LE DOMAINE BLEU

Jumbo  a écrit

S'il a menti sur sa fiche, ça ne sera pas long que ça va se savoir.  
Il y aura bien une âme charitable à quelque part pour faire sortir la vérité.    

L'âme charitable est moi    J'ai écrit a Dumont  

une chose est certaine si Charest deviens majoritaire sa premiere désision accepter une hausse d'hydro

vivier  a écritune chose est certaine si Charest deviens majoritaire sa premiere désision accepter une hausse d'hydro  
Comme je disais, dans 4 ans on sera encore plus pauvre avec lui... sans parler de la crise financière dont on nous cache l'importance.

Mais au vu des sondages, on va devoir s'attendre à en arracher 4 ans de +   Je suis totalement découragée de ce qui arrive... Harper m'est déjà restée en travers de la gorge, Charest, en plus...    

je ne lance pas encore la serviette

lucide  a écrit

En fait c'est ce que je voulais savoir... parce pour moi il y a une méchante difference entre avoir peur de quelqu'un et ne pas avoir confiance.....

Les politiques de Harper me font peur.... je suis plus  vigilante a ce qu'il essaie de nous passer

J'ai pas confiance a Madame Marois, mais ces politiques ne me font pas peur, je serai pas inquiete si elle rentre au pouvoir.


Un autre exemple de la peur qui me fend le coeur en douceur. Comme tout bon manipulateur ne fait pas peur à ceux qui se font avoir de tous les côtés par la confiance aveugle qu'ils mettent sur un individu. M. Charest joue ce rôle douceureusement, pour obtenir ce qu'il veut, il est prêt à tout.

Ce n'est pas une peur aigue qui vous transperce, mais une peur intelligente et raisonnée qui nait de la configuration de son intervention toute calculée par des faiseurs d'image interventionniste à son niveau pour modeler une victoire non identitaire aux principes de la sincérité.

De la poudre aux yeux avant tout pour endormir. Des techniques de sommeil profond sont employés pour donner l'impression que tout va bien, que le bon père de famille veille au grain, que vous pouvez aller vous rendormir en paix. Si le peuple se réveille un tant soit peu, faisons une commission d'étude et le temps fera le reste. L'attrait médiatique de la nouveauté a une durée de vie et la désinformation fait le reste pour arrondir les coins. Un soulèvement de toupet par ici et la réponse qui revient, c'est que le toupet est passé date, que la discussion est close car la discussion a déjà eu lieu, donc la mode est passée. On a vu ce phénomène quand Dumont a essayé de revenir sur les accomodements raisonnable.

Certaines ethnies ont très bien compris qu'il ne fallait pas réveiller le bon québécois dans sa chaumière. Travaillons la base en profondeur sans faire de vague en surface se sont-ils dit? La technique Charest ressemble à cela en cette différence que j'ai un doute sur son travail en profondeur.

Le meilleur exemple est ce matin sur Canoe avec cette nouvelle du 11 milliards en fumée de la ministre Jérôme-Forget. Désinformons avec des informations aux limites extrêmes d'une menterie et qui rendent pleine d'espoir, jovial dans un contexte qui est l'inverse de la réalité énoncée. Endormons le peuple devrait-être sa devise ou plutôt OUI laissez-nous vous endormir papa Charest vous veillera pendant 5 ans!

Un bon manipulé ne verra jamais qu'il l'est et il va même défendre celui qui le manipule. On appelle cela le syndrome de Stockholm. --Message edité par Ploloto le 2008-11-24 07:23:39--

kolem  a écritDésolée je n'ai pas trouvé l'info là-dessus mais c'est quoi la maternelle à 4 ans? Parce que, personnellement, j'ai été en maternelle quatre ans (ça s'appelait Passe-Partout je pense) à raison de 2-3 jours semaine pis ma mère était bien contente, ça m'a permis de socialiser et de faire plein de trucs intéressants!

Quand mon fils était petit, vu qu'on restait en campagne avec pas de voisins avec de jeunes enfants, et malgré la visite régulière de cousins du même âge, il était donc toujours entouré d'adultes seulement. Pour l'aider avant d'entrer à cinq ans à la maternelle, je l'avais inscrit à 4 ans dans une pré-maternelle privée. S'il le fallait il sociabilisait sans problème mais il était tellement habitué seul d'enfant qu'il se ramassait souvent à jouer dans son coin tout naturellement.
Mon fils était un solitaire auto-suffisant.
Mais je suis sûre que c'est un bien en général pour les jeunes d'apprendre à côtoyer avant l'entrée à l'école.

J'aimerais rajouter que malgré tous les reproches qu'on peut faire, il n'en demeure pas moins une réalité indéniable. M. Charest n'a pas de véritable enjeu. Il n'a qu'à gouverner et le reste aux mains des faiseux d'images pour endormir le québécois. le sommeil est si confortable, je me passais justement la remarque dans mon lit ce matin avant de me lever et de me retrousser les manches.

M. Marois avec toute son expérience, ne peut faire autrement qu'y mettre tous les efforts pour faire un bon gouvernement si elle veut un jour parler de souveraineté. Un peu comme René Levesque lors de son premier mandat. Formons le meilleur gouvernement possible, et la motivation est là.

C'est la différence fondamentale entre les deux. --Message edité par Ploloto le 2008-11-24 07:45:12--

Savvy!  a écrit

Quand mon fils était petit, vu qu'on restait en campagne avec pas de voisins avec de jeunes enfants, et malgré la visite régulière de cousins du même âge, il était donc toujours entouré d'adultes seulement. Pour l'aider avant d'entrer à cinq ans à la maternelle, je l'avais inscrit à 4 ans dans une pré-maternelle privée. S'il le fallait il sociabilisait sans problème mais il était tellement habitué seul d'enfant qu'il se ramassait souvent à jouer dans son coin tout naturellement.
Mon fils était un solitaire auto-suffisant.
Mais je suis sûre que c'est un bien en général pour les jeunes d'apprendre à côtoyer avant l'entrée à l'école.



Ton enfant peut sociabiliser avec d'autres enfants si tu vas au parc avec lui, si tu vas dans des activités familiales organisées etc.

J'ai eu la pré-maternelle deux demie-journée semaine et nous ne faisions que jouer et faire des bricolages. Mon frère n'a pas connu ça mais en allant au parc et tout il a sociabilisé avec d'autres enfants ce qui n'a occasionné aucun problème à son arrivé à la maternelle.

Pourquoi ne laissons-nous pas le temps aux enfants d'être des enfants avant de vouloir en faire des adultes

La mise à jour des libéraux serait inexacte (LCN 24/11/08)

La mise à jour économique déposée par la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget serait inexacte.

Selon Le Journal de Montréal, le document présenté le trois novembre dernier prévoit trois fois plus d'investissement que la réalité.

L'analyse effectuée par le journal montre qu'il manquerait 11 milliards en investissements annoncés.

Alors que la ministre prétendait qu'il y aurait des investissements de 16,2 milliards au Québec dans les prochaines années, l'analyse du journal montre qu'il n'y en aurait en faite que 5,1 milliards de dollars.

Pour effectuer son analyse, Le Journal de Montréal a contacté toutes les compagnies visées telles Alcoa, Ultramar, Rio Tinto Alcan et Pratt and Whitney.

La majorité des représentants de ces sociétés contredisent les prévisions de ce document.

apres ces révélations du journal de montréal le ti-monsieur Charest va se faire varloper au débat des chefs
en tout cas j'espere!!

enfin il va peut-être moins arrongant et suffisant!

toute facon vaut mieux un gouvernement quebecois majoritaire pour confronté harpeur qui lui est encore minoritaire

Earendil  a écrittoute facon vaut mieux un gouvernement quebecois majoritaire pour confronté harpeur qui lui est encore minoritaire

je ne suis pas du tout d'accord avec toi

En soutenant la coalition
Marois soutient que le Bloc a permis d'arracher 1 milliard $
La Presse Canadienne
01/12/2008 20h54

Le Bloc québécois a permis au Québec de faire des gains de plus de 1 milliard $ en acceptant d'appuyer le gouvernement de coalition des partis d'opposition à Ottawa, a déclaré la chef péquiste Pauline Marois.

En tournée électorale lundi à St-Charles-Borromée, près de Joliette, Mme Marois ne s'est pas offusquée que le chef bloquiste Gilles Duceppe s'allie ainsi au chef libéral démissionnaire Stéphane Dion, qui devrait diriger ce gouvernement de coalition jusqu'à ce qu'il quitte son poste en mai prochain.

«M. Dion a déjà été jugé. Il s'en va. Les Québécois ne lui ont pas fait confiance. Ce n'est pas de lui dont nous parlons, mais des intérêts du Québec. On ne va pas sacrifier 1 milliard $ parce que Dion va être là pendant cinq mois», a lancé Mme Marois, avant de prononcer une allocution devant des militants.

Selon elle, le Bloc québécois a fait preuve de pragmatisme et de sens des responsabilités en obtenant des gains pour le Québec tout en évitant que la crise à Ottawa ne débouche sur une nouvelle élection fédérale qui aurait exaspéré les Québécois.

«Le Bloc québécois a fait plus en quelques jours (pour les intérêts du Québec) que Jean Charest en six ans. Le Bloc s'est tenu debout à Ottawa alors que M. Charest était à genoux», a affirmé la chef péquiste.

Elle a insisté sur le fait que le gouvernement de coalition annulera la réforme des paiements de péréquation prévue par le gouvernement Harper, qui aurait entraîné une réduction de 1 milliard $ de la somme versée au Québec.

Il présentera aussi des mesures de stimulation de l'économie et annulera les compressions fédérales en culture ainsi qu'en développement économique régional.

Mme Marois, qui dit avoir eu des échanges avec le chef bloquiste Gilles Duceppe au cours des derniers jours sur ces négociations, estime que son partenaire souverainiste a par ailleurs bien dosé son appui, en le limitant à une période de 18 mois et en refusant de prendre part au gouvernement de coalition.

Elle ne croit pas qu'une alliance temporaire avec Stéphane Dion, qui est pourtant à l'origine de la loi sur la clarté référendaire, constitue un recul pour les souverainistes.

«J'espère que le mouvement souverainiste va en sortir plus fort parce que, quand on se tient debout, on va chercher les moyens dont on a besoin et notre objectif, c'est d'aller chercher tous nos moyens, et ça, c'est la souveraineté», a dit la chef péquiste.

Plus tôt dans la journée, avant que Jack Layton, Stéphane Dion et Gilles Duceppe ne rencontrent la presse pour confirmer la ratification de leur entente, Mme Marois s'était surtout appliquée à attaquer le chef libéral Jean Charest, qu'elle accusait de ne pas défendre les intérêts du Québec en pleine crise politique à Ottawa.

Questionnée sur les surprenants rebondissements de la crise qui secoue le parlement fédéral, la chef péquiste a reproché au chef libéral d'être demeuré muet depuis la présentation de l'énoncé économique du gouvernement conservateur, qu'elle juge désavantageux pour le Québec.

«Tout d'un coup, il est disparu, M. Charest, il n'a plus rien à demander (au gouvernement fédéral). Où est-ce qu'il est M. Charest pour défendre nos intérêts?», a martelé Mme Marois, avant de visiter un centre jeunesse à Montréal.

Devant l'éventualité que le Bloc québécois appuie un gouvernement de coalition mené par M. Dion, elle avait laissé tomber: "si le Bloc québécois peut obtenir des choses pour le Québec alors que Jean Charest est à genoux, c'est le Québec qui doit sortir gagnant de ça".

Développement du monde agricole: l’ADQ dévoile ses priorités pour l’agriculture

2008-11-30, 10:11
Le chef de l’Action démocratique du Québec, Mario Dumont, a présenté ce matin la vision adéquiste afin d’aider les agriculteurs dans leur vie de tous les jours et dans leurs projets pour le futur.
« Les agriculteurs sont des entrepreneurs et des partenaires du développement économique et environnemental du Québec. Nous croyons que l’agriculture doit redevenir un secteur de croissance en misant sur la relève, la formation, le développement des produits du terroir et la recherche. C’est par un soutien accru dans leurs projets et par une valorisation du rôle de promoteur de notre terroir, que nous saurons donner le coup de pouce dont ont besoin nos producteurs pour continuer à innover », a lancé Mario Dumont.

Favoriser le développement régional

Pour l’ADQ, les agriculteurs sont parties prenantes du développement économique et régional du Québec. Par leur rôle central dans la production alimentaire, ils doivent aussi participer à la création d’incubateurs régionaux pour la création de nouveaux produits ou de nouvelles technologies. « Nos agriculteurs doivent être considérés comme des promoteurs locaux au même titre que n’importe quel autre entrepreneur. C’est pourquoi nos producteurs doivent être amenés, avec les entreprises de production agricole et de transformation agroalimentaire, à développer de nouveaux produits par l’entremise regroupements régionaux. Il faut que les retombées de la transformation soient profitables pour les régions en plus de faciliter le transfert des connaissances par des incubateurs régionaux », croit M. Dumont.

« Ces incubateurs pourraient réunir plusieurs professionnels qui seraient à même de mettre de l’avant les initiatives locales. Nous voulons que nos agriculteurs soient parties prenantes du développement de nouveaux produits et de leur mise en marché. Notre terroir pourrait ainsi profiter d’une valeur ajoutée pour maximiser les spécificités de chacun des producteurs et de leurs produits. Il est temps que l’on considère ceux qui produisent ce qui se retrouve dans notre assiette, comme des partenaires importants du développement de leur communauté », a ajouté le chef adéquiste.

Épauler la relève

Selon le chef de l’ADQ, il est aussi très important de favoriser la relève dans le monde agricole. « Se lancer dans la production agricole est aujourd’hui de plus en plus difficile. Les jeunes ont de plus en plus de difficulté à reprendre les fermes familiales vu les fonds de départ imposants que cela demande. C’est pourquoi, dans le cadre de la renégociation de la Financière agricole, l’ADQ s’engage, comme elle l’a fait dans le passé, de s’assurer que la Financière met en place des mesures favorisant le transfert des fermes. C’est l’avenir de l’agriculture qu’il est important d’épauler afin que nos entreprises agricoles continuent à prospérer », a souligné M. Dumont.

Moins de bureaucratie, plus d’innovation

Par ailleurs, pour Mario Dumont, il est clair que la bureaucratie, avec laquelle nous décourageons toutes nouvelles initiatives, doit être revue au plus vite. « Les ministères doivent arrêter de travailler en silos. Les ministères entre eux doivent se parler et faciliter davantage les processus pour les nouveaux produits ou les nouvelles cultures. Le gouvernement doit de plus en plus agir comme un accompagnateur pour que nos agriculteurs continuent à innover. C’est sur le terrain que nos agriculteurs doivent se trouver et non plus dans les embrouilles de l’appareil gouvernemental. De plus, certaines règles nuisent à la compétitivité des entreprises agroalimentaire. La promotion de l’étiquetage des produits québécois et canadiens, ainsi que la compétitivité de nos produits à l’international, doivent être prises au sérieux dans les plans du gouvernement », a affirmé le chef de l’ADQ.

Soutenir les technologies vertes

De plus, l’ADQ croit qu’il est aussi nécessaire d’encourager le développement et l’implantation des technologies vertes. « Les nouvelles technologies et les innovations sont encore perçues comme marginales dans le monde agricole. L’implantation de nouvelles méthodes reste peu commune vu les difficultés techniques, mais aussi du fait d’un financement trop coûteux de ces technologies. Nos producteurs sont conscients de leur rôle environnemental. Ils utilisent de plus en plus des méthodes respectueuses de l’environnement en plus de respecter les règles strictes qui sont en vigueur au Québec et dans tout le pays. L’ADQ croit que nos agriculteurs font leur part pour l’environnement et c’est pourquoi nous devons réfléchir sérieusement à soutenir adéquatement leurs efforts », a conclu Mario Dumont.

.anthurium.  a écritDéveloppement du monde agricole: l’ADQ dévoile ses priorités pour l’agriculture

2008-11-30, 10:11
Le chef de l’Action démocratique du Québec, Mario Dumont, a présenté ce matin la vision adéquiste afin d’aider les agriculteurs dans leur vie de tous les jours et dans leurs projets pour le futur.
« Les agriculteurs sont des entrepreneurs et des partenaires du développement économique et environnemental du Québec. Nous croyons que l’agriculture doit redevenir un secteur de croissance en misant sur la relève, la formation, le développement des produits du terroir et la recherche. C’est par un soutien accru dans leurs projets et par une valorisation du rôle de promoteur de notre terroir, que nous saurons donner le coup de pouce dont ont besoin nos producteurs pour continuer à innover », a lancé Mario Dumont.

Favoriser le développement régional

Pour l’ADQ, les agriculteurs sont parties prenantes du développement économique et régional du Québec. Par leur rôle central dans la production alimentaire, ils doivent aussi participer à la création d’incubateurs régionaux pour la création de nouveaux produits ou de nouvelles technologies. « Nos agriculteurs doivent être considérés comme des promoteurs locaux au même titre que n’importe quel autre entrepreneur. C’est pourquoi nos producteurs doivent être amenés, avec les entreprises de production agricole et de transformation agroalimentaire, à développer de nouveaux produits par l’entremise regroupements régionaux. Il faut que les retombées de la transformation soient profitables pour les régions en plus de faciliter le transfert des connaissances par des incubateurs régionaux », croit M. Dumont.

« Ces incubateurs pourraient réunir plusieurs professionnels qui seraient à même de mettre de l’avant les initiatives locales. Nous voulons que nos agriculteurs soient parties prenantes du développement de nouveaux produits et de leur mise en marché. Notre terroir pourrait ainsi profiter d’une valeur ajoutée pour maximiser les spécificités de chacun des producteurs et de leurs produits. Il est temps que l’on considère ceux qui produisent ce qui se retrouve dans notre assiette, comme des partenaires importants du développement de leur communauté », a ajouté le chef adéquiste.

Épauler la relève

Selon le chef de l’ADQ, il est aussi très important de favoriser la relève dans le monde agricole. « Se lancer dans la production agricole est aujourd’hui de plus en plus difficile. Les jeunes ont de plus en plus de difficulté à reprendre les fermes familiales vu les fonds de départ imposants que cela demande. C’est pourquoi, dans le cadre de la renégociation de la Financière agricole, l’ADQ s’engage, comme elle l’a fait dans le passé, de s’assurer que la Financière met en place des mesures favorisant le transfert des fermes. C’est l’avenir de l’agriculture qu’il est important d’épauler afin que nos entreprises agricoles continuent à prospérer », a souligné M. Dumont.

Moins de bureaucratie, plus d’innovation

Par ailleurs, pour Mario Dumont, il est clair que la bureaucratie, avec laquelle nous décourageons toutes nouvelles initiatives, doit être revue au plus vite. « Les ministères doivent arrêter de travailler en silos. Les ministères entre eux doivent se parler et faciliter davantage les processus pour les nouveaux produits ou les nouvelles cultures. Le gouvernement doit de plus en plus agir comme un accompagnateur pour que nos agriculteurs continuent à innover. C’est sur le terrain que nos agriculteurs doivent se trouver et non plus dans les embrouilles de l’appareil gouvernemental. De plus, certaines règles nuisent à la compétitivité des entreprises agroalimentaire. La promotion de l’étiquetage des produits québécois et canadiens, ainsi que la compétitivité de nos produits à l’international, doivent être prises au sérieux dans les plans du gouvernement », a affirmé le chef de l’ADQ.

Soutenir les technologies vertes

De plus, l’ADQ croit qu’il est aussi nécessaire d’encourager le développement et l’implantation des technologies vertes. « Les nouvelles technologies et les innovations sont encore perçues comme marginales dans le monde agricole. L’implantation de nouvelles méthodes reste peu commune vu les difficultés techniques, mais aussi du fait d’un financement trop coûteux de ces technologies. Nos producteurs sont conscients de leur rôle environnemental. Ils utilisent de plus en plus des méthodes respectueuses de l’environnement en plus de respecter les règles strictes qui sont en vigueur au Québec et dans tout le pays. L’ADQ croit que nos agriculteurs font leur part pour l’environnement et c’est pourquoi nous devons réfléchir sérieusement à soutenir adéquatement leurs efforts », a conclu Mario Dumont.



Va t'il donner une subvention a sa femme pour sa propre ferme????? Tse genre un autre 50,000 dollars en salaire.

C'est bizarre il n'y a pas encore de sondage depuis le débat...

Le slogan des médias devrait être: "Tous uni contre l'ADQ" Quand l'ADQ baisse on fait des sondages au 5 jours, mais quand il y a une remonté houps! on ne fait plus de sondage.

.anthurium.  a écritC'est bizarre il n'y a pas encore de sondage depuis le débat...

Le slogan des médias devrait être: "Tous uni contre l'ADQ" Quand l'ADQ baisse on fait des sondages au 5 jours, mais quand il y a une remonté houps! on ne fait plus de sondage.


Bon encore les méchants médias

Il économise leur argents , ils ont péter le budget des sondages électorals pour cette année  ;)

brunetta  a écrit
Bon encore les méchants médias  

Alors observe et dit moi pourquoi il n'y a pas de sondage. Alors qu'on est topujours innondé de sondage.

Perso. je trouve qu'on devrait éviter de faire des sondages en campagne a cause de l'influence sur le monde, mais puisqu'on en fait beaucoup beaucoup je me demande pourquoi ce soudain silence. surtout après le débat ou Mario a été très bon.

J'entendais M. Claude Charron ce matin en entrevue dire que ces élections avait été déclenché parce que Charest et Dumont c'étais comme chien et chat depuis le débat de 2007. Il a pas aimer ce faire sortir un papier durant le débat et Charest voulait lui remmettre la parreil alors des qu'il a vu que les Adéquiste battait de l'aile, Charest en aurait profiter pour se débarasser de Dumont. Il voulait rien savori de collaborer avec Dumont même si c'était possible de le faire.

Donc en gros, c'est une question d'éguaux ces élections. Est-ce qu'on veux vraiment le féliciter de faire passer ces pulsions de vengence avant l'intérêt de ceux qu'il représente ? On va vraiment lui faire le cadeau de rentrer majoritaire? On va tu vraiment lui faire le cadeau de rester au pouvoir tout simplement ?

J'ai hate de voir ça...