Émission du 28 Février
Modérateur : Elise-Gisèle
- gingerstar
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laurry a écrit Laissez Beppo tranquille, pauvre lui......son gruau pis ses toasts sont pas digérées encore, soyons patients, il va finir par l`avoir son rapport, notre cher cuistot en devenir.
Un petit piment fort avec ça ?
Un petit piment fort avec ça ?
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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- gingerstar
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Câline avec les réponses pas rapport de Beppo, j'ai oublié de parler de Lysandre...
Bon Lysandre, elle est énervante je l'admets mais au moins elle est vivante, elle exprime ce qu'elle pense, elle bouge, elle pleure, elle rit, elle chiâle, elle est spontanée mais mausus que je trouve Étienne tiède, plate pis épais...
Il n'a tellement pas le tour de la calmer ou de la consoler, il produit toujours l'effet contraire.
Bon Lysandre, elle est énervante je l'admets mais au moins elle est vivante, elle exprime ce qu'elle pense, elle bouge, elle pleure, elle rit, elle chiâle, elle est spontanée mais mausus que je trouve Étienne tiède, plate pis épais...
Il n'a tellement pas le tour de la calmer ou de la consoler, il produit toujours l'effet contraire.
gingerstar a écritCâline avec les réponses pas rapport de Beppo, j'ai oublié de parler de Lysandre...
Bon Lysandre, elle est énervante je l'admets mais au moins elle est vivante, elle exprime ce qu'elle pense, elle bouge, elle pleure, elle rit, elle chiâle, elle est spontanée mais mausus que je trouve Étienne tiède, plate pis épais...
Il n'a tellement pas le tour de la calmer ou de la consoler, il produit toujours l'effet contraire.
En plus je vois qu'il la "crinque" contre les autres filles en se donnant le rôle que toutes les filles veulent être avec lui et sont jalouses de Lys !
Bon Lysandre, elle est énervante je l'admets mais au moins elle est vivante, elle exprime ce qu'elle pense, elle bouge, elle pleure, elle rit, elle chiâle, elle est spontanée mais mausus que je trouve Étienne tiède, plate pis épais...
Il n'a tellement pas le tour de la calmer ou de la consoler, il produit toujours l'effet contraire.
En plus je vois qu'il la "crinque" contre les autres filles en se donnant le rôle que toutes les filles veulent être avec lui et sont jalouses de Lys !
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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- gingerstar
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LeeLou a écritMoi j ai juste hate de comprendre pourquoi mathieu et éli se mettent tjrs au ballotage mutuellement
c est a se demander sil sont pas arranger ensemble du genre quil se mettent au ballotage en esperant que personne d autre ne le fera et ainsi continuer ensemble plus longtemps dans la game (jsais que c est pas ca , mais du moins jusqua ce quil ne reste que maxime et lui)mais cé pas ca non plus.
Mais ils me font rire
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
c est a se demander sil sont pas arranger ensemble du genre quil se mettent au ballotage en esperant que personne d autre ne le fera et ainsi continuer ensemble plus longtemps dans la game (jsais que c est pas ca , mais du moins jusqua ce quil ne reste que maxime et lui)mais cé pas ca non plus.
Mais ils me font rire
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
[color=#4040BF][i]Ça, c'est moi. J'ai prêté mon visage à Kate pour qu'elle puisse faire des films.[/i][/color]
Sabi a écrit
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
Sabi a écrit
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
, l autre jour j ai écrit : il se passe quelque chose entre ces 2 la mais ils ne le savent meme pas aussi imaginative
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
, l autre jour j ai écrit : il se passe quelque chose entre ces 2 la mais ils ne le savent meme pas aussi imaginative
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
J'ai beaucoup aimé le moment où nous avons vu Stéphanie marquer le bétail en faisant des incantations dans sa langue maternelle.
J'ai trouvé ça très déstabilisant. Je crois que Lysandre avait un ti peu la chi...chi...enne.
(Noter que le mot bétail est ici utilisé dans le but d'alléger le texte. )
Non, non, ne vous méprenez pas... ce sont vraiment des blagues. Lysandre à m'énârve mais comme vous le dites si bien, au moins, elle est en vie ! Elle apporte beaucoup de couleur dans le loft. Nous allons beaucoup la manquer. ;)
J'ai trouvé ça très déstabilisant. Je crois que Lysandre avait un ti peu la chi...chi...enne.
(Noter que le mot bétail est ici utilisé dans le but d'alléger le texte. )
Non, non, ne vous méprenez pas... ce sont vraiment des blagues. Lysandre à m'énârve mais comme vous le dites si bien, au moins, elle est en vie ! Elle apporte beaucoup de couleur dans le loft. Nous allons beaucoup la manquer. ;)
[color=#4040BF][i]Ça, c'est moi. J'ai prêté mon visage à Kate pour qu'elle puisse faire des films.[/i][/color]
- gingerstar
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gingerstar a écrit
Pas grave sabi, j'ai aussi dit de méchants mots. Me sents moins mal astheure .
Je me dis que si Gingerstar s'est permis une petite incartade, Sabi itou, elle peut le faire. Cela ne fait tout de même pas de nous de michantes forumeuses... Ohhhh que non.
O.k. je me tais. --Message edité par Sabi le 2006-02-28 21:16:08--
Pas grave sabi, j'ai aussi dit de méchants mots. Me sents moins mal astheure .
Je me dis que si Gingerstar s'est permis une petite incartade, Sabi itou, elle peut le faire. Cela ne fait tout de même pas de nous de michantes forumeuses... Ohhhh que non.
O.k. je me tais. --Message edité par Sabi le 2006-02-28 21:16:08--
[color=#4040BF][i]Ça, c'est moi. J'ai prêté mon visage à Kate pour qu'elle puisse faire des films.[/i][/color]
Sabi a écrit
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
Love Story
par Bobépine
Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Mathieu embrumait Le Loft. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Elisabetta, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si belle, répondit simplement Mathieu.
- Tu viens? Fit gaiement Elisabetta.
Mathieu pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Elisabetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Mathieu, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Mathieu vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Elisabetta poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Mathieu en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elisabetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gentille que je n'ai jamais connue! La plus gentille de tout Le Loft! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si comique...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce panthère, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Elisabetta...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Plume Latraverse chantait ''Bobépine'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Mathieu fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Dali, Elisabetta réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Mathieu rouvrit les yeux.
- Elisabetta...
- Oui?...
- Elisabetta... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elisabetta, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Mathieu est plus drole que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
Love Story
par Bobépine
Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Mathieu embrumait Le Loft. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Elisabetta, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si belle, répondit simplement Mathieu.
- Tu viens? Fit gaiement Elisabetta.
Mathieu pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Elisabetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Mathieu, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Mathieu vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Elisabetta poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Mathieu en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elisabetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gentille que je n'ai jamais connue! La plus gentille de tout Le Loft! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si comique...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce panthère, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Elisabetta...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Plume Latraverse chantait ''Bobépine'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Mathieu fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Dali, Elisabetta réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Mathieu rouvrit les yeux.
- Elisabetta...
- Oui?...
- Elisabetta... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elisabetta, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Mathieu est plus drole que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment

C'est bobépine ou bépine SVP

- gingerstar
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bobépine a écrit
Love Story
par Bobépine
Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Mathieu embrumait Le Loft. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Elisabetta, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si belle, répondit simplement Mathieu.
- Tu viens? Fit gaiement Elisabetta.
Mathieu pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Elisabetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Mathieu, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Mathieu vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Elisabetta poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Mathieu en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elisabetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gentille que je n'ai jamais connue! La plus gentille de tout Le Loft! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si comique...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce panthère, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Elisabetta...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Plume Latraverse chantait ''Bobépine'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Mathieu fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Dali, Elisabetta réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Mathieu rouvrit les yeux.
- Elisabetta...
- Oui?...
- Elisabetta... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elisabetta, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Mathieu est plus drole que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment
sti
mais je connais ton secret
Love Story
par Bobépine
Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Mathieu embrumait Le Loft. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Elisabetta, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si belle, répondit simplement Mathieu.
- Tu viens? Fit gaiement Elisabetta.
Mathieu pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Elisabetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Mathieu, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Mathieu vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Elisabetta poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Mathieu en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elisabetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gentille que je n'ai jamais connue! La plus gentille de tout Le Loft! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si comique...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce panthère, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Elisabetta...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Plume Latraverse chantait ''Bobépine'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Mathieu fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Dali, Elisabetta réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Mathieu rouvrit les yeux.
- Elisabetta...
- Oui?...
- Elisabetta... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elisabetta, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Mathieu est plus drole que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment
sti
mais je connais ton secret
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