tuberale a écrit
est-ce une devinette ????? .....faut-il avancer des noms...??? .....c,est qui.?????
lol
C'est fou ce que ça me fait moi la chaleur du soleil!!!
qui sera le prochain chef du PQ, 1er tours
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EveLaVraie
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EveLaVraie a écritMoi j'ai voté pour Gilles Duceppe mais j'ai voté pour l'homme!
J'aime l'homme mais moi....celui que j'aimerais voir à la direction de partie québecois ne lui ressemble pas.
De plus, il fait très bien sa job ou il est.
Celui que je verrais est plutot un homme comme André Boisclair......plus jeune....énergique....rassembleur.
PAs que M. Duceppe n'est pas ces qualités...mais il est dans un pic de sa carrière et il me semble, qu'il devrait garder son énergie pour finir sa carrière en toute dignité.
Moi j'ai envie de voir....une énergie nouvelle....quelqu'un qu'on a pas trop vu ni entendu.......comme un nouveau voisin célibataire qu'on trouve très interesssant et qui, plus on le connait l'est encore plus! Mais ça.....c'est mes envies
Je partage ton point de vue.
Le PQ se doit de se donner un nouveau souffle, et ce n'est pas avec un Dinosaure comme Pauline Marois que ca va arriver Ni avec Gilles Duceppe...
Il est temps pour un PQ: Nouvelle génération
J'aime l'homme mais moi....celui que j'aimerais voir à la direction de partie québecois ne lui ressemble pas.
De plus, il fait très bien sa job ou il est.
Celui que je verrais est plutot un homme comme André Boisclair......plus jeune....énergique....rassembleur.
PAs que M. Duceppe n'est pas ces qualités...mais il est dans un pic de sa carrière et il me semble, qu'il devrait garder son énergie pour finir sa carrière en toute dignité.
Moi j'ai envie de voir....une énergie nouvelle....quelqu'un qu'on a pas trop vu ni entendu.......comme un nouveau voisin célibataire qu'on trouve très interesssant et qui, plus on le connait l'est encore plus! Mais ça.....c'est mes envies
Je partage ton point de vue.
Le PQ se doit de se donner un nouveau souffle, et ce n'est pas avec un Dinosaure comme Pauline Marois que ca va arriver Ni avec Gilles Duceppe...
Il est temps pour un PQ: Nouvelle génération
C'est bobépine ou bépine SVP
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Scoubidoux
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- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Gentil a écritAu dernière nouvelle ( Le Soleil ) Bernard Landry pourrait se présenter à sa propre succession si jamais Gilles Duceppe ne se présente pas.....il ne voudrait pas voir Pauline Marois l'emporter...
Hé ben !
c'est pas sérieux
imagine si landry reviendrai, on dirait encore plus Landry le colérique,
Hé ben !
c'est pas sérieux
imagine si landry reviendrai, on dirait encore plus Landry le colérique,
Direction du Parti québécois
La course s'organise
Denis Lessard et Tommy Chouinard
La Presse
Québec
André Boisclair n'est pas intéressé par la direction du Bloc québécois dans l'éventualité d'un départ de Gilles Duceppe pour Québec. Ce qui le mobilise actuellement, c'est l'idée de sauter dans la course à la succession de Bernard Landry et il multiplie les coups de fil pour évaluer ses appuis.
Informations complémentaires
> Dossier: la démission de Bernard Landry
«Ma réflexion se fait dans le cadre du leadership du Parti québécois, le Bloc québécois ne fait pas partie de ma réflexion», a affirmé hier à La Presse l'ancien ministre de l'Environnement, joint sur la route de Boston où il doit aujourd'hui obtenir son diplôme de la Kennedy School of Government, affiliée à Harvard.
Annoncée hier, la décision-surprise de François Legault de renoncer à la course à la succession de Bernard Landry, pour des raisons familiales (voir page A3), a suscité un subit réalignement des forces en présence et accru l'assurance de quelques députés.
«Nous ne sommes pas prêts, comme famille, à faire les sacrifices qu'exigerait le poste de chef du Parti québécois», a dit en conférence de presse M. Legault qui avait passé la journée de mardi à s'expliquer à ses supporteurs.
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Deux autres députés réfléchissent
Coup sur coup, Richard Legendre, député de Blainville et ancien joueur professionnel de tennis, et Jean-Pierre Charbonneau, le vétéran qui fut pendant six ans président de l'Assemblée nationale, ont soutenu «être en réflexion» et évaluer leurs chances d'entrer en piste pour succéder à Bernard Landry.
«Cela va être à mon tour de me donner une petite période de réflexion», a dit M. Legendre, jusqu'ici lieutenant de M. Legault parmi les députés péquistes. L'homme de 52 ans a été directeur de Tennis Canada à Montréal pendant 13 ans. Sous Bernard Landry, il a été ministre délégué au Tourisme et au Sport.
Jean-Pierre Charbonneau indiquait aussi être en réflexion. «Des gens m'ont dit que je devrais y penser. J'ai dérangé beaucoup de monde, je ne suis pas naïf. Mais en même temps, les gens reconnaissent que personne d'autre ne défend l'idée d'un changement qui émerge de la population et de la nécessité de créer une large coalition pour gagner le référendum.» Il brûle d'en découdre avec l'aile radicale du PQ. Il serait intéressant aussi que des ténors du camp plus «orthodoxe» du PQ testent leurs appuis dans le PQ en se lançant en piste.
Après le retrait de François Legault de la liste des candidats, Pauline Marois a souligné qu'elle trouvait «dommage» cette décision, qu'elle aurait souhaité le plus possible de candidats. «Dans ma vie, je n'ai jamais choisi la facilité», a-t-elle souligné.
La veille, M. Legault avait fait part de sa décision à ses principaux lieutenants. Très surpris, plusieurs, dont François Rebello et Sylvain Gendron, lui ont signifié leur dépit. «Il y a une déception c'est clair, cela fait deux ans que plusieurs d'entre nous travaillent comme des fous. Mais c'est difficile de mettre en cause la noblesse de son sentiment familial», a dit M. Gendron.
M. Gendron, l'un des principaux organisateurs de François Legault, a eu un coup de fil d'André Boisclair tout de suite après l'annonce du désistement du député de Rousseau.
«Son monde est sur le téléphone. Il regarde ce qui se passe, il est intéressé. André teste ses affaires, mais l'option d'Ottawa (au Bloc) est écartée», retient M. Gendron de ce coup de fil. Le Devoir, hier, affirmait que des sympathisants péquistes tentaient de convaincre André Boisclair de faire le saut sur la scène fédérale, afin de combler le siège qui serait rendu disponible par un départ de M. Duceppe pour Québec.
M. Boisclair devait aller travailler à compter de l'automne pour la firme de consultants Mckenzie à Toronto. L'annonce-surprise de M. Landry a bouleversé ses plans. Mais il ne se donne pas d'échéancier pour annoncer sa décision. Son ancienne chef de cabinet, Marie-Joanne Nadeau, soulignait hier «que M. Boisclair recevait beaucoup d'appels». Selon un député péquiste de Montréal, plusieurs élus ont passé un coup de fil hier à l'ancien député de Gouin pour l'inciter à se lancer dans la course.
Plan B des pro-Legault
Déboussolés par la décision de leur champion, des supporteurs de François Legault envisagent déjà un plan B, celui d'appuyer la candidature de Richard Legendre, le principal lieutenant de la campagne avortée de M. Legault.
Le député de Blainville a reconnu hier être «en réflexion». Or, plusieurs membres du clan Legault s'activent déjà en coulisses pour mettre au service de Richard Legendre la machine électorale qui était toute prête pour son collègue.
En apprenant la décision de François Legault, plusieurs de ses partisans ont «spontanément» souhaité que Richard Legendre, lui-même un lieutenant du député de Rousseau, présente sa candidature, a-t-on confié à La Presse.
«Le nom de Richard sort à plusieurs occasions. C'est le plan B de plusieurs», a confirmé Martin Koskinen, conseiller politique de François Legault. Pour Sylvain Gendron, «on teste le nom de Richard, mais il n'y a pas de transfert, et on ne sait pas s'il y en aura. On tenait tellement pour acquis que M. Legault était candidat qu'on ne se demandait pas quel serait le second choix».
Au moment même où Gilles Duceppe réfléchit à l'idée de se lancer ou non dans la course, des membres du cabinet de plusieurs députés du Bloc québécois se sont montrés intéressés à appuyer la candidature de Richard Legendre.
Conseiller politique du député de Blainville, Paulo Gervais, a confirmé que «des gens commencent à approcher M. Legendre».
Au cours des prochains jours, l'entourage de Richard Legendre entend mesurer les appuis du député, qui a été élu pour la première fois en 2001. «On va se concentrer là-dessus maintenant», a dit M. Gervais. Selon lui, «c'est clair que l'organisation Legault, naturellement, pourrait être portée à appuyer Richard Legendre».
François Rebello, un des partisans les plus influents de François Legault, considère que «Richard Legendre serait une candidature intéressante». Le nouveau vice-président politique du PQ considère toutefois que la poussière doit retomber avant que le «réseau» de François Legault se tourne vers une autre candidature.
La course s'organise
Denis Lessard et Tommy Chouinard
La Presse
Québec
André Boisclair n'est pas intéressé par la direction du Bloc québécois dans l'éventualité d'un départ de Gilles Duceppe pour Québec. Ce qui le mobilise actuellement, c'est l'idée de sauter dans la course à la succession de Bernard Landry et il multiplie les coups de fil pour évaluer ses appuis.
Informations complémentaires
> Dossier: la démission de Bernard Landry
«Ma réflexion se fait dans le cadre du leadership du Parti québécois, le Bloc québécois ne fait pas partie de ma réflexion», a affirmé hier à La Presse l'ancien ministre de l'Environnement, joint sur la route de Boston où il doit aujourd'hui obtenir son diplôme de la Kennedy School of Government, affiliée à Harvard.
Annoncée hier, la décision-surprise de François Legault de renoncer à la course à la succession de Bernard Landry, pour des raisons familiales (voir page A3), a suscité un subit réalignement des forces en présence et accru l'assurance de quelques députés.
«Nous ne sommes pas prêts, comme famille, à faire les sacrifices qu'exigerait le poste de chef du Parti québécois», a dit en conférence de presse M. Legault qui avait passé la journée de mardi à s'expliquer à ses supporteurs.
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Deux autres députés réfléchissent
Coup sur coup, Richard Legendre, député de Blainville et ancien joueur professionnel de tennis, et Jean-Pierre Charbonneau, le vétéran qui fut pendant six ans président de l'Assemblée nationale, ont soutenu «être en réflexion» et évaluer leurs chances d'entrer en piste pour succéder à Bernard Landry.
«Cela va être à mon tour de me donner une petite période de réflexion», a dit M. Legendre, jusqu'ici lieutenant de M. Legault parmi les députés péquistes. L'homme de 52 ans a été directeur de Tennis Canada à Montréal pendant 13 ans. Sous Bernard Landry, il a été ministre délégué au Tourisme et au Sport.
Jean-Pierre Charbonneau indiquait aussi être en réflexion. «Des gens m'ont dit que je devrais y penser. J'ai dérangé beaucoup de monde, je ne suis pas naïf. Mais en même temps, les gens reconnaissent que personne d'autre ne défend l'idée d'un changement qui émerge de la population et de la nécessité de créer une large coalition pour gagner le référendum.» Il brûle d'en découdre avec l'aile radicale du PQ. Il serait intéressant aussi que des ténors du camp plus «orthodoxe» du PQ testent leurs appuis dans le PQ en se lançant en piste.
Après le retrait de François Legault de la liste des candidats, Pauline Marois a souligné qu'elle trouvait «dommage» cette décision, qu'elle aurait souhaité le plus possible de candidats. «Dans ma vie, je n'ai jamais choisi la facilité», a-t-elle souligné.
La veille, M. Legault avait fait part de sa décision à ses principaux lieutenants. Très surpris, plusieurs, dont François Rebello et Sylvain Gendron, lui ont signifié leur dépit. «Il y a une déception c'est clair, cela fait deux ans que plusieurs d'entre nous travaillent comme des fous. Mais c'est difficile de mettre en cause la noblesse de son sentiment familial», a dit M. Gendron.
M. Gendron, l'un des principaux organisateurs de François Legault, a eu un coup de fil d'André Boisclair tout de suite après l'annonce du désistement du député de Rousseau.
«Son monde est sur le téléphone. Il regarde ce qui se passe, il est intéressé. André teste ses affaires, mais l'option d'Ottawa (au Bloc) est écartée», retient M. Gendron de ce coup de fil. Le Devoir, hier, affirmait que des sympathisants péquistes tentaient de convaincre André Boisclair de faire le saut sur la scène fédérale, afin de combler le siège qui serait rendu disponible par un départ de M. Duceppe pour Québec.
M. Boisclair devait aller travailler à compter de l'automne pour la firme de consultants Mckenzie à Toronto. L'annonce-surprise de M. Landry a bouleversé ses plans. Mais il ne se donne pas d'échéancier pour annoncer sa décision. Son ancienne chef de cabinet, Marie-Joanne Nadeau, soulignait hier «que M. Boisclair recevait beaucoup d'appels». Selon un député péquiste de Montréal, plusieurs élus ont passé un coup de fil hier à l'ancien député de Gouin pour l'inciter à se lancer dans la course.
Plan B des pro-Legault
Déboussolés par la décision de leur champion, des supporteurs de François Legault envisagent déjà un plan B, celui d'appuyer la candidature de Richard Legendre, le principal lieutenant de la campagne avortée de M. Legault.
Le député de Blainville a reconnu hier être «en réflexion». Or, plusieurs membres du clan Legault s'activent déjà en coulisses pour mettre au service de Richard Legendre la machine électorale qui était toute prête pour son collègue.
En apprenant la décision de François Legault, plusieurs de ses partisans ont «spontanément» souhaité que Richard Legendre, lui-même un lieutenant du député de Rousseau, présente sa candidature, a-t-on confié à La Presse.
«Le nom de Richard sort à plusieurs occasions. C'est le plan B de plusieurs», a confirmé Martin Koskinen, conseiller politique de François Legault. Pour Sylvain Gendron, «on teste le nom de Richard, mais il n'y a pas de transfert, et on ne sait pas s'il y en aura. On tenait tellement pour acquis que M. Legault était candidat qu'on ne se demandait pas quel serait le second choix».
Au moment même où Gilles Duceppe réfléchit à l'idée de se lancer ou non dans la course, des membres du cabinet de plusieurs députés du Bloc québécois se sont montrés intéressés à appuyer la candidature de Richard Legendre.
Conseiller politique du député de Blainville, Paulo Gervais, a confirmé que «des gens commencent à approcher M. Legendre».
Au cours des prochains jours, l'entourage de Richard Legendre entend mesurer les appuis du député, qui a été élu pour la première fois en 2001. «On va se concentrer là-dessus maintenant», a dit M. Gervais. Selon lui, «c'est clair que l'organisation Legault, naturellement, pourrait être portée à appuyer Richard Legendre».
François Rebello, un des partisans les plus influents de François Legault, considère que «Richard Legendre serait une candidature intéressante». Le nouveau vice-président politique du PQ considère toutefois que la poussière doit retomber avant que le «réseau» de François Legault se tourne vers une autre candidature.
SUCCESSION DE BERNARD LANDRY
Des péquistes veulent que Duceppe reste à Ottawa
Nathaëlle Morissette
La Presse
Ottawa
L'éventuelle candidature du chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, à la succession de Bernard Landry est loin de faire l'unanimité dans les rangs péquistes, plusieurs militants préférant qu'il reste bien en selle à Ottawa.
L'arrivée de M. Duceppe à Québec - que certains considèrent déjà comme un sauveur - est vue d'un très mauvais oeil par des membres du Parti québécois qui n'ont pas l'intention de l'accueillir à bras ouverts car ils craignent que les deux partis souverainistes soient affaiblis d'un seul coup, a appris La Presse.
En réflexion depuis l'annonce inattendue du départ de Bernard Landry samedi, le chef du Bloc semble être le candidat le plus populaire pour prendre les rênes du PQ. Pourtant, une source péquiste affirme qu'il devra jauger ses appuis avant de faire le saut puisque la course s'annonce difficile.
«Il ne ratisse pas assez d'appuis parmi les militants et les organisateurs, explique-t-on. Les gens ne veulent pas qu'il y ait deux courses à la direction et que deux schismes soient créés dans le mouvement souverainiste. Il y a une crise politique à Ottawa et nous avons besoin d'un leader fort et stable.»
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Des militants s'interrogent également sur les capacités de M. Duceppe à diriger les troupes péquistes et à éventuellement assumer le rôle de premier ministre. À la tête d'un parti d'opposition à Ottawa, le chef du Bloc québécois a peu de responsabilités de gestion, déclare une autre source. «Il est à sa place à Ottawa et il y fait du bon travail.»
Depuis 48 heures, les commentaires fusent sur les forums de discussion concernant le bien-fondé de la possible venue de Gilles Duceppe à Québec.
François Legault s'abstient
Le chef du Bloc n'est vraisemblablement pas au bout de ses peines puisque l'annonce hier de François Legault de s'abstenir, alors qu'il était l'un des candidats pressentis à la succession de Bernard Landry, risque de modifier la donne.
M. Legault a d'ailleurs fait part de ses intentions à Gilles Duceppe au cours d'une conversation mardi soir, la veille de l'annonce officielle. Le chef du Bloc assure toutefois que cette volte-face est un élément parmi tant d'autres à considérer mais qu'il n'accélérera pas son processus de réflexion. «Il n'y a rien qui va me forcer, a déclaré M. Duceppe à l'issue de la réunion de son caucus, hier. La décision que je vais prendre ne sera (prise) ni par dépit ni par résignation.»
Plusieurs députés bloquistes estiment pour leur part que l'abstention de François Legault risque d'alimenter la réflexion de leur chef. «Le fait qu'il (M. Legault) ne se présente pas change l'échiquier politique de façon très majeure», mentionne Richard Marceau, député de Charlesbourg. «Il me semble que les candidats qui viennent ou qui ne viennent pas, ça ajoute à la réflexion», poursuit Michel Gauthier, député de Jonquière.
Consultations
Afin d'éclairer sa lanterne sur cette importante décision, M. Duceppe a consulté trois anciens premiers ministres du Québec: Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry.
Il a également profité de la réunion hebdomadaire du caucus de son parti pour connaître le son de cloche des députés, même si plusieurs lui ont fait savoir dès lundi leur souhait de le voir rester à Ottawa.
En plus des députés, les militants bloquistes veulent également participer au processus de réflexion de leur chef. Depuis le début de la semaine, M. Duceppe reçoit des lettres et des courriels de plusieurs d'entre eux. Plusieurs anciens présidents du forum jeunesse du Bloc québécois ont également l'intention de faire parvenir une missive à M. Duceppe pour le dissuader d'aller à Québec.
Concernant la rumeur voulant que l'ancien ministre André Boisclair prenne la tête du Bloc s'il décide de s'envoler pour Québec, le chef du Bloc a refusé de s'avancer. «Vous demanderez ça à M. Boisclair. C'est quelqu'un de très bien. Lui aussi doit s'interroger sur le rôle qu'il doit jouer à l'avenir.»
Interrogé sur cette possible candidature, M. Gauthier s'est fait discret mais a tout de même vanté les mérites de l'ancien ministre. «On ne le connaît pas sur la scène fédérale, mais M. Boisclair est certainement une personne d'expérience, de qualité et puis, si c'était le cas, il ferait certainement une bonne campagne au leadership.»
Pour sa part, le député de Richelieu, Louis Plamondon, balaie d'un revers de la main la possibilité de voir André Boisclair venir s'installer à Ottawa. «C'est complètement farfelu, a-t-il laissé tomber. Ça m'apparaît très, très hypothétique.»
Des péquistes veulent que Duceppe reste à Ottawa
Nathaëlle Morissette
La Presse
Ottawa
L'éventuelle candidature du chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, à la succession de Bernard Landry est loin de faire l'unanimité dans les rangs péquistes, plusieurs militants préférant qu'il reste bien en selle à Ottawa.
L'arrivée de M. Duceppe à Québec - que certains considèrent déjà comme un sauveur - est vue d'un très mauvais oeil par des membres du Parti québécois qui n'ont pas l'intention de l'accueillir à bras ouverts car ils craignent que les deux partis souverainistes soient affaiblis d'un seul coup, a appris La Presse.
En réflexion depuis l'annonce inattendue du départ de Bernard Landry samedi, le chef du Bloc semble être le candidat le plus populaire pour prendre les rênes du PQ. Pourtant, une source péquiste affirme qu'il devra jauger ses appuis avant de faire le saut puisque la course s'annonce difficile.
«Il ne ratisse pas assez d'appuis parmi les militants et les organisateurs, explique-t-on. Les gens ne veulent pas qu'il y ait deux courses à la direction et que deux schismes soient créés dans le mouvement souverainiste. Il y a une crise politique à Ottawa et nous avons besoin d'un leader fort et stable.»
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Des militants s'interrogent également sur les capacités de M. Duceppe à diriger les troupes péquistes et à éventuellement assumer le rôle de premier ministre. À la tête d'un parti d'opposition à Ottawa, le chef du Bloc québécois a peu de responsabilités de gestion, déclare une autre source. «Il est à sa place à Ottawa et il y fait du bon travail.»
Depuis 48 heures, les commentaires fusent sur les forums de discussion concernant le bien-fondé de la possible venue de Gilles Duceppe à Québec.
François Legault s'abstient
Le chef du Bloc n'est vraisemblablement pas au bout de ses peines puisque l'annonce hier de François Legault de s'abstenir, alors qu'il était l'un des candidats pressentis à la succession de Bernard Landry, risque de modifier la donne.
M. Legault a d'ailleurs fait part de ses intentions à Gilles Duceppe au cours d'une conversation mardi soir, la veille de l'annonce officielle. Le chef du Bloc assure toutefois que cette volte-face est un élément parmi tant d'autres à considérer mais qu'il n'accélérera pas son processus de réflexion. «Il n'y a rien qui va me forcer, a déclaré M. Duceppe à l'issue de la réunion de son caucus, hier. La décision que je vais prendre ne sera (prise) ni par dépit ni par résignation.»
Plusieurs députés bloquistes estiment pour leur part que l'abstention de François Legault risque d'alimenter la réflexion de leur chef. «Le fait qu'il (M. Legault) ne se présente pas change l'échiquier politique de façon très majeure», mentionne Richard Marceau, député de Charlesbourg. «Il me semble que les candidats qui viennent ou qui ne viennent pas, ça ajoute à la réflexion», poursuit Michel Gauthier, député de Jonquière.
Consultations
Afin d'éclairer sa lanterne sur cette importante décision, M. Duceppe a consulté trois anciens premiers ministres du Québec: Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry.
Il a également profité de la réunion hebdomadaire du caucus de son parti pour connaître le son de cloche des députés, même si plusieurs lui ont fait savoir dès lundi leur souhait de le voir rester à Ottawa.
En plus des députés, les militants bloquistes veulent également participer au processus de réflexion de leur chef. Depuis le début de la semaine, M. Duceppe reçoit des lettres et des courriels de plusieurs d'entre eux. Plusieurs anciens présidents du forum jeunesse du Bloc québécois ont également l'intention de faire parvenir une missive à M. Duceppe pour le dissuader d'aller à Québec.
Concernant la rumeur voulant que l'ancien ministre André Boisclair prenne la tête du Bloc s'il décide de s'envoler pour Québec, le chef du Bloc a refusé de s'avancer. «Vous demanderez ça à M. Boisclair. C'est quelqu'un de très bien. Lui aussi doit s'interroger sur le rôle qu'il doit jouer à l'avenir.»
Interrogé sur cette possible candidature, M. Gauthier s'est fait discret mais a tout de même vanté les mérites de l'ancien ministre. «On ne le connaît pas sur la scène fédérale, mais M. Boisclair est certainement une personne d'expérience, de qualité et puis, si c'était le cas, il ferait certainement une bonne campagne au leadership.»
Pour sa part, le député de Richelieu, Louis Plamondon, balaie d'un revers de la main la possibilité de voir André Boisclair venir s'installer à Ottawa. «C'est complètement farfelu, a-t-il laissé tomber. Ça m'apparaît très, très hypothétique.»
PQ
Landry pourrait se présenter à sa succession pour faire échec à Marois
Presse Canadienne (PC) 09/06/2005 05h12
Bernard Landry qui annonce sa démission du Parti québécois le 4 juin 2005.
© PC Clément Allard
La course encore à venir à la direction du Parti québécois fait s'enchevêtrer tous les scénarios, même les plus singuliers. Le dernier en date concerne Bernard Landry, qui serait tenté de se présenter à sa propre succession.
Quatre jours après la démission surprise du chef péquiste, M. Landry réfléchirait sérieusement, sous la pression d'amis proches, à faire un retour.
Selon «Le Devoir» qui cite des souces proches des péquistes et des bloquistes, ce qui pourrait faire pencher la balance, c'est que Pauline Marois, que M. Landry ne voit pas à la tête du PQ, demeure la seule candidate sérieuse sur les rangs.
Avec Duceppe qui branle dans le manche et Legault qui renonce, il n'est pas question de laisser Pauline toute seule. C'est sûrement un stimulant, selon ce qu'affirme une personne dans l'entourage de Bernard Landry.
Si le chef du Bloc refuse de faire le saut dans l'arène québécoise, laissant ainsi le champ libre pour une victoire de Mme Marois, tout est possible, y compris un retour du chef.
Pour sa part, Bernard Landry a déclaré par la voix de son attaché de presse Louis-Pascal Cyr qu'il s'en tenait à sa déclaration de samedi soir: à partir de maintenant, M. Landry ne porte que le seul titre de militant.
Landry pourrait se présenter à sa succession pour faire échec à Marois
Presse Canadienne (PC) 09/06/2005 05h12
Bernard Landry qui annonce sa démission du Parti québécois le 4 juin 2005.
© PC Clément Allard
La course encore à venir à la direction du Parti québécois fait s'enchevêtrer tous les scénarios, même les plus singuliers. Le dernier en date concerne Bernard Landry, qui serait tenté de se présenter à sa propre succession.
Quatre jours après la démission surprise du chef péquiste, M. Landry réfléchirait sérieusement, sous la pression d'amis proches, à faire un retour.
Selon «Le Devoir» qui cite des souces proches des péquistes et des bloquistes, ce qui pourrait faire pencher la balance, c'est que Pauline Marois, que M. Landry ne voit pas à la tête du PQ, demeure la seule candidate sérieuse sur les rangs.
Avec Duceppe qui branle dans le manche et Legault qui renonce, il n'est pas question de laisser Pauline toute seule. C'est sûrement un stimulant, selon ce qu'affirme une personne dans l'entourage de Bernard Landry.
Si le chef du Bloc refuse de faire le saut dans l'arène québécoise, laissant ainsi le champ libre pour une victoire de Mme Marois, tout est possible, y compris un retour du chef.
Pour sa part, Bernard Landry a déclaré par la voix de son attaché de presse Louis-Pascal Cyr qu'il s'en tenait à sa déclaration de samedi soir: à partir de maintenant, M. Landry ne porte que le seul titre de militant.
Bernard Landry, il est comme moi, il ne veut pas voir Pauline Marois à la tête du Parti Québécois.
Si personne d'autre que Marois pose sa candidature, Bernard Landry serait parfaitement justifié de revenir.
Il l'a toujours dit: "La Patrie avant tout". Et il ne peut pas laisser les rênes de la Patrie entre les mains de Pauline Marois.
Si personne d'autre que Marois pose sa candidature, Bernard Landry serait parfaitement justifié de revenir.
Il l'a toujours dit: "La Patrie avant tout". Et il ne peut pas laisser les rênes de la Patrie entre les mains de Pauline Marois.
[center][img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/theberge6a.jpg[/img]
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Beppo a écrit
Trudeau l'a fait... Bourassa également de même que Joe Clark. Les précédents sont créés depuis belle lurette.
pas comme ca.
trudeau en 1979, a perdu ses élections, le canada a peur, car le pq va faire son référendum, par une erreure tellement stupide que suspect, le gopuvernement de clark tomde, trudeau reprend les commandes, gagne l'élection et le reférendum,
c'est pas pareil car trudeau a annoncé sa retraite suite a une défaite électoral, et les circonstences, et l'importence des enjeu, n'est pas pareil
bourassa a perdu ses élection en 1976, il est disparu 8 ans, pour ensuite faire un retour en 1985,
Clark pareil, mais le retour de clark. il savait qu'iln'avait aucune chance de reprende le pouvoir,
le cas landry, il perd le election en 2003, annonce qu'il part,
3 mois plus tard il reste, 1 ans plus tard il démissionne officiellement, 2 jours plus tard il veux revenir, non
comment quelqu'un qui veux devenir premier ministre, peu laissé autant d'insertitude sur sa propre personne,
Landry a 68 ans
dans 3 ans il aura 71
et environs 73 ans lors de la prochaine grand messe
bref c,est samedi qu'il avait rendez vous avec l'histoire, l'orgeuil la mené a sa chute
parcontre, comme ministre senior pour boisclair .....à
comme joe clark pour brian moyroney, ou Claude Ryan pour Bourassa
Trudeau l'a fait... Bourassa également de même que Joe Clark. Les précédents sont créés depuis belle lurette.
pas comme ca.
trudeau en 1979, a perdu ses élections, le canada a peur, car le pq va faire son référendum, par une erreure tellement stupide que suspect, le gopuvernement de clark tomde, trudeau reprend les commandes, gagne l'élection et le reférendum,
c'est pas pareil car trudeau a annoncé sa retraite suite a une défaite électoral, et les circonstences, et l'importence des enjeu, n'est pas pareil
bourassa a perdu ses élection en 1976, il est disparu 8 ans, pour ensuite faire un retour en 1985,
Clark pareil, mais le retour de clark. il savait qu'iln'avait aucune chance de reprende le pouvoir,
le cas landry, il perd le election en 2003, annonce qu'il part,
3 mois plus tard il reste, 1 ans plus tard il démissionne officiellement, 2 jours plus tard il veux revenir, non
comment quelqu'un qui veux devenir premier ministre, peu laissé autant d'insertitude sur sa propre personne,
Landry a 68 ans
dans 3 ans il aura 71
et environs 73 ans lors de la prochaine grand messe
bref c,est samedi qu'il avait rendez vous avec l'histoire, l'orgeuil la mené a sa chute
parcontre, comme ministre senior pour boisclair .....à
comme joe clark pour brian moyroney, ou Claude Ryan pour Bourassa
Je préfère que Duceppe reste à Ottawa et que Boisclair dirige le PQ. Tant que nous ne serons pas officiellement un pays, nous avons besoin d'une basse solide à Ottawa. Et en ce sens, Duceppe fait de l'excellent boulot.
Je crois que le PQ a besoin de sang neuf, de nouvelles idées... C'est le temps de laisser la place à la nouvelle génération. Si Boisclair devient le nouveau chef du PQ, ça va me redonner le goût de m'impliquer plus activement. --Message edité par Strophe le 2005-06-09 14:23:38--
Je crois que le PQ a besoin de sang neuf, de nouvelles idées... C'est le temps de laisser la place à la nouvelle génération. Si Boisclair devient le nouveau chef du PQ, ça va me redonner le goût de m'impliquer plus activement. --Message edité par Strophe le 2005-06-09 14:23:38--
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Strophe, tu peux l'encouragé sur son blog
http://www.blogger.com/comment.g?blogID ... Popup=true
http://boisclair.blogspot.com/
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http://boisclair.blogspot.com/
Je suis allée lui laisser un message.
Ça me rend malade de voir que Pauline Marois est toujours seule en lice.
Ça me rend malade de voir que Pauline Marois est toujours seule en lice.
[center][img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/theberge6a.jpg[/img]
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J'ai connu Elsie a l'époque ou j'étais sur l'executif National de la FECQ, elle sortait avec le président, je crois qu'elle commencait son CEGEP,
, j'habitait sur Emery, ma cours donnait directement sur le saint Sulpice, elle a passé plusieurs soirée chez moi avec d,autres jeunes comme moi a refaire le quebec,
je peux certifier qu'a 16 ans, elle était capable d'argumenté, avec un rebello 1998, ancien président de la FEUQ,
Déja son enthousiate contagieuse, avait fait des victimes
elle n'était pas la blonde de .... elle était déja Elsie,
un jours l'année passé, j'ai vu sa face sur un poteau, je me suis dit, elle a pas de chance, mais je vais lui donné un coup de main,
je suis allé au local, elle ma présenté a son équipe, j'ai discuté avec elle, on ma fait part du plan de match, et j'ai fini par croire que l'on pourrai gagné Laurier Dorion,
et elle a Gagné, pourquoi, comment, un par un, avec une candidates disponible 16Heures par jours,
oui elsie est jeunes, oui elle peut pas etre chef du PQ avant 15 ans, si elle a une famille pas avant 20 ans
parcontre, elle a une pensé, une facons de voire la souverainté, qui est différente des charboneau et michaud, elle a une facons différente de voir le féministe, des Marois et David,
elle a une pensé plus apronfondie sur le développement durables et la responsabilité vis a vis les prochaine génération,
elle fait les constat de la difficulté des jeunes couples a fondé une famille, elle cherche des solutions,
elle aime la politique, elle a du charisme, de l'énergie et de la conviction,
je vois pas comment on peut douté de la crédibilité d'une jeune fille qui a gagné son compté, la ou René levesque (le vrai) a perdu 2 fois, Laurier Dorion --Message edité par voyeur23 le 2005-06-09 19:09:47--
, j'habitait sur Emery, ma cours donnait directement sur le saint Sulpice, elle a passé plusieurs soirée chez moi avec d,autres jeunes comme moi a refaire le quebec,
je peux certifier qu'a 16 ans, elle était capable d'argumenté, avec un rebello 1998, ancien président de la FEUQ,
Déja son enthousiate contagieuse, avait fait des victimes
elle n'était pas la blonde de .... elle était déja Elsie,
un jours l'année passé, j'ai vu sa face sur un poteau, je me suis dit, elle a pas de chance, mais je vais lui donné un coup de main,
je suis allé au local, elle ma présenté a son équipe, j'ai discuté avec elle, on ma fait part du plan de match, et j'ai fini par croire que l'on pourrai gagné Laurier Dorion,
et elle a Gagné, pourquoi, comment, un par un, avec une candidates disponible 16Heures par jours,
oui elsie est jeunes, oui elle peut pas etre chef du PQ avant 15 ans, si elle a une famille pas avant 20 ans
parcontre, elle a une pensé, une facons de voire la souverainté, qui est différente des charboneau et michaud, elle a une facons différente de voir le féministe, des Marois et David,
elle a une pensé plus apronfondie sur le développement durables et la responsabilité vis a vis les prochaine génération,
elle fait les constat de la difficulté des jeunes couples a fondé une famille, elle cherche des solutions,
elle aime la politique, elle a du charisme, de l'énergie et de la conviction,
je vois pas comment on peut douté de la crédibilité d'une jeune fille qui a gagné son compté, la ou René levesque (le vrai) a perdu 2 fois, Laurier Dorion --Message edité par voyeur23 le 2005-06-09 19:09:47--
Voyeur23 a écritJ'ai connu Elsie a l'époque ou j'étais sur l'executif National de la FECQ, elle sortait avec le président, je crois qu'elle commencait son CEGEP,
, j'habitait sur Emery, ma cours donnait directement sur le saint Sulpice, elle a passé plusieurs soirée chez moi avec d,autres jeunes comme moi a refaire le quebec,
je peux certifier qu'a 16 ans, elle était capable d'argumenté, avec un rebello 1998, ancien président de la FEUQ,
Déja son enthousiate contagieuse, avait fait des victimes
elle n'était pas la blonde de .... elle était déja Elsie,
un jours l'année passé, j'ai vu sa face sur un poteau, je me suis dit, elle a pas de chance, mais je vais lui donné un coup de main,
je suis allé au local, elle ma présenté a son équipe, j'ai discuté avec elle, on ma fait part du plan de match, et j'ai fini par croire que l'on pourrai gagné Laurier Dorion,
et elle a Gagné, pourquoi, comment, un par un, avec une candidates disponible 16Heures par jours,
oui elsie est jeunes, oui elle peut pas etre chef du PQ avant 15 ans, si elle a une famille pas avant 20 ans
parcontre, elle a une pensé, une facons de voire la souverainté, qui est différente des charboneau et michaud, elle a une facons différente de voir le féministe, des Marois et David,
elle a une pensé plus apronfondie sur le développement durables et la responsabilité vis a vis les prochaine génération,
elle fait les constat de la difficulté des jeunes couples a fondé une famille, elle cherche des solutions,
elle aime la politique, elle a du charisme, de l'énergie et de la conviction,
je vois pas comment on peut douté de la crédibilité d'une jeune fille qui a gagné son compté, la ou René levesque (le vrai) a perdu 2 fois, Laurier Dorion
Je doute pas du tout de sa crédibilité, loin de là. C'est juste que je trouve ton enthousiasme exagéré voilà tout.
, j'habitait sur Emery, ma cours donnait directement sur le saint Sulpice, elle a passé plusieurs soirée chez moi avec d,autres jeunes comme moi a refaire le quebec,
je peux certifier qu'a 16 ans, elle était capable d'argumenté, avec un rebello 1998, ancien président de la FEUQ,
Déja son enthousiate contagieuse, avait fait des victimes
elle n'était pas la blonde de .... elle était déja Elsie,
un jours l'année passé, j'ai vu sa face sur un poteau, je me suis dit, elle a pas de chance, mais je vais lui donné un coup de main,
je suis allé au local, elle ma présenté a son équipe, j'ai discuté avec elle, on ma fait part du plan de match, et j'ai fini par croire que l'on pourrai gagné Laurier Dorion,
et elle a Gagné, pourquoi, comment, un par un, avec une candidates disponible 16Heures par jours,
oui elsie est jeunes, oui elle peut pas etre chef du PQ avant 15 ans, si elle a une famille pas avant 20 ans
parcontre, elle a une pensé, une facons de voire la souverainté, qui est différente des charboneau et michaud, elle a une facons différente de voir le féministe, des Marois et David,
elle a une pensé plus apronfondie sur le développement durables et la responsabilité vis a vis les prochaine génération,
elle fait les constat de la difficulté des jeunes couples a fondé une famille, elle cherche des solutions,
elle aime la politique, elle a du charisme, de l'énergie et de la conviction,
je vois pas comment on peut douté de la crédibilité d'une jeune fille qui a gagné son compté, la ou René levesque (le vrai) a perdu 2 fois, Laurier Dorion
Je doute pas du tout de sa crédibilité, loin de là. C'est juste que je trouve ton enthousiasme exagéré voilà tout.
PQ: des députés réclament Boisclair
Mise à jour le vendredi 10 juin 2005 à 7 h 07
.
.
André Boisclair (archives)
.
Faisant écho aux rumeurs entendues au cours des derniers jours, des députés péquistes souhaitent publiquement que l'ex-ministre André Boisclair entre dans la course à la direction du Parti québécois.
La députée péquiste de Matapédia, Danielle Doyer, estime que M. Boisclair allie jeunesse et expérience. Nicolas Girard, son collègue de Gouin, l'ancienne circonscrïption de M. Boisclair, croit que l'ancien ministre pourrait entraîner une nouvelle génération de souverainistes au sein du parti.
De son côté, la députée de Rosemont, Rita-Dionne Marsolais, a confié avoir appelé André Boisclairpour lui demander de poser sa candidature. Elle voit en lui un homme dans la force de l'âge, qui a du charisme et qui incarne le Québec moderne d'aujourd'hui, ouvert sur le monde.
Néanmoins, Mme Dionne-Marsolais juge prématuré son engagement envers l'un ou l'autre des éventuels candidats. Jusqu'ici, la députée Pauline Marois est la seule à avoir confirmé sa candidature à la succession de Bernard Landry.
Enfin, l'ancien président du Comité national des jeunes du PQ, Sébastien Cloutier, a aussi parléà M. Boisclair pour qu'il entre dans la course à la direction du PQ. M. Cloutier estime que l'ancien ministre a de bons appuis dans la majorité des régions du Québec.
Il estime que son expérience, sa jeunesse et ses nouveaux thèmes peuvent redonner du dynamisme au mouvement souverainiste, notamment chez les 18-40 ans.
La députée de Marie-Victorin, Cécile Vermette, appuierait également la candidature de M. Boisclair à la direction du PQ, selon le quotidien Le Devoir.
Boisclair sonderait les appuis
Selon des informations obtenues par Radio-Canada, M. Boisclair sonde les appuis à sa candidature en vue de la direction du PQ. Une bonne partie de l'équipe de Bernard Landry travaillerait à le ramener à Québec, ainsi qu'à convaincre Gilles Duceppe à rester chef du Bloc québécois à Ottawa.
Joint par Radio-Canada.ca mardi, M. Boisclair affirme qu'il n'a pas sollicité d'appuis, mais qu'il reçoit plusieurs appels. Il se dit touché par ces témoignages, mais pour le moment, il estime que son plan de carrière est ailleurs. En outre, près de 200 messages élogieux ont été publiés sur son blogue
André Boisclair a quitté son siège de député de Gouin l'été dernier pour aller étudier aux États-Unis. Il a complété sa maîtrise en administration publique à l'université Harvard, et il a accepté un emploi à Toronto pour la firme McKinsey & Company.
Parizeau refuse de se mouiller
L'ex-premier ministre Jacques Parizeau refuse de se mouiller en vue de la course à la direction du PQ.
De passage à Québec pour participer au 40e anniversaire de création de la Caisse de dépôt et placement du Québec, M. Parizeau a estimé que les nombreux rebondissements depuis la démission de Bernard Landry l'incitent à attendre avant de commenter.
Il a aussi refusé de répondre aux journalistes qui lui demandaient s'il jugeait que M. Landry avait pris la bonne décision en annonçant sa démission, après le résultat décevant de 76,2 % lors du vote de confiance.
Néanmoins, dans le cadre de la cérémonie, M. Parizeau a souligné le rôle de Bernard Landry dans la signature du traité de libre-échange avec les États-Unis. Il a rendu hommage à M. Landry, ainsi qu'à la députée d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel, qui a accepté d'assumer l'intérim du rôle de chef de l'opposition.
L'ancien chef péquiste a été premier ministre de 1994 à 1996.
Mise à jour le vendredi 10 juin 2005 à 7 h 07
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André Boisclair (archives)
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Faisant écho aux rumeurs entendues au cours des derniers jours, des députés péquistes souhaitent publiquement que l'ex-ministre André Boisclair entre dans la course à la direction du Parti québécois.
La députée péquiste de Matapédia, Danielle Doyer, estime que M. Boisclair allie jeunesse et expérience. Nicolas Girard, son collègue de Gouin, l'ancienne circonscrïption de M. Boisclair, croit que l'ancien ministre pourrait entraîner une nouvelle génération de souverainistes au sein du parti.
De son côté, la députée de Rosemont, Rita-Dionne Marsolais, a confié avoir appelé André Boisclairpour lui demander de poser sa candidature. Elle voit en lui un homme dans la force de l'âge, qui a du charisme et qui incarne le Québec moderne d'aujourd'hui, ouvert sur le monde.
Néanmoins, Mme Dionne-Marsolais juge prématuré son engagement envers l'un ou l'autre des éventuels candidats. Jusqu'ici, la députée Pauline Marois est la seule à avoir confirmé sa candidature à la succession de Bernard Landry.
Enfin, l'ancien président du Comité national des jeunes du PQ, Sébastien Cloutier, a aussi parléà M. Boisclair pour qu'il entre dans la course à la direction du PQ. M. Cloutier estime que l'ancien ministre a de bons appuis dans la majorité des régions du Québec.
Il estime que son expérience, sa jeunesse et ses nouveaux thèmes peuvent redonner du dynamisme au mouvement souverainiste, notamment chez les 18-40 ans.
La députée de Marie-Victorin, Cécile Vermette, appuierait également la candidature de M. Boisclair à la direction du PQ, selon le quotidien Le Devoir.
Boisclair sonderait les appuis
Selon des informations obtenues par Radio-Canada, M. Boisclair sonde les appuis à sa candidature en vue de la direction du PQ. Une bonne partie de l'équipe de Bernard Landry travaillerait à le ramener à Québec, ainsi qu'à convaincre Gilles Duceppe à rester chef du Bloc québécois à Ottawa.
Joint par Radio-Canada.ca mardi, M. Boisclair affirme qu'il n'a pas sollicité d'appuis, mais qu'il reçoit plusieurs appels. Il se dit touché par ces témoignages, mais pour le moment, il estime que son plan de carrière est ailleurs. En outre, près de 200 messages élogieux ont été publiés sur son blogue
André Boisclair a quitté son siège de député de Gouin l'été dernier pour aller étudier aux États-Unis. Il a complété sa maîtrise en administration publique à l'université Harvard, et il a accepté un emploi à Toronto pour la firme McKinsey & Company.
Parizeau refuse de se mouiller
L'ex-premier ministre Jacques Parizeau refuse de se mouiller en vue de la course à la direction du PQ.
De passage à Québec pour participer au 40e anniversaire de création de la Caisse de dépôt et placement du Québec, M. Parizeau a estimé que les nombreux rebondissements depuis la démission de Bernard Landry l'incitent à attendre avant de commenter.
Il a aussi refusé de répondre aux journalistes qui lui demandaient s'il jugeait que M. Landry avait pris la bonne décision en annonçant sa démission, après le résultat décevant de 76,2 % lors du vote de confiance.
Néanmoins, dans le cadre de la cérémonie, M. Parizeau a souligné le rôle de Bernard Landry dans la signature du traité de libre-échange avec les États-Unis. Il a rendu hommage à M. Landry, ainsi qu'à la députée d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel, qui a accepté d'assumer l'intérim du rôle de chef de l'opposition.
L'ancien chef péquiste a été premier ministre de 1994 à 1996.