LE DOMAINE BLEU

News de Bruno par AdmirateurTina

Bonjour , Je ne sais pas si vous etes au courant mais Bruno ne se fait plus appeler Bruno a present , ce sera maintenant Gabriel ... Bah oui j'ai etait aussi etonné que vous . Si vous voulez plus d'infos vous pouvez aller sur son site officiel , c'est en rapport avec la religion ou je sais pas quoi , les dieux .
http://www.gabrielmusic.net/


par Sierra:
Petites News sur Bruno.

Concerts :

- 17/06/2006 à partir 20h30 au Plessis-Robinson dans le 92 Bruno sera en compagnie de Cindy et de nombreux autres invités. C'est gratuit et il n'y a pas besoin de réserver.

- 20/06/2006 Bruno sera l'invité de Beverly lors de son concert au Divan du Monde à Paris

- 07/07/2006 à Pierrelatte (26 - Drôme) Place du Champ de Mars à 21h45 Concert Gratuit avec aussi Jérémy et Pierre de la Star Académy 5

Miss Dominique: la nouvelle élue

http://img205.imageshack.us/my.php?imag ... jd3do4.jpg

Thierry Amiel: Je sais aussi être marrant

http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=18223

André Manoukian prend la carrière de Beverly en main!

13 déc 2006 - Beverly : Ça plane pour elle



A l’heure où miss Dominique sort son premier album dans les bacs, et où Christophe Willem finalise le sien, il en est une autre qui n’a rien à leur envier. C’est Beverly, éliminée au bout de quatre primes, prise sous l’aile protectrice d’André Manoukian, qui sortira elle aussi très bientôt son album a elle. Remarquée par la maison de disque EMI, la voix jazzy de la Nouvelle Star 4, nous propose donc un album soul et jazz, avec des mélodies composées par André himself et idem pour les textes écrits également par lui.

Ce genre de privilèges s’arrêtent généralement aux deux finalistes, mais après l’exception faite avec Amel Bent, peut-être que tout cela est le signe d’un aussi bel avenir pour la jeune demoiselle qui confie être aujourd’hui, grâce à l'émission, plus épanouie et en confiance en elle.

Connaîtra-t-elle le même sort que Myriam Abel et consorts, les oubliettes, ou bien figurera-t-elle parmi les rescapés de la télé-réalité ? Histoire à suivre.

Par Jérémy
http://www.girlscanrock.net/

Beverly: Nouvelle Star a fait de moi une artiste

http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=17516

voulu m'investir plus'' (28/11/2006)

Thierry Amiel a mis deux ans pour peaufiner son deuxième album

BRUXELLES Il y a trois ans, notre compatriote Jonatan Cerrada remportait la première édition de La nouvelle star. Sur la deuxième marche du podium, Thierry Amiel, qui ne s'avoua pas vaincu pour autant. Sa reprise des Mots bleus fit un carton par la suite et son premier opus, Paradoxes, fut double disque d'or en France. La tournée qui suivit fut évidemment aussi un joli succès. Puis, ce fut le silence. Thierry s'enferma en studio pour peaufiner un deuxième album qui tarda à poindre le nez. Enfin, après deux ans d'absence, le voici.

Il vous en a fallu, du temps...


"Ce n'était pas prévu comme ça. À chaque fois, je disais : dans 6 mois, mon album sort. Petit à petit, on trouvait d'autres choses, on refaisait des titres et on le repoussait un peu. Au final, ça a fait deux ans. Je n'ai pas été pressé par ma maison de disques, tout le monde était très enthousiaste. On m'a laissé aller jusqu'au bout de mes idées."



Après le premier album, vous avez eu besoin de prendre du recul ?


"J'ai enchaîné direct après la tournée. J'ai pris un petit peu de vacances. Mais après l'euphorie de la scène, je m'y suis vite remis. Mais c'était plus cool. J'ai eu le temps de réaliser tout ce qu'il s'était passé. J'ai pu réfléchir parce que c'est difficile de se rendre compte quand on est en plein dedans."


Quelle était votre envie quand vous êtes entré en studio ?


"Déjà, de ne pas être qu'interprète. Je voulais participer, m'investir plus. J'ai ressenti ça quand j'étais sur scène : cette envie d'aller plus loin. Donc j'ai gardé tout ce qui m'a touché, tout ce qui m'a plu musicalement depuis que j'ai commencé à faire ce métier. J'ai voulu inclure ce par quoi j'ai commencé : le lyrisme, puisque j'ai commencé dans les choeurs d'opéra de Marseille. J'y pense souvent, j'ai envie de rechanter des chansons classiques. Je suis, à côté de ça, fan de Muse, de Coldplay, donc je voulais incorporer ça aussi. Je voulais essayer de rendre tout ça homogène, en studio il a fallu trouver le juste équilibre. J'ai fait deux titres. Petit à petit, j'ai pu y mettre ma couleur."

Ça veut dire que les textes que vous n'avez pas écrits, vous en avez choisi les thèmes ?


"Oui ou alors je changeais ce qui ne me plaisait pas. J'aurai pu me mettre derrière un bureau et écrire 12 titres mais j'avais envie d'avoir de la magie. Le texte que j'ai fait, Suède, j'ai l'impression de l'avoir écrit en un quart d'heure mais je pense qu'en fait, ça m'a pris des mois de maturation. Mais j'ai l'impression qu'il y a eu un truc magique, que tous les mots se sont enchaînés, comme un puzzle. Pour le reste, je me suis entouré d'auteurs-compositeurs qui m'ont montré les clés pour écrire un texte."


Vous avez travaillé notamment avec Daniel Darc et Benoît Poher...


"Je n'ai pas été à la recherche de noms connus juste pour que ça le fasse. Daniel Darc, Axelle, Dorian, Benoît... étaient pile dans la culture pop que je voulais faire. C'était cohérent. Coeur sacré, quand on arrangeait le morceau, on pensait années 80, du coup à Taxi Girl et on est allé jusqu'au bout : on a demandé à Daniel Darc et il a accepté. Ça s'est fait vite, il a fait le texte, c'était super. Benoît, ça craint, il va falloir que je l'appelle. On est dans la même maison de disques, on se croise souvent. Je ne me souviens plus du déclic. "



Quelle impression gardez-vous de La nouvelle star ?

"Je suis content de l'émission, elle est vraiment qualitative. Je suis content d'avoir pu chanter ce que je voulais. J'ai pu, dès cette émission, construire mon avenir."

Et que pensez-vous des autres ?

"Ils sont super talentueux. On découvre des gens différents à chaque fois. J'ai l'impression que c'est comme une famille, donc je suis fier des nouveaux. Je suis curieux d'écouter ce que Christophe va faire..."


Thierry Amiel (SONYBMG)

Une Nouvelle Star belge ? (04/12/2006)



© M6

Les candidats belges ont passé le casting dimanche à Lille


LILLE Alors que la production de La Nouvelle Star a décidé de ne pas organiser de casting en Belgique cette année, tous les Belges qui désiraient tenter leur chance ont été obligés de se rendre à Lille.

C'est sous une pluie battante et un vent glacial que les prétendants au titre de Nouvelle Star ont dû faire la file durant plusieurs heures.

Samedi et dimanche, plus de 5.000 personnes sont venues pousser la chansonnette devant un jury parfois impitoyable. La journée de dimanche était entièrement réservée aux candidats belges. Après avoir passé un contrôle d'identité minutieux, les chanteurs devaient attendre devant les portes des salles d'audition. À l'intérieur, un coach vocal était chargé de faire les premières sélections.

Juliette Solal explique : "Tout commence par ici. Si nous envoyons des candidats de mauvaise qualité devant les quatre membres du jury, alors l'émission sera de mauvaise qualité".

Dans les couloirs, l'ambiance est électrique et le stress presque palpable. Jeoffrey, 19 ans, s'est levé à 6 h 30 pour venir assister au casting. "La file a avancé beaucoup plus vite que les autres années ! Et puis, l'ambiance y est tellement géniale qu'on oublie vite les mauvaises conditions climatiques. C'est la troisième fois que je me présente à la Nouvelle Star et à chaque fois je récolte deux oui et deux non..." Pour Murielle, 17 ans, ce casting est une grande première. "Je suis venue en train de Bruxelles avec ma maman. Nous nous sommes levées à 4 heures du matin. Après avoir vu toutes les émissions précédentes, je me suis dit que j'avais peut-être ma chance. Je suis un peu nerveuse et c'est épuisant de faire la file depuis 8 h 30. C'était horrible de rester dans le froid mais je ne suis pas venue jusqu'ici pour faire demi-tour !"

Cette année, la Nouvelle Star sera-t-elle belge ? Virginie Efira, qui a repris les commandes de la présentation de l'émission, se balade dans les couloirs pour faire connaissance avec les candidats. Malheureusement, il est strictement interdit de l'approcher et de lui poser des questions sur l'émission. Idem pour les quatre membres du jury...

En dehors des coaches vocaux, il est bien difficile de glaner des informations. "Ce que nous retenons chez un candidat, c'est la voix et aussi le charisme. Le physique n'est pas du tout pris en compte, ce n'est pas un critère de sélection mais nous ne pouvons pas non plus négliger le fait que c'est une émission de télé" , confie Juliette Solal. Alors qu'elle a vu défiler plus de 100 personnes devant elle, elle n'a pour l'instant sélectionné que deux personnes.

Avec le rythme imposé, elle ne peut pas faire dans la dentelle et les candidats qui n'ont pas le bon profil sont expédiés dans les plus brefs délais. "Cela fait 5 ans que je fais cette émission. La première année, j'avais des scrupules à être directe mais maintenant j'en ai beaucoup moins ! J'avais peur de blesser le candidat mais, comme pour toute chose, on s'y habitue."

Alors que certains ne cachent pas leur joie d'être sélectionnés pour passer devant le jury demain, d'autres ont des difficultés à dissimuler la déception de ne pas avoir été pris.





S. L.

source: La Dernière Heure 2006

Images : © Sony BMG/LDD.
«Les Suisses sont vraiment charmants. Ils m'offrent des chocolats, ils me font la bise sur la joue trois fois. A chaque fois que je viens ici, je n'ai jamais le temps de bien visiter. Donc je lance un appel aux fans suisses: la prochaine fois que je suis en Suisse, kidnappez-moi et emmenez-moi manger de la raclette, des saucisses et boire de la bière!»




«Je fais peur aux hommes!»

MISS DOMINIQUE La finaliste de «Nouvelle star» a passé du statut de coiffeuse à celui de nouvelle diva. La chanteuse était de passage en Suisse pour la promo de son premier album, «Une femme battante»

LUDOVIC JACCARD
03 décembre 2006



A 28 ans, Miss Dominique, lumineuse finaliste de la «Nouvelle Star», a su rester simple et humble. Elle préfère de loin les soirées tranquilles chez elle avec ses amis plutôt que de fréquenter la jet-set parisienne. Pleine d'humour et d'autodérision, elle sait ce qu'elle veut dans la vie.

Vos parents sont décédés. Vous leur avez dédié votre album, «Une femme battante».
Ce titre est l'histoire de ma vie et un positionnement. Pour moi, il y a deux choix dans la vie: on se positionne comme une victime blessée de la vie et aigrie ou comme une personne positive et responsable qui relève des défis.

Vous faites partie de la deuxième catégorie.
Oui, ainsi que de toute une communauté noire née en banlieue parisienne. On nous fait souvent passer pour des personnes énervées, victimes de la société et souvent mises à l'écart. Moi, je voulais donner un autre témoignage: on peut être noire, grosse, née en banlieue et être contente. Tous les noirs ne sont pas forcément victimes de racisme et tous les gros pas forcément complexés.

La première chanson de votre album s'intitule «Doudou». Avez-vous trouvé un amoureux?
Non, je suis toujours un coeur à prendre, depuis 4 ans! On ne peut pas tout réussir en même temps dans sa vie. Pour moi, l'amour c'est comme gérer une entreprise. On fait des investissements, des concessions et on n'en tire pas forcément toujours des bénéfices!

Votre nouvelle vie d'artiste va-t-elle vous permettre d'avoir une vie sentimentale?
Je ne sais pas. En fait, je pense que je fais peur aux hommes! Déjà, de par ma corpulence, je les effraie. A l'heure actuelle, j'ai envie de me reposer un peu sur quelqu'un qui ait de l'assurance et qui sache ce qu'il veut. Mais comme je donne l'impression d'une femme de caractère, je n'attire que des hommes fragiles qui pensent que je vais les protéger! Mais non, il faut que ça s'arrête! C'est moi qui veux être protégée! Que les choses soient claires, je ne suis pas courtisée et ça commence à bien faire! Alors, n'ayez pas peur et venez me draguer! Parce que là, ça devient carrément non-assistance à personne en danger!

Le chanteur Garou aurait craqué pour votre voix au point qu'il vous a invitée à chanter avec lui lors d'un de ses concerts à l'Olympia. Est-il votre style d'homme?
Eh ben je dirais qu'il est vraiment très charmant, très gentil mais aussi très pris... Et c'est bien dommage!

Il y avait une belle complicité entre vous et Marianne James, membre du jury de «Nouvelle star».
Marianne a été mise sur ma route, au bon moment. C'est elle qui m'a portée par son regard, sa détermination, sa sincérité et le respect qu'elle avait pour moi. Cela m'a vraiment aidée. On s'envoie des petits messages de temps en temps, mais on n'a pas tellement le temps de se voir ces jours: en ce moment, elle commence les castings pour la prochaine saison de «Nouvelle star».

source Le Matin Dimanche

Miss Dominique: «Je n’ai pas de doudou et j’en ris!»

Miss Dominique était de passage à Lausanne et à Genève vendredi pour des séances de dédicace.

La coiffeuse et désormais chanteuse de 28 ans, arrivée deuxième à l’issue de la «Nouvelle star», sort son premier album, «Femme battante», avant le gagnant de l’émission, Christophe. Rencontre avec une diva.

– Pourquoi avoir choisi le nom de scène Miss Dominique?
– Parce que j’ai toujours rêvé d’être Miss! Non, je rigole! Je m’appelle Dominique Michalon, et c’était trop long. Je ne voulais pas changer de nom et m’appeler Dominique Lafleur! Miss Dominique, c’est simple, joli et je garde les mêmes initiales.

– Sur les 13 chansons de l’album, vous en avez composé quatre. Qu’est-ce qui vous a inspiré?
– Tout ce qui m’arrive dans la vie. J’ai écrit «Doudou», car je n’ai pas de mec, et, au lieu de paraître comme une pauvre fille, je prends ça avec humour. «Femme battante» parle de mon positionnement dans la vie: je ne suis pas une victime! «Puisque tu me vois d’en haut» s’adresse à Dieu, aux êtres perdus, aux gens qui se sentent seuls. C’est important de pouvoir se dire qu’il y a quelqu’un là-haut, sinon on pète un câble!

– Est-ce qu’un deuxième album se prépare déjà?
– Oui. D’ailleurs une tournée est prévue dès mars 2007 et des chansons inédites seront incluses.

– Alors la coiffure, c’est définitivement terminé?
– Oui, terminé! Je n’ai tout simplement pas le temps. Je n’ai même pas de temps libre! C’est la course! Pas de vie privée non plus! Pas d’homme, pas d’amant! (Eclat de rire.)

– Avez-vous gardé des contacts avec Cindy et Christophe?
– Avec Cindy, on s’écrit des courriels et on s’appelle de temps en temps. Plus aucune nouvelle de Christophe, par contre...

Caroline Goldschmid - 20 minutes.ch


Miss Dominique: «Mon souhait pour 2007: arriver encore plus loin, rentrer dans le cœur des gens.» (sony

«Entre bonne soeur et chanteuse, j'ai choisi!»



Sur scène, Marianne James se laisse voir
telle qu'elle est, «en toute sincérité».
Photo © Julie de Tribolet
CULTURE Il y a quelques années, Marianne James a tué le personnage d'Ulrika, la chanteuse lyrique imposante.
L'auteur, compositeur et interprète avoue qu'elle devra bientôt en faire de même avec son rôle de juge dans «Nouvelle star»

CHRISTINE SAVIOZ
06 décembre 2006



Qu'elle est loin, Maria Ulrika Von Glott, cette chanteuse lyrique qui a permis à Marianne James de sortir de l'ombre. Aujourd'hui, c'est une Marianne James touchante que l'on retrouve sur scène. Dans «Le Caprice de Marianne», son nouveau spectacle, la dame de 44 ans se dévoile un peu, beaucoup, mais jamais à la folie. Marianne James veut préserver son jardin secret. Après un passage par Savièse (VS), l'artiste se produit demain soir au Festival du rire de Montreux.

Que représente la scène pour vous?
C'est absolument tout. C'est à la fois le père, la mère, le doute, la force,...

Vous êtes très touchante sur les planches. Quel est votre secret?
Je viens sur scène sans défense. Je n'ai pas peur. Je me laisse voir telle que je suis. Cela donne cette impression de sincérité. Et puis, je me sens bien avec le public. Quand on fait de la scène, il faut mettre sa vie entre parenthèses et se donner totalement. C'est comme un bébé quand on le lange: il est tellement innocent et naïf qu'on n'a pas envie de le blesser. Quand on est sur scène, c'est pareil: on arrive sans défense et le public entre en contact avec nous. Cela me change du personnage d'Ulrika Von Glott: avec elle, j'avais une armure.

Quand vous regardez votre parcours, qu'est-ce que vous vous dites?
Autant «Bravo» que «Peut mieux faire». «Bravo» car Ultima Récital (le spectacle dans lequel elle était Ulrika von Glott) est devenu culte. Et «Peut mieux faire», car j'aimerais encore aller dans quelque chose de plus fin, davantage dans le style du spectacle «Le Caprice». On m'attend toujours sur du très corsé. Je voudrais aller vers la finesse, la pudeur.

Enfant, quel était votre rêve?
Je voulais être chanteuse ou bonne soeur. J'ai su que je voulais faire de la scène quand j'ai vu le curé à l'église. Tout le monde l'écoutait. Je voulais qu'on m'écoute comme ça un jour. Et puis, j'ai souvent été rendre visite à une soeur, Marie-Madeleine, qui était hospitalisée à Montélimar. C'était une religieuse de 72 ans, qui avait un cancer. J'allais la voir après l'école, et elle me parlait de sa foi. Avant de retourner mourir parmi les siennes, elle m'a dit qu'il ne fallait pas que je devienne bonne soeur, que j'étais faite pour aller vers les autres, pour chanter. Et j'ai choisi. Ça fait 30 ans aujourd'hui. Je ne sais pas si j'aurai des petits, si j'épouserai des hommes, mais je sais que je chanterai toujours sur scène. ¦



Le piège de «Nouvelle star»
«Il fallait que je sorte du personnage d'Ulrika avant d'être mangée. C'est la même chose avec mon rôle dans «Nouvelle star». Il me mangera si je ne quitte pas l'émission bientôt. Je suis déjà surprise d'avoir fait une 4e année. Dans «Nouvelle star», je suis la vraie Marianne, avec ses coups de gueule, celle qui se prend de bec avec les autres membres du jury, puis se réconcilie... J'adore, mais c'est un piège.»

source Le Matin Online

Marianne James: «Je ne suis pas qu’une aboyeuse!»

Marianne James joue ce soir à l’auditorium Stravinski la dernière de son spectacle «Caprice».

– Qu’est ce qui vous fait rire?
– La méchanceté. Je préfère l’humour à la colère. Pour en savoir plus sur ce sujet, écoutez ma chanson «Fragile».

– Qu’est ce qui vous fait verser des larmes?
– Une voix ou une interprétation qui me touche. Quand on me dit que l’on ne m’aime plus alors que j’aime encore. Je suis comme tout le monde: quand on me tourne le dos, je pleure.

– Avez-vous un combat au quotidien?
– l’idée que je ne suis qu’une aboyeuse. Je chante et veux faire comprendre que trois octaves de voix ne m’intéressent pas, il faut aller chercher l’émotion chez les gens.

– Etes-vous capitaine de vaisseau ou plutôt petit soldat?
– En public, je suis capitaine, genre: «Allez les filles!» Au quotidien, je suis un soldat isolé. Je n’ai pas besoin d’un staff de 50 personnes, il y en a quarante-neuf de trop.

– Quelle anecdote désagréable avez-vous subie à cause de votre notoriété?
– Au supermarché, un homme est venu me glisser à l’oreille: «Les yogourts 0% c’est par là.» Je le recroise à la caisse peu après et lui dit: «La caisse des cons, c’est par là.» Bizarrement, il l’a mal pris.


Juan Caido - 20minutes.ch

Nouvelle Star 5: c'est parti!

Et oui, la SA§ à peine finie, la SA7 déjà sur les starting blocs... et Nouvelle Star 5 qui démarre en mars. Qui succèdera à Christophe Willem?

http://img86.imageshack.us/my.php?image=1111sd7.jpg

Le casting de la Nouvelle Star démarre fort
Le 13/12/2006 à 12h55

Les candidats se sont gelés dans les files d'attente du casting de la Nouvelle Star. Dimanche avait lieu la grande étape parisienne.

Virginie Efira qui présentera à nouveau le programme après son remplacement au pied levé de Benjamin Castaldi la saison passée confiait au Parisien : "Il y a de vrais talents. Je ne suis pas toujours d'accord avec le jury. Il était dur au début, mais des évidences se sont imposées."

Le premier direct à Baltard devrait avoir lieu en février ou en mars et le producteur Frédéric Pédraza déclare à propos des candidats qui n'hésitent plus devant la qualité du programme et la victoire de Christophe Willem : "Cette saison va démarrer à 100 à l'heure. Le jury est déchaîné, car le niveau est excellent. Nous aurons de vrais tueurs."


actustar



Aucun Réunionnais à la Nouvelle Star

La semaine dernière, les cinq finalistes de Do Ré Mi s’envolaient pour Paris pour tenter leur chance au casting de La Nouvelle Star. “Malgré leur potentiel, aucun n’a été retenu”, raconte Jessica Richard. Après les avoir écoutés chanter, le verdict tombe : “Cela nous embête de vous dire non, mais il manque quelque chose”.

[12 décembre 2006]


“Le jury estimait que mes candidats avaient de très belles voix, mais ne passaient pas assez d’émotions”. Pourtant, ce n’est pas faute de leur avoir donné plusieurs chances. Agréablement surpris qu’une délégation de La Réunion ait fait le voyage, l’équipe de M6 leur a dans un premier temps fait chanter tous les cinq ensemble pour tester leur niveau. “Puis ils sont passés un à un. Ils ont même eu le droit de proposer plusieurs chansons”, poursuit Jessica Richard. Malheureusement, aucun ne parvient à convaincre le jury. Ludovic Jovet, Heidy Chéreau, Dominique Beauté, Cindy Adeler et Ludovic Farrugia ne partent pas trop déçus. “D’ailleurs, on leur a même conseillé de travailler encore un peu et de revenir l’année prochaine”, explique Jessica Richard. Chose qu’ils ne manqueront pas de faire. “Mais pas à Paris. Plutôt à Marseille. D’une part parce que le casting est plus dur à Paris. D’autre part, il fait moins froid dans le Sud. À cause de la température, Ludovic Jovet a eu des problèmes de voix.” Même s’ils rentrent bredouillent, nos graines de star péi n’en restent pas moins heureux de leur séjour. “Le rédacteur en chef de La Nouvelle Star a lu l’article du Jir. Il est venu à notre rencontre et nous a réservé un accueil chaleureux. Maintenant, l’équipe de M6 sait que des talents Réunionnais existent et qu’ils viendront tous les ans montrer de quoi ils sont capables”, sourit Jessica Richard. Les finalistes de Do Ré Mi ne chômeront pas à leur retour. Ils devront terminer l’enregistrement de leur album, et préparer leur spectacle.

G.B

clicanoo - la réunion


1er casting pour Virginie Efira

http://img489.imageshack.us/my.php?imag ... 16rmg2.jpg

Un journaliste de Public passe la casting
http://img100.imageshack.us/my.php?imag ... 09rfz2.jpg
http://img100.imageshack.us/my.php?imag ... 10rup5.jpg

Journée de casting avec Dove Attia

http://img457.imageshack.us/my.php?imag ... 04rpq9.jpg

Marianne  

Thierry Amiel - Thierry Amiel :.

Une émission de télévision forme-t-elle des artistes ? Bien-sûr que non. Elle peut néanmoins permettre de révéler certains talents qui finissent par voler de leurs propres ailes dès le premier album (Olivia Ruiz) ou dès le deuxième, en l’occurrence Thierry Amiel.

Une pop sabrée au lyrisme, Muse en ligne de mire et la froideur de la musique 80’s dans l’esprit, voilà dressé le portrait musical de Thierry Amiel (« De temps en temps »). Plus électro, plus rock, plus ouvert que son premier album (Paradoxes), Thierry Amiel est un hymne à la voix du chanteur, servie par des ambiances envoutantes, étranges et fragiles (« Un jour parfait »), ce nouvel album prouve encore une fois tout l’art d’interprétation de ce natif de Marseille. Force et puissance riment aussi avec sensibilité et sincérité, Amiel a appris des plus grands : Brel ou Ferré, il parvient ainsi à créer un monde unique que l’on croirait perché sur un nuage égaré au sommet d’un paradis mélancolique (« Soleil blanc »). La gaité n’est en effet pas au rendez-vous dans cet album éponyme, Amiel n’a certainement pas encore réglé certains problèmes intérieurs.

Possédé et habité, Thierry Amiel l’est dès le titre d’ouverture « Réveille-toi », paroles mystérieuses et impénétrables, très loin de la mièvrerie de ce que l’on a l’habitude d’entendre à la radio, une force mystique (Dieu ?) sera notre guide tout au long des onze titres qui suivront. Piano et guitares servent parfois une musique idéalisée, la comparaison avec Muse s’impose alors, surtout lorsque le syndrome de Stockholm fait l’objet d’une chanson (« Suède »), serait-ce un clin d’œil à Absolution ? Seul Lui sait. « De là haut », douce berceuse introspective, nous montre la capacité de Thy (surnom donné par ses fans) à veiller sur l’auditeur qui peut s’endormir surtout pas sur ses deux oreilles sans quoi il ne pourrait plus rien entendre. Guitares sèches sur « Qu'on en finisse », Amiel, alors à fleur de peau, nous emporte dans une tempête auditive orchestrée par sa voix charismatique gorgée de puissance et d’émotion, il monte haut, les jugulaires en avant, il étale ses questionnements et ses désillusions. À méditer.

Le choix d’un titre éponyme pour ce deuxième album n’est évidemment pas dû au hasard, cette fois-ci c’est le vrai Thierry Amiel qui s’exprime et pas seulement une partie du « personnage » comme lors de l’opus précédent. Thierry Amiel confirme l’énorme potentiel du chanteur qui risque bien de figurer parmi l’élite de la nouvelle scène française d’ici quelques années, reste à lui de développer encore son univers qui ne demande qu’à mûrir et qu’à se détacher de toute influence.

DeLaRoche

VACARM

Citation :Le choix d’un titre éponyme pour ce deuxième album n’est évidemment pas dû au hasard, cette fois-ci c’est le vrai Thierry Amiel qui s’exprime et pas seulement une partie du « personnage » comme lors de l’opus précédent



excusez, mon ignorance
je quote, sur ce passage, pour solliciter vos connaissances en jargon musical, j'ai beau transcrire au sens littéral les termes d'éponyme et opus, je n'arrive pas à en trouver le sens exact dans leur contexte.
(j'aime bien thierry amiel, c'est pas l'objet l'objet de ma requéte).

merci d'avance    

un album éponyme est simplement un album qui porte le nom de son interprète, sans titre ("Thierry Amiel" par Thierry Amiel, "Magalie Vaé" par Magalie Vaé, etc; plutôt que "Variétés Françaises" par Jérémy Chatelain par ex). Selon les magazines, on les liste comme
Thierry Amiel: "Thierry Amiel" ou
Thierry Amiel: "Eponyme"

Opus c'est simplement une manière un peu précieuse (à l'origine opus était utilisé en musique classique) qu'ont certains journalistes de dire "disque", "album". Parfois ils parlent aussi de "galette" ou de "rondelle" (là ça fait allusion au support, le CD) - mais ça fait moins chic. Je crois que ça se fait dans le rock.

CINDY
Elle rame,
mais elle y croit toujours


Elle savait que le plus dur restait à faire. Elle savait que le fait d’avoir pris part – avec succès – à une émission de télévision drainant des millions de téléspectateurs ne lui permettrait pas forcément de décrocher la lune: un contrat auprès d’une maison de disques. Elle savait tout cela. Elle s’y était même préparée moralement. «Mais c’est quand même très décevant de constater que beaucoup de ceux qui avaient dit qu’ils me soutiendraient après la «Nouvelle Star» ne se sont jamais manifestés par la suite. Ou n’ont pas donné suite à mes appels.»



Cindy (photo sp), qui revient d’une semaine de vacances à New York, croit toujours à sa bonne étoile. Elle continue donc de «ramer». «J’ai 21 ans. Lââm a fait son premier album à 27 ans, alors...» Alors elle a le temps. Reste, comme elle le dit, que «ce n’est pas toujours très marrant... Je savais que c’était un monde de requins, mais quand quelqu’un vous dit un jour qu’il veut absolument travailler avec vous et que le lendemain il vous fait savoir qu’il a changé d’avis, c’est pénible à vivre.»

Pas facile, non plus, de savoir comment se comporter vis-à-vis de la maison de disques Sony BMG: depuis la «Nouvelle Star» et les contrats signés dans le cadre de l’émission, Cindy doit s’adresser en priorité à elle. «Mais Sony BMG ne m’a toujours pas donné de nouveau rendez-vous.»

La Neuchâteloise est allée frapper à d’autres portes. Beaucoup d’autres. L’une ou l’autre sont toujours ouvertes, dont celle d’EMI, à qui Cindy doit présenter des chansons de style pop. «EMI n’est pas intéressé par ce que j’ai proposé en r’n’b, car c’est un genre que l’on entend déjà beaucoup. Il faut dire que les maisons de disques ont de plus en plus peur de signer, car dans ce cas, c’est vite beaucoup d’argent dépensé sans garantie de bénéfice. Au point que même certains chanteurs bien installés, à l’heure actuelle, ne trouvent plus de maison de disques.»

Cindy, ses musiciens et son ingénieur du son se sont donc remis au travail. «Nous avons déjà quatre chansons pop ou pop electro. A quoi cela ressemble? On peut donner les noms de Gwen Stefani ou Justin Timberlake.» La Portugaise concède qu’elle aurait préféré la r’n’b, «même si j’aime bien la mélanger avec du reggae, du ragga, de la soul, du funk, de l’oriental... ou de la pop! Mais bon, comme je n’ai pas d’autre proposition pour le moment, ce serait bête de ne pas répondre à la demande d’EMI. Bien sûr, il y a un côté «produit», mais il faut être conscient que le premier critère des maisons de disques, c’est l’argent. Ce qui est compréhensible: certaines en ont perdu tellement que maintenant, elles se montrent très prudentes.» La faute, notamment, aux téléchargements sur le Net et à la diminution des ventes de disques dans le commerce.
Alors, avec son équipe, Cindy fait dans la pop. Et chante en public de temps à autre. En principe, elle devrait interpréter l’un de ses titres avant le match Neuchâtel Xamax - La Chaux-de-Fonds, le dimanche 18 février, à l’occasion de l’inauguration du nouveau stade de la Maladière.

Par ailleurs, contactée par France 2, elle a pris part à un casting pour une série télévisée dans laquelle elle jouerait le rôle d’une jeune Suissesse. «J’ai eu du plaisir à faire ça, mais je ne sais pas du tout si je serai retenue. Là aussi, j’aurais été bête de refuser». Ses récentes expériences parisiennes l’ont rendue un peu amère, plus prudente encore, pour ne pas dire méfiante. Mais Cindy se montre toujours aussi combative. «Mon étiquette «Nouvelle Star» reste utile. Chaque fois que je me présente quelque part, on sait qui je suis et ce dont je suis capable. Et puis, il y a encore d’autres pistes à explorer...»
Lesquelles? La Neuchâteloise a souhaité ne pas en dire plus pour le moment. / PHO


Pascal Hofer
l'express.ch (suisse)

Cindy entre désillusions et détermination



Huit mois après sa participation à l’émission de M6 «Nouvelle Star», la chanteuse neuchâteloise n’a toujours pas de contrat avec une maison de disques.

Contractuellement, Cindy doit s’adresser en priorité à la major Sony BMG, partenaire de l’émission de télé-réalité française, mais cette dernière ne lui a toujours pas donné de rendez-vous. Même si la jeune chanteuse savait que le monde du showbiz est un «monde de requins», elle avoue, au quotidien neuchâtelois L’Express, souffrir des promesses non tenues : «Quand quelqu’un vous dit un jour qu’il veut absolument travailler avec vous et que le lendemain il vous fait savoir qu’il a changé d’avis, c’est pénible à vivre».

Autre maison de disques de poids, EMI semblerait intéressée par Cindy mais dans un registre plutôt pop. Même si la chanteuse préfère le r’n’b, teinté de reggae, de funk ou de soul, elle est consciente qu’il faudra faire des concessions pour arriver à ses fins : «Bien sûr il y a un côté «produit», mais il faut être conscient que le premier critère des maisons de disques c’est l’argent» affirme-t-elle.

Elle est donc repartie en studio avec son équipe pour enregistrer des chansons pop, bien décidée à aller jusqu’au bout de son rêve. Dans son futur proche, elle devrait se produire lors du match inaugural du nouveau stade de la Maladière, à Neuchâtel, le 18 février. Elle a également été approchée par France 2 pour participer à un casting pour le rôle d’une jeune suissesse dans une série télévisée.

(fab) - 20minutes.ch

Jonatan Cerrada fait un carton avec Ruban noir


Le 11/01/2007 à 07h50



Le single Ruban noir, extrait de l'album du jeune vainqueur de la première édition de l’émission La Nouvelle Star, fait un carton.

Le titre Ruban noir, extrait de l'album La preuve du contraire de Jonatan Cerrada, est actuellement l'un des titres les plus téléchargés du net. Ce single a été écrit et composé par Jérémy Chatelain, et évoque les attentats tragiques de Madrid en 2004.

Le jeune chanteur, dont la mère est espagnole, livre une vision très poignante de la catastrophe et met tout son coeur dans son interprétation. Une chanson très engagée, qui transmet l'incompréhension du jeune homme face à ce drame.
actustar

la photo est pas flatteuse, elle date de la sortie de l'album. Depuis Jona a repris sa coiffure précédente. Et d'habitude il est plus souriant... --Message edité par Slenderframe le 2007-01-12 07:55:45--

Ça m'étonne beaucoup pour Cindy. S'il y'en a une que je m'attendais à voir sortir un album rapidement c'est bien elle!

Aurais-tu des nouvelles de Gael aussi?