Disparition dans un centre d'achat - Diane Grégoire
Re: Disparition dans un centre d'achat - Diane Grégoire
J'ajouterais que dans le froid les odeurs voyagent beaucoup moins et que pas mal tout le monde roule les fenêtres fermées au mois de janvier...
Et j'imagine pour ramasser les cendres il faut que la personne attend que l'incinérateur froidisseMarisopa a écrit : Il a très bien pu juste laisser les cendre là? C'est pas tant que ça la quantité de cendre et il doit toujours en rester dans le fond d'un incinérateur. Quand j'enlève les cendres de mon poele à bois, il ne redevient pas propre comme à l'achat. Sinon, il aurait très bien pu les ramasser et les semer n'importe où aux 4 vents.
Un refus de se soumettre au détecteur de mensonges signifie-t-il qu’on a quelque chose à se reprocher?
Chronique d'une criminologue
19 septembre 2011
Vous avez été plusieurs à me demander si l’attitude du conjoint de Diane Grégoire, cette dame qui a mystérieusement disparue aux Promenades St-Bruno le 31 janvier 2008, pouvait signifier qu’il avait quelque chose à voir avec sa disparition.
Rappelons que selon les conseils de son avocat-conseil Me Robert La Haye, Paul Laplante refuse de se soumettre au test polygraphique et désire s’abstenir de commenter l’affaire dans les médias. Mais est-ce que cela signifie pour autant qu’il a quelque chose à se reprocher? Absolument pas.
Je concède que pour monsieur/madame tout le monde, cela peut paraître curieux d’agir ainsi. Les gens se disent “Pourquoi ne pas se soumettre au détecteur de mensonges si on n’a rien à se reprocher?”. Bien, même si on le dit fiable à près de 90%, ce n’est pas un test infaillible. Certaines personnes présentent des conditions médicales, notamment des problèmes de pression artérielle ou des maladies mentales, qui faussent les résultats du test polygraphique. Une personne excessivement nerveuse de nature, dont la sudation, le rythme cardiaque ou la respiration s’emballent même lorsqu’elle ne ment pas, pourrait voir ses résultats faussés en raison de son état. A l’inverse, certains individus sont capables de contrôler leurs réactions physiologiques d’une façon telle qu’ils déjouent le polygraphe, donc l’appareil ne détecte pas qu’ils mentent. Fait impératif à mentionner: le résultat au test polygraphique n’est pas admissible en preuve dans un procès criminel: c’est au juge et/ou au jury de déterminer la crédibilité d’un témoin. Vous pouvez d’ailleurs consulter l’arrêt Béland et Philips(1987) 2 R.C.S. 398 pour plus de détails (source: blogue juridique Coutures et associés). Les forces de l’ordre utilisent entre autres ce test en cours d’enquête pour éliminer des individus d’une liste de suspects potentiels. Cependant, un refus de s’y soumettre ne signifie pas nécessairement un aveu indirect de culpabilité ou d’avoir quelque chose à se reprocher.
Deux exemples me viennent en tête en ce qui concerne des cas de meurtres de femmes adultes: Alain Perreault et Francis Proulx. Le premier, qui a été retrouvé coupable le 11 février 2011 du meurtre prémédité de Lyne Massicotte, qu’il avait rencontrée sur Internet en 2003 et assassinée le soir même, avait refusé de se soumettre au test polygraphique en cours d’enquête. Quant à Francis Proulx, il avait accepté de passer au détecteur de mensonges puisqu’il était convaincu qu’il réussirait à le déjouer. Toutefois, moins de quelques heures après l’exercice, il était placé sous arrestation. Il a d’ailleurs été reconnu coupable du meurtre au premier degré de Nancy Michaud, l’attachée politique de l’ex-ministre Claude Béchard, en date du 27 mai 2011. Dans le premier cas, le refus de passer au détecteur de mensonges était associé à une culpabilité. Dans le second, l’individu s’était prêté au jeu, mais était tout de même coupable. On ne peut donc dire qu’à coup sûr, un refus en ce sens équivaut à une culpabilité ou au fait d’avoir quelque chose à se reprocher.
Pour ce qui est du choix de Paul Laplante, le conjoint de Diane Grégoire, de ne pas commenter l’affaire devant les médias, je dirais qu’il s’agit d’un choix judicieux, surtout si c’est un individu mal à l’aise devant la caméra. En tant que principal témoin, tous les projecteurs sont dirigés vers lui, qui pourtant, n’a que signalé la disparition de son épouse. Précisons, qu’il n’y a pas de situation juridique le concernant actuellement et Me Robert La Haye agit seulement à titre de conseiller juridique. Ajoutons qu’advenant que monsieur Laplante accorde des entrevues, ses propos et son langage non-verbal seront assûrément analysés sous tous les angles et bien évidemment, tout le monde ira de son opinion quant à son implication (ou non-implication) dans cette affaire. Cela fait près de trois ans et demi que son épouse est disparue, peut-être ne désire-t-il tout simplement pas s’infliger le stress supplémentaire d’être sous les projecteurs et de se savoir juger encore plus qu’il ne l’est présentement par la population. Rappelons que dans plusieurs affaires de meurtre, le meurtrier collaborait allègrement avec les enquêteurs et les médias. Donc encore une fois, on ne peut tirer de conclusion du désir de monsieur Laplante de ne pas accorder d’entrevue.
Compte tenu qu’il s’agirait d’un homicide et non d’une disparition, j’imagine la douleur des espoirs envolés que peuvent ressentir les proches de Diane Grégoire. Espérons que cette affaire se concluera rapidement afin de leur permettre d’entamer leur processus de deuil. J’espère qu’ils pourront un jour trouver, ne serait-ce qu’un tout petit peu, la paix et la sérénité.
La Criminologue
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Chronique d'une criminologue
19 septembre 2011
Vous avez été plusieurs à me demander si l’attitude du conjoint de Diane Grégoire, cette dame qui a mystérieusement disparue aux Promenades St-Bruno le 31 janvier 2008, pouvait signifier qu’il avait quelque chose à voir avec sa disparition.
Rappelons que selon les conseils de son avocat-conseil Me Robert La Haye, Paul Laplante refuse de se soumettre au test polygraphique et désire s’abstenir de commenter l’affaire dans les médias. Mais est-ce que cela signifie pour autant qu’il a quelque chose à se reprocher? Absolument pas.
Je concède que pour monsieur/madame tout le monde, cela peut paraître curieux d’agir ainsi. Les gens se disent “Pourquoi ne pas se soumettre au détecteur de mensonges si on n’a rien à se reprocher?”. Bien, même si on le dit fiable à près de 90%, ce n’est pas un test infaillible. Certaines personnes présentent des conditions médicales, notamment des problèmes de pression artérielle ou des maladies mentales, qui faussent les résultats du test polygraphique. Une personne excessivement nerveuse de nature, dont la sudation, le rythme cardiaque ou la respiration s’emballent même lorsqu’elle ne ment pas, pourrait voir ses résultats faussés en raison de son état. A l’inverse, certains individus sont capables de contrôler leurs réactions physiologiques d’une façon telle qu’ils déjouent le polygraphe, donc l’appareil ne détecte pas qu’ils mentent. Fait impératif à mentionner: le résultat au test polygraphique n’est pas admissible en preuve dans un procès criminel: c’est au juge et/ou au jury de déterminer la crédibilité d’un témoin. Vous pouvez d’ailleurs consulter l’arrêt Béland et Philips(1987) 2 R.C.S. 398 pour plus de détails (source: blogue juridique Coutures et associés). Les forces de l’ordre utilisent entre autres ce test en cours d’enquête pour éliminer des individus d’une liste de suspects potentiels. Cependant, un refus de s’y soumettre ne signifie pas nécessairement un aveu indirect de culpabilité ou d’avoir quelque chose à se reprocher.
Deux exemples me viennent en tête en ce qui concerne des cas de meurtres de femmes adultes: Alain Perreault et Francis Proulx. Le premier, qui a été retrouvé coupable le 11 février 2011 du meurtre prémédité de Lyne Massicotte, qu’il avait rencontrée sur Internet en 2003 et assassinée le soir même, avait refusé de se soumettre au test polygraphique en cours d’enquête. Quant à Francis Proulx, il avait accepté de passer au détecteur de mensonges puisqu’il était convaincu qu’il réussirait à le déjouer. Toutefois, moins de quelques heures après l’exercice, il était placé sous arrestation. Il a d’ailleurs été reconnu coupable du meurtre au premier degré de Nancy Michaud, l’attachée politique de l’ex-ministre Claude Béchard, en date du 27 mai 2011. Dans le premier cas, le refus de passer au détecteur de mensonges était associé à une culpabilité. Dans le second, l’individu s’était prêté au jeu, mais était tout de même coupable. On ne peut donc dire qu’à coup sûr, un refus en ce sens équivaut à une culpabilité ou au fait d’avoir quelque chose à se reprocher.
Pour ce qui est du choix de Paul Laplante, le conjoint de Diane Grégoire, de ne pas commenter l’affaire devant les médias, je dirais qu’il s’agit d’un choix judicieux, surtout si c’est un individu mal à l’aise devant la caméra. En tant que principal témoin, tous les projecteurs sont dirigés vers lui, qui pourtant, n’a que signalé la disparition de son épouse. Précisons, qu’il n’y a pas de situation juridique le concernant actuellement et Me Robert La Haye agit seulement à titre de conseiller juridique. Ajoutons qu’advenant que monsieur Laplante accorde des entrevues, ses propos et son langage non-verbal seront assûrément analysés sous tous les angles et bien évidemment, tout le monde ira de son opinion quant à son implication (ou non-implication) dans cette affaire. Cela fait près de trois ans et demi que son épouse est disparue, peut-être ne désire-t-il tout simplement pas s’infliger le stress supplémentaire d’être sous les projecteurs et de se savoir juger encore plus qu’il ne l’est présentement par la population. Rappelons que dans plusieurs affaires de meurtre, le meurtrier collaborait allègrement avec les enquêteurs et les médias. Donc encore une fois, on ne peut tirer de conclusion du désir de monsieur Laplante de ne pas accorder d’entrevue.
Compte tenu qu’il s’agirait d’un homicide et non d’une disparition, j’imagine la douleur des espoirs envolés que peuvent ressentir les proches de Diane Grégoire. Espérons que cette affaire se concluera rapidement afin de leur permettre d’entamer leur processus de deuil. J’espère qu’ils pourront un jour trouver, ne serait-ce qu’un tout petit peu, la paix et la sérénité.
La Criminologue
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Affaire Diane Grégoire
Pas de résultats d’analyse avant un mois
26 septembre 2011 à 10h12
Les conclusions des analyses effectuées sur les éléments trouvés la semaine dernière sur la ferme Shefford à Saint-Valérien-de-Milton, en Montérégie, ne seront connues que dans un mois.
C'est ce qu'a confirmé Gaétan Durocher, le porte-parole de la police de Longueuil, chargée de l'enquête sur le meurtre de Diane Grégoire, en entrevue avec Claude Poirier à l'émission Le vrai négociateur, à LCN, lundi matin.
«Le laboratoire a un délai normal de plus ou moins 30 jours avant d'annoncer le résultat des analyses», a indiqué M. Durocher.
Les policiers ont trouvé des éléments importants lors des fouilles effectuées sur un terrain de près de 1 km carré. Ils ont été envoyés au laboratoire de l'Institut médico-légal du Québec.
Les autorités étaient à la recherche de fragments d'ossements et possiblement des pièces de vêtements ayant appartenu à Mme Grégoire.
«Les recherches se poursuivent, a ajouté M. Durocher. Nous avons 50 agents qui sont affectés aux recherches. Ils tamisent manuellement le sol.»
Diane Grégoire est portée disparue depuis le 31 janvier 2008. Elle aurait été vue pour la dernière fois par son mari, Paul Laplante, dans le stationnement du centre commercial des Promenades Saint-Bruno.
Sa fille, Élizabeth Laplante, est sortie de l'ombre, jeudi dernier.
Dans une très courte et sobre déclaration aux journalistes, elle s'est dite profondément bouleversée et secouée par l'assassinat de sa mère.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsd ... 01219.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Pas de résultats d’analyse avant un mois
26 septembre 2011 à 10h12
Les conclusions des analyses effectuées sur les éléments trouvés la semaine dernière sur la ferme Shefford à Saint-Valérien-de-Milton, en Montérégie, ne seront connues que dans un mois.
C'est ce qu'a confirmé Gaétan Durocher, le porte-parole de la police de Longueuil, chargée de l'enquête sur le meurtre de Diane Grégoire, en entrevue avec Claude Poirier à l'émission Le vrai négociateur, à LCN, lundi matin.
«Le laboratoire a un délai normal de plus ou moins 30 jours avant d'annoncer le résultat des analyses», a indiqué M. Durocher.
Les policiers ont trouvé des éléments importants lors des fouilles effectuées sur un terrain de près de 1 km carré. Ils ont été envoyés au laboratoire de l'Institut médico-légal du Québec.
Les autorités étaient à la recherche de fragments d'ossements et possiblement des pièces de vêtements ayant appartenu à Mme Grégoire.
«Les recherches se poursuivent, a ajouté M. Durocher. Nous avons 50 agents qui sont affectés aux recherches. Ils tamisent manuellement le sol.»
Diane Grégoire est portée disparue depuis le 31 janvier 2008. Elle aurait été vue pour la dernière fois par son mari, Paul Laplante, dans le stationnement du centre commercial des Promenades Saint-Bruno.
Sa fille, Élizabeth Laplante, est sortie de l'ombre, jeudi dernier.
Dans une très courte et sobre déclaration aux journalistes, elle s'est dite profondément bouleversée et secouée par l'assassinat de sa mère.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsd ... 01219.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Marco Polo a écrit : [...]
Je te mets ici une photo du site de la porcherie avec les voisins immédiats, tu vas mieux comprendre qu'il est pratiquement impossible pour les voisins de voir que l'incinérateur est en fonction car ils sont trop loin, et même pour la maison de ferme, la vue est obstrué sois par la hauteur des batiments de la porcherie.
Tu penses vraiment que je n'ai pas vu ses images avant? Ce n'est pas la peine de te mettre supérieur! C'était la première chose que j'ai faite pour voir où est la ferme! Peut-être le voisin II a pu quand même voir qqch... de la maison voisine II jusqu'au chemin secondaire manant à l’incinérateur dans la ligne droite est 300m, à l'incinérateur 500m. Même si les voisins n'ont pas pu voir de fumées ils ont pu voir peut-être une voiture sur le chemin secondaire - je ne crois pas que l’assassin soit venu à pied... A part ça les voisins à la compagne sont de fois très curieux, il y en a qui sont équipés peut-être même des jumelles... J'imagine que le meurtrier aurait du choisir le moment de ne pas se faire remarquer par les employeurs de ferme (si la ferme était en exploitation fin janvier 2008).
Dernière modification par Marmotte le lun. sept. 26, 2011 12:44 pm, modifié 1 fois.
D’abord tu n’as pas à t’excuser. Ce n’est pas question d’appeler la police parce qu’on voit les fumées, néanmoins j’imagine que la police a interrogé les voisins donc peut-être ceux-ci ont vu qqch suspect, inhabituel. On ne sait pas est-ce que les employeurs de ferme incinéraient les animaux le 31 janvier, on ne sait même pas si la ferme était en état d’exploitation. Ça se peut aussi que le tueur a incinéré le corps plus tard qu’on croit en fait tout est presque possible ainsi que PL a inventé l’histoire avec le centre d’achat. Par apport d’odeur s’il y a encore le vent dans bonne direction on peut sentir le corps brulé de loin. Quant aux couleurs de fumées c’était juste pensée libre que j’ai partagé avec vous, je ne sais pas si on peut les différencier mais c’est peut-être possible.Marisopa a écrit : [...]
Je m'excuse, mais personne s'attend à ce que qqun soit en train de brûler une autre personne. La couleur de la fumée peut changer selon ce qui est brûlé, oui, mais si je vois une couleur différentes, je vais me dire qu'ils brûlent une autre chose que du bois ou que le bois est peint/teint ou whatever... Par ailleurs, généralement on voit de la fumée, mais c'est difficile de voir d'ou elle vient... Un terrain de ferme, c'est grand. Ce que je veux dire, c'est que jamais il me prendrait l'idée d'appeler la police parce que je vois une fumée bizarre!
Marmotte a écrit : [...]
Tu penses vraiment que je n'ai pas vu ses images avant? Ce n'est pas la peine de te mettre supérieur! C'était la première chose que j'ai faite pour voir où est la ferme! Peut-être le voisin II a pu quand même voir qqch... de la maison voisine II jusqu'au chemin secondaire manant à l’incinérateur dans la ligne droite est 300m, à l'incinérateur 500m. Même si les voisins n'ont pas pu voir de fumées ils ont pu voir peut-être une voiture sur le chemin secondaire - je ne crois pas que l’assassin soit venu à pied... A part ça les voisins à la compagne sont de fois très curieux, il y en a qui sont équipés peut-être même des jumelles... J'imagine que le meurtrier aurait du choisir le moment de ne pas se faire remarquer par les employeurs de ferme (si la ferme était en exploitation fin janvier 2008).
Marmotte a écrit : [...]
Tu penses vraiment que je n'ai pas vu ses images avant? Ce n'est pas la peine de te mettre supérieur! C'était la première chose que j'ai faite pour voir où est la ferme! Peut-être le voisin II a pu quand même voir qqch... de la maison voisine II jusqu'au chemin secondaire manant à l’incinérateur dans la ligne droite est 300m, à l'incinérateur 500m. Même si les voisins n'ont pas pu voir de fumées ils ont pu voir peut-être une voiture sur le chemin secondaire - je ne crois pas que l’assassin soit venu à pied... A part ça les voisins à la compagne sont de fois très curieux, il y en a qui sont équipés peut-être même des jumelles... J'imagine que le meurtrier aurait du choisir le moment de ne pas se faire remarquer par les employeurs de ferme (si la ferme était en exploitation fin janvier 2008). ...
Désolée mais ici, on respecte les forumeurs. Il ne le sait pas lui si tu as vu les images avant ou pas, et il les mets pour alimenter la conversation. On discute des opinions des gensici mais on laisse les forumeurs eux-même tranquilles. Merci d'en tenir compte dans tes prochaines interventions.
Dernière modification par Pantera72 le mer. sept. 28, 2011 7:15 pm, modifié 1 fois.
Merci de faire cette mise au point. J'ai été surpris et très étonné de la remarque qu'on avait faite. Il faut rester polis, en effet...Pantera72 a écrit : [...]
Désolée mais ici, on respecte les forumeurs. Il ne le sait pas lui si tu as vu les images avant ou pas, et il les mets pour alimenter la conversation. On discute des opinions des gensici mais on laisse les forumeurs eux-même tranquilles. Merci d'en tenir compte dans tes prochaines interventions.
Recherches | Diane Grégoire
Quand la réalité rejoint la fiction
Christine Bouthillier
Le Journal de Montréal
29/09/2011 08h52
Analyser des os lors de fouilles, comme dans l'affaire Diane Grégoire, fait partie du quotidien de Kathy Reichs. De passage à Montréal pour la promotion de son plus récent roman, Crise, elle dévoile les mystères de ses multiples métiers.
Q: Avez-vous déjà vu des fouilles de l'envergure de celles menées pour retrouver Diane Grégoire?
R: Lorsqu'il s'agit d'un cadavre enterré, on procède toujours à des fouilles par tamisage. Cette envergure n'est pas inhabituelle, mais n'est pas de mise chaque fois. C'est une décision des policiers.
Q: Les éléments trouvés la semaine dernière ont été envoyés à l'Institut médico-légal du Québec, auquel vous collaborez. Allez-vous être appelée à travailler sur ce cas?
R: Je ne travaille pas sur ce cas. Si les fragments sont très petits, ils passent directement un test d'ADN et je n'interviens pas.
Q: Les délais d'un mois pour obtenir les résultats sontils habituels ?
R: Ça dépend des tests qu'ils font et de ce qu'ils ont trouvé. Je ne sais pas quel type d'analyse sera nécessaire. Mais ce n'est pas comme dans CSI ! Ça prend du temps.
Q: S'agit-il d'un cas où la réalité dépasse la fiction ?
R: Ça dépend de la suite des recherches. L'idée centrale, où une personne pourrait être retrouvée dans un incinérateur pour animaux, pourrait faire un bon roman. J'ai d'ailleurs dû différencier des os d'animaux et d'humains lorsque j'ai travaillé sur le site du World Trade Center, où se trouvaient des restaurants.
Q: Ce genre de situation a-telle déjà été dépeinte dans l'un de vos romans ?
R: Oui, dans Déjà dead, où on mène ce type de recherche pour retrouver une femme démembrée, découverte en cinq endroits, et dans L'os manquant, où on doit procéder à du tamisage pour trouver une femme enter rée en surface à Kanesatake. Il arrive que la réalité suive la fiction. Mon prochain livre commence par une femme découverte dans un baril de ciment. J'avais déjà vu des cas semblables au laboratoire. C'est réellement arrivé à une femme originaire de Montréal il y a quelques jours, alors que mon livre, Flash and bones, est déjà sorti en anglais. Il sera lancé en français au Québec en octobre 2012.
Q: Vos romans font souvent référence au Québec. Pourquoi?
R: J'aime beaucoup le Québec, j'y travaille et j'ai commencé ma série pour adultes ici. Mes lecteurs viennent de partout sur la planète et aiment que je parle du Québec. Quelqu'un m'a dit être venu à Montréal juste à cause de mes livres!
Q: Quels sont vos prochains projets?
R: J'écris mon 3e roman pour jeunes adultes et mon 15e pour adultes. La 7e saison de l'émission Bones débute le 3 novembre. Mon livre pour adultes La trace de l'araignée sortira ici le 13 octobre et je serai au Salon du livre de Montréal. Une émission sur ma série pour jeunes adultes est aussi en discussion.
http://lejournaldemontreal.canoe.ca/jou ... 85200.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Quand la réalité rejoint la fiction
Christine Bouthillier
Le Journal de Montréal
29/09/2011 08h52
Analyser des os lors de fouilles, comme dans l'affaire Diane Grégoire, fait partie du quotidien de Kathy Reichs. De passage à Montréal pour la promotion de son plus récent roman, Crise, elle dévoile les mystères de ses multiples métiers.
Q: Avez-vous déjà vu des fouilles de l'envergure de celles menées pour retrouver Diane Grégoire?
R: Lorsqu'il s'agit d'un cadavre enterré, on procède toujours à des fouilles par tamisage. Cette envergure n'est pas inhabituelle, mais n'est pas de mise chaque fois. C'est une décision des policiers.
Q: Les éléments trouvés la semaine dernière ont été envoyés à l'Institut médico-légal du Québec, auquel vous collaborez. Allez-vous être appelée à travailler sur ce cas?
R: Je ne travaille pas sur ce cas. Si les fragments sont très petits, ils passent directement un test d'ADN et je n'interviens pas.
Q: Les délais d'un mois pour obtenir les résultats sontils habituels ?
R: Ça dépend des tests qu'ils font et de ce qu'ils ont trouvé. Je ne sais pas quel type d'analyse sera nécessaire. Mais ce n'est pas comme dans CSI ! Ça prend du temps.
Q: S'agit-il d'un cas où la réalité dépasse la fiction ?
R: Ça dépend de la suite des recherches. L'idée centrale, où une personne pourrait être retrouvée dans un incinérateur pour animaux, pourrait faire un bon roman. J'ai d'ailleurs dû différencier des os d'animaux et d'humains lorsque j'ai travaillé sur le site du World Trade Center, où se trouvaient des restaurants.
Q: Ce genre de situation a-telle déjà été dépeinte dans l'un de vos romans ?
R: Oui, dans Déjà dead, où on mène ce type de recherche pour retrouver une femme démembrée, découverte en cinq endroits, et dans L'os manquant, où on doit procéder à du tamisage pour trouver une femme enter rée en surface à Kanesatake. Il arrive que la réalité suive la fiction. Mon prochain livre commence par une femme découverte dans un baril de ciment. J'avais déjà vu des cas semblables au laboratoire. C'est réellement arrivé à une femme originaire de Montréal il y a quelques jours, alors que mon livre, Flash and bones, est déjà sorti en anglais. Il sera lancé en français au Québec en octobre 2012.
Q: Vos romans font souvent référence au Québec. Pourquoi?
R: J'aime beaucoup le Québec, j'y travaille et j'ai commencé ma série pour adultes ici. Mes lecteurs viennent de partout sur la planète et aiment que je parle du Québec. Quelqu'un m'a dit être venu à Montréal juste à cause de mes livres!
Q: Quels sont vos prochains projets?
R: J'écris mon 3e roman pour jeunes adultes et mon 15e pour adultes. La 7e saison de l'émission Bones débute le 3 novembre. Mon livre pour adultes La trace de l'araignée sortira ici le 13 octobre et je serai au Salon du livre de Montréal. Une émission sur ma série pour jeunes adultes est aussi en discussion.
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Mon interprétation de message de MP : écoute petite, je vais te maintenant expliquer à l’aide de dessin pour que tu comprennes mieux des choses lesquels tu n’as pas apparemment pu même imaginer. Dans ma réponse j’étais à aucun moment impoli et je ne traite jamais d’autres utilisateurs d’aucun forum de haut. C’est MP qui devra faire attention à sa manière vantarde d’écrire aux gens. Si maintenant vous me trouvez coupable alors je me suis trompée par apport de ce forum.Pantera72 a écrit : [...]
Désolée mais ici, on respecte les forumeurs. Il ne le sait pas lui si tu as vu les images avant ou pas, et il les mets pour alimenter la conversation. On discute des opinions des gensici mais on laisse les forumeurs eux-même tranquilles. Merci d'en tenir compte dans tes prochaines interventions.
J'ajoute la réponse à Pantera72 ici pour ne pas alourdir le topic : EDIT DE LA MODÉRATION: ne pas alourdir le topic, c'est ne pas s'éterniser sur un sujet qui n'a pas rapport au topic et qui n'a pas d'intérêt pour les autres forumeurs.
Dernière modification par Pantera72 le ven. sept. 30, 2011 1:43 pm, modifié 3 fois.
Re: Disparition dans un centre d'achat - Diane Grégoire
Tu as interprété d'une certaine façon, d,accord, c'est ton droit. Moi, je te dis que le ton de ta réponse et de dire à un forumeur "tu n'as pas à te penser supérieur", c'est un manque de respect et je te demande de rectifier le tir. Maintenant, si tu veux continuer cette conversation,écris-moi en privé pour ne pas alourdir davantage le topic. Merci.
Enquête sur le meurtre de Diane Grégoire
Du renfort à Saint-Valérien-de-Milton
5 octobre 2011 à 13h36
Alors que la police de Longueuil entame sa troisième semaine de fouilles pour retrouver des indices sur le meurtre de Diane Grégoire, elle peut maintenant compter sur une expertise supplémentaire, soit celle des enquêteurs de l'escouade des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec.
Cette équipe spécialisée s'ajoute à celle des techniciens en identité judiciaire qui prêtent main-forte à la police de Longueuil dans cette enquête.
Interrogé à savoir si les éléments découverts au cours des recherches avaient permis de faire avancer l'enquête, le Service de police de la Ville de Longueuil rétorque qu'il n'a toujours pas encore reçu les résultats, précisant également qu'il était peu probable que ces informations soient communiquées au public afin de ne pas nuire à l'enquête.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/region ... 33653.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Du renfort à Saint-Valérien-de-Milton
5 octobre 2011 à 13h36
Alors que la police de Longueuil entame sa troisième semaine de fouilles pour retrouver des indices sur le meurtre de Diane Grégoire, elle peut maintenant compter sur une expertise supplémentaire, soit celle des enquêteurs de l'escouade des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec.
Cette équipe spécialisée s'ajoute à celle des techniciens en identité judiciaire qui prêtent main-forte à la police de Longueuil dans cette enquête.
Interrogé à savoir si les éléments découverts au cours des recherches avaient permis de faire avancer l'enquête, le Service de police de la Ville de Longueuil rétorque qu'il n'a toujours pas encore reçu les résultats, précisant également qu'il était peu probable que ces informations soient communiquées au public afin de ne pas nuire à l'enquête.
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Diane Grégoire
Des objets appartenant à une femme ont été trouvés
Agence QMI
13/10/2011 06h49
SAINT-VALÉRIEN-DE-MILTON – Des objets trouvés sur une ferme à Saint-Valérien-de-Milton, en Montérégie, dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Diane Grégoire, appartiendraient à une femme.
C’est ce qu’a révélé jeudi matin Claude Poirier à l’émission Puisqu’il faut se lever, sur les ondes de la radio 98,5 FM.
« Selon deux sources fiables, mais non policières, des effets appartenant à une personne de sexe féminin auraient été trouvés sur la ferme Shefford à Saint-Valérien-de-Milton », a-t-il indiqué.
La police de Longueuil, qui mène l’enquête, n’a pas voulu commenter.
Les policiers devaient passer au peigne fin un terrain de près de 1 km carré. Ils étaient à la recherche de fragments d’ossements et possiblement des pièces de vêtements ayant appartenu à Diane Grégoire.
Mme Grégoire est portée disparue depuis le 31 janvier 2008. Elle aurait été vue pour la dernière fois par son mari, Paul Laplante, dans le stationnement du centre commercial des Promenades Saint-Bruno.
Les autorités croient que la mère de famille de 51 ans aurait été assassinée et que son corps pourrait avoir été brûlé dans un incinérateur de carcasses animales sur une ferme de Saint-Valérien-de-Milton.
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 64939.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Des objets appartenant à une femme ont été trouvés
Agence QMI
13/10/2011 06h49
SAINT-VALÉRIEN-DE-MILTON – Des objets trouvés sur une ferme à Saint-Valérien-de-Milton, en Montérégie, dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Diane Grégoire, appartiendraient à une femme.
C’est ce qu’a révélé jeudi matin Claude Poirier à l’émission Puisqu’il faut se lever, sur les ondes de la radio 98,5 FM.
« Selon deux sources fiables, mais non policières, des effets appartenant à une personne de sexe féminin auraient été trouvés sur la ferme Shefford à Saint-Valérien-de-Milton », a-t-il indiqué.
La police de Longueuil, qui mène l’enquête, n’a pas voulu commenter.
Les policiers devaient passer au peigne fin un terrain de près de 1 km carré. Ils étaient à la recherche de fragments d’ossements et possiblement des pièces de vêtements ayant appartenu à Diane Grégoire.
Mme Grégoire est portée disparue depuis le 31 janvier 2008. Elle aurait été vue pour la dernière fois par son mari, Paul Laplante, dans le stationnement du centre commercial des Promenades Saint-Bruno.
Les autorités croient que la mère de famille de 51 ans aurait été assassinée et que son corps pourrait avoir été brûlé dans un incinérateur de carcasses animales sur une ferme de Saint-Valérien-de-Milton.
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C'est que cette technique là les tueurs commencent à la connaître malheureusement.
Re: Disparition dans un centre d'achat - Diane Grégoire
J'attends le dénouement....