Page 5 sur 6

Publié : lun. sept. 18, 2006 7:51 am
par tuberale
laoghaire_19  a écritJe n'ai pas plus de réponse à savoir pourquoi la jeune fille a été acquittée des chefs d'accusation qui pesaient contre elle.

Ce que je sais c'est qu'on avait affaire à un procès devant Jury.  Suite à l'analyse des cinq éléments essentiels que le Ministère public doit prouver hors de tout doute raisonnable le jury a déclaré la jeune femme non coupable.

Les cinq éléments doivent être pris un à un et c'est comme un escalier, quand tu as délibéré sur le 1er élément et si tu crois que la preuve est hors de tout doute ben tu peux passer aux deuxième élément par contre si au premier élément tu ne crois pas que la preuve est hors de tout doute raisonnable ben tu l'acquitte immédiatement sans passer à l'élément suivant.

Les 5 éléments sont:

1- L'identité de la personne.
2- Le temps et l'endroit
3- Il fallait que le jury soit convaincu que la manoeuvre était dangereuse compte tenu de toute les circonstances.
4- L'écart marqué.  Une personne conduisant prudemment versus l'accusée.  Est-ce qu'une personne conduisant prudemment aurait pu commettre un tel geste?
5- Est-ce que c'est la manoeuvre de la jeune fille qui a causé la mort de John (nom fictif) (fait) et des blessures corporelles à Bryan (toujours nom fictif) (causalité).

Apparamment que le jury a bloqué à un des éléments, je ne crois sincèrement pas que le 1er - 2e et 5e élément aient été un problème, je crois que le jury a du s'arrêter au 3 ou 4e élément qui pouvait porter plus à discussion.

 


le 3ième?....je vois difficilement comment on pourrait juger qu'un virage en U sur une bretelle d,autoroute n,est pas dangeureux..quelles pourraient être les circonstances qui rendrait ça moins dangeureux..?

le 4ième peut-être.......si elle l,a fait doucement, sans traffic, etc.......mais bon quand même tu es sur un autoroute

est-ce que ces 5 critères sont toujours les mêmes où il n'interviennent que pour le cas présent?   --Message edité par tuberale le 2006-09-18 13:56:06--

Publié : lun. sept. 18, 2006 8:04 am
par laoghaire_19
Les critères sont toujours les même mais bien entendu les trois derniers sont toujours reliés à l'infraction.

Moi aussi j'ai de la difficulté à comprendre comment le jury a pu en arriver à un verdict de non culpabilité mais pour le savoir il aurait fallu que je réécoute deux semaines de procès et honnêtement ça ne me tente pas.  

Edit:  J'avais oublié le petit smiley. --Message edité par laoghaire_19 le 2006-09-18 14:10:36--

Publié : lun. sept. 18, 2006 2:17 pm
par tuberale
merci c,est un truc que j'ignorais pour les critères...

Publié : mar. sept. 19, 2006 2:10 am
par tuberale
Chine : le premier greffé du pénis a renoncé à son nouvel organe

Agence France-Presse

PEKIN


Un Chinois, qui fut le premier homme à bénéficier d'une greffe du pénis, a demandé qu'on le lui retire seulement deux semaines après l'opération en raison d'"un grave problème psychologique", a annoncé l'équipe chirurgicale dans une publication médicale spécialisée.

Le patient, dont l'identité n'a pas été divulguée, avait été victime d'un grave accident et s'était fait greffer huit mois plus tard le pénis d'un homme de 22 ans en état de mort cérébrale par des chirurgiens d'un hôpital de Canton (Sud), selon un article de ces derniers publié mardi sur le site internet de la Revue européenne d'urologie.

Le texte de donne pas de précisions sur la date de l'opération.


Seulement deux semaines après, l'homme et son épouse renonçaient à l'organe et demandaient qu'il soit sectionné en dépit des progrès notoires et de l'absence de signes de rejet, selon l'équipe chirurgicale du département d'urologie de l'Hôpital général de Canton de l'armée chinoise.

"Le patient pouvait uriner normalement debout au bout du dixième jour (après l'opération)", indiquent les médecins.

"Au quatorzième jour après l'opération, en raison d'un grave problème psychologique, le pénis transplanté a dû malheureusement être enlevé", ajoutent-ils.



sai/fp/frb/bds



Publié : mar. sept. 19, 2006 4:21 am
par laoghaire_19
tuberale  a écritChine : le premier greffé du pénis a renoncé à son nouvel organe

Agence France-Presse

PEKIN


Un Chinois, qui fut le premier homme à bénéficier d'une greffe du pénis, a demandé qu'on le lui retire seulement deux semaines après l'opération en raison d'"un grave problème psychologique", a annoncé l'équipe chirurgicale dans une publication médicale spécialisée.

Le patient, dont l'identité n'a pas été divulguée, avait été victime d'un grave accident et s'était fait greffer huit mois plus tard le pénis d'un homme de 22 ans en état de mort cérébrale par des chirurgiens d'un hôpital de Canton (Sud), selon un article de ces derniers publié mardi sur le site internet de la Revue européenne d'urologie.

Le texte de donne pas de précisions sur la date de l'opération.


Seulement deux semaines après, l'homme et son épouse renonçaient à l'organe et demandaient qu'il soit sectionné en dépit des progrès notoires et de l'absence de signes de rejet, selon l'équipe chirurgicale du département d'urologie de l'Hôpital général de Canton de l'armée chinoise.

"Le patient pouvait uriner normalement debout au bout du dixième jour (après l'opération)", indiquent les médecins.

"Au quatorzième jour après l'opération, en raison d'un grave problème psychologique, le pénis transplanté a dû malheureusement être enlevé", ajoutent-ils.



sai/fp/frb/bds




J'aurais bien aimé savoir de quel trouble psychologique grave il souffrait pour vouloir se faire enlever le pénis qu'il venait de se faire greffer.  

Publié : mar. sept. 19, 2006 4:41 am
par edna
laoghaire_19  a écrit

J'aurais bien aimé savoir de quel trouble psychologique grave il souffrait pour vouloir se faire enlever le  %      qu'il venait de se faire greffer.  


   Je sais pas pourquoi mais je trouve ça tordant!...tous les scénarios qui se passent dans ma tête, c'est platte pour le couple, mais c'est trop drôle    

Publié : mar. sept. 19, 2006 5:19 am
par laoghaire_19
edna  a écrit

   Je sais pas pourquoi mais je trouve ça tordant!...tous les scénarios qui se passent dans ma tête, c'est platte pour le couple, mais c'est trop drôle    

Tut tut tut.  C'est pas beau rire du malheur des autres.    


Publié : mar. sept. 19, 2006 8:14 am
par tuberale
c'est vrai que de la façon dont ils parlent.....ça prête lieu à bien des interprétations....   --Message edité par tuberale le 2006-09-19 14:15:22--

Publié : ven. sept. 22, 2006 8:27 pm
par tuberale
Le 22 septembre 2006 - 18:37

Etats-Unis: un bébé meurt après être tombé dans un seau contenant le vomi de sa mère

Presse Canadienne

Un bébé de quatre mois est mort dans un refuge pour sans-abris à New York après avoir basculé de son lit et être tombé dans un seau où sa mère avait vomi, a annoncé vendredi la police.

La mère, Savarin DeJesus, âgée de 18 ans, a été inculpée d'homicide par négligence et de mise en danger de la vie d'un enfant. Elle a comparu vendredi devant un juge et risque cinq ans de prison.

Selon les autorités, Savarin DeJesus a passé la soirée du 15 septembre à boire du gin, avant de rentrer peu avant l'aube au refuge de East Harlem, à Manhattan, où elle vivait avec sa petite fille de quatre mois, Niah. Elle a vomi dans un seau contenant un produit nettoyant situé près de son lit, avant de s'évanouir sur le lit, à côté de son bébé.

Quand elle s'est réveillée environ dix heures plus tard, elle a trouvé sa petite fille la tête dans le seau, qui contenait environ 15 centimètres de liquide, selon des documents judiciaires.

La cause du décès est l'asphyxie ou la noyade, selon le bureau du médecin légiste.

Savarin DeJesus "aimait son bébé et ne lui aurait jamais fait de mal", a assuré vendredi son avocat Kenneth Gilbert.

Les services d'aide aux sans-abris de New York ont indiqué qu'ils cherchaient à savoir si le refuge disposait d'un lit pour enfant.


j'pense que j,ai jamais lu quelque chose d'aussi triste que ça

Publié : sam. sept. 23, 2006 2:16 pm
par mirabelle
tuberale  a écritLe 22 septembre 2006 - 18:37

Etats-Unis: un bébé meurt après être tombé dans un seau contenant le vomi de sa mère

Presse Canadienne

Un bébé de quatre mois est mort dans un refuge pour sans-abris à New York après avoir basculé de son lit et être tombé dans un seau où sa mère avait vomi, a annoncé vendredi la police.

La mère, Savarin DeJesus, âgée de 18 ans, a été inculpée d'homicide par négligence et de mise en danger de la vie d'un enfant. Elle a comparu vendredi devant un juge et risque cinq ans de prison.

Selon les autorités, Savarin DeJesus a passé la soirée du 15 septembre à boire du gin, avant de rentrer peu avant l'aube au refuge de East Harlem, à Manhattan, où elle vivait avec sa petite fille de quatre mois, Niah. Elle a vomi dans un seau contenant un produit nettoyant situé près de son lit, avant de s'évanouir sur le lit, à côté de son bébé.

Quand elle s'est réveillée environ dix heures plus tard, elle a trouvé sa petite fille la tête dans le seau, qui contenait environ 15 centimètres de liquide, selon des documents judiciaires.

La cause du décès est l'asphyxie ou la noyade, selon le bureau du médecin légiste.

Savarin DeJesus "aimait son bébé et ne lui aurait jamais fait de mal", a assuré vendredi son avocat Kenneth Gilbert.

Les services d'aide aux sans-abris de New York ont indiqué qu'ils cherchaient à savoir si le refuge disposait d'un lit pour enfant.


j'pense que j,ai jamais lu quelque chose d'aussi triste que ça  


quelle misère humaine    c'est vrai que c'est vraiment triste..

Publié : dim. sept. 24, 2006 3:46 am
par tuberale
Alex Hilton de nouveau dans l'eau chaude


AgenceNews

L'ex-boxeur Alex Hilton fait une fois de plus parler de lui. Ce dernier qui est encore sous le coup d'un jugement en mai dernier a été arrêté ce samedi après-midi à Montréal.

Hilton en serait venu aux coups avec un restaurateur de Verdun, la «Maison du egg roll», situé sur la rue Wellington.

Des menaces et un seul coup de poing aurait été asséné. Hilton avait été condamné a une peine de six mois de prison, pour une altercation avec deux hommes à Longueuil en 2005. Il avait été libéré tout récemment, suite à cette affaire.

Il comparaîtra demain devant le juge, ou des accusations de voies de fait et bris de conditions seront déposés contre lui.

Publié : jeu. oct. 12, 2006 5:26 pm
par Earendil
Commandez de la musique chez McDonald's

Le géant de la malbouffe (fast-food) a peut-être trouvé une idée de génie pour attirer les personnes qui ont une réticence à manger sa nourriture souvent dénigrée par les nutritionnistes. Au-delà du hamburger et de la frite, voici le téléchargement de musique sur demande.



Cette idée est présentement à l'essai dans un restaurant McDonald's de l'Illinois aux États-Unis, dans le centre commercial Woodfield Mall à Schaumberg. Dès leur entrée dans le restaurant, les clients peuvent apercevoir une invitation grâce à quelques écrans plats affichant l'annonce du nouveau service avec des messages texte. Il suffit pour eux d’entrer dans la zone couverte par le service pour pouvoir naviguer et télécharger du contenu musical et des vidéos sur leur téléphone cellulaire ou tout autre appareil portable muni d’une technologie Wi-Fi.

Le service de média numérique nommé « m-Venue » propose du contenu de grandes compagnies telles que Sony BMG et Universal Music Group. Il est impossible de savoir pour le moment combien de chansons et de vidéos ont été téléchargées jusqu’à maintenant, mais McDonald’s affirme avoir vu augmenter de 17 % la vente de nourriture dans ce restaurant depuis la mise en place de son service.


source: le lezard --Message edité par Earendil le 2006-10-12 23:27:36--

Publié : sam. oct. 14, 2006 9:20 pm
par reaper007
Sur la scène politique québécoise...

L'Association des chirurgiens dentistes déplore les propos de Mario Dumont

Canadian Press
Published: Friday, October 13, 2006
MONTREAL (PC) - Les dentistes n'ont apparemment pas apprécié lers propos du chef de l'Action démocratique, Matrio Dumont, qui reprochait hier au ministre des Ressources naturelles, Pierre Corbeil, de mentir comme un arracheur de dents. M. Corbeil est dentiste de profession.

L'Association des chirurgiens dentistes du Québec a même senti le besoin d'émettre un communiqué dans laquelle sa présidente, la docteure Chantal Charest, déplore l'utilisation de cette expression par M. Dumont.

Le docteur Charest estime qu'il s'agit d'une expression dépassée, qui véhicule une image ne correspondant en rien à la réalité québécoise, dénote un manque de rigueur injustifiable et un manque de respect envers toute une profession de la part d'un chef de parti politique.

Elle ajoute qu'au-delà de l'insulte faite aux milliers de dentistes québécois, ces propos mettent en doute la qualité des soins que les dentistes prodiguent et sapent leurs efforts de vaincre les préjugés passéistes et les peurs irraisonnées, pour encourager la population québécoise à préserver leur santé en fréquentant régulièrement les cabinets dentaires.
© La Presse Canadienne 2006

Publié : dim. oct. 15, 2006 11:12 am
par reaper007
Mise à jour: 13/10/2006 10h09

Biographie

La vie intime de Pierre Elliott Trudeau étalée au grand jour

(D'après PC) - Un aspect inédit de la vie intime de Pierre Elliott Trudeau est dévoilé dans une nouvelle biographie de l'ancien premier ministre canadien publiée ce mois-ci.

Le livre, intitulé en français Trudeau Citoyen du monde (tome 1), écrit par John English, un ancien ministre libéral maintenant professeur d'histoire à l'Université de Waterloo, révèle entre autres que Pierre Trudeau est resté puceau jusqu'à l'âge de 27 ans, qu'il était à cette époque sexuellement immature et qu'il était sexuellement frustré.

L'auteur, qui a eu accès à des documents d'archives jamais rendus publics jusqu'à maintenant, comme des notes sur des séances de psychanalyse et des lettres d'amour, explique que celui qui allait avoir la réputation d'un playboy longtemps après était très croyant et voulait préserver sa virginité en vue du mariage.

Le livre indique toutefois que Pierre Elliott Trudeau, avant d'épouser Margaret Sinclair en 1971, a connu plusieurs idylles, a écrit des lettres d'amour passionnées, mais que les femmes avaient tendance à le quitter une fois qu'elles s'étaient frottées à l'intensité de sa personnalité et à son caractère indépendant.

Publié : lun. oct. 16, 2006 4:33 am
par tuberale
Lac-Saint-Charles

Macabre découverte

Le corps d'un homme a été retrouvé dimanche matin par un passant, sur le stationnement d'un commerce désaffecté, aux limites de Saint-Émile et de Lac-Saint-Charles.

Les policiers ont établi un large périmètre sur le boulevard de la Colline, où le corps a été trouvé. Ils enquêtent sur ce qui semble être un meurtre.

L'homme aurait notamment été éventré et eu la gorge tranchée. Son corps, qui gisait nu, est si mutilé qu'il est même impossible d'évaluer son âge.

Il semble que l'homme ne soit pas un résident du secteur. Son corps aurait été déposé là au cours de la nuit.





Publié : sam. oct. 21, 2006 3:47 am
par tuberale
Un ami de Kimveer Gill est accusé de menaces de mort
AgenceNews

Un homme de 25 ans, qui est aussi un ami et ancien camarade de classe de Kimveer Gill, l'auteur de la tuerie au Collège Dawson, est accusé de menace de mort. Rajan Rajiv connaissait Kimveer Gill depuis l'école primaire, a rapporté Radio-Canada vendredi.

Selon la télévision anglaise de Radio-Canada, Rajan Rajiv a souffert de plusieurs graves dépressions et a passé plusieurs séjours dans des hôpitaux psychiatriques. A la suite de ces séjours, il a réclamé au gouvernement d'être dédommagé pour avoir été hospitalisé sans son consentement.
Selon la procureure de la Courronne, Me Geneviève Dagenais, trois jours après le drame de Dawson, le 16 septembre, il a envoyé un courriel à un ami, dans lequel il est écrit que «s'ils ne satisfont pas mes demandes, la même chose qu'à Dawson pourrait arriver. Kimveer Gill est un vrai combattant». L'ami qui a reçu ce courriel a immédiatement alerté les policiers, qui ont arrêté Rajan Rajiv.
Douze photos de Rajan Rajiv avec Kimveer Gill ont été déposées au dossier par la Couronne. L'homme de 25 ans est actuellement détenu à l'Institut Pinel, à Montréal, où il subit un examen psychiatrique. Ce diplômé en commerce de l'Université McGill devra maintenant répondre à des accusations de menace de mort contre la population étudiante. S'il est reconnu coupable, il est passible d'une peine d'emprisonnement maximum de cinq ans.

Rajan Rajiv n'a pas participé à la tuerie du collège Dawson, mais les policiers jugent que ce genre de menaces virtuelles doit être pris au sérieux, afin de prévenir la répétition d'un drame semblable. La police a enquêté sur d'autres sites qui pourraient être susceptibles de contenir des propos haineux ou de l'incitation à la violence et, pour le moment, elle n'a rien trouvé qui pourrait mener à d'autres arrestations.

Publié : dim. oct. 29, 2006 5:37 am
par tuberale
Anne-Marie Péladeau est remise en liberté avec une probation de 18 mois
2006-10-27 16:28:00  

--------------------------------------------------------------------------------

 



MONTREAL (PC) - Anne-Marie Péladeau a obtenu une remise en liberté assortie d'une probation de 18 mois, vendredi.


"Je vous laisse la chance de vous prendre en main", lui a dit le juge Claude Millette de la Cour du Québec avant de lui souhaiter bonne chance.
Le magistrat lui a toutefois interdit de fréquenter les bars et les discothèques au cas ou ceux-ci constitueraient une source d'approvisionnement et de communiquer avec Eric Kennedy, son amoureux avec qui elle se trouvait, le 12 octobre 2005, quand ils ont volé et entravé le travail des policiers qui étaient à leur trousse.

Elle devra également verser 370 $ pour rembourser le commerçant chez qui elle avait dérobé des vêtements d'enfants.

Le juge Millette lui a suggéré d'entreprendre une psychothérapie à long terme pour régler les problèmes qui la rongent et de revenir en cour à la mi-décembre pour faire le point sur cette question.

Il a dit s'attendre à ce qu'elle lui remette une lettre d'un psychologue avec qui elle aura eu deux ou trois séances de thérapie.

"J'en ai eu des psychothérapies. Au niveau thérapeutique, je suis très bien thérapeutisée. J'en ai eu une il n'y a pas longtemps, mais ça ne répondait pas à ce que sur quoi je devais travailler", a-t-elle déclaré.

Elle s'est tout de même engagée à essayer une autre fois.

Anne-Marie Péladeau semblait tout à fait à l'aise pour parler des efforts faits et de ses rechutes quant à sa consommation de drogue.

Au sujet de sa relation amoureuse avec Eric Kennedy, le juge a voulu savoir où elle en était, avant de prononcer la sentence. Celui-ci est présentement hospitalisé à l'hôpital Maisonneuve-Rosemont parce qu'il a consommé de la drogue alors qu'il se trouvait dans une maison de thérapie. Dès qu'il sera sur pied, il reviendra devant le tribunal pour bris de conditions.

"Ce qui va être important ça va être moi et non pas lui", a-t-elle dit au juge.

"C'est une bonne personne même s'il a des antécédents (de consommation). Il chemine de son côté et moi du mien", a-t-elle ajouté.

Le juge lui a ensuite parlé de la lettre dans laquelle son médecin lui parlait de la "médication éprouvante" à laquelle était soumise sa patiente Anne-Marie.

"C'est la réponse au traitement. J'ai eu sept mois d'abstinence et quelques rechutes. Au cours des dix dernières années, sur une période de 12 mois, j'ai eu des périodes d'abstinence de trois mois, de six mois, de neuf mois. En janvier dernier j'ai commencé un traitement qui va se terminer en décembre", a-t-elle relaté.

"Selon mes états d'âme et mes difficultés en cour, il augmente la dose de la médication", a-t-elle ajouté.

Jeudi, la fille de Pierre Péladeau avait reconnu sa culpabilité aux accusations qui s'étaient accumulées contre elle depuis un an: vol, entrave au travail de policiers, possession de matériel volé et, finalement, entrave à la justice.

Elle avait alors demandé au juge Millette de ne pas la retourner en prison, un endroit difficile quand on s'appelle Péladeau et qu'on se bat depuis 25 ans pour se libérer d'une dépendance à la drogue. Elle s'était aussi plainte d'avoir à affronter seule l'importante couverture médiatique et l'emprisonnement, sans le soutien de sa famille.

La plus récente accusation d'Anne-Marie Péladeau remonte à septembre. Elle avait tenté de convaincre une autre toxicomane, traitée comme elle dans un centre de désintoxication, de fournir un échantillon d'urine à sa place dans le but de camoufler sa rechute.

Toutes les autres accusations avaient trait à l'équipée folle survenue le 12 octobre 2005 quand Anne-Marie, âgée alors de 40 ans, et son conjoint Eric Kennedy, 29 ans, avaient été au centre d'une poursuite policière à la suite d'un vol de marchandises dans une épicerie.

Selon le récit de la Couronne, le couple faisait des vols à l'étalage pour se procurer de l'argent et s'acheter de la drogue.

Le 12 octobre 2005, ils ont été coincés. La scène de leur interception par les policiers Fabio-Nicola Cavaliere et Roberto Sforza avait été captée par les caméras de l'hélicoptère de TVA-LCN.

Au départ, on ignorait qu'il s'agissait d'Anne-Marie Péladeau, un membre de la famille propriétaire de Quebecor, de TVA et du réseau d'information continue LCN.

Les images montraient que les policiers avaient procédé aux arrestations de façon particulièrement musclée. Ils ont d'ailleurs été accusés de voies de fait.

Anne-Marie Péladeau était détenue depuis 13 septembre.


Publié : ven. nov. 03, 2006 5:25 am
par tuberale
Un homme arrêté après avoir violé sa fillette en direct sur Internet

Édition du vendredi 03 novembre 2006



Toronto -- Un Ontarien de 34 ans a été arrêté hier et fait maintenant face à 11 chefs d'accusation après qu'un agent d'infiltration l'eut apparemment vu en train d'agresser sexuellement une fillette, en direct sur Internet.

Le quotidien London Free Press affirme que la victime, une enfant d'âge préscolaire, est la fille de l'accusé.

L'agent d'infiltration entretenait une relation avec l'accusé depuis le mois de janvier et avait déjà obtenu de lui des images de pornographie juvénile. Mais l'affaire a pris une tout autre tournure dimanche, quand l'accusé a donné au policier accès à une retransmission vidéo privée.

Le détective Paul Krawczyk, de la police de Toronto, a précisé que la police n'a jamais sollicité le suspect et affirme avoir eu envie de vomir quand il a vu les scènes. Ce serait la première fois que l'escouade torontoise de lutte contre l'exploitation des enfants, qui jouit d'une réputation internationale, appréhende un suspect grâce à une retransmission en direct.

«Ça fait quatre ans que je fais partie de cette équipe et tu finis par penser que tu as tout vu, a expliqué le détective Krawczyk. Mais à ce moment-là, mon coeur battait à toute vitesse, je transpirais et j'avais l'impression que j'allais vomir.»

La police de Toronto a communiqué avec la police provinciale de l'Ontario, qui a refilé l'affaire aux policiers de St. Thomas. Les policiers étaient sur place moins de deux heures plus tard.

«Nous voyons [ce genre] d'images plusieurs fois par jour, a poursuivi le détective Krawczyk. Mais cette fois-ci, d'avoir regardé dans les yeux de cette victime, de comprendre que ça se produisait quelque part en temps réel et que nous avions la chance de la sauver sur-le-champ, c'est [un sentiment] difficile à décrire.»

Le détective Krawczyk se dit convaincu que les policiers seront confrontés à des cas similaires à l'avenir, puisque les pédophiles profitent de la prolifération d'une technologie sophistiquée et simple à utiliser pour communiquer entre eux, s'échanger du matériel et commettre des agressions de plus en plus audacieuses tout en tentant d'échapper à la surveillance des policiers.

Mais il prévient aussi que les policiers étudient constamment les méthodes des pédophiles et que les malfaiteurs seront capturés.

L'individu de St. Thomas fait face à 11 chefs d'accusation de nature sexuelle. Les policiers ont aussi saisi à son domicile deux ordinateurs et une centaine de cédéroms et de disquettes.

Sa victime présumée a été confiée aux soins d'autres membres de sa famille.





Publié : sam. nov. 04, 2006 10:22 pm
par Tibibi
tuberale  a écritUn homme arrêté après avoir violé sa fillette en direct sur Internet

Édition du vendredi 03 novembre 2006



Toronto -- Un Ontarien de 34 ans a été arrêté hier et fait maintenant face à 11 chefs d'accusation après qu'un agent d'infiltration l'eut apparemment vu en train d'agresser sexuellement une fillette, en direct sur Internet.

Le quotidien London Free Press affirme que la victime, une enfant d'âge préscolaire, est la fille de l'accusé.

L'agent d'infiltration entretenait une relation avec l'accusé depuis le mois de janvier et avait déjà obtenu de lui des images de pornographie juvénile. Mais l'affaire a pris une tout autre tournure dimanche, quand l'accusé a donné au policier accès à une retransmission vidéo privée.

Le détective Paul Krawczyk, de la police de Toronto, a précisé que la police n'a jamais sollicité le suspect et affirme avoir eu envie de vomir quand il a vu les scènes. Ce serait la première fois que l'escouade torontoise de lutte contre l'exploitation des enfants, qui jouit d'une réputation internationale, appréhende un suspect grâce à une retransmission en direct.

«Ça fait quatre ans que je fais partie de cette équipe et tu finis par penser que tu as tout vu, a expliqué le détective Krawczyk. Mais à ce moment-là, mon coeur battait à toute vitesse, je transpirais et j'avais l'impression que j'allais vomir.»

La police de Toronto a communiqué avec la police provinciale de l'Ontario, qui a refilé l'affaire aux policiers de St. Thomas. Les policiers étaient sur place moins de deux heures plus tard.

«Nous voyons [ce genre] d'images plusieurs fois par jour, a poursuivi le détective Krawczyk. Mais cette fois-ci, d'avoir regardé dans les yeux de cette victime, de comprendre que ça se produisait quelque part en temps réel et que nous avions la chance de la sauver sur-le-champ, c'est [un sentiment] difficile à décrire.»

Le détective Krawczyk se dit convaincu que les policiers seront confrontés à des cas similaires à l'avenir, puisque les pédophiles profitent de la prolifération d'une technologie sophistiquée et simple à utiliser pour communiquer entre eux, s'échanger du matériel et commettre des agressions de plus en plus audacieuses tout en tentant d'échapper à la surveillance des policiers.

Mais il prévient aussi que les policiers étudient constamment les méthodes des pédophiles et que les malfaiteurs seront capturés.

L'individu de St. Thomas fait face à 11 chefs d'accusation de nature sexuelle. Les policiers ont aussi saisi à son domicile deux ordinateurs et une centaine de cédéroms et de disquettes.

Sa victime présumée a été confiée aux soins d'autres membres de sa famille.




 

En effet, ça donne envie de vomir, des histoires de même.

Publié : jeu. nov. 09, 2006 4:30 am
par tuberale
Le jeudi 09 novembre 2006


Un père de 19 ans accusé de pornographie juvénile

Justine Mercier

Le Droit


Sordide histoire de pornographie alors qu'un père de famille de 19 ans de Gatineau aurait agressé sexuellement son fils de huit mois, en plus de rendre disponibles sur Internet des photographies à caractère pornographique dont quelques-unes, selon nos informations, pourraient provenir de l'agression dont aurait été victime le bambin.

Cette hypothèse est loin d'avoir été écartée par les enquêteurs, mais il faudra attendre quelques jours avant d'en avoir la confirmation, car l'analyse du contenu de l'ordinateur de l'accusé est loin d'être terminée.

Le nombre total de victimes, de même que leur provenance, est toujours inconnu des enquêteurs, qui ont toutefois établi que les victimes sont âgées entre huit mois et douze ans. L'arrestation du jeune homme a été rendue possible grâce au travail de l'escouade des cybercrimes de la Police d'Ottawa, qui se consacre essentiellement à retracer les crimes à caractère sexuel sur Internet.

Le père de famille, qui demeure dans le secteur Aylmer avec la mère de la victime, a été formellement accusé hier, de possession, production et diffusion de pornographie juvénile. Au total, six chefs d'accusations ont été déposés contre le jeune homme, puisqu'il doit aussi répondre à des plaintes d'avoir touché aux parties génitales d'un enfant et d'agression sexuelle sur son propre fils de huit mois.

Le porte-parole de la Police de Gatineau, le lieutenant Jean-Paul Le May, a indiqué que «les agressions ne seraient pas récentes», sans toutefois pouvoir préciser à quel âge exactement le bébé aurait été agressé. Le bambin, qui a été confié à sa mère, ne présenterait cependant aucune blessure physique. Appelés à décrire cette affaire, Jean-Paul Le May et la porte-parole de la Police d'Ottawa, Isabelle Lemieux, ont longuement cherché les mots adéquats, finissant par parler de «crime haineux, grave et dérangeant».

Les policiers de Gatineau avaient d'abord perquisitionné le domicile de l'accusé, le 2 novembre dernier, mais il n'a été arrêté que mardi. Les fichiers qui ont été consultés jusqu'à maintenant permettent aux autorités d'affirmer que l'accusé distribuait à la fois des films et des photographies.

Il est pour l'instant impossible de savoir si des adultes peuvent être aperçus dans les documents saisis. Les enquêteurs ne peuvent pas non plus préciser si l'accusé a produit l'ensemble du matériel qu'il distribuait, ni s'il agissait avec des complices.

Alors que plusieurs croient qu'Internet ne fait qu'accroître le problème de la distribution de matériel pornographique, Jean-Paul Le May a tenu à préciser que dans ce cas-ci, «sans Internet, rien n'aurait été découvert». C'est en cours d'enquête que les policiers ont appris que l'accusé était père d'un bambin. L'agression a été mise au jour par la suite, les autorités ayant voulu s'assurer que l'enfant soit en sécurité.

L'accusé a comparu en début d'après-midi, hier, et il a appris qu'il devrait passer quelques jours de plus en détention, puisque son enquête sur remise en liberté aura lieu vendredi.