dirai qu'elle est très bien mise en valeur dans plusieurs sujets de ce topic, particulièrement dans celui-ci :

C'est dire à mots couverts que les citoyens du Québec sont des ......?.

Publié le 11 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00


«Crise» et souveraineté: «le chat sort du sac»

Michel Corbeil
Le Soleil


(Québec) Pour Jean Charest, l'ancien chef du PQ Jacques Parizeau dit tout haut ce que son successeur Pauline Marois pense tout bas lorsqu'il estime qu'une crise politique avec Ottawa serait très utile à la cause souverainiste.

Une manchette sur l'ex-chef péquiste a de nouveau fait le bonheur de Jean Charest et des ministres de son équipe libérale. Hier, celle du Devoir revenait sur un discours prononcé, samedi, au colloque des Intellectuels pour la souveraineté. Jacques Parizeau y mentionne, en s'en amusant, qu'un de ses anciens conseillers lui faisait valoir que «pour faire la souveraineté, il faut une crise».


À son auditoire, composé de «vieux camarades de combat», l'indépendantiste de toujours laisse tomber que «c'est évident qu'un référendum sur un sujet défini peut créer une crise», une allusion au plan lancé récemment par Pauline Marois pour réaliser la souveraineté en rapatriant des pouvoirs qu'exerce Ottawa.


Pendant que Mme Marois prenait garde de contredire son ancien chef, Jean Charest, lui, a profité de la première occasion pour accuser ses adversaires du Parti québécois d'hypocrisie.


Marois écope


«M. Parizeau dit à voix haute ce que Mme Marois ne veut pas dire», a lancé le premier ministre aux journalistes. «J'ai une question très simple à poser à tous les députés du PQ : est-ce qu'ils sont d'accord, oui ou non, avec M. Parizeau?» a-t-il repris en Chambre.


Selon M. Charest, Mme Marois ne peut se dissocier de la position tenue par Jacques Parizeau. «Elle dirait le contraire que cela n'aurait aucune crédibilité. Quand il a pris la parole, de toute évidence, il était bien informé de la stratégie de

Mme Marois. Il avait même des sondages en main», commandés par le PQ et le Bloc québécois.


«Est-ce qu'on peut avoir plus tordu que de souhaiter du tort aux citoyens du Québec pour faire avancer la cause de la souveraineté ?» a martelé le chef libéral, à l'Assemblée nationale. «Vouloir nuire aux intérêts du Québec ne peut être autre chose qu'un mauvais calcul», a-t-il mentionné en point de presse.


Les ministres Claude Béchard (Ressources naturelles) et Jacques Dupuis (leader parlementaire) ont eu les mêmes mots pour commenter la situation. «Le chat sort du sac.»


Pour M. Dupuis, «ça fait leur affaire [aux partisans du PQ] de créer des crises pour arriver à leurs fins». M. Béchard a soutenu que tout ce que Pauline Marois veut mettre en place, «c'est quelque chose pour provoquer une belle grosse chicane constitutionnelle».


Depuis Montréal, où elle participait à une conférence, la chef du PQ a pris le parti de Jacques Parizeau tout en évitant d'accréditer la thèse qu'elle veut provoquer un affrontement avec le gouvernement fédéral. «Nous ne souhaitons évidemment pas des crises. S'il devait y en avoir, ce serait plutôt Ottawa qui les provoquerait.»


Situation «profitable»


Pauline Marois a admis à demi-mot qu'une telle situation serait profitable à l'option politique qu'elle défend . «Quand des choses comme celles-là arrivent», a-t-elle évoqué au sujet de l'échec de l'accord du lac Meech, à la fin des années 80, cela «choque [les Québécois] et, les choquant, des fois, ils se disent peut-être qu'on devrait faire autre chose.»


À Québec, le leader parlementaire du PQ, Stéphane Bédard, a tout fait pour ne pas se prononcer sur le profit que peuvent tirer les tenants de l'indépendance d'un affrontement avec Ottawa. «Ce que nous souhaitons, c'est que le Québec avance. [...] Ce qui est clair, c'est que M. Charest est le premier premier ministre, depuis l'échec de 1981 [lors du rapatriement de la Constitution], à ne pas réclamer de pouvoirs» du gouvernement fédéral.


Pour le Comité national des jeunes du PQ, un affrontement pourrait être salutaire au mouvement souverainiste . La vice-présidente aux communications Gabrielle Lemieux s'en remet au fait que, «traditionnellement», Ottawa «se ferme les yeux et les oreilles», lorsque le Québec lui fait parvenir des demandes. «C'est sûr que cela peut créer une crise où les Québécois se rendront compte [...] que ça [le fédéralisme] ne fonctionne pas. Mais le but du plan [Marois] n'est évidemment pas de créer une crise», a-t-elle insisté.


Dans son allocution, Jacques Parizeau cite les données d'une enquête d'opinion. Elle mentionne que 49 % des Québécois souhaitent l'accession du Québec à la souveraineté, mais que seulement 34 % croient que cela se réalisera. Selon le sondage, les 54 à 65 ans sont majoritairement souverainistes, mais les 35 à 44 ans le seraient moins. Cette génération, commente l'ex-chef péquiste, a «décroché». Elle avait 20 ans au référendum de 1995 et elle a «l'impression profonde de s'être fait avoir».


Avec la collaboration de La Presse Canadienne

[unpeucommeavant]

[...]
Moi ma crainte face au PQ c'est que s'ils tombent au pouvoir qu'ils foutent la merde partout dans le but de créer une méga guerre Québec-Ottawa (on sait tous pourquoi) où le Québec ne pourrait qu'en sortir perdant.

Le PQ au pouvoir favorisera toujours les chicanes avec Ottawa pour démontrer OH COMBIEN nous faisons pitié... Moi je veux un parti qui sait négocier pour faire des gains et "contribuer" à faire évoluer le système canadien, et plus...

Je serai toujours davantage axée sur les regroupements que sur les séparations.


Et pour en ajouter un peu, ce que je souhaite c'est de l'autonomie régional. Avec le PLQ on obtient de la centralisation d'Ottawa et avec le PQ on obtient de la centralisation de Québéc. Peu importe qui sont les cravatés, quand les pouvoirs sont centralisé l'argent se perd dans une bureaucratie lourdement coûteuse...

J'apprécie ta réponse sans quoi je me sentirais sur un forum contemplatif et sans âme où l'on soliloque chacun de son côté béatement.

Personnellement, je ne crois pas que le système canadien va permettre à la langue française de survivre.

Je trouve que la terminologie "méga-guerre" est exagérée, mais est-ce que le PQ aurait intérêt à faire du sabotage discret (genre fermer les yeux sur des gaffes du fédéral) ou à souhaiter que le système canadien s'enfarge dans ses lacets de bottines ??? Probablement que oui, mais une stratégie dévoilée n'est plus utile. Ils devront trouver autre chose.

[jumbo]

Publié le 21 juillet 2009 à 05h00 | Mis à jour le 21 juillet 2009 à 09h04


Un PQ «plus uni que jamais», clame Marois
Pauline Marois a expédié un courriel de ralliement à ses militants d'influence après une fin de session parlementaire éprouvante.
Photothèque Le Soleil
Michel Corbeil
Le Soleil


(Québec) Avant de partir pour ses vacances, Pauline Marois a tenu à le proclamer à ses présidents d'association?: les péquistes sont «plus unis que jamais!».

Ce titre coiffe le courriel expédié à ces militants d'influence, au lendemain d'une fin de session parlementaire éprouvante pour le Parti québécois, redevenu l'opposition officielle à l'Assemblée nationale.


La chef du PQ a adressé son message à la fin du mois de juin, quelques jours après la fin des hostilités parlementaires. «C'est notre solidarité exemplaire qui déplaît royalement à nos adversaires et qui semble nouvelle et inhabituelle pour les analystes», soutient Mme Marois.



Le point de vue prétendant que «le Parti québécois vit des difficultés majeures à la suite de trois événements malheureux [...] relève d'un souhait de nos adversaires plutôt que de la réalité», fait-elle valoir.


Ces «événements» sont «les résultats de la partielle dans Rivière-du-Loup», que le PQ a perdue; «la déclaration hors contexte de Jacques Parizeau», où l'ex-chef péquiste spéculait sur le fait qu'une crise politique pourrait servir la cause souverainiste; et «le départ de François Legault», la démission du député de Rousseau qui a mis en boîte les ministres libéraux dans les dossiers économiques.


Mme Marois s'abstient de préciser qui sont les analystes visés par ses propos. Un de ses collaborateurs a mentionné qu'il s'agit d'observateurs «qui sont alimentés par l'adversaire».


Il «n'y a rien d'inhabituel» à ce qu'un leader s'adresse à ses troupes, a-t-on plaidé au Soleil. La source qui nous a fait parvenir le message a, par contre, commenté qu'il est rare que ce genre de commentaire se fasse par écrit, surtout que l'affirmation risque paradoxalement de sonner comme l'admission qu'il y a division au Parti québécois.


Plan unanime


La missive dans Internet rappelle aux présidents d'association de circonscription que le PQ a récupéré son statut d'opposition officielle, au terme des élections du 8 décembre. Mme Marois signale que le plan qu'elle a proposé pour accéder à la souveraineté a été accepté sans opposition par sa formation politique. Elle cite Le Devoir pour indiquer que les Québécois y sont favorables, un article rédigé à partir d'un sondage réalisé pour le PQ.


Pauline Marois profite du courriel pour écorcher le chef libéral. «Jean Charest cherche la division dans nos rangs pour cacher le vide idéologique de son parti et pour améliorer son image.»


La chef insiste sur le fait que les sondages internes du PQ font état qu'une courte majorité d'électeurs (54,7 %) sont insatisfaits du gouvernement Charest. Une telle attaque est compréhensible, men­tionne un conseiller de la chef péquiste. Mme Marois a signé sa missive peu de temps après la conférence de presse où Jean Charest a fait le bilan de la session parlementaire. En 45 minutes, le premier ministre a mentionné 60 fois le nom de Pauline Marois, a calculé le Parti québécois.


Le PQ uni plus que jamais.
Elle en fume du bon notre Pauline nationale.

[Ely]

Jumbo, tu pense qu'elle fait poussé quoi dans son petit jardin à Charlevoix ??? de la ciboulette peut-être

[unpeucommeavant]

Publié le 21 juillet 2009 à 05h00 | Mis à jour le 21 juillet 2009 à 09h04


Un PQ «plus uni que jamais», clame Marois
Pauline Marois a expédié un courriel de ralliement à ses militants d'influence après une fin de session parlementaire éprouvante.
Photothèque Le Soleil
Michel Corbeil
Le Soleil


(Québec) Avant de partir pour ses vacances, Pauline Marois a tenu à le proclamer à ses présidents d'association?: les péquistes sont «plus unis que jamais!».

Ce titre coiffe le courriel expédié à ces militants d'influence, au lendemain d'une fin de session parlementaire éprouvante pour le Parti québécois, redevenu l'opposition officielle à l'Assemblée nationale.


La chef du PQ a adressé son message à la fin du mois de juin, quelques jours après la fin des hostilités parlementaires. «C'est notre solidarité exemplaire qui déplaît royalement à nos adversaires et qui semble nouvelle et inhabituelle pour les analystes», soutient Mme Marois.



Le point de vue prétendant que «le Parti québécois vit des difficultés majeures à la suite de trois événements malheureux [...] relève d'un souhait de nos adversaires plutôt que de la réalité», fait-elle valoir.


Ces «événements» sont «les résultats de la partielle dans Rivière-du-Loup», que le PQ a perdue; «la déclaration hors contexte de Jacques Parizeau», où l'ex-chef péquiste spéculait sur le fait qu'une crise politique pourrait servir la cause souverainiste; et «le départ de François Legault», la démission du député de Rousseau qui a mis en boîte les ministres libéraux dans les dossiers économiques.


Mme Marois s'abstient de préciser qui sont les analystes visés par ses propos. Un de ses collaborateurs a mentionné qu'il s'agit d'observateurs «qui sont alimentés par l'adversaire».


Il «n'y a rien d'inhabituel» à ce qu'un leader s'adresse à ses troupes, a-t-on plaidé au Soleil. La source qui nous a fait parvenir le message a, par contre, commenté qu'il est rare que ce genre de commentaire se fasse par écrit, surtout que l'affirmation risque paradoxalement de sonner comme l'admission qu'il y a division au Parti québécois.


Plan unanime


La missive dans Internet rappelle aux présidents d'association de circonscription que le PQ a récupéré son statut d'opposition officielle, au terme des élections du 8 décembre. Mme Marois signale que le plan qu'elle a proposé pour accéder à la souveraineté a été accepté sans opposition par sa formation politique. Elle cite Le Devoir pour indiquer que les Québécois y sont favorables, un article rédigé à partir d'un sondage réalisé pour le PQ.


Pauline Marois profite du courriel pour écorcher le chef libéral. «Jean Charest cherche la division dans nos rangs pour cacher le vide idéologique de son parti et pour améliorer son image.»


La chef insiste sur le fait que les sondages internes du PQ font état qu'une courte majorité d'électeurs (54,7 %) sont insatisfaits du gouvernement Charest. Une telle attaque est compréhensible, men­tionne un conseiller de la chef péquiste. Mme Marois a signé sa missive peu de temps après la conférence de presse où Jean Charest a fait le bilan de la session parlementaire. En 45 minutes, le premier ministre a mentionné 60 fois le nom de Pauline Marois, a calculé le Parti québécois.


Le PQ uni plus que jamais.
Elle en fume du bon notre Pauline nationale.

Tout d'abord, tu as raison il y a et aura des factions et des idées différentes au PQ comme dans tous les partis politiques et regroupements humains.

Mais ça brasse un peu plus que dans les autres partis. C'est que le PQ est un parti passionnel. Sa raison d'être "construire un pays" soulèvent les émotions et les gens s'y engagent par idéalisme.

La majorité des autres partis ne sont que des partis de gestion qui n'aspirent qu'à obtenir le pouvoir et ensuite de le conserver.

John James Charest (c'est son vrai nom sur son baptistère) est passé de chef du parti Progressiste-Conservateur du Canada à chef du parti Libéral du Québec.

Son parcours n'est pas une suite logique d'idéalismes politiques à réaliser pour le bien de tous mais plutôt une quête du pouvoir.

Il n'y a pas d'idéologie dans son parti comme le cite Madame Marois.

[jumbo]

[...]


Tout d'abord, tu as raison il y a et aura des factions et des idées différentes au PQ comme dans tous les partis politiques et regroupements humains.

Mais ça brasse un peu plus que dans les autres partis. C'est que le PQ est un parti passionnel. Sa raison d'être "construire un pays" soulèvent les émotions et les gens s'y engagent par idéalisme.

La majorité des autres partis ne sont que des partis de gestion qui n'aspirent qu'à obtenir le pouvoir et ensuite de le conserver.

John James Charest (c'est son vrai nom sur son baptistère) est passé de chef du parti Progressiste-Conservateur du Canada à chef du parti Libéral du Québec.

Son parcours n'est pas une suite logique d'idéalismes politiques à réaliser pour le bien de tous mais plutôt une quête du pouvoir.

Il n'y a pas d'idéologie dans son parti comme le cite Madame Marois.

Ce que toi tu vois comme: vouloir construire un pays, pour d'autres ça veut dire: vouloir détruire un beau pays.

[liz]

[...]


Ce que toi tu vois comme: vouloir construire un pays, pour d'autres ça veut dire: vouloir détruire un beau pays.

Pas besoin du PQ pour ca... Harper s'en charge d'aplomb ...

Sauf que lui, y fait pas expres...

[Red K]

[...]


Ce que toi tu vois comme: vouloir construire un pays, pour d'autres ça veut dire: vouloir détruire un beau pays.

Philosophie très conservatrice. Ne changeons rien. Nous préférons rester dans la m.... parce qu'on la connait bien. Fuyons l'inconnu.

LA CANADA. Un pas en avant, deux pas en arrière.

Tu sais Jumbo que le plus beau meilleur pays au monde a perdu son rang depuis déjà plusieurs années et ça ne cesse de dégringoler.

Tu sais aussi que les épouvantails du début des tenants du non se sont avérés ridicule. Par exemple, le dollar qui tomberait sous les 70 cents si le Québec se séparait. Ben, on ne s'est pas séparé et le dollar est quand même descendu sous le 70 cents un moment donné.

Tu sais que le déficit existe au Canada et si ce sont les provinces qui en ont des plus gros que le fédéral, c'est peut-être parce que le fédéral ne distribue pas l'argent que NOUS, CITOYEN, nous lui versons et mettent dans la m.... les provinces.

Tu sais aussi sûrement que les magouilles politiques existent même dans ton plus beau meilleur pays du monde (scandale des commendites et autres).

Le Canada n'a pas besoin du Québec pour se détruire lui même dans le fond.

[jumbo]

[...]



Philosophie très conservatrice. Ne changeons rien. Nous préférons rester dans la m.. .. parce qu'on la connait bien. Fuyons l'inconnu.

LA CANADA. Un pas en avant, deux pas en arrière.

Tu sais Jumbo que le plus beau meilleur pays au monde a perdu son rang depuis déjà plusieurs années et ça ne cesse de dégringoler.

Tu sais aussi que les épouvantails du début des tenants du non se sont avérés ridicule. Par exemple, le dollar qui tomberait sous les 70 cents si le Québec se séparait. Ben, on ne s'est pas séparé et le dollar est quand même descendu sous le 70 cents un moment donné.

Tu sais que le déficit existe au Canada et si ce sont les provinces qui en ont des plus gros que le fédéral, c'est peut-être parce que le fédéral ne distribue pas l'argent que NOUS, CITOYEN, nous lui versons et mettent dans la m.... les provinces.

Tu sais aussi sûrement que les magouilles politiques existent même dans ton plus beau meilleur pays du monde (scandale des commendites et autres).

Le Canada n'a pas besoin du Québec pour se détruire lui même dans le fond.

Crois-tu vraiment que celui qui est dans la merde aujourd'hui avec toutes les opportunités que le Canada lui offre, sortira de sa merde parce que le Québec sera un Pays?

Ceux qui sont dans la merde comme tu dis, je pense que s'ils y sont c'est qu'ils y sont bien et ne font rien pour s'en sortir(pas tous).
Ceux qui pensent vivre plus riche dans un Québec pays en ne faisant rien de plus que maintenant, je pense qu'ils vivent en dehors de la réalité.

[Beppo]

[...]


Crois-tu vraiment que celui qui est dans la merde aujourd'hui avec toutes les opportunités que le Canada lui offre, sortira de sa merde parce que le Québec sera un Pays?

Ceux qui sont dans la merde comme tu dis, je pense que s'ils y sont c'est qu'ils y sont bien et ne font rien pour s'en sortir(pas tous).
Ceux qui pensent vivre plus riche dans un Québec pays en ne faisant rien de plus que maintenant, je pense qu'ils vivent en dehors de la réalité.

Et présentement ta réalité est? Tu me fais sourire quand tu me parles des opportunités canadiennes. Tu dois sûrement faire référence au dompage des dépenses dans les provinces effectué par Jean Chrétien qui a ensuite bâti ses surplus sur le dos des provinces et des villes hein? Tu dois sûrement aussi penser à cette belle opportunité du scandale des commandites. Tu dois aussi penser à cette belle opportunité que les libéraux ont eu en mettant à sec la caisse de l'assurance-emploi pour combler une partie du déficit canayen. Que d'opportunités ce beau pays nous offre... Juste une dernière au cas ou... Tu dois aussi penser à cette belle opportunité d'avoir un GG et des lieutenants-gouverneurs qui te siphonnent 100 millions par année pour faire de la représentation pour notre Beubette nationale. Rappelle-toi que Lise Thibault, opportuniste par exemple, pouvait se servir de la carte de crédit de tes impôts pour se faire payer 3 repas dans 3 restaurants différents le même soir. C'est vrai qu'il nous offre de belles opportunités, ce beau pays.

pffffffffffffffffffffffff

[jumbo]

[...]


Et présentement ta réalité est? Tu me fais sourire quand tu me parles des opportunités canadiennes. Tu dois sûrement faire référence au dompage des dépenses dans les provinces effectué par Jean Chrétien qui a ensuite bâti ses surplus sur le dos des provinces et des villes hein? Tu dois sûrement aussi penser à cette belle opportunité du scandale des commandites. Tu dois aussi penser à cette belle opportunité que les libéraux ont eu en mettant à sec la caisse de l'assurance-emploi pour combler une partie du déficit canayen. Que d'opportunités ce beau pays nous offre... Juste une dernière au cas ou... Tu dois aussi penser à cette belle opportunité d'avoir un GG et des lieutenants-gouverneurs qui te siphonnent 100 millions par année pour faire de la représentation pour notre Beubette nationale. Rappelle-toi que Lise Thibault, opportuniste par exemple, pouvait se servir de la carte de crédit de tes impôts pour se faire payer 3 repas dans 3 restaurants différents le même soir. C'est vrai qu'il nous offre de belles opportunités, ce beau pays.

pffffffffffffffffffffffff

Tu m'as l'air de quelqu'un qui a beaucoup souffert dans le Canada à cause des autres.

Mais faut pas lâcher, ni désespérer. Pauline va tout nous arranger ça.

[Beppo]

[...]


Tu m'as l'air de quelqu'un qui a beaucoup souffert dans le Canada à cause des autres.

Mais faut pas lâcher, ni désespérer. Pauline va tout nous arranger ça.

À cause des autres? Fais-moi rire... Ils se servent de nos impôts, les tiens comme les miens comme celui des autres pour te faire un Canada rempli d'opportunités à ce que tu écris. Je te rapporte de tes belles opportunités et tu me dis que c'est de la faute des autres. Ce n'est quand même toujours bien pas moi qui les ai initiées hein? Fa que...

[Red K]

[...]


Ce que toi tu vois comme: vouloir construire un pays, pour d'autres ça veut dire: vouloir détruire un beau pays.

Bon, je vais te reciter parce que tu sembles oublier rapidement tes propres paroles.

La destruction d'un pays c'est.....une aggression armée, une assimilation, un génocide etc. etc. etc.

Les souverainistes du Québec ne veulent rien de celà, ils veulent simplement faire leurs propres affaires dans leur propre cours sans ''détruire'' le roc.

Si le roc est si puissant, si beau, si grand, si fort, comment l'amputation d'une simple province pourrait-il le détruire?

La séparation d'une province qui deviendrait pays ne détruit pas un pays, il en construit tout simplement un nouveau.