Ganesha a écrit
blanc sale???
tous les québécois sont des immigrants....
le terme de souche ressemble dangeureusement à la notion de race pure qui a causé l'holocauste....
il y a une race.. la race humaine.
Saviez-vous que le sujet de l'heure chez les Québecois de langue maternelle française est l'identité????
Saviez-vous que la langue française est de moins en moins parlée à Montréal????
Saviez-vous que la population des régions se déplacent de plus en plus vers montréal????
Saviez-vous que sous Duplessis, on ne se posait même pas ses questions-la?????
Pour écrire l'extrêmiste dans vos mots, j'imagine votre tête!!
Et relisez si vous n'avez pas compris.
Avez-vous peur de Pauline
-
Blanche Neige
- Caïd de la Causette
- Messages : 969
- Inscription : lun. janv. 26, 2004 1:00 am
Le dimanche 16 mars 2008
La reine Pauline
Vincent Marissal
La Presse
Contrairement à Jean Charest la semaine dernière, Pauline Marois n'a pas reçu de vote de confiance des militants du Parti québécois, mais l'appui obtenu hier au virage imposé à son parti valait bien les 97% du chef libéral.
En revenant aux affaires, le printemps dernier, Mme Marois avait soumis une condition non négociable à son parti: pas question de diriger le PQ les mains liées par l'engagement de tenir un référendum le plus tôt possible dans le premier mandat. Le référendum arrivera un jour si possible, mais, pour le moment, le PQ doit se recentrer sur la destination finale - la souveraineté - plutôt que d'être obsédé par le véhicule - le référendum.
Connaissant le passé turbulent du Parti québécois, on promettait à Pauline Marois des luttes féroces contre l'aile orthodoxe de son parti. Rien de tel hier au conseil national du PQ, premier test de la nouvelle chef devant ses militants.
En fait, il aura fallu à Mme Marois 10 minutes pour isoler et mater les purs et durs qui font la loi dans ce parti depuis plus de 30 ans. Signe de la fermeté du leadership de Pauline Marois, certes, mais d'abord et avant tout la preuve que ce parti a changé depuis sa dégelée électorale, il y a un an.
Le Parti québécois se comporte comme un cardiaque qui, après avoir frôlé la mort par infarctus, modifie radicalement son alimentation et se met à l'exercice sur les conseils de son médecin.
Exit, donc, l'obligation de tenir un référendum, ce qui, en soi, est une véritable révolution au PQ. Une révolution bien tranquille, d'ailleurs. Et expéditive.
Il faut dire que la tentative du SPQ Libre pour laisser ouverte la porte référendaire était aussi discrète que faiblarde. Quand il s'est présenté au micro pour soumettre l'idée d'un projet de loi sur un registre par lequel 10% des Québécois pourraient demander au PQ la tenue d'un référendum, Marc Laviolette avait l'air bien seul.
Mme Marois attendait ce moment. Elle l'espérait même. Elle était tellement empressée d'en débattre et de vider la question qu'elle a presque écrasé les pieds de M. Laviolette en se précipitant au micro. «Excuse-moi, Marc», lui a-t-elle lancé sur le ton de «tasse-toi, c'est mon conseil national!»La proposition de M. Laviolette, en effet, s'est fait tasser. En deux coups de cuillère à pot, l'affaire était réglée. En retournant s'asseoir, Pauline Marois a tapoté la main de Marc Laviolette sans même le regarder...
Quand elle a succédé à André Boisclair, plusieurs commentateurs ont suggéré à Mme Marois d'éjecter le SPQ Libre du giron du PQ. Finalement, elle a bien fait de le garder, il lui aura rendu un fier service en cimentant son leadership.
Bon joueur, M. Laviolette a rendu les armes. «On n'est pas masochistes», a-t-il conclu, quelques minutes après avoir vu une écrasante majorité de militants rejeter son amendement. Ça aussi, c'est la preuve que le PQ a changé depuis son expérience de mort imminente du 26 mars 2007.
La transformation du PQ était bien palpable hier, et pas seulement dans l'atelier sur la souveraineté. Pour qui a déjà couvert les grands rassemblements péquistes, le calme et la sérénité qui régnaient au Centre des congrès de Saint-Hyacinthe avaient de quoi surprendre. Croisé à sa sortie de l'atelier sur la «création de la richesse», le député François Legault jubilait en montrant la résolution principale, adoptée quelques minutes plus tôt sans débat et même dans l'enthousiasme débordant.
Cette résolution parle notamment «de créer un environnement d'affaires propice à l'investissement par une fiscalité compétitive qui permettrait de consolider et d'améliorer la position de nos entreprises (...) par l'élimination immédiate de la taxe sur le capital (à l'exception des secteurs de l'assurance, du pétrole et des institutions financières) et par la baisse du taux marginal effectif d'imposition des entreprises».
Même M. Legault avait du mal à y croire.
«Monique Jérôme-Forget m'a dit récemment que jamais le PQ n'adopterait ça, mais je pense plutôt que c'est elle qui serait incapable de faire passer ça au Parti libéral!»
Cela dit, il reste encore quelques vieilles habitudes bien incrustées au PQ, comme celle de débattre de propositions surréalistes sur les pouvoirs du Québec au sein du Canada.
Ainsi, le PQ suggère d'abolir le poste de lieutenant-gouverneur, sans toutefois se formaliser du fait que ce changement nécessiterait un amendement constitutionnel majeur. Un détail, apparemment.
La reine Pauline
Vincent Marissal
La Presse
Contrairement à Jean Charest la semaine dernière, Pauline Marois n'a pas reçu de vote de confiance des militants du Parti québécois, mais l'appui obtenu hier au virage imposé à son parti valait bien les 97% du chef libéral.
En revenant aux affaires, le printemps dernier, Mme Marois avait soumis une condition non négociable à son parti: pas question de diriger le PQ les mains liées par l'engagement de tenir un référendum le plus tôt possible dans le premier mandat. Le référendum arrivera un jour si possible, mais, pour le moment, le PQ doit se recentrer sur la destination finale - la souveraineté - plutôt que d'être obsédé par le véhicule - le référendum.
Connaissant le passé turbulent du Parti québécois, on promettait à Pauline Marois des luttes féroces contre l'aile orthodoxe de son parti. Rien de tel hier au conseil national du PQ, premier test de la nouvelle chef devant ses militants.
En fait, il aura fallu à Mme Marois 10 minutes pour isoler et mater les purs et durs qui font la loi dans ce parti depuis plus de 30 ans. Signe de la fermeté du leadership de Pauline Marois, certes, mais d'abord et avant tout la preuve que ce parti a changé depuis sa dégelée électorale, il y a un an.
Le Parti québécois se comporte comme un cardiaque qui, après avoir frôlé la mort par infarctus, modifie radicalement son alimentation et se met à l'exercice sur les conseils de son médecin.
Exit, donc, l'obligation de tenir un référendum, ce qui, en soi, est une véritable révolution au PQ. Une révolution bien tranquille, d'ailleurs. Et expéditive.
Il faut dire que la tentative du SPQ Libre pour laisser ouverte la porte référendaire était aussi discrète que faiblarde. Quand il s'est présenté au micro pour soumettre l'idée d'un projet de loi sur un registre par lequel 10% des Québécois pourraient demander au PQ la tenue d'un référendum, Marc Laviolette avait l'air bien seul.
Mme Marois attendait ce moment. Elle l'espérait même. Elle était tellement empressée d'en débattre et de vider la question qu'elle a presque écrasé les pieds de M. Laviolette en se précipitant au micro. «Excuse-moi, Marc», lui a-t-elle lancé sur le ton de «tasse-toi, c'est mon conseil national!»La proposition de M. Laviolette, en effet, s'est fait tasser. En deux coups de cuillère à pot, l'affaire était réglée. En retournant s'asseoir, Pauline Marois a tapoté la main de Marc Laviolette sans même le regarder...
Quand elle a succédé à André Boisclair, plusieurs commentateurs ont suggéré à Mme Marois d'éjecter le SPQ Libre du giron du PQ. Finalement, elle a bien fait de le garder, il lui aura rendu un fier service en cimentant son leadership.
Bon joueur, M. Laviolette a rendu les armes. «On n'est pas masochistes», a-t-il conclu, quelques minutes après avoir vu une écrasante majorité de militants rejeter son amendement. Ça aussi, c'est la preuve que le PQ a changé depuis son expérience de mort imminente du 26 mars 2007.
La transformation du PQ était bien palpable hier, et pas seulement dans l'atelier sur la souveraineté. Pour qui a déjà couvert les grands rassemblements péquistes, le calme et la sérénité qui régnaient au Centre des congrès de Saint-Hyacinthe avaient de quoi surprendre. Croisé à sa sortie de l'atelier sur la «création de la richesse», le député François Legault jubilait en montrant la résolution principale, adoptée quelques minutes plus tôt sans débat et même dans l'enthousiasme débordant.
Cette résolution parle notamment «de créer un environnement d'affaires propice à l'investissement par une fiscalité compétitive qui permettrait de consolider et d'améliorer la position de nos entreprises (...) par l'élimination immédiate de la taxe sur le capital (à l'exception des secteurs de l'assurance, du pétrole et des institutions financières) et par la baisse du taux marginal effectif d'imposition des entreprises».
Même M. Legault avait du mal à y croire.
«Monique Jérôme-Forget m'a dit récemment que jamais le PQ n'adopterait ça, mais je pense plutôt que c'est elle qui serait incapable de faire passer ça au Parti libéral!»
Cela dit, il reste encore quelques vieilles habitudes bien incrustées au PQ, comme celle de débattre de propositions surréalistes sur les pouvoirs du Québec au sein du Canada.
Ainsi, le PQ suggère d'abolir le poste de lieutenant-gouverneur, sans toutefois se formaliser du fait que ce changement nécessiterait un amendement constitutionnel majeur. Un détail, apparemment.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Jumbo a écritLe dimanche 16 mars 2008
La reine Pauline
Vincent Marissal
La Presse
Contrairement à Jean Charest la semaine dernière, Pauline Marois n'a pas reçu de vote de confiance des militants du Parti québécois, mais l'appui obtenu hier au virage imposé à son parti valait bien les 97% du chef libéral.
En revenant aux affaires, le printemps dernier, Mme Marois avait soumis une condition non négociable à son parti: pas question de diriger le PQ les mains liées par l'engagement de tenir un référendum le plus tôt possible dans le premier mandat. Le référendum arrivera un jour si possible, mais, pour le moment, le PQ doit se recentrer sur la destination finale - la souveraineté - plutôt que d'être obsédé par le véhicule - le référendum.
Connaissant le passé turbulent du Parti québécois, on promettait à Pauline Marois des luttes féroces contre l'aile orthodoxe de son parti. Rien de tel hier au conseil national du PQ, premier test de la nouvelle chef devant ses militants.
En fait, il aura fallu à Mme Marois 10 minutes pour isoler et mater les purs et durs qui font la loi dans ce parti depuis plus de 30 ans. Signe de la fermeté du leadership de Pauline Marois, certes, mais d'abord et avant tout la preuve que ce parti a changé depuis sa dégelée électorale, il y a un an.
Le Parti québécois se comporte comme un cardiaque qui, après avoir frôlé la mort par infarctus, modifie radicalement son alimentation et se met à l'exercice sur les conseils de son médecin.
Exit, donc, l'obligation de tenir un référendum, ce qui, en soi, est une véritable révolution au PQ. Une révolution bien tranquille, d'ailleurs. Et expéditive.
Il faut dire que la tentative du SPQ Libre pour laisser ouverte la porte référendaire était aussi discrète que faiblarde. Quand il s'est présenté au micro pour soumettre l'idée d'un projet de loi sur un registre par lequel 10% des Québécois pourraient demander au PQ la tenue d'un référendum, Marc Laviolette avait l'air bien seul.
Mme Marois attendait ce moment. Elle l'espérait même. Elle était tellement empressée d'en débattre et de vider la question qu'elle a presque écrasé les pieds de M. Laviolette en se précipitant au micro. «Excuse-moi, Marc», lui a-t-elle lancé sur le ton de «tasse-toi, c'est mon conseil national!»La proposition de M. Laviolette, en effet, s'est fait tasser. En deux coups de cuillère à pot, l'affaire était réglée. En retournant s'asseoir, Pauline Marois a tapoté la main de Marc Laviolette sans même le regarder...
Quand elle a succédé à André Boisclair, plusieurs commentateurs ont suggéré à Mme Marois d'éjecter le SPQ Libre du giron du PQ. Finalement, elle a bien fait de le garder, il lui aura rendu un fier service en cimentant son leadership.
Bon joueur, M. Laviolette a rendu les armes. «On n'est pas masochistes», a-t-il conclu, quelques minutes après avoir vu une écrasante majorité de militants rejeter son amendement. Ça aussi, c'est la preuve que le PQ a changé depuis son expérience de mort imminente du 26 mars 2007.
La transformation du PQ était bien palpable hier, et pas seulement dans l'atelier sur la souveraineté. Pour qui a déjà couvert les grands rassemblements péquistes, le calme et la sérénité qui régnaient au Centre des congrès de Saint-Hyacinthe avaient de quoi surprendre. Croisé à sa sortie de l'atelier sur la «création de la richesse», le député François Legault jubilait en montrant la résolution principale, adoptée quelques minutes plus tôt sans débat et même dans l'enthousiasme débordant.
Cette résolution parle notamment «de créer un environnement d'affaires propice à l'investissement par une fiscalité compétitive qui permettrait de consolider et d'améliorer la position de nos entreprises (...) par l'élimination immédiate de la taxe sur le capital (à l'exception des secteurs de l'assurance, du pétrole et des institutions financières) et par la baisse du taux marginal effectif d'imposition des entreprises».
Même M. Legault avait du mal à y croire.
«Monique Jérôme-Forget m'a dit récemment que jamais le PQ n'adopterait ça, mais je pense plutôt que c'est elle qui serait incapable de faire passer ça au Parti libéral!»
Cela dit, il reste encore quelques vieilles habitudes bien incrustées au PQ, comme celle de débattre de propositions surréalistes sur les pouvoirs du Québec au sein du Canada.
Ainsi, le PQ suggère d'abolir le poste de lieutenant-gouverneur, sans toutefois se formaliser du fait que ce changement nécessiterait un amendement constitutionnel majeur. Un détail, apparemment.
MDRRRRRRRRRR
chu crampée
s't'une vraie joke ce parti là..
L'article est bon...on dirait qu'il décrit une pièce de théatre Vaudeville, genre Bouffon!!!
merci Jumbo! je me joins donc à la gang de zouaves.. elle est tellement convaincante la Pauline de Moulinsart!!!
La reine Pauline
Vincent Marissal
La Presse
Contrairement à Jean Charest la semaine dernière, Pauline Marois n'a pas reçu de vote de confiance des militants du Parti québécois, mais l'appui obtenu hier au virage imposé à son parti valait bien les 97% du chef libéral.
En revenant aux affaires, le printemps dernier, Mme Marois avait soumis une condition non négociable à son parti: pas question de diriger le PQ les mains liées par l'engagement de tenir un référendum le plus tôt possible dans le premier mandat. Le référendum arrivera un jour si possible, mais, pour le moment, le PQ doit se recentrer sur la destination finale - la souveraineté - plutôt que d'être obsédé par le véhicule - le référendum.
Connaissant le passé turbulent du Parti québécois, on promettait à Pauline Marois des luttes féroces contre l'aile orthodoxe de son parti. Rien de tel hier au conseil national du PQ, premier test de la nouvelle chef devant ses militants.
En fait, il aura fallu à Mme Marois 10 minutes pour isoler et mater les purs et durs qui font la loi dans ce parti depuis plus de 30 ans. Signe de la fermeté du leadership de Pauline Marois, certes, mais d'abord et avant tout la preuve que ce parti a changé depuis sa dégelée électorale, il y a un an.
Le Parti québécois se comporte comme un cardiaque qui, après avoir frôlé la mort par infarctus, modifie radicalement son alimentation et se met à l'exercice sur les conseils de son médecin.
Exit, donc, l'obligation de tenir un référendum, ce qui, en soi, est une véritable révolution au PQ. Une révolution bien tranquille, d'ailleurs. Et expéditive.
Il faut dire que la tentative du SPQ Libre pour laisser ouverte la porte référendaire était aussi discrète que faiblarde. Quand il s'est présenté au micro pour soumettre l'idée d'un projet de loi sur un registre par lequel 10% des Québécois pourraient demander au PQ la tenue d'un référendum, Marc Laviolette avait l'air bien seul.
Mme Marois attendait ce moment. Elle l'espérait même. Elle était tellement empressée d'en débattre et de vider la question qu'elle a presque écrasé les pieds de M. Laviolette en se précipitant au micro. «Excuse-moi, Marc», lui a-t-elle lancé sur le ton de «tasse-toi, c'est mon conseil national!»La proposition de M. Laviolette, en effet, s'est fait tasser. En deux coups de cuillère à pot, l'affaire était réglée. En retournant s'asseoir, Pauline Marois a tapoté la main de Marc Laviolette sans même le regarder...
Quand elle a succédé à André Boisclair, plusieurs commentateurs ont suggéré à Mme Marois d'éjecter le SPQ Libre du giron du PQ. Finalement, elle a bien fait de le garder, il lui aura rendu un fier service en cimentant son leadership.
Bon joueur, M. Laviolette a rendu les armes. «On n'est pas masochistes», a-t-il conclu, quelques minutes après avoir vu une écrasante majorité de militants rejeter son amendement. Ça aussi, c'est la preuve que le PQ a changé depuis son expérience de mort imminente du 26 mars 2007.
La transformation du PQ était bien palpable hier, et pas seulement dans l'atelier sur la souveraineté. Pour qui a déjà couvert les grands rassemblements péquistes, le calme et la sérénité qui régnaient au Centre des congrès de Saint-Hyacinthe avaient de quoi surprendre. Croisé à sa sortie de l'atelier sur la «création de la richesse», le député François Legault jubilait en montrant la résolution principale, adoptée quelques minutes plus tôt sans débat et même dans l'enthousiasme débordant.
Cette résolution parle notamment «de créer un environnement d'affaires propice à l'investissement par une fiscalité compétitive qui permettrait de consolider et d'améliorer la position de nos entreprises (...) par l'élimination immédiate de la taxe sur le capital (à l'exception des secteurs de l'assurance, du pétrole et des institutions financières) et par la baisse du taux marginal effectif d'imposition des entreprises».
Même M. Legault avait du mal à y croire.
«Monique Jérôme-Forget m'a dit récemment que jamais le PQ n'adopterait ça, mais je pense plutôt que c'est elle qui serait incapable de faire passer ça au Parti libéral!»
Cela dit, il reste encore quelques vieilles habitudes bien incrustées au PQ, comme celle de débattre de propositions surréalistes sur les pouvoirs du Québec au sein du Canada.
Ainsi, le PQ suggère d'abolir le poste de lieutenant-gouverneur, sans toutefois se formaliser du fait que ce changement nécessiterait un amendement constitutionnel majeur. Un détail, apparemment.
MDRRRRRRRRRR
chu crampée
s't'une vraie joke ce parti là..
L'article est bon...on dirait qu'il décrit une pièce de théatre Vaudeville, genre Bouffon!!!
merci Jumbo! je me joins donc à la gang de zouaves.. elle est tellement convaincante la Pauline de Moulinsart!!!
Quand un chef du PQ se faisait vilipender sur la place publique, on faisait les gorges chaudes surtout si la zizanie venait de son propre parti. Là, une femme chef fait l'unanimité et on trouve le moyen de critiquer encore. Je ne suis pas convaincu que les zouaves sont tous dans le parti...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritQuand un chef du PQ se faisait vilipender sur la place publique, on faisait les gorges chaudes surtout si la zizanie venait de son propre parti. Là, une femme chef fait l'unanimité et on trouve le moyen de critiquer encore. Je ne suis pas convaincu que les zouaves sont tous dans le parti...
non y aurait-il aussi les gerrrnouille à noeud papillon???
non y aurait-il aussi les gerrrnouille à noeud papillon???
Ganesha a écrit
MDRRRRRRRRRR
chu crampée
s't'une vraie joke ce parti là..
L'article est bon...on dirait qu'il décrit une pièce de théatre Vaudeville, genre Bouffon!!!
merci Jumbo! je me joins donc à la gang de zouaves.. elle est tellement convaincante la Pauline de Moulinsart!!!
On a eu Guillaume le Conquérant et on a maintenant Pauline la Convaincante. --Message edité par jumbo le 2008-03-16 13:20:18--
MDRRRRRRRRRR
chu crampée
s't'une vraie joke ce parti là..
L'article est bon...on dirait qu'il décrit une pièce de théatre Vaudeville, genre Bouffon!!!
merci Jumbo! je me joins donc à la gang de zouaves.. elle est tellement convaincante la Pauline de Moulinsart!!!
On a eu Guillaume le Conquérant et on a maintenant Pauline la Convaincante. --Message edité par jumbo le 2008-03-16 13:20:18--
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Ganesha a écrit
non y aurait-il aussi les gerrrnouille à noeud papillon???
En passant, et seulement pour ton information très personnelle, une garnouille représente un symbole de fidélité. Donc, or dis-je que, je suis bien fidèle à ma Chef. Chui pas comme une danseuse de baladi qui veut se faire aguichante et se branler entre 9 et 3 pi pas être capable de se brancher...
cbrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
non y aurait-il aussi les gerrrnouille à noeud papillon???
En passant, et seulement pour ton information très personnelle, une garnouille représente un symbole de fidélité. Donc, or dis-je que, je suis bien fidèle à ma Chef. Chui pas comme une danseuse de baladi qui veut se faire aguichante et se branler entre 9 et 3 pi pas être capable de se brancher...
cbrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Jumbo a écritLe dimanche 16 mars 2008
... pour le moment, le PQ doit se recentrer sur la destination finale - la souveraineté - plutôt que d'être obsédé par le véhicule - le référendum.
Le PQ me déçoit en titi la...
Je vois ça comme si dans notre famille, on peut jaser allègrement de Disney World, mais faut pas parler de quand et comment on va s'y rendre...
Ça fait looser à mon avis car faut se brancher en tant que chef de famille :
1- ou tu en parles et tu y vas,
2- ou t'en parles pas car tu penses que tu peux pas y aller.
Mais tu peux pas dire que ton but ultime est d'aller à Disney, mais défendre aux enfants de parler du comment on va y aller.
Me semble que c'est soit incohérent, soit looser comme comportement.
... pour le moment, le PQ doit se recentrer sur la destination finale - la souveraineté - plutôt que d'être obsédé par le véhicule - le référendum.
Le PQ me déçoit en titi la...
Je vois ça comme si dans notre famille, on peut jaser allègrement de Disney World, mais faut pas parler de quand et comment on va s'y rendre...
Ça fait looser à mon avis car faut se brancher en tant que chef de famille :
1- ou tu en parles et tu y vas,
2- ou t'en parles pas car tu penses que tu peux pas y aller.
Mais tu peux pas dire que ton but ultime est d'aller à Disney, mais défendre aux enfants de parler du comment on va y aller.
Me semble que c'est soit incohérent, soit looser comme comportement.
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Jumbo a écrit
Pis elle portera plus à terre.
Tu finis souvent tes messages par MDR. Si M veut dire Marois, que veut dire DR.
Je savais que mdr = mort de rire
et je viens tout juste de comprendre que cbr = crampé ben raide !
Jusqu'à date je croyais que cbr voulait dire ciboire (pis risez pas de moi) --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-16 19:18:07--
Pis elle portera plus à terre.
Tu finis souvent tes messages par MDR. Si M veut dire Marois, que veut dire DR.
Je savais que mdr = mort de rire
et je viens tout juste de comprendre que cbr = crampé ben raide !
Jusqu'à date je croyais que cbr voulait dire ciboire (pis risez pas de moi) --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-16 19:18:07--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Beppo a écritQuand un chef du PQ se faisait vilipender sur la place publique, on faisait les gorges chaudes surtout si la zizanie venait de son propre parti. Là, une femme chef fait l'unanimité et on trouve le moyen de critiquer encore. Je ne suis pas convaincu que les zouaves sont tous dans le parti...
cé le fun que tu admettes que le parti est formé de zouaves..
mais qu' il vous en reste à aller convaincre avec , comme le dit si bien Jumbo, PAULine la convaincante! mouhahahahahahhaaah
cé le fun que tu admettes que le parti est formé de zouaves..
mais qu' il vous en reste à aller convaincre avec , comme le dit si bien Jumbo, PAULine la convaincante! mouhahahahahahhaaah
Beppo a écrit
En passant, et seulement pour ton information très personnelle, une garnouille représente un symbole de fidélité. Donc, or dis-je que, je suis bien fidèle à ma Chef. Chui pas comme une danseuse de baladi qui veut se faire aguichante et se branler entre 9 et 3 pi pas être capable de se brancher...
cbrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
tellement prévisible mouahahahahh
OUI CHEFFFFFFFEEEEEEEE!!!!
En passant, et seulement pour ton information très personnelle, une garnouille représente un symbole de fidélité. Donc, or dis-je que, je suis bien fidèle à ma Chef. Chui pas comme une danseuse de baladi qui veut se faire aguichante et se branler entre 9 et 3 pi pas être capable de se brancher...
cbrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
tellement prévisible mouahahahahh
OUI CHEFFFFFFFEEEEEEEE!!!!
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8114
- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
La belle unanimité que l'ont voit dans le PLQ et l'ADQ, c'est dû à quoi au juste?
C'est certain que Paradis et compagnie sont tous derrière leur chef et ne divergent jamais, jamais d'idée. Ben voyons.
Le PQ avec Marois ne fait, finalement, que ressembler à un parti politique conventionnel comme tous les autres partis. Le magouillage, s'il y en a, se fait en coulisse et non à la vue de tous comme ça a malheureusement été trop souvent le cas chez le PQ.
Me demande bien ce que les partisans d'autres partis peuvent reprocher à tout celà. Ils doivent vraiment mal connaître leur propre parti ou bien ont de bonnes oeillères.
C'est certain que Paradis et compagnie sont tous derrière leur chef et ne divergent jamais, jamais d'idée. Ben voyons.
Le PQ avec Marois ne fait, finalement, que ressembler à un parti politique conventionnel comme tous les autres partis. Le magouillage, s'il y en a, se fait en coulisse et non à la vue de tous comme ça a malheureusement été trop souvent le cas chez le PQ.
Me demande bien ce que les partisans d'autres partis peuvent reprocher à tout celà. Ils doivent vraiment mal connaître leur propre parti ou bien ont de bonnes oeillères.
Bambi_Smiley a écrit
Le PQ me déçoit en titi la...
Je vois ça comme si dans notre famille, on peut jaser allègrement de Disney World, mais faut pas parler de quand et comment on va s'y rendre...
Ça fait looser à mon avis car faut se brancher en tant que chef de famille :
1- ou tu en parles et tu y vas,
2- ou t'en parles pas car tu penses que tu peux pas y aller.
Mais tu peux pas dire que ton but ultime est d'aller à Disney, mais défendre aux enfants de parler du comment on va y aller.
Me semble que c'est soit incohérent, soit looser comme comportement.
oui ça fait loser et désespéré!!! elle veut reprendre le pouvoir à n'importe quel prix, pour assouvir son rêve d'être la 1ere femme premier ministre. Donc, elle sait que les québécois ne voteront pas pour ce parti s'ils promettent un référendum..
le monde est écoeuré de ça!!
donc elle tasse ça , s'en sort avec ce vague concept qui ne fait pas trop peur..
Elle a vraiment le PQ à coeur la Paupo
Le PQ me déçoit en titi la...
Je vois ça comme si dans notre famille, on peut jaser allègrement de Disney World, mais faut pas parler de quand et comment on va s'y rendre...
Ça fait looser à mon avis car faut se brancher en tant que chef de famille :
1- ou tu en parles et tu y vas,
2- ou t'en parles pas car tu penses que tu peux pas y aller.
Mais tu peux pas dire que ton but ultime est d'aller à Disney, mais défendre aux enfants de parler du comment on va y aller.
Me semble que c'est soit incohérent, soit looser comme comportement.
oui ça fait loser et désespéré!!! elle veut reprendre le pouvoir à n'importe quel prix, pour assouvir son rêve d'être la 1ere femme premier ministre. Donc, elle sait que les québécois ne voteront pas pour ce parti s'ils promettent un référendum..
le monde est écoeuré de ça!!
donc elle tasse ça , s'en sort avec ce vague concept qui ne fait pas trop peur..
Elle a vraiment le PQ à coeur la Paupo
Jumbo a écrit
Pis elle portera plus à terre.
Tu finis souvent tes messages par MDR. Si M veut dire Marois, que veut dire DR.
TED ben ça veut dire???
Marois la DAme Rétrograde??
Marois la grande DAME et son ROI?? ( vive la république de banane!) tsé son mari qui a vu sa pension montée à environ 80 000$ en quittant son poste et ce, par une décision du conseil des ministres quand PAUPO était ministre... avec évidemment l'argent des contribuables... Bien sûr!!!! Faut pas oublier les primes au rendement données à son mari alors qu'il était déficitaire dans sa gestion de la SGF! et le fait qu'il a été nommé là par le cabinet du PQ et non par le CA de la SGF ,, comme les règles le veulent.. etc etc etc etc etc etc
--Message edité par Ganesha le 2008-03-16 22:30:00--
Pis elle portera plus à terre.
Tu finis souvent tes messages par MDR. Si M veut dire Marois, que veut dire DR.
TED ben ça veut dire???
Marois la DAme Rétrograde??
Marois la grande DAME et son ROI?? ( vive la république de banane!) tsé son mari qui a vu sa pension montée à environ 80 000$ en quittant son poste et ce, par une décision du conseil des ministres quand PAUPO était ministre... avec évidemment l'argent des contribuables... Bien sûr!!!! Faut pas oublier les primes au rendement données à son mari alors qu'il était déficitaire dans sa gestion de la SGF! et le fait qu'il a été nommé là par le cabinet du PQ et non par le CA de la SGF ,, comme les règles le veulent.. etc etc etc etc etc etc
--Message edité par Ganesha le 2008-03-16 22:30:00--