Beppo a écrit
J'ai toujours pensé comme vous venez de l'écrire et je crois que je suis dans l'erreur... Est-il, ici, dans le système des garderies, question d'institutionnalisation ou de « conscrïption » ? Est-ce que l'État oblige à...? Il doit sûrement y avoir quelque chose que je ne comprends pas. Éclairez-moi?
C'est juste trop facile de sauter sur une phrase et de l'Extrapoler pour donner l'impression ensuite qu'on sera tous obligé de placer nos vieux parents, qu'il faut que tous les enfants soient placés en garderie etc...
On a pas encore eu la phrase du gouvernement en place : Un patient, un lit, un patient, une chambre afin de vider les corridors des urgences encombrées....
Me semble que ça ça aurait eu un impact et voulu dire quelque chose non?
Élection au Provincial
.anthurium. a écritLa chronique de Richard Martineau
Un vieux, une place !
Richard Martineau
Journal de Montréal
21/11/2008 05h34
«Citoyens, citoyennes, si vous votez pour moi, je vous garantis que TOUS les vieux auront une place à l'hospice.
«Terminée, l'époque où les Québécois devaient rester à la maison pour prendre soin de leurs parents âgés. Grâce à mon gouvernement, vous pourrez ENFIN placer vos vieux sans problème, afin d'aller travailler, de faire rouler l'économie et de payer de l'impôt...»
Vous imaginez ce qui arriverait si un politicien osait prononcer un tel discours ? On le traiterait de sans-coeur.
Pourquoi peut-on lancer ce genre d'affirmations à propos des enfants, alors ?
LA ROUMANISATION DU QUÉBEC
Le docteur Jean-François Chicoine, pédiatre rattaché à l'Hôpital Sainte-Justine, a consacré sa vie au bien-être des tout-petits. Quand il a entendu Pauline Marois dire son slogan «Un enfant, une place», il a explosé.
«J'ai failli pleurer tellement j'étais dévasté, m'a-t-il confié hier. Pour moi, c'est digne de la Roumanie sous Elena Ceausescu. En fait, ce qu'on dit, en lançant ce genre de phrases, c'est que l'institutionnalisation des enfants, au Québec, prime sur la loi naturelle de la famille.
«On dit que ce n'est pas nécessaire de prendre soin de nos enfants, qu'il n'y a rien comme l'État pour élever et éduquer nos bambins, et que les citoyens du Québec ne connaîtront la paix que le jour où CHAQUE enfant sera placé dans une garderie...»
Le docteur Chicoine ne mâche pas ses mots.
«Cette façon de penser n'est pas seulement répugnante,lance-t-il. Elle va à l'encontre de la convention des Nations unies sur le droit des enfants !»
DES GARDERIES SQUATTÉES
«Je ne reproche rien à Mme Marois, continue le docteur. Après tout, nous sommes dans une campagne électorale, un contexte qui encourage les raccourcis et la surenchère. Mais ce qui me déprime, ce qui me peine et m'attriste profondément est que personne n'a réagi. Personne !
«Seule l'ex-juge Andrée Ruffo a osé émettre un bémol, et elle s'est fait tomber dessus à bras raccourcis. Il faut dire qu'elle a émis ses critiques lors d'un événement organisé par l'ADQ, ce qui a - malheureusement - donné une couleur politique à ses propos...»
Le docteur Chicoine est-il contre les garderies ?
«Absolument pas, répond-il. Je suis contre l'idée voulant que TOUS les enfants aient besoin d'aller à la garderie. C'est faux!
«Actuellement, je tente désespérément de trouver une place en garderie pour un enfant qui en a grandement besoin. Ses parents sont dysfonctionnels et la garderie aiderait cet enfant à socialiser.
«Or, je n'y arrive pas! Pourquoi? Parce que les garderies sont squattées par des parents fortunés qui placent leurs enfants pour aller faire du shopping, fréquenter le gym ou récolter un deuxième salaire pour se payer un chalet et une deuxième auto !
«On devrait privilégier les enfants dans le besoin !»
UN PROBLÈME ÉCONOMIQUE
«Actuellement, ajoute Jean-François Chicoine, le système des garderies est fait d'abord et avant tout POUR le bien-être des parents.
«J'ai l'impression qu'au Québec, l'enfance est perçue comme un problème économique, point. La phrase «Un enfant, une place» est l'aboutissement de cette pensée, de cette philosophie.»
Vous savez que vous allez vous faire rentrer dedans pour avoir lancé ce pavé dans la mare? dis-je au docteur Chicoine.
«Je sais, me répond-il après une pause. Mais je ne pouvais pas rester silencieux.»
Enfin un qui se réveille, si au moins ça pouvait en réveiller d'autre
Pendant ce temps, les professeurs de la comission scolaire de Montréal veulent que les enfants rentre en maternelle à 4 ANS Non mais ca va faire là, on peux tu avoir du temps avec nos enfants ? Tant qu'à faire on va accoucher et vous les donner tout suite. --Message edité par ely le 2008-11-21 10:54:09--
Un vieux, une place !
Richard Martineau
Journal de Montréal
21/11/2008 05h34
«Citoyens, citoyennes, si vous votez pour moi, je vous garantis que TOUS les vieux auront une place à l'hospice.
«Terminée, l'époque où les Québécois devaient rester à la maison pour prendre soin de leurs parents âgés. Grâce à mon gouvernement, vous pourrez ENFIN placer vos vieux sans problème, afin d'aller travailler, de faire rouler l'économie et de payer de l'impôt...»
Vous imaginez ce qui arriverait si un politicien osait prononcer un tel discours ? On le traiterait de sans-coeur.
Pourquoi peut-on lancer ce genre d'affirmations à propos des enfants, alors ?
LA ROUMANISATION DU QUÉBEC
Le docteur Jean-François Chicoine, pédiatre rattaché à l'Hôpital Sainte-Justine, a consacré sa vie au bien-être des tout-petits. Quand il a entendu Pauline Marois dire son slogan «Un enfant, une place», il a explosé.
«J'ai failli pleurer tellement j'étais dévasté, m'a-t-il confié hier. Pour moi, c'est digne de la Roumanie sous Elena Ceausescu. En fait, ce qu'on dit, en lançant ce genre de phrases, c'est que l'institutionnalisation des enfants, au Québec, prime sur la loi naturelle de la famille.
«On dit que ce n'est pas nécessaire de prendre soin de nos enfants, qu'il n'y a rien comme l'État pour élever et éduquer nos bambins, et que les citoyens du Québec ne connaîtront la paix que le jour où CHAQUE enfant sera placé dans une garderie...»
Le docteur Chicoine ne mâche pas ses mots.
«Cette façon de penser n'est pas seulement répugnante,lance-t-il. Elle va à l'encontre de la convention des Nations unies sur le droit des enfants !»
DES GARDERIES SQUATTÉES
«Je ne reproche rien à Mme Marois, continue le docteur. Après tout, nous sommes dans une campagne électorale, un contexte qui encourage les raccourcis et la surenchère. Mais ce qui me déprime, ce qui me peine et m'attriste profondément est que personne n'a réagi. Personne !
«Seule l'ex-juge Andrée Ruffo a osé émettre un bémol, et elle s'est fait tomber dessus à bras raccourcis. Il faut dire qu'elle a émis ses critiques lors d'un événement organisé par l'ADQ, ce qui a - malheureusement - donné une couleur politique à ses propos...»
Le docteur Chicoine est-il contre les garderies ?
«Absolument pas, répond-il. Je suis contre l'idée voulant que TOUS les enfants aient besoin d'aller à la garderie. C'est faux!
«Actuellement, je tente désespérément de trouver une place en garderie pour un enfant qui en a grandement besoin. Ses parents sont dysfonctionnels et la garderie aiderait cet enfant à socialiser.
«Or, je n'y arrive pas! Pourquoi? Parce que les garderies sont squattées par des parents fortunés qui placent leurs enfants pour aller faire du shopping, fréquenter le gym ou récolter un deuxième salaire pour se payer un chalet et une deuxième auto !
«On devrait privilégier les enfants dans le besoin !»
UN PROBLÈME ÉCONOMIQUE
«Actuellement, ajoute Jean-François Chicoine, le système des garderies est fait d'abord et avant tout POUR le bien-être des parents.
«J'ai l'impression qu'au Québec, l'enfance est perçue comme un problème économique, point. La phrase «Un enfant, une place» est l'aboutissement de cette pensée, de cette philosophie.»
Vous savez que vous allez vous faire rentrer dedans pour avoir lancé ce pavé dans la mare? dis-je au docteur Chicoine.
«Je sais, me répond-il après une pause. Mais je ne pouvais pas rester silencieux.»
Enfin un qui se réveille, si au moins ça pouvait en réveiller d'autre
Pendant ce temps, les professeurs de la comission scolaire de Montréal veulent que les enfants rentre en maternelle à 4 ANS Non mais ca va faire là, on peux tu avoir du temps avec nos enfants ? Tant qu'à faire on va accoucher et vous les donner tout suite. --Message edité par ely le 2008-11-21 10:54:09--
Ely a écrit
Enfin un qui se réveille, si au moins ça pouvait en réveiller d'autre
Pendant ce temps, les professeurs de la comission scolaire de Montréal veulent que les enfants rentre en maternelle à 4 ANS Non mais ca va faire là, on peux tu avoir du temps avec nos enfants ? Tant qu'à faire on va accoucher et vous les donner tout suite.
Et ou vois-tu qu'il se réveille?
Il extrapole une phrase en lui donnant un tout autre sens que celui que son auteur a voulu lui donner...C'est un exemple parfait de désinformation et de tentative de sensationnalisme de campagne électorale
Enfin un qui se réveille, si au moins ça pouvait en réveiller d'autre
Pendant ce temps, les professeurs de la comission scolaire de Montréal veulent que les enfants rentre en maternelle à 4 ANS Non mais ca va faire là, on peux tu avoir du temps avec nos enfants ? Tant qu'à faire on va accoucher et vous les donner tout suite.
Et ou vois-tu qu'il se réveille?
Il extrapole une phrase en lui donnant un tout autre sens que celui que son auteur a voulu lui donner...C'est un exemple parfait de désinformation et de tentative de sensationnalisme de campagne électorale
Annouk a écrit
Et ou vois-tu qu'il se réveille?
Il extrapole une phrase en lui donnant un tout autre sens que celui que son auteur a voulu lui donner...C'est un exemple parfait de désinformation et de tentative de sensationnalisme de campagne électorale
C'est pas la phrase que je trouve importante, c'est le message. Le gouvernement en financant les garderies plutôt que les cotisation familiale met de la pression sur les parents pour qu'il les envoie à la garderie et qu'il travaille plus du fait même. Si les parent auraient cette argent dans leur cotisations, ils pourraient vraiment faire un choix personel selon ces valeurs.
Et ou vois-tu qu'il se réveille?
Il extrapole une phrase en lui donnant un tout autre sens que celui que son auteur a voulu lui donner...C'est un exemple parfait de désinformation et de tentative de sensationnalisme de campagne électorale
C'est pas la phrase que je trouve importante, c'est le message. Le gouvernement en financant les garderies plutôt que les cotisation familiale met de la pression sur les parents pour qu'il les envoie à la garderie et qu'il travaille plus du fait même. Si les parent auraient cette argent dans leur cotisations, ils pourraient vraiment faire un choix personel selon ces valeurs.
Ely a écrit
C'est pas la phrase que je trouve importante, c'est le message. Le gouvernement en financant les garderies plutôt que les cotisation familiale met de la pression sur les parents pour qu'il les envoie à la garderie et qu'il travaille plus du fait même. Si les parent auraient cette argent dans leur cotisations, ils pourraient vraiment faire un choix personel selon ces valeurs.
Parce que tu crois que les parents qui ne trouvent pas de place en garderie n'en mettent pas de pression sur le gouvernement toi?
Perso, je ne partage pas du tout ton avis, je ne vois aucune pression vis à vis les parents dans cette phrase pour mettre absolument leurs enfants en garderie.
J'y vois un promesse de solution pour ceux qui en cherchent, rien de plus
C'est pas la phrase que je trouve importante, c'est le message. Le gouvernement en financant les garderies plutôt que les cotisation familiale met de la pression sur les parents pour qu'il les envoie à la garderie et qu'il travaille plus du fait même. Si les parent auraient cette argent dans leur cotisations, ils pourraient vraiment faire un choix personel selon ces valeurs.
Parce que tu crois que les parents qui ne trouvent pas de place en garderie n'en mettent pas de pression sur le gouvernement toi?
Perso, je ne partage pas du tout ton avis, je ne vois aucune pression vis à vis les parents dans cette phrase pour mettre absolument leurs enfants en garderie.
J'y vois un promesse de solution pour ceux qui en cherchent, rien de plus
C'est fou comme Dumont prend vraiment n'importe qui .
J'ai appris cette semaine que Dumont a téléphoné le chum de ma tante pour se présenter dans un compté que j'ose même pas nommé.
Je me roule à terre de rire.
Appelons le par son vrai nom, Denis qui est un séparatiste depuis belle lurette... en plus ça dit dans son profil qu'il a étudier en droit.
Cliss... y'a fait juste 5 cours En vérité, c'est un gars qui conduisait quelque chose à l'ancienne aéroport de Mirabel , pis il s'occupe de l'entretien d'un bloc appartement de six logements
Pis c'est pas le plus honnête je suis mieux de pas trop parler
Dire que ça pourrait devenir un députer
J'peux vraiment pas croire
J'ai appris cette semaine que Dumont a téléphoné le chum de ma tante pour se présenter dans un compté que j'ose même pas nommé.
Je me roule à terre de rire.
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.anthurium.
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Tiffanys a écritC'est fou comme Dumont prend vraiment n'importe qui .
J'ai appris cette semaine que Dumont a téléphoné le chum de ma tante pour se présenter dans un compté que j'ose même pas nommé.
Je me roule à terre de rire.
Appelons le par son vrai nom, Denis qui est un séparatiste depuis belle lurette... en plus ça dit dans son profil qu'il a étudier en droit.
Cliss... y'a fait juste 5 cours En vérité, c'est un gars qui conduisait quelque chose à l'ancienne aéroport de Mirabel , pis il s'occupe de l'entretien d'un bloc appartement de six logements
Pis c'est pas le plus honnête je suis mieux de pas trop parler
Dire que ça pourrait devenir un députer
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est-il candidat présentement?
J'ai appris cette semaine que Dumont a téléphoné le chum de ma tante pour se présenter dans un compté que j'ose même pas nommé.
Je me roule à terre de rire.
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Cliss... y'a fait juste 5 cours En vérité, c'est un gars qui conduisait quelque chose à l'ancienne aéroport de Mirabel , pis il s'occupe de l'entretien d'un bloc appartement de six logements
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est-il candidat présentement?
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
Je suis allé voir sa fiche sur l'ADQ. Au moins là il se dit pas avocat
y'écrit marier avec deux enfants. ça fait au moins 15 ans que y'é divorcé Pis y'é juste accoté avec ma tante
En fait , ce qui veut dire, c'est qu'il s'Occupait du chauffage dans tout ces endroits
Mais y'écrit pas qu'il a déjà eu un fleuriste pis y'é parti du local pour pas pouvoir payer le loyer
y'écrit marier avec deux enfants. ça fait au moins 15 ans que y'é divorcé Pis y'é juste accoté avec ma tante
En fait , ce qui veut dire, c'est qu'il s'Occupait du chauffage dans tout ces endroits
Mais y'écrit pas qu'il a déjà eu un fleuriste pis y'é parti du local pour pas pouvoir payer le loyer
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dependra du comté où il est
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
désoler moi queébec solidaire je voterai jamais pour eux de 1 sont trop a gauche avec eux un déficit envisagé de 2 vole les vote du pq
et de 3 ils ont des communistes avec eux un de leur députés est le chef du parti communiste du québec
et de 3 ils ont des communistes avec eux un de leur députés est le chef du parti communiste du québec
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.anthurium.
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Dumont revient à la charge
Travail obligatoire pour 70000 assistés sociaux
Michel Hébert
Le Journal de Québec
Journal de Québec
21/11/2008 07h57
Mario Dumont propose de faire signer un contrat de travail «obligatoire» à 70 000 assistés sociaux, soit la moitié de ceux classés aptes à travailler.
«Tout le monde doit se lever le matin. Tout le monde doit faire un effort. L'aide sociale comme mode de vie, c'est fini», a soutenu hier le chef de l'ADQ, balayant du revers de la main les évaluations du ministère de la Solidarité sociale.
En quatre ans
Simplifions les chiffres. Il y a 135000 assistés sociaux dits «aptes au travail» et l'ADQ veut en pousser la moitié au travail en quatre ans. Un «contrat prestataire-État» viserait au moins 10 000 personnes, dès la première année. Les stages ou les parcours vers l'emploi seraient «obligatoires» pour ceux qui n'ont pas de contraintes physiques. L'ADQ couperait les prestations de ceux qui refusent.
Or, selon une évaluation précise des assistés dits aptes au travail, le Ministère conclut que moins de 10 % d'entre eux, soit environ 12 000, sont vraiment capables de retourner travailler. Mario Dumont n'y croit pas.
«On m'a déjà servi la même salade. Il ne peut pas avoir 90 % de ceux qui sont aptes au travail qui ne peuvent pas travailler. Et le Ministère ne dépenserait pas 200 millions pour les former s'ils sont si peu nombreux aptes au travail», a expliqué M. Dumont en marge d'une visite industrielle à Magog.
De toute évidence, il croit que le Ministère n'a pas la main assez ferme. «Aide-toi et le Québec t'aidera», dit-il.
Problèmes de main-d'oeuvre
À Pierreville, Carl Thibault, propriétaire de l'entreprise Les Véhicules d'urgence Thibault, a des problèmes majeurs de main-d'oeuvre. Il jugeait hier important d'inciter les assistés sociaux à travailler. «Il faut demander à ces gens-là de venir travailler parce qu'on va manquer de main-d'oeuvre», a-t-il dit en soulignant que «l'oisiveté est la mère des vices».
L'ADQ propose aux entreprises une allocation annuelle de 3 000 $ pour chaque assisté social embauché en vertu du «contrat prestataire-État».
En sortant 10 000 personnes de l'aide sociale, le gouvernement épargnerait, au net, 42 millions. Ces mesures ont évidemment outré les lobbys sociaux. François Saillant, de Québec solidaire, a jugé que M. Dumont atteint des «sommets de bassesse» avec ces mesures de travail forcé.
Travail obligatoire pour 70000 assistés sociaux
Michel Hébert
Le Journal de Québec
Journal de Québec
21/11/2008 07h57
Mario Dumont propose de faire signer un contrat de travail «obligatoire» à 70 000 assistés sociaux, soit la moitié de ceux classés aptes à travailler.
«Tout le monde doit se lever le matin. Tout le monde doit faire un effort. L'aide sociale comme mode de vie, c'est fini», a soutenu hier le chef de l'ADQ, balayant du revers de la main les évaluations du ministère de la Solidarité sociale.
En quatre ans
Simplifions les chiffres. Il y a 135000 assistés sociaux dits «aptes au travail» et l'ADQ veut en pousser la moitié au travail en quatre ans. Un «contrat prestataire-État» viserait au moins 10 000 personnes, dès la première année. Les stages ou les parcours vers l'emploi seraient «obligatoires» pour ceux qui n'ont pas de contraintes physiques. L'ADQ couperait les prestations de ceux qui refusent.
Or, selon une évaluation précise des assistés dits aptes au travail, le Ministère conclut que moins de 10 % d'entre eux, soit environ 12 000, sont vraiment capables de retourner travailler. Mario Dumont n'y croit pas.
«On m'a déjà servi la même salade. Il ne peut pas avoir 90 % de ceux qui sont aptes au travail qui ne peuvent pas travailler. Et le Ministère ne dépenserait pas 200 millions pour les former s'ils sont si peu nombreux aptes au travail», a expliqué M. Dumont en marge d'une visite industrielle à Magog.
De toute évidence, il croit que le Ministère n'a pas la main assez ferme. «Aide-toi et le Québec t'aidera», dit-il.
Problèmes de main-d'oeuvre
À Pierreville, Carl Thibault, propriétaire de l'entreprise Les Véhicules d'urgence Thibault, a des problèmes majeurs de main-d'oeuvre. Il jugeait hier important d'inciter les assistés sociaux à travailler. «Il faut demander à ces gens-là de venir travailler parce qu'on va manquer de main-d'oeuvre», a-t-il dit en soulignant que «l'oisiveté est la mère des vices».
L'ADQ propose aux entreprises une allocation annuelle de 3 000 $ pour chaque assisté social embauché en vertu du «contrat prestataire-État».
En sortant 10 000 personnes de l'aide sociale, le gouvernement épargnerait, au net, 42 millions. Ces mesures ont évidemment outré les lobbys sociaux. François Saillant, de Québec solidaire, a jugé que M. Dumont atteint des «sommets de bassesse» avec ces mesures de travail forcé.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
Ely a écrit
Enfin un qui se réveille, si au moins ça pouvait en réveiller d'autre
Pendant ce temps, les professeurs de la comission scolaire de Montréal veulent que les enfants rentre en maternelle à 4 ANS Non mais ca va faire là, on peux tu avoir du temps avec nos enfants ? Tant qu'à faire on va accoucher et vous les donner tout suite.
coudonc, en France, la maternelle débute à 3 ans, et aucun enfant n'en meurt... Faut quand même pas exagérer. J'aimerais ça moi une maternelle 4 ans pour ma fille.
Enfin un qui se réveille, si au moins ça pouvait en réveiller d'autre
Pendant ce temps, les professeurs de la comission scolaire de Montréal veulent que les enfants rentre en maternelle à 4 ANS Non mais ca va faire là, on peux tu avoir du temps avec nos enfants ? Tant qu'à faire on va accoucher et vous les donner tout suite.
coudonc, en France, la maternelle débute à 3 ans, et aucun enfant n'en meurt... Faut quand même pas exagérer. J'aimerais ça moi une maternelle 4 ans pour ma fille.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Tiffanys a écritJe suis allé voir sa fiche sur l'ADQ. Au moins là il se dit pas avocat
y'écrit marier avec deux enfants. ça fait au moins 15 ans que y'é divorcé Pis y'é juste accoté avec ma tante
En fait , ce qui veut dire, c'est qu'il s'Occupait du chauffage dans tout ces endroits
Mais y'écrit pas qu'il a déjà eu un fleuriste pis y'é parti du local pour pas pouvoir payer le loyer
S'il a menti sur sa fiche, ça ne sera pas long que ça va se savoir.
Il y aura bien une âme charitable à quelque part pour faire sortir la vérité.
y'écrit marier avec deux enfants. ça fait au moins 15 ans que y'é divorcé Pis y'é juste accoté avec ma tante
En fait , ce qui veut dire, c'est qu'il s'Occupait du chauffage dans tout ces endroits
Mais y'écrit pas qu'il a déjà eu un fleuriste pis y'é parti du local pour pas pouvoir payer le loyer
S'il a menti sur sa fiche, ça ne sera pas long que ça va se savoir.
Il y aura bien une âme charitable à quelque part pour faire sortir la vérité.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??