Alors donne-nous des avantages de d'autres candidats!
J'en demande depuis plusieurs jours, et personne ne me donne de raisons de voter pour quelqu'un d'autre... Tout ce que j'ai, ce sontr des raisons pour ne pas voter pour Boisclair, et ces raisons ne sont pas suffisantes pour moi.
J'ai déjà écrit, je ne sais plus trop où malheureusement, qu'aucun des candidats actuels, à mon point de vue, ne possède les caractéristiques d'un bon chef du parti québécois. Je ne crois pas que c'est avec l'un d'eux que nous parviendrons à la souveraineté. Tant mieux si certains voient en leur candidat celui qui mènera les troupes à la victoire mais présentement je ne vois pas les choses comme eux.
Je souris lorsque je lis que Boisclair apporte une vision nouvelle et jeune sur la scène politique. J'ai assisté au débat qui s'est tenu à Sherbrooke, mercredi dernier, et je n'ai pas entendu de nouveautés à faire jeter par terre. Boisclair a parlé de réduite la dette, ce qui me semble nouveau dans la bouche d'un souverainiste mais pas nouveau dans le discours politique québécois (Dumont martèle sur ce clou depuis des années). Ce soir-là, c'est le seul élément nouveau que j'ai entendu. Pour le reste du débat disons que Boisclair faisait pas mal « jeune vieux » comme tous ceux qui étaient là. Je ne le discrédite pas plus que les autres candidats mais de là à y lire tout le vent de fraîcheur qu'on veut bien lui attribuer, admettons que j'attends la brise encore...
--Message edité par Beppo le 2005-09-27 15:00:07--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Voila les commentaires d'une ancienne vedette d'opinion de la radio
En consommant de la cocaïne pendant qu'il exerçait des fonctions ministérielles, M. Boisclair a fait montre d'une attitude désinvolte quant à son devoir d'homme d'État, notamment à l'égard de l'environnement
la fonction de ministre, que ce soit aux Transports et à l'Environnement, nécessite une disponibilité et une présence d'esprit 24 heures sur 24.
comme ministre d'Environnement, il peut survenir quelque chose à n'importe quel moment, un imprévu, un accident ou une catastrophe risquent à tout moment de survenir et nécessiter une intervention ministérielle sur-le-champ
Il peut y avoir un écrasement d'avion. Il peut y avoir un accident de train et je dois réagir immédiatement. Moi, personnellement, je vois mes responsabilités 24 heures par jour et non pas de 9 à 5
Voila les commentaires d'une ancienne vedette d'opinion de la radio
En consommant de la cocaïne pendant qu'il exerçait des fonctions ministérielles, M. Boisclair a fait montre d'une attitude désinvolte quant à son devoir d'homme d'État, notamment à l'égard de l'environnement
la fonction de ministre, que ce soit aux Transports et à l'Environnement, nécessite une disponibilité et une présence d'esprit 24 heures sur 24.
comme ministre d'Environnement, il peut survenir quelque chose à n'importe quel moment, un imprévu, un accident ou une catastrophe risquent à tout moment de survenir et nécessiter une intervention ministérielle sur-le-champ
Il peut y avoir un écrasement d'avion. Il peut y avoir un accident de train et je dois réagir immédiatement. Moi, personnellement, je vois mes responsabilités 24 heures par jour et non pas de 9 à 5
en tout cas, ca porte a réflexion
Perso, je suis capable de me faire ma propre idée... et ce qu'une ancienne vedette d'opinion publique peut penser, me passe 10 pieds par dessus la tête ! Quand on me prouvera hors de tout doute raisonnable que la majorité des politiciens n'ont jamais fait d'excès ou d'erreur... qu'ils sont tous blancs comme neige, tous des saints... on en rejasera.
En attendant, si tu tiens tant à convaincre les gens de ne pas voter pour Boisclair, pourquoi ne pas donner les points positifs de ton candidat favori ? Tsé piler sur la tête de l'un pour remonter l'autre (et espérer faire gagner l'autre) ça dénote à mon avis, d' un manque flagrant d'arguments. Et j'en viens à la conclusion qui si tu remâches sans cesse le même maudit discours pour ne pas que Boisclair soit élu... c'est sûrement parce que t'as rien de positif à dire sur les autres candidats. Pis ça... bin ça regarde mal !
Si tu n'as rien de plus pour convaincre que ces histoires de coke ou de potins sur Boisclair... ça ne fait que me renforcer dans ma position. C'est-à-dire, que Boisclair est le meilleur candidat à la chefferie. --Message edité par Strophe le 2005-09-27 23:06:56--
Ti-radis a écritQui peut me dire pourquoi Boisclair c'est fait huer par les étudiants ?
il ne s,est pas fait huer par les étudiants......il était sur le campus d'une Université, à Montréal je crois, mais je suis pas certaine, devant un parterre d'étudiants...une trentaine d,anarchistes sont entrés dans la salle en criant, etc....Boisclair leur a dit d,entrer qu'il répondarait à leurs questions....il y en a eu quelques unes de posées mais les anarchistes ne le laissaient par terminer ses explications, ils se remettaient à faire du grabuge donc les autres étudiants se sont mis à protester contre les anarchistes et ceux-ci sont ressortis de la salle sans le secours des forces policières et la conférence à continué.......
Jean Lapierre met en doute le sens des responsabilités d'André Boisclair
Martin Ouellet
Presse Canadienne
Le gouvernement fédéral s'immisce dans la campagne à la direction du Parti québécois (PQ) en mettant en doute le sens des responsabilités du candidat favori, André Boisclair.
En consommant de la cocaïne pendant qu'il exerçait des fonctions ministérielles, M. Boisclair a fait montre d'une attitude désinvolte quant à son devoir d'homme d'État, notamment à l'égard de l'environnement, a soutenu, mardi à Ottawa, le ministre des Transports, Jean Lapierre.
En effet, selon lui, la fonction de ministre, que ce soit aux Transports et à l'Environnement, nécessite une disponibilité et une présence d'esprit 24 heures sur 24.
«Moi je suis ministre 24 heures par jour pour une raison très simple. Comme ministre des Transports ou comme lui (M. Boisclair) à l'époque comme ministre d'Environnement, il peut survenir quelque chose à n'importe quel moment», a dit le lieutenant du premier ministre Paul Martin au Québec.
De fait, un imprévu, un accident ou une catastrophe risquent à tout moment de survenir et nécessiter une intervention ministérielle sur-le-champ, a mentionné M. Lapierre.
«Il peut y avoir un écrasement d'avion. Il peut y avoir un accident de train et je dois réagir immédiatement. Moi, personnellement, je vois mes responsabilités 24 heures par jour et non pas de 9 à 5», a-t-il dit.
M. Boisclair n'a pas retourné les appels pour commenter les propos du ministre fédéral. --Message edité par voyeur23 le 2005-09-28 00:13:16--
Voila les commentaires d'une ancienne vedette d'opinion de la radio
En consommant de la cocaïne pendant qu'il exerçait des fonctions ministérielles, M. Boisclair a fait montre d'une attitude désinvolte quant à son devoir d'homme d'État, notamment à l'égard de l'environnement
la fonction de ministre, que ce soit aux Transports et à l'Environnement, nécessite une disponibilité et une présence d'esprit 24 heures sur 24.
comme ministre d'Environnement, il peut survenir quelque chose à n'importe quel moment, un imprévu, un accident ou une catastrophe risquent à tout moment de survenir et nécessiter une intervention ministérielle sur-le-champ
Il peut y avoir un écrasement d'avion. Il peut y avoir un accident de train et je dois réagir immédiatement. Moi, personnellement, je vois mes responsabilités 24 heures par jour et non pas de 9 à 5
en tout cas, ca porte a réflexion
Ça ben du bon sens .Je crois qu'un homme politique doit être disponible 24 heures sur 24. On ne sais jamais Il se doit être fort et alerte
Ça n'a rien à voir avec le fait que Boisclair me pose un problème de conscience quant à sa "probable" victoire à la course à la chefferie, mais est-ce que j,ai bien lu ce matin à LCN?
André boisclair était en faveur de la centrale du Suroît?
Quelqu'un est au courant des idées de Monsieur Boisclair là-dessus? J,aimerais beaucoup connaître ses véritables pensées là-dessus. Merci
Jean Lapierre met en doute le sens des responsabilités d'André Boisclair
Martin Ouellet
Presse Canadienne
Le gouvernement fédéral s'immisce dans la campagne à la direction du Parti québécois (PQ) en mettant en doute le sens des responsabilités du candidat favori, André Boisclair.
En consommant de la cocaïne pendant qu'il exerçait des fonctions ministérielles, M. Boisclair a fait montre d'une attitude désinvolte quant à son devoir d'homme d'État, notamment à l'égard de l'environnement, a soutenu, mardi à Ottawa, le ministre des Transports, Jean Lapierre.
En effet, selon lui, la fonction de ministre, que ce soit aux Transports et à l'Environnement, nécessite une disponibilité et une présence d'esprit 24 heures sur 24.
«Moi je suis ministre 24 heures par jour pour une raison très simple. Comme ministre des Transports ou comme lui (M. Boisclair) à l'époque comme ministre d'Environnement, il peut survenir quelque chose à n'importe quel moment», a dit le lieutenant du premier ministre Paul Martin au Québec.
De fait, un imprévu, un accident ou une catastrophe risquent à tout moment de survenir et nécessiter une intervention ministérielle sur-le-champ, a mentionné M. Lapierre.
«Il peut y avoir un écrasement d'avion. Il peut y avoir un accident de train et je dois réagir immédiatement. Moi, personnellement, je vois mes responsabilités 24 heures par jour et non pas de 9 à 5», a-t-il dit.
M. Boisclair n'a pas retourné les appels pour commenter les propos du ministre fédéral.
MDR... Faut-il être assez niaiseux pour déclarer une telle affirmation? Mettre en doute le sens des responsabilités de Boislair alors qu'il ne se pose même pas une toute petite question sur le même sens des responsabilités de Paul Martin qui se sert des paradis fiscaux. Elle est où lui sa responsabilité de citoyen?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
André Boisclair doit de nouveau répondre à des questions sur la cocaïne
PAR MARTIN OUELLET
Presse Canadienne
QUEBEC (PC) - André Boisclair a nié jeudi à Québec avoir entretenu des liens avec des groupes criminels pour se procurer de la cocaïne à l'époque où il en consommait.
"La réponse est non. N-O-N, non!", a-t-il répliqué à un étudiant de l'Université Laval qui l'interrogeait sur la question.
M. Boisclair, qui avait été chaudement accueilli par environ 500 étudiants dans l'un des amphithéâtres de l'Université, a paru légèrement décontenancé lorsque l'un d'eux, lors de la période réservée aux questions de l'auditoire, l'a interpellé sur son passé trouble.
"On sait qu'au Canada, la consommation de drogue dure est un crime. Avez-vous entretenu des liens avec le crime organisé?", lui a demandé le jeune homme, se méritant les clameurs réprobatrices de la foule.
Avec un sourire légèrement crispé, M. Boisclair a répondu par la négative, avant de passer à une autre question beaucoup moins compromettante, portant sur la gratuité scolaire.
Un peu plus tard, en point de presse, le candidat favori à la succession de Bernard Landry a refusé de revenir sur le sujet.
"J'ai répondu à toutes ces questions", a répété à plusieurs reprises M. Boisclair aux journalistes qui lui demandaient de préciser comment il s'approvisionnait en poudre blanche alors qu'il était ministre.
M. Boisclair était nettement plus à l'aise au moment de présenter à la presse son tout dernier appui, le député de Lac-Saint-Jean, Stéphan Tremblay.
Ancien bloquiste, M. Tremblay avait causé tout un boucan il y a quelques années en quittant la Chambre des communes avec son siège sur une question de principe. Cependant, il n'est pas du tout indisposé par le passé nébuleux de M. Boisclair.
"Il a été un gars en pleine possession de ses moyens pendant le un an et demi que je l'ai côtoyé. C'est l'homme de la situation", a-t-il dit en substance.
tipet a écritÇa n'a rien à voir avec le fait que Boisclair me pose un problème de conscience quant à sa "probable" victoire à la course à la chefferie, mais est-ce que j,ai bien lu ce matin à LCN?
André boisclair était en faveur de la centrale du Suroît?
Quelqu'un est au courant des idées de Monsieur Boisclair là-dessus? J,aimerais beaucoup connaître ses véritables pensées là-dessus. Merci
Ce doit venir de cet article
Le 27 septembre 2005 - 17:37
L'ex ministre de l'Environnement André Boisclair était ouvert au Suroît
Presse Canadienne
Quand il était ministre de l'Environnement, André Boisclair s'était montré ouvert au projet de centrale thermique du Suroît, une des raisons pour lesquelles certains écologistes n'hésitent pas à le considérer comme un des pires ministres de l'Environnement de l'histoire du Québec.
"C'était un ministre habile dans les communications et dans le discours. Mais si on juge l'arbre à ses fruits: stérile", tranche le porte-parole de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), André Bélisle.
"Il fait partie de ceux (parmi tous les ministres de l'Environnement) qui auront eu les résultats les plus minces", a-t-il ajouté, mardi, lors d'un entretien téléphonique à la Presse Canadienne.
A la veille du deuxième débat des candidats au poste de chef du Parti québécois, qui portera sur le développement durable, la Presse Canadienne a examiné les déclarations passées de M. Boisclair _ le seul des candidats à avoir dirigé le ministère de l'Environnement _ et demandé à des écologistes d'évaluer son règne d'un an et demi, entre 2001 et 2003.
Sur son site Internet, M. Boisclair se présente sous un jour flatteur à ce chapitre, assurant avoir assumé "un leadership déterminant dans la promotion du Protocole de Kyoto", sur la réduction des gaz à effet de serre.
Or, un examen des déclarations de l'ex-ministre, en commission parlementaire, révèle qu'il semblait à tout le moins très ouvert à l'idée de donner le feu vert au projet controversé et polluant du Suroît, que le gouvernement libéral a dû par la suite tuer dans l'oeuf, tellement la grogne populaire avait pris de l'ampleur.
En février 2003, il déclarait que "si on peut faire la démonstration que l'énergie produite par Suroît se substitue à de l'énergie produite avec d'autres formes plus polluantes d'énergie, ce projet pourrait devenir plus acceptable".
A ses yeux, une centrale thermique pouvait être considérée comme un moindre mal, d'un point de vue "stratégique".
Il voulait donc que les profits générés par la vente d'électricité produite grâce au Suroît soient pris en compte au moment de prendre une décision.
"De la difficulté qui se pose à nous qui est le Suroît, sur le plan environnemental, pourrait naître des opportunités. C'est dans ce contexte que je travaille", disait-il.
Le ministre avait donc demandé à ses fonctionnaires de considérer "de façon plus large quels sont les gains ou les pertes associés à Suroît".
Pourtant, dans un rapport encore tout chaud, le BAPE venait conclure que "le projet augmenterait de façon substantielle les émissions de gaz à effet de serre au Québec et que ces émissions pourraient compromettre la démarche du Québec et réduire sa marge de manoeuvre face au protocole de Kyoto".
En fait, le Suroît aurait augmenté de trois pour cent la quantité de gaz à effet de serre produite par le Québec.
Toujours dans le but de se conformer à Kyoto, le gouvernement de l'époque s'était engagé par ailleurs à mettre en place un programme d'entretien des véhicules automobiles.
Or, "le ministre Boisclair a tout fait dérailler", déplore M. Bélisle, et le programme n'a pas eu de suites.
Politique de l'eau
Une des réalisations majeures de M. Boisclair à l'Environnement a été l'adoption de la politique nationale de l'eau, à l'automne 2002.
Mais après l'élection d'avril 2003, son successeur, Thomas Mulcair, a eu quelques surprises. Durant l'étude des crédits de son ministère, cet été-là, il s'étonnait de voir que son prédécesseur n'avait prévu aucune réglementation, ni aucun financement adéquat pour les organismes de bassins versants, pourtant au coeur de la politique.
"Une politique n'a aucune assise, c'est des intentions", renchérit de son côté le président de la Coalition Eau-Secours, André Bouthillier, en reprochant à M. Boisclair de ne pas avoir joint à sa politique une loi-cadre pour lui donner des dents.
Selon lui, au lieu de donner une véritable suite à sa politique, il s'était contenté d'orchestrer une vaste campagne publicitaire au coût de 2 millions $.
"Au-delà du discours, il n'y avait pas d'action pour supporter ce que M. Boisclair prétendait", estime M. Bélisle.
Selon André Bouthillier, les qualités d'orateur de M. Boisclair sont à la fois sa plus grande force et sa plus grande faiblesse.
"Contrairement à d'autres, qui ont une langue de bois, M. Boisclair a une langue de coton: il nous enveloppe", dit-il en entrevue, en lui reconnaissant tout de même le mérite d'avoir accédé au comité des priorités.
Quant au projet de l'ex-ministre d'imposer une redevance sur l'eau potable aux embouteilleurs, M. Bouthillier juge que "le montant était tellement petit qu'on trouvait qu'il riait de tout le monde. On disait: ça n'a pas de bon sens!". Plutôt que de songer à imposer une tarification, on devrait, selon lui, protéger la nappe phréatique.
De son côté, le porte-parole de l'Union québécoise pour la conservation de la nature (UQCN), Jean-Eric Turcotte, a estimé que le passage de M. Boisclair
à l'Environnement a été au total "plutôt positif", faisant valoir à son actif qu'il avait étendu considérablement la superficie des aires protégées.