LE DOMAINE BLEU

lui il me tombe sur le gros nerf

vivier  a écritlui il me tombe sur le gros nerf

Monsieur se dit plus socialiste que souverainiste. S'il penserait un peu, il s'en rendrait compte que le socialiste est impossible dans une fédération comme le Canada.  

Le socialisme est possible si le gouvernement élu est socialiste, d'où son désir d'aller dans le NPD...

Éolianne  a écritLe socialisme est possible si le gouvernement élu est socialiste, d'où son désir d'aller dans le NPD...

Le fait d'élire un gouvernement socialiste ne suffirait pas Pour avoir un véritable régime socialiste ou social-démocrate, il faut qu'Ottawa possède 100 % des pouvoirs. C'est donc pu aucunes autonomies pour les provinces. Les Québécois n'accepteront jamais, c'est beaucoup trop dangereux pour l'assimilation. Les Albertains non plus, ils ne voudront jamais partager leur richesse. C'est la même chose pour tous les autres gouvernements provinciaux. Personnes ne vont arriver et dire "Tenez Ottawa je vous remets tous mes pouvoirs".

L'ancêtre du NPD est le CCF, j'ai analysé la session passée leur doctrine politique de 1933. Ils avaient bien compris la stratégie. Le CCF devait se faire élire au fédéral, mais également dans tous les gouvernements provinciaux. C'est seulement ainsi qu'ils pourraient débuter la formation d'un régime socialiste ou social-démocrate. Mais encore là, par la trop grande diversité des Canadiens, l'absence de culture et sentiment national, un voisin très capitaliste, et sans parler de la grandeur du pays aussi peu peuplé ne recouvrant que le sud. Selon moi ce serait vouer à l'échec dés le début. Il suffit de lire la doctrine du NPD en 2005 pour voir qu'il y a beaucoup d'utopie

Donc non, je ne crois pas le socialisme possible au Canada. Du moins pas prochainement

Aucun faux pas ne sera toléré. C'est parti.



Duceppe mis dans l'embarras par la présence d'un ex fraudeur dans ses bureaux

Presse Canadienne
La campagne électorale a commencé avec une mini-controverse pour le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe.

Le quotidien "La Presse" a révélé mercredi que Jean-Yves Pantaloni, reconnu coupable de complot et de fraudes contre le gouvernement fédéral en 1998, s'est retrouvé dimanche au comité électoral de M. Duceppe, avenue Papineau à Montréal.

"Il n'est pas dans l'organisation", a insisté le chef bloquiste lors d'un point de presse, mercredi matin.

"Il n'est pas dans le comité électoral. J'ai été surpris de le voir et dès dimanche après-midi, j'ai demandé qu'il ne soit plus présent à aucune des assemblées. Il n'a jamais travaillé pour moi, il ne fait pas parti du comité électoral. Il n'a pas d'affaire là; il n'y sera pas ni de près, ni de loin."

M. Pantaloni a confié à "La Presse" qu'on l'avait sollicité pour qu'il donne son avis "sur la sortie du vote dans une élection en hiver".

Mais qui a invité Jean-Yves Pantaloni à assister à la rencontre de dimanche? "Je ne le sais pas, a d'abord soutenu M. Duceppe. J'enquête sur ça pour voir. Ce n'était pas moi personnellement, c'est une personne qui était présente à ce comité électoral-là qui avait pris sur elle-même de l'inviter. C'est une erreur et dès dimanche, je suis sorti de cette réunion et j'ai dit: 'on prend des mesures, je ne veux pas qu'il soit là'."

En après-midi, le chef du Bloc a précisé qu'"un militant de bonne foi" était responsable de l'invitation malavisée, mais il a refusé de divulguer son identité.

"C'est un militant de la base qui n'est ni un de mes adjoints, ni quelqu'un qui a un poste d'élu au Bloc", a-t-il indiqué.

Les libéraux n'ont pas tardé à s'emparer de l'affaire. Dans des déclarations envoyés aux journalistes, ils ont insinué que l'organisateur en chef du Bloc, le député Michel Gauthier, est celui qui a invité Jean-Yves Pantaloni à la rencontre.

"M. Duceppe doit révéler l'identité de la personne qui a invité M. Pantaloni à cette réunion s'il entend lever tout soupçon qui pourrait peser" sur M. Gauthier, pouvait-on lire dans la charge libérale.

"Michel Gauthier, je pense qu'il ne connaît même pas Pantaloni, donc voyez comme c'est assez loufoque, tout ça", a répliqué Gilles Duceppe.

En 1991, M. Pantaloni, ancien organisateur du Parti conservateur, avait sollicité, en compagnie de l'ex-députée conservatrice Carole Jacques, des sommes de 40 000 $ et 50 000 $ contre promesses de subventions auprès de deux hommes d'affaires de la circonscrïption fédérale de Mercier.

M. Pantaloni, qui travaille aujourd'hui à la ville de Montréal, a écopé une sentence d'emprisonnement de deux ans moins un jour, à purger dans la communauté.

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Dans La Presse aujourd'hui Denis Lessard ajoutait ceci à son article.

"Un des hommes de confiance de M. Duceppe, Pierre-Luc Paquette, fut clairement pris de court par les questions de La Presse. "Jean-Yves Pantaloni, c'est qui ça?" a d'abord lancé M. Paquette, responsable de la publicité du Bloc, une réaction acceuillie avec un éclat de rire par des vétérans péquistes du centre-ville qui tous connaissent bien M, Pantaloni.

Celui-ci a précisé hier qu'il avait collaboré à l'organisation d'André Boisclair dans la course à la direction du PQ. Il était depuis des années un des piliers de l'organisation d'André Boulerice dans Sainte-Marie-Saint-Jacques, et a poursuivi avec son successeur, Martin Lemay, ancien politicien municipal devenu candidat du PQ."

Avec des amis comme ça, pas besoin d'ennemis. Dire que nous sommes à digérer le rapport Gommery.

Et c'est parti pour le trouvage de bébites partout!

J'ai vraiment l'impression que cette campagne en sera une de... salissage!

Éolianne  a écritEt c'est parti pour le trouvage de bébites partout!

J'ai vraiment l'impression que cette campagne en sera une de... salissage!
ouai, je pense la même chose... moi ils peuvent bien raconter et sortir toutes les bibittes du placard... je sais déjà pour qui je voterai

je ne peu pas comprendre comment il y a tant de canadiens qui veulent voter pour cette gagne de pourri

Nous dans St-Laurent, il y a tout un chiard sur la crédibilité du candidat blocquiste....va y avoir une convention....  

Fédérales 2006

Discours de Paul Martin à Laval: de faux partisans pour remplir la salle


Les libéraux sont dans l'embarras après avoir induit en erreur de faux partisans...
L'événement s'est produit mercredi soir à Laval, lors d'une assemblée de Paul Martin.

Le chef libéral présentait ses 75 candidats du Québec. L'ambiance devait donc être enthousiaste et la salle bondée.

Or, parmi les personnes âgées présentes, plusieurs ne semblaient pas particulièrement heureuses de se retrouver là.

Une enquête plus approfondie de notre collègue journaliste Lina Dib nous a permis d'apprendre que plusieurs personnes provenaient de centres d'accueil. Elles avaient été invitées sans savoir qu'il s'agissait d'une assemblée partisane.


En vidéo, écoutez les explications de Lina Dib.


http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 31001.html

lolilou  a écrit
ouai, je pense la même chose... moi ils peuvent bien raconter et sortir toutes les bibittes du placard... je sais déjà pour qui je voterai  

Pour ceux qui sont fiers du Bloc Québécois et veulent les aider en ce début de campagne électorale, je vous encourage à devenir membre du parti. Pour seulement un petit 5$, vous apporter une aide considérable au Bloc !! Ils en ont encore plus de besoin présentement avec la campagne
https://secure.bloc.org/formulaires/sec ... etape1.asp

Un petit 5$ pour aider la cause, ça vaut la peine  

tuberale  a écritNous dans St-Laurent, il y a tout un chiard sur la crédibilité du candidat blocquiste....va y avoir une convention....    

Connais-tu la raison du chiard? Bernard Cleary est autochtone est ce que c'est une raison? J'ai lu que lors des élections précédentes il y avait eu des problèmes a cause d'une entreprise qu'il avait sur une réserve.

D'avoir un député autochtone du Bloc je trouvais que ça donnait de la force au parti.

Enfin, je ne le connaît pas vraiment et c'est ennuyant d'avoir une investiture quand le candidat a été élu.

Boisclair et Duceppe se moquent des différends entre Charest et Martin
2005-12-01 20:17:00  

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MONTREAL (PC) - Le chef du Parti québécois, André Boisclair, a uni jeudi sa voix à celle de son homologue du Bloc québécois, Gilles Duceppe, pour répliquer au chef libéral, Paul Martin, qui accuse les souverainistes d'avoir conclu un "pacte" en vue d'un référendum.


Respirant la confiance, les deux leaders n'ont pas hésité à mettre en relief les divisions qui existent au sein des troupes fédéralistes.
"Quel message envoyons-nous par cette présence côte à côte?", a lancé M. Boisclair dans une allocution sentie devant quelque 200 militants réunis à l'occasion d'un cocktail de financement dans les locaux de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal.

"Un message simple: nous avons chez nous un projet, nous sommes capables de parler d'une même voix, a poursuivi le chef péquiste. Et je peux-tu vous dire une chose: c'est que ça tranche quelque peu avec nos adversaires. J'étais à Québec cette semaine, j'ai entendu (le premier ministre du Québec, Jean) Charest nous dire: 'moi, la campagne fédérale, je ne me mêle pas de ça'. Qu'est-ce qu'il est en train de nous dire? Il est en train de nous dire que les fédéralistes n'ont pas de projet commun, qu'ils ne savent pas où ils s'en vont."

Puis, André Boisclair s'est fait carrément cinglant en se moquant des relations tendues entre Québec et Ottawa. "Jean Charest n'a, d'aucune façon, intérêt à se faire voir avec Paul Martin, Paul Martin qui est découvert avec le scandale des commandites et la Commission Gomery. Puis pensez-vous que Paul Martin a le goût d'avoir Jean Charest dans ses pattes, lui qui est à 14 pour cent de satisfaction dans les sondages (28 pour cent en réalité)? C'est ça la réalité, c'est pour ça qu'ils ne sont pas capables de se parler."

Mercredi, lors d'un rassemblement à Laval, le chef libéral fédéral a soutenu que MM. Duceppe et Boisclair avaient conclu un "pacte" et que le scrutin fédéral du 23 janvier serait "la première étape menant à un autre référendum".

Gilles Duceppe, dont le parti trône au premier rang dans les sondages, s'est dit "fier" de l'"unité" qui existe actuellement chez les souverainistes.

"C'est loin d'être le cas chez les fédéralistes", a-t-il noté, en relevant que l'ex-premier ministre libéral Jean Chrétien et son ancien chef de cabinet, Jean Pelletier, poursuivaient en cour le juge John Gomery, nommé par M. Martin.

"Alors je comprends un peu que Paul Martin semble jaloux, inquiet de ce 'pacte', dit-il, entre André Boisclair et moi-même, entre le Bloc et le PQ. Il a fait une très grande découverte: le Bloc et le PQ mènent le même combat!"

André Boisclair ne s'est donc pas gêné pour faire la promesse suivante aux candidats bloquistes: "nous sommes à votre service".

Boisclair doit trop les faire ch*** avec son petit sourire baveux quand il a dit cela    

Je crois que Landry était une des personnes les plus compétentes pour bien préparer l'indépendance. Mais c'est clair qu'un duo Duceppe-Boisclair ça frappe plus fort qu'un duo Duceppe-Landry. --Message edité par Raven le 2005-12-01 23:18:03--

Raven  a écritBoisclair doit trop les faire ch*** avec son petit sourire baveux quand il a dit cela    

Je crois que Landry était une des personnes les plus compétentes pour bien préparer l'indépendance. Mais c'est clair qu'un duo Duceppe-Boisclair ça frappe plus fort qu'un duo Duceppe-Landry.  
Disons qu'ils ont la même force dans les allocutions ces deux là... Ils savent parler des vrais affaires  

Le Bloc québécois dévoile un slogan moins percutant que celui de 2004


Presse Canadienne


Il faut dire que le slogan du Bloc québécois en 2004, "Un parti propre au Québec", était difficile à battre.

Toujours est-il que celui de la présente campagne, dévoilé jeudi, risque de faire moins de vagues.

"Heureusement, ici, c'est le Bloc" est donc le slogan du parti souverainiste fédéral en vue du scrutin du 23 janvier.

"Je dis toujours à mes députés, quand ils reviennent d'une période estivale ou d'une semaine de relâche: 'donnez-moi donc une phrase que les gens vous disent'. Et ce qu'on a entendu, c'est 'une chance qu'on vous a'", a expliqué le chef du Bloc, Gilles Duceppe, lors d'une conférence de presse aux quartiers généraux électoraux du parti, dans le nord de Montréal.

"Ca représente bien cette étape-ci, ça représente bien là où on en est, a-t-il ajouté. Je pense que c'est un excellent slogan."

Campagne hivernale oblige, les affiches sur lesquelles se retrouve la nouvelle formule fétiche du Bloc présentent des paysages enneigés.

Une version dépeint Montréal derrière un fleuve Saint-Laurent gelé, une autre les toits de Québec, tandis que la dernière met en vedette un pittoresque village de la région de Bellechasse, Saint-Malachie. La photo de M. Duceppe, vêtu d'un manteau et d'un foulard bleu, est superposée.

Les experts publicitaires avaient encensé le slogan de 2004, qui conjuguait un message positif à l'égard du Bloc, tout en laissant entendre que le Parti libéral était entaché par le scandale des commandites.

Le Bloc ayant mis la barre haute en 2004, les réactions sont un peu moins enthousiastes cette fois-ci.

"C'est sûr que c'est un peu long", a commenté le consultant en communications Yves Dupré, en entrevue téléphonique à La Presse Canadienne. "On approche de la longueur maximale d'un slogan."

"Mais la force de cette phrase-là, c'est qu'elle trotte pour vrai dans la tête des gens au Québec", a ajouté M. Dupré, qui a travaillé à la campagne publicitaire du Bloc en 1993.

"Un bon slogan doit évoquer quelque chose de positif chez ceux à qui il s'adresse, et c'est ce que ça fait. C'est même valorisant pour ceux qui appuient le Bloc."

Selon Yves Dupré, le nouveau slogan sied bien à l'avance importante dont jouit le Bloc dans les intentions de vote. "Il dit: 'vous avez raison de vouloir voter pour nous'", estime-t-il.

Le parti a refusé, jeudi, de divulguer le nom des agences de communication qui ont conçu le concept publicitaire pour la présente campagne, pas plus que le budget qui y sera consacré.

Outre les affiches, les publicités à la radio et dans les journaux, le Bloc s'est lancé à fond dans le cyberespace. Gilles Duceppe compte en effet rédiger un blogue sur le site Web du parti, une première dans l'histoire du parti.

"Il m'est immédiatement apparu essentiel de faire usage de ce nouveau medium de communication afin de me rapprocher davantage de vous toutes et tous", a écrit le chef dans son premier message.

En soirée, M. Duceppe doit participer à un cocktail de financement en compagnie du chef du Parti québécois, André Boisclair, à Montréal.

Il participera ensuite à l'enregistrement de l'émission "Tout le monde en parle", qui sera diffusée dimanche sur les ondes de la télévision de Radio-Canada

L'adresse du blogue
http://www.blocquebecois.org/fr_jeunesse/blogue.asp --Message edité par Raven le 2005-12-02 12:30:33--

a ne pas confondre avec www.blocquebecois.com que le pareti marijuana du canada utilise

une autre personne dans un  autre article du dome a meme dit que ca menait des fois au site du parti quebecois de l'ontario

finalement le site du bloc québécois de l'ontario c'est blocquebecois.ca

Le dimanche 04 décembre 2005


Le vote des snowbirds pourrait être déterminant

Jean-Paul Charbonneau

La Presse


Tout Canadien dont la résidence permanente est au pays, peu importe l'endroit dans le monde où il se trouve, peut voter aux élections du 23 janvier. Mais il faut agir rapidement afin de recevoir à temps son bulletin par la poste.

La participation des retraités migrateurs, communément appelés snowbirds, est particulièrement importante au Québec. En juin 2004, plusieurs circonscrïptions s'étaient décidées par des majorités de 1000 voix.

Jusqu'à tout récemment, la grande majorité des Québécois qui voulaient passer l'hiver au chaud s'exilaient en Floride. Mais au fil des ans, plusieurs ont changé de cap pour aller en Arizona, au Texas et même au Mexique.

Selon des données provenant de la Floride, pas moins de 400 000 Canadiens séjournent quelque temps dans cet État durant l'hiver. La majorité proviennent du Québec.

Cette année, les migrateurs tardent à partir. Claire Roy, du Club automobile du Québec (CAA), signale que les départs du Québec pour le sud américain ont été moins nombreux que par les années passées en octobre et en novembre. " C'est à cause des ouragans ", croit-elle. Mme Roy pense cependant que la situation va revenir à la normale en décembre et en janvier.

Ceux qui sont sur le point de partir et qui tiennent à voter peuvent se procurer un formulaire d'inscrïption préparé par Élections Canada de deux façons: en composant sans frais le 1-800-463-6868 ou en allant sur le site Web: www.election.ca, qui explique tout ce qu'il faut savoir pour voter à distance. On peut même obtenir le formulaire en format PDF.

Pour ceux qui sont intéressés à retarder leur départ afin d'aller voter, signalons que le vote par anticipation aura lieu du 13 au 16 janvier.

De son côté, l'Association canadienne des snowbirds indique que la majorité de ses 80 000 membres ont quitté le pays bien avant que le gouvernement ne tombe.

Il est donc suggéré à leurs amis demeurés au pays de leur donner les instructions nécessaires pour qu'ils obtiennent rapidement un formulaire d'inscrïption. Le document doit être retourné à Élections Canada à Ottawa avant le mardi qui précède le scrutin (17 janvier). Les vacanciers qui sont encore au pays peuvent se procurer le formulaire au bureau du directeur du scrutin de n'importe quelle circonscrïption et le remettre sur place une fois rempli.

Ceux qui partent ou qui sont déjà rendus à destination doivent agir rapidement s'ils veulent recevoir la trousse de vote par bulletin spécial. Le bulletin rempli doit parvenir à Élections Canada avant 18 h, heure d'Ottawa, le jour des élections. Selon la loi électorale, les bulletins reçus en retard ne seront pas comptabilisés.

Tout sera mis en oeuvre pour informer les Canadiens qui ont quitté le pays avant le déclenchement des élections. Des ententes ont été conclues avec une vingtaine de stations radiophoniques des États-Unis pour diffuser des messages à l'intention des Canadiens.

À plusieurs endroits, les vacanciers peuvent se procurer les principaux journaux canadiens. De plus en plus de centres de villégiature captent également la télévision canadienne.

" Il ne faut pas compter sur les médias américains pour en apprendre sur les élections. Ils vont en parler seulement après ", a dit une porte-parole de l'Association canadienne des snowbirds.

Les dernières élections fédérales en hiver ont eu lieu le 18 février 1980, et le bureau d'Élections Canada ne possède pas de statistiques sur le nombre de personnes en vacances à l'étranger qui avaient exercé leur droit de vote par la poste.