Élection au Provincial
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lucide a écrit
Parlons en du privé.....
Dans notre hopital, 2 medecins ont laissé leurs bureaux et leur affiliation au public pour partir une clinique privée donc 2 medecins de moins a l'hopital
Cette clinique est ouverte depuis six mois. Une collegue a teléphoné pour avoir un rendez vous ils ne prennent plus de patients... parce que chaque medecin ne travaille que 2 jours semaine de 12h00 a 21h00.
On est pas mal regagnant....
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Parlons en du privé.....
Dans notre hopital, 2 medecins ont laissé leurs bureaux et leur affiliation au public pour partir une clinique privée donc 2 medecins de moins a l'hopital
Cette clinique est ouverte depuis six mois. Une collegue a teléphoné pour avoir un rendez vous ils ne prennent plus de patients... parce que chaque medecin ne travaille que 2 jours semaine de 12h00 a 21h00.
On est pas mal regagnant....
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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ont peu pas le changé totalement car cest une loi fédérale aussi qui dicte que les soins de santé doivent etre universel et accessible pour tous
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
.anthurium. a écrit
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Tu crois vraiment que ces deux médecins là travailleraient plus que deux jours semaines?
Ils refusent des patients et ils sont au privé qu'est-ce que ça serait s'ils devaient faire du public aussi
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Tu crois vraiment que ces deux médecins là travailleraient plus que deux jours semaines?
Ils refusent des patients et ils sont au privé qu'est-ce que ça serait s'ils devaient faire du public aussi
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.anthurium. a écrit
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Là je suis d'accord avec ça complètement... quel parti propose ça? Je suis comme perdue.
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Là je suis d'accord avec ça complètement... quel parti propose ça? Je suis comme perdue.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
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Pauline Marois en a «ras le bol»
Tommy Chouinard
La Presse
(Québec) Pauline Marois en a «ras le bol» que Jean Charest la tienne responsable des problèmes actuels du réseau de la santé. Visiblement agacée par les attaques répétées de son adversaire libéral, la chef du Parti québécois l'a accusé de «se défiler» et de «mentir» aux Québécois.
«Il y a un boutte à toute à essayer de nous faire porter une responsabilité que lui doit porter complètement. Qu'il aille donc voir les gens de Sainte-Justine en leur disant que c'est la faute de l'ancien gouvernement. Je m'excuse, mais il a des comptes à rendre Jean Charest. Il ne les rend pas, et il se défile actuellement», a-t-elle lancé ce matin, dans une sortie d'une rare virulence.
«J'en ai ras le bol! Charest fait croire des choses, il ment au monde. Il continue de mentir. Qu'il assume! Est-ce que c'est un impuissant, Jean Charest? Il n'a pas été capable de régler les problèmes alors qu'il avait pris un engagement», a-t-elle affirmé.
«On va le faire le bilan avec lui : les heures d'attente sont plus élevées alors qu'il avait promis de les réduire à néant. Alors merci beaucoup, ça suffit les accusations de Jean Charest.»
Pauline Marois a convoqué les médias à un point de presse qui n'était pas prévu à l'horaire afin de répliquer au chef libéral. «Il va arrêter de s'essuyer les pieds sur le gouvernement du Parti québécois. Ça fait six ans qu'il est au pouvoir. C'est Jean Charest que l'on juge actuellement. Et Jean Charest, c'est un désastre dans les hôpitaux du Québec», a-t-elle affirmé.
«On essaie de me faire porter un chapeau, alors que c'est lui qui est là depuis six ans. Quand il est arrivé au gouvernement, M. Charest, il devait bien savoir qu'il y avait eu (les mises à la retraite) d'infirmières et de médecins. Il a dit malgré tout ça : moi je suis prêt, je vais régler tous les problèmes d'urgences, tous les problèmes de listes d'attente. Il n'a rien réglé de ça.»
Alors qu'un autre sondage place son parti onze points derrière le PLQ, Pauline Marois entend «ajuster» son plan de campagne. «On va être plus clair encore sur le bilan de M. Charest. Parce qu'actuellement, il essaie de faire notre procès. Mais je m'excuse, il est là depuis six ans et n'a réglé aucun problème.»
Dans un discours devant la Chambre de commerce de Québec, la chef péquiste s'est attaquée au «préjugé aussi tenace qu'inexact» voulant que le Parti libéral gère mieux l'économie. «Nous avons toujours fait mieux en économie qu'un gouvernement du Parti libéral. Il y a un mythe qui est celui de dire : le gouvernement libéral connaît ça l'économie, il est bon, et le Parti québécois pas vraiment. Faites les comparaisons, faites les analyses. Vous allez voir que quand vous avez au pouvoir un gouvernement du Parti québécois, le Québec a progressé, s'est développé, les emplois se sont créés.»
Selon elle, «le gouvernement qui nous dirige prétend avoir bien géré le Québec. Moi je vous le dis, si vous gérez vos entreprises comme il gère l'État, vous ne passerez pas l'année sans que votre banquier vous mettes en faillite.»
Au moment où le Québec connaît un ralentissement économique, qu'»on est dans le creux de la vague», «les finances publiques sont dans un état très précaire».
Pauline Marois est revenue sur la lutte au déficit zéro et les mises à la retraite de milliers de médecins et d'infirmières de l'ancien gouvernement péquiste de Lucien Bouchard dont elle faisait partie. «Dimanche dernier, j'ai eu à évoquer des décisions difficiles que nous avons dû prendre durant les années 90. On a entendu des hauts cris. M. Charest s'est déclaré choqué, scandalisé du travail que nous avons fait à l'époque. Pourquoi s'attaque-t-il à ceux qui ont permis de sauver les finances publiques du Québec?» Mme Marois a souligné que le Parti libéral avait laissé à l'époque un déficit de six milliards de dollars et que Jean Charest, alors à Ottawa, «approuvait les coupures du gouvernement fédéral» de trois milliards.
Dans la lutte au déficit zéro, «je crois que nous avons fait preuve d'un sens des responsabilités, mais aussi de courage». Aujourd'hui, «Jean Charest a gaspillé l'héritage» du déficit zéro et «vidé le fonds de roulement».
Tommy Chouinard
La Presse
(Québec) Pauline Marois en a «ras le bol» que Jean Charest la tienne responsable des problèmes actuels du réseau de la santé. Visiblement agacée par les attaques répétées de son adversaire libéral, la chef du Parti québécois l'a accusé de «se défiler» et de «mentir» aux Québécois.
«Il y a un boutte à toute à essayer de nous faire porter une responsabilité que lui doit porter complètement. Qu'il aille donc voir les gens de Sainte-Justine en leur disant que c'est la faute de l'ancien gouvernement. Je m'excuse, mais il a des comptes à rendre Jean Charest. Il ne les rend pas, et il se défile actuellement», a-t-elle lancé ce matin, dans une sortie d'une rare virulence.
«J'en ai ras le bol! Charest fait croire des choses, il ment au monde. Il continue de mentir. Qu'il assume! Est-ce que c'est un impuissant, Jean Charest? Il n'a pas été capable de régler les problèmes alors qu'il avait pris un engagement», a-t-elle affirmé.
«On va le faire le bilan avec lui : les heures d'attente sont plus élevées alors qu'il avait promis de les réduire à néant. Alors merci beaucoup, ça suffit les accusations de Jean Charest.»
Pauline Marois a convoqué les médias à un point de presse qui n'était pas prévu à l'horaire afin de répliquer au chef libéral. «Il va arrêter de s'essuyer les pieds sur le gouvernement du Parti québécois. Ça fait six ans qu'il est au pouvoir. C'est Jean Charest que l'on juge actuellement. Et Jean Charest, c'est un désastre dans les hôpitaux du Québec», a-t-elle affirmé.
«On essaie de me faire porter un chapeau, alors que c'est lui qui est là depuis six ans. Quand il est arrivé au gouvernement, M. Charest, il devait bien savoir qu'il y avait eu (les mises à la retraite) d'infirmières et de médecins. Il a dit malgré tout ça : moi je suis prêt, je vais régler tous les problèmes d'urgences, tous les problèmes de listes d'attente. Il n'a rien réglé de ça.»
Alors qu'un autre sondage place son parti onze points derrière le PLQ, Pauline Marois entend «ajuster» son plan de campagne. «On va être plus clair encore sur le bilan de M. Charest. Parce qu'actuellement, il essaie de faire notre procès. Mais je m'excuse, il est là depuis six ans et n'a réglé aucun problème.»
Dans un discours devant la Chambre de commerce de Québec, la chef péquiste s'est attaquée au «préjugé aussi tenace qu'inexact» voulant que le Parti libéral gère mieux l'économie. «Nous avons toujours fait mieux en économie qu'un gouvernement du Parti libéral. Il y a un mythe qui est celui de dire : le gouvernement libéral connaît ça l'économie, il est bon, et le Parti québécois pas vraiment. Faites les comparaisons, faites les analyses. Vous allez voir que quand vous avez au pouvoir un gouvernement du Parti québécois, le Québec a progressé, s'est développé, les emplois se sont créés.»
Selon elle, «le gouvernement qui nous dirige prétend avoir bien géré le Québec. Moi je vous le dis, si vous gérez vos entreprises comme il gère l'État, vous ne passerez pas l'année sans que votre banquier vous mettes en faillite.»
Au moment où le Québec connaît un ralentissement économique, qu'»on est dans le creux de la vague», «les finances publiques sont dans un état très précaire».
Pauline Marois est revenue sur la lutte au déficit zéro et les mises à la retraite de milliers de médecins et d'infirmières de l'ancien gouvernement péquiste de Lucien Bouchard dont elle faisait partie. «Dimanche dernier, j'ai eu à évoquer des décisions difficiles que nous avons dû prendre durant les années 90. On a entendu des hauts cris. M. Charest s'est déclaré choqué, scandalisé du travail que nous avons fait à l'époque. Pourquoi s'attaque-t-il à ceux qui ont permis de sauver les finances publiques du Québec?» Mme Marois a souligné que le Parti libéral avait laissé à l'époque un déficit de six milliards de dollars et que Jean Charest, alors à Ottawa, «approuvait les coupures du gouvernement fédéral» de trois milliards.
Dans la lutte au déficit zéro, «je crois que nous avons fait preuve d'un sens des responsabilités, mais aussi de courage». Aujourd'hui, «Jean Charest a gaspillé l'héritage» du déficit zéro et «vidé le fonds de roulement».
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Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
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Le PLQ est une «business» qui menace la démocratie, dénonce Dumont
Martin Croteau
La Presse
Le Parti libéral est une « business » qui pourrait menacer la démocratie québécoise, a affirmé Mario Dumont, ce matin, une sortie qui coïncide avec un nouveau sondage qui place l'ADQ loin derrière ses adversaires.
«Il y a un parti qui s'appelle le Parti libéral qui est tellement riche, qui joue dans l'immobilier, a lâché M. Dumont lors d'une entrevue à Radio-Canada. Ce n'est plus un parti politique, c'est une business.»Le leader adéquiste s'interroge au sujet des moyens considérables dont dispose le PLQ. Il fait valoir que le parti a amassé des sommes record en dépit de taux d'impopularité jamais vus pendant le premier mandat de Jean Charest.
La situation préoccupe d'autant plus M. Dumont qu'il accuse le premier ministre sortant d'avoir déclenché des élections à des fins partisanes.
«Quand un parti est tellement plus riche que ses adversaires, et qu'en plus, il a des objectifs aussi peu nobles que souhaiter la moindre participation, je trouve que ça soulève des questions sur notre démocratie.»
«Lâcheté»
Mario Dumont a par ailleurs accusé Jean Charest de faire preuve de « lâcheté » en rejetant le blâme sur Pauline Marois pour les déboires du système de santé. Les libéraux, souligne-t-il, avaient été élus en 2003 sur la promesse de mettre fin à l'engorgement dans les hôpitaux. Or, démontre-t-il chiffres à l'appui, la situation s'est détériorée depuis, notamment dans les établissements qui soignent des enfants.
«Quand ça fait cinq ans et demi qu'on est au pouvoir, le coffre d'outils du pouvoir est entre ses mains», a-t-il dénoncé devant l'hôpital Sainte-Justine.
Cette charge contre les libéraux survient alors qu'un nouveau sondage Léger Marketing place l'Action démocratique loin derrière ses adversaires. L'enquête accorde 44% des intentions de vote au PLQ, 33% au PQ et 15% pour l'ADQ. C'est le deuxième sondage consécutif à accorder ce niveau d'appui aux troupes de Mario Dumont.
Martin Croteau
La Presse
Le Parti libéral est une « business » qui pourrait menacer la démocratie québécoise, a affirmé Mario Dumont, ce matin, une sortie qui coïncide avec un nouveau sondage qui place l'ADQ loin derrière ses adversaires.
«Il y a un parti qui s'appelle le Parti libéral qui est tellement riche, qui joue dans l'immobilier, a lâché M. Dumont lors d'une entrevue à Radio-Canada. Ce n'est plus un parti politique, c'est une business.»Le leader adéquiste s'interroge au sujet des moyens considérables dont dispose le PLQ. Il fait valoir que le parti a amassé des sommes record en dépit de taux d'impopularité jamais vus pendant le premier mandat de Jean Charest.
La situation préoccupe d'autant plus M. Dumont qu'il accuse le premier ministre sortant d'avoir déclenché des élections à des fins partisanes.
«Quand un parti est tellement plus riche que ses adversaires, et qu'en plus, il a des objectifs aussi peu nobles que souhaiter la moindre participation, je trouve que ça soulève des questions sur notre démocratie.»
«Lâcheté»
Mario Dumont a par ailleurs accusé Jean Charest de faire preuve de « lâcheté » en rejetant le blâme sur Pauline Marois pour les déboires du système de santé. Les libéraux, souligne-t-il, avaient été élus en 2003 sur la promesse de mettre fin à l'engorgement dans les hôpitaux. Or, démontre-t-il chiffres à l'appui, la situation s'est détériorée depuis, notamment dans les établissements qui soignent des enfants.
«Quand ça fait cinq ans et demi qu'on est au pouvoir, le coffre d'outils du pouvoir est entre ses mains», a-t-il dénoncé devant l'hôpital Sainte-Justine.
Cette charge contre les libéraux survient alors qu'un nouveau sondage Léger Marketing place l'Action démocratique loin derrière ses adversaires. L'enquête accorde 44% des intentions de vote au PLQ, 33% au PQ et 15% pour l'ADQ. C'est le deuxième sondage consécutif à accorder ce niveau d'appui aux troupes de Mario Dumont.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
.anthurium. a écrit
Je comprend mais ils renforce la situation.
Ils n'ont pas besoin de renforcer...Quand tu es sur le terrain, que tu participes un peu au processus électoral, c'est clair, même très clair que les gens n'en voulaient pas d'élections, qu'ils n'en veulent toujours pas, qu'ils ne s'intéressent pas à cette campagne et que beaucoup ne se déplaceront même pas pour aller voter.
Je comprend mais ils renforce la situation.
Ils n'ont pas besoin de renforcer...Quand tu es sur le terrain, que tu participes un peu au processus électoral, c'est clair, même très clair que les gens n'en voulaient pas d'élections, qu'ils n'en veulent toujours pas, qu'ils ne s'intéressent pas à cette campagne et que beaucoup ne se déplaceront même pas pour aller voter.
.anthurium. a écrit
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Ah oui! Depuis quand?
Si les médecin avaient le droit de pratique au privé et au public on ne retrouverait pas ce problème. Mais ici pour faire du privé il faut que tu te désengage du public.
Il faut le changer ce model il ne marche plus.
Ah oui! Depuis quand?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Annouk a écrit
Ils n'ont pas besoin de renforcer...Quand tu es sur le terrain, que tu participes un peu au processus électoral, c'est clair, même très clair que les gens n'en voulaient pas d'élections, qu'ils n'en veulent toujours pas, qu'ils ne s'intéressent pas à cette campagne et que beaucoup ne se déplaceront même pas pour aller voter.
Et semble-t-il, à ce que j'ai pu lire dans les journaux, le désintéressement favorise le PLQ. Charest est mort de rire...
Ils n'ont pas besoin de renforcer...Quand tu es sur le terrain, que tu participes un peu au processus électoral, c'est clair, même très clair que les gens n'en voulaient pas d'élections, qu'ils n'en veulent toujours pas, qu'ils ne s'intéressent pas à cette campagne et que beaucoup ne se déplaceront même pas pour aller voter.
Et semble-t-il, à ce que j'ai pu lire dans les journaux, le désintéressement favorise le PLQ. Charest est mort de rire...
Au plaisir!
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- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
lolilou a écrit
Là je suis d'accord avec ça complètement... quel parti propose ça? Je suis comme perdue.
l'ADQ
Là je suis d'accord avec ça complètement... quel parti propose ça? Je suis comme perdue.
l'ADQ
Prière et chant religieux
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- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Beppo a écrit
Ah oui! Depuis quand?
Je ne sais pas depuis quand, mais c'est comme ça. Un médecin ne eut pratiqué à la fois au privé et au public.
Voici un texte de Denis Lessard
Le rapport Castonguay prônera la mixité de la pratique médicale
Les médecins devraient pouvoir exercer au privé sans se désaffilier de la RAMQ
Denis Lessard
La Presse
mercredi 13 février 2008
--------------------------------------------------------------------------------
Québec - Les médecins québécois devraient pouvoir travailler dans le privé après avoir effectué un certain nombre d’actes ou d’heures de service au secteur public, proposera le rapport de Claude Castonguay sur le financement de la santé.
La commission a confirmé hier qu’elle rendrait public son rapport le 19 février, après l’avoir remis au gouvernement le vendredi 15, comme l’a indiqué La Presse hier.
Les quotas de pratique au public, une fois remplis, permettront aux médecins d’exercer dans des cliniques privées sans devoir se désaffilier du système public. Actuellement, pour se faire payer directement des actes médicaux par un patient, le médecin doit renoncer à participer au régime public où il est rétribué par la Régie de l’assurance maladie du Québec.
Ce cloisonnement a toujours été un frein puissant au développement des soins au privé. Mais pour les défenseurs du système public, cette étanchéité protège le réseau public aux ressources défaillantes contre la tentation des médecins de glisser vers une pratique privée, plus lucrative et moins contraignante.
Ce principe de la "mixité" de la pratique, retenu par Claude Castonguay et la commissaire choisie par l’Action démocratique du Québec, Johanne Marcotte, n’a pas l’appui du commissaire péquiste, Michel Venne, qui compte exprimer sa dissidence dans un texte qu’on décrit comme une "lettre", qui sera rendue publique en même temps que le rapport. Des sources à Québec insistent sur le fait qu’il n’est pas en totale opposition au rapport, mais qu’il maintient sa dissidence "sur quelques points", sur trois propositions du rapport, semble-t-il. Il n’a pas répondu aux courriels et aux coups de fil de La Presse depuis deux jours.
Autre source de litige : le rapport Castonguay proposera qu’on puisse désormais prendre des assurances privées pour plusieurs types d’interventions chirurgicales - les assurances sont actuellement réservées aux remplacements de hanche, de genou et aux traitements de la cataracte depuis l’arrêt Chaoulli. Au moment du débat sur la loi 33, le Parti québécois avait soutenu que cette ouverture sur quelques types d’interventions était la porte ouverte pour généraliser les assurances privées pour les soins de santé.
Le rapport Castonguay proposera aussi la mise en place d’une tarification assumée par les usagers. Elle sera déterminée selon le nombre de visites, selon le revenu et soumise à des plafonds. Les commissaires auront fort à faire pour que l’étiquette "ticket modérateur" ne soit pas accolée à leur proposition, prévoit-on déjà.
En faisant leur déclaration de revenus, les Québécois auraient à prévoir une contribution qui sera établie en fonction du nombre de fois où ils ont frappé à la porte du système de santé. En plus, pour financer le réseau de la santé, une facture qui augmente de 6% par année, la commission propose une hausse de la taxe de vente du Québec, oscillant entre un demi et un pour cent (entre 500 millions et 1 milliard). Selon le scénario choisi, la contribution de l’ensemble des contribuables sera plus ou moins élevée.
Suggérer cet article par courriel --Message edité par .anthurium. le 2008-11-19 16:34:27--
Ah oui! Depuis quand?
Je ne sais pas depuis quand, mais c'est comme ça. Un médecin ne eut pratiqué à la fois au privé et au public.
Voici un texte de Denis Lessard
Le rapport Castonguay prônera la mixité de la pratique médicale
Les médecins devraient pouvoir exercer au privé sans se désaffilier de la RAMQ
Denis Lessard
La Presse
mercredi 13 février 2008
--------------------------------------------------------------------------------
Québec - Les médecins québécois devraient pouvoir travailler dans le privé après avoir effectué un certain nombre d’actes ou d’heures de service au secteur public, proposera le rapport de Claude Castonguay sur le financement de la santé.
La commission a confirmé hier qu’elle rendrait public son rapport le 19 février, après l’avoir remis au gouvernement le vendredi 15, comme l’a indiqué La Presse hier.
Les quotas de pratique au public, une fois remplis, permettront aux médecins d’exercer dans des cliniques privées sans devoir se désaffilier du système public. Actuellement, pour se faire payer directement des actes médicaux par un patient, le médecin doit renoncer à participer au régime public où il est rétribué par la Régie de l’assurance maladie du Québec.
Ce cloisonnement a toujours été un frein puissant au développement des soins au privé. Mais pour les défenseurs du système public, cette étanchéité protège le réseau public aux ressources défaillantes contre la tentation des médecins de glisser vers une pratique privée, plus lucrative et moins contraignante.
Ce principe de la "mixité" de la pratique, retenu par Claude Castonguay et la commissaire choisie par l’Action démocratique du Québec, Johanne Marcotte, n’a pas l’appui du commissaire péquiste, Michel Venne, qui compte exprimer sa dissidence dans un texte qu’on décrit comme une "lettre", qui sera rendue publique en même temps que le rapport. Des sources à Québec insistent sur le fait qu’il n’est pas en totale opposition au rapport, mais qu’il maintient sa dissidence "sur quelques points", sur trois propositions du rapport, semble-t-il. Il n’a pas répondu aux courriels et aux coups de fil de La Presse depuis deux jours.
Autre source de litige : le rapport Castonguay proposera qu’on puisse désormais prendre des assurances privées pour plusieurs types d’interventions chirurgicales - les assurances sont actuellement réservées aux remplacements de hanche, de genou et aux traitements de la cataracte depuis l’arrêt Chaoulli. Au moment du débat sur la loi 33, le Parti québécois avait soutenu que cette ouverture sur quelques types d’interventions était la porte ouverte pour généraliser les assurances privées pour les soins de santé.
Le rapport Castonguay proposera aussi la mise en place d’une tarification assumée par les usagers. Elle sera déterminée selon le nombre de visites, selon le revenu et soumise à des plafonds. Les commissaires auront fort à faire pour que l’étiquette "ticket modérateur" ne soit pas accolée à leur proposition, prévoit-on déjà.
En faisant leur déclaration de revenus, les Québécois auraient à prévoir une contribution qui sera établie en fonction du nombre de fois où ils ont frappé à la porte du système de santé. En plus, pour financer le réseau de la santé, une facture qui augmente de 6% par année, la commission propose une hausse de la taxe de vente du Québec, oscillant entre un demi et un pour cent (entre 500 millions et 1 milliard). Selon le scénario choisi, la contribution de l’ensemble des contribuables sera plus ou moins élevée.
Suggérer cet article par courriel --Message edité par .anthurium. le 2008-11-19 16:34:27--
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.anthurium. a écrit
Je ne sais pas depuis quand, mais c'est comme ça. Un médecin ne eut pratiqué à la fois au privé et au public.
Si un médecin a atteint ses quotas au public, il peut très bien travailler au privé sans aucun problème et sans démissionner du public. J'ai un ami qui est radiologiste et lorsque ses quotas du mois sont atteints, il va lire au privé. C'est plus payant pour lui. Imagine que nous en soyons rendus là. Je ne suis pas capable de comprendre l'article que tu soumets. Je suis tout mêlé.
**J'ajoute... Je vais même aller plus loin. Il est en pourparlers présentement pour qu'une clinique privée installe un système chez-lui pour lui permettre de lire les radios dans ses temps libres. Donc le soir, si à la télé c'est ennuyant et qu'il n'est pas trop fatigué, il va pouvoir se brancher avec la clinique privée et lire les radios. Je ne comprends vraiment pas... --Message edité par Beppo le 2008-11-19 16:33:12--
Je ne sais pas depuis quand, mais c'est comme ça. Un médecin ne eut pratiqué à la fois au privé et au public.
Si un médecin a atteint ses quotas au public, il peut très bien travailler au privé sans aucun problème et sans démissionner du public. J'ai un ami qui est radiologiste et lorsque ses quotas du mois sont atteints, il va lire au privé. C'est plus payant pour lui. Imagine que nous en soyons rendus là. Je ne suis pas capable de comprendre l'article que tu soumets. Je suis tout mêlé.
**J'ajoute... Je vais même aller plus loin. Il est en pourparlers présentement pour qu'une clinique privée installe un système chez-lui pour lui permettre de lire les radios dans ses temps libres. Donc le soir, si à la télé c'est ennuyant et qu'il n'est pas trop fatigué, il va pouvoir se brancher avec la clinique privée et lire les radios. Je ne comprends vraiment pas... --Message edité par Beppo le 2008-11-19 16:33:12--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Beppo a écrit
Si un médecin a atteint ses quotas au public, il peut très bien travailler au privé sans aucun problème et sans démissionner du public. J'ai un ami qui est radiologiste et lorsque ses quotas du mois sont atteints, il va lire au privé. C'est plus payant pour lui. Imagine que nous en soyons rendus là. Je ne suis pas capable de comprendre l'article que tu soumets. Je suis tout mêlé.
**J'ajoute... Je vais même aller plus loin. Il est en pourparlers présentement pour qu'une clinique privée installe un système chez-lui pour lui permettre de lire les radios dans ses temps libres. Donc le soir, si à la télé c'est ennuyant et qu'il n'est pas trop fatigué, il va pouvoir se brancher avec la clinique privée et lire les radios. Je ne comprends vraiment pas...
On m'a dit que la radiologie est une des rare exeptions.
Si un médecin a atteint ses quotas au public, il peut très bien travailler au privé sans aucun problème et sans démissionner du public. J'ai un ami qui est radiologiste et lorsque ses quotas du mois sont atteints, il va lire au privé. C'est plus payant pour lui. Imagine que nous en soyons rendus là. Je ne suis pas capable de comprendre l'article que tu soumets. Je suis tout mêlé.
**J'ajoute... Je vais même aller plus loin. Il est en pourparlers présentement pour qu'une clinique privée installe un système chez-lui pour lui permettre de lire les radios dans ses temps libres. Donc le soir, si à la télé c'est ennuyant et qu'il n'est pas trop fatigué, il va pouvoir se brancher avec la clinique privée et lire les radios. Je ne comprends vraiment pas...
On m'a dit que la radiologie est une des rare exeptions.
Prière et chant religieux
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Publié le 19 novembre 2008 à 22h16 | Mis à jour à 22h20
Le PLQ indigné par une affirmation faite par la conjointe de Dumont
La Presse Canadienne
Montréal
Marie-Claude Barrette, conjointe du chef adéquiste Mario Dumont, a fait une entrée remarquée dans la campagne électorale, mercredi, en affirmant faussement sur les ondes d'une radio montréalaise qu'un candidat libéral avait commis un vol à main armée en 2003.
Le Parti libéral a réagi en soirée par voie de communiqué en affirmant que cette allégation est «totalement fausse» et qu'elle «porte atteinte à la réputation du PLQ».
«Ce genre d'accusation gratuite de la part de l'ADQ ne contribue certainement pas à améliorer l'image des femmes et des hommes qui consacrent leur vie au service de la population», a ajouté le Parti libéral.
Dans une entrevue à la radio montréalaise 98,5 FM, Mme Barrette a visiblement voulu faire référence à un candidat péquiste de Shefford, Jean-François Arsenault. Celui-ci a reconnu avoir été complice d'un vol commis en 2002, affirmant qu'il avait agi sous la menace et contre son gré. Il aurait plaidé coupable pour mettre un terme à de longues et coûteuses procédures, obtenant en retour une absolution inconditionnelle.
Mme Barrette a faussement identifié le candidat comme étant un libéral.
«Moi, j'ai entendu qu'il y avait un candidat libéral à la dernière élection qui avait fait un hold-up - je ne me souviens pas où ni de qui il s'agissait - et on en a parlé pendant quatre secondes, a-t-elle déclaré sur les ondes du 98,5 FM.
Si c'étaient des candidats de l'ADQ, ça aurait été très différent. Il y a une plus grande sensibilité pour les adéquistes et ils sont toujours plus amplifiés.»
Mme Barrette a accordé plusieurs entrevues aux médias, mercredi, dans l'espoir de donner un peu d'élan à la campagne de l'Action démocratique qui est à la traîne dans les sondages.
Le PLQ indigné par une affirmation faite par la conjointe de Dumont
La Presse Canadienne
Montréal
Marie-Claude Barrette, conjointe du chef adéquiste Mario Dumont, a fait une entrée remarquée dans la campagne électorale, mercredi, en affirmant faussement sur les ondes d'une radio montréalaise qu'un candidat libéral avait commis un vol à main armée en 2003.
Le Parti libéral a réagi en soirée par voie de communiqué en affirmant que cette allégation est «totalement fausse» et qu'elle «porte atteinte à la réputation du PLQ».
«Ce genre d'accusation gratuite de la part de l'ADQ ne contribue certainement pas à améliorer l'image des femmes et des hommes qui consacrent leur vie au service de la population», a ajouté le Parti libéral.
Dans une entrevue à la radio montréalaise 98,5 FM, Mme Barrette a visiblement voulu faire référence à un candidat péquiste de Shefford, Jean-François Arsenault. Celui-ci a reconnu avoir été complice d'un vol commis en 2002, affirmant qu'il avait agi sous la menace et contre son gré. Il aurait plaidé coupable pour mettre un terme à de longues et coûteuses procédures, obtenant en retour une absolution inconditionnelle.
Mme Barrette a faussement identifié le candidat comme étant un libéral.
«Moi, j'ai entendu qu'il y avait un candidat libéral à la dernière élection qui avait fait un hold-up - je ne me souviens pas où ni de qui il s'agissait - et on en a parlé pendant quatre secondes, a-t-elle déclaré sur les ondes du 98,5 FM.
Si c'étaient des candidats de l'ADQ, ça aurait été très différent. Il y a une plus grande sensibilité pour les adéquistes et ils sont toujours plus amplifiés.»
Mme Barrette a accordé plusieurs entrevues aux médias, mercredi, dans l'espoir de donner un peu d'élan à la campagne de l'Action démocratique qui est à la traîne dans les sondages.
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
tiens tiens est ce une grosse gaffe ou un autre geste de désespoir
a place de mario je tasserais ma conjointe de la campagne
a place de mario je tasserais ma conjointe de la campagne
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Charest Du même auteur
Vincent Marissal
La Presse
Vous voulez savoir pourquoi Jean Charest se dirige vers la victoire, probablement majoritaire, le 8 décembre?
Parce qu'il mène dans les sondages, dont le Léger Marketing-Le Devoir, qui lui accordait hier une avance de 11 points sur le PQ (PLQ: 44, PQ: 33, ADQ: 15), dites-vous?
Oui, en effet, la tendance se maintient.
Mais il y a autre chose d'encore plus révélateur que les sondages: cette incroyable couche de téflon qui fait que rien, mais absolument rien, ne colle sur le chef libéral.
Pour un homme qui avait un don infaillible, dans son premier mandat, pour transformer chaque petite controverse en une crise majeure, la métamorphose en Jean-Téflon est spectaculaire.
Pourquoi s'en sauve-t-il aujourd'hui, lui qui était constamment accablé entre 2005 et 2007?
Probablement parce que les Québécois jugent que, malgré les erreurs, malgré les ratés, malgré l'arrogance et, surtout, malgré cette énième campagne imposée contre la volonté populaire, Jean Charest inspire davantage confiance aux Québécois que ses deux adversaires. À l'approche de la mi-campagne, voilà tout un constat d'échec pour Pauline Marois et Mario Dumont.
Pourtant, nombreuses sont les bavures et les taches sur le bilan libéral. Et des bavures franchement plus graves que les fameuses écoles juives ou que le mont Orford.
Le fiasco appréhendé du CHUM, le désastre confirmé de l'UQAM (et cette verrue sur le nez du centre-ville de Montréal qu'est l'îlot Voyageur), les pertes affolantes de la Caisse de dépôt, la chicane comptable avec le vérificateur général en tout début de campagne, autant de graves problèmes de gestion qui auraient suffi, normalement, à fournir toutes les munitions nécessaires aux partis de l'opposition.
Ce n'est pas qu'ils n'ont pas essayé, mais ça ne colle pas, point. Rien ne colle. Même pas les millions promis en catastrophe par Jean Charest qui nous répète pourtant que la crise économique approche. Même pas le cynisme dégoulinant de la stratégie libérale. Même pas les accusations tonitruantes contre Pauline Marois, responsable, apparemment, de tous les maux du système de santé.
Idem pour la fermeture de l'usine d'Abitibi-Bowater à Donnacona, de la perte du Grand Prix du Canada, de la réapparition d'une «vedette» du scandale des commandites (Michel Béliveau) dans l'organisation libérale en Mauricie ou du cri d'alarme du médecin-chef des urgences de Sainte-Justine.
Dans une campagne qui va mal, un seul de ces éléments aurait fait capoter le bus du chef. Mais rien n'atteint le chef libéral ces temps-ci.
Quand vous arrivez, dans une campagne électorale, à vous en sortir devant des enfants malades et leurs bons docteurs, c'est que vous êtes immunisés. Ou que vos adversaires souffrent d'un grave problème de crédibilité.
Dans les deux cas, le résultat est le même: Jean Charest vogue paisiblement vers une réélection.
Pendant ce temps, Pauline Marois se débat comme un diable dans l'eau bénite pour se dépêtrer des accusations parfaitement démagogiques des libéraux à propos de sa réelle responsabilité dans les problèmes actuels du réseau de la santé. Encore hier, Mme Marois a dû se détourner de son message pour essayer de contrecarrer celui des libéraux. Ce n'est pas propre de la part des libéraux, mais il faut admettre que c'est terriblement efficace.
Mario Dumont, quant à lui, semble être sur le point de péter les plombs.
Après son absurde prise de bec avec Guy A. Lepage, il s'en est pris hier au Parti libéral, l'accusant d'être riche au point de menacer la démocratie.
À entendre Mario Dumont, les libéraux sont en train de s'acheter une élection. Il cherche déjà une excuse: Nous avons été battus par l'argent.
Il oublie de dire que Jean Charest est en bonne posture parce que les électeurs de l'ADQ (de 2007) retournent chez les libéraux.
Si la défaite appréhendée se concrétise, Mario Dumont devra donc dire: Nous avons été battus par l'argent et le vote adéquiste...
Pour joindre notre chroniqueur: vincent.marissal@lapresse.
Je crois que ca résume tres bien cette campagne électorale. --Message edité par lucide le 2008-11-20 06:36:01--
Vincent Marissal
La Presse
Vous voulez savoir pourquoi Jean Charest se dirige vers la victoire, probablement majoritaire, le 8 décembre?
Parce qu'il mène dans les sondages, dont le Léger Marketing-Le Devoir, qui lui accordait hier une avance de 11 points sur le PQ (PLQ: 44, PQ: 33, ADQ: 15), dites-vous?
Oui, en effet, la tendance se maintient.
Mais il y a autre chose d'encore plus révélateur que les sondages: cette incroyable couche de téflon qui fait que rien, mais absolument rien, ne colle sur le chef libéral.
Pour un homme qui avait un don infaillible, dans son premier mandat, pour transformer chaque petite controverse en une crise majeure, la métamorphose en Jean-Téflon est spectaculaire.
Pourquoi s'en sauve-t-il aujourd'hui, lui qui était constamment accablé entre 2005 et 2007?
Probablement parce que les Québécois jugent que, malgré les erreurs, malgré les ratés, malgré l'arrogance et, surtout, malgré cette énième campagne imposée contre la volonté populaire, Jean Charest inspire davantage confiance aux Québécois que ses deux adversaires. À l'approche de la mi-campagne, voilà tout un constat d'échec pour Pauline Marois et Mario Dumont.
Pourtant, nombreuses sont les bavures et les taches sur le bilan libéral. Et des bavures franchement plus graves que les fameuses écoles juives ou que le mont Orford.
Le fiasco appréhendé du CHUM, le désastre confirmé de l'UQAM (et cette verrue sur le nez du centre-ville de Montréal qu'est l'îlot Voyageur), les pertes affolantes de la Caisse de dépôt, la chicane comptable avec le vérificateur général en tout début de campagne, autant de graves problèmes de gestion qui auraient suffi, normalement, à fournir toutes les munitions nécessaires aux partis de l'opposition.
Ce n'est pas qu'ils n'ont pas essayé, mais ça ne colle pas, point. Rien ne colle. Même pas les millions promis en catastrophe par Jean Charest qui nous répète pourtant que la crise économique approche. Même pas le cynisme dégoulinant de la stratégie libérale. Même pas les accusations tonitruantes contre Pauline Marois, responsable, apparemment, de tous les maux du système de santé.
Idem pour la fermeture de l'usine d'Abitibi-Bowater à Donnacona, de la perte du Grand Prix du Canada, de la réapparition d'une «vedette» du scandale des commandites (Michel Béliveau) dans l'organisation libérale en Mauricie ou du cri d'alarme du médecin-chef des urgences de Sainte-Justine.
Dans une campagne qui va mal, un seul de ces éléments aurait fait capoter le bus du chef. Mais rien n'atteint le chef libéral ces temps-ci.
Quand vous arrivez, dans une campagne électorale, à vous en sortir devant des enfants malades et leurs bons docteurs, c'est que vous êtes immunisés. Ou que vos adversaires souffrent d'un grave problème de crédibilité.
Dans les deux cas, le résultat est le même: Jean Charest vogue paisiblement vers une réélection.
Pendant ce temps, Pauline Marois se débat comme un diable dans l'eau bénite pour se dépêtrer des accusations parfaitement démagogiques des libéraux à propos de sa réelle responsabilité dans les problèmes actuels du réseau de la santé. Encore hier, Mme Marois a dû se détourner de son message pour essayer de contrecarrer celui des libéraux. Ce n'est pas propre de la part des libéraux, mais il faut admettre que c'est terriblement efficace.
Mario Dumont, quant à lui, semble être sur le point de péter les plombs.
Après son absurde prise de bec avec Guy A. Lepage, il s'en est pris hier au Parti libéral, l'accusant d'être riche au point de menacer la démocratie.
À entendre Mario Dumont, les libéraux sont en train de s'acheter une élection. Il cherche déjà une excuse: Nous avons été battus par l'argent.
Il oublie de dire que Jean Charest est en bonne posture parce que les électeurs de l'ADQ (de 2007) retournent chez les libéraux.
Si la défaite appréhendée se concrétise, Mario Dumont devra donc dire: Nous avons été battus par l'argent et le vote adéquiste...
Pour joindre notre chroniqueur: vincent.marissal@lapresse.
Je crois que ca résume tres bien cette campagne électorale. --Message edité par lucide le 2008-11-20 06:36:01--
Earendil a écritPublié le 19 novembre 2008 à 22h16 | Mis à jour à 22h20
Le PLQ indigné par une affirmation faite par la conjointe de Dumont
La Presse Canadienne
Montréal
Marie-Claude Barrette, conjointe du chef adéquiste Mario Dumont, a fait une entrée remarquée dans la campagne électorale, mercredi, en affirmant faussement sur les ondes d'une radio montréalaise qu'un candidat libéral avait commis un vol à main armée en 2003.
Le Parti libéral a réagi en soirée par voie de communiqué en affirmant que cette allégation est «totalement fausse» et qu'elle «porte atteinte à la réputation du PLQ».
«Ce genre d'accusation gratuite de la part de l'ADQ ne contribue certainement pas à améliorer l'image des femmes et des hommes qui consacrent leur vie au service de la population», a ajouté le Parti libéral.
Dans une entrevue à la radio montréalaise 98,5 FM, Mme Barrette a visiblement voulu faire référence à un candidat péquiste de Shefford, Jean-François Arsenault. Celui-ci a reconnu avoir été complice d'un vol commis en 2002, affirmant qu'il avait agi sous la menace et contre son gré. Il aurait plaidé coupable pour mettre un terme à de longues et coûteuses procédures, obtenant en retour une absolution inconditionnelle.
Mme Barrette a faussement identifié le candidat comme étant un libéral.
«Moi, j'ai entendu qu'il y avait un candidat libéral à la dernière élection qui avait fait un hold-up - je ne me souviens pas où ni de qui il s'agissait - et on en a parlé pendant quatre secondes, a-t-elle déclaré sur les ondes du 98,5 FM.
Si c'étaient des candidats de l'ADQ, ça aurait été très différent. Il y a une plus grande sensibilité pour les adéquistes et ils sont toujours plus amplifiés.»
Mme Barrette a accordé plusieurs entrevues aux médias, mercredi, dans l'espoir de donner un peu d'élan à la campagne de l'Action démocratique qui est à la traîne dans les sondages.
Ca demontre encore une fois comment fonctionne l'ADQ et a quel point ils sont novices et non préparés. Tout est improvisaion.
Ils prennent la premiere nouvelle qui passe et la garoche aux électeurs sans même en vérifier les fondements.
Apres les sources de Mario dans un livre qui fesaient supposement réference au complot a tout le monde en parle et qui n'en parlait pas du tout, il a mal interprété...
voila qu'on mélange un député péquiste et libéral....
Pathétique... si j'étais un de ses députés je lui demanderais carrement de se taire il est vraiment ridicule dans cette campagne.
Le PLQ indigné par une affirmation faite par la conjointe de Dumont
La Presse Canadienne
Montréal
Marie-Claude Barrette, conjointe du chef adéquiste Mario Dumont, a fait une entrée remarquée dans la campagne électorale, mercredi, en affirmant faussement sur les ondes d'une radio montréalaise qu'un candidat libéral avait commis un vol à main armée en 2003.
Le Parti libéral a réagi en soirée par voie de communiqué en affirmant que cette allégation est «totalement fausse» et qu'elle «porte atteinte à la réputation du PLQ».
«Ce genre d'accusation gratuite de la part de l'ADQ ne contribue certainement pas à améliorer l'image des femmes et des hommes qui consacrent leur vie au service de la population», a ajouté le Parti libéral.
Dans une entrevue à la radio montréalaise 98,5 FM, Mme Barrette a visiblement voulu faire référence à un candidat péquiste de Shefford, Jean-François Arsenault. Celui-ci a reconnu avoir été complice d'un vol commis en 2002, affirmant qu'il avait agi sous la menace et contre son gré. Il aurait plaidé coupable pour mettre un terme à de longues et coûteuses procédures, obtenant en retour une absolution inconditionnelle.
Mme Barrette a faussement identifié le candidat comme étant un libéral.
«Moi, j'ai entendu qu'il y avait un candidat libéral à la dernière élection qui avait fait un hold-up - je ne me souviens pas où ni de qui il s'agissait - et on en a parlé pendant quatre secondes, a-t-elle déclaré sur les ondes du 98,5 FM.
Si c'étaient des candidats de l'ADQ, ça aurait été très différent. Il y a une plus grande sensibilité pour les adéquistes et ils sont toujours plus amplifiés.»
Mme Barrette a accordé plusieurs entrevues aux médias, mercredi, dans l'espoir de donner un peu d'élan à la campagne de l'Action démocratique qui est à la traîne dans les sondages.
Ca demontre encore une fois comment fonctionne l'ADQ et a quel point ils sont novices et non préparés. Tout est improvisaion.
Ils prennent la premiere nouvelle qui passe et la garoche aux électeurs sans même en vérifier les fondements.
Apres les sources de Mario dans un livre qui fesaient supposement réference au complot a tout le monde en parle et qui n'en parlait pas du tout, il a mal interprété...
voila qu'on mélange un député péquiste et libéral....
Pathétique... si j'étais un de ses députés je lui demanderais carrement de se taire il est vraiment ridicule dans cette campagne.
lucide a écrit
Ca demontre encore une fois comment fonctionne l'ADQ et a quel point ils sont novices et non préparés. Tout est improvisaion.
Ils prennent la premiere nouvelle qui passe et la garoche aux électeurs sans même en vérifier les fondements.
Apres les sources de Mario dans un livre qui fesaient supposement réference au complot a tout le monde en parle et qui n'en parlait pas du tout, il a mal interprété...
voila qu'on mélange un député péquiste et libéral....
Pathétique... si j'étais un de ses députés je lui demanderais carrement de se taire il est vraiment ridicule dans cette campagne.
Tout comme les 2 autres.
Ca demontre encore une fois comment fonctionne l'ADQ et a quel point ils sont novices et non préparés. Tout est improvisaion.
Ils prennent la premiere nouvelle qui passe et la garoche aux électeurs sans même en vérifier les fondements.
Apres les sources de Mario dans un livre qui fesaient supposement réference au complot a tout le monde en parle et qui n'en parlait pas du tout, il a mal interprété...
voila qu'on mélange un député péquiste et libéral....
Pathétique... si j'étais un de ses députés je lui demanderais carrement de se taire il est vraiment ridicule dans cette campagne.
Tout comme les 2 autres.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??