Est juste tout gênée.rayonsoleil a écrit : Est-ce que c'est moi qui ce fait des idées, ont dirait que Lili regarde rarement JF dans les yeux quand elle lui parle. Ont dit souvent que quand ont regarde pas dans les yeux, c'est pas sincère.



Modérateur : Elise-Gisèle
Est juste tout gênée.rayonsoleil a écrit : Est-ce que c'est moi qui ce fait des idées, ont dirait que Lili regarde rarement JF dans les yeux quand elle lui parle. Ont dit souvent que quand ont regarde pas dans les yeux, c'est pas sincère.
Moi chu pas insécure, les gens positifs me tapent pas sur les nerfs, c'est les gens qui exagèrent pis qui pensent que c'est du positivisme qui me tapent sur les nerfs.Adhara a écrit : [...]
elle a toujours été correct, c'est sa personnalité mais souvent les gens positifs tapent sur les nerfs aux insécures
Trop beauchicaboum a écrit : Les mains de Lydi caressent celles de son amant. Il attendait ce moment depuis si longtemps, enfin ils étaient réunis dans la chambre de l'amour. Un frisson parcourut le corps du jeune homme lorsque sa compagne, haletante de désir le regarda de ses yeux brûlants et lui avoua son attirance. Jean François, penché sur sa conquête l'embrassait avidement. Ses lèvres tremblantes de concupsicence parcourait la bouche de sa proie. La jeune femme s'offrait à lui tel un fruit mûr en août. Leurs deux corps bronzés contrastaient avec le blanc des draps. Tels des lingots d'or, les cheveux de Lydiane encâdraient son visage. Elle était brûlante de la fièvre que connaissent les passionnées. Il renforcit sa prise et l'enserra dans ses forts bras de menuisier... ( suite au prochain épisode )
scorpy a écrit : yessssss let's go mon max opeeeeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrrrreeeeeeee
Wow, Mme Chicaboum. Vous êtes digne d'écrire un livre comparable à l'écrivaine Lili Gulliver.chicaboum a écrit : Les mains de Lydi caressent celles de son amant. Il attendait ce moment depuis si longtemps, enfin ils étaient réunis dans la chambre de l'amour. Un frisson parcourut le corps du jeune homme lorsque sa compagne, haletante de désir le regarda de ses yeux brûlants et lui avoua son attirance. Jean François, penché sur sa conquête l'embrassait avidement. Ses lèvres tremblantes de concupsicence parcourait la bouche de sa proie. La jeune femme s'offrait à lui tel un fruit mûr en août. Leurs deux corps bronzés contrastaient avec le blanc des draps. Tels des lingots d'or, les cheveux de Lydiane encâdraient son visage. Elle était brûlante de la fièvre que connaissent les passionnées. Il renforcit sa prise et l'enserra dans ses forts bras de menuisier... ( suite au prochain épisode )